Citations d'Elchin. C'est ce qu'il est...

Elchin Safarli est l'un des écrivains les plus célèbres et les plus jeunes d'Orient ; la presse l'a qualifié de « découverte littéraire de 2008 ». Dès l'âge de 12 ans, il publie sous un pseudonyme dans des journaux jeunesse, écrivant de petites histoires poignantes directement sur son bureau d'école. Auteur des livres à succès « Le sel doux du Bosphore » et « Là sans revenir ». Dans ses livres, il parle du destin des gens ordinaires, des traditions orientales, de la culture, de la vie et de l'amour. C'est peut-être la raison de sa popularité parmi les amateurs de littérature moderne.

Parfois, je pense que ce serait mieux si tu n’existais pas, et alors je comprends qu’il n’y a pas de meilleure personne que toi.

Les gens s’associent trop au sexe, alors que la véritable intimité est plus profonde. Elle est au contact doux, au regard calme et respire même à proximité.

Je ne regrette toujours rien, ne serait-ce que parce que cela ne sert à rien.

Aimer quelqu'un, c'est vouloir son bonheur d'abord et ensuite le vôtre.

Ne savez-vous pas que tout est fait pour le mieux ? Juste très lent. Il faut avancer et ne pas traîner avec nous des valises pleines du passé. Il n’y aura pas assez de mains et vous vous essoufflerez à mi-parcours.

La vie est comme une petite couverture : si vous la remontez, vos pieds deviennent froids, si vous la baissez, votre tête devient froide. Celui qui se recroqueville sait vivre.

Parfois, il faut ne pas savoir quelque chose ou rater quelque chose pour rester heureux.

La recherche épuisante d'un être cher n'importe où et n'importe où, même lorsque l'on connaît sa localisation précise, est ce qu'il y a de plus irrésistible dans le désir.

Dans la langue turque, il existe un mot « huzur », il a deux significations : « paix » et « connexion interne de l'homme avec le Créateur ». Avez-vous la connexion ? Celui qui entre en contact avec le Suprême est calme, plein d'amour. Le reste n’est que vanité terrestre.

A une certaine période de la vie, nous rencontrons une certaine personne qui est nécessaire précisément pendant cette période. Une loi d’attraction si étrange, un salut si mutuellement bénéfique. On passe du temps ensemble, puis on se sépare définitivement. Parce que chacun de nous a besoin d’avancer, d’entrer dans une nouvelle période de son destin.

Entendre le silence en réponse est la chose la plus douloureuse pour une femme. Il vaut mieux le laisser dire qu’il n’est plus amoureux. Il vaut mieux le repousser avec un mot offensant et crier : « J'en ai marre de ton amour ! Tout sauf le silence. Ça tue.

Je ne connais qu'une seule raison à la rupture de la relation, cela n'a rien à voir avec le cachet du passeport. Euphémisme. Tout commence avec elle. Les mots, les émotions, les soupçons, les doutes sont retenus, restent à l'intérieur, pourrissent. Cela peut durer plusieurs années, puis une explosion - et rien que du vide.

Il n’y avait aucune raison pour cette séparation ; la vie est simplement arrivée à leur amour.

L'enfance est quelque chose que nous avons perdu avec le temps, mais que nous avons gardé en nous.

Chaque femme cherche son reflet dans les yeux d’un homme. Et quiconque dit qu'elle a trouvé sa place dans le travail, les enfants, la psychologie ou le tricot nous trompe. Le Créateur a fait en sorte qu'une femme naisse et continue à vivre sans fin - dans les bras d'un homme.

N'abandonnez pas les animaux... s'il vous plaît, ils sont les plus fidèles et vous aiment, peu importe qui vous êtes ou combien d'argent vous avez.

Nous, les femmes des grandes villes, sommes devenues trop hommes. Nous nous sommes débarrassés du désir de faire confiance au sexe opposé, de montrer la faiblesse qui est en nous par nature, peu importe à quel point nous discutons avec lui. Nous avons peur de nous admettre à quel point nous avons parfois envie de serrer quelqu'un dans nos bras et de lui mettre le nez dans la joue.

Fils, souviens-toi, un homme ne devrait pas forcer une femme à vivre dans l’incertitude. Alors l’amour sera définitivement remplacé par la haine, tôt ou tard. Ils savent aimer même en attendant. C'est nous, les hommes, lorsqu'une femme part pendant un certain temps, nous commençons à chercher mentalement ou ouvertement un remplaçant. Si vous savez que vous ne reviendrez pas, mieux vaut dire la vérité. Elle pleurera, mais elle l'acceptera. Ne la négligez pas. C’est quelque chose que les femmes ne méritent certainement pas.

Le bonheur est un trait de caractère. Certaines personnes ont dans leur nature de l’attendre tout le temps, d’autres de le chercher constamment, et d’autres encore de le trouver partout.

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***** Le fait que nous devons avancer – malgré et malgré tout. Qu’il n’y a pas de chagrin qui ne puisse être enduré, avec entêtement et durement. Que les femmes sont bien plus fortes que les hommes, précisément parce qu’elles sont capables de se sacrifier et de donner, ne recevant parfois que très peu en retour.
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La vie à deux est bien plus heureuse lorsque le désir de comprendre est plus important que d'être compris
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La pluie n’est pas seulement une eau paradisiaque. Je pense que la pluie est toujours une sorte de signe...
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La peur de l'amour surgit après que vous ayez appris par votre propre expérience qu'il y a encore plus d'anxiété langoureuse et de tristesse lancinante dans l'amour que de joie. Et maintenant je pense que se laisser aimer est bien plus profitable que s'aimer soi-même...
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Les portes ne nous ouvrent qu'une seule fois, le reste du temps nous devons les ouvrir nous-mêmes...

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Il n’y a rien de plus éloquent que des touches silencieuses.
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"Elle ne parlait pas comme elle le pensait. Elle n'était pas ce que beaucoup de gens pensaient."
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Mon amour pour lui confinait à la gratitude. Je voulais dire « merci » sans arrêt. Pour le fait qu'il m'a réappris à rire, a déclenché mes mécanismes mentaux, a ravivé la volonté de vivre, m'a tiré à la surface de l'océan, où, il s'est avéré, il y a l'été éternel, la tendresse se répand dans l'air, et l'aube s'épanouit de gemmes de caramel.
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"Une femme désireuse est imprévisible. Une femme désireuse est comme un Rubik's cube qu'une seule personne peut résoudre"

- Fils, souviens-toi, un homme ne devrait pas forcer une femme à vivre dans l'incertitude.
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Lorsque vous faites tout comme le souhaite même la personne la plus proche, ce n’est pas que ce soit inintéressant, mais ce n’est tout simplement pas votre vie, et tôt ou tard, cela se transformera en déception.
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Peut-être que vous n’étiez pas un homme idéal (ce que, en principe, vous ne prétendiez pas être). Peut-être que vous n'êtes pas devenu mon fidèle partenaire de vie (ce que, en principe, vous n'avez pas recherché). Peut-être que vous ne m'attendrez plus au carrefour des voies de trolleybus (pour lesquelles, en principe, vous ne vous battez pas). Quoi qu'il en soit, dans la maison de fous de ma mémoire, tu étais et restes le seul homme que moi, apparemment une femme à part entière, j'ai imité et imiterai. Rien de drôle, ce n’est pas du tout absurde. Une femme aimante est souvent imprégnée des intérêts et de tout le psychisme de son homme bien-aimé, voulant créer l'effet d'une « véritable âme sœur ».
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Notre garantie était l'amour. Même si c'est le plus simple de ses types...
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J'ai tellement envie de lui parler de mon rêve. Qu’on ne peut pas le remettre à plus tard, qu’abandonner un rêve à cause de « quelque chose d’important », c’est en réalité abandonner à cause de sa propre lâcheté. Ne croyez pas en votre force, préférez le marais chaud habituel. Je me retiens. Elle doit prendre sa propre décision. N'importe lequel
nous faisons le choix nous-mêmes. Oui, cela dépend des circonstances, des connaissances, des opportunités. Mais peu importe sur quoi nous nous appuyons pour faire ce choix, c’est à nous de vivre avec les résultats.
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Avoir honte de ses propres larmes signifie ne pas reconnaître ses sentiments.
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Mais même dans ces fonctionnalités ordinaires, qui ne sont ni les meilleures ni les plus utiles, j'ai vu un naturel inhabituellement doux et attrayant. Le négatif attire généralement plus que le positif.
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Sans amour, il fait noir même avec les lampes les plus puissantes...
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Attendre son bonheur personnel, c'est comme attendre un train électrique sur le quai d'une gare de province. Malgré l'horaire exact, le train arrivera certainement. On ne sait pas exactement quand. Peut-être une demi-heure de retard. Peut-être avec un retard d'urgence dû à des circonstances d'urgence. L’amour aussi. Cela s’immisce dans le destin d’une personne contrairement au calendrier de la vie. On visite tôt. Un autre un peu plus tard. Pour certains, c'est trop tard. L’amour atteindra certainement chacun de nous. Un fait incontestable, contesté par des gens sans confiance en eux-mêmes...

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Lâcher prise ne veut pas dire oublier.
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C'est ainsi que cela se passe le plus souvent dans la vie : d'abord vous le voulez, vous le voulez, puis vous l'obtenez - et à la fin vous pensez : qu'en faire ?
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Les livres donnent du bonheur aux gens et deviennent un refuge contre la réalité. Les livres sont les meilleurs amis de la plupart des femmes, pas les diamants. Quand on manque d’amour, on se lance dans un roman d’amour. Quand on a envie de s'oublier, on se plonge dans un roman policier passionnant...
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Je ne t'ai pas vu depuis longtemps. J'ai changé mon numéro de téléphone et supprimé tous vos contacts.
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J'ai appris à me retenir lorsque des larmes involontaires trahissent la mélancolie et à cacher mes mains dans mes poches lorsqu'elles serraient naturellement les poings de rage. Je réponds joyeusement aux questions, je communique avec les gens et je danse parfois lorsque la musique est joyeuse et ne ressemble pas à nos chansons. Je travaille aussi beaucoup. Tout semble bien, mais ce n'est que... un jeu.
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Si le passé ne lâche pas prise, c’est qu’il n’est pas encore passé.
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Les relations amoureuses sont comme du caillé moelleux, dont le goût déjà familier peut être modifié à l'aide de divers fruits secs. Cette fois des raisins secs, et la prochaine fois des abricots secs... Un fantasme si séduisant. On s’y jette, sachant où tout va nous mener. Toute l'incertitude de l'amour ne réside que dans le timing... Soit vous mangez le fromage blanc et il s'épuise, soit vous hésitez et il expire tout simplement.
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Tout le monde fait des erreurs, ce n’est pas pour rien que les crayons ont des gommes.
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L'amour se porte en soi et non avec soi.
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"L'amour malheureux, c'est comme... un mal de gorge. Tout à fait compatible avec la vie, c'est juste désagréable, mais il est impossible de ne pas y penser. Le thé au citron et au miel aide pendant un moment, et aussi le temps et le silence. Quand tu parles, ça fait seulement plus mal - ça coupe même le souffle. Par conséquent, il vaut mieux s'asseoir et l'écrire. Avec chaque lettre, la chose douloureuse devient douloureuse. C'est vrai, vous ne le ressentirez pas tout de suite - l'effet vient un peu. plus tard."
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« Souvent, ils nous attendent exactement là où nous ne voulons pas revenir. »
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Ne savez-vous pas que tout est fait pour le mieux ? Juste très lent.

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Il faut avancer et ne pas traîner avec nous des valises pleines du passé. Vous n’aurez pas assez de mains et vous vous essoufflerez à mi-parcours. Le temps est la façon dont l’Univers teste nos désirs de vérité. C’est probablement la raison pour laquelle nous n’obtenons presque jamais tout en même temps.
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Effrayé rien. Changez les feuilles, mais gardez les racines. En direct autres...
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- c'est une vraie folie. C'est le plus grand amour erreur Femmes capable
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en direct moments, mais aucun d’entre eux ne peut s’en satisfaire. Les femmes aspirent toujours à plus, même si elles en parlent rarement. Amour fait une femme faible. Sage femmes.
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- ce sont ceux qui font passer la faiblesse pour loyauté.. J'ai peur du mot "
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Mon conseil pour toi n'est rien ne planifie pas. Il suffit de suivre le courant et de sourire.
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C'est impossible de se réveiller fort le matin personne- J'aimerais qu'il en soit ainsi, mais c'est impossible. Mais vous pouvez arrêter de vous cogner la tête contre le même mur et changer la direction du mouvement. S'il n'y a pas de route vers l'ouest, il vaut mieux aller vers l'est. Terre De toute façon rond- tôt ou tard, chacun arrivera à ce à quoi il devrait arriver.
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Plus vous tu attends, plus il est probable que vous attendiez pas là.
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en automne souvenirs remonter à la surface de l'esprit. À l’aide d’un projecteur de film mental, vous visualisez des images du passé. Loin d'être un film agréable, il est souvent douloureux. Il y a aussi du bien là-dedans : regarder le passé, sinon on regarde vers l'avenir. Les vaines illusions sont dissipées, l'immunité mentale est renforcée. Une certaine revalorisation des valeurs... L'automne est la seule chose temps année qui enseigne. Guérissez du passé, ne croisez pas les mains de chagrin, cherchez l’amour et attendez. L'automne est doté d'un cadeau guérison...
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C'est juste que j'étais finalement et irrévocablement convaincu que l'amour n'a pas de solution fixe. temps arrivée. Il n'est pas nécessaire de rester debout sur le quai pour essayer de monter dans un train arrivant. Suivez votre emploi du temps cœurs...
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Être fort. Ne le pose pas mains, même s'ils les coupent pour toi...
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Je n'avais besoin de rien d'autre de toi que de l'amour. Tellement ordinaire, humain. Pas de notes touchantes dans les bouquets de fleurs, pas de beaux mots à l'autre bout du fil, pas de « lapin » en peluche et « ensoleillé » des dizaines de fois par jour. Je voulais juste être proche de toi.
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Pouvez-vous imaginer je je suis jaloux de la pluie pour toi. Il peut vous toucher.
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En allemand, il existe un mot « hasslibe ». Selon le dictionnaire, cela se traduit par " sentiment oscillant entre l'amour et haine"C'est le sentiment que j'éprouve pour chacun de mes "aujourd'hui".
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en direct- ce n'est pas une situation. L'amour est récompense.
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"Votre" peuple reste avec vous, pour ainsi dire Toi peu importe à quel point il criait fort, peu importe à quel point il disparaissait. Ils Juste Il y a, ils sont heureux de vous ouvrir la porte, de vous tendre la main, de partager un sandwich.
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On dit que les trahisons sont le plus souvent le fait de ceux que vous protégez. poitrine.
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Nous avons peur de nous admettre à quel point nous avons parfois envie de serrer quelqu'un dans nos bras et de lui mettre le nez dans la joue. Vie C’est beau quand la joue de quelqu’un a besoin de ton nez.
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je en fait J'aime toi avec un amour impossible.
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Le manque de richesse n'est pas la pauvreté. La pauvreté est une soif de richesse.
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Il arrive que vous ne puissiez pas vous comprendre, mais vous tombez sur un livre - et il remet tout à sa place, brise les sceaux de âmes.
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Homme vraiment aimer femme, ne fouillera pas dans son passé
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Afin d'avoir toujours la conscience tranquille, vous n'avez pas besoin de le salir. Ce ne sont pas des vêtements, vous ne pouvez pas les laver. C'est dommage. – Safarli

J'ai appelé un taxi. Une voiture jaune s'est arrêtée. "Cette couleur signifie vraiment la séparation", ai-je pensé, et je lui ai dit : "Je serai bientôt de retour, ma chérie."

En règle générale, les femmes n’ont pas leurs propres principes. Elles écoutent leur voix intérieure, la voix du cœur et des hommes qu'elles aiment.

Elchin Safarli : « La présence d'un sourire sur votre visage n'est pas de la joie. Sa véritable manifestation réside dans une croyance inébranlable dans le meilleur, même lorsque cela semble impossible. « L'amour du fond du Bosphore »

Seul l’amour qui survit à la séparation peut être éternel. "L'amour du fond du Bosphore"

Tous nos rêves d’enfant déterminent en grande partie notre vie d’adulte. «Je reviendrai» – E. Safarli

Les personnes incapables de prouver leur vision de la réalité sont qualifiées de folles. Après tout, il est difficile pour la société d'accepter la possibilité de l'existence de mondes qui lui sont inconnus, enfin, à l'exception du terrestre et du céleste.

Seule la personne qui nous a rendus les plus heureux peut nous rendre les plus malheureux.

Lisez la suite des citations et des aphorismes d'Elchin Safarli sur les pages :

L’amour m’a empêché de chercher des réponses dans les livres, d’essayer les histoires des héroïnes des autres, d’écouter des ballades musicales sentimentales avec la pensée : Dieu, c’est à propos de moi ! C'est tout à propos de moi ! Concernant les questions concernant votre propre destin, vous devez vous tourner vers votre cœur. Il frappe sagement de la première à la dernière seconde - comme un opérateur radio expérimenté envoyant d'importants messages cryptés dans les airs. Pourquoi faisons-nous confiance à quelqu’un d’autre qu’à nous-mêmes ? Le cœur connaît mieux ce qui est irrémédiablement disparu et l’espoir brillant. Et seulement après avoir perdu le contact avec lui, nous nous remplissons de cônes et récupérons les cicatrices.

Jaloux des pigeons. Leur liberté et leur confiance. Je ne suis pas en cage. Je suis libre avec les ailes coupées. Je peux décoller, mais pas m'envoler.

J'attends l'automne. Avec une telle impatience qu'elle est prête à lui sacrifier toutes les autres saisons. Et je ne regretterai pas du tout ce que j’ai fait. J'ai besoin d'automne. Très, très. Elle mettra en lumière ceux qui sont poussés dans le coin sombre de la survie. Elle ne vous obligera pas à répéter les mots cruels mais vrais : « Si nous sommes tous seuls, alors dans la solitude nous sommes tous ensemble. L'automne est appelé la saison de la tristesse. Je ne suis pas d'accord : la vraie tristesse vient avec l'été, quand il n'y a personne avec qui partager la générosité du soleil...

Le meilleur outil pédagogique est la vie dans ses manifestations les plus diverses. « Là sans y retourner »

L'amour rend une femme faible. Les femmes sages sont celles qui font passer leur faiblesse pour de la loyauté.

Il y aura une nouvelle épreuve... si vous survivez, vous obtiendrez le bonheur.

La journée de travail terminée, tout le monde se précipite chez soi. Certains attendent, certains sont attendus et certains espèrent être attendus. Le cycle éternel du destin, parfois injuste.

Je suis loin maintenant... mais qui sait... peut-être que je viendrai avec l'arôme du thé, peut-être que je deviendrai pluie et tomberai sur ta ville, peut-être que j'apparaîtrai devant toi comme le vent.. . Attendez!

Si la vie vous envoie des citrons aigres, construisez une usine de limonade et devenez riche !

Au fil des années, j’ai réalisé que dans la vie de famille, il faut pouvoir parler aux maris et s’intéresser aux désirs de chacun. Cela ne s'applique pas seulement au sexe. Le silence mène peu à peu à l'effondrement...

Je me regarde dans le miroir et dans le reflet, je ne me vois pas, mais toi. C'est comme ça que ça devrait être. Les amoureux deviennent le reflet l’un de l’autre. Je ne peux pas vivre sans toi et je sais que tu ne peux pas vivre sans moi. Ensemble pour toujours. Répétez après moi... Aide. "Pas de souvenirs sans toi"

J’essaie de rattraper le temps, de l’arrêter, de le serrer dans mes bras, mais c’est en vain. Il s'envole, s'emporte. Il sourit fièrement d'en haut, fier de sa supériorité. Et je comprends que le temps, en fait, est aussi imparable que l’amour. Et l'amour, comme le temps, ne peut pas être caché profondément, pendant longtemps - il percera encore, il se déclarera encore. Récompensera ou brûlera...

Mon espoir est... mmm... Même si le monde disparaît, nous nous retrouverons toujours... Même si les nuits disparaissent, nous brillerons comme des étoiles pendant la journée... C'est mon espoir. "Je reviendrai"

Amour. Un flot de gens qui se touchent et se divergent sans cesse avec des yeux tristes. Il m’est incroyablement difficile de croire que le sentiment le plus fort qui existe soit le plus éphémère. La prise de conscience m'est venue il y a longtemps, sans chagrin. Mais à chaque fois, en m'engageant sur le chemin d'un nouvel amour, je ferme les yeux, j'écris mentalement et j'efface deux questions dont personne ne connaît la réponse : combien de temps ?, combien de temps ?.

Les femmes laissent des nuits magiques aux hommes pour leur dire au revoir. Les traces des femmes sur le cœur des hommes. La veille de la séparation, elle s'est embrassée différemment que d'habitude. Ses baisers se figèrent sur mon corps, comme des flocons de neige sur une vitre glacée. Pour une raison quelconque, il faisait froid. Maintenant je comprends. Les baisers d'adieu perdent leur chaleur. Ils contiennent la tendresse refroidie de la séparation... La dernière nuit, elle m'a regardé différemment que d'habitude. Il y a une aliénation dans le regard. L'aliénation en opposition à l'amour. Elle comprit qu'il était temps pour elle, mais elle retarda de toutes les manières possibles l'heure du départ. La lutte de l'âme et de l'esprit. La raison a gagné. Disparu. Maintenant je comprends. Il n’y a aucune mélancolie dans le regard avant la séparation. Il y a là une protestation silencieuse. Une protestation contre vous-même. Les sentiments perdent face à la raison. Plus souvent…

Le désir de devenir mère doit venir chez une femme en même temps que l'amour pour l'homme avec qui elle veut les élever. "On me l'avait promis"

En amour, on n’a rien à prouver à personne. En amour, tout est toujours nouveau, à deux...

Nous, les femmes, sommes comme ça. Si un homme nous intéresse en tant que personne, alors il nous attire en tant que partenaire.

A chaque fois, sous les jets frais de la douche, je touche avec mes doigts les marques de ses lèvres. Ils brûlent encore sur mon corps comme des marques invisibles...

Les prostituées stupides croient en l'amour. Les prostituées sages ne croient à l'amour qu'en regardant des mélodrames.

– Dieu a-t-il vraiment supprimé les impôts, instaurant un régime sans visa entre ciel et terre ? - Non. Tout est beaucoup plus simple. Aujourd’hui, un million de bébés sont nés dans le monde, il n’y a aucun décès. N'est-ce pas une raison de se réjouir ?

Peu importe comment une personne vit, elle a toujours besoin d'une famille - je m'en rends compte au fil des années. La famille ne peut pas être remplacée par l’argent, la carrière ou les amis. La famille est comme un élément d'un puzzle : vous trouvez la pièce manquante et l'image de la vie se reconstitue...

La solitude se moque de ceux qui s'en cachent dans des illusions. On y reviendra tôt ou tard, déçus jusqu'à la dernière goutte de sang.

Souvent, les mots ne viennent pas du cœur, mais de l'esprit. Ne faites confiance qu'aux yeux qui reflètent l'âme...

La chose la plus importante dans la vie de chacun est la possibilité de partager l’amour. Cela peut paraître banal. Mais c'est comme ça. Vérifier...

Vous ne pouvez rien faire concernant la durée de votre vie, mais vous pouvez faire quelque chose concernant sa largeur et sa profondeur.

Le chemin du bonheur n’est jamais court. Sur un long chemin, plein d'images et d'idées vagues, il est important de ne pas abandonner le but, de se retrouver. C'est le bonheur.

Lorsque nous devenons indifférents à la façon dont celui que nous aimons nous voit, cela signifie que nous ne l'aimons plus.

Au diable les obstacles ! L'essentiel est que je sois en bonne voie. Les impulsions doivent se transformer en actions. Les impulsions non assouvies deviennent de plus en plus difficiles à se pardonner au fil des années... « Il n'y a pas de souvenirs sans toi »

Il est facile de dire aux autres : ne le prenez pas à cœur. Comment peuvent-ils savoir quelle est la profondeur de votre cœur ? Et où est-ce proche pour lui ? "On te l'avait promis"

La pluie printanière sent l’espoir. Il n'y a pas de perte irréversible, comme dans les précipitations des autres saisons. Vous ne voulez pas regarder la pluie printanière de côté, immergé dans l’atmosphère du confort de la maison. En dessous, vous voulez vivre, aimer, espérer. Comptez les gouttes, perdez le compte, attrapez-les avec votre langue, en vous rappelant le goût de la fraîcheur d'une nouvelle époque. La pluie printanière est comme un cocktail à la menthe avec des glaçons. Un cocktail printanier qui rappelle tellement l'été.

Une femme est plus faible lorsqu’elle aime et plus forte lorsqu’elle est aimée.

Je ne me souviens même pas de l’époque où les gens croyaient aux princes ; je les laissais sur les pages des contes de fées. "On me l'avait promis"

Tu es ma plus grande victoire sur l'orgueil. "Je reviendrai"

Les peurs sont la plus grande épreuve en amour. En les surmontant, vous rapprochez vos sentiments de l'éternité...

La mémoire est également immunisée : elle efface ce qui provoque la douleur.

Demandez : qu’est-ce que j’ai le plus aimé dans cette vie ? Je réponds : la vie quotidienne. Leurs débuts et leurs fins, leurs victoires et défaites, leurs pertes et leurs gains. Il n’y avait même pas en eux de prétention à l’unicité. Tout est familier, comme beaucoup de gens. Mais le sens le plus important de cette vie quotidienne était que nous nous rencontrions et passions nos journées ensemble... « Il n'y a pas de souvenirs sans toi »

Je crois que nous parviendrons enfin à regagner les sentiments des circonstances. "Je reviendrai"

Aimer avec un cœur lié. Est-ce que cela vous est déjà arrivé ? Quand il n’y a aucun moyen d’avancer ou d’avancer. Il n'y a qu'un endroit où vous vous tenez et où vous ne pouvez pas bouger...

Les relations amoureuses sont comme du caillé moelleux, dont le goût déjà familier peut être modifié à l'aide de divers fruits secs. Cette fois des raisins secs, et la prochaine fois des abricots secs... « Il n'y a pas de souvenirs sans toi »

La vie continue tant qu'il y a du blanc. On dit que tant qu'il flotte sur les cordes du balcon, tourne dans le tambour de la machine à laver, brille dans le noir et contraste avec la peau bronzée, tout ira bien. Il y a une grande vérité dans ces mots. Il est important non seulement de voir toutes les nuances de blanc en vous-même, mais aussi de les remarquer dans le monde qui vous entoure. Ce n'est pas difficile. Le blanc est à la fois fort et persistant. Ne s'efface pas, ne s'efface pas...

Chaque homme réfléchit tôt ou tard au sens de la vie. Eh bien, combien de temps peut-on travailler, boire, baiser et souffrir de conneries ? Mes filles sont le sens dont j'avais besoin, même si vous savez à quel point j'avais peur de fonder une famille. Je ne peux pas imaginer comment les gens vivent sans enfants. Quand tu ne trébuches pas sur des jouets la nuit et que personne ne se précipite vers toi Hé, qui est à la maison ? Oui, mon vieux, tu peux me traiter de connard sentimental, mais c’est absurde de dire qu’une famille est une lourde entrave pour un homme. Je me sens bien! Bien sûr, je me lasse de ma femme de temps en temps, mais l'amour de mes enfants compense beaucoup, sinon la totalité.

Il est impossible de se cacher de soi. Cela ne sert à rien de courir n’importe où. La douleur reviendra de toute façon. Cela vous ramènera là où commencent les traces du désespoir. Le temps fait la paix avec lui-même. Il se tient devant vous comme un miroir, guérissant les cicatrices de votre cœur dans le reflet. Vous vous regardez et, à travers la toile du désespoir, vous réalisez que vous voulez passer à autre chose. Vivez, croyez, attendez encore. Souriez aux nuages ​​​​bouclés, mangez trop de glace à la cerise, sentez le chatouillement des bulles dans votre nez en buvant du soda, embrassez les lèvres scintillantes sous la lune. Aucune douleur ne peut détourner une personne de la vie. Pour toute porte verrouillée, il existe des clés qui peuvent être utilisées pour la déverrouiller.

Nous, les femmes, faisons un pas en avant décisif après avoir reculé de deux pas.

L'enfance est quelque chose que nous avons perdu avec le temps, mais que nous avons gardé en nous.

Les enfants sont capables de pardonner absolument tout. Les ressentiments s’enracinent à mesure qu’on vieillit… « L’amour du fond du Bosphore »

Revenir apporte toujours du bonheur, quel que soit le fardeau dans votre âme avec lequel vous revenez.

La souffrance est infinie. Certains ont été dépensés, les suivants sont apparus. Nous devons choisir : vivre en les combattant, ou vivre sans y prêter attention. Bien sûr, il n’y aura pas de délivrance absolue, mais il est possible de changer d’attitude face à la tristesse.

Encore une fois, j’attends l’inattendu, quelque chose qui me surprendra beaucoup et me rendra heureux longtemps après.

La vie est toujours belle, mais parfois il y a plus de vie en elle...

La vie est comme les peluches d'un oreiller déchiré - 1000 opportunités à saisir, 999 d'entre elles sont vides...

Là où l'on rencontre l'amour, l'espace se réduit au cœur d'une seule personne...

C’est bien quand il y a quelque chose à retenir, et encore mieux quand il n’y a rien à oublier.

La mémoire est également immunisée : elle efface ce qui provoque la douleur. « Là sans y retourner »

Il y a un tel manque de chaleur humaine à Moscou que certains le compensent par le chauffage nucléaire.

Les paroles de Fernando me viennent à l’esprit : j’attendais toujours que apparaisse celui qui allait devenir mon destin. Comme dans les livres. C'est rare que quelqu'un ait autant de chance. Personnellement, je n'ai pas eu de chance... Frère, ne mets pas la barre haute dans ta vie personnelle. Nos moitiés sont aussi le fruit de nos efforts. Il est possible de sculpter ce que vous désirez. Pas tout de suite, bien sûr. Au fil du temps. Nous, les hommes, sommes le plus souvent responsables de notre solitude, choisissant inconsciemment la liberté.

En amour, un homme doit offrir à une femme non seulement des fleurs, mais aussi le sentiment que tout ne fait que commencer pour elle.

Les livres donnent du bonheur aux gens et deviennent un refuge contre la réalité. Les livres sont les meilleurs amis de la plupart des femmes, pas les diamants. Quand on manque d’amour, on se lance dans un roman d’amour. Quand on a envie de s'oublier, on se plonge dans un roman policier passionnant...

Arrêtez la terre au virage, j'ai décidé de descendre...

Un homme dans la cuisine est non seulement flatteur, mais aussi terriblement sexy.

L'amour n'est pas une situation. L'amour est une récompense.

L’un des écrivains les plus populaires de notre époque peut s’appeler avec confiance Elchin Safarli. C'est sa plume qui a donné naissance à des œuvres aussi perçantes et touchantes que « Là sans revenir en arrière », « Ils m'ont promis », « Parle-moi de la mer » et d'autres. Aujourd'hui, nous avons préparé pour vous une courte biographie de l'écrivain, rassemblant les déclarations les plus intéressantes d'Elchin Safarli. Bonne lecture !

Biographie de Safarli

L'écrivain azerbaïdjanais est né en mars 1984 à Bakou. Il avait à peine 12 ans lorsqu'il commença à publier dans les journaux. À l'âge de seize ans, Elchin entre à l'Université internationale d'Azerbaïdjan, choisissant la spécialisation « Journalisme ». Il a collaboré avec des chaînes de télévision turques et a écrit pour la presse écrite. Il convient de noter que Safarli a vécu à Istanbul pendant de nombreuses années. Bien entendu, cela a affecté ses premiers travaux. En 2011, un court métrage sur l'écrivain, « Seul avec tout le monde », est sorti.

Ce livre a été publié en 2010. Safarli y dévoile avec délicatesse et subtilité toutes les facettes de l'Orient, montrant à la fois ses côtés clairs et obscurs. Dans les critiques, les lecteurs disent : il est difficile de croire que ce soit un homme qui écrit de manière si touchante et tendre. Ce n’est pas surprenant, il suffit de lire cette citation d’Elchin Safarli tirée du livre « Le sel doux du Bosphore » :

La lune est le reflet des yeux. Lorsque deux personnes la regardent depuis des extrémités différentes du monde, elles croisent certainement leur regard.

Les critiques et les fans de cet écrivain étonnant notent : Elchin utilise des métaphores étonnantes, écrit dans un langage simple - d'une précision et d'une vivacité étonnantes. Par exemple, parlant des émotions et des sensations d'une personne en état de désespoir, il compare les peluches de peuplier à la poussière, le soleil à un simple disque. Safarli dit : le désespoir, ce sont des chaussures sales. Mais cela ne dure pas éternellement ; c'est au moment du chagrin le plus intense que le bonheur et l'amour viennent à une personne.

Attendre son bonheur personnel, c'est comme attendre un train électrique sur le quai d'une gare de province. Malgré l'horaire exact, le train arrivera certainement. On ne sait pas exactement quand. Peut-être une demi-heure de retard. Peut-être avec un retard d'urgence dû à des circonstances d'urgence. L’amour aussi. Cela s’immisce dans le destin d’une personne contrairement au calendrier de la vie. On visite tôt. Un autre un peu plus tard. Pour certains, c'est trop tard. L’amour atteindra certainement chacun de nous. Un fait incontestable, contesté par des gens sans confiance en eux-mêmes...

Cette œuvre de Safarli encourage chacun à trouver son propre bonheur et à pouvoir le comprendre. Et bien sûr, abandonnez la vie dans le flux quotidien. La preuve en est l’Elchina Safarli suivante :

La vie peut être ajustée. Apporter des changements ne pourrait pas être plus simple. Cela vaut la peine de le vouloir. Bien entendu, cela ne peut se faire sans sacrifices. Nous devrons le faire. Les victimes sont les sédiments au fond d’une tasse de café raffiné… Bien sûr, il est plus facile d’abandonner un rêve. Vivre dans un ruisseau dénué de sens. Attendez que le feu passe au vert lorsque vous êtes debout sur le trottoir. Combien de temps faudra-t-il attendre ? Inconnu... La vie est comme les peluches d'un oreiller déchiré. Mille occasions à saisir. 999 d'entre eux sont vides.

De quoi d’autre parle l’écrivain azerbaïdjanais ? Comme beaucoup d’autres, il aborde le thème de l’amour. Et il le fait avec une douceur incroyable :

Nos cœurs sont entrelacés de fils vanille-gingembre recouverts d'une croûte dorée. Nos baisers dégagent le goût rafraîchissant du cumin, rendant nos sentiments chauds. Nos touchers sont doux, comme les fibres du safran bordeaux.

Pourquoi devriez-vous lire ce livre ? Nous vous garantissons une immersion totale dans l'atmosphère de l'Orient, ou plus précisément d'Istanbul - arômes épicés, vent chaud, fraîcheur nocturne du Bosphore vous attendent :

J'aime cette ville lorsqu'elle s'habille des tissus citronnés et ensoleillés de l'été, des soies marron pâle de l'automne. Durant ces saisons, la magie d'Istanbul s'intensifie : ça sent les fruits confits, la génoise à la vanille, les brochettes de poisson...

Les critiques qualifient de choquant ce roman de l’écrivain azerbaïdjanais Elchin Safarli. Ce n'est pas surprenant, car il décrit la vie d'une prostituée russe, pleine de solitude et de douleur, qui, par la volonté du destin, s'est retrouvée à Istanbul. Il y a tellement de désespoir, de foi, d’amour et d’horreur dans cette œuvre :

Je suis comme un animal dans un zoo, rêvant de liberté - cela n'arrivera jamais, jamais...

Ce livre n'a plus le style mélodramatique chaleureux que l'on pouvait voir dans le livre précédent. La preuve en est la citation suivante du livre d’Elchin Safarli :

Je suis en vie. J’ai abandonné le passé et je n’ai pas remarqué comment. Une réaction défensive du psychisme ? Si elle ne l'avait pas lâché, elle serait morte sous ses décombres. Maintenant, je suis vide. Les sentiments se sont taris, les émotions se sont effondrées, les griefs ont éclaté.

Malgré l’occupation du personnage principal, le lecteur ne voit pas une femme dégradée, mais une personne qui sait ce qu’elle veut. Elle rêve de sortir de la vie qu'elle mène et de trouver son bonheur :

Peu importe comment une personne vit, elle a toujours besoin d'une famille - je m'en rends compte au fil des années. La famille ne peut pas être remplacée par l’argent, la carrière ou les amis. La famille est comme un élément d'un puzzle : vous trouvez la pièce manquante et l'image de la vie se reconstitue.

Disons-le tout de suite : il n'y aura pas de fin heureuse. Elchin Safarli dans cet ouvrage soulage les lecteurs des illusions et présente la vérité de la vie - cruelle et émotionnelle. Par la bouche du personnage principal, il dit :

Ce n’est qu’après avoir vécu en bas que l’on découvre à quel point il est dangereux de grimper. Ce n'est qu'après avoir été dans l'obscurité que vous saurez à quel point le soleil est brillant...

Comme le livre « Le sel doux du Bosphore », cette œuvre est littéralement imprégnée de l’atmosphère d’Istanbul. Ceci est prouvé par cette citation du livre d’Elchin Safarli :

« Au fil des années, les mégalopoles deviennent plus grossières et s’étendent, désensibilisées par le progrès. Mais à Istanbul, ce n’est pas le cas : l’apparence change, mais l’ambiance est la même, vous avez remarqué ? - et il touche sa joue avec sa paume, comme pour vérifier s'il est temps de se raser. «J'ai remarqué. Le rythme du temps ne change pas cette ville et les anciens contrastes demeurent.

Une autre histoire d’amour délicieusement tendre attend les lecteurs sous la couverture de ce livre. Croyez-vous au coup de foudre ? Cet écrivain croit. Ceci est confirmé par de nombreuses citations de « Je reviendrai » d'Elchin Safarli :

N'ayez pas peur d'aimer ! L'amour gagne et gagnera ! L’essentiel dans la lutte les uns pour les autres est de croire les uns dans les autres.

Une femme russe et un homme oriental se sont rencontrés en faisant la queue, se sont regardés et sont tombés amoureux. C'est une résidente de Moscou qui ne croit pas aux larmes, il vit à Istanbul, où se trouve le Bosphore, qui peut guérir l'âme. Mirumir et Svetusvet ont tous deux leur propre passé. Ensemble, ils ne sont que dans le présent. Et il n’est pas du tout clair si les amoureux auront un avenir.

L'amour a deux barrières : les circonstances et les peurs. Nous manquons souvent de courage pour enjamber les pierres du passé et les doutes du présent.

La différence des mentalités, les assauts des circonstances, le désespoir et la distance... « Je reviendrai » est un roman savoureux dans lequel Safarli montre le chemin de jeunes filles russes qui peuvent partir vers l'Est à la recherche de leur bonheur. Et il parle beaucoup (incroyablement beaucoup) d'amour :

Pour être heureux, vous n’avez pas besoin d’acheter des bottes UGG, d’enrouler vos cheveux dans une drôle de pyramide ou de vivre dans la décadence avec l’espoir d’une fin heureuse. Il suffit de connaître le goût des baisers de l'être aimé et de saluer les soirées bleues sur le balcon, dans une étreinte. Toutes les philosophies de la vie reposent sur l'amour. Sans aucun doute...

Un écrivain - j'ai oublié qui exactement - a dit que dans la vie il n'y a qu'un seul grand amour, que tous les amours qui le précèdent ne sont qu'une épreuve de plume, et que tous les suivants rattrapent leur retard...

Note des lecteurs : Safarli décrit ces moments de la vie auxquels les gens prêtent si rarement attention en raison de l'agitation et de l'agitation. Ce livre est idéal pour ceux qui sont fatigués et mentalement écrasés. Elle vous enveloppera comme une couverture douillette. Et bien sûr, ça guérira.

Ne prenez pas ce livre si vous n’avez pas ressenti la douleur de la perte. Parce qu’au mieux, vous ne le comprendrez tout simplement pas. Et au pire, vous serez déçu par l'écrivain. Elchin Safarli écrit très ouvertement sur son état :

Dans la vie, les gens se désagrègent périodiquement, puis se rassemblent et une nouvelle image apparaît. Je ne sais pas quel genre d’image je suis – je suis toujours en morceaux. Parfois, ils sont plus grands, puis je me sens mieux, et il semble qu'une sorte de prudence harmonieuse soit sur le point de venir. Et parfois, elles sont si petites que je ne comprends même pas quoi faire de ces miettes. Épuisant.

D'après le livre d'Elchin Safarli, même les sceptiques invétérés sont obligés de croire à ce sentiment : l'auteur décrit des lieux, des odeurs, des sons qui lui rappellent qu'il était autrefois la personne la plus heureuse du monde :

Je continue toujours à vous parler sans cesse. Mentalement. De cette façon, nous sommes plus proches les uns des autres.

Il convient de noter que Safarli ne se contente pas de se livrer à des souvenirs, mais essaie également de comprendre quelle est la raison pour laquelle il a perdu son amour :

Je ne connais qu'une seule raison à la rupture de la relation, cela n'a rien à voir avec le cachet du passeport. Euphémisme. Tout commence avec elle.

Ce n'est qu'une partie du problème. Elchin ajoute :

Parfois, l’amour ne peut résister même à une courte séparation. Un sentiment trop fragile, pour lequel la négligence est souvent fatale.

Et il dit aussi des mots absolument étonnants :

Lâcher prise ne veut pas dire oublier.

Nous avons peur de nous admettre à quel point nous avons parfois envie de serrer quelqu'un dans nos bras et de lui mettre le nez dans la joue. La vie est belle quand la joue de quelqu'un a besoin de ton nez.

Ce livre est le journal personnel d'une jeune fille. Dans ses pages, le lecteur trouvera tellement d'amour qu'il aura du mal à contenir ses émotions.

Avant son apparition, entendant frapper à la porte, j'ai été tenté de la verrouiller avec des serrures supplémentaires et de ne jamais l'ouvrir. On ne sait jamais qui est là. Et j’ai peur du changement : c’est particulièrement effrayant quand c’est pour le mieux. On s'y habitue vite, involontairement. Et puis, en règle générale, il faut perdre cette habitude - tôt ou tard, douloureusement. "Il vaut mieux que je n'attende pas du tout et que je m'habitue à quelque chose…" décidai-je juste au moment où j'entendis le grincement de la porte s'ouvrir. Sans frapper au préalable. Il avait les clés de mon cœur.

L'amour dans cette œuvre est complètement différent - joyeux et triste, désespéré et inspirant, amer et incroyablement heureux :

Si les circonstances nous séparaient pendant un moment, il disait toujours brièvement : « Vous avez disparu. » A quoi je répondais invariablement : « Je suis en toi. Et je serai là aussi longtemps que tu le diras.

L'auteur lui-même demande aux lecteurs qui sont amoureux du moment de lire ce livre, en essayant de ne pas trop lire dans le contenu. Pour ceux qui sont seuls, Elchin Safarli conseille de se rappeler que l'amour est peut-être invisible, mais il est quand même partout. Et l'écrivain demande aussi de ne pas cesser de croire en l'amour.

Mon amour pour lui confinait à la gratitude. Je voulais dire « merci » sans arrêt. Pour le fait qu'il m'a réappris à rire, a déclenché mes mécanismes mentaux, a ravivé la volonté de vivre, m'a tiré à la surface de l'océan, où, il s'est avéré, il y a l'été éternel, la tendresse se répand dans l'air, et l'aube s'épanouit de gemmes de caramel.

Vous traversez une période difficile ? Assurez-vous de commencer à lire ce livre de Safarli - il vous captivera dès les premières pages (et ce malgré le fait qu'il ne comporte pas d'intrigue tordue, de rebondissements atypiques et inattendus). C'est comme une conversation avec un bon psychologue : cela vous aidera à supporter toute la douleur du passé, à lâcher prise, à guérir...

L'amour malheureux est comme... un mal de gorge. Tout à fait compatible avec la vie, juste désagréable, mais impossible de ne pas y penser. Le thé au citron et au miel aide pendant une courte période, ainsi que le temps et le silence. Lorsque vous parlez, cela devient encore plus douloureux, vous êtes même à couper le souffle. Il est donc préférable de s’asseoir et de l’écrire. A chaque lettre, la plaie devient douloureuse. C'est vrai, vous ne le ressentirez pas tout de suite - l'effet vient un peu plus tard.

Lorsque vous criez « Je déteste » en larmes, cela signifie qu’à l’intérieur vous criez « J’aime » encore plus fort.

Safarli sait très bien comment une femme vit la séparation d'avec son proche. Il dit :

Je ne t'ai pas vu depuis longtemps. J'ai changé mon numéro de téléphone et supprimé tous vos contacts. J'ai appris à me retenir lorsque des larmes involontaires trahissent la mélancolie et à cacher mes mains dans mes poches lorsqu'elles serraient naturellement les poings de rage. Je réponds joyeusement aux questions, je communique avec les gens et je danse parfois lorsque la musique est joyeuse et ne ressemble pas à nos chansons. Je travaille aussi beaucoup. Tout semble bien, mais ce n'est que... un jeu.

Et puis il ajoute honnêtement :

Lorsqu’une personne vous manque, la première impulsion est de la remplacer par d’autres personnes. Une suite interminable de romans. Au pire, des livres, du chocolat, du whisky. Mais il ne s’agit pas d’un remplacement, comme nous le pensons, mais d’une insignifiante auto-illusion.

Soyons honnêtes : tout ce petit livre peut être facilement démonté en citations. Il est tout simplement impossible de choisir le meilleur ! Jugez par vous-même ce que valent ces mots :

J'ai essayé de m'entendre avec mon cœur, de lui expliquer : arrête de me tourmenter - eh bien, ça n'a pas marché, eh bien, ça n'a pas marché, ça n'arrive à personne. Laissez-le partir ! Ne me harcèle pas, arrête de me le rappeler. Ça fait mal. Enfin, comprenez que ce n’est pas parce qu’il est toujours à l’intérieur que je me sens mieux – j’ai besoin de lui à côté de moi. Décidez enfin : soit vous voulez l'oublier, soit vous vous souvenez toujours de lui. De longues requêtes, presque une prière à genoux, mais cette compétition de ma propre vie avec la vie sans lui continuait.

Le véritable amour ne sert à rien. Vous pouvez rompre, vous disputer, être déçu – absolument tout est possible. Mais quelles que soient les raisons, le véritable amour continue de vivre dans le cœur.

Toutes les citations du livre d’Elchin Safarli peuvent être qualifiées de meilleures. Et le livre lui-même peut être qualifié de remède contre la douleur. Après cela, il y a le désir de vivre, de se réjouir et de croire - bien sûr, en amour !

Quiconque a déjà ouvert des livres écrits par Elchin Safarli sait à quel point ils sont simples. L'auteur parle de sentiments dont le principal peut être appelé le sentiment de perte. Quelqu'un (un amant, un proche, un proche) s'en va inévitablement, s'en va, meurt. Que peut faire le héros ? Perdez-vous dans la douleur, souffrez, faites de vaines tentatives pour réparer quelque chose, apprenez à accepter la réalité. Le roman «Quand je reviens, sois à la maison» est un recueil de plus de 50 lettres sincères qu'un homme nommé Hans écrit à sa fille Dost. Le principal problème est que Dostu ne lira jamais ces lettres, car elle est morte. Hans n'arrive pas à accepter cette perte et continue donc de parler à son proche :

Dostu, tu as probablement du déjà vu. Jean explique ces éclats par la réincarnation : l'âme immortelle dans une nouvelle incarnation se souvient de ce qu'elle a ressenti dans le corps précédent. "L'univers suggère donc qu'il n'y a pas lieu d'avoir peur de la mort terrestre, la vie est éternelle."

Cette histoire est sans hâte et mesurée, elle montre à quel point il est important de pouvoir profiter de chaque jour de sa propre vie. Et bien sûr, arrêtez de dépendre de la douleur de la perte, car le passé ne peut pas être changé.

Restez silencieux lorsque tout le monde parle, parlez lorsque vos paroles parlent d'amour, même à travers les larmes. Apprenez à pardonner à votre entourage : c’est ainsi que vous trouverez le moyen de vous pardonner. Ne vous inquiétez pas, mais n'oubliez pas où navigue votre navire. Peut-être qu'il s'est égaré ?...

Par la bouche des héros, Elchin Safarli rappelle :

Chaque matin est l'occasion de voir et d'apprendre quelque chose de nouveau. Le début et la suite d'une incroyable aventure. Chaque nouvelle journée, malgré les difficultés, peut devenir inoubliable. Et c'est à couper le souffle.

Et l'écrivain révèle également à ses lecteurs le principal secret :

Le désespoir est appelé le dernier et principal outil du diable ; il l'utilise contre les plus persistants, lorsque les méthodes précédentes - orgueil, jalousie, haine - sont impuissantes.

Eh bien, et bien sûr, ce livre est aussi plein d’amour ! Elchin Safarli dit :

L'amour est le seul sentiment stable dans un monde en évolution. Quand on aime, n’importe quel défi peut être surmonté.

Bien entendu, pour apprécier tout le talent d'Elchin Safarli, connaître ses héros et ses expériences, les citations ne suffisent pas. Par conséquent, nous vous recommandons absolument de lire tous ses livres !

Citations et aphorismes 01.11.2018

Chers lecteurs, aujourd'hui, je voudrais parler avec vous du travail de l'un de mes auteurs préférés - Elchin Safarli. C'est absolument et à cent pour cent mon écrivain. On lui reproche parfois que ses livres ressemblent davantage à des histoires décousues et qu'il est très difficile de saisir le fil qui les relie. Mais à un certain moment de votre vie, vous trouverez toujours dans ses œuvres exactement ces mots qui vous sont proches et dont vous avez besoin à ce moment précis.

J'apprécie littéralement chaque ligne de ses histoires. J'aime beaucoup ces récits doux, enveloppants et sans hâte, littéralement créés pour les longues soirées d'automne et d'hiver. Et aujourd'hui je vous propose de savourer ensemble des citations des livres d'Elchin Safarli, si vitaux, sages, fidèles, assaisonnées d'une pincée d'épices exotiques d'Orient. Peut-être qu'après les avoir lus, vous aurez envie de relire ses livres.

Chaque séparation cache une nouvelle rencontre

Ce livre est une véritable trouvaille pour ceux dans la vie desquels une période difficile a commencé. Le héros de ce roman a vécu une terrible tragédie: il a perdu sa femme bien-aimée, également enceinte. Une femme de son passé l'aide à survivre à ce terrible chagrin, d'abord en tant que camarade, puis ils deviennent quelque chose de disproportionné l'un pour l'autre.

Il n’y a pas de fin heureuse dans le livre en tant que tel. Néanmoins, le roman d'Elchin Safarli « Ils m'ont promis » est très brillant et affirme la vie, et les citations de celui-ci sont très utiles pour accepter le fait qu'il faut laisser le passé derrière soi et aller de l'avant.

"C'est moi. Cacher et mentir en disant que ce n’est qu’une image est ridicule. J'ai inclus dans cette histoire une période difficile de ma vie, où le temps m'a éloigné de moi. Parler de perte est douloureux. Il vaut mieux écrire à ce sujet. Je l’ai essayé et je n’ai pas remarqué comment j’en avais grandi. Il est impossible de redécouvrir la beauté du monde sans perdre quelque chose d’important. À la place de ce qui a été perdu, subsistent des espaces vides de ravins sans fond. Et en essayant de les combler, vous commencez à apprécier davantage la vie. Que nos pertes soient pour nous une épreuve, mais pas une torture. »

« Il y a un pouvoir dans le cœur de chaque personne qui l’aide à obtenir ce qu’il veut. Elle ne vous donnera pas la paix tant que vous n’aurez pas atteint le point précis que vous recherchiez. Tout est possible à une condition : vouloir vraiment ce que l’on recherche.

"L'amour est justement ce qui donne envie de vivre."

« Votre » peuple reste avec vous, peu importe à quel point vous pleurnichez, peu importe comment vous criez, peu importe à quel point vous disparaissez. Ils existent, ils sont heureux de vous ouvrir la porte, de vous tendre la main, de partager un sandwich.

« Cela fait longtemps que je n’ai rien vu de mal à ma propre solitude. Les gens exagèrent grandement l’importance des relations entre deux personnes. Oui, c’est important, mais ce n’est pas si important qu’il se dissolve dans le tourment comme une boisson gazeuse dans un verre d’eau. Tout est beaucoup plus simple. Oui signifie que c'est bon, non signifie que ça le sera. Et si ce n’est pas le cas, c’est comme ça que ça aurait dû être. Ou peut-être que je n’en avais pas tellement envie. De temps en temps, il est utile de céder au courant. En nous accrochant à quelque chose, nous passons à côté de quelque chose de plus important.

« Au fil des années, la légèreté des marches se perd. Sans tenir compte du fait qu'on ne peut pas devenir gagnant sans apprendre à perdre, on mesure, réfléchit, analyse cent fois, ce qui nuit tout simplement à la cause. Mais il est utile d’oublier complètement « tu peux » et « tu ne peux pas », et sans arrière-pensée, profiter de quelque chose de simple, en profitant du goût de la vie. Parfois, il faut se laisser emporter par ne rien faire. Sans hâte, marchez d'un pas doux au rythme de la valse des flocons de neige, et ne courez pas tête baissée ; asseyez-vous simplement sur une chaise et regardez par la fenêtre pendant que la maison d'en face est en construction ; ne parle pas, ferme les yeux et fais un câlin.

« Lorsqu’on me demande si un verre est à moitié plein ou à moitié vide, je préfère la réponse « il y a de l’eau dans le verre ». L'essentiel est qu'il y ait encore de l'eau. Un réalisme plein d’espoir ?.. »

« Nous avons oublié comment regarder les nuages ​​froissés par le passage des avions. Nous sommes devenus les otages de théories égocentriques, de mots intelligents qui décrivent les expériences des autres, d'idées qui trahissent l'indifférence générale et des réalités incolores de la vie quotidienne. Nous ne regardons plus les couchers de soleil ; nous sommes davantage intéressés par une offre publicitaire dans un magazine. Nous devrions nous examiner plus souvent. Cela ne nécessite ni argent ni conditions particulières. C'est très simple. Arrêtez-vous et regardez attentivement à l'intérieur, là où le cœur tranquille désespère déjà de nous appeler... Mais il est plus facile pour nous de justifier notre incapacité à vivre en étant occupé. Je suis comme ça moi-même.

« La vie à deux est bien plus heureuse lorsque le désir de comprendre est plus important que d'être compris ; quand le désir de faire quelque chose d'agréable ne cache pas le projet de recevoir quelque chose en retour, voire de la gratitude. Quand l’amour ne se change même pas en amour, mais est seulement donné. »

« Il y a des endroits où nous devons absolument être présents. Si ce n’est pas constamment, revenez-y au moins périodiquement.

"Le plus grand malheur est d'être heureux dans le passé."

« Le destin nous pose des dilemmes et nous devons toujours choisir : nous perdons une chose, nous en gagnons une autre. Au diable les discussions sur l’harmonie. Elle est partie. Il y a un équilibre entre les pertes et les gains.

"Pour que l'état de bonheur enchanteur ne se transforme pas en routine, des crises de mélancolie sauvage doivent nécessairement survenir."

"En réalité, il n'y a pas de bon choix, il n'y a que des choix faits et leurs conséquences."

« Dans la vie, les gens se désagrègent périodiquement, puis ils se rassemblent et une nouvelle image apparaît. Je ne sais pas quel genre d’image je suis – je suis toujours en morceaux. Parfois, ils sont plus grands, puis je me sens mieux, et il semble qu'une sorte de prudence harmonieuse soit sur le point de venir. Et parfois, elles sont si petites que je ne comprends même pas quoi faire de ces miettes. Épuisant. J'aimerais redresser mon dos, pas me courber - j'aimerais vivre ainsi pour toujours. Mais le soir, je rentre chez moi, je me rends compte que je n’ai pas trouvé de réponses dans la journée et je m’effondre à nouveau. La vie est dispersée. Jusqu'au coup de sifflet final."

« Personne ne doit rien à personne, tout le monde a juste besoin les uns des autres. »

« Plus vous attendez, plus il est probable que vous attendiez au mauvais endroit. »

« Il faut traverser l’abîme pour arriver de l’autre côté. C’est ainsi que tout commence. »

« Tout le monde est oublié différemment. Certains cherchent le salut dans la vodka, certains dans les illusions, certains dans le passé. Si je cherche le salut, cela signifie-t-il que je crois toujours ? Ou est-ce juste un analgésique pendant un moment ?

« Autrefois, les gens convaincus d’être heureux étaient certainement malheureux. »

Ce n'est pas comme s'il n'y avait aucun moyen sans toi, cela ne servait à rien sans toi

En ouvrant son livre au hasard sur n'importe quelle page, on trouve partout des mots justes et précis. Et les citations d’Elchin Safarli sur l’amour sont tout simplement étonnantes par leur sensualité. Écoutez-les simplement...

«J'attendais toujours que celui qui allait devenir mon destin soit sur le point d'apparaître. Comme dans les livres. C'est rare que quelqu'un ait autant de chance. Personnellement, je n'ai pas eu de chance... Frère, ne mets pas la barre haute dans ta vie personnelle. Nos moitiés sont aussi le fruit de nos efforts. Il est possible de sculpter ce que vous désirez. Pas tout de suite, bien sûr. Au fil du temps. Nous, les hommes, sommes le plus souvent responsables de notre solitude, choisissant inconsciemment la liberté.

On m'avait promis

"Je me déteste de te manquer autant."

On m'avait promis

« Mon fils, souviens-toi, un homme ne devrait pas forcer une femme à vivre dans l'incertitude. Alors l’amour sera définitivement remplacé par la haine, tôt ou tard. Ils savent aimer même en attendant. C'est nous, les hommes, lorsqu'une femme part pendant un certain temps, nous commençons à chercher mentalement ou ouvertement un remplaçant. Si vous savez que vous ne reviendrez pas, mieux vaut dire la vérité. Elle pleurera, mais elle l'acceptera. Ne la négligez pas. C’est quelque chose que les femmes ne méritent certainement pas.

On m'avait promis

"L'amour n'a pas de recette unique : qui sait, peut-être que s'il y en avait une, la séparation ne serait pas si douloureuse et se soignerait..."

Coin de sa maison ronde

«Je sais que tu ne reviendras pas, mais je t'aimerai toujours. Toujours. Là, à l’intérieur, quelque part entre un cœur agité et des côtes serrées, tu as tout rempli d’une lumière brillante.

Coin de sa maison ronde

« Vous devez constamment maintenir l’amour en vous. Bonnes émotions et actions, lieux préférés, livres, gens, solitude, animaux. L’amour est comme un muscle qui doit être constamment exercé.

Parle-moi de la mer

« Les gens s’associent trop au sexe, alors que la véritable intimité est plus profonde. Elle est au contact doux, au regard calme et respire même à proximité... "

Coin de sa maison ronde

« L'amour est comme une rivière de montagne. Balaie tous les obstacles sur son passage. Si ce n’est pas instantanément, alors très bientôt… »

Coin de sa maison ronde

« Vivre différemment est une folie. C'est la plus grosse erreur d'amour..."

Pas de souvenirs sans toi

« Le grand amour bouleverse tout : il mélange les saisons, dévalorise les anciennes valeurs, change les goûts et les orientations. D'une manière ou d'une autre, imperceptiblement, progressivement, comme une pousse de perce-neige têtue, elle germe dans ce coin du cœur qui a longtemps semblé obsolète. Et personne n’est à l’abri de devenir, sous l’influence de cet amour, exactement ce qu’il a toujours eu peur de devenir… »

Coin de sa maison ronde

« Je n’avais besoin de rien d’autre de toi que de l’amour. Tellement ordinaire, humain. Pas de notes touchantes dans les bouquets de fleurs, pas de beaux mots à l'autre bout du fil, pas de « lapin » en peluche et « ensoleillé » des dizaines de fois par jour. Je voulais juste être proche de toi."

Si seulement tu savais

« Vous êtes tellement nombreux en moi que parfois je me perds. »

Coin de sa maison ronde

« L’amour transforme même les personnes les plus matures en adolescents sentimentaux… »

Coin de sa maison ronde

« Il y a des gens qui sont aussi à l’aise qu’à la maison. Vous les serrez dans vos bras et vous comprenez : je suis à la maison.

Si seulement tu savais

« En amour, il est non seulement possible, mais aussi nécessaire de croire à l'impossible, à l'incroyable, ainsi qu'à l'invraisemblable, à l'impensable, au non prouvé. Nous sommes devenus trop raisonnables et terre-à-terre, nous avons trop peur de commettre des erreurs, et si nous commettons des erreurs, nous ne pouvons pas nous pardonner trop longtemps. Nous ne pensons pas au fait que de cette façon, son charme et sa légèreté disparaissent de la vie - est-ce que très bientôt nous ne volerons plus qu'en avion ?.."

Coin de sa maison ronde

J'ai vécu la défaite en amour...

Ce livre poignant est tellement féminin qu’il est même surprenant qu’il ait été écrit par un homme. Le roman d’Elchin Safarli « Si vous saviez » est pratiquement un recueil de citations pour ceux qui ont eu un amour non partagé dans leur vie. C’est tout simplement incroyable combien d’âme et d’émotion il y a dedans !

« Vous ne pouvez pas me quitter, car personne ne quitte jamais mon cœur. Physiquement, cela est possible, mais pas au niveau cardiaque. Ceux qui y sont autorisés y restent pour toujours. Il est uniquement possible de déplacer les sièges, par exemple, des premiers rangs vers les derniers rangs, mais cela ne change rien à l'essentiel : il est impossible de rester dans le cœur, les gens n'y restent que pour y résider de manière permanente.

« Avant de partir, j'ai demandé : « Dis-moi, est-ce que tu m'aimes ? Vous n’avez pas répondu pendant un long moment, puis vous avez dit obstinément : « Je me sens bien avec toi. N'est-ce pas suffisant ? À ce moment-là, j’étais à nouveau convaincue que j’étais capable d’embellir absolument tout comme une femme : ma vie, les sentiments de l’homme que j’aimais, le monde qui m’entourait. Les femmes sont des artistes décoratives naturelles. Avec un pinceau à la main et un chevalet en plus. Et les hommes sont parfois pour nous des toiles vierges - nous dessinons, peignons, essuyons quelque part, dissimulons quelque chose. Seulement, en règle générale, il s'avère que nous ne tirons pas de la vie, mais que nous suivons nos fantasmes et nos désirs : et le voici - un décalage complet avec la réalité. C'est ce qui m'est arrivé. Même si je ne regrette rien. Il y a eu beaucoup de bonnes choses."

Lorsque vous criez « Je déteste » en larmes, cela signifie qu’à l’intérieur vous criez « J’aime » encore plus fort.

«Je n'ai rien d'autre que moi-même. Tout ce qui restait là. Maintenant, je ne divise plus le temps entre passé, présent et futur. Aujourd'hui seulement, c'est en lui seul que se trouve le début, la suite et, très probablement, la fin de ma vie. Calendrier d'une page. C'est mieux ainsi. Vous évaluez sobrement ce que vous avez en ce moment. Vous ne regardez ni en arrière ni en avant. Pas d’auto-illusion. L’illusion est loin de l’espoir, et l’espoir n’est pas toujours la réalité. Ce n’est pas du pessimisme. J'accepte la vie telle qu'elle vient. En allemand, il existe un mot « hassliebe ». Selon le dictionnaire, cela se traduit par « un sentiment oscillant entre l’amour et la haine ». C’est le sentiment que j’éprouve pour chacun de mes « aujourd’hui ».

« L'amour malheureux est comme... un mal de gorge. Tout à fait compatible avec la vie, juste désagréable, mais impossible de ne pas y penser. Le thé au citron et au miel aide pendant une courte période, ainsi que le temps et le silence. Lorsque vous parlez, cela devient encore plus douloureux – cela vous coupe même le souffle. Il est donc préférable de s’asseoir et de l’écrire. A chaque lettre, la plaie devient douloureuse. C’est vrai, on ne le sent pas tout de suite, l’effet arrive un peu plus tard.

«Je ne t'ai pas vu depuis longtemps. J'ai changé mon numéro de téléphone et supprimé tous vos contacts. J'ai appris à me retenir lorsque des larmes involontaires trahissent la mélancolie et à cacher mes mains dans mes poches lorsqu'elles serraient naturellement les poings de rage. Je réponds joyeusement aux questions, je communique avec les gens et je danse parfois lorsque la musique est joyeuse et ne ressemble pas à nos chansons. Je travaille aussi beaucoup. Tout semble bien, mais ce n’est que… un jeu. »

"La recherche épuisante d'un être cher n'importe où et partout, même lorsque l'on connaît sa localisation précise, est ce qu'il y a de plus irrésistible dans le désir."

« Dans le véritable amour, il n’y a pas de fin. Vous pouvez rompre, vous disputer, être déçu – absolument tout est possible. Mais quelles que soient les raisons, le véritable amour continue de vivre dans le cœur.

« Chaque femme ne rencontre qu’une seule fois un homme, qui divise sa vie en deux parties : avant et après. »

«J'ai essayé de me mettre d'accord avec mon cœur, de lui expliquer : arrête de me tourmenter - eh bien, ça n'a pas marché, eh bien, ça n'a pas marché, ça n'arrive à personne. Laissez-le partir ! Ne me harcèle pas, arrête de me le rappeler. Ça fait mal. Enfin, comprenez que ce n’est pas parce qu’il est toujours à l’intérieur que je me sens mieux : j’ai besoin de lui à côté de moi. Décidez enfin : soit vous voulez l'oublier, soit vous vous souvenez toujours de lui. De longues requêtes, presque une prière à genoux, mais cette compétition de ma propre vie avec la vie sans lui a continué.

Avant de vous coucher, pensez à demain. Il y a un nouveau matin, une nouvelle vie en lui

Derrière les histoires de ce jeune auteur talentueux sur la vie quotidienne des gens ordinaires se cache quelque chose de plus. Le livre d'Elchin Safarli « Parle-moi de la mer » est si chaleureux et confortable, rempli d'amour pour la vie, profitons ensemble de belles citations.

« La vie et les gens sont un grand jardin de fleurs. Chacun a sa propre couleur, son odeur, son lieu, son histoire. Mais absolument tous sont aimés du soleil. Atteignez le soleil, Date, attendez-le, peu importe combien de temps il pleut.

La vie est bien sûr un choix. Nous choisissons chaque jour, chaque minute, seconde – entre le bien et le mal, la lumière et l'obscurité. Plusieurs portes s'ouvrent pour nous, le reste dépend de nous - avec qui entrer dans laquelle. Cependant, je sais avec certitude que lorsqu’il s’agit de rencontrer « votre » personne, il est important d’attendre. Dès le premier pas, nous allons les uns vers les autres, rencontrant de nombreuses personnes différentes tout au long du chemin. Le moment venu (et cela se décide là-haut, ou peut-être en nous), la rencontre aura lieu. L'essentiel est de ne pas abandonner et de ne pas lier votre vie à des inconnus.

Nous perdons notre temps et notre temps avec le passé et ce qui ne s'est pas encore produit - toujours là, pas ici. Nous fantasmons sur l’avenir, pleurons le passé et manquons le moment présent. Date, personne n’est responsable de votre bonheur à part vous.

Ne vous forcez pas à être heureux quand vous êtes malheureux, n'essayez pas de conseils sans fin comme « rassemblez-vous et forcez-vous à faire quelque chose », « pendant que vous pleurez, le bonheur s'en va », « le moment n'est pas de rêver, mais agir », et ainsi de suite. Il est encore plus dangereux de se comparer à ceux qui sont censés être plus forts, plus forts et plus performants. Chacun a sa propre vitesse de vie. Mais même en bas, rappelez-vous que le soleil brille au-dessus, et croyez que le matin viendra certainement lorsque vous vous réveillerez et comprendrez : c'est devenu plus facile.

L’opportunité de passer au niveau supérieur vient avec l’acceptation de soi. La répression est inutile et nuisible. Il faut apprendre à se connaître dans le présent, s'accepter, pardonner, essayer de devenir meilleur. Nous sommes venus au monde uniquement pour le bonheur. Seule une personne heureuse répand la bonté.

« Tu n'as pas à avoir peur du passé, Finik. Vous devez vous en souvenir, mais n’allez pas trop loin. Et si vous plongez en profondeur, ayez le temps d'émerger à temps. Sinon tu vas étouffer. Avant de vous coucher, pensez à demain. Il y a un nouveau matin, une nouvelle vie.

J'ai demandé un jour à oncle Orhan : « Quel est le meilleur sentiment dans la vie ? Il répondit : « Rentre chez toi, là où ils attendent. »

Une personne doit avoir une chance de vivre une nouvelle vie et ne pas être lapidée pour les erreurs du passé.

Dans les situations difficiles, la meilleure chose que vous puissiez faire pour vous-même est de vous rappeler que tout va pour le mieux, même si cela n’est pas immédiatement évident.

Il y a une guérison cachée dans le bonheur et dans le chagrin. Renaissance de l'homme.

Ne craignez personne d’autre que vous-même ; Ne fuyez personne, surtout vous-même ; N’empoisonnez pas vos journées avec l’amertume du passé et les illusions du futur. Le monde entier – levers et couchers de soleil, pays et villes, océans et mers, séparations et rencontres – est en vous.

« Les gens pensent qu’ils peuvent contrôler le temps, le retarder ou l’accélérer. Ce temps leur appartient, et non l’inverse. Rendez-vous, gérez soigneusement vos minutes. Quand vous perdez du temps, vous perdez vos rêves. Dépêchez-vous d’aimer, chaque minute, à chaque inspiration et expiration. Il y a peu de temps, il est stupide de le gaspiller en vanité, en conflits et en aversion.

« Parfois, une personne ne veut pas savoir ce qu’elle veut vraiment. Cela lui permet de se sentir mieux. »

Il est impossible de faire rentrer dans l'article toutes les merveilleuses citations des livres d'Elchin Safarli, car il y en a tellement : il y a quelque chose à penser après les « Recettes du bonheur » lumineuses et lumineuses, quelque chose à penser après les émouvantes et sensuel "Je serai de retour", ainsi qu'un cliché "Sweet Salt of the Bosphorus" tout simplement envoûtant. Ses livres parlent de vie et d'amour, de sagesse et de confiance en soi. Je recommande fortement, fortement de le lire !

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