Mohenjo-daro(Ourdou موئن جودڑو, Sindhi موئن جو دڙو ; littéralement « colline des morts ») est une ville de la civilisation de la vallée de l'Indus. C'est la plus grande ville antique de la vallée de l'Indus et l'une des premières villes de l'histoire de l'Asie du Sud, contemporaine de la civilisation de l'Égypte ancienne et de la Mésopotamie antique.

Mohenjo-Daro est apparu vers 2600 avant JC. e. et fut abandonné environ neuf cents ans plus tard. On pense qu’à son apogée, la ville était le centre administratif de la civilisation de la vallée de l’Indus et l’une des villes les plus développées d’Asie du Sud. Selon certaines versions, ses habitants auraient été exterminés lors de l'invasion aryenne.

La ville (ou « colline des morts ») a été découverte en 1922 par l'archéologue indien Rakhal Banarji. Et pour la première fois, elle fut sérieusement étudiée dans les années 1930 par l'expédition de l'archéologue britannique John Marshall, qui ne manqua pas de constater « l'identité » des découvertes de Mohenjo-Daro avec celles découvertes à Harappa, 400 km en amont de l'île. Indus. Les dernières fouilles majeures de Mohenjo-Daro ont été réalisées par une expédition américaine en 1964-1965, mais ont été abandonnées en raison des dommages causés par l'érosion aux structures fouillées.

Dans des études antérieures, la « colline des morts » était décrite comme une forteresse frontalière de la civilisation mésopotamienne. Mohenjo-Daro se distingue des autres centres de la civilisation de l'Indus par une disposition presque idéale, l'utilisation de briques cuites comme principal matériau de construction. , ainsi que la présence de structures d'irrigation et religieuses complexes. La ville antique occupait une superficie d'environ 259 hectares et était un réseau de blocs (l'exemple le plus ancien d'une telle disposition), séparés par de larges rues avec un système de drainage développé, qui étaient divisés en plus petits bâtiments, entre autres. sont le grenier, le « grand bassin » pour les ablutions rituelles d'une superficie de 83 m². m. et une « citadelle » surélevée (apparemment destinée à la protection contre les inondations). À son apogée, la population variait entre 30 000 et 40 000 habitants. La largeur des rues de la ville atteignait 10 m. À Mohenjo-Daro, les premières toilettes publiques connues des archéologues ont peut-être été découvertes, ainsi qu'un système d'égouts urbain. Une partie du territoire de la ville basse, où s'installaient les roturiers, fut finalement inondée par l'Indus et reste donc inexplorée. En 4 500 ans, le niveau de l’eau (du sol) a augmenté de 7 mètres.

À ce jour, de nombreux archéologues s'inquiètent du mystère de la mort de la ville de Mohenjo-Daro il y a 4 500 ans. Les ruines des bâtiments ne contenaient pas de nombreux cadavres de personnes et d'animaux, ainsi que des fragments d'armes et des traces de destruction. . Le seul fait évident est que la catastrophe s'est produite soudainement et n'a pas duré longtemps. Le déclin de la culture est un processus lent, aucune trace de l'inondation n'a été trouvée. De plus, il existe des données incontestables indiquant des incendies massifs. L'épidémie ne frappe pas soudainement et simultanément les gens qui marchent tranquillement dans les rues ou qui font des affaires. C'est exactement ce qui s'est passé, comme le confirme la localisation des squelettes. Les études paléontologiques rejettent également l'hypothèse épidémique. On peut également, avec raison, rejeter la version d'une attaque soudaine des conquérants ; aucun des squelettes découverts ne comporte de traces laissées par des armes blanches.

Une version très inhabituelle a été exprimée par l'Anglais D. Davenport et l'Italien E. Vincenti. Ils affirment que Mohenjo-Daro a survécu au sort d'Hiroshima. Les auteurs avancent les arguments suivants en faveur de leur hypothèse. Parmi les ruines se trouvent des morceaux épars d'argile cuite et de verre vert (des couches entières !). Selon toute vraisemblance, le sable et l'argile ont d'abord fondu sous l'influence de températures élevées, puis ont durci instantanément. Les mêmes couches de verre vert apparaissent à chaque fois dans le désert du Nevada (États-Unis) après une explosion nucléaire. L'analyse des échantillons réalisée à l'Université de Rome et au laboratoire du Conseil national italien de la recherche a montré que la fusion s'est produite à une température de 1 400 à 1 500 degrés. Une telle température pouvait alors être obtenue dans la forge d'un atelier métallurgique, mais pas dans un vaste espace ouvert.

Si vous examinez attentivement les bâtiments détruits, vous avez l'impression qu'une zone claire se dessine - l'épicentre, dans lequel tous les bâtiments ont été emportés par une sorte de bourrasque. Du centre vers la périphérie, la destruction diminue progressivement. les bâtiments sont les plus conservés. En un mot, le tableau rappelle les conséquences des explosions atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki.

Est-il concevable de supposer que les mystérieux conquérants de la vallée de l'Indus possédaient l'énergie atomique ? » Une telle hypothèse semble incroyable et contredit catégoriquement les idées de la science historique moderne. Cependant, l'épopée indienne « Mahabharata » parle d'une certaine « explosion » qui a provoqué « une lumière aveuglante, un feu sans fumée », tandis que « l'eau a commencé à bouillir et les poissons ont été carbonisés » - Qu'est-ce que c'est - juste une métaphore ? D. Davenport pense qu'elle est basée sur des événements réels.

En 1922, sur l'une des îles de l'Indus au Pakistan, des archéologues ont découvert les ruines d'une ville antique sous une couche de sable. Ils ont appelé cet endroit Mohenjo-daro, qui signifie « Colline des Morts » dans la langue locale.

On pense que la ville est née vers 2600 avant JC et a existé pendant environ 900 ans. On pense qu’à son apogée, elle était le centre de la civilisation de la vallée de l’Indus et l’une des villes les plus développées d’Asie du Sud. De 50 à 80 000 personnes y vivaient. Les fouilles dans cette zone se sont poursuivies jusqu'en 1980. Les eaux souterraines salées ont commencé à inonder la zone et à corroder les briques brûlées des fragments de bâtiments survivants. Et puis, par décision de l'UNESCO, les fouilles ont été suspendues. Jusqu’à présent, nous avons réussi à fouiller environ un dixième de la ville.

À quoi ressemblait Mohenjo-Daro il y a près de quatre mille ans ? Les maisons du même type étaient situées littéralement le long d'une ligne. Au centre du bâtiment, il y avait une cour et autour d'elle il y avait 4 à 6 salons, une cuisine et une salle d'ablution. Les cages d'escalier conservées dans certaines maisons suggèrent que des maisons à deux étages ont également été construites. Les rues principales étaient très larges. Certains marchaient strictement du nord au sud, d’autres d’ouest en est.

Il y avait des fossés qui coulaient dans les rues, à partir desquels l'eau était fournie à certaines maisons. Il y avait aussi des puits. Chaque maison était raccordée à un réseau d'égouts. Les eaux usées étaient évacuées de la ville par des canalisations souterraines en briques cuites. Peut-être pour la première fois, des archéologues ont découvert ici d'anciennes toilettes publiques. Parmi les autres bâtiments, il convient de noter le grenier, un bassin pour les ablutions rituelles générales d'une superficie de 83 mètres carrés et une «citadelle» sur une colline - apparemment pour sauver les citadins des inondations. Il y avait aussi des inscriptions sur la pierre, qui n'ont cependant pas encore été déchiffrées.

Catastrophe

Qu'est-il arrivé à cette ville et à ses habitants ? En fait, Mohenjo Daro a immédiatement cessé d’exister. Il existe de nombreuses preuves de cela. Les squelettes de treize adultes et d'un enfant ont été retrouvés dans l'une des maisons. Les gens n'étaient ni tués ni volés ; avant leur mort, ils s'asseyaient et mangeaient quelque chose dans des bols. D’autres ont simplement marché dans les rues. Leur mort fut soudaine. D’une certaine manière, cela rappelait la mort de personnes à Pompéi.

Les archéologues ont dû abandonner les unes après les autres versions de la mort de la ville et de ses habitants. L'une de ces versions est que la ville fut soudainement capturée par l'ennemi et incendiée. Mais les fouilles n'ont trouvé aucune arme ni trace de la bataille. Il y a beaucoup de squelettes, mais tous ces gens ne sont pas morts à cause de la lutte. En revanche, il n’y a clairement pas assez de squelettes pour une si grande ville. Il semble que la plupart des habitants aient quitté Mohenjo-Daro avant même la catastrophe. Comment cela a-t-il pu arriver ? Mystères complets...

"J'ai travaillé sur les fouilles de Mohenjo-Daro pendant quatre années entières", se souvient l'archéologue chinois Jeremy Sen. — La principale version que j'ai entendue avant d'y arriver est qu'en 1528 avant JC cette ville a été détruite par une explosion d'une force monstrueuse. Toutes nos découvertes ont confirmé cette hypothèse... Nous avons croisé partout des « groupes de squelettes » - au moment de la mort de la ville, les gens étaient clairement surpris. L'analyse des restes a montré une chose étonnante : la mort de milliers d'habitants de Mohenjo-Daro est survenue... suite à une forte augmentation des niveaux de radiation.

Les murs des maisons ont fondu et parmi les décombres nous avons trouvé des couches de verre vert. C'est le genre de verre qui a été observé après des essais nucléaires sur le site d'essais du désert du Nevada, lorsque le sable a fondu. Tant l'emplacement des cadavres que la nature des destructions à Mohenjo-Daro rappelaient... les événements d'août 1945 à Hiroshima et Nagasaki... Moi-même et de nombreux membres de cette expédition avons conclu : il est possible que Mohenjo -Daro est devenue la première ville de l'histoire de la Terre à être soumise à un bombardement nucléaire.

Couche fondue

Un point de vue similaire est partagé par l'archéologue anglais D. Davenport et le chercheur italien E. Vincenti. L'analyse d'échantillons prélevés sur les rives de l'Indus a montré que la fonte du sol et de la brique s'est produite à une température de 1 400 à 1 500°C. À cette époque, une telle température ne pouvait être obtenue que dans une forge, mais pas dans un vaste espace ouvert.

Que disent les livres saints ?

C'était donc une explosion nucléaire. Mais était-ce possible il y a quatre mille ans ? Cependant, ne nous précipitons pas. Tournons-nous vers l'ancienne épopée indienne « Mahabharata ». Voici ce qui se produit lorsque l’arme mystérieuse des dieux Pashupati est utilisée :

« ... la terre a tremblé sous nos pieds et a commencé à trembler avec les arbres. Le fleuve s'agitait, même les grandes mers s'agitaient, les montagnes craquaient, les vents se levaient. Le feu s'est atténué, le soleil radieux s'est éclipsé...

Une fumée blanche et brûlante, mille fois plus brillante que le soleil, s'élevait avec un éclat infini et brûlait la ville. L'eau bouillait... les chevaux et les chars de guerre étaient brûlés par milliers... les cadavres de ceux qui tombaient étaient mutilés par la chaleur terrible au point qu'ils ne ressemblaient plus à des personnes...

Gurka (divinité - ndlr), arrivant sur un vimana rapide et puissant, envoya un projectile chargé de toute la puissance de l'Univers contre trois villes. Une colonne étincelante de fumée et de feu s'enflamma comme dix mille soleils... Les morts étaient impossibles à reconnaître, et les survivants ne vécurent pas longtemps : leurs cheveux, leurs dents et leurs ongles tombèrent. Le soleil semblait trembler dans le ciel. La terre tremblait, brûlée par la chaleur terrible de cette arme... Les éléphants s'enflammèrent et coururent follement dans différentes directions... Tous les animaux, écrasés au sol, tombèrent, et de toutes parts les flammes pleuvaient continuellement et sans pitié. »

Eh bien, on ne peut qu'une fois de plus s'étonner des anciens textes indiens, qui ont été soigneusement conservés pendant des siècles et nous ont apporté ces terribles légendes. Les traducteurs et les historiens de la fin du XIXe et du début du XXe siècle considéraient la plupart de ces textes comme de simples contes de fées étranges. Après tout, les missiles à tête nucléaire étaient encore loin.

Au lieu de villes, il y a un désert

À Mohenjo-Daro, de nombreux sceaux sculptés ont été trouvés, qui représentaient généralement des animaux et des oiseaux : singes, perroquets, tigres, rhinocéros. Apparemment, à cette époque, la vallée de l’Indus était couverte de jungle. Maintenant, il y a un désert là-bas. Les anciennes grandes Sumer et Babylonie ont également été ensevelies sous des congères de sable.

Les ruines de villes antiques sont cachées dans les déserts d’Égypte et de Mongolie. Les scientifiques découvrent désormais des traces d'implantations en Amérique dans des zones totalement impropres à la vie. Selon d'anciennes chroniques chinoises, des États hautement développés étaient autrefois situés dans le désert de Gobi. Des traces de bâtiments anciens se retrouvent même dans le Sahara.

À cet égard, la question se pose : pourquoi des villes autrefois florissantes se sont-elles transformées en déserts sans vie ? Le temps est-il devenu fou ou le climat a-t-il changé ? Disons. Mais pourquoi le sable a-t-il fondu ? C'est ce type de sable, transformé en une masse vitreuse verte, que les chercheurs ont découvert dans la partie chinoise du désert de Gobi, dans la région du lac Lop Nor, dans le Sahara et dans les déserts du Nouveau-Mexique. La température nécessaire pour transformer le sable en verre n’existe pas naturellement sur Terre.

Mais il y a quatre mille ans, les hommes ne pouvaient pas posséder d’armes nucléaires. Cela signifie que les dieux l'avaient et l'utilisaient, en d'autres termes, des extraterrestres, des invités cruels venus de l'espace.

Vasily MITSUROV, candidat en sciences historiques

Ou Mahenjadara (traduit par « colline des morts ») - une ville de la civilisation de la vallée de l'Indus, née vers 2600 avant JC. e. Situé au Pakistan, dans la province du Sind. C'est la plus grande ville antique de la vallée de l'Indus et l'une des premières villes de l'histoire de l'Asie du Sud, contemporaine de la civilisation de l'Égypte ancienne et de la Mésopotamie.

Mohenjo-Daro a été découverte en 1920 avec la ville de Harappa au Pakistan. Les villes étaient clairement construites selon la tradition védique.

La ville de Mohenjo-Daro - histoire et photos

Mohenjo-Daro se distingue parmi les autres centres de la civilisation de l'Indus par sa disposition presque idéale, l'utilisation de briques cuites comme principal matériau de construction, ainsi que la présence de structures d'irrigation et religieuses complexes. Entre autres bâtiments, il convient de noter le grenier et le « grand bassin » pour les ablutions rituelles d'une superficie de 83 mètres carrés. m. et une « citadelle » surélevée (apparemment destinée à la protection contre les inondations).
La largeur des rues de la ville atteignait 10 m.

Presque les premières toilettes publiques connues des archéologues ont été découvertes, ainsi que le système d'égouts de la ville. Une partie du territoire de la ville basse, où s'installaient les roturiers, fut finalement inondée par l'Indus et reste donc inexplorée.

Une découverte il y a 5 000 ans a prouvé qu’une civilisation très développée existait dans ces lieux. Et une culture établie depuis des siècles. Jugez par vous-même si la ville de haute civilisation a 5 000 ans, alors la civilisation elle-même ne pourrait pas surgir en un jour, et cette civilisation a une préhistoire tout aussi longue. Ce qui signifie que la civilisation et l’intelligence qui ont construit ces villes sont encore plus anciennes. Une simple conclusion logique en découle. Que nous pouvons ajouter en toute sécurité 2000 ans à l’âge des villes trouvées.

Mystères de Mohenjo-Daro

Au total, l’âge de la civilisation elle-même n’était pas inférieur à 7 000 ans.
Le plus intéressant est que la ville a été détruite par une explosion nucléaire. Dans les os des squelettes découverts sur le site de fouilles de la ville, le niveau de rayonnement était plusieurs fois plus élevé. La rivière qui coulait à proximité s'est évaporée en un instant.

Depuis de nombreuses décennies, les archéologues s'inquiètent du mystère de la mort de la ville de Mohenjo-Daro en Inde, il y a 3 500 ans. En 1922, l'archéologue indien R. Banarji a découvert des ruines antiques sur l'une des îles de l'Indus. Ils nommèrent les ruines qui leur donnèrent naissance.

Déjà alors, des questions se posaient : comment cette grande ville a-t-elle été détruite, où sont passés ses habitants ? Les fouilles n’ont répondu à aucune d’entre elles…
Découvrez une autre structure intéressante du passé qui reste sans réponse -.

Les ruines des bâtiments ne contenaient pas de nombreux cadavres de personnes et d'animaux, ainsi que des fragments d'armes et des signes de destruction. La seule évidence est que la catastrophe s’est produite soudainement et n’a pas duré longtemps.

Le déclin de la culture est un processus lent ; aucune trace d'inondation n'a été trouvée. De plus, il existe des données incontestables indiquant des incendies massifs. L'épidémie ne frappe pas soudainement et simultanément les gens qui marchent tranquillement dans les rues ou qui font des affaires. C'est exactement ainsi que cela s'est produit - cela est confirmé par l'emplacement des squelettes. Les études paléontologiques rejettent également l'hypothèse épidémique. On peut également, avec raison, rejeter la version d'une attaque soudaine des conquérants ; aucun des squelettes découverts ne comporte de traces laissées par des armes blanches.

Mohenjo-daro - explosion nucléaire

Probablement, le sable et l'argile, sous l'influence de températures élevées, ont d'abord fondu puis instantanément durci. Les mêmes couches de verre vert apparaissent à chaque fois dans le désert du Nevada (États-Unis) après une explosion nucléaire. L'analyse des échantillons réalisée à l'Université de Rome et au laboratoire du Conseil national italien de la recherche a montré que la fusion s'est produite à une température de 1 400 à 1 500 degrés. Une telle température à l'époque pouvait être obtenue dans la forge d'un atelier métallurgique, mais pas dans un vaste espace ouvert.

Si vous examinez attentivement les bâtiments détruits, vous avez l'impression qu'une zone claire se dessine - l'épicentre, dans lequel tous les bâtiments ont été emportés par une sorte de bourrasque. Du centre vers la périphérie, les destructions diminuent progressivement. Les bâtiments périphériques sont les mieux conservés. Bref, le tableau n’est pas sans rappeler les conséquences des explosions atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki.

Est-il concevable de supposer que les mystérieux conquérants de la vallée de l’Indus possédaient l’énergie atomique ? Une telle hypothèse semble incroyable et contredit catégoriquement les idées de la science historique moderne. Cependant, l'épopée indienne « Mahabharata » parle d'une certaine « explosion » qui a provoqué « une lumière aveuglante, un feu sans fumée », tandis que « l'eau commençait à bouillir ». et les poissons étaient carbonisés. » Qu’est-ce que c’est – juste une métaphore. Le D Davenport estime que c’est essentiellement le cas. quelques événements réels.

Ville de Mohenjo-daro occupait une superficie d'environ 259 hectares et constituait un réseau de blocs (l'exemple le plus ancien d'un tel tracé), séparés par de larges rues avec un système de drainage développé, qui étaient divisées en plus petites et construites avec des maisons en briques cuites . La datation de cette colonie est encore un sujet de débat. La datation au radiocarbone et les liens avec la Mésopotamie permettent de le dater de 2300-1750. Colombie-Britannique

Lorsque les archéologues indiens D. R. Sahin et R. D. Banerjee purent enfin examiner les résultats de leurs fouilles, ils virent les ruines en briques rouges de la plus ancienne ville de l'Inde, appartenant à la civilisation proto-indienne, une ville assez inhabituelle à l'époque. sa construction - il y a 4,5 mille ans.
Il a été conçu avec le plus grand pédantisme : les rues étaient tracées comme le long d'une règle, les maisons étaient fondamentalement les mêmes, avec des proportions rappelant des boîtes à gâteaux. Mais derrière cette forme de « gâteau » se cachait parfois une telle conception : au centre il y avait une cour, et autour d'elle il y avait quatre à six salons, une cuisine et une salle pour les ablutions (les maisons avec cette disposition se trouvent principalement dans Mohenjo-Daro, la deuxième grande ville).

Les cages d'escalier conservées dans certaines maisons suggèrent que des maisons à deux étages ont également été construites. Les rues principales avaient une largeur de dix mètres, le réseau de passages obéissait à une règle unique : certains s'étendaient strictement du nord au sud, et les transversaux - d'ouest en est.

Mais cette ville monotone, tel un échiquier, offrait aux habitants des commodités inouïes à cette époque. Des fossés traversaient toutes les rues et à partir d'eux, l'eau était fournie aux maisons (bien que des puits aient été trouvés à proximité de beaucoup). Mais plus important encore, chaque maison était reliée à un système d'égouts posé sous terre dans des canalisations en briques cuites et transportant toutes les eaux usées en dehors des limites de la ville.

Il s'agissait d'une solution technique ingénieuse qui permettait à de grandes masses de personnes de se rassembler dans un espace assez limité : dans la ville de Harappa, par exemple, vivaient parfois jusqu'à 80 000 personnes. L’instinct des urbanistes de l’époque était vraiment étonnant ! Ne connaissant rien aux bactéries pathogènes, particulièrement actives dans les climats chauds, mais ayant probablement accumulé une expérience d'observation, ils ont protégé les colonies de la propagation de maladies dangereuses.

J'aime beaucoup les drames historiques, en particulier ceux qui se concentrent sur des périodes plus anciennes de l'existence humaine.

Le film "Mahenjo-Daro" devrait être tourné selon tous les canons de ce genre; tout l'historicisme et l'événementiel sont concentrés sur un personnage historique, doté de toutes les qualités positives. Il est beau, et fort, et courageux, et intelligent, et moyennement rusé, et gentil et courageux, en général, il n'est doté d'aucune qualité humaine sauf le désir d'aimer et de recevoir l'objet de son désir.

L'intrigue ne contient rien d'autre que le cardinal, comme c'est toujours le cas ; le héros, injustement privé de son trône et aliéné de celui-ci, dans l'ignorance totale de ce qui est arrivé à ses parents, vient faire du commerce dans la majestueuse ville de Mahenjo-daro. . Et il y trouve tout ce qu'il cherchait. Et la belle fille Chaani, et l'histoire de son origine et de son destin, et bien sûr, elle devient la sauveuse de toute la population de la ville, participant simultanément à la création du grand Gange. Tout cela sur fond de ville antique, avec des chants, des danses, des rituels bizarres (plus fantastiques que réels), des combats, des méchants aux yeux d'insectes, etc.

J'ai plutôt détesté le film que je l'ai aimé.

Scénario C’est comme si c’était écrit sur le genou, je ne sais pas pour l’exactitude historique, mais pour l’évolution des personnages, c’est très mauvais. Il semble qu’ils aient davantage travaillé sur l’apparence de chaque personnage que sur l’intérieur, ce qui n’est pas typique du cinéma indien. Tous les héros sont dépourvus d’humanité et semblent donc vides.

Peut-être à cause d'un défaut du scénario, tous les acteurs semblent plutôt faibles et tendus.

Hrithik Roshan (protagoniste Sarman) essaya de toutes ses forces d'extraire au moins quelque chose de cette image, fit briller ses yeux avec diligence et rejeta pompeusement son menton en arrière, remuant avec colère ses narines. Mais il n'a pas été possible de créer une image à part entière. Il est en excellente forme physique, comme toujours, un travail incroyable dans les scènes de combat, comme toujours, un grand sens du rythme et de la danse, mais c'est tout, il n'y a pas d'expérience interne, il n'y a pas de poussée émotionnelle de l'écran qui ferait le le spectateur se réjouit un peu.

Pooja Hegde (Chaani) Eh bien, il n'y a aucun effort du tout. Très mauvais, la beauté extérieure seule ne suffit pas, un regard attentif sur la caméra ne suffit pas, vide. Surtout quand il y avait des sanglots ou des discours pathétiques, horreur. Le rôle n'est pas aussi grand qu'il y paraît et pas aussi complexe, oui Chaani est la bien-aimée du personnage principal, et c'est son mariage qui a poussé Sarman à faire de grandes choses, mais où est l'émotion ? Où??? J'ai eu une association de bruit blanc dans ma tête quand je l'ai vue. Il n’y a aucune émotion, aucun message, aucune passion, aucun amour global, aucune inspiration. La seule chose qui a parfaitement fonctionné, je ne sais pas comment ils ont fait, c’est la scène de l’étranglement de Chaani, très réaliste. Peut-être qu'ils l'ont vraiment étranglée un peu pour faire sortir au moins quelque chose (sarcasme, colère).

Kabir Bedi (Maham) un méchant méchant, très méchant et très indien. D'une manière ou d'une autre, il m'a rappelé le principal méchant indien Amrish Puri lorsque ses yeux se sont écarquillés. Kabir a travaillé autant que le réalisateur le permet, encore une fois, les défauts ne viennent pas de l'acteur, mais plutôt du scénariste et du réalisateur, il n'y a pas de motif clair ni d'évolution de sa colère. Pourquoi il y avait tant d'avidité en lui, d'où le développement de la colère envers le monde entier, il n'y a pas d'idée générale.

Arunodai Sinkh (Munja) l'un des rares à avoir des émotions et des expériences plus ou moins claires. Un bel héritier barbu d'un faux dirigeant, avec des ambitions autant de pouvoir que d'amour personnel. Il y a du bon et du mauvais, les hésitations morales du héros sont montrées, ce qui donne à l'image de Munji des traits plus réalistes. Ce que le personnage principal n’a pas, la question est pourquoi ? Après tout, Hrithik est beaucoup plus expérimenté.

Manish Chaudhary (prêtre) ont attiré l'attention dans "Je jure par toi, mon amour", mais là encore ils n'ont pas eu le droit de s'ouvrir ; on a eu l'impression que l'acteur était un peu à l'étroit dans cette image. Parmi toutes les expressions faciales disponibles, l'acteur était le plus susceptible de recevoir le masque de "surprise", "extrême surprise", "découragement", "surprise timide".

Je ne me souviens pas du nom de la femme du méchant, encore moins de l’actrice qui l’incarnait, mais elle est la seule à pouvoir obtenir un 6,0 en technique et en jeu. Image vivante et complète, apparemment en raison de l'insignifiance du personnage, ils ont trouvé le temps de plénitude intérieure.

Certaines scènes étaient complètement déroutantes :

1. Scène avec Chaani marchant dans des vêtements simples. Pourquoi détruit-elle tout autour ? Pourquoi verse-t-elle de l'eau sur les passants, brise-t-elle les marmites des artisans et gâche-t-elle les biens des étrangers ? Pourquoi??? Elle est sortie pour la première fois dans des vêtements simples, personne ne la reconnaîtrait, et au lieu de curiosité, d'insouciance, de joie, il y avait du hooliganisme pur et simple. Ce n'est pas clair ! Cela ne caractérise en rien l’héroïne, n’exprime en aucune façon un sentiment de liberté et va également à l’encontre de son image décente.

2. Scène avec Maham coupant la corde avant le déluge. Eh bien, il avait déjà commencé à couper, alors pourquoi ne l'a-t-il pas terminé, je comprends, ils voulaient montrer sa lutte jusqu'au bout, une faible lueur d'espoir de salut, mais pourquoi est-il resté sur le poteau ? Cela aurait été beaucoup plus fort s'il avait coupé la corde et commencé à courir, et que le jet d'eau l'avait rattrapé quelque part dans la ville ou à la sortie de la ville. J’ai eu le sentiment qu’ils essayaient de le représenter, rien d’autre ne leur venait à l’esprit, ils ont commencé à le faire et à la fin ils ne l’ont pas terminé et l’ont oublié.

3. Ce n'est pas la scène, mais ce qui m'a choqué, c'est que la tenue du personnage principal change cinq fois lors de son séjour à Mahenjo-Daro ! Comment?! c'est un simple paysan, les vêtements étaient alors chers, ou plutôt, d'où venait tant de choses ? Et la coiffure de Chaani ne change que trois fois ! et puis l'un d'eux est le mariage. À mon avis, cela ressemble à un défaut ou à un traitement excessif.

4. Toutes les scènes de licorne ! Pourquoi l'infographie ? Pour quoi? La corne du turban de Sarman semblait beaucoup plus réaliste que celle de cette créature. Ce n’est pas qu’il n’y avait pas assez de réalisme, il n’y avait pas assez de beauté et d’esthétique chez cet animal, car la licorne est un symbole sacré et inspirant.

Ce que j'ai vraiment aimé : la musique et la danse !

Le film ressemble plus à la thèse de quelqu'un avec un gros budget. Je peux la comparer à une poire non mûre, que j’ai achetée assez cher. D'une part, il y a de la portée et des acteurs célèbres, et c'est seulement pour cette raison que vous essayez de trouver au moins quelque chose de digne, mais hélas. Même un prix élevé ne fera pas mûrir une poire verte.

La ville de Mohenjo-Daro est un autre trésor des civilisations anciennes et preuve de leur existence. La ville est située dans la vallée de l'Indus, notamment au Pakistan, dans la province du Sind. La ville de Mohenjo-Daro est l'une des plus anciennes villes du monde et la toute première ville d'Asie du Sud. ( 11 photos)

La ville a été construite 2 000 ans avant JC, a vécu et s'est activement développée pendant environ neuf cents ans. La ville est encore entourée de mystère, on sait très peu de choses sur elle et de nombreuses questions restent ouvertes : qui l'a construite ? quand exactement ? Comment ont-ils réussi à construire une telle ville ? et la question principale est pourquoi la ville a été abandonnée par ses habitants ? Jusqu'à présent, Mohenjo-Daro est le sujet principal parmi les archéologues et les historiens. On pense que Mohenjo-Daro était « le centre administratif des anciens habitants de la civilisation indienne.

Seuls quelques vestiges de la ville ont survécu à ce jour ; vous comprenez vous-même combien de temps s'est écoulé, mais grâce aux dernières technologies, les scientifiques ont pu établir qu'environ 50 000 personnes vivaient dans la ville. C'est une très grande ville pour l'époque. La ville était faite de briques d'argile, n'est-ce pas intéressant, 2000 avant JC, ce sont des briques, et pas seulement des sortes de gâteaux, mais des briques cuites. Par la suite, les résidents locaux les ont volés pour construire leurs maisons et répondre à tous leurs besoins.

Il est également surprenant que la ville ait déjà à cette époque une orientation architecturale claire, toutes les ruelles et rues étaient clairement mesurées et avaient un angle droit, la ville n'avait pas d'impasses ni de labyrinthes incompréhensibles, comme nous pouvons le voir dans d'autres villes anciennes. . Les rues de la ville étaient clairement coordonnées et la longueur était de 8 mètres, c'est-à-dire que sur une telle route, deux charrettes pouvaient facilement se croiser, il n'y avait donc pas de foule dans la rue.

Les qualités uniques de l'architecture incluent la présence d'une nationalisation centralisée et d'un approvisionnement complet en eau. Ils pensaient que le premier et le seul approvisionnement en eau était apparu dans la grande Rome antique, comme vous pouvez le constater, les anciens habitants de Mohenjo-Daro ont également atteint ce stade de développement. Plus précisément, la ville disposait de « bains publics » équipés d'un approvisionnement en eau chaude ; la plupart des maisons disposaient également d'un approvisionnement en eau primitif (pour notre époque) et non constant, mais cela témoigne quand même de la haute intelligence de la civilisation. Toutes les eaux usées s'écoulaient dans des fosses de drainage spéciales, généralement situées à l'extérieur de la ville.

La hauteur des maisons atteignait 7 mètres de hauteur, l'architecture de la ville avait une forme de structures assez claire, la ville était même divisée en deux niveaux, bien sûr, la vie principale se déroulait en bas, mais les maisons avaient un deuxième étage , et le toit des premiers étages servait de balcons. La ville était également très développée économiquement, Mohenjo-Daro était dans une excellente position géographique, à côté se trouvait le fleuve Indus, en fait, Mohenjo-Daro était un centre commercial, les commerçants venaient ici de toute l'Asie pour échanger des marchandises.

Un grand bâtiment avec de bons passages de ventilation a également été découvert, il s'agissait peut-être d'une grange pour stocker le grain. On peut supposer que la religion dans la ville était également à un niveau particulier ; une ancienne mosquée a été trouvée, à laquelle mène une longue rue. Malheureusement, la majeure partie de la ville est désormais submergée sous une couche de limon de plusieurs mètres ; les fouilles sont également entravées par les eaux souterraines qui recouvrent la ville.

On ne sait pas pourquoi une civilisation aussi intelligente et développée a disparu sans laisser de trace, tous les gens se sont littéralement évaporés, les archéologues n'ont trouvé les restes que d'environ 2 000 personnes sur 50 000. Il existe diverses théories à ce sujet, peut-être que les gens ont simplement quitté le pays. ville en raison du lit de la rivière en crue constante, c'est une opinion née après la découverte d'un grand mur, avec lequel les habitants auraient peut-être tenté de se protéger des inondations.

Les restes des citadins ont été retrouvés complètement intacts, c'est-à-dire qu'ils ne sont pas morts de mort violente et aucun reste d'arme n'a été retrouvé dans la ville. Ce qui annule automatiquement la théorie de l'attaque de la civilisation aryenne. Les amoureux du monde mystique revendiquent activement le déplacement de personnes vers une autre époque et l'enlèvement de personnes par des extraterrestres.

On ne sait pas avec certitude pourquoi la ville a été abandonnée, peut-être s'agissait-il d'un tremblement de terre d'une force sans précédent, ou d'une décharge unique de plusieurs éclairs en boule, la force de l'explosion peut être assimilée à une explosion nucléaire. Les restes des habitants étaient radioactifs, ce qui permet aux scientifiques d'affirmer l'explosion d'une bombe atomique, mais quel genre de bombe il y avait à cette époque, ce n'est du moins pas logique, cela signifie une sorte d'explosion d'origine naturelle, une décharge de électricité en option.

Malgré tous les efforts des archéologues et des historiens sur comment et pourquoi la ville a été abandonnée, Mohenjo-Daro s'obstine à garder tous ses secrets. Et on ne peut que deviner et commenter l'article)