Différentes définitions du mot histoire. Histoire de la Russie (brièvement)

Histoire est une science qui étudie le passé de l’humanité dans toute sa spécificité et sa diversité.

Histoire - est une science sur le passé de la société humaine et son présent, sur les modèles de développement vie publique sous des formes spécifiques, dans des dimensions espace-temps.

Sujet science historique des phénomènes apparaissent vie humaine, dont les informations sont conservées dans les monuments et sources historiques. Ces phénomènes sont extrêmement divers et concernent le développement de l'économie, la vie sociale externe et interne du pays, les relations internationales, les activités des personnages historiques, etc.

Principes et méthodes de la science historique . Le processus de formation de la science historique était inextricablement lié à l'amélioration de la méthodologie de l'histoire, c'est-à-dire l'ensemble des principes et des techniques dans le cadre desquels la recherche historique est menée.

Les principes de base de la recherche historique scientifique comprennent :

– principe d'objectivité , ce qui implique la reconstruction de la réalité historique sur la base de faits authentiques et de la connaissance des lois objectives du développement historique. Chaque phénomène doit être étudié en tenant compte à la fois de ses aspects positifs et négatifs, quelle que soit l'attitude subjective à son égard, sans déformer ni ajuster les faits existants pour les adapter à des schémas pré-développés ;

– principe du déterminisme – approche scientifique, selon lequel tous les phénomènes observés ne sont pas aléatoires, mais ont une cause, sont conditionnés par certaines conditions préalables, et toute réalité apparaît comme un réseau de relations de cause à effet ;

– principe de l'historicisme , nécessitant une réflexion sur le phénomène étudié en tenant compte d'un cadre chronologique précis et d'une situation historique précise.

– principe d'approche sociale , impliquant la nécessité de prendre en compte les intérêts, les traditions et la psychologie de certaines classes, classes, couches sociales et groupes, la corrélation des intérêts de classe avec les intérêts humains universels, le moment subjectif dans les activités pratiques des gouvernements, des partis, des individus ;

– principe d'alternance , permettant la possibilité d’un développement historique multivarié.

Méthodes , utilisé dans la recherche historique, peut être divisé en deux groupes : scientifique général et spécial (scientifique spécial). Les méthodes scientifiques générales sont divisées en empiriques (observation, description, mesure, comparaison, expérience) et théoriques (analyse et synthèse, induction et déduction, abstraction, généralisation, analogie, inversion, modélisation, approche systémique-structurelle, construction d'hypothèses). Les méthodes historiques spéciales comprennent :

– méthode historique ou idéographique concrète ; son essence réside dans la description de faits, de phénomènes et d'événements, sans lesquels aucune recherche n'est possible ;

– méthode historique comparative ; implique que le phénomène n'est pas étudié en lui-même, mais dans le contexte de phénomènes similaires séparés dans le temps et dans l'espace ; leur comparaison permet de mieux comprendre le phénomène étudié ;

– méthode historico-génétique ; associé au retraçage de la genèse – c’est-à-dire l'origine et l'évolution du phénomène étudié ;

– méthode rétrospective ; consiste en une pénétration cohérente dans le passé afin d'identifier les causes des événements ;

– méthode historico-typologique ; associé à la classification des objets de connaissance selon une caractéristique choisie (caractéristiques) pour faciliter leur analyse (apparaît sous sa forme pure, par exemple en archéologie, où des classifications et chronologies approfondies reposent sur certains types d'outils, céramiques, bijoux, forme d'inhumation, etc.)

– méthode chronologique ; prévoit la présentation du matériel historique par ordre chronologique.

Par ailleurs, la recherche historique utilise les méthodes d'autres sciences qui viennent en aide à l'histoire dans le cadre d'interactions interdisciplinaires : linguistique, anthropologie, biologie, médecine, sociologie, psychologie, géographie, géologie, physique, chimie, mathématiques (statistiques).

Les fonctions:

1. Fonction cognitive est d’identifier les modèles de développement historique. Il favorise le développement intellectuel des étudiants et consiste en l'étude même du parcours historique des pays et des peuples, dans une réflexion objective, du point de vue de l'historicisme, de tous les phénomènes et processus qui composent l'histoire de l'humanité.

2. Fonction éducative favorise la formation de qualités et de valeurs civiques et morales à l'aide d'exemples historiques.

3. Fonction pronostique réside dans la possibilité de prédire l’avenir sur la base d’une analyse des événements historiques du passé et du présent.

4. Fonction de mémoire sociale réside dans le fait que la connaissance historique agit comme un moyen d’identification et d’orientation de la société et de l’individu.

5. Pratique-politique . Son essence est que l'histoire en tant que science, identifiant les modèles de développement social sur la base d'une compréhension théorique des faits historiques, aide à développer une orientation politique scientifiquement fondée et à éviter les décisions subjectives.

Sources pour étudier l’histoire :

Le plus grand groupe de sources est sources écrites(monuments épigraphiques, c'est-à-dire inscriptions anciennes sur pierre, métal, céramique, etc. ; graffitis - textes griffonnés à la main sur les murs des bâtiments, la vaisselle ; lettres en écorce de bouleau, manuscrits sur papyrus, parchemin et papier, imprimés, etc.).

Monuments physiques(outils, objets artisanaux, articles ménagers, vaisselle, vêtements, bijoux, pièces de monnaie, armes, vestiges d'habitations, structures architecturales etc.).

Monuments ethnographiques- les vestiges qui ont survécu jusqu'à ce jour vie ancienne divers peuples.

Matériel folklorique- les monuments de l'art populaire oral, c'est-à-dire les légendes, les chansons, les contes de fées, les proverbes, les dictons, les anecdotes, etc.

Monuments linguistiques - noms géographiques, noms de personnes, etc.

Documents cinématographiques et photographiques.

Numismatique(pièces de monnaie, billets de banque et autres unités monétaires)

Phonodocuments.

L'histoire est une science qui étudie les caractéristiques de l'activité humaine dans le passé. Il permet de déterminer les causes d'événements survenus bien avant nous et de nos jours. Associé à gros montant disciplines sociales.

L’histoire en tant que science existe depuis au moins 2 500 ans. Son fondateur est considéré comme le scientifique et chroniqueur grec Hérodote. DANS les temps anciens cette science était valorisée et considérée comme un « maître de vie ». DANS la Grèce ancienne elle était patronnée par la déesse Clio elle-même, engagée dans la glorification des hommes et des dieux.

L’histoire n’est pas seulement un récit de ce qui s’est passé il y a des centaines et des milliers d’années. Il ne s’agit même pas seulement de l’étude des processus et des événements survenus dans le passé. En fait, son objectif est plus grand et plus profond. Cela ne permet pas aux personnes conscientes d’oublier le passé, mais toutes ces connaissances sont applicables au présent et au futur. Il s’agit d’un réservoir de sagesse ancienne, ainsi que de connaissances en sociologie, en affaires militaires et bien plus encore. Oublier le passé, c’est oublier sa culture et son patrimoine. En outre, les erreurs qui ont déjà été commises ne doivent pas être oubliées, afin de ne pas les répéter dans le présent et dans le futur.

Le mot « histoire » est traduit par « enquête ». C'est une définition très appropriée

emprunté au grec. L’histoire en tant que science étudie les causes des événements survenus ainsi que leurs conséquences. Mais cette définition ne reflète toujours pas toute l’essence. Le deuxième sens de ce terme peut être considéré comme « une histoire sur ce qui s’est passé dans le passé ».

L’histoire en tant que science a connu un nouvel essor à la Renaissance. En particulier, le philosophe Krug a finalement déterminé sa place dans le système d'enseignement. Un peu plus tard, cela fut corrigé par le penseur français Naville. Il a divisé toutes les sciences en trois groupes, dont l'un qu'il a appelé « Histoire » ; il était censé inclure la botanique, la zoologie, l'astronomie, ainsi que l'histoire elle-même en tant que science du passé et patrimoine de l'humanité. Au fil du temps, cette classification a subi quelques modifications.

L'histoire en tant que science est concrète ; elle nécessite la présence de faits, de dates qui leur sont attachées et d'une chronologie des événements. En même temps, elle est étroitement liée à un grand nombre d’autres disciplines. Naturellement, la psychologie faisait partie de ces dernières. Dans le passé et siècle avant-dernier des théories ont été développées sur le développement des pays et des peuples, en tenant compte de la « conscience sociale » et d'autres phénomènes similaires. Le célèbre Sigmund Freud a également contribué à ces doctrines. À la suite de ces études, un nouveau terme est apparu : la psychohistoire. La science exprimée par ce concept était censée étudier la motivation des actions des individus dans le passé.

L'histoire est liée à la politique. C’est pourquoi il peut être interprété de manière biaisée, en embellissant et en peignant certains événements et en en étouffant soigneusement d’autres. Malheureusement, dans ce cas, toute sa valeur est neutralisée.

L'histoire en tant que science a quatre fonctions principales : cognitive, idéologique, éducative et pratique. La première donne la somme des informations sur les événements et les époques. La fonction de vision du monde implique de comprendre les événements du passé. L’essence pratique consiste à comprendre certains processus historiques objectifs, à « apprendre des erreurs des autres » et à s’abstenir de prendre des décisions subjectives. Fonction éducative implique la formation du patriotisme, de la moralité, ainsi que du sens de la conscience et du devoir envers la société.

L'histoire générale en tant que domaine de la science historique traite de problèmes fondamentaux processus historique mondial. Elle étudie l'histoire de l'humanité depuis la primitivité jusqu'à la modernité, analyse la multivariance des contextes socio-politiques, socio-économiques et développement culturel régions, pays et peuples du monde dans divers périodes chronologiques et les époques. Il éclaire la réalité historique de manière concrète et historique. aspects théoriques.

La science historique repose sur une base solide de faits qui ont survécu jusqu’à nos jours. Et pourtant, pour un jugement objectif sur les événements survenus dans l'Antiquité, ces faits ne suffisent parfois pas. Oui et sources écrites les époques passées et proches de notre époque (chroniques, mémoires, documents officiels) souffrent parfois de contradictions, d'appréciations subjectives, d'inexactitudes et de distorsions idéologiques. En analysant les sources et donc en exprimant vos hypothèses, vous pouvez répondre aux principaux problèmes de l'histoire : qu'est-ce qui motive le développement de l'humanité ? quel est le rôle de la personnalité dans l’histoire ? comment ça a changé vie courante de personnes? Comment l’art, la science, la technologie se sont-ils développés ?

Le passé de l’humanité devient alors une force lorsqu’il est étroitement lié à son présent. En apprenant l'histoire de l'humanité, vous pourrez mieux vous comprendre vous-même et votre place dans le flux vivant et complexe des événements historiques modernes, dont chaque personne est destinée à être témoin et participant.

Les objets de culture matérielle créés et préservés par l'homme, les monuments écrits, les coutumes, les rituels et bien plus encore contiennent des informations sur un passé lointain. Ce - sources historiques. Les scientifiques s'efforcent d'attirer autant de sources de ce type que possible, ce qui leur permet de recréer de manière plus fiable le processus historique. Pendant des centaines de milliers d'années, la connaissance du passé a été transmise oralement de génération en génération ; elle a été conservée, modifiée, dans la mémoire de l'humanité sous forme de mythes, de légendes et de chants héroïques. Il n’est parfois pas possible de séparer la fiction des phénomènes et événements qui se sont réellement déroulés dans l’Antiquité. Pour un scientifique, l’art populaire oral est le domaine de recherche le plus difficile, mais peut-être aussi le plus fascinant.

L'histoire du monde divisé par périodes. Principales périodes de l'histoire du monde : Ère préhistorique, Antiquité, Moyen Âge, Temps modernes et Les temps modernes.

scientifique russe V.P. Alekseev croit que l'émergence de l'homme a commencé avec la formation de la famille des hominidés et activité de travail. Il divise l’histoire de la formation humaine en histoire de la période primitive et histoire de la période ultérieure.

Ère préhistorique

Ancien monde

Histoire Ancien monde commence avec l’apparition de l’homme sur Terre. Cette période se termine en 476 après JC. e., lorsque l'Empire romain d'Occident a cessé d'exister. Il s’agit de la période la plus longue de l’histoire de l’humanité.

Les gens se sont toujours efforcés de connaître leur passé, même dans les temps anciens. L'un des premiers historiens - Hérodote - dans son essai historique accompagné d'une description d'événements réels, il cite des contes fantastiques qu'il a entendus différents pays. À cette époque, l’histoire n’était pas encore devenue une science. A cette époque, les événements réels et la fiction n’étaient pas séparés.

Moyen-âge

Le Moyen Âge a duré plus de mille ans, depuis l'effondrement de l'Empire romain d'Occident (476) jusqu'à la fin du XVe siècle. Il faut dire que les frontières périodes historiques Il n'est pas toujours possible de les déterminer avec une précision allant jusqu'à un siècle ; ils sont tout à fait arbitraires. Par exemple, certains historiens attribuent la fin du Moyen Âge à la fin de l'ère des découvertes, qui a duré de milieu du 16ème siècle avant milieu du XVIIe siècle V.

Nouvelle heure

Les temps modernes sont une période de l’histoire mondiale qui s’étend en Europe depuis les Grandes Découvertes géographiques (1492) jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale (1918). Selon certaines périodisations, la fin des Temps Nouveaux est considérée comme 1918, année de la fin de la Première Guerre mondiale.

Les temps modernes

Les temps modernes ont commencé au 20e siècle et couvrent le 21e siècle actuel.

Histoire des continents et des États

Amérique

L'Europe 

Asie

Asie de l'Est: Chine, Japon.

Afrique

États historiques

Un historien érudit doit nécessairement vérifier la fiabilité et la véracité de toute information qu'il souhaite communiquer. Tout ce qui s'est passé, ce qui a été fait, s'est réalisé, disent les scientifiques fait. Traduit du latin, ce mot signifie « fait ». L'historien doit nécessairement prouver que ce qui s'est passé est un fait. Cela signifie que le mot « fait » a également un autre sens : « vérité », « vérité ». Mais pour un historien, il ne suffit pas de nommer ce qui s’est passé sur la base de faits. Il doit établir comment et pourquoi les événements se sont réellement produits de cette façon. De plus, il est impératif de nommer les lieux des événements et d'indiquer quand ils se sont produits, c'est-à-dire nommer la date (jour, mois, année, siècle).

En étudiant les documents et les sources matérielles, les scientifiques restituent événements historiques.

Le travail du chercheur ne s’arrête pas là. Il n’y a rien d’accidentel dans l’histoire. Il est donc important de déterminer ce qui s’est passé avant et après les événements étudiés et d’établir un lien entre eux. Et enfin, il faut comprendre l'importance de tel ou tel événement pour l'histoire du pays ou du monde entier. Matériel du site

Méthodes de recherche historique

Méthode historico-typologique

La méthode historico-typologique est largement utilisée dans les études de sources. Les archéologues l'utilisent notamment pour étudier sources historiques cultures archéologiques, organiser et comparer des artefacts typiques (homogènes).

Méthode historico-génétique

Méthodes historiques et génétiques permettent de relier dans le temps et dans l’espace la formation des peuples individuels selon les informations inscrites dans les gènes humains. Code génétique Tous les humains sont conçus de telle manière que chacun possède 23 paires de chromosomes, qui stockent tous informations héréditaires, hérité des deux parents. Lorsqu'un chromosome est formé, environ la moitié provient du chromosome de la mère et l'autre moitié de celui du père. En même temps, un chromosome mâle— Y se transmet entièrement de père en fils. Après un certain nombre de générations, ses mutations se produisent, et plus il y a de mutations, plus l'ancêtre commun est ancien. Cependant, il n’est pas tout à fait clair s’il existe une corrélation claire entre les taux de mutation et les intervalles de temps égaux.

Monarchie absolue- l'autocratie, un État dans lequel le monarque dispose d'un pouvoir illimité. Dans le même temps, un puissant appareil bureaucratique, une armée et une police sont créés et les activités des organismes gouvernementaux sont arrêtées.
Autocratie- l'autocratie incontrôlée d'une seule personne.
Autonomie- le droit d'exercer le pouvoir de manière indépendante (dans certaines limites convenues à l'avance) pour certains éducation publique sur son territoire.
Autoritarisme- un système de pouvoir politique antidémocratique, généralement associé à des éléments de dictature personnelle.
Agora- une place où se rassemblaient les citoyens libres - une assemblée populaire dans l'ancienne cité-État grecque.
Agresseur- un État procédant à une atteinte armée à la souveraineté, au territoire ou système politique un autre état.
Administration- un ensemble d'instances dirigeantes.
Division administrative- diviser le territoire du pays en unités plus petites dotées de leurs propres organes directeurs.
Acropole- une partie fortifiée de la ville antique.
Amnistie- exonération de responsabilité pénale ou autre.
Anarchie- anarchie, désobéissance aux lois, permissivité.
Entente- l'alliance de l'Angleterre, de la Russie et de la France contre l'Allemagne lors de la Première Guerre mondiale ;
Coalition anti-hitlérienne- une alliance de pays qui ont lutté contre L'Allemagne hitlérienne et d'autres puissances de l'Axe - URSS, Grande-Bretagne, États-Unis, France, Chine, Yougoslavie, Pologne, etc.
Aristocratie- noblesse de clan, classe supérieure.
Autodafé - exécution publique hérétiques par sentence de l'Inquisition.
Rapport de force (équilibre, équilibrage)- une égalité approximative des potentiels militaires des camps opposés.
Corvée- le travail forcé d'un serf dans la ferme d'un seigneur féodal.
Blocus- système de politique et événements économiques visant à violer relations extérieures de n’importe quel État. Utilisé pour isoler l'objet bloqué.
Bourgeoisie- classe de propriétaires utilisant main d'oeuvre embauchée. Les revenus sont fournis par crédits la plus-value- la différence entre les coûts de l'entrepreneur et son bénéfice.
États tampons- les pays situés entre des États en guerre, les divisant et assurant ainsi l'absence frontières communes et les contacts entre armées hostiles les unes aux autres.
Bureaucratie- la domination de la bureaucratie, le pouvoir des journaux, alors que les centres du pouvoir exécutif sont pratiquement indépendants du peuple. Caractérisé par le formalisme et l'arbitraire.
Vandales - ancienne tribu germanique, capturé et pillé Rome. DANS métaphoriquement- des sauvages, ennemis de la culture.
Vassal- un seigneur féodal dépendant de son seigneur. nda certaines tâches et combattit aux côtés du seigneur.
Grande migration- mouvement des Allemands, Slaves, Huns, etc. sur le territoire des premiers. Empire romain aux IV-VII siècles.
Note verbale- forme de correspondance interétatique actuelle.
Veche- assemblée populaire à Rus antique(Novgorod, Pskov)
Vote- avis exprimé par vote.
Conventions de La Haye- les accords internationaux sur les lois et coutumes de la guerre (adoptés à La Haye en 1899 et 1907), sur la protection valeurs culturelles(1954), sur le droit international privé, etc.
Blason- un signe distinctif d'un pays, d'une région, d'une famille noble.
Hetman- chef militaire, chef des Cosaques « enregistrés » aux XVIe-XVIIIe siècles. en Ukraine.
Guilde- syndicat des marchands, commerçants, artisans au Moyen Âge.
hymne national- chanson solennelle, symbole officielÉtats.
État- une association de personnes (population) vivant sur un même territoire et soumises aux mêmes lois et arrêtés d'une autorité commune pour tous.
Démocratie- une forme d'État et de société fondée sur la reconnaissance du peuple comme source de pouvoir et participant à la gouvernance.
Manifestation- une procession, un rassemblement ou toute autre forme d'expression massive d'un sentiment dans la société.
Dénonciation- refus de l'une des parties de se conformer davantage aux accords, contrats, etc. préalablement conclus.
Dépression- la phase de développement économique suite à la crise de surproduction. Synonyme : stagnation. La Grande Dépression- économique et crise politique 1929-1933 aux États-Unis.
Despote- un dirigeant qui opprime ses sujets de manière autocratique et incontrôlable.
Dictature - régime politique, c'est-à-dire la domination totale d'un individu ou d'un groupe social.
Dynastie- série séquentielle parents - les dirigeants de l'État.
Doge- chef des républiques vénitiennes et génoises au Moyen Âge.
Droujina- un détachement armé permanent, l'armée du prince,
Hérésie- déviation des opinions prescrites par la religion.
CEE (Communauté économique européenne, « Marché commun »)-une organisation fondée en 1957 dans le but d'éliminer toutes les restrictions au commerce entre ses membres.
Rideau de fer- c'est ainsi qu'on appelait la frontière entre les pays en Occident le Pacte de Varsovie(« communiste ») et le reste du monde.
Loi- un ensemble de règles dont la mise en œuvre est obligatoire pour chacun.
Zaporizhzhya Sich- organisation Cosaques ukrainiens, république militaire dirigé par le chef Kosh aux XVIe et XVIIIe siècles. avec le centre derrière les rapides du Dniepr, sur les îles.
Isolation- création de barrières infranchissables entre Etats ou groupes sociaux.
Impérialisme-. la phase de développement de la société où des groupes financiers et industriels concurrents, disposant d'un monopole sur le marché, contrôlent tous les domaines de la vie et fusionnent avec le pouvoir de l'État.
Empire- la monarchie ou le despotisme, qui a possessions coloniales ou incluant des éléments hétérogènes.
Révolution industrielle- transition vers la qualité nouveau niveauéquipements et technologies, entraînant une forte augmentation de la productivité du travail et de la production de produits.
Inquisition- aux XIII-XIX siècles. système judiciaire de l’Église catholique, indépendant des autorités laïques. Elle persécuta les dissidents et les hérétiques, recourut à la torture et aux exécutions.
Cosaques- classe militaire en Russie aux XVIe-XXe siècles. Il est apparu sur le Dniepr, le Don, la Volga, l'Oural, le Terek sous la forme de communautés libres, était le principal force motrice soulèvements populaires en Ukraine et en Russie. Au XVIIIe siècle transformé en une classe militaire privilégiée. Au début du 20ème siècle. il y en avait 11 Troupes cosaques(Don, Kouban, Orenbourg, Transbaïkal, Tersk, Semirechenskoe, Oural, Ussuri, Sibérie, Astrakhan, Amour), numérotés en total 4,4 millions de personnes, plus de 53 millions d'acres de terres. Depuis 1920, la classe a été supprimée. En 1936, des formations cosaques furent créées pour participer à la guerre ; dans les années 40 dissous. Depuis la fin des années 80. la renaissance des Cosaques commença ; le nombre total de personnes dans la CEI dépasse 5 millions.
Capitalisme -formation sociale, basé sur la propriété privée des outils et des moyens de production, un système de libre entreprise et de travail salarié.
Classe- grand groupe les personnes dont le rôle dans système économique la société et par rapport à la propriété sont similaires.
communisme- l'ordre social, rejetant propriété privée pour les moyens de production. La théorie a été développée par K. Marx, f. Engels, V.I. Lénine. Une tentative de construction d'un tel système a été faite en 1917-1991. en URSS.
Conservatisme- attachement à l'ancien, à l'établi, méfiance à l'égard de tout ce qui est nouveau et rejet des changements dans la société.
Une monarchie constitutionnelle- un système de gouvernement dans lequel le pouvoir du monarque est limité par la loi (généralement une constitution).
Constitution- la loi fondamentale de l'État.
Contre-espionnage - activité services spéciaux réprimer les activités de renseignement (espionnage) des autorités compétentes d'autres pays sur leur propre territoire.
Confédération- une forme d'unification des pays dans laquelle ils conservent totalement leur indépendance, mais disposent d'organismes communs (unis) pour coordonner certaines actions. Généralement, c'est police étrangère, communications, transports, forces armées. Un exemple est la Confédération suisse.
Une crise- une période de difficultés économiques aiguës. Caractérisé par une augmentation du chômage, des faillites massives, un appauvrissement de la population, etc.
Cro-Magnon- primitif; ancien représentant moderne espèce humaine(Homo sapiens, Homo sapiens). Il a été précédé par un Néandertalien.
Libéral - partisan de la liberté individuelle et de la liberté d’entreprise.
Matriarcat- une structure de société caractérisée par la position dominante des femmes. La parenté et l'héritage étaient calculés selon lignée maternelle. A été distribué dans période initiale système tribal.
La monarchie - un État dirigé par un roi, un tsar, un empereur, etc., dont le pouvoir est généralement hérité.
Personnes- l'ensemble de la population d'un pays (moins souvent - une partie de la population homogène dans sa composition nationale).
OTAN- L'Alliance de l'Atlantique Nord, un bloc militaro-politique regroupant les États européens, ainsi que les États-Unis et le Canada.
Socialisme national - idéologie Nazis allemands. Elle se caractérise par une soumission aveugle au « Führer », un sentiment de supériorité sur les autres peuples, une permissivité envers les « inférieurs » et un désir de domination mondiale.
Les symboles nationaux sont un ensemble de symboles, d'images, de combinaisons de couleurs inhérentes à certaines communautés nationales, ethniques ou territoriales. Utilisé dans les armoiries et les drapeaux des États et autres entités.
Mouvement de libération nationale - lutte pour l'indépendance groupe ethnique ou l'ensemble de la population de la colonie, ainsi que la lutte pour l'indépendance économique et politique d'une partie de la population d'un pays multinational.
Nation - communauté historique de personnes, formée en raison de la communauté de leur territoire, liens économiques, littérature, langue, caractéristiques culturelles et caractère.
arrêter de louer - contribution naturelle ou monétaire des paysans au seigneur féodal.
Marché commun - le même que la CEE (une organisation fondée en 1957 dans le but d’éliminer toutes les restrictions au commerce entre ses membres).
Opritchnina - système de mesures d'Ivan IV le Terrible pour lutter contre l'opposition des boyards ( répression de masse, exécutions, confiscations de terres, etc.).
Axe (« axe Berlin-Rome »)- alliance militaire d'agressifs régimes fascistes(1936) pour préparer et mener une guerre pour la domination mondiale. Bientôt, le Japon rejoignit l'Axe.
Patriarcat - structure d’une société dominée par les hommes. Il est apparu pendant la période de décomposition du système tribal.

Parlement - organisme gouvernemental représentatif (élu) dans l’État. Formé pour la première fois au 13ème siècle. En Angleterre.
Plébiscite- enquête démographique les questions les plus importantes: Intégrité de l'État, forme de gouvernement, réformes, etc. En règle générale, il n'a aucune force législative.
Tribu- l'unification de plusieurs clans sous le contrôle d'un chef.
Le président- le chef d'État ou d'organisation élu.

Politique- cité-état dans le monde antique.
Esclave - une personne dont la vie et le travail appartiennent au propriétaire de l'esclave.
Radical- partisan de mesures décisives, extrêmes et cardinales en matière de transformation de la société.
Service de renseignements - un ensemble de mesures pour collecter des données sur un ennemi réel ou potentiel.
Racisme- une théorie sur la supériorité inhérente des personnes ayant une certaine couleur de peau, d'yeux et autres différences externes. En pratique, cela conduit à des humiliations, des conflits, des pogroms, guerres sanglantes et ainsi de suite.
Réactionnaire- résister au progrès social, s'efforcer de préserver des ordres sociaux dépassés.
République - une forme de gouvernement dans laquelle le pouvoir ultime appartient à un organe représentatif élu (parlementaire) ou à un président élu (république présidentielle).
Révolution- un saut qualitatif ; changement violent des relations sociales.
Référendum - vote populaire sur les questions les plus importantes de la vie du pays. A force législative.
Genre - un groupe de personnes liées par le sang (descendantes de ancêtre commun) et possédant des biens communs.
La libre entreprise- un système d'encouragement à l'initiative privée dans l'organisation des entreprises, des banques, du commerce, etc.
Slaves - le plus grand groupe de peuples d'Europe : oriental (Russes, Ukrainiens, Biélorusses), occidental (Polonais, Tchèques, Slovaques, etc.), méridional (Bulgares, Serbes, Croates, etc.).
Smerda- les paysans de la Russie antique.
Socialisme- un système social fondé sur la propriété étatique ou publique des outils et moyens de production et sur l'absence d'exploitation de l'homme par l'homme (conformément à la théorie du marxisme-léninisme).
Protection sociale- le soutien de l'État ou de la société aux couches les plus modestes de la population (personnes âgées, enfants, etc.).
Souveraineté de l'État- son indépendance dans les affaires extérieures et sa suprématie dans les affaires intérieures.
Suzerain- un seigneur féodal auquel sont subordonnés d'autres seigneurs féodaux plus petits (vassaux). Le roi est toujours un suzerain.
Terrorisme- attaques criminelles contre la vie de personnes innocentes afin d'atteindre des objectifs politiques ou autres.
Fascisme- une dictature terroriste utilisant des formes extrêmes de violence. Combiné avec le nationalisme et le racisme.
Fédération- la structure de l'État, dans laquelle l'ensemble du territoire est divisé en unités administratives, et une partie des pouvoirs pouvoir suprême délégué aux autorités locales (des lois locales sont promulguées, des impôts locaux sont prélevés, etc.).
Forum- zone dans Rome antique, centre vie politique. Actuellement - une réunion représentative, un congrès.
Tsar- monarque, roi. Le titre vient du nom de Gaius Julius Caesar. Le titre de souverains de toute la Russie, à commencer par Ivan IV le Terrible.
Officiel- exécuteur des règlements de l'État et des lois de l'État, fonctionnaire L'évolution est une transition progressive et douce (par opposition à la révolution) vers une nouvelle qualité, une nouvelle formation sociale.

L'histoire en tant que chronologie des événements survenus sur terre pendant toute la période de l'existence humaine devrait constituer une expérience inestimable pour génération moderne de personnes.

Cependant, les paroles du célèbre personnages historiques indiquer le contraire :

"La principale leçon de l'histoire est que l'humanité est inenseignable", a déclaré W. Churchill. « L'histoire n'enseigne rien, mais punit seulement l'ignorance des leçons », a écrit V. Klyuchevsky.

Qu'est-ce que c'est véritable objectif la science historique, et comment est-elle mise en œuvre ?

Terme histoire a 2 significations principales :

Le processus de développement de la nature et de la société, par exemple : l'histoire du développement de la Terre, l'histoire de l'univers, l'histoire de toute science (droit, médecine, etc.).

La science qui étudie le passé Société humaine V Aspects variés: actif, philosophique, social, etc.

Quant à la science historique en particulier, elle étudie et décrit le processus historique en se basant sur des sources d'information sur le passé, en établissant l'objectivité des faits et la relation de cause à effet entre eux.

Origine du terme

Le mot « histoire » remonte au grec ancien ἱστορία (historia), lui-même dérivé du proto-indo-européen wid-tor-, où la racine weid- est traduite par « savoir, voir ». Un autre mot, historeîn, signifiait « explorer ».

Ainsi, au départ, « l’histoire » était identifiée à la méthode permettant d’établir, de clarifier et de reconnaître la vérité d’un fait ou d’un événement. Il comprenait un éventail de significations plus large que le sens moderne, impliquant toutes les connaissances obtenues grâce à la recherche, sans se limiter au cadre de l'histoire humaine.

Plus tard, dans la Rome antique, « l'histoire » a commencé à être appelée l'histoire d'un incident ou d'un incident.

Sujet d'histoire

Il n'y a pas de consensus parmi les chercheurs sur le sujet de l'étude de l'histoire.

Les scientifiques matérialistes voient indicateurs clef développement social dans la méthode de production biens matériels. Par conséquent, le sujet principal de la science historique pour eux est la société dans son aspect économique.

Les historiens qui adoptent des positions libérales donnent la priorité personnalité humaine, doté par la nature droits naturels et les réaliser dans le processus de développement personnel. La définition de l'histoire comme « la science des hommes dans le temps », donnée par le scientifique français M. Bloch, caractérise le mieux cette approche.

D’où l’équilibre de l’histoire aux portes des sciences sociales et humaines.

Méthodes, principes et sources historiques

Les méthodes historiques sont basées sur les principes du travail avec des sources primaires et des artefacts découverts.

À principes de base les sciences historiques comprennent :

1. Le principe de vérité comme objectif le plus élevé connaissances historiques.
2. Le principe de l'historicisme, qui instaure la considération de l'objet de l'histoire dans son développement.
3. Le principe d'objectivité, protégeant la vérité historique de la distorsion et des influences subjectives.
4. Le principe de concret, qui prescrit d'étudier objet historique, en s'appuyant sur les caractéristiques du lieu et de l'époque de son développement.
5. Le principe de s'appuyer sur des sources historiques, etc.

Selon le dernier principe, œuvres historiques les chercheurs doivent s’appuyer sur des objets qui reflètent directement le processus historique. Les sources historiques sont :

• Écrit - Ils sont à leur tour divisés en actes d'État (lois, traités, etc.) et en descriptions (chroniques, journaux intimes, vies, lettres).
• Langue (matériel linguistique).
• Orale (folklore).
• Ethnographique (rites et coutumes).
• Réel - Ceux-ci incluent ceux trouvés suite à fouilles archéologiques outils, articles culturels et ménagers, etc.

Disciplines historiques

Parmi les auxiliaires disciplines historiques, au service de l'étude de diverses sources historiques, se distinguent :

• Etudes archivistiques (étudie et développe des archives).
• Archéographie (recueille et publie des sources historiques écrites).
• Bonistique (étudie les billets hors circulation en tant que documents historiques).
• Vexillologie (études drapeaux, banderoles, étendards, fanions, etc.)
• Généalogie (études les liens familiaux entre les gens).
• Héraldique (étudie les armoiries).
• Diplomatie (examine les documents juridiques anciens).
• Étude des sources (traite de la théorie, de l'histoire et des méthodes d'étude des documents et des objets culture matérielle du passé).
• Codicologie (études de livres manuscrits).
• Numismatique (traite de l'histoire de la monnaie et de la circulation monétaire).
• Onomastique (discipline historique et linguistique qui étudie l'origine des noms propres).
• Paléographie (études des monuments d'écriture et de graphisme).
• Sphragistique ou sigillographie (études des sceaux et de leurs impressions).
• Chronologie (étudie les événements historiques dans leur séquence), etc.

Philosophie de l'histoire

Il existe aujourd'hui plusieurs approches d'interprétation processus historique, expliquant les modèles, les objectifs et les résultats possibles de son développement. Ceux-ci incluent les éléments suivants :

civilisationnel, qui considère l'histoire dans le processus de naissance et de déclin des civilisations ; Les représentants les plus brillants de cette approche étaient : O. Spengler, A. Toynbee, N. Ya Danilevsky et d'autres ;

approche formationnelle et matérialiste basée sur socio-économique formations; Ses créateurs étaient : K. Marx, F. Engels, V. I. Lénine ;

étape relais, considérée comme un type de concept marxiste-formation, dans lequel la principale force motrice de l'histoire est lutte des classes, et elle but ultime– le communisme ; Développé par Yu. I. Semenov.

monde-systémique, exploration évolution sociale systèmes sociaux; Ses créateurs : A. G. Frank, I. Wallerstein, J. Abu-Luthod, A. I. Fursov, L. E. Grinin et autres.

l'école des Annales, qui étudie l'histoire des mentalités et des systèmes de valeurs. Ses fondateurs et disciples : M. Blok, L. Febvre, F. Braudel, J. Le Goff, A. Ya Gurevich et autres.