La dernière maladie et la mort. Le pouvoir de l'énergie

Juste au moment du renversement de Mercure, un appel de mon ami m'a ramené au sujet de la thérapie florale du Dr Edward Bach, déjà abordé l'année dernière,

Dans le cadre de cela, ainsi que de l'ouverture de la nouvelle saison de "Garden Enchantment", j'ai décidé d'enregistrer quelques points.

Médecin britannique, homéopathe, bactériologiste et écrivain, connu pour avoir développé un système de thérapie florale.

En 1917, il subit une intervention chirurgicale pour un cancer de la rate. Les médecins prédisaient qu’il ne lui restait plus que trois mois à vivre. Mais il s'est rétabli de façon inattendue.

En 1930, à l'âge de 43 ans, Bach arrête ses travaux de recherche dans une clinique homéopathique de Londres et ouvre un cabinet à la campagne. Au printemps et en été, il ouvrait et récoltait des fleurs pour les infusions. Et en hiver, j'ai soigné des patients avec eux :)

Selon son approche, toute maladie est le reflet (sur le plan physique) du conflit entre l'esprit et l'âme, donc, pour la santé, il est nécessaire de traiter non pas les symptômes, mais la cause. Pour ce faire, il a développé un système de 12 plantes médicinales et 7 assistants, puis a ajouté 19 plantes supplémentaires à la liste principale, les appelant les 19 secondes.

Il a choisi les plantes non pas en analysant leur composition chimique et d'autres méthodes scientifiques, mais en suivant son intuition. Wikipédia écrit qu'il tenait la main sur la plante et que s'il sentait une amélioration de son état émotionnel, il examinait la fleur. Et s’il n’y avait pas de réponse, j’en cherchais une autre. En fait, il s’agit plutôt d’une méthode sensorielle.

Mais surtout, j'ai été impressionné par la méthode délicieusement ingénieuse dans sa simplicité de préparation des infusions - c'est ainsi qu'elle est décrite par le Dr Bach lui-même dans l'ouvrage «Quelques considérations fondamentales sur la maladie».

Les fonds décrits dans cet article ont été obtenus comme suit. Le récipient en verre, aussi fin que possible, était presque rempli d'eau propre, de préférence provenant d'une source. Des fleurs végétales étaient placées dans ce récipient, en quantité suffisante pour recouvrir complètement la surface.

Une journée sans nuages ​​a été choisie. Les fleurs ont été récoltées deux heures après le lever du soleil et placées dans un récipient.

Et après que le vase avec les fleurs ait été placé au soleil, sa position changeait en suivant la course du soleil, de sorte que le soleil l'éclairait complètement, de sorte qu'il baignait dans la lumière du soleil.

Environ un quart du liquide est aspiré aux troisième, quatrième et septième heures, et environ 20 pour cent d'alcool pur est ajouté à chacune. Ils peuvent être utilisés directement comme troisième, quatrième et septième puissances.

A noter que quatre éléments interviennent dans ce processus : la terre pour faire pousser la plante dont l'air la nourrit, le soleil ou le feu pour lui permettre de diffuser son pouvoir, et l'eau pour la nourrir et l'enrichir de propriétés curatives magnétiques bénéfiques.

D'après les commentaires dans Garden Enchantments

Irina Zviaguina

Vous pourrez admirer l'horoscope de Bach, ainsi que lire ses instructions poétiques sur la préparation des infusions de fleurs.

Rouge

Irina, oui ! Moi aussi, quand je l'ai lu, j'ai pensé à l'origine de cette beauté. Et bien sur lui Balance stellium. L'idée principale est l'équilibre - et l'équilibre de concepts aussi éphémères que les émotions, les sentiments, les énergies, ce n'est pas une alimentation équilibrée, un complexe vitaminique et un mode d'activité physique que suggérerait la Vierge. Comment ne pas rappeler ici les interprétations wesiennes classiques de l’équilibre, non pas statique, mais difficile à comprendre et difficile à atteindre, dynamique. Ce qui en fait, comme le révèle la méthode de Bach, s'appelle Harmonie.

Il s'agit d'une combinaison d'avantages purement pratiques et de capacité de soins, venant de ses vierges Mercure et souverain du stellium Balance Vénus et une perception totalement immatérielle de la beauté, de l'harmonie, de l'équilibre au final, venant de la connexion Balance Soleil-Uranus-Jupiter .

Eh bien, vous pouvez percevoir la beauté, admirer les fleurs, l'aube, vous pouvez alors prendre une photo, raconter une histoire, dessiner, vous pouvez vous sentir plus joyeux, plus épanoui et plus heureux et transmettre cet état aux autres.

Après tout, que fait-il ! Il prend une fleur, avec toute sa beauté, son essence, avec son état d'éveil matinal - cette joie et cette ouverture vers le soleil, prend une part de l'aube elle-même, un peu de rayons de soleil, un peu d'air frais et met le tout au printemps eau - Saturne en Cancer trigone Mars en Scorpion . C'est tout ! prendre des gouttes par voie orale. Brillant! La voici Vierge Vénus sous sa forme naturelle ! Après tout, c’est aussi dans la mine.

Trigone du Taureau Neptune et des Gémeaux Pluton, également à la conjonction des signes air-terre à la conjonction Mercure-Soleil-Uranus-Jupiter à la frontière de la Vierge et de la Balance, C'est peut-être d'eux une pénétration intuitive dans les qualités intérieures des fleurs, la capacité de « voir » (Neptune) comment elles transforment (Pluton) la structure interne d'une personne. Les scientifiques discutent et tentent de déterminer et de prouver comment et à quel niveau cela fonctionne - Pluton en Gémeaux - ouais, exactement à titre informatif.

En général, sa connexion Balance-Neuf est presque la même que la mienne, donc j'ai accepté facilement et sans aucun doute ses idées, et même vice versa avec l'impression que tout ce que j'étais moi-même m'était vaguement formulé et expliqué, dans ma propre langue. je l’ai senti à l’intérieur. Ce sont toutes des choses évidentes.

Irina Zviaguina

Irina, j’ai l’impression que la thérapie de Bach elle-même et son équilibre dynamique, qui est l’harmonie de la Balance, vous conviennent parfaitement. Même avant ce message, je pensais que la thérapie Bach ne pouvait pas aider tout le monde dans notre monde difficile. L'effet est trop subtil et nécessite un ajustement (!). Il est beaucoup plus facile de prendre une pilule et de soulager le symptôme - et c'est tout ! Et ici, il faut être en résonance avec la nature, ressentir ses rythmes, sa beauté et la corrélation entre ce qui est en haut et ce qui est en bas. Il me semble que c’est une très bonne thérapie pour les accents Balance, Vierge et Poissons. Et pour le Verseau - la conjonction du Soleil avec Uranus -

".. au Pays de Galles, une sorte de perspicacité lui est venue. Il a trouvé des plantes à partir des fleurs desquelles, en utilisant la « méthode solaire » qu'il a lui-même inventée, il a préparé les trois premières infusions de fleurs. »

L’horoscope d’Irina et de Bach n’a pas d’aspects intenses, mais quelle influence des plus élevés !

En général, il aura toujours des adeptes, et notamment parmi les floriculteurs.

Irina, dans la synthèse de ce sujet, s'est souvenue que sur le forum homéopathique, elle avait entendu parler de la recherche « de l'autre côté » - comment les plantes malades sont traitées avec des médicaments homéopathiques, des nosodes ; C'est avec les nosodes que Bach a commencé

Rouge

Irina, comme on dit à propos de problèmes douloureux.

Oui, notre civilisation est toujours la même, mais ce n'est pas quelqu'un de l'extérieur qui l'a fait ainsi pour nous, donc le choix est petit - soit dans l'harmonie, soit dans la vanité, la maladie, la saleté, etc....

Bach lui-même a divisé les patients en patients souhaitant un rétablissement et en patients souhaitant une mauvaise santé. Il croyait même qu’un remède curatif pouvait également être trouvé pour ces derniers. Même moi, je n'ai pas ce genre d'idéalisme.

En fait, je pense que l'état et la perception de l'harmonie sont plus proches et plus naturels pour une personne de chaque signe, ils ont simplement été oubliés et perdus. Et l’harmonie n’est pas la même pour tout le monde ; les raisons qui l’entravent ou la ferment sont typiques pour tout le monde. Mais enlevez-les et la personne s'ouvre - c'est l'harmonie, à mon avis.

Quelques considérations fondamentales sur la maladie.

Comprendre la maladie

(extraits)

Pour comprendre la maladie, son objet, sa nature et la méthode de son traitement, nous devons en partie comprendre les raisons de notre existence et les lois de notre Créateur à notre égard.

Il est important de comprendre que l’homme a deux aspects, spirituel et physique, et que de ces deux aspects, le physique est infiniment moins important.

Sous la direction de notre Esprit immortel, l’homme naît pour acquérir des connaissances et de l’expérience et pour s’améliorer en tant qu’être physique.

Le corps physique seul, sans communication avec le Spirituel, est une coquille aussi vide qu'un bouchon sur l'eau, mais quand il y a une union, la vie est remplie de joie, de soif d'aventure ; le voyage à travers la vie apporte le bonheur, la santé et la connaissance.

Notre évolution a commencé comme un nouveau-né, sans connaissance, et tout son intérêt était égocentrique. Les désirs se limitaient au désir d'avoir du confort, de la nourriture et de la chaleur. À mesure que nous évoluons, le désir de pouvoir surgit et ainsi, pendant un certain temps, nous continuons à être égocentriques, ne voulant que notre propre gain et nos ambitions mondaines.

Vient ensuite le tournant : l’envie d’être utile aux autres naît. Et puis la bataille commence, car au cours de notre développement ultérieur, nous devons nous replier de manière désintéressée sur nous-mêmes pour passer de la division à l'unité, acquérir toutes les connaissances et expériences que le monde peut nous enseigner et apprendre à transformer toutes les qualités humaines en vertus. .

Cependant, nous apprenons lentement, leçon par leçon, mais nous devons, si nous voulons être heureux et en bonne santé, passer par les leçons que nous donne notre spiritualité.

Nous ne prenons pas tous les cours en même temps. Gagner de la fierté en est une, la peur en est une autre, la haine en est une autre, et ainsi de suite, mais le facteur essentiel de la santé est ce que nous faisons pour tirer nos leçons.

Peu importe notre stade d’avancement, que nous soyons natifs ou disciples, cela ne fait aucune différence d’un point de vue santé, mais ce qui est important c’est que nous, quelle que soit notre position, vivions en harmonie avec ce que notre âme nous dit. Qu’il s’agisse d’obtenir un titre et une richesse, ou de vivre la vie sacrificielle d’un martyr, la santé dépend de notre obéissance aux commandements et de notre accord avec notre propre composante spirituelle.

Notre âme nous place dans une telle position et nous donne les circonstances de la vie qui, quel que soit notre statut - qu'il soit monarque ou purgeur, prince ou pauvre, sont les mieux adaptées à notre évolution et où nous pouvons le plus facilement apprendre la leçon dont nous avons besoin. Et il ne nous reste plus qu'à faire le travail spécifique qui nous est assigné et tout se passera bien.

La maladie est le résultat d'un conflit lorsqu'une personne refuse d'obéir aux diktats de l'âme, lorsqu'il y a un désaccord entre la personnalité supérieure et spirituelle et la personnalité inférieure, la façon dont nous nous connaissons.

Aucun de nous ne reçoit plus que ce qu’il peut faire, et on ne nous demande pas non plus de faire plus que ce que nous pouvons faire.

La vie se résume alors à l’effort de transformer les qualités négatives en vertus les plus élevées d’altruisme et d’unité. Le chemin heureux de l’évolution ne doit pas être celui d’efforts soudains ou frénétiques, mais lent et graduel.

Au cours de notre voyage à la recherche de la perfection, il y a différentes étapes. Sur le chemin de la transformation de l'égoïsme en altruisme, de l'isolement en unité, certaines étapes peuvent être relativement faciles, d'autres extrêmement difficiles, mais la maladie survient à un moment où nous ne sommes pas capables de suivre les préceptes du spirituel, alors surgit un conflit qui conduit à maladie.

Selon le stade particulier auquel nous échouons, certaines attitudes mentales sur le plan physique régissent son développement. Ce sont ces attitudes mentales qui indiquent au médecin la véritable cause fondamentale du problème du patient et lui donnent le leitmotiv principal d'un traitement réussi.

De là, on peut déterminer l'effort que le patient est censé déployer là où il échoue et en déduire le traitement correct pour son bien-être.

Hahnemann a enseigné que « le semblable guérit le semblable ». C’est vrai, mais le mot « guéri » est un peu trompeur. Le semblable déplace le semblable, ce sera donc plus précis.

La maladie elle-même est similaire au traitement, ou mieux, reflète le traitement.(?)

(La maladie elle-même revient à guérir, ou mieux, à repousser.)

le semblable déplace le semblable pour faire apparaître le contraire.

La raison de la maladie est de nous forcer à cesser de mauvaises actions ; c'est la méthode la plus efficace pour harmoniser la personnalité avec notre âme. Sans la douleur, comment saurions-nous vraiment que la cruauté fait mal ? Si nous n’avions jamais subi de perte, pourrions-nous comprendre la souffrance causée par le vol ? Il est vrai que nous devons enseigner nos leçons sur le plan mental et éviter la souffrance physique, mais beaucoup d’entre nous en sont incapables. Et donc la maladie nous a été envoyée pour accélérer notre évolution. Aussi cruel que cela puisse paraître à notre vision étroite, il est en fait de nature bénéfique. Cette méthode est adoptée par nos propres âmes paternelles aimantes pour nous conduire sur le chemin de la compréhension.

De plus, et il faut toujours se rappeler que la souffrance (même si nous devons certainement l'éviter avec sagesse) est un acquis de privilège, car elle indique que la personnalité a atteint un stade de développement où la correction est possible. Les très jeunes enfants ne sont pas punis ; .

De là, nous pouvons immédiatement voir comment la maladie peut être évitée, si nous pouvions écouter la voix de notre spirituel, être toujours en harmonie avec notre âme, une leçon aussi dure ne serait pas nécessaire et nous pourrions vivre sans signes de maladie.

Ainsi, le travail du médecin consiste à aider son patient à atteindre cet objectif, en lui apportant une assistance spirituelle, mentale et physique.

Le génie de Hahnemann, qui comprenait la nature et la cause de la maladie, utilisait des moyens qui, tout en intensifiant temporairement la maladie, en hâtaient la fin. Il utilisait des poisons pour expulser les poisons du corps.

Mais on suppose que son génie nous a légué la poursuite de ses recherches. Et en suivant ce chemin, nous verrons qu’il existe même une voie nouvelle et meilleure.

Si le patient a une erreur mentale, un conflit surviendra entre le spirituel et le physique, ce qui entraînera une maladie. L’erreur peut être corrigée, le poison expulsé du corps, mais la place occupée par la force défavorable restera vide.

La méthode parfaite est celle qui non seulement déplace les influences négatives, mais attire également la vertu, qui est son contraire. Et avec l'aide de cette vertu, il corrige l'erreur. C'est la loi de l'attraction des contraires, positifs et négatifs.

Par exemple : le patient souffre de douleur parce qu'il y a de la cruauté dans son caractère. Il peut supprimer cette qualité en déterminant constamment : « Je ne serai pas cruel », mais cela signifie une bataille longue et acharnée, et s'il réussit à éliminer la cruauté, il y aura une lacune, un vide. Mais si ce patient se concentre sur le côté positif, de manière à développer de la sympathie et à remplir son caractère de cette vertu, la cruauté sans autre effort sera remplacée et deviendra à jamais impossible.

Ainsi, la science parfaite de la guérison enseigne et aide le patient à développer ce pouvoir qui développera une fois pour toutes l'immunité contre cette qualité défavorable, afin que sa bataille particulière soit terminée.

Il ne s’agit pas d’une guérison par « Tu ne feras pas », mais par « Bienheureux soient-ils ».

Un autre grand principe du génie de Hahnemann est le suivant : guérir de l’intérieur vers l’extérieur.

L’esprit doit d’abord être guéri, et ensuite la guérison du corps suivra. Guérir le corps plutôt que l’esprit peut être très dangereux pour le patient, car le corps est nourri par l’âme et, au mieux, une telle guérison n’est qu’une leçon différée. Il vaudrait mieux perdre le corps que de laisser cette leçon perdue.

Le travail du médecin est donc double : premièrement, aider le patient à corriger son échec spirituel, et deuxièmement, lui donner les moyens qui l'aideront à y parvenir sur le plan physique ; afin qu'un esprit sain ait un effet curatif sur le corps.

Pour le second, il est important que les moyens choisis soient vivifiants et édifiants ; ceux qui élèvent la vibration d’une personne.

En choisissant de tels moyens, nous devons considérer leur statut évolutif par rapport à l'homme.

Les métaux ne sont pas intelligents. Utiliser des animaux exigerait de la cruauté, ce qui est inacceptable dans l’art divin de guérir. Il nous reste donc le règne végétal. Les plantes sont de trois types. Le premier groupe est inférieur dans son développement par rapport au niveau évolutif de l'homme ; ce sont des options aussi primitives que les algues, les cactus, la cuscute, etc. Également ceux qui ont été utilisés à de mauvaises fins, dont certains sont toxiques, comme la jusquiame, la belladone et les orchidées.

Deuxième classe, à la même échelle relative que l'homme. Ils sont inoffensifs et peuvent être utilisés comme aliments.

Mais il existe un troisième groupe, dont le niveau est supérieur au niveau de l’humanité moyenne. C'est parmi eux que nous devons choisir nos remèdes, car ils ont reçu le pouvoir de guérir et de bénir.

De plus, leur utilisation n'entraîne aucune cruauté : ces plantes ont un désir inhérent d'être utilisées au profit de la nature humaine, la bénédiction descend sur elles lors de leur service rendu à l'homme.

Le premier groupe, en réduisant les vibrations du corps, le rend impropre à l'habitation spirituelle et peut donc conduire à la mort. Mais cette dernière classe a le pouvoir d’élever nos vibrations et ainsi de se remplir d’un pouvoir spirituel qui purifie l’esprit et le corps et guérit.

Notre travail en tant que médecins consiste donc à étudier la nature humaine afin de pouvoir aider les patients à mieux se connaître et de les conseiller sur la manière de réconcilier leur personnalité avec leur âme. Et aussi de leur fournir des moyens bénéfiques qui élèveront leurs vibrations individuelles et rendront leur personnalité plus réceptive aux manifestations de l'âme, et développeront ainsi le pouvoir de dignité nécessaire pour parvenir à l'harmonie entre les moi supérieurs et inférieurs, ce qui conduira à santé.

Voyons maintenant l'aspect pratique concernant le diagnostic et le traitement.

Il existe principalement sept qualités fondamentales selon lesquelles nous devons classer un patient.

Une personne peut se tromper, selon la leçon particulière, être vulnérable à l'un des principes de base suivants :

2. Renseignement

4. Solde

5.Services

6. Sagesse

7. Perfection spirituelle

Les qualités et les vertus sont relatives, et ce qui est une vertu dans un cas peut être un défaut dans un autre. Le désir de pouvoir en lui-même peut être juste pour les jeunes âmes et ne pas provoquer de conflit entre la personnalité et le spirituel, mais ce qui est juste ici sera inapproprié et mauvais au stade plus avancé du discipulat, lorsque l'âme aura pris la décision de devenir un disciple. la personnalité à donner et à ne pas prendre.

Par conséquent, la qualité en elle-même ne peut pas indiquer le bien ou le mal, sans prendre en compte le statut évolutif de l’individu.

Ce que nous savons être mauvais est bon à sa place.

Mais la présence d’une maladie indique qu’il y a des qualités dans la personnalité que l’âme cherche à supprimer, parce que ces qualités sont en dessous du niveau d’évolution de cette personne.

De plus, le patient a dû refuser obstinément d'écouter la voix de la conscience, ne voulant pas acquérir d'expérience psychique, et, par conséquent, une leçon plus difficile est apparue : la maladie.

Dans la façon de penser de nos patients, nous pouvons discerner des erreurs qui empêchent leur personnalité de suivre le rythme évolutif que l'âme désire.

Il ne faut pas s'attendre à ce que les caractéristiques soient toujours prononcées, car dans de nombreux cas, il ne reste dans leur nature que des traces d'un type défavorable. Néanmoins, il est très important de comprendre avec précision leurs principales erreurs, car même la manifestation la plus mineure peut garantir le succès du traitement.

De plus, de nombreux patients qui viennent chez nous ont leur personnalité presque écrasée par une personne dominante dans leur environnement, par des proches ou des amis. Dans certains de ces cas, il est plus facile de déterminer le type d'un tel Dominateur, car le patient sera du même type que le Dominateur, seulement chez le Dominateur les qualités seront plus prononcées. Cela se produit selon le principe de similarité, nous nous retrouvons entourés de personnes comme nous, afin d'éprouver et de réaliser la souffrance que provoquent de telles actions défavorables.

Avant d’examiner plus en détail les types ci-dessus et de présenter les traitements associés à chaque type, discutons des méthodes de dosage.

Et ici s’applique la loi de Hahnemann : prescrire un remède uniquement à une dose si forte que l’amélioration attendue apparaît à peine.

Les remèdes qui seront décrits sont bénéfiques dans leur action et ne provoquent pas d'exacerbation ni de réactions indésirables à leur action avec l'augmentation de la dose.

Ils sont préparés dans les troisième, quatrième et septième puissances.

Pour commencer, une dose est prescrite dans la troisième puissance, deux ou trois fois par jour, jusqu'à ce qu'une amélioration notable se produise, puis l'utilisation est arrêtée. Bien qu'il y ait des progrès, les fonds ne sont pas acceptés. Mais si une rechute survient, trois ou quatre doses supplémentaires sont prescrites, et ainsi de suite, en diminuant à chaque fois.

Si vous avez un ami qui a subi une grande perte et qui est désespéré, vous lui rendez d’abord souvent visite pour le réconforter et le soutenir. Lorsqu'il est réconcilié et plus fort, vous pouvez lui rendre visite moins souvent en toute sécurité.

Alors utilisez ces puissances, elles sont des amis et des bénédictions pour les affligés. Mais, comme Hahnemann l’avait prévu, même les malades doivent lutter et ne pas devenir dépendants, même de médicaments bénéfiques ; et par conséquent, lorsque le patient va mieux, il faut lutter de manière indépendante autant que possible et compter sur l'aide aussi longtemps que cela est vraiment nécessaire.

(ma traduction)

Rouge

* première photo, avec une fille - "Morning Flowers", auteur MMaxim

Quand Edward a eu 30 ans, on lui a lui-même diagnostiqué un cancer. Selon les prévisions des médecins, il ne lui restait alors plus que trois mois à vivre. Cependant, ces prédictions se sont révélées fausses et Bach a vécu encore 19 ans.

Edward Bach est né en 1886 à Birmingham, en Angleterre. Par hasard, le nom de ce médecin coïncide tout à fait avec le nom du brillant compositeur allemand, mais ceux qui connaissent au moins un peu la médecine et surtout l'homéopathie ne confondront bien sûr jamais ces deux personnalités.

Ainsi, Edward Bach est né dans la famille d'un simple ouvrier de fonderie et, dès son enfance, il s'est intéressé à la biologie et à d'autres sciences naturelles. Son père, cependant, avait une opinion différente quant à l'avenir de son fils : il voulait le voir également comme lithographe. Ainsi, après avoir commencé à étudier la fonderie, Edward trouva encore la force de convaincre son père et de lui permettre de pratiquer la médecine.

Edward a étudié la médecine à l'University College Hospital de Londres (University College Hospital, Londres) et a obtenu son diplôme en médecine à Cambridge.

Le jeune médecin s'est étroitement impliqué dans la bactériologie et a vite découvert qu'il existait une certaine relation entre certaines maladies et l'état de la microflore des patients. À cette époque, Bach travaillait au très célèbre hôpital homéopathique de Londres et avait bientôt identifié sept groupes de bactéries intestinales, pour lesquelles il développa sept vaccins, qui furent plus tard appelés nosodes de Bach (les nosodes sont des remèdes homéopathiques). Cependant, ils étaient principalement utilisés dans le pays natal d’Edward – la Grande-Bretagne.

En plus des infections et des vaccins proprement dits, Bach a remarqué que tous ces types correspondent à certains types de caractère et que, par conséquent, le traitement par nosodes affecte dans une certaine mesure la personnalité des patients.

Quand Edward a eu 30 ans, on lui a lui-même diagnostiqué un cancer. Selon les prévisions des médecins, il ne lui restait alors plus que trois mois à vivre. Cependant, ces prédictions se sont révélées fausses et Bach a vécu encore 19 ans. On sait qu’il n’a jamais eu recours à la chirurgie, mais qu’il a utilisé sa propre méthode de traitement. Ainsi, sa découverte, qui le rendit plus tard célèbre, fut la thérapie florale.

Ainsi, après avoir appris son diagnostic décevant, Bach a quitté Londres pour s'installer à la campagne. Il a commencé activement à étudier les fleurs sauvages et le médecin a rapidement remarqué que l’énergie des fleurs avait un impact sur l’état d’esprit d’une personne. Ainsi, il est arrivé à la conclusion que certains types de fleurs sont capables de le soulager des émotions négatives et d'améliorer généralement sa santé. Bientôt, Bach avait déjà préparé ses trois premières infusions de fleurs, et ces solutions, quoi qu'en disent les sceptiques, ont fonctionné ! Il a été prouvé plus tard que les élixirs floraux étaient préparés dans les civilisations anciennes.

À propos, on ne sait pas exactement comment le Dr Bach a trouvé les fleurs dont il avait besoin. On pense qu'au fil du temps, il est devenu si sensible aux fleurs qu'il a pu déterminer avec précision quelle plante possédait certaines propriétés médicinales.

Ses essences connurent un énorme succès même après la mort d'Edward Bach, décédé le 27 novembre 1936. Aujourd’hui, ces préparations florales sont utilisées dans de nombreux organismes de santé alternative en Europe et aux Etats-Unis.

CHAPITRE PREMIER

Dans ce livre, je n’essaie pas de prétendre que l’art de guérir n’est pas nécessaire ; Je suis loin d'une telle pensée ; J'espère seulement humblement qu'il servira de guide à ceux qui souffrent pour comprendre quelles sont les véritables causes de leurs maladies et favoriser ainsi la guérison. De plus, j'espère que le livre encouragera les professions médicales et religieuses, c'est-à-dire celles qui s'occupent de la souffrance humaine, à redoubler d'efforts pour trouver des moyens de soulager la souffrance et ainsi accélérer le jour où la maladie sera définitivement vaincue.

La principale raison pour laquelle la médecine moderne échoue est que l’accent est mis sur le résultat plutôt que sur la cause. Pendant de nombreux siècles, la véritable origine des maladies a été cachée derrière les manifestations physiques, ce qui a donné un avantage à la maladie et lui a permis de progresser, puisque sa source originelle n'a pas été touchée. C'est la même chose que lorsqu'on combat un ennemi bien fortifié au sommet d'une colline et qu'on mène des attaques de guérilla, sans prêter attention au fort et en se limitant à réparer les maisons détruites par l'ennemi et à enterrer les personnes tuées par les pilleurs. En poursuivant cette analogie, nous pouvons dire que la médecine moderne s’occupe de réparer et d’enterrer, au lieu d’attaquer le fort.

La maladie ne peut être éliminée ou éradiquée en affectant le corps physique, la matière, puisque son origine se situe au-delà de la matière. Ce que nous appelons maladie est le résultat final de ce qui s'est produit dans le corps, le produit final de forces profondes et à action prolongée, et même si un organe affecté peut être guéri, ce n'est qu'un soulagement temporaire, puisque la véritable cause a été trouvée. pas été éliminé. La tendance moderne des sciences médicales, en déformant la véritable nature de la maladie et en se concentrant sur des termes matérialistes, a considérablement accru le pouvoir de la maladie, car une telle approche, premièrement, détourne les pensées des gens de la véritable origine de la maladie et, par conséquent, , de la méthode d'attaque efficace, et deuxièmement, la localise dans le corps, et prive ainsi la foi dans la possibilité de guérison et multiplie les peurs qui ne devraient pas exister du tout.

La maladie est intrinsèquement le résultat d’un conflit entre l’âme et l’esprit et ne peut être éradiquée que par des efforts mentaux et spirituels. De tels efforts, à condition qu’ils soient entrepris en toute connaissance de cause, comme nous le verrons plus tard, peuvent guérir et prévenir la maladie en éliminant les principaux facteurs qui la causent. Les méthodes visant à corriger un organe auront l'effet de réparations esthétiques, ce qui n'a pas beaucoup de sens, puisque la maladie peut réapparaître à tout moment sous une forme différente. En fait, dans de nombreux cas, l'illusion de guérison peut être nocive, car elle cache au patient la véritable situation et, si elle n'est pas surveillée, la maladie peut gagner en force. Et la situation sera complètement différente avec un patient qui comprend lui-même, ou un sage médecin lui a expliqué, qu'un état d'esprit ou d'esprit défavorable peut entraîner des conséquences que nous appelons maladie. Si ce patient entreprend d'annuler ces facteurs, sa santé s'améliorera dès qu'il réussira dans sa décision, et lorsqu'il réalisera complètement son intention, la maladie disparaîtra. C’est la vraie guérison, c’est une victoire remportée sur le fort lui-même, cause des pertes.

L’une des exceptions aux méthodes matérialistes de la science moderne est le grand Hahnemann, fondateur de l’homéopathie, qui a actualisé le concept de l’amour bénéfique du Créateur et du Divin chez l’homme. Étudiant l'attitude mentale de ses patients face à la vie, à leur environnement et identifiant les maladies correspondant à ces points, il chercha à trouver dans l'herbe des prés et dans le royaume de la nature un remède capable non seulement de guérir le corps, mais aussi d'élever le esprit. Peut-être que son approche sera élargie et développée par des médecins qui ont à cœur l’amour du patient.

Cinq cents ans avant Jésus-Christ, certains médecins de l'Inde ancienne, inspirés par le Seigneur Bouddha, ont tellement progressé dans l'art de guérir qu'ils étaient capables de se passer de la chirurgie là où elle était nécessaire, bien que la chirurgie de cette époque n'était pas pire, si pas mieux que la chirurgie de nos jours. Des hommes comme Hippocrate avec ses grands idéaux de guérison, Paracelse avec sa croyance en la divinité de l'homme et Hahnemann, qui comprenait que la maladie a son origine au-delà de la matière - tous en savaient beaucoup sur la véritable nature de la souffrance et les moyens de s'en débarrasser. il. Quelles souffrances indicibles auraient pu être évitées pendant vingt ou vingt-cinq siècles si les enseignements de ces grands hommes avaient été dûment pris en compte et suivis, mais, comme dans d'autres domaines, le matérialisme s'est trop emparé du monde occidental, et pour pendant si longtemps que les voix des obstructionnistes pratiques ont étouffé les conseils de ceux qui connaissaient la vérité.

Bref, la maladie, malgré sa cruauté, est en réalité utile et sert à notre bien, car si elle est interprétée correctement, elle nous montrera nos erreurs. Et le bon traitement nous rendra meilleurs et plus forts qu’avant. La souffrance a été donnée pour que nous apprenions une leçon qui, sans elle, n'aurait pas été apprise, ce qui signifie que nos erreurs n'auraient pas été éradiquées si nous n'y avions pas été exposés. Et qu'on sache aussi que

que si une personne est capable de lire correctement l'avertissement concernant les symptômes imminents d'une maladie naissante, elle peut la prévenir avant le début de son développement ou dans les premiers stades, en ajustant correctement ses efforts mentaux et spirituels. Il n'est en aucun cas nécessaire de désespérer, quelle que soit la gravité de la maladie, car tant qu'une personne est en vie et que son âme la contrôle, il y a de l'espoir.

CHAPITRE DEUX

Pour comprendre la nature de la maladie, il est nécessaire d’accepter les vérités fondamentales suivantes.

La première est que l’homme a une âme, qui est son vrai Soi ; Être Divin, Puissant, Enfant du père de tout et de tous, et le corps, étant un temple terrestre pour l'âme, n'en est que son faible reflet : que notre Âme et notre Divinité, qui est en nous et autour de nous, arrangent notre vie pour nous, selon la Divine Providence, ainsi, dans la mesure où nous le permettons, nous guide, nous protège et nous encourage, avec soin et bienfaisance, à nous conduire à notre plus grand bien possible : que Lui, notre Soi Supérieur, étant une étincelle du Suprême, est invincible et immortel.

La deuxième vérité est que nous, tels que nous nous connaissons dans ce monde, sommes des individus qui sont ici pour acquérir des connaissances et de l'expérience et, à travers notre existence terrestre, développer les vertus qui nous manquent et éradiquer toutes les mauvaises choses en nous, et ainsi progresser. vers la perfection originellement inhérente en nous par notre nature. L'âme sait quel environnement et quelles circonstances nous permettront le mieux d'accomplir notre tâche et, par conséquent, l'âme nous place sur la branche de la vie qui nous convient idéalement.

Troisièmement, nous devons réaliser que cette courte période de temps que nous appelons la vie n’est qu’un moment dans la chaîne de l’évolution. Elle est aussi courte comparée à l'évolution qu'une journée d'école l'est à toute vie terrestre et, bien que nous ne puissions désormais voir et comprendre que cette existence, notre intuition nous dit que nous avons commencé bien avant notre naissance terrestre et que nous nous terminerons bien après le jour de notre naissance. cessation de l'existence terrestre. Nos âmes, qui sont essentiellement nous, sont immortelles, et nos corps, dont nous sommes conscients du caractère périssable, ne sont que des chevaux sur lesquels nous voyageons ou un outil que nous utilisons pour travailler.

Vient ensuite la quatrième vérité. C'est que tant que notre Âme et notre personnalité sont en harmonie, la joie et la paix, le bonheur et la santé règnent autour de nous. Et lorsque notre personnalité s’écarte du chemin tracé par l’âme, soit en obéissant à nos propres désirs mondains, soit à l’influence d’autres personnalités, un conflit surgit. Ce conflit devient la cause profonde de la maladie et du malheur. Quelle que soit votre occupation terrestre – cireur ou monarque, maître ou paysan, homme riche ou pauvre – tant que vous faites ce travail, obéissant aux commandements de votre âme, tout va bien ; et nous pouvons continuer à être sûrs que, quelle que soit la position que nous occupons, royale ou humble, ce sont toujours les leçons et les expériences nécessaires en ce moment à notre évolution, et elles nous offrent de magnifiques opportunités pour notre développement.

La prochaine grande vérité réside dans la compréhension de l'Unité de toutes choses : que le Créateur de toutes choses est l'Amour, et que tout ce qui nous entoure est un nombre incalculable de formes et de manifestations de cet Amour, qu'il s'agisse d'une planète ou d'un caillou de rivière. , une étoile ou une goutte de rosée, une personne ou la forme de vie la plus basse. Il peut être plus facile de comprendre ce concept si nous imaginons le Créateur comme un soleil magnifique, flamboyant d'amour et de bonté, avec d'innombrables rayons émanant de son centre, brillant dans toutes les directions. Nous, tout et tous ceux qui nous entourent, sommes situés aux extrémités de ces rayons et sommes envoyés pour acquérir de l'expérience et des connaissances, mais nous retournerons inévitablement au grand centre. Et bien que pour nous chaque rayon puisse ressembler à quelque chose d’indépendant, existant séparément, il fait en réalité partie du grand Soleil. L'indépendance est impossible car dès qu'un rayon de lumière est coupé de sa source, il cesse d'exister. Ainsi, nous devons comprendre qu'il ne peut être question de séparation et d'indépendance, car, bien que chaque rayon soit un individu, il reste une partie du grand tout. Cela signifie que toute action dirigée contre vous-même ou contre votre prochain affecte le tout, car en rendant une partie imparfaite, vous interférez avec le tout, qui est destiné à devenir parfait.

Nous voyons ainsi qu'il peut y avoir ici deux erreurs fondamentales : la discorde entre l'Âme et la personnalité et la cruauté et le mal infligés à autrui, puisque c'est un péché contre l'Unité. Chacune de ces actions entraîne des conflits, qui à leur tour provoquent des maladies. Comprendre où nous commettons une erreur (dont parfois nous ne nous rendons même pas compte) et simplement faire un effort pour corriger l'erreur nous mènera non seulement à une vie remplie de joie, mais aussi à la santé.

La maladie en elle-même est une bénédiction car elle vise à nous ramener à notre véritable identité et au diktat divin de notre âme. Ainsi, nous voyons que ce phénomène peut être prévenu ou évité, car dès que nous prenons conscience de nos erreurs et de nos mauvaises actions et que nous commençons à nous corriger, le besoin de leçons dures sous forme de souffrance disparaîtra. Chaque opportunité nous est donnée par la Volonté de Dieu pour nous guider sur le chemin qui nous est destiné avant d'appliquer le dernier recours sous forme de douleur et de souffrance. Les erreurs sur lesquelles nous devons travailler n’ont peut-être pas été commises au cours de cette vie, de cette journée d’école. Et bien que nous ne puissions pas comprendre avec notre esprit physique la légitimité et le bien-fondé d’une souffrance qui semble trop cruelle, notre âme (qui est nous) est parfaitement consciente de leurs causes, voit le but final et nous y conduit. Quoi qu’il en soit, comprendre et corriger les erreurs réduira nos maladies et rétablira la santé. La connaissance des buts de l'âme et l'acceptation résignée de cette connaissance impliquent le soulagement des souffrances et des tourments terrestres et la liberté de se développer et d'évoluer dans la joie et le bonheur.

Il y a deux énormes erreurs : la première est de tomber dans l’orgueil et de ne pas obéir aux diktats de notre âme, la seconde est d’agir contre l’Unité. Concernant la première : ne vous précipitez pas pour juger les autres, car ce qui est bien pour l’un n’est pas bien pour l’autre. Un commerçant dont le travail consiste à développer une entreprise apportera des bénéfices non seulement à lui-même, mais aussi à ceux qu'il emploie. Ainsi, il comprend nécessairement les principes d'efficacité, contrôle et développe les vertus correspondantes ; La religieuse a un autre métier, elle consacre toute sa vie à soigner les malades ; et pourtant, tous deux, à condition de suivre les préceptes de leur âme, développent les qualités qui les aideront à avancer sur le chemin de l’évolution spirituelle. Après tout, l'essentiel est la capacité d'écouter et d'entendre les préceptes de notre âme, de notre Soi supérieur, et nous comprenons cette compétence par la conscience, l'instinct et l'intuition.

Ainsi, nous voyons que, par son principe même, par son essence même, une maladie peut être prévenue et traitée, et que le travail des guérisseurs spirituels et des médecins est, en plus des médicaments matériels, de fournir au malade des connaissances sur les erreurs commises. la vie a causé ces souffrances et comment pouvez-vous les éradiquer et redonner joie et santé à votre vie ?

CHAPITRE TROIS

Sur la base de ce que nous savons de la maladie et de la profondeur de ses origines, il est clair pour nous que pour l'éradiquer de manière fiable et complète, cela n'a aucun sens de travailler uniquement sur sa manifestation finale, sans toucher ni éliminer la cause elle-même. L’erreur la plus grave qu’une personne puisse commettre est d’agir contre l’Unité, et c’est l’amour-propre qui la pousse. Et on peut affirmer qu'il n'y a qu'un seul chagrin principal : la maladie. Puisque les actions contre l’Unité peuvent être divisées en différents types, les maladies – le résultat de ces actions – peuvent également être divisées en groupes principaux selon leurs causes. La nature même de la maladie peut être un guide et un assistant utile pour reconnaître les types d’actions entreprises contre la Loi Divine de l’Amour et de l’Unité.

Si nous avions dans notre nature suffisamment d’amour pour toutes choses, nous ne serions pas capables de nuire ; parce que cet amour protégerait nos mains des actions nuisibles et notre esprit des pensées nuisibles. Mais nous n’avons pas encore atteint ce niveau de perfection ; car si nous y parvenions, il n’y aurait plus besoin de maladie. Mais nous recherchons et luttons tous pour un tel état, et ceux d’entre nous qui souffrent mentalement ou physiquement de ces chagrins se dirigent vers l’état chéri ; et si nous lisons correctement les signes qui nous sont donnés, alors nous accélérerons non seulement notre progression vers l'objectif, mais nous nous protégerons également de la maladie et de la souffrance. À partir du moment où la leçon est apprise et l'erreur éradiquée, le besoin de correction disparaît, nous devons donc nous rappeler que la souffrance en elle-même est une bénédiction, car elle nous éloigne du mauvais chemin et nous guide sur le chemin de notre développement et amélioration.

La véritable maladie primaire de l'homme est constituée de défauts tels que l'orgueil, la cruauté, la haine, l'égoïsme, l'ignorance, l'inconstance et l'avidité ; et n'importe lequel d'entre eux, s'il est réellement trouvé chez une personne, est nuisible à l'Unité. De tels défauts sont un désordre (selon les termes de la science moderne), et si même après avoir réalisé la nocivité de ces défauts nous continuons à persister et à les développer en nous-mêmes, ils endommagent notre corps et le conduisent à un état que nous appelons maladie.

L’orgueil nous submerge, premièrement, à cause d’une compréhension insuffisante de l’insignifiance de notre personnalité, de la primauté de l’âme et du fait que nous devons tous nos succès non pas à nous-mêmes, mais à la bénédiction de Dieu ; deuxièmement, en raison de la perte du sens des proportions, de la compréhension de notre petitesse insignifiante dans l'ensemble du projet du Créateur. Puisque l’orgueil empêche constamment d’obéir et d’accepter avec humilité la volonté du Créateur, cela conduit à un conflit avec la Volonté Supérieure.

La cruauté est un renoncement à l'unité avec toutes choses et une incapacité à comprendre le fait que nuire à l'un nuit au tout et constitue donc un acte contre l'unité. Personne ne serait cruel envers ceux qui lui sont proches et chers, et selon la loi de l'Unité, nous devrions comprendre que chacun, étant partie du tout, devrait être aimé de nous, et même ceux qui nous persécutent devraient le faire. être traité avec amour et sympathie.

La haine est l’antipode de l’Amour, l’opposé de l’Amour du Créateur. C’est contraire à tout le système Divin et c’est un renoncement au Créateur ; elle conduit à des actions et des pensées défavorables à l'Unité et contraires à tout ce qui est dicté par l'Amour.

L’amour-propre est aussi un renoncement à l’unité et aux obligations envers les autres, car il nous encourage à faire passer nos propres intérêts avant le bien de l’humanité et le soin et la protection de ceux qui nous entourent.

L'ignorance est une réticence à apprendre, un refus de voir la Vérité, quelles que soient les opportunités offertes ; cela conduit à une variété inimaginable d’actions mauvaises qui ne peuvent être cachées que dans l’obscurité, non éclairées par la lumière de la Vérité et de la Connaissance.

L'inconstance, l'indécision et l'incapacité de poursuivre un objectif poussent une personne à refuser d'obéir au Soi supérieur et la forcent à trahir lâchement les autres. Un tel état ne pourrait pas apparaître en nous si nous réalisions en nous la Divinité Invincible et Indestructible, qui est essentiellement nous.

La cupidité provoque une soif de pouvoir. C'est un rejet de la liberté et de l'individualité de chaque âme. Au lieu de reconnaître que chacun de nous est venu ici pour se développer librement, obéissant uniquement aux diktats de son âme, pour révéler son individualité et travailler librement et sans entrave, l'individu, saisi d'un désir passionné de dicter, de façonner les gens et de commander, usurpe les droits. du Créateur.

Ce sont des exemples de désordres réels, sources et fondements de toutes souffrances et destructions. Chacun de ces défauts, si vous y persistez et continuez à aller à l'encontre de la voix du Soi Supérieur, provoquera un conflit qui affectera certainement le corps physique et se transformera en une certaine maladie physique.

Nous comprenons maintenant comment chaque type de maladie dont nous souffrons nous amènera à découvrir les erreurs qui ont causé notre chagrin. Par exemple, l’orgueil, qui représente la rigidité et l’inflexibilité de l’esprit, provoquera des maladies qui se manifesteront par la rigidité et l’inflexibilité du corps. La douleur est le résultat de la cruauté, de sorte que le patient, à travers sa douleur, ressent ce que c'était pour ceux qu'il a traités de cette manière, et peu importe qu'il ait fait preuve de cruauté physiquement ou mentalement. Le prix à payer pour la haine est la solitude, une tendance à la violence et à des comportements incontrôlés, des accès de rage et des crises de colère. L’orgueil est la cause de l’habitude douloureuse de l’introspection, de la neurasthénie, des névroses et autres conditions similaires qui appauvrissent tant la vie. L’ignorance et le manque de sagesse entraînent leurs propres difficultés dans la vie quotidienne et, en plus, à cause d’un refus obstiné de voir la vérité lorsqu’on leur en donne l’occasion, la vision et l’ouïe d’une personne déclinent naturellement et systématiquement. L’instabilité de l’esprit provoque les mêmes phénomènes dans le corps, ce qui entraîne des problèmes au niveau du système musculo-squelettique et de la coordination. Le résultat de l’avidité et de la domination sur les autres donne lieu à des maladies qui rendent le malade prisonnier de son propre corps, avec des désirs et des ambitions freinés par la maladie. De plus, la partie même du corps qui a été affectée par la maladie selon la loi de cause à effet deviendra un indice et un assistant pour sortir de cette maladie. Par exemple, le cœur, source de vie et donc d’amour, est attaqué lorsque l’amour pour l’humanité n’est pas développé ou mal utilisé ; une douleur ou une maladie dans la main indique l'erreur de nos actions.

Le cerveau est le centre de contrôle et, par conséquent, les écarts dans son travail indiquent un manque de maîtrise de soi chez un individu donné. C’est ainsi que fonctionne la loi actuelle. Nous sommes tous conscients que, par exemple, le manque de maîtrise de soi ou le choc provoqué par une mauvaise nouvelle peuvent nuire à la santé ; Alors, si des choses aussi insignifiantes peuvent avoir un tel impact sur le corps, combien plus graves et plus profonds doivent être les dommages causés par un conflit prolongé entre l'âme et le corps. Faut-il s'étonner que nous recevions ainsi de plus en plus de plaintes concernant des maladies graves ?

Cependant, il n’y a aucune raison de devenir déprimé. La prévention et la guérison peuvent être trouvées en découvrant nos défauts et en les éliminant simplement en développant la vertu qui les détruira ; non pas en luttant contre les défauts, mais en vous remplissant d'un tel flux de force opposée qu'il effacera ces trous de ver de votre nature.

CHAPITRE QUATRE

Ainsi, nous avons découvert qu'aucune maladie ne survient par hasard, et même ce qui est exactement et quelle partie du corps est affecté est soumis à un certain schéma ; ici, comme dans tout ce qui touche à l'énergie, on peut tracer une relation de cause à effet. Un certain nombre de maladies peuvent être causées par une influence physique directe, telles que : les empoisonnements, les accidents, les blessures et les excès déraisonnables ; mais les maladies apparaissent principalement en raison de quelques erreurs fondamentales, comme dans les exemples ci-dessus.

Pour un effet complexe sur eux, il ne suffit pas seulement de médicaments physiques, même les meilleurs de l'art moderne de la guérison, mais nous devons également faire de notre mieux pour aplanir les défauts de notre nature ; car la guérison finale et complète ne peut venir que de l'intérieur, de l'âme elle-même, qui, par sa grâce, rayonne l'harmonie à travers chaque individu, si seulement il le lui permet.

Puisqu’il n’y a qu’une seule racine de toute douleur, dont le nom est l’amour-propre, il n’existe qu’une seule grande méthode irréprochable pour soulager toutes les souffrances : reforger l’amour-propre en dévotion envers les autres. Si nous développons suffisamment la capacité de nous perdre dans l’amour et le soin des autres, pour profiter de la merveilleuse aventure d’acquérir des connaissances et d’aider les autres, nos propres chagrins et souffrances commenceront rapidement à s’estomper. Tel est le grand objectif final : le renoncement à l’intérêt personnel au service de l’humanité. Quelle que soit la position sociale que Dieu nous a donnée, quelle que soit votre occupation et votre profession, que vous soyez riche ou pauvre, que vous soyez roi ou pauvre, chacun a toutes les chances d'accomplir l'œuvre de sa vie et d'être véritablement béni. donner aux autres l’Amour Divin Fraternel.

Mais la grande majorité d'entre nous ont un certain chemin à parcourir avant de pouvoir atteindre ce stade de perfection, même s'il est tout simplement étonnant de voir avec quelle rapidité et de manière unique nous pouvons avancer sur ce chemin si nous faisons des efforts significatifs, guidés non pas par notre faible confiance en nous-mêmes. , mais par une foi aveugle qu'en suivant les exemples et les enseignements des grands mentors du monde, il est possible de retrouver votre Âme, la Divinité en vous, et alors tout deviendra réalisable. La plupart d'entre nous ont un ou plusieurs défauts vivant en nous qui entravent notre progrès, et à ce ou ces défauts, nous devons être particulièrement attentifs, et tout en développant et en rayonnant avec diligence notre amour naturel pour le monde, nous devons prendre soin de les éliminer. défaut, se remplissant de la vertu opposée. Cela peut être un peu difficile au début, mais seulement au début, car les vertus véritablement inspirées augmenteront étonnamment rapidement, grâce à la prise de conscience qu'avec l'aide de l'étincelle divine en soi et avec la persévérance requise, l'échec est impossible.

Dans le développement de l'Amour Universel en nous, nous devons apprendre à comprendre de plus en plus clairement que chaque personne, aussi insignifiante qu'elle puisse paraître, est un enfant du Créateur et qu'un jour, avec le temps, elle deviendra approcher la perfection, et c'est ce à quoi nous aspirons et nous. Peu importe à quoi ressemble une personne ou une créature à nos yeux, nous devons nous rappeler qu’il y a en elle une étincelle divine, qui grandit lentement mais régulièrement pour s’enflammer pour la Gloire du Créateur.

De plus, les questions de bénéfice et de préjudice, de bien et de mal sont relatives. Ce qui est tout à fait naturel pour les indigènes semblerait erroné dans les conditions de notre civilisation ; ce qui est vertueux à notre stade de développement ne le sera pas dans le cas de ceux qui ont mieux compris. Ce que nous appelons mal ou mal est en fait tout simplement inapproprié dans nos conditions, donc tout est relatif. Rappelons-nous également que nos normes et nos idéaux sont également relatifs ; envers les animaux, nous devons nous comporter comme de bons dieux, même si nous sommes très loin du niveau de la Grande Fraternité Blanche des Saints et des Martyrs, qui, par leur abnégation, sont devenus un exemple pour nous. C'est pourquoi nous devons avoir de la sympathie et de la compassion pour les gens les plus simples, car, conscients que nous nous trouvons à un niveau plus élevé qu'eux, nous devons nous rappeler qu'il nous reste encore un très long chemin à parcourir avant d'atteindre le niveau de nos frères aînés, dont la lumière éclaire le monde depuis l’Antiquité.

Si l'orgueil nous a submergés, rappelons-nous que notre personnalité en elle-même n'est rien, elle n'est pas capable d'accomplir le moindre travail, ni de rendre des services, ni de supplanter le pouvoir des ténèbres, si elle n'est pas soutenue par la Lumière qui est au-dessus de tout. , la Lumière de notre Âme ; essayons d'avoir un petit aperçu de la toute-puissance et du pouvoir incompréhensible du Créateur, qui place le monde entier dans toute sa perfection dans une seule goutte d'eau et crée d'innombrables univers, et essayons de réaliser à la fois notre insignifiance par rapport à Lui et notre dépendance à son égard. Nous essayons d'honorer et de respecter nos supérieurs terrestres ; combien plus devons-nous nous humilier devant le Grand Architecte de l’Univers !

Si la dureté ou la haine nous éloignent du chemin du progrès, rappelons-nous que l'Amour est la base de la Création, qu'il y a quelque chose de bon dans chaque âme vivante et que même dans le meilleur d'entre nous quelque chose de mal se cache. En recherchant le bien chez les autres, même chez ceux qui nous ont blessé au départ, nous pouvons au moins apprendre à développer de l’empathie et espérer qu’ils verront des voies plus aimables ; et après cela, il y aura un désir de les aider à s'élever. La victoire finale ne peut s'obtenir que par l'amour et la douceur, et lorsque nous maîtriserons parfaitement ces deux qualités, rien ne pourra nous capturer, puisque nous deviendrons pleins de compassion et ne serons pas réciproques aux insultes, car selon la même loi de cause et effet, l’opposition cause du tort. Notre but dans la vie est de suivre l'ordre du Soi Supérieur sans être influencé par les autres, et cela ne peut être réalisé qu'en agissant avec douceur, et en même temps, sans interférer dans la vie des autres et sans provoquer la moindre cruauté ou haine. . Nous devons nous efforcer d'apprendre à aimer tout le monde, en commençant peut-être par une personne ou même un animal, et permettre à cet amour de grandir, de se propager de plus en plus, jusqu'à ce que les vices qui lui sont opposés disparaissent d'eux-mêmes. L'amour crée l'amour, tout comme la haine crée la haine.

L'amour-propre répond bien au traitement en transférant aux autres le soin et l'attention que nous nous accordons, et en nous plongeant si profondément dans les soucis du bien-être de nos voisins que, dans ces domaines, nous nous oublions nous-mêmes. Comme le dit l’un des grands statuts de la Confrérie : « chercher une consolation de nos peines en montrant encore plus de sympathie et en aidant nos frères dans leurs heures de tristesse », et il n’y a pas de moyen plus vrai de guérir l’orgueil et tous les troubles qui y sont associés. que ça.

L'inconstance peut être éradiquée en développant l'esprit de décision, la capacité de bien rassembler ses pensées et d'aborder les choses sans doute, sans hésiter ni tourner autour du pot. Même si vous vous trompez au début, ce sera mieux que de rater une opportunité à cause de votre indécision. La détermination va bientôt augmenter ; la peur de se plonger dans la vie disparaîtra et l'expérience accumulée aidera notre esprit à raisonner judicieusement.

Beaucoup d'entre nous étaient beaucoup plus proches de notre propre âme dans l'enfance et l'adolescence que dans les années suivantes, et avions une idée plus claire du travail de nos rêves, des efforts à accomplir et des traits de caractère que nous devions développer en nous-mêmes. La raison en réside dans le matérialisme et les circonstances de la vie liées à l'âge, dans les personnalités avec lesquelles nous sommes associés, car elles nous éloignent et ne nous permettent pas d'entendre la voix du Soi Supérieur et nous lient fermement à la vie quotidienne avec ses manque d'idéaux - phénomène évident de la vie moderne. Alors que les parents, mentors et compagnons qui souhaitent voir leurs protégés grandir spirituellement et renforcer leur connexion avec leur Soi Supérieur, et qui ont ce merveilleux privilège de les influencer, se souviennent de donner aux autres la liberté qu'ils espèrent recevoir eux-mêmes.

De la même manière, nous pouvons considérer n'importe quel vice de notre nature et, en développant la vertu opposée, le faire ressortir, annulant ainsi les conflits entre l'Âme et la personnalité, qui sont à la base des maladies. Cette action seule, si le patient a la foi et la force, apportera soulagement, santé et joie, et pour d'autres, moins forts, elle contribuera à la guérison, renforçant l'effet curatif fourni par les méthodes du médecin terrestre.

Nous devons simplement développer notre loyauté envers les préceptes de notre propre âme, ne craindre personne et comprendre que personne ne peut interférer ou nous dissuader de notre propre développement, en remplissant notre devoir et en aidant les autres, en nous rappelant que plus nous avançons, plus grand est notre devoir. bénédiction que nous devenons pour ceux qui vous entourent. Vous devez être particulièrement prudent lorsque vous aidez d'autres personnes, quelles qu'elles soient, pour être sûr que le désir d'aider vient de votre cœur et n'est pas provoqué par un faux sens du devoir imposé par une personnalité autoritaire. Ce type de mode de vie moderne ne peut conduire à rien d’autre qu’à la tragédie, et il est impossible de compter les milliers de vies ruinées, les myriades de chagrins, de souffrances et d’opportunités manquées provoqués par cette illusion. D'innombrables enfants, en raison même de ce sens du devoir, sont enchaînés à des parents handicapés qui ne souffrent que d'une soif d'attention. Pensez aux armadas d'hommes et de femmes qui ont été empêchés d'accomplir peut-être une grande œuvre, une œuvre d'une importance particulière pour toute l'humanité, et tout cela simplement parce que leur volonté a été réprimée par l'autorité d'un homme devant lequel ils n'ont pas réussi à défendre leur liberté ; des enfants qui, très tôt dans leur vie, ont connu leur vocation et ont lutté pour l'obtenir, et pourtant, sous le poids des difficultés et des circonstances, des disputes avec les autres et par manque de force d'intention, ils se sont tournés vers une autre branche de la vie, où ils ne pouvaient ni être heureux ni améliorer leur niveau de développement, comme ils auraient pu le faire sur leur véritable chemin. Seule notre propre moralité a le droit de nous dicter quels sont nos devoirs, ce que nous devons et à qui, mais quel que soit ce commandement, nous devons le suivre même dans la limite de nos propres capacités.

En conclusion, plongeons-nous sans crainte dans la vie ; nous sommes ici pour acquérir de l’expérience et des connaissances, et nous apprendrons, mais pas suffisamment si nous ne faisons pas de notre mieux. Cette expérience peut être acquise n'importe où et n'importe où, et la vérité de la nature et de l'humanité peut être comprise tout aussi efficacement, et peut-être même plus efficacement, dans une maison de campagne que parmi le bruit et la hâte de la ville.

CHAPITRE CINQ

Puisque le manque d'individualité (qui se traduit par une interférence avec sa propre individualité, qui à son tour empêche l'unité avec son Soi supérieur) est responsable de l'émergence et du développement de maladies, et puisque cela est souvent posé à un stade précoce de la vie, discutons de ce que devrait être la relation entre parent et enfant, enseignant et élève.

Dans l’ensemble, la fonction de parent implique des opportunités spéciales (et elles doivent en effet être considérées comme des privilèges divins) qui permettent à l’âme d’entrer en contact avec ce monde afin d’évoluer. Si l’on y réfléchit, il est peut-être difficile d’imaginer une meilleure manière de servir l’humanité que de devenir un intermédiaire dans l’incarnation physique de l’âme et de prendre soin de la jeune personnalité pendant les premières années de son existence terrestre. En général, l'attitude des parents doit être de donner au petit nouveau venu toute l'instruction spirituelle, mentale et physique du mieux possible, en gardant toujours à l'esprit que ce petit est une personne, une âme, venue ici pour avoir son sa propre expérience et ses propres connaissances à sa manière, conformément à son Soi supérieur, c'est pourquoi elle doit bénéficier d'une liberté suffisante pour ne pas interférer avec son développement.

La parentalité est un service divin et doit être respectée autant, sinon plus, que toute autre responsabilité que nous pouvons assumer. Puisqu'il s'agit d'une sorte de sacrifice, aucune idée ne devrait vous venir à l'esprit d'exiger une sorte de compensation de la part de l'enfant. Le travail d'un parent est de donner, et seulement de donner, de l'amour tendre, de la protection et des conseils jusqu'à ce que l'âme prenne sur elle le soin du jeune. L'indépendance, l'individualité et la liberté sont ce que les enfants devraient apprendre dès le début. Et l’enfant doit être incité dès le début, dès son plus jeune âge, à penser et à agir de manière indépendante. Tout contrôle parental doit être réduit progressivement, offrant ainsi la possibilité de développer l'indépendance et ne permettant pas à la fausse idée du devoir envers les parents de restreindre le développement de l'âme de l'enfant.

La parentalité est une position transmise de l'un à l'autre, et est essentiellement une direction et une protection temporaires pour une courte période qui, après un certain temps, doit être abolie et l'objet de soins laissé pour un avancement indépendant ultérieur.

N’oubliez jamais que l’enfant dont vous êtes le leader et le protecteur temporaire peut être l’incarnation d’une âme plus adulte que la vôtre et spirituellement supérieure à vous. Cela signifie que le contrôle et la protection doivent être réduits aux besoins du jeune.

La parentalité est une responsabilité sacrée, temporaire par nature et transmise de génération en génération. Elle ne se soucie que du service et n'exige rien en retour des enfants, car ils doivent rester libres de se développer à leur manière et devenir aussi aptes que possible au rôle parental à l'avenir. Par conséquent, l'enfant ne doit être limité ni par les responsabilités ni par l'ingérence de ses parents, sachant que la parentalité, d'abord confiée à son père et à sa mère, peut devenir plus tard sa responsabilité envers un autre.

Les parents doivent se méfier de toute volonté d'incliner le jeune dans une direction ou une autre, à leur discrétion et selon leur désir, et doivent se méfier de tout contrôle et demande inutiles au lieu de remplir leurs devoirs naturels, si cela n'implique pas d'aider le jeune. l'âme dans son contact avec le monde. Tout désir de contrôler ou de diriger une jeune vie sur la base de motivations personnelles est une forme terrible d'avidité, qui ne doit en aucun cas être encouragée, car si cela est enraciné chez un jeune père ou une jeune mère, cela les amènera à l'avenir à devenir de vrais vampires. S’il y a le moindre désir de domination, il faut l’étouffer dans l’œuf. Il faut refuser d’être sous le joug de l’avidité, qui nous donne envie de posséder les autres. Nous devons cultiver en nous l'art de donner et le développer jusqu'à ce qu'il efface même la trace de l'activité opposée par son sacrifice.

L'enseignant doit constamment garder à l'esprit que sa position implique uniquement une médiation, en donnant des conseils et la possibilité aux jeunes d'étudier la structure du monde et les choses qui s'y trouvent, afin que chaque enfant puisse assimiler les connaissances à sa manière et, s'il est libre, , il choisira instinctivement ce qui lui est nécessaire pour réussir dans la vie. Et encore une fois, quoi qu'il en soit, seuls des soins et un accompagnement doux permettront à l'étudiant d'acquérir les connaissances dont il a besoin.

Les enfants doivent se rappeler que la fonction de parent, en tant que symbole du pouvoir créateur, est divine dans sa mission, mais qu'elle n'exige ni limitations dans le développement ni obligations qui peuvent interférer avec la vie et le travail choisis par les diktats de l'âme. À l'ère de notre civilisation, il est impossible d'apprécier pleinement quelles souffrances indescriptibles sont causées, quelle suppression des qualités personnelles a lieu et combien d'usurpateurs sont soulevés en raison de l'ignorance de ce fait. Dans presque tous les foyers, parents et enfants se construisent des prisons pour des raisons manifestement fausses et une compréhension erronée de la relation entre parent et enfant. Ces prisons entravent la liberté, limitent la vie, interfèrent avec le développement naturel et apportent la misère à toutes les personnes impliquées, et les maladies mentales, nerveuses et même physiques qui affligent ces personnes constituent un pourcentage important de toutes les maladies de notre époque.

Il n'est peut-être pas si facile de réaliser que chaque âme dans son incarnation est envoyée ici dans le but spécial d'acquérir la connaissance et la compréhension, et aussi d'améliorer ses qualités personnelles selon les idéaux acceptés par cette âme. Peu importe qui nous sommes l'un pour l'autre, que nous soyons mari et femme, parent et enfant, frère et sœur, ou mentor et disciple, nous péchons devant notre Créateur et devant nos voisins si, sur la base de motivations et de désirs personnels, nous interférons avec le développement d'une autre âme. Le devoir de notre âme est d’obéir à notre propre conscience, et cela n’implique pas la soumission d’une autre personne, même pour un instant. N'oublions donc pas que son âme a été envoyée ici pour accomplir son travail dont l'échec, que ce soit par la volonté ou contre la volonté de l'individu, entraînera une discorde entre l'âme et le corps, qui conduira inévitablement à une maladie physique.

Il est probable que quelqu'un ressentira le besoin de consacrer toute sa vie à un autre, mais avant de le faire, vous devez être absolument sûr que vous y avez été enclin par l'exigence de votre âme, et non par l'influence d'une personnalité plus forte. , ou une fausse idée de dette. Il convient également de rappeler que nous sommes venus dans ce monde pour gagner des batailles, pour gagner en force contre ceux qui tenteraient de nous imposer leur contrôle et pour passer à une étape de la vie où nous pouvons vivre en paix et sans entraves, libres de toute influence étrangère. et obéissant calmement à la seule voix du Soi Supérieur. Pour beaucoup, le théâtre de cette plus grande bataille sera leur propre maison, où, avant d'être libres de combattre dans le monde, ils devront se libérer de la domination et du contrôle défavorables. de leur famille immédiate.

Toute personne, qu'elle soit adulte ou enfant, dont la tâche consiste en partie à se libérer du contrôle oppressif des autres, doit se rappeler de ce qui suit : premièrement, que nos oppresseurs potentiels doivent être considérés comme des concurrents sportifs, comme des camarades de jeu participant à parts égales au jeu avec nous avons appelé la Vie, sans la moindre amertume, réalisant que s'il n'y avait pas de tels rivaux, nous serions privés de la possibilité de développer notre courage et notre individualité ; deuxièmement, que les vraies victoires de la vie viennent de l’amour et de la douceur, et que dans une telle compétition il n’y a pas de place pour la force brutale ; cette croissance constante dans la direction voulue par sa nature est due à la sympathie, à la gentillesse et, si possible, à la bonne volonté ou, idéalement, à l'amour pour l'ennemi. En respectant ces conditions, il est possible d'obtenir un tel développement qui vous permettra de suivre avec douceur et sérénité l'appel de la conscience, sans rencontrer le moindre obstacle en cours de route.

Ceux qui sont enclins à dominer ont besoin de recevoir plus d’aide et plus d’explications afin qu’ils puissent comprendre le grand principe de l’Unité et connaître la joie de la Fraternité. Manquer de telles choses signifie nous priver de la vraie joie de la vie, et nous devons aider ces personnes autant que cela est en notre pouvoir. La faiblesse de notre part à permettre à ces personnes d'étendre leur influence à nos dépens ne les aidera en aucune façon, mais un refus doux d'être sous leur contrôle et le désir de leur transmettre la conscience de la joie de donner leur permettront de avancer dans la bonne direction.

Trouver notre liberté, gagner notre individualité et notre indépendance, demande généralement beaucoup de courage et de foi. Mais dans les heures les plus sombres, lorsque le succès semble improbable, rappelons-nous que les enfants de Dieu n'ont rien à craindre, que nos âmes se voient confier uniquement les tâches qu'elles sont capables d'accomplir, et qu'avec notre courage et notre foi en la Divinité qui est en nous, la victoire viendra à tous ceux qui continueront à se battre.

CHAPITRE VI

Et maintenant, frères et sœurs, alors que nous avons réalisé que l'Amour et l'Unité sont la grande base de la Création, que nous sommes nous-mêmes enfants de l'Amour de Dieu et que ce qui a été éternellement gagné par les erreurs et la souffrance le sera par la douceur et la l'amour, alors ici Maintenant que nous avons réalisé tout cela, où dans tout ce beau tableau plaçons-nous des activités telles que la vivisection et les expériences sur les animaux ? Sommes-nous vraiment si primitifs, sommes-nous des monstres païens, que nous croyons encore qu'en sacrifiant des animaux, nous pouvons expier nos erreurs et nos défauts ? Il y a près de 2 500 ans, le Seigneur Bouddha a montré au monde les vicissitudes du sacrifice d’êtres inférieurs. La race humaine doit déjà beaucoup aux animaux qui ont été torturés et détruits, même si l'objectif n'a jamais justifié ces moyens inhumains, il n'en a résulté que du mal, tant pour les animaux que pour les humains. À quel point nous, en Occident, nous sommes écartés des beaux idéaux de notre mère l'Inde ancienne, où l'amour pour toutes les créatures terrestres était si grand que les gens maîtrisaient et pratiquaient l'art de guérir non seulement les animaux malades ou blessés, mais aussi les oiseaux. De plus, il existait d'immenses sanctuaires pour toutes sortes de vie, et les gens avaient une telle aversion pour les chasseurs qu'on leur refusait tout traitement jusqu'à ce qu'ils promettent d'abandonner leurs activités cruelles. Ne condamnons pas ceux qui pratiquent la vivisection ; beaucoup d’entre eux sont véritablement guidés par les principes de l’humanité, espérant et essayant de trouver des moyens pour soulager la souffrance humaine ; leurs motivations sont bonnes. Mais ils ne sont pas assez sages et ces gens ne comprennent pas pleinement le sens de la vie ; et cela doit être combiné avec la sagesse et la connaissance.

Ne me permettez même pas d’écrire sur les horreurs de la magie noire associée à la transplantation d’organes, mais je supplie chaque être humain d’éviter cette opération, car c’est le pire des maux, car c’est un péché à la fois contre Dieu et contre l’homme et l’animal.

À une ou deux exceptions près, ne nous attardons pas sur les échecs de la médecine moderne ; la destruction ne sert à rien si un meilleur bâtiment est construit à sa place, et puisqu'en médecine les fondations d'un nouveau bâtiment ont déjà été posées, concentrons-nous sur l'ajout de quelques briques à ce temple. De la même manière, cela n'a aucun sens de dévaloriser le niveau professionnel des médecins modernes - l'erreur réside dans le système lui-même, pas dans les personnes, dans un système où le médecin, pour des raisons uniquement économiques, n'a pas le temps de se calmer, un traitement serein ou l'opportunité des pensées et des réflexions nécessaires, qui sont le droit et la propriété de ceux qui ont consacré leur vie aux malades. Paracelse disait qu'un médecin avisé rend visite à cinq patients par jour, et non quinze, mais cette pratique idéale est totalement irréaliste pour les médecins d'aujourd'hui.

L’aube d’un art de guérison nouveau et amélioré est notre tâche. Il y a cent ans, l'homéopathie de Hahnemann était le premier rayon de lumière du matin après l'obscurité impénétrable de la nuit et elle peut jouer un rôle important dans la médecine du futur. De plus, l’accent mis aujourd’hui sur l’amélioration des conditions de vie et la fourniture d’une alimentation plus propre et plus saine constitue déjà un progrès vers la prévention des maladies ; et toute activité éducative visant à transmettre aux gens des informations sur le lien entre les expériences mentales et les maladies et sur la manière d'améliorer le bien-être en ajustant les points de réflexion jusqu'à l'aube, dans les rayons lumineux de laquelle se dissiperont les ténèbres des maladies.

N'oublions pas que la maladie est notre ennemi commun et que tous ceux qui ont contribué à la vaincre aident non seulement eux-mêmes, mais aussi l'humanité toute entière. Ce qui est certain et indéniable, c'est qu'il faut déployer encore plus d'énergie pour obtenir la victoire finale ; le désir de chacun est nécessaire pour que ceux qui sont plus grands et plus forts, en plus de leur travail, apportent une assistance physique à leurs plus faibles. frères.

Évidemment, la première chose à faire pour empêcher la propagation et la croissance de la maladie est de mettre un terme aux actions qui contribuent à sa prospérité ; la prochaine étape consiste à nettoyer votre nature des défauts qui contribuent à une infection ultérieure. La mise en œuvre de ces mesures sera une véritable victoire ; puis, après nous être libérés, nous serons libres d’aider les autres. Et ce n’est pas aussi difficile qu’il y paraît à première vue ; nous devons simplement faire de notre mieux, et nous savons que cela est possible tant que nous obéissons aux diktats de notre propre âme. La vie n’exige pas de nous des sacrifices inimaginables ; elle nous demande de faire notre voyage le cœur rempli de joie et d'être une bénédiction pour ceux qui nous entourent, de sorte que si nous avons fait ne serait-ce qu'un petit peu de bien lors de notre courte visite, nous avons fait notre travail.

L'enseignement religieux, s'il est lu correctement, nous appelle à « quitter tout et à me suivre », ce qui doit être interprété comme un abandon total au pouvoir du Soi supérieur, mais pas dans le sens dans lequel beaucoup l'imaginent : quitter la maison, le confort, l'amour. et le luxe ; Ce n’est pas du tout de cela dont nous parlons. Un roi, avec toute la splendeur de son palais, peut être un messager de Dieu et une véritable bénédiction pour le peuple de son pays, et peut-être même pour le monde entier ; quelle perte pour tout le monde pourrait être la décision du prince de se retirer des affaires s'il considère qu'il est de son devoir d'aller dans un monastère. Chaque poste dans chaque branche, du plus humble au plus grand, doit être pourvu, et la Divine Guidance de nos destinées sait dans quelle position nous placer pour notre développement optimal ; tout ce que nous avons à faire, c'est de bien faire notre travail et de nous amuser. Il y a des saints au tour et dans le chauffeur d'un navire, tout comme il y en a parmi les dignitaires des ordres religieux. Aucun d’entre nous sur cette terre n’est invité à faire plus que ce dont nous sommes capables, et si nous faisons de notre mieux pour faire le travail et suivre les préceptes de notre Soi supérieur, la santé et le bonheur sont possibles pour chacun de nous.

Pendant la majeure partie des deux derniers millénaires, la civilisation occidentale a connu une ère de matérialisme intense, et la réalisation de notre côté et de notre essence spirituels a été en grande partie perdue en raison du fait que nos esprits ont placé les passions, les ambitions, les désirs et les plaisirs du monde au-dessus du monde. vraies valeurs de la vie. La véritable raison du séjour de l'homme sur terre était éclipsée par son désir de recevoir uniquement les joies du monde. C’était une période où la vie était très difficile en raison du manque de véritable consolation, d’encouragement et d’élévation spirituelle obtenus par des choses supérieures à ce que le monde peut donner. Au cours des siècles passés, la religion a acquis le statut d’une légende dans l’esprit de nombreuses personnes, plutôt que de quelque chose qui a une réelle influence sur leur vie. La vraie nature de notre Soi Supérieur, la connaissance qu'il existe des vies antérieures et ultérieures, en plus de celle d'aujourd'hui, ont très peu de sens pour nous, alors qu'elles devraient guider nos actions et nos actes et devenir une ligne directrice pour nos activités. Nous avons, dans l’ensemble, renoncé aux choses significatives et cherché à rendre la vie aussi confortable que possible, en essayant de ne pas penser à des choses au-delà du monde matériel et en essayant de nous récompenser de nos tentatives par des plaisirs terrestres. Ainsi, la fonction, le rang, la richesse et les possessions mondaines sont devenus le but de ces époques ; et comme toutes ces choses sont transitoires et que leur poursuite nécessite beaucoup d'anxiété et de concentration sur le matériel, les vraies valeurs, telles que la paix et la tranquillité mentales, l'expérience des générations passées, ont été placées, par la faute de l'humanité, beaucoup plus bas. que le bien-être matériel.

La véritable paix de l’esprit et de l’âme ne nous parviendra que grâce à notre avancement spirituel, et elle ne peut être obtenue en accumulant des richesses matérielles, aussi grandes soient-elles. Mais les temps changent et certains signes indiquent déjà que cette civilisation entame sa transition de l’ère du pur matérialisme à la nécessité des véritables réalités de l’univers. L'intérêt répandu et rapidement croissant pour la connaissance métaphysique observé aujourd'hui, le nombre croissant de ceux qui s'intéressent aux informations sur la vie avant la naissance et après la mort, la recherche de méthodes de guérison par la foi et la pensée, l'intérêt pour les anciens enseignements de la sagesse de l'Orient - tout cela sont des signes que les gens de notre époque voient les choses réelles.

Ainsi, à mesure que nous abordons le problème de la guérison, nous pouvons comprendre que tout cela pourrait bientôt prendre sa place et changer les méthodes actuelles, en s'éloignant d'une approche purement matérielle vers une science basée sur les réalités de la Vérité qui régissent notre nature même. La guérison passera de la manipulation du corps physique à la guérison spirituelle et mentale qui, en établissant l'harmonie entre l'âme et le corps, détruira la cause même de la maladie, et permettra ensuite l'utilisation de moyens physiques comme procédure finale.

Il semble tout à fait possible que si la médecine ne remarque pas ces tendances associées à la croissance spirituelle des gens, l'art de guérir passe entre les mains d'ordres religieux ou entre les mains de guérisseurs naturels nés à chaque génération, mais qui vivent plus ou moins inaperçu, et à qui la Médecine généralement admise ne vous permet pas de réaliser votre vocation. Ainsi, les médecins du futur auront deux grands objectifs : le premier est d'aider le patient à mieux se connaître et à découvrir les principales erreurs qu'il a pu commettre, les défauts de son caractère qu'il doit corriger et les traits négatifs. de sa nature qu'il faut éliminer, en les remplaçant par des vertus opposées. Ainsi, le médecin doit être un grand scientifique dans le domaine des lois auxquelles l'homme et sa nature sont soumis, il pourra alors reconnaître chez tous ceux qui sont venus lui demander de l'aide ces traits de caractère qui ont conduit à un conflit entre l'Âme et la personnalité. Il doit être capable de conseiller celui qui souffre sur la meilleure façon de rétablir l'harmonie, quelles actions contre l'Unité doivent être arrêtées et quelles vertus il doit développer en lui-même afin d'éliminer ses défauts. Chaque cas nécessitera une étude minutieuse, et celle-ci ne sera soumise qu'à ceux qui ont consacré la plus grande partie de leur vie à l'étude de l'homme et dans le cœur desquels brûle le feu du désir d'aider, qui sauront mener à bien cette brillante et œuvre divine pour l'humanité, pour ouvrir les yeux de celui qui souffre et l'éclairer sur le sens de son existence, pour lui inspirer l'espérance, pour lui donner la consolation et la foi qui l'aideront à vaincre la maladie.

La deuxième tâche du médecin sera de prescrire des médicaments qui aideront le corps physique à reprendre des forces et l’esprit à se calmer, ce qui contribuera à élargir la vision du monde du patient et à harmoniser sa personnalité. De tels moyens sont prévus dans la nature elle-même par la grâce de Dieu pour la consolation du genre humain. Certains (une petite partie) d'entre eux sont connus, la plupart d'entre eux sont maintenant recherchés par des médecins dans diverses parties du monde, en particulier dans notre mère l'Inde, et il ne fait aucun doute que lorsque ces recherches se seront suffisamment développées, nous récupérerons la plupart de ces connaissances perdues il y a plus de deux mille ans, et le guérisseur aura à sa disposition de merveilleux remèdes naturels qui ont été envoyés pour soulager les maladies humaines.

Ainsi, la délivrance complète de la maladie dépendra de la manière dont l’humanité apprendra et suivra les lois qui apporteront la vraie joie et le bonheur à la vie. Et la tâche du médecin sera d'éduquer tout patient et de l'aider à comprendre la vérité, ce qui permettra de trouver l'harmonie, d'inspirer au patient la foi en sa Divinité, qui peut tout surmonter, et d'utiliser des moyens physiques qui aideront à harmoniser la personnalité et guérir le corps.

CHAPITRE SEPT

Et maintenant nous arrivons au problème le plus important : comment pouvons-nous nous aider nous-mêmes ? Comment pouvons-nous maintenir notre esprit et notre corps dans cet état d’harmonie qui empêche ou prévient la maladie, puisqu’il est évident qu’une personne qui ne souffre pas de tels conflits est immunisée contre la maladie.

Parlons d’abord de l’esprit. Nous avons déjà discuté en détail de la nécessité de découvrir en nous-mêmes les défauts qui nous poussent à agir contre l'Unité et contrairement à l'harmonie avec la volonté de l'Âme, et de l'importance d'éliminer ces erreurs en développant des vertus opposées. Cela (découvrir les fautes) peut être fait de la manière déjà indiquée ci-dessus, et un honnête examen de conscience nous révélera la nature de nos erreurs. Nos guides spirituels, nos vrais médecins et nos amis proches pourraient nous aider à voir notre véritable image, mais la meilleure façon d'y parvenir est de réfléchir de manière réfléchie, calme et méditative et de nous mettre dans un état de paix dans lequel notre âme peut nous parler à travers notre conscience et intuition et guidez-nous selon votre envie. Si nous pouvons nous réserver un peu de temps chaque jour pour être complètement seuls et dans un endroit aussi calme que possible, où personne ne nous dérangera et où nous pouvons simplement nous asseoir ou nous allonger tranquillement, en gardant l'esprit vide ou en pensant tranquillement aux événements de notre vie. travail, nous découvrirons qu'après un certain temps, il est temps que nous recevions une grande aide à un tel moment et que nous recevions un aperçu de la connaissance et des conseils. Nous verrons que le difficile problème de la vie a été résolu mystiquement et que nous sommes désormais capables de choisir la direction avec connaissance. Dans de tels moments, nous devons garder dans notre cœur le simple désir de servir l’humanité et de travailler conformément aux préceptes de notre âme.

N'oubliez pas qu'une fois qu'une erreur est découverte, vous ne devez pas chercher de remèdes pour la combattre. Il ne s’agit pas de gaspiller de la force et de l’énergie à supprimer cette déficience, mais de développer avec persistance la vertu opposée, qui effacera automatiquement toute trace du délinquant de notre nature. C'est une méthode véritable et naturelle pour promouvoir et combattre les traits de caractère indésirables, elle est beaucoup plus simple et efficace que de combattre un défaut distinct. Combattre une déficience ne fait que la renforcer ; nous gardons notre attention sur sa présence et engageons la bataille contre elle, et le meilleur résultat que nous puissions obtenir est de la supprimer par la volonté. Et c’est loin d’être une victoire, puisque l’ennemi est toujours à l’intérieur de nous et, dans un moment de faiblesse, il nous attaquera avec une vigueur renouvelée. Oublier le défaut et développer avec persistance la vertu qui rendra sa formation impossible - telle est la vraie victoire.

Par exemple, si nous sommes naturellement cruels, nous pouvons constamment répéter : « Je ne serai pas cruel » et ainsi nous empêcher de commettre une erreur (dans ce sens). Mais alors le succès dépendra de la force de l’esprit, et s’il est affaibli, nous risquons d’oublier nos bonnes intentions. Et si, au contraire, nous commençons à développer en nous-mêmes une compassion sincère pour le prochain, cette qualité apparaîtra un jour et éliminera la dureté elle-même, puisque nous percevrons avec horreur tout acte de dureté à cause de notre sentiment intérieur. Et dans ce cas, il n’y a pas de suppression, il n’y a pas d’ennemi caché pour le moment, qui surgirait lorsque nous serions sans défense, car notre empathie déplacerait complètement de notre nature la possibilité d’actions qui pourraient causer de la douleur à autrui.

Comme nous l’avons vu ci-dessus, la nature de nos maladies physiques peut contribuer à révéler le désaccord mental qui a causé cette maladie. Le deuxième grand facteur de réussite est d'avoir la joie de vivre et de considérer l'existence non pas comme un devoir à accepter avec une réserve de patience suffisante, mais en développant une vraie joie dans l'aventure de notre voyage à travers ce monde.

L’une des pires tragédies du matérialisme est peut-être le développement de l’ennui et la perte d’un état intérieur de bonheur. Il (le matérialisme) enseigne aux gens à chercher la consolation et la compensation de leurs problèmes dans les divertissements et les plaisirs terrestres, et ils ne peuvent jamais apporter autre chose qu'un oubli temporaire. Dès que nous commençons à chercher une compensation pour nos efforts en payant des bouffons, nous nous retrouvons dans un cercle vicieux. Les divertissements, les divertissements et les libertés sont tout à fait agréables pour chacun d'entre nous, mais pas lorsque nous en devenons dépendants, et ils deviennent une alternative au problème. Les divertissements mondiaux de toutes sortes doivent se développer et devenir de plus en plus sophistiqués, et l’horreur de demain, c’est l’ennui. Et ainsi nous partons à la recherche d'amusements de plus en plus amusants jusqu'à ce qu'ils cessent d'apporter du réconfort. Sous une forme ou une autre, la dépendance à l'égard des divertissements du monde fait de nous tous des Fausts, et même si nous pouvons nous en rendre compte nous-mêmes, la vie ne devient pour nous guère plus qu'une corvée ennuyeuse avec tout son sel et sa joie, qui sont accessibles à chaque enfant et devraient conservé jusqu'à l'heure de la mort, nous quitte. Nous vivons actuellement une étape extrême où la science tente de parvenir au rajeunissement, à la prolongation de la vie naturelle et à l’augmentation des plaisirs sensuels à l’aide de pratiques diaboliques.

L'état d'ennui est responsable de l'apparition en nous de plus de maladies que nous ne pouvons l'imaginer, et comme il (l'ennui) a désormais tendance à survenir à un stade précoce de la vie, les maladies ont donc tendance à se développer également à un jeune âge. Cet état ne peut pas se produire si nous reconnaissons la vérité sur notre Divinité, notre mission dans le monde et, par conséquent, acceptons la joie d’acquérir de l’expérience et d’aider les autres. L'antidote à l'ennui est un intérêt actif et vif pour tout ce qui nous entoure, en étudiant la vie à longueur de journée et jour après jour ; nous devons apprendre, apprendre et apprendre de nos voisins et des phénomènes de la vie la Vérité qui se trouve au-dessus de toutes choses ; il faut acquérir la capacité de se dissoudre dans l’art d’acquérir des connaissances et de l’expérience et de ne pas manquer l’occasion de profiter à son prochain. Ainsi, chaque moment de notre travail et de nos loisirs créera un zèle pour l'apprentissage, un désir d'expérimenter de vraies choses, de vraies aventures et des exploits valables, et lorsque nous développerons cette capacité, nous constaterons que nous avons retrouvé le pouvoir de tirer de la joie de les moindres incidents et occasions, que nous percevions auparavant comme quelque chose d'ordinaire, de monotone, deviendront pour nous une opportunité d'aventure. C’est dans les choses simples de la vie – puisque les choses simples sont plus proches de la grande Vérité – que l’on peut trouver le vrai plaisir.

Le destin qui fait d’une personne un simple passager inattentif sur le voyage appelé Vie ouvre la porte à des influences incroyablement défavorables qui empêchent l’accès au sens joyeux de l’aventure. Quelle que soit notre position, que nous soyons un travailleur dans une grande ville avec son abondance sans fin, ou un berger solitaire sur une colline, transformons la monotonie en intérêt, les tâches ennuyeuses en joyeuses opportunités de nouvelles expériences et la vie quotidienne en une étude intense de la vie. l'humanité et les lois fondamentales de l'Univers. Partout, il existe de nombreuses possibilités d'observer les lois de la Création, que ce soit dans les montagnes, dans les vallées ou parmi nos semblables. Tout d'abord, transformons notre vie en une aventure passionnante et intéressante dans laquelle l'ennui est tout simplement impossible, et cette prise de conscience peut nous donner l'harmonie de l'esprit, de l'âme et l'unité de la création de Dieu.

Une autre aide fondamentale est d’abandonner les peurs. La peur, en fait, n'a aucune place dans le royaume naturel de l'homme, puisque la Divinité en nous, qui est nous-mêmes, est invincible et immortelle, et si seulement nous pouvons réaliser que nous sommes enfants de Dieu, nous n'aurons rien à craindre. peur. À une époque matérialiste, la peur des biens matériels s’épanouit et augmente inévitablement (et elle peut concerner à la fois le corps et la richesse matérielle). Car si ces choses constituent notre monde, et en même temps si transitoires, si difficiles à atteindre et à retenir, alors elles éveillent en nous une anxiété et une anxiété très fortes que nous risquons de manquer l'occasion de les accumuler en aussi grande quantité que possible. . Pour cette raison, nous devons vivre dans une peur constante, consciente ou subconsciente, car au fond nous savons que nous pouvons perdre tous ces biens à tout moment et qu'ils ne sont avec nous que pour une très courte période de temps.

Au cours de ce siècle, la peur de la maladie s'est développée à un tel point qu'elle cause du mal car elle ouvre la porte à des choses qui nous terrifient et leur permet d'accéder plus facilement à nous. Cette peur est une véritable obsession de soi, car si nous sommes préoccupés par le bien-être des autres, nous n’avons pas le temps de nous soucier de nos propres maladies. La peur joue aujourd’hui un grand rôle dans l’aggravation des maladies, et la science moderne ne fait que renforcer le règne de l’horreur en diffusant auprès du grand public ses découvertes dans ce domaine, qui d’ailleurs ne sont pas tout à fait vraies. La connaissance des bactéries et de divers microbes comme causes de maladies a créé le chaos dans l’esprit de dizaines de milliers de personnes, et cette peur les a rendus plus vulnérables aux attaques de germes et de bactéries. Bien que les formes de vie inférieures puissent jouer un rôle dans l’apparition ou le développement de maladies, elles ne constituent pas la réponse complète à tout ce qui peut être scientifiquement prouvé ou révélé par l’observation quotidienne. Il existe une question à laquelle la science ne peut répondre sur la base de connaissances purement physiques : pourquoi certaines personnes sont touchées par la maladie et d’autres non, alors que les deux peuvent être sensibles à l’infection. Le matérialisme oublie l'existence d'un facteur au-delà du physique, qui, au cours de la vie ordinaire, protège de la maladie ou rend chaque individu vulnérable à celle-ci, quel que soit le type de maladie dont il s'agit. La peur, avec sa capacité à avoir un effet dépressif sur nos corps mental et magnétique, ouvre la voie à l'invasion et, si une bactérie et une telle condition physique surviennent, elles sont susceptibles à 100% de provoquer une maladie et alors, en effet, pour pour se remonter le moral, il n'y a aucune persuasion ; avoir peur ne suffira pas. Mais si nous comprenons que même lors de la plus terrible épidémie, seule une partie des personnes infectées tombe malade et que, comme nous l'avons déjà vu, la véritable cause de la maladie réside dans notre propre nature et est sous notre contrôle, alors nous avons toutes les raisons de rejeter la peur et l’horreur, en nous rappelant que le médicament est en nous. Nous pouvons chasser de notre esprit toutes les peurs associées aux conditions physiques, sachant que de telles angoisses reflètent simplement notre sensibilité et que si nous nous efforçons d'harmoniser notre personnalité, nous n'avons alors pas plus à craindre de la maladie que d'être frappé par la foudre ou d'être frappé. frappé par une météorite.

Examinons maintenant le corps physique. Nous ne devons jamais oublier qu'il ne s'agit que d'une coquille terrestre pour notre âme, dans laquelle nous resterons pendant une courte période et qui ne sert qu'à nous permettre d'interagir avec le monde physique et d'acquérir des connaissances et de l'expérience. Sans trop s'identifier au corps, il faut veiller à son bien-être pour qu'il reste en bonne santé le plus longtemps possible et nous permette d'y rester plus longtemps pour faire notre travail. Pas un seul instant nous ne devons nous inquiéter excessivement d’eux (des corps) ; nous ne devons tout simplement pas les négliger et les traiter comme un moyen de transport pour notre âme ou comme un serviteur accomplissant notre volonté. La propreté extérieure et intérieure est très importante. Nous, en Occident, avons l'habitude d'utiliser de l'eau trop chaude, ce qui ouvre les pores et contribue à leur pollution. De plus, une utilisation excessive de savon rend la peau collante. L'eau froide ou fraîche, que vous preniez une douche ou un bain, est une méthode beaucoup plus naturelle qui maintient le corps en meilleure santé ; N'utilisez pas plus de savon que nécessaire pour éliminer la saleté, puis rincez à l'eau claire.

La propreté intérieure est une fonction de l’alimentation, et nous devons choisir des aliments aussi propres, entiers et frais que possible, avec comme piliers les fruits, les légumes et les noix. La viande animale doit être évitée ; premièrement, parce qu'il apporte beaucoup de poison dans le corps, et deuxièmement, parce qu'il stimule un appétit accru et malsain ; et troisièmement, parce que cela entraîne inévitablement de la cruauté envers le monde animal. Vous devez également consommer beaucoup de liquides pour nettoyer le corps, aussi bien sous forme d'eau que sous forme de vins naturels et de boissons préparées à partir des réserves naturelles qui ne sont pas soumises à une distillation artificielle.

Un sommeil excessif est également nocif, car beaucoup d’entre nous ont une meilleure maîtrise de soi lorsqu’ils sont éveillés que lorsqu’ils dorment. Le vieil adage « Quand on veut se retourner, il est temps de se lever » est un excellent guide pour réguler le sommeil et l'éveil.

Les vêtements doivent être suffisamment légers pour empêcher le corps de geler ; il doit permettre à la lumière du soleil et à l'air frais d'accéder à la peau dans tous les cas. L'eau et les bains de soleil sont d'excellents donneurs de santé et de vitalité.

Dans toutes les situations, essayez de rester joyeux, ne laissez pas les doutes et la dépression vous submerger, mais rappelez-vous que nos corps ne sont pas nous-mêmes, mais que nos âmes ne connaissent que la joie et le bonheur.

CHAPITRE HUIT

Ainsi, nous voyons que notre victoire sur la maladie dépendra en grande partie des facteurs suivants : premièrement, de la réalisation du Divin dans notre nature et, par conséquent, de la force de surmonter tout ce qui ne va pas. Deuxièmement, de la prise de conscience que la cause principale de la maladie réside dans le désaccord entre la personnalité et l'âme ; troisièmement, sur notre volonté et notre capacité à découvrir la déficience qui provoque un tel conflit ; et quatrièmement, de supprimer un tel défaut en développant la vertu opposée.

Le devoir de l'art de guérir est de nous doter des connaissances et des moyens nécessaires pour surmonter nos maux et, en plus de cela, de prescrire des remèdes qui renforceront notre esprit et notre corps physique et nous donneront plus d'opportunités de victoire. . Nous pourrons alors véritablement attaquer la maladie à la racine, avec de réels espoirs de succès. La faculté de médecine du futur ne s'intéressera pas particulièrement aux résultats finaux et aux conséquences des maladies, et n'accordera pas autant d'attention aux dommages physiques, ni ne prescrira des médicaments ou des produits chimiques pour le traitement palliatif des symptômes, mais connaîtra la véritable cause. de la maladie et sachant que les manifestations physiques évidentes sont secondaires, elle concentrera ses efforts sur l'établissement de cette harmonie entre le corps, l'esprit et l'âme qui aboutit au soulagement et à la guérison de la maladie. Dans de tels cas, un ajustement précoce de la conscience permettra d’éviter l’apparition d’une maladie.

Parmi les types de remèdes qui seront utilisés pour le traitement, les plus belles plantes et herbes déjà disponibles dans la pharmacie de la nature, dotées par la volonté de Dieu de pouvoirs de guérison pour l’esprit et le corps humain, seront largement répandues.

Pour notre part, nous devons pratiquer la paix, l’harmonie, l’individualité et le but, et développer de plus en plus la conscience que nous sommes essentiellement d’origine divine, que nous sommes les enfants du Créateur. Ainsi, en nous, si nous développons cela, avec le temps naîtra certainement le pouvoir d’atteindre la perfection. Et cette compréhension doit se renforcer en nous jusqu’à devenir l’élément principal de notre existence. Nous devons observer strictement la paix, en imaginant notre esprit comme un lac toujours calme, sans vagues, et même sans ondulations qui viennent troubler sa sérénité, et développer progressivement cet état de paix jusqu'à ce que les situations de la vie, les circonstances et les traits de caractère deviennent impuissants à troubler le calme. . surface du lac ou éveillent en nous des sentiments d'irritabilité, de dépression et de doute. Il sera grandement utile de s'entraîner à trouver un peu de temps chaque jour pour réfléchir calmement à la beauté du monde et aux bienfaits du calme, pour réaliser que nous n'avons rien à craindre et à nous inquiéter, que nous pouvons faire face à presque tout en étant dans la paix, et avec cette paix nous augmentons l'efficacité de tout ce que nous faisons. Harmoniser notre comportement conformément aux désirs de notre âme et rester dans cet état de paix qui ne permettra pas aux épreuves et aux imperfections du monde de nous affecter est vraiment un grand succès et nous apporte la Paix qui donne la compréhension ; et même si, au premier abord, cela peut sembler un rêve inaccessible, chacun de nous peut le réaliser avec la patience et la persévérance nécessaires.

Nous ne sommes pas du tout obligés de devenir des saints, des martyrs ou de grands compagnons ; la plupart d’entre nous sont destinés à des postes beaucoup plus modestes. Mais chacun de nous est censé comprendre la joie de la vie et les aventures de la vie, et accomplir avec joie le travail qui nous est confié par notre origine divine.

Pour ceux qui sont malades, la paix mentale et l’harmonie avec leur âme sont d’une grande aide au rétablissement. La médecine et les soins infirmiers du futur accorderont plus d'attention au développement de ces qualités chez le patient qu'aujourd'hui, où, capables d'évaluer l'évolution et la progression de la maladie uniquement dans le cadre de la science matérialiste, nous réfléchissons davantage à la manière dont pour faire baisser rapidement la température et sur les moyens qui sont plus susceptibles de ralentir que d'accélérer la récupération, et nous ne prenons pas en compte le fait que le patient a avant tout besoin d'un état d'esprit et de corps calme. Il ne fait aucun doute que si, au début de la maladie, vous vous mettez dans un état de paix et d’harmonie avec votre âme, la maladie ne se développera pas. En ce moment, nous devons plonger en nous-mêmes et retrouver au moins une part du calme qui est descendu sur l’eau lorsque le Christ, debout dans une barque au milieu du bouillonnant lac de Galilée, a ordonné : « Tais-toi, arrête ».

Notre vision de la vie dépend de notre proximité avec notre propre âme. Plus l'unité est étroite, plus grandes seront l'harmonie et la paix, et plus la lumière de la Vérité et la splendeur du bonheur provenant des sphères supérieures brilleront ; ils nous soutiendront dans notre persévérance et notre intrépidité face aux difficultés et aux horreurs du monde, car ils se fondent sur l'Éternelle Vérité du Bien. La connaissance de la Vérité nous donnera également l'assurance que, aussi tragiques que puissent paraître certains événements, ils ne constituent qu'une nouvelle étape dans l'évolution humaine ; et que même la maladie en elle-même est bénéfique et agit, obéissant à certaines lois qui servent à la production du bien le plus élevé et nous obligent à rechercher constamment la perfection. Celui qui possède cette connaissance ne peut plus s'énerver, se déprimer ou perdre courage face à ces événements qui empoisonnent tant la vie des autres et, sans aucun doute, la peur et le désespoir disparaissent irrévocablement. Si nous pouvons exister en communication constante avec notre propre âme, avec notre Père céleste, alors ce monde deviendra véritablement un monde de joie et aucune influence défavorable ne pourra nous toucher.

Nous ne sommes pas autorisés à voir l'ampleur de notre propre Divinité ou à réaliser la grandeur de notre Destin et à contempler l'avenir glorieux qui nous attend ; parce que si nous pouvions faire tout cela, notre vie se déroulerait sans épreuves, ne nécessiterait aucun effort ni épreuve de ce dont nous sommes capables. Notre vertu semble être de faire de grandes choses, de mener une vie juste sans perdre le courage et la vertu, et de traverser les difficultés avec dignité. Nous pouvons cependant, étant en étroite unité avec notre Soi Supérieur, maintenir cette harmonie qui nous permettra de surmonter l'opposition du monde et de faire de notre voyage un chemin direct vers notre destin, et nous l'achèverons sans être confus ou découragés par aucune influence.

La prochaine qualité que nous devons développer en nous-mêmes est l’individualité. Nous devons également nous libérer de toutes les influences du monde et suivre uniquement l’appel de notre âme, sans permettre à d’autres personnes de nous impliquer dans leurs affaires ou d’influencer nos vies. Nous devons devenir maîtres de notre vie, diriger notre propre bateau dans cette mer agitée de la vie, et ne pas abandonner le gouvernail et ne pas le confier aux autres. Nous devons atteindre une liberté absolue et complète, de telle sorte que chacune de nos actions - non, même chacune de nos pensées - provienne exclusivement de nous-mêmes, et cela nous permettra de vivre et d'avancer à notre guise en complète harmonie avec nous-mêmes.

La plus grande difficulté pour avancer dans cette direction vient de nos pairs, en raison de l’existence d’un certain nombre de conventions généralement acceptées et de fausses normes. Mais nous devons renforcer notre courage, qui manque tant à beaucoup d’entre nous, et qui sera très utile face aux difficultés de la vie environnante et, ce qui peut s’avérer encore plus difficile, aux difficultés personnelles. Nous devons être capables de juger impartialement ce qui est bon et ce qui est mauvais et d’agir sans crainte, sans être gênés par la présence de nos amis et de notre famille. Combien parmi nous sont nombreux ceux qui sont des héros dans le monde, mais qui sont des lâches chez eux ! Bien que, pour nous empêcher de suivre le chemin de notre destin, des moyens astucieux puissent être utilisés, comme l'apparence d'amour et d'affection, ou un faux sens du devoir, et d'autres méthodes qui nous permettront de nous asservir pour plaire au désirs des autres. La voix de notre propre Âme, lui et lui seul, a le droit de nous dire quel est notre devoir et nous ne devons pas permettre à ceux qui nous entourent de le crier. Nous devons faire tous les efforts possibles pour développer notre individualité, apprendre à traverser la vie sans chercher de soutien, d'approbation ou de direction chez quelqu'un d'autre que notre propre Âme, afin de garder notre liberté à deux mains et de plonger dans le monde pour tout. nous avons besoin de connaissances et d'expérience.

En même temps, il faut être vigilant, pour ne pas empiéter sur la liberté d'autrui et ne rien attendre des autres, mais au contraire, être prêt à donner un coup de main si nécessaire et à aider à relever ceux qui ont du mal. de le faire par eux-mêmes. Ainsi, chaque personne que nous rencontrons sur notre chemin de vie, qu'elle soit mère, mari, enfant, inconnu ou ami, devient notre compagnon de voyage. Chacun d’entre eux peut nous être spirituellement supérieur ou inférieur, mais nous sommes tous membres de la même fraternité et faisons partie d’une communauté plus large, et sommes sur le même chemin vers le même grand objectif.

Nous devons être fermes dans notre détermination à gagner, en nous dirigeant irrévocablement vers le sommet de la montagne, et ne pas laisser l’avalanche de neige du regret momentané nous renverser complètement. Aucune grande ascension n'a été accomplie sans erreurs ni chutes ; elles doivent être considérées comme une expérience inestimable qui nous aidera à ne pas commettre d'erreurs à l'avenir. Aucune pensée sur le passé ne devrait nous bouleverser ; ils sont laissés pour compte et s’en souvenir aidera à éviter leur répétition. Nous devons constamment nous pousser en avant et plus loin, sans regret ni regarder en arrière, en laissant derrière nous le passé, même il y a une heure, et en fixant notre regard sur le magnifique avenir qui brille devant nous. Toutes les peurs doivent être rejetées ; ils ne devraient pas du tout surgir dans l’esprit humain, à moins qu’il ne s’agisse de la peur de perdre de vue notre Divinité. La peur nous est étrangère, car nous sommes les Enfants du Créateur, les Étincelles de la Vie Divine, nous sommes invincibles, indomptables et indestructibles. La maladie est apparemment cruelle car elle est destinée à punir les mauvaises pensées et les mauvaises actions qui conduisent à la cruauté envers autrui. Par conséquent, il est nécessaire de développer de toutes nos forces l’amour et les sentiments fraternels envers les gens, car cela nous empêchera de commettre des actes de cruauté à l’avenir.

La culture de l’Amour nous mènera à la réalisation de l’Unité, de la vérité que nous sommes tous et que chacun de nous fait partie d’une Grande Création.

La cause de tous nos problèmes est l’égoïsme et l’isolement, mais ils disparaissent dès que l’Amour et la conscience de la grande Unité font partie de notre nature. L'univers est l'incarnation physique de Dieu, à son apparition Dieu renaît, à son achèvement Dieu évolue encore plus haut. C’est la même chose avec une personne : son corps lui-même est une incarnation, une matérialisation de son essence intérieure ; A travers le corps, une personne s'exprime, matérialise les qualités de sa conscience.

Notre civilisation occidentale est dotée d’un grand exemple : nous sommes guidés par la doctrine du Christ. Il sert de médiateur entre nos personnalités et nos âmes. Sa mission sur terre était de nous apprendre à atteindre l'harmonie et l'unité avec notre Soi Supérieur, avec notre Père céleste, et ainsi atteindre la perfection conformément à la Volonté Suprême du Grand Créateur de tous.

Le Seigneur Bouddha et d'autres grands enseignants ont enseigné la même chose, qui sont descendus sur terre à un certain moment pour montrer à l'homme le chemin qui mène à la perfection. L’humanité ne peut pas s’arrêter à mi-chemin. La Vérité doit triompher et l'homme doit entrer lui-même dans le système infini d'Amour de son Créateur.

Alors, frères et sœurs, entrons dans le magnifique rayonnement de la conscience de notre Divinité et commençons à travailler simplement et avec persévérance pour rejoindre la Grande Idée, pour être heureux et rayonner de bonheur, en faisant partie de la grande Fraternité Blanche, la dont le seul but est d'obéir aux désirs de Dieu et dont la plus grande joie est de servir ses jeunes frères.

Edward Bach (1886-1936) était un médecin, célèbre immunologiste, bactériologiste et pathologiste. Ses découvertes dans ces domaines de la médecine peuvent être considérées comme l'ère de la formation de l'immunologie et de la bactériologie, et les nouveaux vaccins bactériens inventés par le Dr Bach sont devenus connus en médecine homéopathique sous le nom de « nosodes de Bach ». Le Dr Bach, avec Hippocrate, Paracelse, Hegemann, Pasteur et Lister, est l’une des rares figures de l’histoire de la médecine à avoir révolutionné la vision même de la santé. Il était un médecin éminent, respecté dans le monde entier pour ses nombreuses contributions à la médecine orthodoxe et homéopathique. Ses nombreuses découvertes visaient principalement à créer un système de guérison sûr et simple, compréhensible et accessible à tous.

Le Dr Bach a étudié la médecine à l’Université de Birmingham et a complété sa formation à l’University College Hospital de Londres, où il a obtenu son diplôme de médecin en 1912. La même année, il reçoit le diplôme de Fellow du Royal College of Surgeons et une licence du Royal College of Physicians. Un an plus tard, il obtient un baccalauréat en médecine et un baccalauréat en chirurgie. En 1914, le Dr Bach reçut un diplôme pour sa contribution à la santé publique à Cambridge. En 1913, le Dr Bach a travaillé comme médecin et chirurgien dans divers hôpitaux de Londres. Il s'est intéressé à l'immunologie et a commencé à travailler comme bactériologiste adjoint à l'University College Hospital de Londres.

Il s'est intéressé à l'immunologie et a commencé à travailler comme bactériologiste adjoint à l'University College Hospital de Londres. Il a découvert que l'évolution des maladies chroniques et leur traitement sont étroitement liés à l'état de certaines bactéries intestinales. Il a développé un groupe de sept vaccins, obtenant des résultats exceptionnels.

Les méthodes du Dr Bach ont été publiées dans diverses revues médicales, enregistrées par la Royal Society of Public Health et largement utilisées par les professionnels de la santé. Le Dr Bach s'est toujours intéressé aux problèmes de ses patients et croyait qu'il devait exister un moyen plus sûr et plus naturel de traiter la cause de la maladie. Il poursuit ses activités de recherche dans les laboratoires de Harley Street jusqu'en 1919, occupant le poste de pathologiste et bactériologiste au London Homeopathic Hospital. Ici, il fait la connaissance du système de connaissances scientifiques "Organon", décrit dans le livre du médecin Samuel Hahnemann, - et voit immédiatement les similitudes entre sa propre pratique et la théorie de Hahnemann - "Traitez le patient, pas la maladie". Avec la théorie de la « plus petite dose », il a commencé à développer des fonds à partir des vaccins reçus. Le résultat fut un groupe de sept vaccins oraux qui furent connus sous le nom de Sept Nosodes de Bach. Les observations de Bach sur les patients l'amenèrent à la conclusion que certains types de personnes réagissaient de la même manière à la maladie et au traitement. Il développa une manière de pénétrer la théorie des types, divisant les patients. en sept groupes, dont chacun correspondait à l'un des sept Nosodes. Il tenta de décrire la réaction de ses patients face à la maladie, et non la maladie elle-même. Malgré ses succès en médecine, il ne se sentait toujours pas satisfait de tous. Il ne s’agissait pas seulement de « dysfonctionnements de la machine du corps humain, mais d’un manque d’harmonie entre l’âme et le corps ». Les symptômes de la maladie n’étaient qu’une manifestation extérieure d’émotions négatives.

L’un de ses postulats était : « Traitez la personne, pas la maladie ». Il a reconnu que les causes de la maladie étaient des émotions négatives, telles que la peur, l'insatisfaction envers soi-même, la culpabilité, l'impatience, la tristesse, etc. C'est pourquoi il a commencé à rechercher des médicaments qui guérissent l'âme et qui pourraient affecter la cause de la maladie.

En conséquence, il est devenu convaincu que son diagnostic d’états émotionnels négatifs était plus efficace que celui basé sur des examens cliniques. En 1913, il achève les travaux sur le système de base des remèdes floraux, qui portera plus tard son nom.

Le Dr Bach croyait profondément que nous sommes bien plus que de simples êtres physiques : nous sommes des êtres spirituels et chacun de nous est venu au monde avec un objectif clair et pour remplir une mission spécifique. Lorsque nous nous écartons de la mission spirituelle, de notre objectif spirituel, la discorde surgit. Cela peut se produire grâce à l’intervention d’autres personnes, si nous les laissons nous faire dévier du cap, ou à travers nos propres humeurs, peurs, hésitations et doutes. Edward Bach lui-même s'est incarné, incarnant l'état positif. Dans les dernières années de sa vie, il a laissé derrière lui tout ce qui pouvait rendre l'existence agréable : le prestige social, la sécurité financière, les traditions de la médecine orthodoxe, son passé professionnel, pour se consacrer, malgré les sourires de ses confrères, à exister presque dans la pauvreté, uniquement selon sa vocation.

Le Dr Bach a écrit : « Quelles que soient les erreurs que nous commettons, la réaction finit par se manifester en nous, nous rendant malheureux, mal à l'aise ou souffrant. L’inconfort et la souffrance nous apprennent à comprendre les effets destructeurs d’un mauvais comportement et des pensées négatives. Et nous souffrons nous-mêmes de transgressions similaires, qui nous montrent comment cette influence négative se reflète sur les autres et comment cette influence est contraire au sens divin de l’Amour et de l’Unité universelle.

Le Dr Bach considérait la maladie comme un ajustement simplement nécessaire pour une personne - un message de notre âme, un appel à reconsidérer et à changer notre vie si nous nous efforçons de retrouver la santé et de trouver le bonheur. Il a dit que notre Âme nous montre nos erreurs afin de nous mettre en garde contre des erreurs plus importantes et plus grossières, pour nous détourner des actions qui pourraient causer plus de mal, afin que si nous nous égarons, pour nous guider sur le chemin de la Vérité et de la Lumière. , que nous n'aurions jamais dû quitter. Les états de conscience négatifs, si nous les permettons, se reflètent au niveau physique, et ce que nous appelons la maladie apparaît. Sans comprendre la vraie raison, nous associons la disharmonie aux circonstances extérieures, aux microbes, au froid, à la chaleur et donnons des noms à tous les résultats : arthrite, cancer, asthme, myopie... pensant que la maladie commence dans le corps physique et ne pouvons pas comprendre pourquoi. cela ne peut pas être traité.

L’ancien modèle selon lequel les humains étaient uniquement des machines est sur le point de disparaître. Notre vision matérialiste de la vie a subi un changement majeur, prenant en compte l’aspect spirituel de la personnalité, qui jusqu’à présent était complètement ignoré. Nous vivons un tournant... une époque où le système « CONSCIENCE-CORPS » remplace la médecine orthodoxe...

et le Dr Bach est l'un de ses pionniers...

Biographie d'Edward Bach

Le Dr Edward Bach, fondateur du système de traitement par infusions de fleurs, est né le 24 septembre 1886 dans un petit village près de la ville anglaise de Birmingham. Les relations familiales étaient très difficiles. Plus tard, E. Bach a écrit à plusieurs reprises que les parents ne devraient pas interférer avec les souhaits de leurs enfants. Au contraire, ils sont tenus de nourrir l'indépendance, l'individualité et la liberté des enfants afin que ceux-ci n'aient pas peur de penser et d'agir de manière indépendante. Il a beaucoup écrit sur le fait que c’est dans la petite enfance que se forment au sein de la famille des stéréotypes qu’il faut ensuite combattre tout au long de sa vie. Son père était ouvrier dans une fonderie et souhaitait que son fils aîné Edward reprenne ses compétences. Le garçon a donc commencé à aider son père à l'âge de seize ans, sans jamais cesser de rêver de devenir médecin.

Étant très délicat, ce n'est qu'après trois ans d'une vie si malheureuse qu'Edward décida de parler de sa vocation à son père. Compte tenu de sa mauvaise santé, son père lui permet de quitter la fonderie et de poursuivre sa décision de devenir médecin. Les biographes du Dr Bach ont écrit qu'Edward se sentait très coupable parce qu'il devait prélever une certaine somme d'argent sur le budget familial pour ses études. À l'âge de vingt ans, il commence à étudier la médecine à l'Université de Cambridge.

Après avoir obtenu son diplôme universitaire avec distinction, E. Bach s'est profondément impliqué dans la bactériologie et, bientôt, grâce aux résultats exceptionnels de ses recherches, il est devenu célèbre. Il a découvert une relation entre certaines maladies et l'état de la microflore intestinale. Il a également réussi à créer des vaccins appropriés.

Cependant, le Dr Bach n'était pas entièrement satisfait de son travail et estimait que l'élimination purement physique des symptômes de la maladie n'était pas l'essentiel. Il s’est de plus en plus rendu compte que dans le processus d’apparition de diverses maladies, l’état mental d’une personne, qui correspond à une maladie donnée, joue un rôle important. Le Dr Bach poursuit ses travaux de recherche en bactériologie, mais désormais sous un angle différent. Il découvre qu'une certaine microflore intestinale correspond non seulement à une certaine maladie, mais plus encore à une personne bien précise avec toutes ses caractéristiques individuelles.

Il a identifié sept groupes de bactéries intestinales correspondant à sept types de personnalité différents. Connaissant à cette époque l'homéopathie (il travaillait comme bactériologiste au Royal London Homeopathic Hospital), il développa des médicaments qui n'avaient pas besoin d'être injectés, comme les vaccins créés précédemment, mais pouvaient être pris par voie orale, ce que les patients appréciaient beaucoup plus et conduisaient à des complications beaucoup moins souvent. Ces fameux sept « nosodes intestinaux » du Dr Bach (les nosodes sont des remèdes homéopathiques) ont aidé de nombreuses personnes, notamment celles qui souffraient de maladies chroniques.

Au fil du temps, le Dr Bach a attiré l'attention sur le fait que l'efficacité du traitement par nosodes est fortement influencée par les caractéristiques du patient en tant qu'individu. Il a commencé à en tenir compte et, au cours du traitement, il s'est davantage intéressé aux difficultés mentales vécues par le patient et à lui-même en tant qu'individu. Néanmoins, le Dr Bach n'était pas entièrement satisfait des résultats du traitement qu'il avait prescrit ; il était convaincu que les agents curatifs les plus efficaces devaient être recherchés dans la nature intacte.

Pour ce faire, il se lance dans la recherche de plantes médicinales par lesquelles il pourrait remplacer les nosodes obtenus à l'aide de bactéries. Les souvenirs de son enfance passée à la campagne, ainsi que son extraordinaire pouvoir d'observation et d'intuition, l'ont aidé dans cette nouvelle activité. Cependant, il lui a fallu beaucoup de temps avant de trouver une nouvelle méthode de traitement des gens.

Un jour, alors que le Dr Bach était en vacances au Pays de Galles, il eut une sorte de révélation. Il trouva des plantes à partir des fleurs desquelles, grâce à la « méthode solaire » qu'il avait lui-même inventée, il prépara les trois premières infusions de fleurs. Il s'agissait de fleurs de gubastica, d'impatience et d'aigremoine, dont le but reflétait les angoisses et les peurs caractéristiques du Dr Bach lui-même. Il avait l'intention de traiter la peur de la pauvreté et de la solitude avec une infusion de fleurs de gubastica (Mimuius) ; des fleurs d'impatiens (Impatiens) - vanité et précipitation douloureuses, et des fleurs d'orme (Orme) - une tendance à un sens exagéré du devoir, etc. Parlant du sens de sa découverte après une longue période, le Dr Bach a inventé un conte de fées racontant les caractéristiques des différents caractères des types humains. Ainsi, le Dr Bach a illustré les différentes réactions des types humains et l'attitude positive que redonnent les fleurs médicinales.