Comment retrouver la tranquillité d’esprit et l’harmonie. Comment retrouver la tranquillité d'esprit et l'harmonie avec soi-même

Comment trouver la tranquillité d’esprit dans un monde déchaîné de souffrance, d’anxiété, d’inquiétude, de problèmes constants, etc. Comment maintenir la tranquillité d’esprit chrétienne dans des situations où les gens nous irritent ou où diverses situations nous exaspèrent ?

Souvent, nous nous sentons fatigués et nous comprenons alors ce que signifient les paroles du Christ : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos » (). Celui qui est jeune ne peut pas le ressentir pleinement : il n'a aucun fardeau, mais un homme mûr lui-même a traversé beaucoup de dangers, de chagrins, de difficultés, d'échecs, d'impuissance, et les années lui ajoutent de la fatigue et des fardeaux, et il veut se reposer, pour mettez-le là où D'une manière ou d'une autre ce fardeau, libérez-vous-en.

Celui qui peut vraiment apporter un soulagement, c'est Christ. Personne d'autre. Tout ce que nous faisons est humain, cela ne peut nous aider que dans une certaine mesure, par exemple : nous pouvons partir en voyage, aller au village rendre visite à un bon ami ou dans un autre endroit agréable. Cela nous aide et nous calme également, mais pas profondément. Seul le Christ peut véritablement donner la paix à l’âme d’une personne, car Lui-même est la paix de nos âmes.

Comme nous le disons lors de la Sainte Liturgie, « nous nous abandonnons nous-mêmes, les autres et toute notre vie au Christ notre Dieu ». Rendons au Christ toute la lourdeur de notre « moi » et du « moi » des gens qui nous entourent, nos soucis, nos angoisses, nos tourments, nos peurs, nos chagrins, nos douleurs, nos plaintes - déchargeons tout cela entre les mains de Dieu et abandonnons-nous au Christ notre Dieu.

Comme frère Paisios l’a dit à plusieurs reprises, nous sommes comme un homme tenant un sac plein de déchets sur son dos. Et Dieu vient et l'arrache de nos mains pour que nous ne portions pas ce sac plein de toutes sortes d'obscénités, d'ordures et d'impuretés, mais nous ne le lâchons pas. Nous voulons le garder avec nous et l'emporter avec nous partout où nous allons. Mais ensuite Dieu vient et l'enlève :

Laissez-le tranquille, laissez-le sortir, jetez ce sac plein de toutes sortes de choses ! Jetez-le, ne le transportez pas. Eh bien, pourquoi l'as-tu attrapé ? Pourquoi en as-tu besoin ? Pour que vous continuiez à être tourmenté et à souffrir en vain ?

Mais nous - non, nous ne le laisserons sortir pour rien au monde ! Comme des enfants têtus qui tiennent fermement quelque chose et ne veulent pas y renoncer.

Un jeune homme est venu un jour au Saint Mont Athos pour devenir moine, mais il a été tourmenté par certaines difficultés. Et un jour, alors qu'il était dans le temple, l'aîné regarda son visage et dit :

Regardez ce jeune homme : il ne laisse pas échapper une seule pensée de lui !

C'est-à-dire qu'il ne permet à aucune pensée de s'enfuir de lui et il reste pendant 5 minutes sans pensées.

Son esprit est comme un moulin, broyant constamment quelque chose. Il y met de la matière, y met des pierres, et cela produit de la poussière et du sable.

Il l'a appelé et lui a dit :

Venez ici! Eh bien, pourquoi êtes-vous assis là comme une antenne de télévision, recevant toutes les ondes envoyées par l'émetteur ! Laissez-en au moins un peu, laissez-le courir ! Votre esprit est comme un moulin qui tourne constamment. Regardez ce que vous mettez dans votre esprit ! Naturellement, si vous mettez des pierres, de la poussière et du sable sortiront et la poussière montera en colonne. Alors mettez du bon matériel dans votre esprit. Mettez de bonnes, de bonnes pensées, de bons concepts, mettez en prière, car c'est ainsi que vous ne faites que vous tourmenter. Après tout, tout ce que vous broyez sans cesse tombe sur vous, et sur personne, et vous vous tourmentez en vain.

Une personne doit apprendre à prendre soin d'elle-même pour qu'il n'y ait pas de désordre dans son esprit, qui n'a pas de fin et qui nous détruit : après tout, notre esprit peut nous détruire et nous créer de nombreux problèmes. Par conséquent, nous devons nous tourner vers Dieu par la prière, la confession, l’humilité, et laisser tout ce qui nous occupe entre les mains de Dieu et trouver la paix. Et vous trouverez le repos pour vos âmes.

Le Christ est venu dans le monde pour nous réconforter, et non pour nous confondre, nous confondre. Donne-nous la paix, le repos, car Il sait que nous sommes fatigués, et plus le temps passe, plus nous sommes fatigués. C’est un grand art, et l’Église en est propriétaire.

Une fois, j'ai parlé avec un psychologue et il m'a demandé :

Combien de personnes voyez-vous par jour ?

Je lui ai répondu :

Maintenant que je suis plus âgé, je ne supporte plus grand-chose : 50-60, jusqu’à 70 par jour. Et quand j'habitais au monastère de Mahera et que j'étais plus jeune, il y en avait parfois 150 : je commençais à 4 heures du matin et je terminais à 7-8 heures du soir ou plus tard.

Il m'a dit :

Ce que vous vous faites n’est pas bon, c’est très cruel. Nous ne pouvons pas accueillir plus de dix personnes par jour. En tant que psychologues qui acceptent des personnes, nous en acceptons dix au maximum ;

Oui, mais nous avons seulement un avantage : dès que nous quittons le confessionnal, tout disparaît. C'est un phénomène étonnant. Après tout, on entend tellement de choses ! Pensez simplement à ce que le confesseur entend. Rien de gentil, et surtout, personne ne nous dit de belles choses. C'est comme voir un médecin. Y a-t-il quelqu'un qui va chez le médecin et qui lui dirait :

Docteur, je suis venu pour que vous me regardiez, sinon je suis en trop bonne santé !

Non. Juste la maladie, les blessures, le sang, la douleur. Et nous n'irons pas chez notre confesseur pour lui raconter nos vertus, nos réalisations, les événements joyeux de la vie, mais seulement les choses mauvaises, douloureuses, indécentes, seulement les échecs. Mais vous êtes un être humain, combien de temps pouvez-vous sans cesse n’écouter que de mauvaises choses et des péchés ?

Un jour, un enfant m'a demandé :

Monsieur, est-ce que quelqu'un est venu vous dire qu'il a commis un meurtre ?

Je lui ai dit :

Et tu n'étais pas abasourdi ?

Je n'étais pas abasourdi.

Il m'a regardé avec surprise :

Mais sérieusement ?

Oui, je suis sérieux.

Et s’il était seul… Beaucoup de gens aujourd’hui sont accablés, et il y a tellement de problèmes dans le monde. Mais nous ne gardons pas tout cela en nous, et donc notre estomac et notre cœur ne souffrent pas, nous ne tombons pas sous le poids de la douleur humaine, mais nous transférons tout cela au Christ, car le Christ est l'Agneau de Dieu, qui enlève et il porte le péché du monde, et notre péché aussi. Le Christ est Celui qui y est réellement présent et qui assume toute cette charge. Mais nous ne faisons rien, nous ne sommes que des ministres, nous accomplissons notre service, et il y a le Christ qui accepte chaque personne.

Je vous dis cela non seulement à partir de mon expérience en tant que personne qui confesse, c'est-à-dire un croyant qui se confesse une fois tous les 2-3 mois, mais aussi en tant que personne qui confesse les gens depuis plus de 35 ans, qui a confessé des milliers de personnes. Et je vous dis que c'est un sacrement que nous accomplissons 50 fois par jour, et souvent quotidiennement, jusqu'à l'épuisement complet, mais je suis absolument convaincu que le Christ y est présent. Nous le voyons tout le temps : Il reçoit les gens, Il écoute les gens, Il répond aux gens, Il guérit une personne, et nous sommes spectateurs de tout cela.

Comme un caissier de banque, entre les mains duquel passent chaque jour des millions de roubles, mais ils ne lui appartiennent pas. Il les prend, les note, les envoie à son patron – il fait juste le travail. C'est pareil avec le confesseur. Il est témoin, il témoigne de la présence de Dieu là-bas, il est un instrument dont Dieu se sert. Mais le Christ accomplit le grand sacrement de guérir une personne, répond à ce qu'une personne demande et accomplit le mystère du salut d'une personne.

C’est la plus grande expérience qu’une personne puisse vivre. Je dis souvent cela lorsque j'ordonne prêtres, que désormais vous verrez comment Dieu travaille avec vos mains. Dieu sera pour vous une réalité quotidienne. C'est un miracle, un miracle de tous les jours, répété des centaines de fois par jour, lorsque toutes ces interventions de Dieu se produisent (comme disent les pères) sans que vous ne fassiez rien. Vous accomplissez simplement la partie extérieure de cette connexion entre l'homme et Dieu, mais en réalité, le Christ, qui enlève le péché du monde, assume la charge - la nôtre et celle du monde entier.

Mais pour ressentir cela, vous devez d'abord comprendre que Christ enlève nos péchés - confesseurs, prêtres, évêques, et s'il prend mes péchés, alors il prend les péchés de tous. Et je ne peux pas être indigné ou douter qu’Il ​​portera les péchés de mon frère. Parce que notre expérience personnelle est une preuve immense que le Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, comme le dit le saint Apôtre Paul, dont je suis le premier ().

Si le Christ me supporte et me sauve, s’il ne m’a pas rejeté et mis hors de vue, alors je peux tolérer n’importe qui, car, sans aucun doute, mon frère est meilleur que moi. Quoi qu’il ait fait. Parce que, sans aucun doute, il n’y a personne en dessous de moi. C’est ainsi qu’une personne devrait ressentir qu’« il n’y a personne d’inférieur à moi ».

Même si cela nous semble difficile, cela rend en réalité la tâche très facile, car plus une personne s'humilie devant Dieu, plus elle reconnaît que Dieu est son Sauveur et le remercie de l'avoir sauvé, d'être devenu un homme. pour notre bien, cela nous supporte. Et quand je dis « endure », je parle de moi-même, et non des autres, de moi-même, de chacun de nous individuellement.

Alors, quand je ressens cela, plus je le ressens, plus cela devient facile pour moi, et plus je pleure et sanglote à cause de ma misère et de ma misère, plus je ressens de consolation. C'est le secret de l'Église. Vous ne trouvez pas la joie dans la joie du monde, mais dans la douleur. Là où la douleur est visible, là où le chagrin est visible, là où la croix est visible, là où la fatigue est visible, il y a la consolation. Là, sur la Croix, il y a la joie. Comme nous le disons, «car voici, la joie est venue dans le monde entier à travers la Croix».

Dans le chagrin, dans le repentir, dans l'exploit de se repentir avec humilité, une personne reçoit du repos. C'est quelque chose de paradoxal. Dans l’Église, plus une personne pleure, plus elle se réjouit. Plus il apprend l’art des larmes, en pleurant dans la prière, plus il se repose et se purifie. Les larmes dans l'espace spirituel sont la clé qui nous révèle les secrets de Dieu, les secrets de la grâce de Dieu. Et plus il pleure, plus il se réjouit, s'amuse, se console, se purifie et se repose.

Notre espérance et notre foi sont en Christ, Il est notre repos. Sans Lui, nous ne nous reposons pas. Personne ne peut nous donner du repos. Et ce que nous pensons nous donne du repos nous fatigue au-delà de toute croyance. Une personne pense que si elle est riche, elle se sentira bien. Cependant, la richesse est un tyran impitoyable, impitoyable et cruel ; C’est un fardeau qui, comme une ombre, vous hante constamment.

Une personne peut penser que la renommée mondaine apporte un soulagement lorsqu’elle a une grande renommée, un grand nom et un grand pouvoir dans le monde. Mais rien de tout cela, absolument rien : tout cela n'est que fatigue, fardeau, tromperie, nous tourmentant d'une manière inimaginable. Rien de tout cela ne peut apporter de soulagement à une personne ; elle ne reçoit du soulagement que près de Dieu, seulement dans ce qui est vrai, authentique, seulement dans ce qui vainc la mort. Tout le reste est voué à la mort, et cela nous fatigue inimaginablement, car cela nous apporte avant tout de l'incertitude.

Qu'est-ce qui peut m'aider ? Puis-je compter sur ma santé ? Comment va ta santé ? Après tout, je ne sais même pas ce qui va m’arriver dans la minute qui suit. Et, Dieu merci, aujourd’hui, de nombreuses maladies nous attendent. Il y a tellement de dangers, de difficultés, de malheurs, de peurs. Alors, qui peut me donner une certitude ? La certitude est le faux sentiment que vous donnent ces choses du monde.

Comme il est dit dans l’Évangile à propos des derniers temps où la peur régnera sur terre, aujourd’hui la peur et l’incertitude sont un phénomène énorme. Si vous parlez de maladie à quelqu’un, il vous dira immédiatement : « Touchons du bois pour que nous restions en bonne santé ! » Touchons du bois. Oui, frappez sur n'importe quoi : même sur du bois, même sur une planche, même sur du fer, même sur un mur, tout ce que vous voulez, mais quand viendra le temps de frapper à votre porte de la maladie, alors nous verrons sur quoi vous frapperez. . Peu importe ce que vous faites, vous ne réussirez pas.

On cache la réalité, elle nous terrifie. Tout cela, en substance, nous tourmente, alors que le Christ est réellement la Lumière tranquille. Il est la Lumière de Dieu, éclairant l'homme, le calmant, le rassurant, lui donnant le sentiment du Royaume éternel de Dieu. Lorsqu’une personne a le sentiment du Royaume éternel, qu’est-ce qui peut la terrifier, qu’est-ce qui peut bouleverser son humeur ? Rien ne lui fait peur, pas même la mort elle-même : pour l'homme de Dieu, tout cela prend une autre dimension.

Bien sûr, nous sommes des personnes et l’humanité fonctionne en nous, mais, comme le dit le saint apôtre Paul, nous avons de l’espérance en Christ. C'est une chose de souffrir sans espoir, mais une autre d'avoir de l'espoir en Christ. Il s’agit d’une base solide sur laquelle vous reposez et il est difficile de vous ébranler. Ce fondement est le Christ, notre Sauveur, envers qui nous avons de l'audace, parce que nous le sentons comme le nôtre : « Mon Christ », disaient les saints. Et le Christ, le Sauveur du monde entier, nous conduit à Dieu. Devenu homme, il a amené le monde entier à Dieu le Père.

Ayant foi en Dieu, en Christ, nous devenons inébranlables. Nous n'hésitons pas, ne bougeons pas lorsque nous sommes submergés par des vagues de tentations, de manque de foi, de difficultés, lorsque des temps difficiles arrivent. Après tout, Dieu permet même aux grands saints de se retrouver dans des situations très difficiles ; il y a des moments incroyablement difficiles où Dieu semble quitter les gens et se tait, et vous vous sentez seul. Et non seulement cela, mais tout le mal tombe sur vous en même temps, et les maux se succèdent, les tentations se succèdent, les échecs se succèdent, et vous ne voyez plus Dieu nulle part. Vous ne le ressentez pas, comme s’il vous avait abandonné. Mais nous restons convaincus que Dieu est présent.

Comme se disait Joseph l’Hésychaste lorsque ces pensées l’étouffaient : « Tout ce que vous dites est bon. Il existe de nombreuses confirmations et preuves logiques que tout cela est comme vous le dites. Mais où est Dieu ici ? Où est Dieu ? Nous laissera-t-il dans cette situation ? Est-il possible que Dieu nous quitte ? Dieu ne nous quitte jamais. Et si nous sommes soumis aux tentations de la vie, alors Dieu est aussi là, avec nous.

Et puis, lorsque ces souffrances seront passées, nous verrons que la période la plus spirituellement féconde de notre vie, lorsque le Christ était réellement avec nous, fut précisément la période de nombreuses souffrances. Là, parmi tant de douleurs, la grâce de Dieu est cachée, et non parmi les joies.

Parmi les joies, c'est aussi bon. Et ici, nous remercions également Dieu. Mais qui ne dit pas au milieu de la joie : « Gloire à Dieu » ? N’est-il pas vrai que lorsque nous éprouvons de la joie, nous disons : « Gloire à Dieu ! Tout va bien chez nous ! Cependant, peut-on dire : « Dieu merci, tout va mal chez nous ! Dieu merci, nous sommes malades ! Dieu merci, nous mourons ! Dieu merci, tout s'écroule autour de moi. Mais quand même – Dieu merci » ? Comme saint Jean, qui disait toujours et terminait sa vie par ces mots : « Gloire à Dieu pour tout ! »

C'est une grande chose de louer Dieu pour tout : pour les joies et les tristesses, pour les choses faciles et difficiles, pour les succès et les échecs. Mais surtout pour le chagrin. Les chagrins nous font mûrir, et quand tout va bien pour nous, nous oublions - telle est notre nature - nous oublions Dieu, nos voisins, nos frères et tous les gens qui souffrent autour de nous...

Métropolite Athanase de Limassol

Traduit du bulgare par Stanka Kosova

Faculté de théologie, Université de Veliko Tarnovo

Pour répondre à la question de savoir comment retrouver la tranquillité d’esprit, nous devons d’abord comprendre pourquoi nous la perdons. La chose la plus simple qui nous vient à l'esprit, ce sont nos sentiments : amour, haine, envie, peur, désespoir dû à des espoirs non réalisés, rejet de quelque chose, culpabilité, honte. Il y a tellement de choses qui peuvent nous déséquilibrer... Mais en plus des vibrations internes, nous sommes également influencés par des irritants externes : nous n'avons pas suffisamment dormi, nous nous sommes habillés de manière inappropriée par rapport à la météo, avons mangé quelque chose de mal, avons enfilé des vêtements. le chemin du travail, a reçu une réprimande des patrons - et maintenant le monde commence à prendre des tons sombres, et une véritable tempête surgit dans l'âme, nous empêchant de penser, de ressentir et d'exister rationnellement.

Voulez-vous être en harmonie avec vous-même ? Vivez en paix avec votre corps : essayez de dormir suffisamment, offrez-vous de temps en temps vos aliments préférés, ne portez pas d'objets qui pincent ou frottent, ne vous torturez pas et vous ferez un grand pas vers la paix de esprit.

Vous souvenez-vous à quel point nous étions heureux lorsque nous étions enfants ? L'époque dorée, où l'herbe était plus haute que nous et les nuages ​​ressemblaient à de la barbe à papa, où nos parents ne critiquaient pas notre mode de vie, mais nous portaient dans leurs bras. Nous étions aimés, plaints, nous étions le centre de l'univers. Essayez de revenir à cette période de bonheur et vous verrez comment votre âme deviendra légère et calme. Vous pouvez vous sentir comme un enfant en jouant avec d’autres enfants et en jouant avec vous-même. Par exemple, qu'est-ce qui vous empêche, pendant une maladie, de ne pas vous précipiter au travail pour gagner les faveurs de vos supérieurs, mais de prendre votre livre préféré, de mettre un oreiller sous votre tête et d'exiger le petit-déjeuner, le déjeuner et le dîner de votre famille, et c'est tout. ça – au lit ?

Ce n’est pas pour rien que la maison est appelée une forteresse. Cela vous permet de vous cacher des problèmes extérieurs, vous pouvez faire une pause dans les situations ennuyeuses, les étrangers, les problèmes de travail. Rendez votre maison confortable et elle vous remplira d'énergie positive chaque soir.

Les problèmes familiaux et professionnels sont l’une des causes les plus courantes de perte d’équilibre mental. Des problèmes sur deux fronts à la fois peuvent conduire complètement une personne à la dépression. Pour éviter cela, essayez de résoudre les problèmes au fur et à mesure qu’ils surviennent. N’accumulez pas d’irritation au point où elle vous frappe de tout son poids. Pensez-vous que vos supérieurs ne vous valorisent pas en tant que spécialiste ? Essayez de prouver votre valeur professionnelle, non seulement en paroles, mais aussi en actes. Ils ne veulent toujours pas vous remarquer ? Résignez-vous, attendez un moment favorable qui vous permettra de prouver votre aptitude professionnelle, ou cherchez un nouvel emploi.

Malheureusement, dans la vie, il arrive souvent que des situations ne puissent être corrigées immédiatement. Il faut donc apprendre : d'une part, la patience, et de l'autre, la capacité de changer radicalement votre vie. Espérer le meilleur, la chance, le destin, Dieu est aussi un bon moyen d'accepter ce que vous ne pouvez pas changer ou que vous ne pouvez pas changer maintenant.

La constante de temps d’un problème est importante pour comprendre comment le résoudre. Si vous ne savez pas cuisiner, c'est une chose, vous pouvez toujours apprendre, mais si vous n'avez personne pour qui cuisiner, alors... vous devrez vous prendre au sérieux. L’amour non partagé, comme la mort d’un être cher, peut couper l’herbe sous le pied de n’importe qui.

Les sentiments des autres, tout comme leur vie, ne nous sont pas soumis. Il faut comprendre cela, accepter cette structure du monde et ne pas se tourmenter en vain. Oui, c'est terriblement difficile quand des êtres chers partent, et c'est insupportablement amer de savoir qu'on n'est pas aimé, mais... Chaque personne a quelque chose de plus précieux que ceux qui l'entourent : c'est lui-même.

L’amour-propre peut faire des merveilles. Un égoïsme sain, l’intérêt pour vous-même et la capacité d’apprécier ce que vous avez sont les bases sur lesquelles vous pouvez former un sentiment d’équilibre mental et de paix. Voyez à quel point cela fonctionne facilement :

• Abandonné par votre proche ? Ce n'est pas effrayant, nous pouvons désormais vivre pour notre propre plaisir.
  
• Un collègue nous joue des tours ? Incroyable! Il y aura quelque chose à faire au travail, en plus des projets ennuyeux !
  
• Votre cousin a-t-il acheté une nouvelle voiture étrangère ? Il y a une raison de célébrer cette affaire et de réfléchir à la façon de gagner de l'argent pour... deux voitures étrangères !
  
• Vous avez du mal à perdre du poids ? Aucun problème! Il doit y avoir beaucoup de bonnes personnes !
  

N'oubliez pas une chose simple : dès que quelque chose vous déséquilibre, commencez à agir. S'il est possible d'éliminer immédiatement l'irritant, éliminez-le ; non, retardez la résolution du problème et peut-être qu'il se résoudra tout seul. Avez-vous rencontré quelque chose qui sort de l'ordinaire ? Laissez libre cours à vos émotions. Ne retenez pas vos larmes, votre colère, votre désespoir. Avez-vous l'impression que vous ne pouvez pas vous en sortir seul ? Allez voir vos amis et votre famille. Sortez, asseyez-vous sur un banc dans le parc et parlez à un parfait inconnu. Un sentiment de nouveauté, un acte que vous accomplissez pour la première fois de votre vie, vous aidera à découvrir une facette inattendue de vous-même, dans laquelle les problèmes survenus peuvent s'avérer totalement insignifiants.

Vous pouvez essayer d'éliminer la lourdeur mentale... avec des joies spirituelles. Rappelez-vous ce que vous aimez le plus et faites-le dès que possible. Un shopping vertigineux, une sortie au cinéma pour une première tant attendue, une sortie de pêche entre amis, jouer à votre jeu informatique préféré, n'importe quelle petite chose peut devenir un point de départ pour retrouver la tranquillité d'esprit.

"Laissez l'eau trouble se calmer et tout deviendra clair." (Lao Tseu)
« Ne vous précipitez jamais et vous arriverez à l'heure» . (C. Talleyrand)

Un autre article de la rubrique « tous les jours » - thème de la paix dans la vie humaine. Comment rester calme, pourquoi le calme est si bon pour la vie et la santé. Nous avons spécifiquement placé cet article dans la section « tous les jours », car nous pensons qu'il sera utile à chaque personne de se calmer à temps, de mettre de l'ordre dans ses pensées et de simplement se détendre. Lorsque nous prenons une décision précipitée ou émotionnelle, nous sommes parfois déçus et regrettons ce que nous avons fait au bout d’un moment, nous sentant coupables. Pour éviter que de telles situations ne se produisent, vous devez intégrer cette compétence dans votre arsenal. Et en général, la tranquillité d'esprit aura l'effet le plus bénéfique sur la santé et la réussite dans la vie. Dans un état clair et calme, une personne est capable d'évaluer plus sobrement la situation, de se sentir elle-même et le monde. Essayons de comprendre ce qu'est le calme et essayons ce sentiment par nous-mêmes.

Vos pensées sont comme des cercles sur l'eau. La clarté disparaît dans l’excitation, mais si vous laissez les vagues se calmer, la réponse deviendra évidente. (Dessin animé Kung Fu Panda)

Alors, quels sont les avantages de la tranquillité d’esprit :

Le calme donne la force de surmonter les obstacles externes et les contradictions internes.
Le calme donne la libération - il contient des peurs, des complexes et un doute de soi.
Le calme montre la voie - pour s'améliorer.
La tranquillité d’esprit vient de la bonne volonté – des personnes qui vous entourent.
Le calme donne confiance en ses propres capacités.
Le calme donne de la clarté dans les pensées et les actions.

Le calme est un état d'esprit dans lequel les conflits et contradictions internes ne surviennent pas et les objets externes sont perçus de manière égale.

Manifestations de calme dans la vie de tous les jours ; situations quotidiennes, discussions, en famille, situations extrêmes :

Situations quotidiennes. La capacité d'éteindre une querelle naissante entre amis ou proches est l'habileté d'une personne calme.
Débats. La capacité de défendre calmement sa position, sans s’énerver ni se perdre, est la capacité d’une personne calme.
Expériences scientifiques. Seule une confiance sereine en leur propre justesse aide les scientifiques à avancer vers leur objectif à travers une série d'échecs.
Situations extrêmes. La clarté d'esprit et la rationalité des actions sont les avantages d'une personne calme qui augmentent ses chances de salut même dans les situations les plus difficiles.
Diplomatie. Une qualité nécessaire pour un diplomate est le calme ; cela aide à retenir les émotions et à effectuer uniquement des actions rationnelles.
Éducation familiale. Les parents qui élèvent leurs enfants dans un environnement calme, sans excès ni querelles bruyantes, inculquent le calme à leurs enfants.

On ne peut qu'être d'accord :

Le calme est la capacité de maintenir la clarté d’esprit et la sobriété dans toutes circonstances extérieures.
Le calme est la volonté de toujours agir de manière rationnelle, sur la base de conclusions logiques, et non sur une explosion émotionnelle.
Le calme est la maîtrise de soi et la force de caractère d’une personne, qui l’aident à survivre en cas de force majeure et à réussir dans des circonstances ordinaires.
Le calme est une expression de confiance sincère dans la vie et dans le monde qui nous entoure.
Le calme est une attitude bienveillante envers le monde et une attitude amicale envers les gens.

Si vous avez l'impression que le temps passe trop vite, ralentissez votre respiration....

Comment atteindre le calme, comment se calmer maintenant, comment trouver le calme dans la pratique

1. Asseyez-vous sur une chaise et détendez-vous complètement. En commençant par vos orteils et en remontant progressivement jusqu'à votre tête, détendez chaque partie de votre corps. Confirmez la relaxation par des mots : « Mes orteils sont détendus... mes doigts sont détendus... mes muscles du visage sont détendus... » etc.
2. Imaginez votre esprit comme la surface d'un lac lors d'un orage, avec des vagues montantes et de l'eau bouillonnante.. Mais les vagues se calmèrent et la surface du lac devint calme et lisse.
3. Passez deux ou trois minutes à vous remémorer les scènes les plus belles et les plus tranquilles que vous ayez jamais vues.: par exemple, un flanc de montagne au coucher du soleil, ou une plaine profonde remplie du silence du petit matin, ou une forêt à midi, ou le reflet du clair de lune sur les ondulations de l'eau. Revivez ces images dans votre mémoire.
4. Répétez lentement les mots de calme, calmement, mélodieusement une série de mots exprimant la paix et la tranquillité, par exemple: calme (dites-le lentement, à voix basse) ; sérénité; silence. Pensez à d'autres mots de ce type et répétez-les.
5. Faites une liste mentale des moments de votre vie où vous saviez que vous étiez sous la protection de Dieu et rappelez-vous comment Il a tout ramené à la normale et vous a calmé lorsque vous étiez inquiet et effrayé. Lisez ensuite à haute voix cette phrase du vieil hymne : « Ta puissance m’a gardé si longtemps que je sais qu’elle me guidera TRANQUILLEMENT plus loin. »
6. Répétez le verset suivant, qui a un pouvoir incroyable pour détendre et calmer l’esprit.: « Celui qui est fort d'esprit, tu le gardes dans une paix parfaite, car il a confiance en toi." (Livre du prophète Isaïe 26 : 3). Répétez-le plusieurs fois dans la journée, dès que vous disposez d'une minute libre. Répétez cela, si possible, à voix haute afin d'avoir le temps de le répéter plusieurs fois à la fin de la journée. Considérez ces mots comme des mots puissants et vitaux qui pénètrent dans votre esprit et, à partir de là, ils les envoient dans tous les domaines de votre pensée, comme un baume curatif. C’est le médicament le plus efficace pour éliminer les tensions de votre esprit..

7. Laissez votre respiration vous amener à un état de calme. La respiration consciente, qui est en soi une puissante méditation, vous mettra progressivement en contact avec le corps. Faites attention à votre respiration, à la façon dont l’air entre et sort de votre corps. Inspirez et ressentez comment, à chaque inspiration et expiration, votre ventre se soulève légèrement puis retombe. Si la visualisation est assez facile pour vous, fermez simplement les yeux et imaginez-vous plongé dans la lumière ou immergé dans une substance lumineuse - dans un océan de conscience. Maintenant, respirez cette lumière. Ressentez comment la substance lumineuse remplit votre corps et le fait briller aussi. Ensuite, déplacez progressivement votre attention vers le ressenti. Vous êtes donc dans le corps. Ne vous attachez simplement à aucune image visuelle.

Au fur et à mesure que vous développerez les techniques suggérées dans ce chapitre, la tendance vers l'ancien comportement de déchirer et de lancer changera progressivement. En proportion directe de vos progrès, la force et la capacité à faire face à toute responsabilité dans votre vie augmenteront, ce qui était auparavant supprimé par cette malheureuse habitude.

Apprendre à être calme - Comment rester calme à un moment crucial, et dans des situations difficiles, un raisonnement solide sur le calme et les émotions d'une personne (à certains endroits, notamment au début et à la fin, et au milieu à certains endroits) :

Quelles autres méthodes et façons de trouver la tranquillité d'esprit existent dans la vie, où aller pour la tranquillité d'esprit, qu'est-ce qui vous aidera à trouver la tranquillité d'esprit, où trouver la tranquillité d'esprit :

La foi donne à une personne la tranquillité d'esprit. Un croyant est toujours convaincu que tout dans la vie, bon ou mauvais, a un sens. Par conséquent, la foi donne à une personne la tranquillité d’esprit. - « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos."(Évangile de Matthieu 11 :28)
Formations psychologiques. L’entraînement à la paix intérieure peut aider une personne à se débarrasser des chaînes du doute et de ses peurs ; par conséquent, cultivez le calme en vous-même.
Amélioration personnelle. La base du calme est la confiance en soi ; en surmontant les complexes et les contraintes, en cultivant le respect de soi, une personne approche d'un état de calme.
Éducation. Pour avoir l'esprit tranquille, la compréhension est nécessaire - pour comprendre la nature des choses et leurs interrelations, une personne a besoin d'éducation

Citations et aphorismes sélectionnés sur le calme :

Quels éléments composent le bonheur ? Seulement de deux, messieurs, seulement de deux : une âme calme et un corps sain. (Mikhaïl Boulgakov)
La plus grande paix du cœur est possédée par celui qui ne se soucie ni de la louange ni du blâme. (Thomas à Kempis)
Le plus haut degré de sagesse humaine est la capacité de s’adapter aux circonstances et de rester calme malgré les tempêtes extérieures. (Daniel Defoe)
La tranquillité d'esprit est le meilleur soulagement en cas de problème. (Plaute)
Les passions ne sont que des idées dans leur premier développement : elles appartiennent à la jeunesse du cœur, et c'est un imbécile qui pense s'en soucier toute sa vie : beaucoup de rivières calmes commencent par des cascades bruyantes, mais aucune ne saute et n'écume toutes. le chemin vers la mer. (Mikhaïl Lermontov)
Tout se passe généralement bien tant que nous restons calmes. C'est la loi de la nature. (Max Frire)

Quelles choses utiles vais-je retenir pour moi et pour la vie de cet article :
Si des difficultés surviennent dans la vie, je me calmerai d'abord et je prendrai ensuite la bonne décision....
Je me souviendrai de citations sur le calme qui m'aideront dans les moments difficiles, dans les moments de troubles....
Je mettrai en pratique les méthodes pour entrer dans un état de calme....

Nous devons valoriser la tranquillité d’esprit si nous voulons vivre notre vie heureux !

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Comment rester calme, les bienfaits du calme pour la santé ou encore comment arrêter de déchirer et de lancer.

De nombreuses personnes se compliquent inutilement la vie, gaspillant leur force et leur énergie, succombant à un état incontrôlable, exprimé par les mots « déchirer et jeter ».

Cela vous arrive-t-il de « déchirer et de vous précipiter » ? Si oui, je vais vous dresser un tableau de cette condition. Le mot « déchirer » signifie ébullition, explosion, dégagement de vapeur, irritation, confusion, bouillonnement. Le mot « lancer » a des significations similaires. Quand je l'entends, je me souviens d'un enfant malade la nuit, qui est capricieux et qui crie ou gémit pitoyablement. Dès que ça s'apaise, ça recommence. C'est un acte ennuyeux, ennuyeux et destructeur. Lancer est un terme réservé aux enfants, mais il décrit la réaction émotionnelle de nombreux adultes.

La Bible nous conseille : « …pas dans ta colère… » (Psaume 37 :2). C’est un conseil utile pour les gens de notre temps. Nous devons cesser de déchirer et de jeter et trouver la paix si nous voulons conserver la force nécessaire pour mener une vie active. Comment y parvenir ?

La première étape consiste à modérer votre foulée, ou du moins le rythme de vos pas. Nous ne réalisons pas à quel point le rythme de notre vie a augmenté ni la vitesse que nous nous fixons. De nombreuses personnes détruisent leur corps physique à ce rythme, mais ce qui est encore plus triste, c'est qu'elles déchirent également leur esprit et leur âme en lambeaux. Une personne peut vivre une vie physique calme et en même temps maintenir un rythme émotionnel élevé. De ce point de vue, même une personne handicapée peut vivre à un rythme trop élevé. Ce terme définit la nature de nos pensées. Lorsque l’esprit saute frénétiquement d’une position à une autre, il devient extrêmement agité, et le résultat est un état proche d’un éclair d’irritation. Le rythme de la vie moderne doit être ralenti si nous ne voulons pas souffrir plus tard de la surstimulation débilitante et de l’inquiétude excessive qu’elle provoque. Une telle surexcitation produit des substances toxiques dans le corps humain et conduit à des maladies de nature émotionnelle. C'est là que surgissent la fatigue et un sentiment de déception, c'est pourquoi nous déchirons et nous battons quand il s'agit de tout, de nos problèmes personnels aux événements à l'échelle nationale ou mondiale. Mais si l’influence de cette anxiété émotionnelle produit un tel effet sur notre physiologie, alors que pouvons-nous dire de l’effet sur cette essence intérieure profonde d’une personne, qui est appelée l’âme ?

Il est impossible de trouver la tranquillité d’esprit quand le rythme de la vie s’accélère si fébrilement. Dieu ne peut pas aller aussi vite. Il ne fera aucun effort pour vous suivre. C’est comme s’Il disait : « Allez-y si vous devez vous adapter à ce rythme insensé, et quand vous serez épuisé, je vous offrirai ma guérison. Mais Je peux rendre votre vie très épanouissante si vous ralentissez maintenant et commencez à vivre, à bouger et à demeurer en Moi. Dieu bouge calmement, lentement et en parfaite harmonie. Le seul rythme de vie raisonnable est Tempo divin. Dieu veille à ce que tout soit fait et correctement. Il fait tout sans hâte. Il ne déchire pas et ne se précipite pas. Il est calme et ses actions sont donc efficaces. Cette même paix nous est offerte : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix… » (Évangile de Jean 14, 27).

Dans un certain sens, cette génération est digne de pitié, surtout dans les grandes villes, car elle est sous l'influence d'une tension nerveuse constante, d'une excitation artificielle et du bruit. Mais cette maladie pénètre également dans les zones rurales reculées, car les ondes aériennes y transmettent également cette tension.

J’ai été fait rire par une dame âgée qui, tout en discutant de ce problème, a déclaré : « La vie est tellement banale. » Cette ligne capture très bien la pression, la responsabilité et la tension que nous apporte la vie quotidienne. Les exigences constantes et insistantes que la vie nous impose provoquent cette tension.

Quelqu’un pourrait objecter : cette génération n’est-elle pas si habituée à la tension que beaucoup se sentent malheureux à cause de l’inconfort incompréhensible provoqué par l’absence de la tension habituelle ? La profonde tranquillité des forêts et des vallées, si bien connue de nos ancêtres, est un état inhabituel pour l'homme moderne. Le rythme de leur vie est tel que, dans de nombreux cas, ils se retrouvent incapables de trouver les sources de paix et de tranquillité que leur offre le monde matériel.

Un après-midi d'été, ma femme et moi sommes allés faire une longue promenade dans la forêt. Nous avons séjourné dans un magnifique lodge de montagne au bord du lac Mohonk, situé dans l'un des plus beaux parcs naturels d'Amérique : 7 500 acres de pentes de montagne vierges, entre lesquelles se trouve un lac qui se trouve comme une perle au milieu de la forêt. Le mot mohonk signifie « lac dans le ciel ». Il y a plusieurs siècles, un certain géant a soulevé cette partie de la terre, c'est pourquoi des falaises abruptes se sont formées. De la forêt sombre, vous émergez sur un promontoire majestueux, et votre regard se pose sur les vastes clairières s'étendant entre des collines parsemées de pierres et anciennes comme le soleil. Ces forêts, montagnes et vallées sont l’endroit où il faut s’éloigner des tumultes de ce monde.

Cet après-midi, en marchant, nous avons vu les averses d'été laisser la place à un soleil radieux. Nous étions trempés et avons commencé à discuter de cela avec enthousiasme, car il fallait essorer nos vêtements quelque part. Et puis nous avons convenu que rien de mal n'arriverait à une personne si elle était un peu mouillée par l'eau de pluie propre, que la pluie était si agréablement fraîche et rafraîchissait le visage, et que vous pouviez vous asseoir au soleil et vous sécher. Nous avons marché sous les arbres et discuté, puis nous nous sommes tus.

Nous avons écouté, écouté le silence. Franchement, les bois ne sont jamais calmes. Une activité incroyable mais invisible s'y déroule en permanence, mais la nature ne fait aucun bruit aigu, malgré le volume gigantesque de son travail. Les sons naturels sont toujours calmes et harmonieux.

En ce bel après-midi, la nature nous a posé sa main de calme curatif et nous avons senti la tension quitter notre corps.
Juste au moment où nous étions sous le charme de ce sort, des sons lointains de musique nous parvenaient. C'était une variation rapide et nerveuse du jazz. Bientôt, trois jeunes hommes sont passés devant nous – deux femmes et un homme. Ce dernier portait une radio portative. Il s'agissait de citadins partis se promener en forêt et, par habitude, emportaient avec eux le bruit de la ville. Ils étaient non seulement jeunes, mais aussi amicaux, car ils se sont arrêtés,

et nous avons eu une très agréable conversation avec eux. J'ai voulu leur demander d'éteindre la radio et les inviter à écouter la musique de la forêt, mais j'ai compris que je n'avais pas le droit de leur faire la leçon. Finalement, ils se séparèrent.

Nous avons parlé du fait qu'ils perdent beaucoup à ce bruit, qu'ils peuvent traverser ce calme et ne pas entendre l'harmonie et les mélodies aussi anciennes que le monde, que l'homme ne pourra jamais créer : le chant du le vent dans les branches des arbres, les trilles les plus doux des oiseaux qui chantent dans votre cœur et l'accompagnement musical inexplicable de toutes les sphères en général.

Tout cela se retrouve encore dans nos campagnes, dans nos forêts et nos plaines infinies, dans nos vallées, dans la grandeur de nos montagnes, dans le bruit des vagues écumantes sur le sable côtier. Nous devrions profiter de leur pouvoir de guérison. Souvenez-vous des paroles de Jésus : « Allez seul dans un lieu désert et reposez-vous un peu » (Marc 6 :31). Même maintenant, alors que j'écris ces mots et que je vous donne ces bons conseils, je me souviens d'occasions où j'avais besoin de me rappeler et de mettre en pratique la même vérité qui enseigne que

Un jour d'automne, Mme Peale et moi sommes allés au Massachusetts pour voir notre fils John, qui étudiait alors à la Deerfield Academy. Nous l'avons informé que nous arriverions rapidement à 11 heures du matin, car nous étions fiers de notre bonne vieille habitude d'être ponctuels. Alors, constatant que nous étions un peu en retard, nous nous sommes précipités à travers le paysage automnal. Mais ensuite la femme a dit : « Norman, vois-tu ce flanc de montagne étincelant ? « De quel flanc de montagne ? » - J'ai demandé. "Il était juste de l'autre côté", a-t-elle expliqué. "Regardez ce magnifique arbre." « Quel autre arbre ? » - J'étais déjà à un kilomètre de lui. "C'est l'un des jours les plus magnifiques que j'aie jamais vu", a déclaré l'épouse. - Est-il possible d'imaginer des couleurs aussi étonnantes que celles qui colorent les pentes des montagnes de la Nouvelle-Angleterre en octobre ? Essentiellement, a-t-elle ajouté, cela me rend heureuse de l’intérieur.

Cette remarque m'a tellement impressionné que j'ai arrêté la voiture et fait demi-tour vers le lac, qui se trouvait à un quart de mile de là et entouré de collines escarpées vêtues de vêtements d'automne. Nous nous sommes assis sur l'herbe, avons regardé cette beauté et réfléchi. Dieu, avec l'aide de son génie et de son art inégalé, a décoré cette scène avec une variété de couleurs que lui seul pouvait créer. Dans l'eau calme du lac, il y avait une image digne de sa grandeur - un versant de montagne d'une beauté inoubliable se reflétait dans cet étang, comme dans un miroir. Nous sommes restés assis pendant un certain temps sans dire un mot, jusqu'à ce que finalement ma femme brise le silence avec la seule déclaration appropriée dans une telle situation : « Il me conduit vers des eaux calmes" (Psaume 23 : 2). Nous sommes arrivés à Deerfield à 11 heures mais nous n'avons ressenti aucune fatigue. Au contraire, nous semblions même complètement rafraîchis.

Pour contribuer à réduire ce stress quotidien, qui semble être la condition dominante de nos populations partout dans le monde, vous pouvez commencer par ralentir votre propre rythme. Pour ce faire, vous devez ralentir et vous calmer. Ne vous énervez pas. Ne t'inquiète pas. Essayez de rester calme. Suivez cette instruction : « …et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence… » (Philippiens 4 : 7). Remarquez alors comment un sentiment de force calme surgit en vous. Un de mes amis qui a été contraint de partir en vacances à cause de la « pression » qu’il avait subie m’a écrit ceci : « J’ai beaucoup appris pendant ces vacances forcées. Maintenant, je comprends ce que je ne comprenais pas auparavant : dans le silence, nous prenons conscience de sa présence. La vie peut devenir extrêmement mouvementée. Mais comme le dit Lao Tseu, laisse l'eau trouble se calmer et tout deviendra clair».

Un médecin a donné des conseils assez farfelus à son patient, un homme d'affaires trop chargé appartenant à la catégorie des acquéreurs actifs. Il a dit avec enthousiasme au médecin quelle quantité de travail incroyable il était obligé de faire et qu'il devait le faire immédiatement, rapidement, sinon...

« Et je ramène mon travail à la maison dans ma mallette pour la soirée », dit-il avec enthousiasme. « Pourquoi ramènes-tu du travail à la maison tous les soirs ? » - demanda calmement le médecin. "Je dois le faire", dit l'homme d'affaires avec irritation. « Est-ce que quelqu'un d'autre ne pourrait pas le faire ou vous aider à y faire face ? » - a demandé au médecin. «Non», lâche le patient. - Je suis le seul à pouvoir le faire. Cela doit être bien fait, et moi seul peux le faire correctement. Il faut le faire rapidement. Tout dépend de moi." « Si je vous donne une ordonnance, la respecterez-vous ? » - a demandé au médecin.

Croyez-le ou non, c'était l'ordre du médecin : le patient devait consacrer deux heures par jour de travail à une longue marche. Puis une fois par semaine, il devait passer une demi-journée au cimetière.

L’homme d’affaires surpris a demandé : « Pourquoi devrais-je passer la moitié de ma journée dans un cimetière ? » « Parce que je veux que vous vous promeniez et que vous regardiez les pierres tombales des tombes des personnes qui y ont trouvé leur repos éternel. Je veux que vous réfléchissiez au fait que beaucoup d’entre eux sont là parce qu’ils pensaient comme vous, comme si le monde entier reposait sur leurs épaules. Considérez le fait sérieux que lorsque vous y arriverez de manière permanente, le monde restera le même qu’avant, et d’autres personnes tout aussi importantes que vous feront le même travail que vous faites maintenant. Je vous conseille de vous asseoir sur l'une des pierres tombales et de répéter le verset suivant : « Car mille ans sont à tes yeux comme hier quand il est passé, et comme une montre dans la nuit." (Psaume 89 : 5).

Le patient a compris cette idée. Il modéra son rythme. Il a appris à déléguer son autorité à d'autres personnes faisant autorité. Il est parvenu à une compréhension correcte de sa propre importance. J'ai arrêté de déchirer et de lancer. J'ai trouvé la paix. Et il faut ajouter qu'il a commencé à mieux gérer son travail. Il a développé une meilleure structure organisationnelle et admet que son entreprise est désormais en meilleure forme qu'avant.

Un industriel célèbre a beaucoup souffert de surcharge. Essentiellement, son esprit était réglé sur un état de nerfs constamment tendus. C'est ainsi qu'il décrivait son réveil : chaque matin, il sautait du lit et démarrait immédiatement à plein régime. Il était tellement pressé et excité qu’il « s’est préparé un petit-déjeuner composé d’œufs à la coque simplement parce qu’ils vont plus vite ». Ce rythme effréné le fatiguait et l'épuisait jusqu'à l'épuisement à midi. Chaque soir, il se couchait complètement épuisé.

Il se trouve que sa maison s'est avérée être située dans un petit bosquet. Tôt un matin, incapable de dormir, il se leva et s'assit près de la fenêtre. Et puis il commença à observer avec intérêt l'oiseau nouvellement réveillé. Il remarqua que l'oiseau dormait, cachant sa tête sous son aile, étroitement recouverte de plumes. Après s'être réveillée, elle sortit son bec de sous les plumes, regarda autour d'elle les yeux encore embrumés par le sommeil, étendit une jambe sur toute sa longueur, étirant en même temps son aile le long d'elle, l'ouvrant en forme d'éventail. . Ensuite, elle a rétracté sa patte et plié son aile et a répété la même procédure avec l'autre patte et l'autre aile, après quoi elle a de nouveau caché sa tête dans les plumes pour faire une petite sieste plus douce, et a de nouveau sorti la tête. Cette fois, l'oiseau regarda attentivement autour de lui, tourna la tête en arrière, s'étira encore deux fois, puis poussa un trille - un chant de louange touchant et délicieux pour un nouveau jour - après quoi il descendit de la branche, but une gorgée d'eau froide et est parti à la recherche de nourriture.

Mon ami nerveux s’est dit : « Si cette méthode d’éveil fonctionne pour les oiseaux, lentement et facilement, alors pourquoi ne fonctionnerait-elle pas pour moi ?

Et il a effectivement fait la même performance, y compris en chantant, et a remarqué que la chanson avait un effet particulièrement bénéfique, puisqu'elle servait comme une sorte de soulagement.

« Je ne sais pas chanter », sourit-il en se souvenant, « mais je me suis entraîné : je me suis assis tranquillement sur une chaise et j'ai chanté. La plupart du temps, je chantais des hymnes et des chansons joyeuses. Imaginez : je chante ! Mais je l'ai fait. Ma femme pensait que j'étais fou. La seule différence entre mon programme et celui de l'oiseau, c'est que je priais aussi, et puis, comme l'oiseau, j'ai commencé à sentir que cela ne me ferait pas de mal de me rafraîchir, ou plutôt de prendre un petit-déjeuner solide - des œufs brouillés au jambon. . Et j'y ai consacré le temps imparti. Puis, l’esprit apaisé, je me suis mis au travail. Tout cela a vraiment contribué à un début de journée efficace, sans aucun stress, et à passer la journée dans un état calme et détendu.

Un ancien membre d’une équipe universitaire championne d’aviron m’a raconté que l’entraîneur de son équipe, un homme très perspicace, leur rappelait souvent : « Pour gagner ce concours ou tout autre concours, ramez lentement " Il a souligné qu'un aviron précipité perturbe généralement le coup de rame et que si cela se produit, il est alors très difficile pour l'équipe de rétablir le rythme nécessaire à la victoire. Pendant ce temps, d'autres équipes contournent le groupe malchanceux. C'est vraiment un conseil judicieux - « pour nager vite, ramez lentement ».

Afin de ramer lentement ou de travailler tranquillement et de maintenir un rythme régulier qui mène à la victoire, la victime de tempos élevés ferait bien de coordonner ses actions avec la paix de Dieu dans son esprit, son âme et, cela ne ferait peut-être pas de mal d'ajouter : aussi dans ses nerfs et ses muscles.

Avez-vous déjà pensé à l’importance de la présence de la paix divine dans vos muscles et vos articulations ? Peut-être que vos articulations ne vous feraient pas autant mal s’il y avait en elles la paix divine. Vos muscles fonctionneront de manière interconnectée si leur action est contrôlée par la puissance créatrice divine. Chaque jour, dis à tes muscles, à tes articulations et à tes nerfs : « …pas dans ta colère… » (Psaume 37 : 2). Détendez-vous sur votre canapé ou votre lit, pensez à chaque muscle vital, de la tête aux pieds, et dites à chacun : « La paix divine est sur vous ». Apprenez ensuite à sentir le calme circuler dans tout votre corps. Avec le temps, vos muscles et vos articulations seront en parfait état.

Prenez votre temps car ce que vous voulez vraiment sera là en temps voulu si vous y travaillez sans stress ni tracas. Mais si, en continuant à suivre la direction divine et son rythme doux et sans hâte, vous n’obtenez pas le résultat souhaité, alors vous devez supposer qu’il ne devrait pas exister. Si vous l'avez manqué, c'est probablement pour le mieux. Par conséquent, essayez de développer un rythme normal, naturel et déterminé par Dieu. Développer et maintenir son calme mental. Apprenez l’art de vous débarrasser de toute excitation nerveuse. Pour ce faire, arrêtez vos activités de temps en temps et affirmez : « Maintenant, je libère l'excitation nerveuse, elle sort de moi. Je suis calme." Ne le déchire pas. Ne vous précipitez pas. Développez le calme.

Afin d’atteindre cet état de vie productif, je recommande de développer un état d’esprit calme. Chaque jour, nous effectuons un certain nombre de procédures nécessaires liées au soin de notre corps : prendre une douche ou un bain, se brosser les dents, faire des exercices matinaux. De la même manière, nous devrions consacrer du temps et des efforts à garder notre esprit en bonne santé. Une façon d’y parvenir est de s’asseoir dans un endroit calme et de faire circuler une série de pensées apaisantes dans votre esprit. Par exemple, le souvenir d'une montagne ou d'une vallée majestueuse aperçue une fois, au-dessus de laquelle s'élève le brouillard, d'une rivière scintillante au soleil où éclaboussent des truites, ou le reflet argenté du clair de lune à la surface de l'eau.

Au moins une fois par jour, de préférence pendant la période la plus chargée de la journée, arrêtez volontairement toutes sortes d'activités pendant dix à quinze minutes et pratiquez un état de sérénité.

Il y a des moments où il est nécessaire de freiner résolument notre rythme effréné, et je dois souligner que la seule façon de s'arrêter est de s'arrêter.

Un jour, je me suis rendu dans l'une des villes pour donner une conférence convenue à l'avance et j'ai été accueilli par les représentants d'un comité dans le train. J'ai été immédiatement rapidement entraîné dans une librairie, où j'ai été forcé de signer des autographes. Puis, tout aussi rapidement, j'ai été traîné vers un petit-déjeuner léger organisé en mon honneur, après avoir rapidement dévoré ce petit-déjeuner, j'ai été récupéré et emmené à la réunion. Après la réunion, j'ai été reconduit à la même vitesse à l'hôtel, où j'ai changé de vêtements, après quoi j'ai été escorté à la hâte jusqu'à une réception, où j'ai été accueilli par plusieurs centaines de personnes et où j'ai bu trois verres de punch. Ensuite, j'ai été rapidement ramené à l'hôtel et prévenu que j'avais vingt minutes pour me changer pour le dîner. Alors que je me changeais, le téléphone a sonné et quelqu'un m'a dit : « Dépêchez-vous, s'il vous plaît, nous devons nous précipiter pour déjeuner. » J’ai répondu avec enthousiasme : « Je me précipite déjà. »

Je suis rapidement sorti de la pièce, si excité que je pouvais à peine mettre la clé dans le trou de la serrure. Après m'être rapidement tâté pour m'assurer que j'étais bien habillé, je me suis précipité vers l'ascenseur. Et puis il s'est arrêté. Cela m’a coupé le souffle. Je me suis demandé : « A quoi ça sert tout ça ? Quel est l’intérêt de cette course continue ? C'est drôle !

Et puis j’ai déclaré mon indépendance et j’ai dit : « Je m’en fiche de savoir si j’arriverai à dîner ou non. Peu importe que je prononce un discours ou non. Je n’ai pas besoin d’aller à ce dîner et je n’ai pas besoin de prononcer un discours. Après cela, je suis délibérément retourné lentement dans ma chambre et j'ai lentement déverrouillé la porte. Puis il appela le préposé qui attendait en bas et lui dit : « Si vous avez faim, allez-y. Si vous voulez me remplacer, après un certain temps, je descendrai, mais je n’ai pas l’intention de me précipiter ailleurs.

Alors je me suis assis, je me suis reposé et j'ai prié pendant quinze minutes. Je n’oublierai jamais le sentiment de paix et de maîtrise de soi que j’ai ressenti en quittant la pièce. C'était comme si j'avais héroïquement surmonté quelque chose, pris le contrôle de mes émotions, et quand je suis arrivé pour le dîner, les invités venaient de terminer le premier plat. Je n'ai raté que la soupe, qui, de l'avis de tous, n'était pas une si grosse perte.

Cet incident a permis de vérifier l’effet étonnant de la présence divine curative. J'ai acquis ces valeurs d'une manière très simple : m'arrêter, lire tranquillement la Bible, prier sincèrement et remplir mon esprit de pensées apaisantes pendant quelques minutes.
Les médecins croient généralement que la plupart des maux physiques pourraient être évités ou surmontés en pratiquant constamment une attitude philosophique : il n'est pas nécessaire de déchirer et de jeter.

Un New-Yorkais bien connu m'a dit un jour que son médecin lui avait conseillé de se rendre à la clinique de notre église. « Parce que, dit-il, il faut développer un mode de vie philosophique. Vos ressources énergétiques sont épuisées.

« Mon médecin dit que je repousse mes limites. Il dit que je suis trop tendu, trop tendu, que je déchire et que je sabre trop. Il déclare que le seul traitement qui me convient est le développement de ce qu'il appelle un mode de vie philosophique. »
Mon visiteur s’est levé et a commencé à arpenter la pièce avec enthousiasme, puis a demandé : « Mais comment diable puis-je résoudre ce problème ? C’est facile à dire, mais difficile à faire.

Puis ce monsieur excité a continué son histoire. Son médecin lui donne certaines recommandations pour développer ce mode de vie calme et philosophique. Les recommandations se sont avérées vraiment judicieuses. "Mais ensuite", a expliqué le patient, "le médecin m'a suggéré de voir vos gens ici à l'église, parce qu'il pensait que si j'apprenais à mettre en pratique la foi religieuse, cela me procurerait une tranquillité d'esprit et abaisserait ma tension artérielle. , après quoi je me sentirai mieux physiquement. Et même si j'admets que la prescription de mon médecin est logique, conclut-il plaintivement, comment un homme de cinquante ans, aussi nerveux de nature que moi, peut-il changer brusquement les habitudes qu'il a acquises tout au long de sa vie et développer cette la soi-disant image philosophique de la vie ?
En effet, cela ne semblait pas être un problème facile, puisque cet homme était un paquet complet de nerfs gonflés à l'extrême. Il faisait les cent pas dans la pièce, frappait du poing sur la table, parlait d'une voix forte et excitée et donnait l'impression d'une personne extrêmement alarmée et confuse. De toute évidence, ses affaires étaient dans un très mauvais état, mais en parallèle, son état intérieur était également révélé. L'image ainsi obtenue nous a donné l'occasion de l'aider car nous avons pu mieux comprendre son essence.

En écoutant ses paroles et en observant son attitude, j’ai compris à nouveau pourquoi Jésus-Christ a constamment maintenu son incroyable influence sur les gens. Parce qu’Il ​​avait la réponse à des problèmes comme celui-ci, et j’ai testé ce fait en changeant soudainement le sujet de notre conversation. Sans aucune introduction, j'ai commencé à citer quelques passages de la Bible, par exemple : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos » (Matthieu 11 :28). Et encore : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix : je ne vous la donne pas comme le monde la donne. Que votre cœur ne soit pas troublé et qu'il ne soit pas effrayé » (Évangile de Jean 14 :27). Et encore : « Celui qui est fort d’esprit, tu le garderas dans une paix parfaite, car il se confie en toi » (Ésaïe 26 : 3).

J'ai cité ces mots doucement, lentement, pensivement. Dès que je me suis tu, j’ai immédiatement remarqué que l’excitation de mon visiteur s’était apaisée. Le calme l'envahit et nous restâmes tous les deux assis en silence pendant un moment. Il semblait que nous étions restés assis là pendant quelques minutes, peut-être moins, mais ensuite il a pris une profonde inspiration et a dit : « C'est drôle, je me sens beaucoup mieux. N'est-ce pas bizarre ? Je pense que ces mots l'ont fait. "Non, pas seulement les mots", répondis-je, "bien qu'ils aient certainement eu un impact significatif sur votre esprit, mais aussi quelque chose d'incompréhensible qui s'est produit après cela. Il y a une minute, Il vous a touché, le Guérisseur, avec Son toucher guérisseur. Il était présent dans cette pièce. »

Mon visiteur n'a pas montré de surprise face à cette déclaration, mais a accepté volontiers et impulsivement - et la conviction était inscrite sur son visage. « C'est vrai, il était définitivement là. Je l'ai senti. Je comprends ce que tu voulais dire. Maintenant, je sais que Jésus-Christ m’aidera à développer un mode de vie philosophique.

Cet homme a découvert ce que de plus en plus de gens découvrent aujourd'hui : une foi simple et l'utilisation des principes et des méthodes du christianisme apportent la paix et la tranquillité, et donc une nouvelle force au corps, à l'esprit et à l'esprit. C'est l'antidote parfait pour ceux qui vomissent et se précipitent. Cela aide une personne à trouver la paix et ainsi à découvrir de nouvelles ressources de force.

Bien sûr, il fallait enseigner à cette personne une nouvelle façon de penser et de se comporter. Cela a été fait en partie avec l'aide de la littérature pertinente rédigée par des experts dans le domaine de la culture spirituelle. Par exemple, nous lui avons donné des leçons sur la manière d'aller à l'église. Nous lui avons montré que le service religieux peut être considéré comme une sorte de thérapie. Nous l'avons instruit sur l'utilisation scientifique de la prière et de la relaxation. Et finalement, grâce à cette pratique, il est devenu une personne en bonne santé. Quiconque est prêt à suivre ce programme et à utiliser sincèrement ces principes jour après jour, j'en suis convaincu, sera capable de développer la paix et la force intérieures. Beaucoup de ces méthodes sont présentées dans ce livre.

Le contrôle émotionnel est d’une importance primordiale dans la pratique quotidienne des modalités de guérison. Le contrôle des émotions ne peut pas être obtenu d’un coup de baguette magique ou d’une manière simple. Vous ne pouvez pas développer cela simplement en lisant un livre, même si cela aide souvent. La seule méthode garantie est un travail régulier, persistant et scientifiquement fondé dans cette direction et le développement d'une foi créatrice.

Je vous conseille de commencer par une procédure aussi approfondie et simple que la pratique régulière d'être en paix physique. Ne marchez pas d’un coin à l’autre. Ne vous tordez pas les mains. Ne frappez pas du poing sur la table, ne criez pas, ne vous disputez pas. Ne vous permettez pas de travailler jusqu'à l'épuisement. Avec l’excitation nerveuse, les mouvements physiques d’une personne deviennent convulsifs. Commencez donc par le plus simple : arrêter tout mouvement physique. Restez immobile ou asseyez-vous ou allongez-vous pendant un moment. Et, bien entendu, ne parlez que sur les tons les plus bas.

Lorsque vous développez le contrôle de votre état, vous devez penser au silence, car le corps est très sensible et réagit à la façon de penser qui domine l'esprit. En effet, l’esprit peut être apaisé en calmant d’abord le corps. En d’autres termes, un état physique peut provoquer une attitude mentale souhaitée.

Un jour, dans mon discours, j'ai évoqué l'incident suivant, survenu lors d'une réunion d'un comité où j'étais alors présent. Un monsieur qui m'a entendu raconter cette histoire en a été très impressionné et il a pris cette vérité à cœur. Il a essayé les méthodes suggérées et a rapporté qu'elles étaient très efficaces pour contrôler ses habitudes de déchirement et de projection.

Une fois, j'ai assisté à une réunion où la discussion animée est devenue très animée à la fin. Les passions ont éclaté et certains participants étaient presque au bord de la dépression. Des remarques dures ont suivi. Et soudain, un homme se leva, ôta lentement sa veste, déboutonna le col de sa chemise et s'allongea sur le canapé. Tout le monde était étonné et quelqu'un lui a même demandé s'il était malade.

«Non», dit-il, «je me sens bien, mais je commence à m'emporter, et je sais par expérience qu'il est difficile de s'emporter en étant allongé.»

Nous avons tous ri et la tension est retombée. Notre ami excentrique a ensuite donné des explications plus détaillées et a raconté comment il avait appris à se jouer « un petit tour ». Il avait un caractère déséquilibré, et lorsqu'il sentit qu'il s'énervait et commença à serrer les poings et à élever la voix, il écarta immédiatement lentement les doigts, les empêchant de serrer à nouveau le poing. Il faisait de même avec sa voix : lorsque la tension augmentait ou que la colère grandissait, il supprimait délibérément le son de sa voix et passait à un murmure. « Il est absolument impossible de discuter à voix basse », a-t-il déclaré en riant.

Ce principe peut être efficace pour contrôler l’excitation émotionnelle, l’irritation et la tension, comme beaucoup l’ont découvert dans des expériences similaires. Par conséquent, la première étape pour atteindre un état de calme consiste à pratiquer vos réactions physiques. Vous serez surpris de la rapidité avec laquelle cela refroidira l'intensité de vos émotions, et lorsque cette intensité s'atténuera, vous n'aurez plus aucune envie de déchirer et de jeter. Vous ne pouvez même pas imaginer combien d’énergie et d’efforts vous économiserez. Et combien vous serez moins fatigué. De plus, c'est une procédure très adaptée pour développer le flegmatisme, l'indifférence et même l'indifférence. N'ayez pas peur d'essayer de développer l'inertie. Ayant de telles compétences, les gens sont moins susceptibles de connaître des dépressions émotionnelles. Les individus très organisés bénéficieront de cette capacité à changer de réaction. Mais il est tout à fait naturel qu'une personne de ce type ne veuille pas perdre des qualités telles que la sensibilité et la réactivité. Cependant, ayant développé un certain degré de flegmatisme, une personnalité harmonieuse n'acquiert qu'une position émotionnelle plus équilibrée.

Ce qui suit est une méthode en six étapes que je trouve personnellement extrêmement utile pour ceux qui veulent rompre avec l’habitude de déchirer et de lancer. J'ai recommandé cette méthode à de nombreuses personnes qui l'ont trouvée extrêmement utile.

Mantra de paix universelle

Beaucoup de personnes se posent la question : « Comment retrouver la tranquillité d’esprit et la tranquillité, qui vous permettront d’interagir harmonieusement avec le monde qui vous entoure, tout en maintenant l’équilibre à tous les niveaux (mental, émotionnel et physique) de votre Personnalité » ?

S'être incarné, avoir traversé le voile de l'oubli et être en train de vivre sous l'influence de nombreuses énergies de catalyseurs, se souvenir de son vrai soi et trouver l'équilibre intérieur n'est pas une tâche facile et c'est le défi auquel chacun est confronté.

Le sommet de celui-ci est accessible à tous, et toutes ses facettes sont déjà en nous. Chacun installe et configure son système dans une plage et des limites confortables.

L’équilibre interne d’une personne ne peut pas être atteint par une influence extérieure, il doit provenir de l’intérieur, peu importe comment cela se produit, avec ou sans conscience, mais l’essence viendra de l’intérieur. L’acteur extérieur ne peut qu’aider à l’orientation, mais pas à l’auto-organisation.
De plus, les accidents et les « incursions » dans le développement personnel ne sont pas utiles ici. Pour atteindre vos objectifs internes, vous devez vous traiter avec soin et travailler systématiquement.

Trouver la tranquillité d'esprit et l'harmonie avec nous-mêmes est le niveau de notre état qui est disponible à chaque instant de notre réalité ICI et MAINTENANT.

La nature de ces choses n’est pas du tout passive, mais au contraire, elle est très dynamique et se traduit par de nombreux autres facteurs. Tout cela est organisé par une combinaison de : activité mentale, énergie, corps, partie émotionnelle. Chacun de ces facteurs a un impact sérieux sur les autres, s'organisant en un seul être entier - une personne.

Chacun de nous est confronté à un défi et il est accepté par chacun de nous, se manifestant dans notre libre choix.

L'équilibre interne humain– c’est une condition nécessaire à la vie dans notre Monde. Et si nous ne le formons pas nous-mêmes, il le sera sans notre participation consciente et amené dans une certaine gamme de basses fréquences nous permettant de manipuler, de contrôler et de prendre de l'énergie.

C’est pourquoi notre question est directement liée à la liberté réelle et à l’indépendance énergétique de chacun.

Modes de formation de l'équilibre mental et de l'harmonie

La réalisation est possible selon deux modes :

Premier mode

Un processus conscient et personnellement contrôlé de construction, d’ajustement et de réglage de tous les composants de l’harmonie interne. Dans ce cas, l’équilibre individuel construit au cours du travail est stable, positif, énergétique et optimal.

Deuxième mode

Inconscient, chaotique, lorsqu'une personne vit, obéissant et suivant inconsciemment l'inclusion automatique d'une chaîne de pensées, d'émotions et d'actions. Dans ce cas, notre nature est construite dans la plage contrôlée des basses fréquences et est réalisée comme destructrice et destructrice pour l'homme.

Au fil du temps, après avoir construit une vision du monde positive qui fonctionne pour nous, nous pouvons créer nos propres façons d'intégrer et d'installer un équilibre interne à tout moment, même le plus critique.

Facteurs influençant la formation de l'équilibre mental

1. Rapidité de séjour

Le désir d'accélérer le cours des événements de la vie, l'intolérance et une réaction négative sous forme d'irritation due à la rapidité avec laquelle les événements se déroulent et le rejet de ce qui se passe contribuent à l'émergence d'un déséquilibre.

Rester dans le moment présent, accepter le flux de circonstances sur lesquelles nous ne pouvons pas influencer, ne fait que contribuer à une meilleure résolution des problèmes. Nos réactions aux événements extérieurs sont essentielles et déterminantes pour sa préservation. Nous seuls choisissons nous-mêmes comment réagir aux situations et événements émergents.

Tous les catalyseurs externes sont initialement de nature neutre, et nous seuls décidons de ce qu'ils seront et révélons leur potentiel.
Donner du temps signifie se concentrer sur chaque action, peu importe ce que vous faites, fermer des boutons, préparer à manger, faire la vaisselle ou toute autre chose.

Pas à pas, nous devons parcourir notre chemin, prêter notre attention uniquement au présent et ne pas accélérer les mouvements qui se déroulent à leur propre vitesse. Laissez une petite affaire entrer dans votre monde, donnez-vous entièrement, vous ne devez pas constamment vous livrer à ce qui vous inquiète, vous devez apprendre à distraire votre esprit.

Des actions aussi simples visent à accroître la conscience, mais une pierre use l'eau et ce que vous réaliserez vous étonnera. Ce sont les petites choses avec lesquelles nous commençons le voyage qui rendent notre conscience plus plastique et affaiblissent toutes les tensions qui s'accumulent en nous depuis des années, nous poussant dans le monde irréel. Nous ne rêvons pas de ce que cela devrait être, nous y avançons par nous-mêmes. Un jour, faites simplement la vaisselle avec un intérêt évident, ne pensez qu'à eux, prenez votre temps, laissez la réflexion faire tout pour vous. Une logique aussi simple révèle le familier sous un angle complètement différent. De plus, le monde lui-même devient plus compréhensible pour ceux qui sont attentifs et réfléchis, et déjà à ce stade certaines peurs s'estompent.

Nous ne pouvons pas tout contrôler dans la vie – cela signifie que cela n’a pas vraiment de sens de se battre, c’est la réalité. Et il arrive souvent que toute autre influence que nous avons ne fera que nuire à la situation et signifiera que nous ne sommes pas encore prêts à trouver consciemment la tranquillité d'esprit et l'harmonie en nous-mêmes.

2. Modération

Éviter la sursaturation de l'environnement par les excès, la capacité de ne pas diviser le monde en noir et blanc, la capacité de comprendre clairement le niveau de sa propre force, de ne pas perdre de temps - tout cela permet d'accumuler le potentiel nécessaire de notre énergie pour son utilisation ultérieure dans la création d'un équilibre interne positif (équilibre).

3. État d'esprit

Les pensées sont une substance énergétique en nous. Pour établir l’harmonie, il faut les distinguer et les surveiller. Mais toutes les pensées que nous captons en nous ne nous appartiennent pas. Nous devons nous-mêmes choisir ce que nous croyons. Il est nécessaire de distinguer consciemment les pensées qui nous viennent.

Nos motivations se reflètent dans le monde qui nous entoure ; un état de pensée négatif se propagera à notre perception du monde dans son ensemble. En nous entraînant à suivre nos pensées et à faire des choix conscients, nous assumons la responsabilité de notre vie, parvenons à la tranquillité d'esprit et à l'harmonie avec nous-mêmes.

Suivre les pensées implique de ne pas réagir aux images émergentes de manière réflexive et automatique. Faites une pause, ressentez les sentiments et les émotions que cette pensée évoque et faites un choix si cela vous plaît ou non.

Une réaction émotionnelle automatique inconsciente et rapide aux pensées négatives émergentes déclenche le processus de production et de libération d'énergie négative à basse fréquence, ce qui réduit le niveau de fréquence des corps énergétiques et, par conséquent, les abaisse dans des plages basses.
La capacité de distinguer, de surveiller et de choisir une façon de penser permet et crée les conditions nécessaires pour créer ou restaurer la tranquillité d’esprit et la tranquillité personnelles.

4. Émotions

Les émotions humaines sont une attitude évaluative de la personnalité et une réponse à l’influence des catalyseurs extérieurs de la vie.
Avec une attitude consciente, notre sphère sensorielle, nos émotions, sont un Don Divin et un Pouvoir créateur, s'unissant à l'aspect le plus élevé de la SuperÂme, source inépuisable. force.

Avec une attitude inconsciente et des réactions émotionnelles automatiques face à des catalyseurs externes, cause de souffrance, de douleur, de déséquilibre.

Si les pensées, au sens figuré, sont le « déclencheur » du démarrage des processus énergétiques, alors les émotions sont les forces motrices qui donnent l'accélération (accélération) à ces processus. Tout dépend de la direction de l’attention du vecteur et de la manière dont se produit, consciemment ou inconsciemment, l’immersion dans ce flux accéléré. Chacun choisit comment utiliser ce pouvoir pour la créativité, la création, le renforcement de la connexion avec son âme supérieure ou pour des libérations explosives destructrices.

5. Corps physique

Le corps n'est qu'une extension de notre pensée.
Au niveau du corps physique, un circuit énergétique est fermé qui relie pensées - corps, émotions - corps, système harmonieux - libération d'énergie.

L'utilisation d'images mentales spécifiques avec l'ajout d'un cocktail émotionnel est suivie d'un afflux de neurotransmetteurs de type individuel dans le corps, qui déterminent la sensation physique et morale spécifique que nous ressentirons.

• Émotions positives provoquent la relaxation et le calme, permettent à notre corps et à toutes ses parties de ne pas brûler d'énergie et de travailler dans le bon mode.
• Les émotions négatives, au contraire, provoquent des perturbations locales, qui peuvent se manifester par des spasmes des muscles lisses et des déformations des membranes tissulaires, des spasmes et des compressions, ont un effet cumulatif et conduisent donc à des processus négatifs à long terme dans tout le corps.

Le système hormonal humain réagit à l'état émotionnel, ce qui signifie qu'il a un impact direct sur l'état du corps du moment, mais avec une augmentation du niveau de certaines hormones, l'émotivité augmente également.

En conséquence, nous sommes capables d'apprendre à contrôler nos émotions en contrôlant, dans une certaine mesure, le niveau hormonal du corps, ce qui nous donnera l'occasion de surmonter facilement certaines émotions négatives et d'en prendre le contrôle. Cette compétence déterminera en grande partie notre capacité à éviter de nombreuses conditions douloureuses, et par conséquent notre espérance de vie.

7 conseils pour retrouver l’équilibre et l’harmonie mentale

1. Évitez une planification stricte

Lorsque des plans sont créés pour définir les objectifs de développement, la mise en œuvre des manœuvres, les réalisations et les résultats, alors tout est en ordre. Mais lorsque nous contrôlons chaque minute de notre espace de vie, nous nous démoralisons en prenant du retard. Nous devons toujours courir quelque part et avoir le temps de tout faire. Dans ce mode, nous nous limitons aux aspects quotidiens et manquons des opportunités particulières pour résoudre des situations. Il faut être plus flexible et ouvert à la possibilité de traverser les événements sans souffrance émotionnelle.

Il est difficile de voir chaque petit détail des événements possibles dans le futur, mais si nous sommes capables de nous adapter sur le moment, rien ne nous déstabilise et nous nageons avec confiance dans le courant de la vie, contrôlant adroitement notre « rame », retournant au équilibre souhaité dans le temps.

2. Les symboles ne sont pas aléatoires

Rien n'arrive par hasard. Si nous savons voir, distinguer et croire les signes qui nous sont envoyés depuis les plans supérieurs, nous pourrons alors gérer notre équilibre et éviter bien des ennuis. En entraînant la vision et la sensation des signes, vous pouvez rapidement éviter les influences négatives et suivre la gamme de fréquences optimale, corriger votre présence dans le flux d'énergies, gagner en tranquillité d'esprit et en tranquillité dans la vie.

3. Pratiquez la foi en Dieu et servez une puissance supérieure

Nous devons avoir un lieu sacré, tant au sens littéral (physique) que figuré (aspiration et foi), cela nous permet de maintenir la « pureté », la « confiance » et de « former » les bons objectifs. Confiance! La confiance dans la providence divine, le flux, le pouvoir suprême, et aussi en vous-même en tant que Créateur est la clé pour suivre le flux, la clé d'une vie réussie, calme, épanouissante et épanouie. Ne retirez pas le « volant » des mains de la Suprême Providence, laissez-moi vous aider dans le présent.

4. Oubliez le problème pendant un moment et faites confiance à l'Univers pour le résoudre

Souvent, nous ne pouvons pas arrêter notre esprit pensant parce que nous sommes gênés par un grand nombre de problèmes. Une bonne technique consiste à apprendre à « oublier » la demande. Si vous avez un problème, vous le formulez et ensuite vous « oubliez ». Et à ce moment-là, votre vision trouve indépendamment une solution au problème, et après un certain temps, vous pourrez « vous souvenir » de votre demande ainsi que de sa solution.

Apprenez à écouter votre cœur, votre voix intérieure, votre instinct, votre intuition surnaturelle, qui vous dit : « Je ne sais pas pourquoi j'ai besoin de ça - mais j'y vais maintenant », « Je ne sais pas pourquoi ». Je dois partir - mais il est temps pour nous de partir. ", "Je ne sais pas pourquoi je devrais y aller - mais pour une raison quelconque, je dois y aller."

Dans un état de flux d’équilibre, nous savons comment agir même si nous ne connaissons pas pleinement ou ne comprenons pas logiquement la situation. Apprenez à vous écouter. Permettez-vous d’être incohérent, situationnel et flexible. Faites confiance au flux, même lorsque c'est difficile. S'il y a des difficultés dans votre vie et que vous êtes sûr d'avoir écouté vous-même, votre intuition et fait de votre mieux dans la situation actuelle, ne vous précipitez pas pour blâmer le flux, demandez-vous ce que cette situation vous apprend.

Qu’est-ce que le flow m’apprend à travers cette situation ? S’il n’y a pas de réponse à cette question, laissez tomber. Confiance. Peut-être que cela sera révélé plus tard – et vous découvrirez « de quoi il s’agissait ». Mais même s’il ne se révèle pas, faites-lui quand même confiance. Encore une fois, la confiance est la clé !

5. Soyez intelligent avec votre temps

N'allez pas dans le passé, le passé est déjà arrivé. Ne vivez pas dans le futur - il n'est pas venu, et peut ne pas venir, ou il peut arriver d'une manière complètement différente (la plus inattendue). Tout ce que nous avons, c'est le moment présent ! Concentrez-vous sur chaque instant de votre existence lorsque l'écoulement du temps est à votre niveau.

Compétence être se manifeste dans une attitude consciente envers la conscience qui ralentit, et à ce moment-là, vous pouvez ressentir le goût et la plénitude de toute vie dans chaque action apparemment simple effectuée. Ressentez-en le goût dans le goût des aliments, dans les arômes des fleurs, dans le bleu du ciel, dans le bruissement des feuilles, dans le murmure d'un ruisseau, dans le vol d'une feuille d'automne.

Chaque instant est unique et irremplaçable, souvenez-vous-en, absorbez en vous ces sentiments que vous avez vécus dans ce moment unique de l'Éternité. Vos sentiments, votre perception sont uniques dans tout l’Univers. Tout ce que chacun a recueilli en lui constitue ses dons d'éternité et son immortalité.

L’équilibre n’est rien d’autre que le désir de vivre dans ce monde à la vitesse à laquelle il va réellement, c’est-à-dire simplement de ne pas le précipiter. Se sentir irrité et avoir une réelle opportunité d’influencer la vitesse des événements sont des choses complètement différentes.

Et si quelque chose dépend vraiment de vous, cela peut toujours se faire calmement. Et le plus souvent, les vrais symptômes d’irritation sont des gestes nerveux, de la rage, des discours accusateurs qu’on se prononce, un sentiment lancinant de « Eh bien, pourquoi moi ? - n'apparaissent qu'au moment où il est déjà parfaitement clair que nous sommes absolument impuissants et que nous ne pouvons en aucune façon influencer le processus.

La seule chose que nous pouvons faire, c'est être en un instant, sans nous énerver ni accélérer, en profiter, en être reconnaissant. Et c’est précisément avec ce choix et cette attitude qu’à ce moment notre équilibre mental unique et optimal et notre harmonie avec nous-mêmes sont maintenus.

6. Créativité

À un niveau au-delà de notre pensée linéaire de 3ème dimension, la créativité est le déploiement des potentiels divins les plus élevés du Créateur Unique et Infini à un niveau personnel. Libérer votre potentiel créatif vous remplit d’énergie positive, vous permet d’atteindre un équilibre maximal, augmente les fréquences de la sphère énergétique et renforce votre connexion personnelle avec votre SuperSoul.

En pratiquant quelque chose que vous aimez, surtout s’il s’agit d’un travail de motricité fine avec vos mains, vous entrez dans un état où votre esprit se calme automatiquement. Aujourd'hui, maintenant, trouvez des moments pour faire ce que vous aimez faire. Cela peut être cuisiner, fabriquer des souvenirs, peindre des tableaux, composer de la prose et des poèmes, marcher dans la nature, réparer une voiture, écouter votre musique préférée et bien plus encore qui vous apportent personnellement de la joie.

Ne vous demandez pas : pourquoi ? Abandonnez les questions rationnelles et « bonnes ». Votre tâche est de ressentir avec votre cœur, de ressentir le flux des circonstances, et le moyen le plus simple d'y parvenir est de faire ce que vous aimez. Si vous aimez cuisiner, cuisiner, si vous aimez marcher, faire une promenade, essayez de trouver dans la vie de tous les jours quelque chose qui « vous excite » à l'état « vivant/vivant ».

7. Acceptez des gens et de la vie ce qu’elle vous donne actuellement avec Amour et Gratitude, tant matériellement qu’émotionnellement.

N’exigez pas plus ou mieux, n’essayez pas d’influencer de manière agressive, d’offenser ou d’« enseigner » à autrui.
Enfin, trouvez et expérimentez ce qui aide à calmer VOTRE esprit pensant. Qu'est-ce qui vous permet exactement de vous détendre et d'entrer dans un espace sans pensées ? Quelle méthode vous convient le mieux ? Trouvez ces moyens et faites la chose la plus importante : la pratique.

Notre équilibre personnel parfaitement équilibré est connecté au flux d’énergie vitale divine. Par conséquent, pour être dans ce Flux, nous devons nous assembler de telle manière que nos fréquences soient accordées à ce Flux. Ressentez ce Flow au niveau du cœur, des sentiments, des pensées, souvenez-vous de ces réglages de fréquence, intégrez ces réglages de fréquence dans votre sphère énergétique et faites-en votre partie intégrante.

Être ici et maintenant dans un instant d'Éternité sur la fréquence de l'Amour dans l'Infini du Créateur Unique et Infini !

Probablement, chaque personne veut toujours être calme et équilibrée et n'éprouver que des soucis agréables, mais tout le monde n'y parvient pas. Honnêtement, seules quelques personnes savent comment ressentir cela, tandis que les autres vivent comme « sur une balançoire » : au début, ils sont heureux, puis ils s'énervent et s'inquiètent - malheureusement, les gens vivent beaucoup plus souvent le deuxième état.

Qu'est-ce que la tranquillité d'esprit, et comment apprendre à y être constamment si ça ne marche pas ?

Que signifie avoir l’esprit tranquille ?

Beaucoup de gens pensent que la tranquillité d’esprit est une utopie. Est-il normal qu'une personne ne ressente pas d'émotions négatives, ne s'inquiète pas ou ne s'inquiète de rien ? Cela n’arrive probablement que dans un conte de fées, où tout le monde vit heureux pour toujours. En fait, les gens ont oublié que l'État tranquillité d'esprit, l’harmonie et le bonheur sont tout à fait normaux, et la vie est belle dans différentes manifestations, et pas seulement lorsque tout se passe « à notre manière ».

En conséquence, si la santé émotionnelle est altérée ou totalement absente, la santé physique en souffre gravement : non seulement des troubles nerveux surviennent, mais des maladies graves se développent. Si tu le perds depuis longtemps tranquillité d'esprit, vous pouvez « gagner » des ulcères gastroduodénaux, des problèmes de peau, des maladies cardiaques et vasculaires et même de l'oncologie.

Afin d’apprendre à vivre sans émotions négatives, vous devez comprendre et être conscient de vos objectifs et de vos désirs, sans les remplacer par les opinions et les jugements de qui que ce soit. Les gens qui savent comment faire cela vivent en harmonie avec leur esprit et leur âme : leurs pensées ne s'écartent pas de leurs paroles, et leurs paroles ne s'écartent pas de leurs actions. Ces personnes comprennent également leur entourage et savent percevoir correctement n'importe quelle situation. Elles sont donc généralement respectées par tout le monde, tant au travail qu'à la maison.

Comment retrouver et restaurer la tranquillité d'esprit

Alors est-il possible d’apprendre cela ? Vous pouvez tout apprendre si vous en avez le désir, mais beaucoup de gens, se plaignant du destin et des circonstances, ne veulent en réalité rien changer dans la vie : s'étant habitués à la négativité, ils trouvent que c'est le seul divertissement et le seul moyen de communiquer - ce n'est pas le cas. Le secret est que ce sont des nouvelles négatives qui sont discutées avec beaucoup de ferveur dans de nombreux groupes.

Si vous voulez vraiment retrouver la tranquillité d'esprit et percevoir le monde qui vous entoure avec joie et inspiration, essayez d'envisager et d'utiliser les méthodes décrites ci-dessous.

• Arrêtez de réagir aux situations de la manière « habituelle » et commencez à vous demander : comment est-ce que je crée cette situation ? C'est vrai : nous créons nous-mêmes toutes les situations qui « se développent » dans nos vies, et nous ne pouvons alors pas comprendre ce qui se passe - nous devons apprendre à voir la relation de cause à effet. Le plus souvent, nos pensées travaillent pour le cours négatif des événements - après tout, les pires attentes sont plus courantes que l'attente de quelque chose de bon et de positif.
• Recherchez des opportunités en cas de problème et essayez de réagir « de manière inappropriée ». Par exemple, si votre patron « s'en prend » à vous, ne vous inquiétez pas, mais soyez heureux - souriez au moins et remerciez-le (vous pouvez commencer mentalement par lui) d'avoir reflété vos problèmes internes comme un miroir.
• D’ailleurs, la gratitude est le meilleur moyen de se protéger de la négativité et du retour tranquillité d'esprit. Développez une bonne habitude de remercier l'Univers (Dieu, la Vie) chaque soir pour les bonnes choses qui vous sont arrivées pendant la journée. S'il vous semble que rien de bon ne s'est produit, rappelez-vous les valeurs simples que vous avez - l'amour, la famille, les parents, les enfants, l'amitié : n'oubliez pas que tout le monde n'a pas tout cela.
• Rappelez-vous constamment que vous n'êtes pas dans des problèmes passés ou futurs, mais dans le présent - « ici et maintenant ». Chaque personne, à un moment donné, a ce qu'il faut pour être libre et heureuse, et cet état perdure aussi longtemps que nous ne laissons pas les blessures du passé ou les pires attentes prendre le dessus sur notre conscience. Recherchez le bien à chaque instant du présent – ​​et l’avenir sera encore meilleur.
• Il ne faut pas du tout être offensé - c'est nocif et dangereux : de nombreux psychologues en exercice notent que les patients qui portent des griefs depuis longtemps développent les maladies les plus graves. Y compris les oncologiques. Il est clair qu'environ tranquillité d'esprit il n'y a aucun doute ici.
• Le rire sincère aide à pardonner les offenses : si vous ne trouvez pas quelque chose de drôle dans la situation actuelle, faites-vous rire. Vous pouvez regarder un film amusant ou un concert amusant, mettre de la musique amusante, danser ou discuter avec des amis. Bien sûr, il ne faut pas discuter de vos doléances avec eux : il vaut mieux se regarder de l'extérieur et rire ensemble de vos problèmes.
• Si vous sentez que vous ne pouvez pas faire face aux pensées « sales », apprenez à les remplacer : utilisez de courtes affirmations positives, de la méditation ou de petites prières - par exemple, essayez de remplacer une pensée négative par un souhait de bien pour le monde entier. Cette méthode est très importante : après tout, à un moment donné, nous ne pouvons avoir qu’une seule pensée en tête, et nous choisissons nous-mêmes « quelles pensées penser ».
• Apprenez à surveiller votre état - soyez conscient de ce qui vous arrive « ici et maintenant » et évaluez sobrement vos émotions : si vous êtes en colère ou offensé, essayez d'arrêter d'interagir avec les autres au moins pendant une courte période.
• Essayez d'aider les autres le plus tôt possible - cela apporte de la joie et de la paix. Aidez uniquement ceux qui en ont vraiment besoin, et non ceux qui veulent faire de vous un « cintre » pour leurs problèmes et leurs griefs.
• L’exercice régulier est un excellent moyen de retrouver la tranquillité d’esprit. fitness et marche : le cerveau est saturé d'oxygène et le niveau d'« hormones de la joie » augmente. Si quelque chose vous déprime, vous êtes anxieux et inquiet, allez dans un club de fitness ou une salle de sport ; si cela n'est pas possible, courez ou marchez simplement dans le parc ou au stade - partout où vous le pouvez. L'équilibre mental est difficilement possible sans santé physique, et une personne qui ne sait pas comment atteindre l'équilibre ne pourra pas devenir en parfaite santé - elle aura toujours des troubles et des maladies.

Une posture « joyeuse » est le chemin vers l’équilibre mental

Les psychologues notent que les personnes qui prennent soin de leur posture sont beaucoup moins sujettes au stress et à l'anxiété. Il n'y a rien de compliqué ici : essayez de vous pencher, de baisser les épaules, la tête et de respirer fort - dans quelques minutes, la vie vous semblera difficile et votre entourage commencera à vous irriter. Et, au contraire, si vous redressez le dos, levez la tête, souriez et respirez régulièrement et calmement, votre humeur s'améliorera immédiatement - vous pouvez le vérifier. Par conséquent, lorsque vous travaillez en position assise, ne vous penchez pas ou ne vous « affalez » pas sur votre chaise, gardez vos coudes sur la table et placez vos pieds l'un à côté de l'autre - l'habitude de croiser les jambes ne contribue pas à l'équilibre. Si vous êtes debout ou marchez, répartissez votre poids uniformément sur les deux jambes et ne vous affaissez pas - gardez le dos droit. Essayez de maintenir consciemment votre posture pendant plusieurs jours et vous remarquerez qu'il y a moins de mauvaises pensées et que vous aurez envie de sourire plus souvent.

Toutes ces méthodes sont très simples, mais elles ne fonctionnent que lorsque nous les appliquons, et pas seulement les connaissons et continuons à réfléchir à la manière dont nous pouvons atteindre la tranquillité d'esprit et changer notre vie pour le mieux.