Comportement agressif des hommes dans la famille. Agressivité féminine dans la famille, quelles en sont les raisons et que faire ? Causes de l'agressivité de l'enfance

Agression est une attaque motivée par un comportement destructeur qui contredit toutes les normes de la coexistence humaine et nuit aux cibles de l'attaque, causant des dommages moraux et physiques aux personnes, provoquant un inconfort psychologique. Du point de vue de la psychiatrie, l'agressivité chez l'homme est considérée comme une méthode de défense psychologique contre une situation traumatisante et défavorable. Cela peut aussi être un moyen de libération psychologique, ainsi que d’affirmation de soi.

L'agression cause des dommages non seulement à un individu, à un animal, mais également à un objet inanimé. Le comportement agressif chez l'homme est pris en compte dans les sections suivantes : physique - verbal, direct - indirect, actif - passif, bénin - malin.

Causes de l'agression

Le comportement agressif chez l’homme peut être provoqué par diverses raisons.

Les principales causes d'agression chez l'homme :

- l'abus d'alcool, ainsi que de drogues qui affaiblissent le système nerveux, ce qui provoque le développement d'une réaction agressive et inadéquate face à des situations mineures ;

- problèmes d'ordre personnel, vie personnelle instable (manque de partenaire de vie, sentiment de solitude, problèmes intimes qui provoquent, puis se transforment en un état agressif et se manifestent à chaque évocation du problème) ;

- traumatisme mental reçu dans l'enfance (névrose reçue dans l'enfance en raison de mauvaises relations parentales) ;

- une éducation stricte provoque de futures manifestations d'agressivité envers les enfants ;

- passion pour regarder des jeux de quête et des thrillers ;

- surmenage, refus de se reposer.

Un comportement agressif est observé dans un certain nombre de troubles mentaux et nerveux. Cette condition est observée chez les patients souffrant d'épilepsie, de schizophrénie, en raison de blessures et de lésions organiques du cerveau, de méningite, d'encéphalite, de troubles psychosomatiques, de neurasthénie, de psychopathie épileptoïde.

Les causes de l'agression sont des facteurs subjectifs (les coutumes, la vengeance, la mémoire historique, l'extrémisme, le fanatisme de certains mouvements religieux, l'image d'une personne forte véhiculée par les médias, voire les traits psychologiques individuels des hommes politiques).

Il existe une idée fausse selon laquelle le comportement agressif est plus caractéristique des personnes atteintes de maladie mentale. Il est prouvé que seulement 12 % des personnes ayant commis des actes agressifs et ayant été orientées vers un examen psychiatrique médico-légal ont reçu un diagnostic de maladie mentale. Dans la moitié des cas, un comportement agressif était une manifestation et dans le reste, des réactions agressives inappropriées ont été notées. Dans pratiquement tous les cas, il y a une réaction exagérée aux circonstances.

L'observation d'adolescents a montré que la télévision perpétue un état d'agressivité à travers des programmes criminels, ce qui renforce encore cet effet. Des sociologues, comme Carolyn Wood Sheriff, remettent en question la croyance populaire selon laquelle le sport serait un ersatz de guerre sans effusion de sang. Des observations à long terme d'adolescents dans un camp d'été ont montré que les compétitions sportives non seulement ne réduisent pas l'agressivité mutuelle, mais ne font que l'augmenter. Un fait intéressant a été découvert concernant la suppression de l'agressivité chez les adolescents. Travailler ensemble dans le camp a non seulement uni les adolescents, mais a également contribué à atténuer les tensions agressives mutuelles.

Types d'agression

A. Bass, ainsi que A. Darkey, ont identifié les types d'agression suivants chez l'homme :

- physique, lorsque la force directe est utilisée pour infliger des dommages physiques et moraux à l'ennemi ;

- l'irritation se manifeste par une volonté d'éprouver des sentiments négatifs ; l'agression indirecte se caractérise de manière détournée et est dirigée contre une autre personne ;

- le négativisme est un comportement oppositionnel, marqué par une résistance passive à une lutte active, dirigée contre les lois et coutumes établies ;

- l'agression verbale s'exprime par des sentiments négatifs sous des formes telles que des cris, des cris, des réponses verbales (menaces, injures) ;

Grandir est une étape difficile dans la vie de tout adolescent. L'enfant veut l'indépendance, mais en a souvent peur et n'est pas prêt pour cela. De ce fait, l'adolescent a des contradictions qu'il n'est pas capable de résoudre seul. Dans de tels moments, l'essentiel est de ne pas s'éloigner des enfants, de faire preuve de tolérance, de ne pas critiquer, de ne parler que d'égal à égal, d'essayer de les calmer, de les comprendre, de comprendre le problème.

L'agressivité chez les adolescents se manifeste sous les types suivants :

- hyperactif - un adolescent désinhibé moteur qui est élevé dans une famille dans une ambiance de permissivité de type « idole ». Pour corriger les comportements, il est nécessaire de construire un système de restrictions utilisant des situations de jeu avec des règles impératives ;

- un adolescent épuisé et susceptible qui se caractérise par une sensibilité, une irritabilité, une susceptibilité et une vulnérabilité accrues. La correction du comportement comprend le soulagement du stress mental (frapper quelque chose, jeu bruyant) ;

- un adolescent oppositionnel-provocant qui fait preuve d'impolitesse envers les gens qu'il connaît et les parents qui ne sont pas des modèles. L'adolescent transfère son humeur et ses problèmes sur ces personnes. La modification du comportement implique la résolution de problèmes en collaboration ;

- un adolescent agressif-peureux, hostile et méfiant. La correction comprend travailler avec les peurs, modéliser une situation dangereuse avec l'enfant, la surmonter ;

- un enfant agressivement insensible qui ne se caractérise pas par une réactivité émotionnelle, de la sympathie et de l'empathie. La correction comprend la stimulation des sentiments humains et le développement de la responsabilité des enfants face à leurs actes.

L'agressivité chez les adolescents a les causes suivantes : difficultés d'apprentissage, lacunes dans l'éducation, caractéristiques de la maturation du système nerveux, manque de cohésion au sein de la famille, manque de proximité entre l'enfant et les parents, caractère négatif des relations entre sœurs et frères, style de leadership familial. Les enfants issus de familles où règnent la discorde, l’aliénation et la froideur sont les plus enclins à l’agressivité. La communication avec les pairs et l'imitation des écoliers plus âgés contribuent également au développement de cette pathologie.

Certains psychologues pensent que l'agressivité des adolescents peut être réprimée comme étant enfantine, mais il y a ici des nuances. Dans l'enfance, le cercle social n'est limité que par les parents, qui corrigent indépendamment les comportements agressifs, et à l'adolescence, le cercle social s'élargit. Ce cercle s'élargit à d'autres adolescents avec lesquels l'enfant communique sur un pied d'égalité, ce qui n'est pas le cas à la maison. D'où les problèmes dans les familles. Un groupe de pairs le considère comme une personne indépendante, à part et unique, où son opinion est prise en compte, mais à la maison l'adolescent est classé comme un enfant déraisonnable et son opinion n'est pas prise en compte.

Comment répondre à une agression ? Pour éteindre l'agressivité, les parents doivent essayer de comprendre leur enfant, accepter sa position si possible, l'écouter et l'aider sans critique.

Il est important d’éliminer l’agressivité au sein de la famille, où elle constitue la norme entre adultes. Même lorsque l’enfant grandit, les parents lui servent de modèles. Pour les parents de bagarreurs, l'enfant grandira pour être le même à l'avenir, même si les adultes n'expriment pas clairement leur agressivité devant l'adolescent. Le sentiment d'agressivité se produit au niveau sensoriel. Il est possible qu'un adolescent grandisse tranquille et opprimé, mais les conséquences de l'agression familiale seront les suivantes : un tyran cruel et agressif grandira. Pour éviter une telle issue, il est nécessaire de consulter un psychologue pour corriger un comportement agressif.

La prévention de l'agressivité chez les adolescents comprend : la formation d'un certain éventail d'intérêts, la participation à des activités positives (musique, lecture, sport), la participation à des activités socialement reconnues (sport, travail, art, organisation), l'évitement des manifestations de force par rapport à l'adolescent, discutant des problèmes ensemble, écoutant les sentiments des enfants, l'absence de critiques, de reproches.

Les parents doivent toujours rester tolérants, aimants, doux, communiquer sur un pied d'égalité avec les adolescents et se rappeler que si vous vous éloignez de votre enfant maintenant, il sera très difficile de vous en rapprocher plus tard.

Agressivité chez les hommes

L'agressivité masculine est remarquablement différente de l'agressivité féminine dans ses attitudes. Les hommes recourent principalement à une forme ouverte d’agression. Ils éprouvent souvent beaucoup moins d’anxiété et de culpabilité pendant les périodes d’agression. Pour eux, l'agressivité est un moyen d'atteindre leurs objectifs ou un modèle de comportement unique.

La plupart des scientifiques qui ont étudié le comportement social humain ont suggéré que l'agressivité chez les hommes était déterminée par des raisons génétiques. Ce comportement permettait de transmettre ses gènes de génération en génération, de vaincre ses rivaux et de trouver un partenaire pour la procréation. Les scientifiques Kenrick, Sadalla et Verschoor ont découvert, grâce à des recherches, que les femmes considèrent le leadership et la domination des hommes comme des qualités attrayantes pour elles-mêmes.

L'agressivité accrue chez les hommes est due à des facteurs sociaux et culturels, ou plus précisément, en l'absence d'une culture du comportement et de la nécessité de faire preuve de confiance, de force et d'indépendance.

L'agression des femmes

Les femmes ont souvent recours à l'agression psychologique implicite ; elles s'inquiètent du type de résistance que la victime peut leur opposer. Les femmes ont recours à l'agression lors d'explosions de colère pour soulager les tensions mentales et nerveuses. Les femmes, étant des créatures sociales, ont une sensibilité émotionnelle, de la convivialité et de l'empathie, et leur comportement agressif n'est pas aussi prononcé que celui des hommes.

L’agressivité chez les femmes âgées déroute les proches aimants. Ce type de trouble est souvent classé comme symptôme s’il n’existe aucune raison évidente pour un tel comportement. Les attaques d'agression chez les femmes se caractérisent par un changement de caractère et une augmentation des traits négatifs.

L'agressivité chez les femmes est souvent provoquée par les facteurs suivants :

- un déficit hormonal congénital provoqué par une pathologie précoce du développement, conduisant à des troubles mentaux ;

- les expériences émotionnelles négatives de l'enfance (violences sexuelles, abus), la victimisation d'agressions intrafamiliales, ainsi que le rôle prononcé de la victime (mari) ;

- relation hostile avec la mère, traumatisme mental de l'enfance.

Agressivité chez les personnes âgées

Le trouble le plus courant chez les personnes âgées est l’agressivité. La raison en est un rétrécissement du cercle de perception, ainsi qu'une fausse interprétation des événements d'une personne âgée qui perd progressivement contact avec la société. Cela est dû à une diminution de la mémoire pour les événements actuels. Par exemple, des objets volés ou de l'argent manquant. De telles situations provoquent des problèmes dans les relations familiales. Il est très difficile de faire comprendre à une personne âgée ayant des troubles de la mémoire que l'objet manquant sera retrouvé parce qu'il a été placé ailleurs.

L'agressivité chez les personnes âgées se manifeste par des troubles émotionnels - grincheux, irritabilité, réactions de protestation face à tout ce qui est nouveau, tendance au conflit, insultes et accusations sans fondement.

L'état d'agressivité est souvent provoqué par des processus atrophiques et des maladies vasculaires du cerveau (). Ces changements passent souvent inaperçus aux yeux des proches et des autres, étant attribués à un « mauvais caractère ». Une évaluation compétente de l'état et le choix correct de la thérapie permettent d'obtenir de bons résultats dans l'établissement de la paix dans la famille.

L'agressivité du mari

Les désaccords familiaux et la forte agressivité du mari sont les sujets les plus discutés lors des consultations avec des psychologues. Les conflits et désaccords qui provoquent des agressions mutuelles entre les époux sont les suivants :

- une division du travail non coordonnée et injuste au sein de la famille ;

- une compréhension différente des droits et des responsabilités ;

- contribution insuffisante d'un des membres de la famille aux travaux ménagers ;

— insatisfaction chronique des besoins ;

- les lacunes, les défauts d'éducation, les divergences dans les mondes mentaux.

Tous les conflits familiaux surviennent pour les raisons suivantes :

- insatisfaction face aux besoins intimes de l'un des époux ;

- insatisfaction à l'égard du besoin de signification et de valeur de son « je » (violation de l'estime de soi, attitude dédaigneuse et irrespectueuse, insultes, ressentiments, critiques incessantes) ;

— insatisfaction face aux émotions positives (manque de tendresse, d'affection, de soins, de compréhension, d'attention, aliénation psychologique des conjoints) ;

- la dépendance au jeu, aux boissons alcoolisées de l'un des époux, ainsi qu'aux loisirs entraînant un gaspillage d'argent déraisonnable ;

— les désaccords financiers entre époux (questions de soutien familial, budget mutuel, contribution de chacun au soutien matériel) ;

— l'insatisfaction face au besoin d'entraide, d'assistance mutuelle, au besoin de coopération et de coopération liés à la division du travail, à l'entretien ménager et à la garde d'enfants ;

— insatisfaction à l'égard des besoins et des intérêts en matière de loisirs et de récréation.

Comme vous pouvez le constater, il existe de nombreuses raisons de conflit, et chaque famille peut identifier ses propres problèmes à partir de cette liste.

Des études sociologiques ont montré que les hommes sont plus sensibles aux problèmes matériels et quotidiens et aux difficultés d'adaptation au début de la vie familiale. Si un mari a des problèmes masculins, toute la famille en souffre souvent, mais c'est la femme qui en souffre le plus. Sentant son impuissance, un homme cherche le coupable et dans ce cas, il s'agit d'une femme. Les accusations se basent sur le fait que l'épouse ne s'excite plus comme avant, qu'elle a pris du poids et qu'elle a cessé de prendre soin d'elle-même.

L'agressivité du mari s'exprime par de petites querelles, des dictatures, des provocations et des querelles familiales. C'est souvent une conséquence de l'insatisfaction et du manque de confiance en soi.

La raison de l’agressivité du mari réside dans ses complexes et en aucun cas les défauts et le comportement de la femme n’en sont la cause. Après avoir analysé la forme de manifestation de l'agressivité du mari, on peut constater qu'elle peut être verbale, dans laquelle il y a une démonstration d'émotions négatives (insultes, impolitesse). Ce comportement est typique des tyrans domestiques.

L'agressivité d'un mari peut être indirecte et s'exprimer par des remarques malveillantes, des blagues offensantes, des plaisanteries et des mesquineries. Les mensonges, les menaces et le refus d’aider sont aussi des expressions d’agression indirecte. Les maris trompeurs et évadés réussissent à obtenir l'aide de l'hystérie et des menaces. Ce comportement est typique des despotes, des psychopathes, des bagarreurs et des tortionnaires. Les hommes souffrant de troubles de la personnalité sont très difficiles, tant pour la communication que pour la vie de famille. Certains maris font preuve de cruauté (physique et morale).

La plupart des femmes tentent d'améliorer leurs relations avec leur mari agresseur, mais toutes les tentatives pour améliorer la relation et le désir d'apprendre à comprendre l'agresseur, ainsi que de devenir plus heureuses avec lui, aboutissent à une impasse.

Les principales erreurs commises par une femme avec un mari agresseur :

- partage souvent ses peurs et ses espoirs, comptant sur la compréhension, donnant à son mari l'occasion d'être à nouveau convaincu qu'elle est faible et sans défense ;

- partagez constamment vos projets et vos intérêts avec l'agresseur, donnant à votre mari une autre occasion de la critiquer et de la condamner ;

- souvent l'épouse victime essaie de trouver des sujets de conversation communs, mais en réponse elle reçoit du silence et de la froideur ;

— la femme croit à tort que l'agresseur se réjouira de ses succès dans la vie.

Ces paradoxes indiquent que toutes les aspirations d’une femme à la croissance interne et à l’amélioration des relations avec son mari agresseur ne font qu’aggraver la situation. Un fait intéressant est que l'agresseur, lorsqu'il gronde une femme, se décrit exactement lui-même dans les accusations qu'il lui attribue.

Combattre l'agression

Que faire lorsque l'on ressent de l'agressivité ? Vous ne devriez pas supporter la tyrannie de votre conjoint, car vous causez de graves dommages à vous-même et à votre estime de soi. Vous n'avez pas à subir les attaques, la mauvaise humeur, soi-disant de la part d'un étranger. Vous êtes une personne indépendante avec les mêmes droits que votre mari. Vous avez droit à la paix émotionnelle, au repos et au respect de vous-même.

Comment traiter l'agressivité ?

Il est important que l'agresseur lui-même comprenne la raison qui l'a poussé à adopter un tel comportement. Si vous persuadez votre mari de consulter un psychologue, vous recevrez des recommandations d'un spécialiste pour éliminer l'agressivité de votre vie. Cependant, si l'anomalie de personnalité du mari est prononcée et que la poursuite de la cohabitation est insupportable, la meilleure option serait alors le divorce. Les maris de la catégorie des tyrans ne comprennent pas bien, vous ne devriez donc pas leur faire plaisir. Plus vous leur cédez, plus ils se comportent de manière effrontée.

Pourquoi est-il nécessaire de lutter contre l’agression ? Car rien ne passe sans laisser de trace, et chaque injection douloureuse provoque certains dommages au psychisme féminin, même si la femme trouve des excuses à son tyran, pardonne et oublie l'insulte. Après un certain temps, le mari trouvera à nouveau une raison d'offenser sa femme. Et une femme essaiera de maintenir la paix à tout prix.

Les insultes constantes, ainsi que l’humiliation, affectent négativement l’estime de soi des femmes et, à la fin, une femme commence à admettre qu’elle ne sait pas faire grand-chose. Ainsi, il développe un complexe d’infériorité.

Un homme normal et adéquat devrait aider une femme, la soutenir dans tout, et ne pas l'humilier constamment et mettre le nez sur ses défauts. Les reproches et les reproches constants affecteront le ton et l'humeur générale et perturberont la tranquillité d'esprit d'une femme, qu'il faudra restaurer avec l'aide de spécialistes.

Bon après-midi Un enfant (fils) de 1 an 10 mois fait preuve d'agressivité, de crises de colère sans fin avec ou sans cause. Si nous sommes en compagnie d'enfants, alors il mord, pousse, frappe, serre tout le monde dans ses bras avec une telle force qu'il les étouffe presque et enlève tous les jouets. Il réagit au mot « je ne peux pas » avec une crise de colère, s'allonge par terre et crie, panique. J'essaie de le calmer et je lui explique que c'est impossible, et il commence à me frapper et à me mordre. Oui, parfois il s'allonge à côté de moi et commence à me donner des coups de pied. Il n’offense personne d’autre dans la famille à part moi. Je ne sais plus comment me comporter avec lui...

• Bonjour, Anastasia. Le développement des enfants de 1 à 2 ans est compliqué par un certain nombre de crises liées à la croissance. A ce stade de développement, l'enfant commence à se sentir comme un individu séparé de la mère et à se connaître, à chercher son propre « je ». La réussite de chaque nouvel enfant est une sorte de saut. Souvent, chez certains enfants, de telles mini-crises provoquent ce qu'on appelle des échecs comportementaux. Par exemple, certains enfants deviennent capricieux ou ont du mal à dormir.
  La plupart des psychologues sont convaincus que la seule période pendant laquelle l'hystérie est acceptable est celle où un enfant a un an. Après tout, il n'a pas assez de vocabulaire pour expliquer ses désirs et son comportement, et l'hystérie est sa façon habituelle de se comporter. Il ne connaît tout simplement pas d’autre moyen. Il y a seulement quelques mois, il n'avait qu'à se plaindre et ses parents couraient vers lui, le calmaient, le consolaient et exauçaient ses souhaits. Et aujourd'hui, même s'il a un peu mûri, il ne connaît toujours pas d'autre moyen d'attirer l'attention. Vous devez comprendre que le tout-petit lui-même ne sera pas capable de faire face à l'hystérie, il ne pourra tout simplement pas se calmer tout seul, vous devez donc prendre l'enfant dans vos bras et le tenir près de vous. Mais crier, se gifler et jurer est une erreur et nuit au développement ultérieur de l’enfant.

Bon après-midi.
J'ai de l'auto-agressivité. J'en suis sûr car j'en souffre depuis longtemps. J'ai un fils de cinq ans et j'essaie de me retenir... J'essaie très fort.... cependant, parfois je ne peux pas résister et mon fils entend... et vient de l'autre pièce et demande "Maman, pourquoi tu te bats ?"... nous devons faire quelque chose à ce sujet...
Existe-t-il des médicaments en vente libre que je peux prendre pour suivre le cours ?
Je ne veux pas aller chez des spécialistes - j'ai peur qu'ils m'enferment dans un hôpital psychiatrique et emmènent mon fils. La longue période de contention est de 7 à 10 jours, puis je fais encore une dépression. . et PMS n’a rien à voir avec ça.
Merci

• Bonjour Tatiana. Nous vous recommandons de contacter un spécialiste privé concernant votre problème. La clinique payante garantit l'anonymat, le psychiatre vous aidera à vous comprendre et à comprendre vos problèmes de personnalité.
  Comprendre pourquoi vous vous faites du mal est la première étape vers le rétablissement. Si vous identifiez la raison pour laquelle vous vous faites du mal physiquement, vous pouvez trouver de nouvelles façons de faire face à vos sentiments, ce qui réduira le désir de vous faire du mal.

  • merci pour la réponse!
    Ai-je besoin d’un psychiatre, d’un psychologue ou d’un neurologue ?

    • Tatiana, dans votre cas, un psychothérapeute est la meilleure option.

Bon après-midi. Je ne serai probablement pas original dans mon problème, mais j'aimerais entendre une évaluation et des conseils concernant ma situation spécifique.
Marié depuis plus de 20 ans. La relation avec mon mari est bonne, à l'exception des accès de colère qui surviennent régulièrement, tous les quelques mois. Le même scénario se produit toujours. Cela commence par son irritabilité, qui se manifeste de plusieurs jours à une semaine. C’est lui qui accumule les colères, c’est ce que je pense. De plus, il s'irrite à chaque mot, mais il est clair qu'il essaie de se retenir. Puis vient un moment où ce moindre mot devient le point de départ de son scandale. C'est le dernier cas en particulier. Nous vivons en dehors de la ville. Je viens de la ville et j'ai amené mon enfant de l'école. Samedi. Il est assis en train de préparer le déjeuner. Il adore cuisiner. Il le fait avec plaisir. Libéré les chiens des enclos. Nous avons 5 bergers d'Asie centrale. Un voisin est arrivé. Ils ont couru vers la clôture et ont aboyé après le voisin. Je suis nerveux. Je dis qu’on ne peut pas laisser tout le monde sortir dans la cour en même temps. Dieu nous préserve que quoi que ce soit arrive. Le mari dit qu'il les chassera bientôt. Et si j'en ai besoin, je peux le faire moi-même. Je dis que je ne peux pas le faire moi-même, parce que je suis malade (la chondrose s'est cassée, ça fait mal de se retourner), et ça a commencé. Les pommes de terre ont volé dans le mur et les accusations selon lesquelles j'avais envoyé la nourriture avaient tout gâché, un salaud et la dernière personne au monde. Je me suis retourné, j'ai dit à mon fils de démarrer la voiture et je suis allé rassembler les chiens moi-même. J'en ai emmené deux, j'ai mis le troisième en laisse, mon mari est sorti et a commencé à crier que j'emmenais ce chien au mauvais endroit. J'ai pris le volant et j'ai demandé la télécommande du portail. Il a dit qu'il n'y avait pas de télécommande. Même s'il l'a dans sa poche. Je me suis retourné et suis parti par la porte des tâches.
Je n'ai jamais élevé la voix. La seule chose qu’elle a dite, c’est que je ne voyais pas ma faute. Le soir, je lui ai écrit qu'il me causait de la peine et du ressentiment. Mais il n'y a aucune colère envers lui. Il n'a pas répondu.
Alors notre prochain scénario commence. Maintenant, nous ne nous parlerons plus pendant longtemps. Il croit sérieusement qu'il a absolument raison. Ça finit par devoir parler au travail. (nous travaillons ensemble dans notre organisation).
Puis encore, cher, bien-aimé, soleil jusqu'à la prochaine fois. S'il vous plaît, dites-moi s'il existe un modèle de comportement pour éviter ces accès d'agressivité. Parfois, j'ai peur pour la vie de mes enfants et de moi-même. Car lorsqu’il est furieux, il vole avec une telle force que cela en devient effrayant.

• Bonjour, Olga. Votre problème est clair. Nous vous recommandons de changer votre attitude face aux explosions d'agressivité périodiques de votre mari - arrêtez d'être offensé, de ressentir un inconfort psychologique et de prouver quelque chose. Peu importe vos efforts, ils continueront à se répéter. Cela ne dépend pas de votre comportement ni de celui de vos enfants.
  « Le soir, je lui ai écrit qu'il me causait de la douleur et du ressentiment. Mais il n'y a aucune colère envers lui. Il n'a pas répondu." "Cela ne sert à rien non plus d'expliquer quoi que ce soit à mon mari." Son agressivité est une libération psychologique. Essayez d'anticiper l'état de votre mari et de ne soutenir le conflit sous aucune forme.

Mon mari a des crises d'agressivité, surtout si je ne suis pas contente du fait qu'il boit au travail ou en vacances avec le même groupe d'employés. À mon avis, ils boivent souvent, seulement 10 à 15 personnes ont leur anniversaire, sans parler des vacances. Mon mari a 53 ans, souffre d'hypertension et prend constamment des médicaments pour faire baisser sa tension artérielle. Je ne pense pas que l’alcool contribue à sa santé et à sa longévité, et bien sûr je dis que c’est désagréable pour moi. Il y a 5 ans, il a arrêté de fumer, avant cela, il fumait tout le temps. Maintenant, il me le reproche constamment lors des disputes. Cela me semble étrange, je dis que s'il n'a fait ça que pour moi, et maintenant c'est son argument « atout » dans nos dialogues, alors pourquoi de tels sacrifices, je n'en ai pas besoin. Il dit que je le contrôle, que presque tout le monde se moque de lui... Et qu'est-ce que la force masculine - je veux fumer et boire - c'est mon affaire - tu es assis tranquillement, ou quoi ? Je ne parle pas du fait qu'il y a des gens qui ne boivent jamais de leur plein gré, ne boivent pas en groupe, mais assistent à des événements d'entreprise, et sont généralement l'âme de l'entreprise (j'avais un tel employé). Je ne vois aucun héroïsme ici ; une personne fait cela de son plein gré. Aujourd'hui, nous étions à une autre fête d'entreprise, journée d'entreprise, je n'ai pas eu de conversations sur le sujet ces derniers temps, j'ai bu ou je n'ai pas bu, c'est bien pour toi après ça, c'est mauvais…. Je suis arrivé, j'ai dit que j'appellerais au moins une fois par jour, juste comme ça, dis bonjour, comment vas-tu... Je n'ai même pas dit autre chose, et en général je n'avais pas l'intention de... Mon Dieu , ce qui a commencé ici : lancer des trucs, enfoiré, que je suis déjà pour lui... qu'il ne boit pas, ne fume pas, et je fais en sorte que ça marche pour lui ici, j'ai failli baisser les portes intérieures . J'avais peur qu'il me frappe, mais il s'est envolé en claquant la porte d'entrée de Dieu sait où... Je n'ai personne vers qui me tourner, mes parents ne sont plus en vie, mes frères et sœurs sont partis, mes cousins ​​sont loin, ils ont des familles, des enfants, des petits-enfants, mais qu'en est-il d'un ami, dites-moi ? Je ne comprends pas de quoi je suis coupable, qu’y a-t-il de mal à entendre un mot gentil de la personne avec qui on vit juste un par jour, n’est-ce pas normal ? J'essaie d'évaluer adéquatement la situation et de la comprendre. Si une personne se considère comme une victime simplement parce qu’elle tient compte de l’opinion de sa femme ou qu’elle l’appelle une fois par jour, à mon avis, ce n’est pas normal. Maintenant, je dois en quelque sorte être en alerte tout le temps, choisir mes mots, et si je faisais quelque chose pour ébranler à nouveau son estime de soi... Ce n'est pas la vie - dans une tension constante, et l'attente qu'il soit « offensé » " encore. En même temps, curieusement, mon mari est le soutien de famille, le chef d'entreprise, je gagne aussi de l'argent, mais moins, ce qui semble normal. Qu'est-ce qui ne va pas et que dois-je faire ?

• Bonjour Tacha.
  "Je suis arrivé, j'ai dit que j'appellerais au moins une fois par jour, juste comme ça, dis bonjour, comment vas-tu... Je n'ai même rien dit d'autre"
  Avec ces mots, vous avez inconsciemment essayé de le culpabiliser et ils ont servi de déclencheur à son agressivité. Le mari est peut-être déjà arrivé de mauvaise humeur ou est inconsciemment toujours prêt pour les prochaines réclamations, et ces mots suffisaient à vous agresser.
  « Je ne comprends pas de quoi je suis coupable, qu’y a-t-il de mal à entendre un mot gentil de la personne avec qui on vit juste un par jour, n’est-ce pas normal ? - Bien sûr, tu as raison. Mais forcer un homme à vous exprimer son attention de cette manière est également une erreur. Vous pouvez vous-même faire preuve d'attention, de sollicitude envers votre mari, prononcer des mots gentils et lui dire, si possible, lorsqu'il est de bonne humeur, qu'il vous manque et que vous pouvez à peine vous empêcher de l'appeler lorsqu'il est au travail. Pendant la conversation, surveillez la réaction de votre conjoint afin de ne pas aggraver la situation et faites passer la conversation à un autre sujet à temps.
  "Maintenant, je dois en quelque sorte être en alerte tout le temps, choisir mes mots, et si je faisais quelque chose pour ébranler à nouveau son estime de soi... Ce n'est pas la vie - dans une tension constante, et l'attente qu'il le soit" offensé »à nouveau.» Malheureusement, cela arrive très souvent. Après tout, les hommes sont très fiers, vulnérables et susceptibles. Et la clé d’une vie conjugale heureuse est la capacité de se taire à temps.

Bonjour! Dans notre famille, malheureusement, la situation suivante s'est développée... J'ai un frère aîné (j'ai 25 ans, mon frère a 35 ans). Mes premiers souvenirs de sa manifestation d'agressivité sont qu'il s'est battu avec son frère cadet (il a maintenant 33 ans), mais à cette époque j'étais encore très jeune et il me semblait que cela lui faisait plaisir - de blesser son propre frère. Quand j'avais environ six ans, je me souviens de la façon dont mon frère a frappé ma mère pour la première fois, il la poursuivait pour la frapper et disait des bêtises. À cette époque, il jouait et chantait lors des mariages et, bien sûr, il essayait pour la première fois de boire de l'alcool. Quand j'étais à l'école, j'entendais des disputes entre mes parents et mon frère ivre, on m'envoyait dans une autre pièce et on m'enfermait au cas où, on ne sait jamais... Et ce « on ne sait jamais » arrivait de temps en temps, mon mon frère s'est disputé avec son père et sa mère malades... Au fait, les parents ne le sont jamais ! ils ne se battaient pas, ils se disputaient de temps en temps, comme tous les gens normaux, mais papa ou maman ne s'en permettaient jamais trop.
Au fil des années, tout est devenu encore pire... Mon frère m'a permis d'abandonner ma mère, mon père, mon frère, ma femme... Mon père s'est affaibli au fil des années, sa maladie l'a beaucoup affecté, mais cela ne s'est pas arrêté son frère. Grâce à l'un de ces coups, le frère cadet a développé un hémotome dans la cavité abdominale, qui s'est transformé en tumeur, et il a failli mourir. Je suis au courant d'un incident au cours duquel il a failli noyer sa femme dans la baignoire. Leur enfant est atteint d'une tumeur au cerveau.
Je peux bien sûr raconter bien d'autres cas, mais... Il boit souvent avec des amis, pour eux il est la vie de la fête, toujours joyeux, peut faire rire n'importe qui. En même temps, on ne peut pas le qualifier d'alcoolique, puisqu'il dirige consciencieusement sa propre entreprise et travaille dur. En état d'ébriété, cela peut commencer à mi-chemin, il suffit de le regarder du mauvais côté. Il ne fait preuve d'agressivité qu'envers son propre peuple !!! Lorsque vous essayez de lui parler de ce qui s’est passé, il ne veut pas du tout en parler, car il ne se sent pas du tout coupable. Et souvent, il ne se souvient pas du tout de ce qu'il a fait, ou fait simplement semblant... Il ne demande jamais pardon pour ce qu'il a fait. Lorsque vous essayez de parler du fait qu'il a gravement offensé sa mère ou qu'il a fait autre chose, il se met immédiatement à crier et à crier jusqu'au bout. Il croit qu'il fait tout, qu'il nourrit et habille presque tout le monde. Tout autour est démo, et il est le « nombril de la terre ». Et tout cela se traduit par un monologue très fort ; si vous essayez de vous opposer à lui, vous entendrez le cri encore plus fort.
Cela fait maintenant 7 ans que je vis dans la capitale et je ne dépend de personne... Mon père est décédé récemment, la femme de mon frère est enceinte de leur deuxième enfant, ma mère vit dans la maison de nos parents avec mon deuxième frère ... Mais! Je ne peux pas vivre en paix, car je sais que mon frère aîné tyrannise tout le monde là-bas ! Et il n'admet absolument pas qu'il a des problèmes d'alcool, et encore plus de nerfs ou de psychisme... Et il ne l'admet pas. J'ai très peur pour la santé et l'état émotionnel de mes proches, car il ne leur permet pas de vivre en paix. Mais je ne vois pas comment résoudre ce problème, puisque mon frère refuse l'aide de spécialistes... S'il vous plaît, conseillez-moi, car je suis au désespoir !

• Bonjour Anastasia. D'après la description, votre frère aîné est très proche d'un représentant du type d'accentuation de caractère excitable. Ce qui est caractérisé par l'instinct et ce que l'esprit suggère n'est pas pris en compte par une telle personne, et le désir de satisfaire des désirs momentanés, des besoins, des impulsions instinctives devient décisif.
  Sachant cela, nous pouvons vous recommander, ainsi qu'à tous vos proches, de ne pas le critiquer, de ne pas toucher à sa personnalité dans les conversations, de ne pas discuter de ses actes, de ne pas lui rappeler les erreurs passées. Puisque tous les efforts seront inutiles et qu'il sera assez facile de se heurter à sa grande impulsivité et à son irritabilité. Si nécessaire, ces personnes doivent simplement être tolérées, mais en général, dans la société, la communication avec de telles personnes est évitée si elles montrent leur tempérament et ne se retiennent pas.

Problème avec la mère. Il se précipite constamment sur moi, jure sans raison, me menace de blessures physiques et va même jusqu'à l'agresser. Elle se met à crier de nulle part, ne veut écouter personne, tout le monde est responsable d’elle, etc. Je juge toujours ceux qui m'entourent, je cherche littéralement quelque chose à quoi m'accrocher et je déverse tout cela sur moi. Il n'établit aucun contact lorsqu'il parle, il ne voit qu'une chose dans tout : « tu essaies de me contredire, #@*#@??? » et commence encore plus. Il y a des moments de calme où il essaie même d'améliorer les relations, mais tout se termine par des reproches et par l'utilisation de tout ce qu'il apprend contre moi. Ces reproches et ces scandales frappent là où ça fait mal. Si tout à coup un scandale éclate à cause d’une chose perdue, peu importe que j’en sois responsable ou non, je ne m’excuse jamais pour des attaques vides de sens. Ce qu'il faut faire?? Comment trouver une approche ?? Comment calmer une personne hystérique ?

• Bonjour Alina. Il est recommandé d'éliminer les crises de colère en portant son attention sur quelque chose d'agréable ou de distrayant pour l'agresseur et, bien sûr, de ne pas le provoquer, car la dégradation des émotions négatives dans l'environnement immédiat s'apparente à une drogue et donne à l'agresseur une grande plaisir.

Bonjour. Voici le problème que j'ai. J'ai 23 ans. Mon père est parti tôt, même s'il a pleinement participé à l'éducation de mon frère et à la mienne, notre enfance a été difficile, ce n'était pas facile pour ma mère de nous entraîner, et par la suite, il n'y a eu aucun amour pour le reste de la vie. monde, quelque chose comme un complexe d'enfant. Je suis extrêmement colérique, une humeur absolument joyeuse se transforme facilement en un état extrêmement hostile, mais je n'ai jamais fait preuve d'agressivité envers des étrangers, uniquement en cas de protection de moi-même ou de ma famille. Je travaille beaucoup, et cela est associé à un stress physique et moral constant, c'est pourquoi je m'en prends toujours à mon entourage (famille, petite amie, amis proches). Mais récemment, tout a beaucoup changé. Maintenant, il n'y a plus d'agressivité envers les gens proches, je ne m'emporte pas, j'essaie d'être plus doux, de ne pas m'énerver quelque part, je me calme vite. MAIS! Dès que j'entends quelque chose qui m'est adressé par un inconnu, pas forcément une insulte, une quelconque provocation, j'ai tout d'un coup un sentiment de haine ÉNORME, c'est comme de l'adrénaline ou un état avant de m'évanouir, je n'arrive à me calmer que... mais ici, cela se termine de différentes manières, mais dans la plupart des cas jusqu'à ce que mon « ennemi » soit au sol. Et je comprends plus tard que je n’ai pas semblé entendre quelque chose de particulièrement offensant à mon égard, mais à ce moment-là, j’avais l’impression qu’il me menaçait de mort et je ne pouvais m’empêcher de me défendre. Plus tard, je réaliserai et comprendrai tout, mais le sentiment que j'ai tout fait correctement ne me quittera pas, je ne peux pas m'en convaincre et personne ne le peut. D'ailleurs, maintenant quelque chose d'autre est apparu, en termes d'intimité, maintenant la préférence va plutôt vers, enfin, disons pas exactement, mais un peu vers l'intimité brute, enfin, bien sûr, pas par rapport à moi, je suis devenu un peu plus rude. Non, ma copine aime ça, bien sûr, mais je viens de le remarquer en moi-même. Et j'écris tout cela uniquement parce que pour la première fois j'ai eu peur, pas des conséquences, pas de la responsabilité, non, j'ai eu peur de moi-même, de ne pas pouvoir me contrôler au moment de l'agression, je ne pouvais pas calme-toi. Merci pour votre aide.

• Bonjour Alexandre. Très probablement, vous êtes caractérisé par un type d'accentuation de caractère excitable (une version extrême de la norme), qui s'exprime par un contrôle faible et une contrôlabilité insuffisante de vos propres pulsions et impulsions. Par conséquent, il vous est très difficile de vous retenir dans un état d'excitation émotionnelle et de ne pas vous irriter. Il n’y a pas lieu d’avoir peur de votre état. Vous savez maintenant qu’un tel type existe et vous en faites partie.
  Les principes moraux n'ont pas d'importance pour ce type, et dans les accès de colère, il y a une augmentation de l'agressivité, qui s'accompagne d'une intensification des actions correspondantes. Les réactions des individus excitables sont impulsives. Ce qui est décisif pour le comportement et le style de vie d’une telle personne, ce n’est pas la prudence, ni la pondération logique de ses actions, mais les désirs, les impulsions incontrôlables.
  Par conséquent, nous vous recommandons d’éviter les situations extrêmes dans lesquelles un conflit est possible ou les situations dans lesquelles votre comportement, votre entreprise ou vos qualités personnelles sont critiquées.
  Vos types préfèrent les sports athlétiques, où ils peuvent libérer leur énergie refoulée ou leur agressivité.
  « Mais récemment, les choses ont beaucoup changé. Maintenant, il n'y a plus d'agressivité envers les gens proches, je ne me mets pas en colère, j'essaie d'être plus doux, de ne pas avoir d'ennuis" - Petit à petit, avec l'âge, vous deviendrez plus doux. Bien entendu, cela dépendra directement de votre environnement immédiat, de votre cercle social. Une personnalité de votre type choisit souvent avec soin son cercle social, s'entourant des plus faibles afin de les diriger.
  Essayez de vous reposer suffisamment, ne vous surmenez pas et évitez de commencer des tâches difficiles lorsque vous êtes de mauvaise humeur ou fatigué, car des problèmes de comportement peuvent survenir dans de telles situations. Ne placez pas de grands espoirs et attentes dans la société. Le monde n’est pas idéal et ne peut pas être changé. Les gens ont tendance à ne pas « filtrer » leurs mots, qui comptent beaucoup dans la vie.
  La méditation, l’auto-entraînement et le yoga peuvent vous aider à retrouver la tranquillité d’esprit et à mieux résister au stress.

Bonjour. Je vis une situation atypique, je sors avec une fille, elle a 19 ans. Nous sommes ensemble depuis environ 2 ans, elle a une relation très difficile avec sa mère et sa grand-mère, il n'y a pas de père, elle a toujours eu des disputes avec sa mère, des crises de colère folles, c'est même arrivé au point d'agression, il y a environ un an elle a emménagé avec moi. Au début de la relation, lorsqu'il y avait des désaccords ou même des querelles mineures, elle devenait incontrôlable, un flot d'agressions, de jurons, d'insultes et d'humiliations s'adressait à moi, même si je ne l'ai moi-même jamais traitée d'imbécile, encore moins de jurons. Toujours dans un conflit, j'ai essayé de me calmer et de découvrir la raison de ce comportement, elle dit toujours qu'elle ne peut pas se contrôler, qu'après ne m'a pas tout exprimé, alors seulement elle se calme, et ce n'est pas forcément nécessaire soit notre querelle. Elle se dispute avec sa mère et se met en colère contre moi, répond grossièrement et jure. Après mes menaces de rompre la relation, elle s'est plus ou moins calmée, mais lors des querelles, elle émet encore un flot d'obscénités, d'insultes, etc. La dernière fois dans le centre commercial, où elle, moi et mon amie étions, elle a commencé à me crier dessus dans tout l'étage parce que je ne l'avais pas attendue et m'a suivi et a crié jusqu'à la sortie. Tout le monde s’est tourné vers nous et elle n’a réagi d’aucune façon aux demandes de mon amie et à mes demandes de ne pas crier et de se calmer. Un autre type de comportement est de me fuir dans les rues, même dans des villes inconnues où elle peut se perdre. Même lors de disputes, il menace parfois de se suicider, surtout quand je parle de rupture. J'étais très fatigué de cela et j'ai moi-même commencé à montrer une agression défensive envers elle, j'ai commencé à répondre à son cri par un cri, j'ai endommagé les meubles à cause de l'agression, et après avoir montré de l'agressivité, elle s'est rapidement calmée et a été la première à faire la paix et à demander pour le pardon.. Dites-moi si des changements pour le mieux sont possibles ou devriez-vous penser à rompre ?

• Bonjour, Ruslan. Vous devez arrêter la manipulation de la fille, car dès qu’elle a réalisé que vous étiez capable de contre-agression, elle a eu peur et a changé son comportement.
  Dites-lui directement que vous comprenez la complexité de la situation concernant ses proches et la communication avec eux, mais que vous ne permettrez pas d'être traité de cette façon. Soit elle change intérieurement, apprend la maîtrise de soi, s'inscrit au yoga, va voir un psychologue, étudie son problème de manière indépendante, soit vous serez obligé de mettre fin à une telle relation.
  "Même lors de disputes, il menace parfois de se suicider, surtout quand je parle de rupture." «C'est un jeu habile d'un manipulateur névrosé, lui permettant d'atteindre ses objectifs. Et vous devez garder à l’esprit la priorité de vos intérêts.
  Posez-lui calmement la question : qu’en retirerez-vous si vous vous suicidez ? Qui en bénéficiera ? Faites-lui comprendre que vous n'êtes pas familier avec les remords et que votre relation avec elle vous a renforcé intérieurement, vous ne serez donc pas en deuil pendant longtemps, mais vous lui trouverez rapidement un remplaçant. Par conséquent, il peut être logique qu’elle change, arrête de vous faire chanter et commence à vous respecter en tant que personne.

  • Merci beaucoup pour votre réponse, maintenant le problème et la gravité de la situation sont devenus plus clairs pour moi, car je lui ai parlé à plusieurs reprises de me retenir, d'un psychologue, de changements internes, elle semblait essayer de se contrôler au début , mais au bout d'un moment tout a recommencé , et si les querelles avec les hystériques se produisent déjà moins fréquemment, mais elles deviennent de plus en plus difficiles, et à l'un de mes arguments sur son agression déraisonnable, selon laquelle le conflit peut être résolu calmement, elle répond que je vais si mal et que je l'ai amenée dans un tel état.. elle me dit qu'elle ne veut tout simplement pas changer et voit vraiment que je succombe à ses manipulations, je vais essayer de l'envoyer ou de l'accompagner à un psychologue ou un psychothérapeute, s'il n'y a pas de résultats, alors apparemment je devrai rompre la relation

    Encore une fois je me tourne vers vous, j'ai essayé de me comporter comme vous l'avez conseillé, lorsqu'on lui demande d'aller chez un psychologue ou un psychothérapeute, elle rit et dit qu'elle n'est pas une psychopathe, et une tentative d'arrêter ses manipulations, notamment en l'ignorant, a conduit à elle est sortie sur le balcon du 12ème étage et je l'ai fait chanter pour qu'elle la largue, elle est déséquilibrée, quand je romps avec elle, j'ai peur de me suicider, que faire soit pour la référer à un psychologue ou en termes de séparation sûre ?

    • Soit vous pouvez l'aider à décider de demander de l'aide (comment faire exactement - vous devriez le savoir, puisque vous vivez avec elle depuis deux ans), soit vous souffrirez de son comportement inapproprié tout le temps que vous passerez ensemble... Sans aide en face-à-face, elle n’aura certainement pas besoin d’un spécialiste. Il n'y a tout simplement rien à ajouter à ce qui a été écrit plus tôt sans voir le patient.

      Vous devez rompre avec elle alors qu'il n'y a pas d'enfants. Ma fille est presque la même et ne veut pas changer. Si auparavant elle demandait pardon pour, pour ainsi dire, un mauvais comportement, au fil des années, elle a commencé à croire que tous les membres de la famille étaient à blâmer. Ruslan, tu ne peux en aucun cas la changer, ne perds pas de temps avec elle, la vie sera empoisonnée avec une telle fille. Il doit y avoir la paix et l'ordre dans la maison, l'amour et les petites querelles (on ne peut pas vivre sans elles) et surtout, trouver une fille pour que vous soyez attiré par elle et que vous n'ayez pas honte de son comportement.

      Vous devez rompre avec elle alors qu'il n'y a pas d'enfants. Ma fille est presque la même et ne veut pas changer. Si auparavant elle demandait pardon pour, pour ainsi dire, un mauvais comportement, au fil des années, elle a commencé à croire que tous les membres de la famille étaient à blâmer. Ruslan, tu ne peux en aucun cas la changer, ne perds pas de temps avec elle, la vie sera empoisonnée avec une telle fille. Il doit y avoir la paix et l'ordre dans la maison, l'amour et les querelles mineures (vous ne pouvez pas vivre sans elles), et surtout, trouver une fille pour que vous soyez attiré par elle et que vous n'ayez pas honte de son comportement.

Mon mari et moi sommes ensemble depuis 2 ans. Pendant les six premiers mois, j'étais heureux qu'un homme aimant, attentif et affectueux soit avec moi, me porte dans ses bras et souffle les grains de poussière. Il y a eu bien sûr des querelles, mais mineures. La seule chose qui m’a toujours étonné, c’est que pendant le conflit, il pouvait me dire des mots difficiles à décrire. Mais elle n’y prêta pas beaucoup d’attention. La première fois qu’il m’a posé la main, c’était après avoir bu suffisamment d’alcool. C'était insupportable. J'ai été dans une pièce fermée pendant 3 heures, il m'a battu, puis il a pris un couteau et m'a coupé ma robe, m'a cassé une bouteille sur la tête, après quoi j'étais déjà inconscient. Je me suis réveillé sur le balcon dans une mare de sang. Voyant que j'avais repris connaissance, il m'a littéralement ordonné de me laver et de m'allonger pour dormir à côté de lui. J'ai commencé à devenir hystérique, il a recommencé à me battre. À un moment donné, les voisins ont commencé à enfoncer la porte et j'ai réussi à m'échapper, enveloppé dans une couverture, et je suis parti. Je ne sais pas comment, mais je lui ai pardonné après quelques mois. Et tout s'est répété, seulement la fois suivante, il m'a torturé pendant plusieurs jours jusqu'à ce que la police intervienne. Mais avec nos lois, il n’y aura de véritable punition que s’il tue. Je ne peux dire qu'une chose, tout cela continue encore et encore. Je me suis transformé en chien et je sais que je lui pardonnerai encore. Je sais que c'est de ma faute, mais il existe peut-être un moyen d'y remédier. J'ai peur qu'il me tue bientôt. Dites-moi ce qu'on peut faire !!?

• Taisiya, toi et toi seul peux te rendre heureux. Vous seul pouvez changer votre vie. Vous êtes désormais victime, vous devez contacter en urgence un spécialiste si vous n'en êtes pas vous-même capable. Et mon conseil est de fuir ce connard !!! Le plus vite possible ! J'espère que tu n'as pas d'enfants. Va chez ta mère, chez ton amie, il existe des centres pour femmes qui se trouvent en situation difficile, ou même à la gare ! Il vous battra toujours parce que vous l'avez enduré ! Vous ne pouvez pas riposter, partir, vous enfuir. Mais je suis sûr que vous pouvez le faire si vous le souhaitez vous-même. Changez votre vie une fois pour toutes. Et enfin arrêter d’être une victime. Bonne chance à vous !

Comment faire face à l'agressivité d'un enfant épileptique de 9 ans. La fille ne veut pas faire ses devoirs, elle se met à tout jeter en criant et peut frapper sa mère. Il n'y a aucun moyen de gérer cela, juste des problèmes. Que devons-nous faire, aidez-moi s'il vous plaît.

• Bonjour Nadejda. Dans le cas de votre fille, nous vous recommandons de consulter un psychologue pour enfants. Après avoir discuté avec vous et la fille, le spécialiste sera en mesure d'établir les raisons du comportement agressif et de vous expliquer comment réaliser plus efficacement le désir d'apprendre.

  • Merci, nous pensons que nous pouvons l'essayer aussi. Seulement, je suis grand-mère. Ma fille est déjà épuisée avec elle. La petite-fille prend de la Dépakine, il n'y a pas de crises et son caractère est devenu agressif pendant le traitement. Et quand est-ce que tout cela s’améliorera ?

Mon mari et moi avons vécu ensemble pendant 5 ans. Nous avons 25 ans d'écart. J'ai aujourd'hui 39 ans, lui 64 ans. Des signes d'agressivité ont commencé à apparaître après les 3 premiers mois. Il me semblait que c'était de ma faute, j'ai essayé de parler, de comprendre la raison et de ne plus recommencer. Parfois cela s'exprimait par un cri furieux (très, très fort, impossible à transmettre), parfois en silence de 2 jours à 10h-15. En conséquence, j’étais toujours le premier à faire la paix. Pendant 5 ans, des situations similaires se sont produites une fois par mois. (en moyenne) Le mari ne s’est jamais considéré coupable pendant tout ce temps. De plus, il a puni. Tu ne sais pas comment me comporter, je pars seule en vacances pour le nouvel an. Ainsi, sur 5 vacances du Nouvel An, 2 fois j'ai fêté le Nouvel An seul à la maison. En même temps, j'essayais de réagir différemment à son hyper/ou ou long silence. Et j'ai d'abord crié en retour (cela s'est avéré être le plus inefficace) et j'ai calmement essayé d'expliquer ce que je ressentais et je suis parti pendant un jour ou deux. Une fois à l'aéroport, nous prenions l'avion en vacances, je suis allé aux toilettes et je me suis attardé un peu, en criant comme un fou pendant environ 10 minutes, les gens ont commencé à se rassembler. J’ai réussi à m’arrêter seulement quand j’ai dit que soit tu arrêtes, soit je n’y vais pas. Puis en vacances je suis resté silencieux pendant 2 semaines. J'y suis allé séparément. La dernière rupture est due au fait qu'il a crié quand je lui ai dit ce que j'avais acheté à l'épicerie. Il a crié qu’il ne voulait pas écouter ça, le sujet était clos. J'ai essayé de me justifier, ce qui l'a mis en colère. A la fin, j’ai dit que je ne pouvais plus écouter ça. Et elle est partie. Il a dit, eh bien, je suis allé à... Un mois plus tard, il m'a appelé et m'a apporté mes affaires de sa datcha. Et il a dit que si tu t'excuses, je te pardonnerai. Je suis revenu 1 jour plus tard et je me suis excusé. Et il a dit, tu as tout le temps un scandale sur la langue, tu ne peux pas t'arrêter à temps comme toujours, je t'ai fait signe d'arrêter, mais tu n'entends pas ce qu'ils te disent. En général, je pars seul en vacances l'été, mais les deuxièmes vacances d'automne sont toujours en cause. Et on avait aussi des billets pour le théâtre, il disait qu’il n’allait pas y aller seul, il n’y allait pas seul, et ainsi de suite. puisque je n'ai peut-être pas le temps du tout. Je n'ai pas pu le supporter et je suis parti pour toujours. 3 jours se sont écoulés. C’est dur, j’ai très mal. J'essaye de me calmer, peut-être qu'il n'est pas normal ?

• Bonjour, Irina. Il est clair que votre mari a un psychisme instable et dépend de manifestations périodiques d'agression. Peu importe que ce soit vous ou une autre femme, il se comportera de la même manière.
  Tu as tout bien fait en partant, je ne comprends pas pourquoi tu souffres ? Dans une relation, il est le tyran, et vous êtes la victime, et ce sera toujours le cas.

  • Je souffre parce que je sais que je suis moi-même responsable de tout ce qui m'arrive. J’essaie donc de comprendre si TOUT a été fait de ma part. Et aussi, je l'aime beaucoup, chaque doigt, chaque cheveu... Mais je comprends que je deviendrai bientôt handicapé si je reste. Il vaut mieux « mourir » une fois que de le faire sans fin. Lorsqu’il se disputait avec moi, c’était comme être jeté en enfer : « on arrête de respirer et de ressentir ».

    J'ai imprimé ta réponse, je la relis, ça devient un peu plus facile.
    MERCI.

Ma sœur et moi avons une mère née en 1927. Elle a presque perdu la mémoire. Elle ne reconnaît pas certains de ses proches, ne comprend pas où elle habite, ne comprend pas que son mari (notre père) est décédé et en plus sa maladie. Ma sœur s'occupe de ma mère. Après la mort de son père, sa sœur ne quitte pas sa mère. Elle a quitté son travail et couche avec sa mère dans la même pièce. Elle est médecin, infirmière et nounou pour les parents. Cherchez de telles filles. Et même avant sa maladie, sa mère l'adorait. Mais maintenant, tout s’est transformé en un cauchemar continu. C'était comme si un démon avait possédé la mère. Elle fait tout avec défi, mange de la nourriture, ne veut pas prendre de médicaments, insulte sa sœur avec des noms dont elle n’a jamais entendu parler, a déjà essayé de la frapper à plusieurs reprises et l’a mordue deux fois. Ma sœur a aussi des problèmes de santé. CE QU'IL FAUT FAIRE? Comment réduire l'agressivité de maman. Il faut cacher ses couteaux, mais on ne peut pas tout prévoir.

• Bonjour Yuri. Dans votre cas avec votre mère, vous devez demander l'aide d'un psychothérapeute.

L'agression est une attaque de nature physique ou psychologique dont le motif principal est une forme de comportement destructeur qui viole la possibilité de coexistence des personnes et cause un préjudice à tous les proches du sujet.

L'agression peut être un moyen de protéger le psychisme d'une personne contre les situations traumatisantes, mais lorsqu'elle se transforme en une méthode de libération émotionnelle et d'affirmation sur les autres, la question se pose de savoir comment se débarrasser de l'agressivité.

Causes de l'agression

Les causes de l'agression peuvent être très diverses. Ceux-ci incluent le plus souvent l'abus d'alcool et de drogues, qui affectent négativement le système nerveux et provoquent une réaction agressive et inadéquate à des stimuli mineurs.

N'oubliez pas non plus les raisons psychologiques internes : insatisfaction dans votre vie personnelle, problèmes intimes, sentiment de solitude, dépression.

De plus, l'agressivité peut être une manifestation de diverses maladies et troubles mentaux (schizophrénie), ou être la conséquence d'un traumatisme organique (méningite, encéphalite) ou émotionnel vécu. Très souvent, les causes de l’agression sont aussi des facteurs purement subjectifs. Diverses coutumes, soif de vengeance, fanatisme religieux ou idéologique, image d'une personne forte, tout cela peut provoquer des comportements destructeurs.

Types d'agression

Il existe différents types d’agressions et différentes méthodes pour les classer. Il faut comprendre que l’agression a des directions différentes. La soi-disant hétéroagression vise les autres et ses conséquences comprennent des insultes, des coups, des viols et même des meurtres. L’auto-agression d’une personne est dirigée exclusivement contre elle-même et s’exprime par des actions autodestructrices pouvant aboutir au suicide.

L'agression peut être réactive ou spontanée. Dans le premier cas, il s'agit d'une réponse à la situation irritable actuelle, dont un exemple peut être une querelle domestique ou un conflit au travail. L'agressivité spontanée se manifeste sans raison apparente sous l'influence d'impulsions internes. C'est cette variante d'agression qui est le plus souvent signe de troubles ou de maladies mentaux.

Formes d'agression

Les psychologues distinguent également les formes d'agression. Parmi eux, il est important de noter les jeux et les malins. « L'agression de jeu » s'entend comme la démonstration par une personne de ses compétences, de sa dextérité et de ses compétences, mais pas à des fins destructrices, qui incluent le désir de causer du tort. Ce comportement est purement démonstratif et est souvent qualifié de « pseudo-agression ».

L'agression maligne, également connue sous le nom d'agression « compensatoire », se manifeste par un comportement destructeur, une tendance à la cruauté et à la violence. Ces actions remplacent souvent en quelque sorte la vie productive personnelle d’une personne.

Options pour afficher l'agressivité

Une manifestation d'agression est une manifestation extérieure par une personne d'insatisfaction à l'égard de quelque chose. Très souvent, le sujet lui-même peut ne pas être conscient de son sentiment d'insatisfaction ou ne pas en connaître les causes, et peut ne pas être conscient de son comportement agressif.

L'agressivité chez les hommes et les femmes est quelque peu différente. Les hommes sont plus sujets à sa manifestation physique et cela ressemble généralement à frapper une table avec le poing. Les femmes le manifestent de manière plus émotionnelle sous la forme de plaintes, de reproches et de conclusions incohérentes et fréquentes qui défient toute justification logique.

L'agression a tendance à s'accumuler chez un individu et à se manifester en cas de collision avec un facteur provoquant, qui peut n'avoir aucun rapport avec les causes réelles de l'agression. Par conséquent, il est très important de ne pas essayer de le garder à l'intérieur, mais lorsque vous combattez une agression, portez une attention particulière à l'identification de la cause principale de son apparition.

Agression chez les adolescents

L'agressivité des adolescents n'est pas moins courante. On le découvre généralement au cours de la période de croissance, lorsqu'un nouveau-né est confronté à de nouveaux problèmes graves, notamment dans la communication avec ses pairs, et que diverses contradictions surgissent dans son esprit. Les adolescents deviennent hyperactifs, adoptent une attitude rebelle envers leur famille et leurs proches, et parfois au contraire se replient sur eux-mêmes, deviennent insensibles émotionnellement et cruels.

Pour prévenir l'agressivité chez un enfant, il faut s'efforcer d'établir un contact avec lui, si possible, accepter et comprendre sa position, l'écouter et l'aider sans le critiquer acerbe. Il est important d'éliminer l'agressivité dans les familles avec enfants, où elle constitue une sorte de norme chez les adultes. En règle générale, les enfants de parents scandaleux adoptent ces habitudes à un niveau subconscient, même s'ils n'ont pas été fréquemment témoins de querelles et de conflits entre leur mère et leur père.

La prévention et le traitement de l'agressivité chez les adolescents consistent en la formation d'un certain éventail d'intérêts et leur soutien. Les parents doivent non seulement impliquer leur enfant dans des activités utiles et intéressantes, mais également prendre en compte ses passe-temps personnels. Vous ne devriez pas essayer de changer un enfant en utilisant la force brute. L’absence de reproches et de critiques, ainsi que la capacité d’écouter les sentiments d’un adolescent, sont très importantes pour lui à mesure qu’il grandit.

Agression familiale

L'agression au sein de la famille devient souvent le sujet le plus discuté dans les cabinets de psychologues familiaux. Mais avant de se tourner vers eux, il est logique d'essayer de comprendre vous-même la situation afin de vous débarrasser de l'agressivité. Il existe de nombreuses raisons et raisons d'agression familiale et certaines d'entre elles sont plus courantes que d'autres :

• Insatisfaction de l'un ou des deux conjoints dans leur vie sexuelle.
• Sentiment de manque de respect envers soi-même. Ridicule constant, reproches, remarques et critiques, mépris des intérêts et des passe-temps.
• Aliénation psychologique entre époux. Manque de soins, d’attention, d’affection, de compréhension.
• Diverses addictions « malsaines ». Abus d'alcool, tabagisme et autres mauvaises habitudes. Cela inclut également les dépendances qui conduisent à des dépenses déraisonnables.
• Désaccords financiers. Impossibilité d'établir un budget familial général.
• Insatisfaction de l'un des époux à l'égard de l'entraide, de la répartition du travail, de la coopération dans des situations difficiles pouvant être liées à l'éducation des enfants ou à la gestion d'un ménage.

Comme déjà mentionné, les raisons peuvent être multiples. Cependant, tout couple marié est capable d'identifier de manière indépendante ses « points douloureux » et, en discutant du problème, de trouver la cause probable des conflits.

Si vous ressentez une agression de la part d'un membre de votre famille ou d'un ami, vous ne devez pas la supporter et subir des attaques. Cette attitude nuira non seulement à vous et à votre estime de soi, mais aggravera également la situation à l’avenir. Mais comment sortir de l’agressivité ?

Il est important que l'agresseur lui-même comprenne que son comportement est inacceptable et nuit à la relation, car avec cette forme de comportement, il peut ne pas s'en rendre compte. Il est nécessaire de lui transmettre l'idée que l'agression de sa part est un problème psychologique grave, peut-être même un trouble mental, qui ne disparaît pas sans laisser de trace.

L'étape suivante consiste à établir un contact et une communication adéquate, au cours desquels vous devez essayer de comprendre l'agresseur et son point de vue, lui transmettre le vôtre et, avec des efforts communs, trouver une solution au problème, un éventuel compromis. Si cela ne suffit pas, vous devriez alors prendre rendez-vous avec un psychothérapeute familial qui vous aidera à comprendre et vous donnera toutes les recommandations nécessaires.

S'il n'est pas possible de se débarrasser de ce trouble mental dans la famille, la meilleure solution pour un tel couple marié serait le divorce, car des conflits constants causent des dommages irréparables à la psyché masculine et féminine, et dans le pire des cas. Dans ce cas, ils peuvent entraîner de graves dommages physiques.

De nombreux parents, essayant d'éradiquer toute trace d'agressivité chez leur enfant, traitent le plus souvent des symptômes superficiels et ignorent la racine du problème. Résultat : la situation s’aggrave encore davantage.

Causes de l'agressivité de l'enfance

De nombreux parents sont très clairs sur ce que sont les « conditions propices à l'éducation et au développement d'un enfant » : l'enfant doit être nourri à temps, habillé, chaussé, doté de clubs/professeurs, etc. Un concept tel que « le manque d’amour et de soins parentaux » est déroutant.

Pendant ce temps, de nombreux enfants souffrent d'un manque d'amour dans la famille en raison de l'inattention des parents aux souhaits de l'enfant lui-même, ainsi qu'en raison de nombreuses querelles entre parents, d'un divorce, d'une maladie ou du décès de l'un des parents, et en raison de problèmes physiques. et/ou de violence psychologique.

L'enfant, en quête de l'amour parental, utilise la force physique contre ses frères et sœurs plus jeunes et plus faibles, ou exerce sur eux une pression psychologique pour s'affirmer. Plus tard, il apprendra à appliquer les nouvelles compétences qu’il a acquises auprès de ses pairs.

Comment l’agressivité de l’enfance se manifeste-t-elle à différents âges ?

Au fil du temps, au cours du processus d'éducation, l'enfant apprend à faire face à l'agressivité interne en utilisant des mécanismes de défense psychologique, tels que la sublimation, l'expression de son agressivité sur papier ou la projection, le transfert de l'agressivité interne aux autres et leur perception comme des personnes agressives, etc. Ou encore, cela peut transformer l’agressivité en activité constructive.

Ainsi, pour tenter d'éviter l'agression, votre enfant commence soudainement à nettoyer activement la maison, à apprendre de manière désintéressée un nouveau morceau sur un instrument de musique, à faire du sport, etc.

Dans la petite enfance, un comportement agressif est considéré comme normal, mais avec l’âge, il devient inacceptable. L'enfant doit apprendre à exprimer ses sentiments avec des mots et les jeunes agresseurs deviennent des professionnels du genre épistolaire. L'agression physique se transforme en douceur en attaques psychologiques. Dès l'âge de 10 ans, le boycott est une forme fréquente d'agression dans les écoles envers un enfant.

Types d'agressivité infantile

Un exemple d'une telle agression cachée à un jeune âge pourrait être un comportement problématique avec ses pairs : le désir de subjuguer un autre, l'incapacité de prendre une décision commune, la réticence à étudier, à faire ses devoirs, l'encoprésie (incontinence fécale), des phrases désinvoltes sur le fait de ne pas vouloir pour vivre, douleurs au ventre/à la tête (même si les examens effectués à la clinique montrent que l'enfant est en bonne santé).

À l'adolescence, l'agressivité cachée se manifeste par le fait qu'un homme ou une fille a du mal à nouer des relations saines avec ses pairs, connaît des crises de jalousie et est incapable de respecter les désirs et les décisions d'une autre personne.

En essayant de faire face à la tension interne, un adolescent peut commencer à utiliser des méthodes d’adaptation pas tout à fait saines pour tenter « d’oublier ». L'alcool, les drogues, l'activité sexuelle précoce, les coupures sur certaines parties du corps et l'anorexie sont utilisés. La déception, le ressentiment et le mécontentement qui ne sont pas exprimés à voix haute peuvent conduire au développement de la dépression.

Un certain style parental influence-t-il l'agressivité des enfants ?

Je me souviens d'une blague :

Dans le bureau du Dr Freud.
- Docteur, mon fils est juste une sorte de sadique : il donne des coups de pied aux animaux, encadredonne des coups de pied aux personnes âgées, arrache les ailes des papillons et rit !
- Quel âge a-t-il ? - 4 ans.
- Dans ce cas, il n'y a pas de quoi s'inquiéter, ça passera bientôt,
et il deviendra une personne gentille et polie.
- Docteur, vous m'avez calmé, merci beaucoup.
- De rien, Madame Hitler...

Différentes familles ont des styles parentaux différents. Certains parents fixent des limites trop strictes, ils ne savent pas comment communiquer avec l'enfant et le but de l'éducation est un contrôle et une obéissance complets. En essayant d'être un bon garçon ou une bonne fille à la maison, l'enfant est obligé d'exprimer toute son insatisfaction à la maternelle ou à l'école, souvent sous une forme agressive.

Il y a des parents, au contraire, qui sont trop sensibles à leurs enfants, les écoutent souvent et ont peur d'offenser les sentiments de l'enfant, pour ne pas les blesser, à Dieu ne plaise.

Au fil du temps, il devient de plus en plus difficile pour ces parents de fixer des limites à leur éducation et de limiter leur enfant. L'incapacité de ces parents à établir des limites et la permissivité conduisent l'enfant à se sentir plus fort que ses propres parents, qu'il peut tout faire et commence à se montrer agressif envers ses parents/frères/sœurs et envers ses pairs.

Dans les familles avec deux enfants ou plus, les parents se souviennent probablement qu'après avoir donné naissance au plus jeune, ils n'ont pas toujours la force et le temps de s'occuper du plus âgé. Mais si les parents ignorent systématiquement et ne remarquent pas l’enfant plus âgé, alors il commence à se sentir « transparent » (déclaration des enfants). Et pour ne pas ressentir cette forte tension interne, le comportement de l'enfant devient impulsif, agressif, avec des sautes d'humeur fréquentes. Ainsi, selon les enfants, « ON LES VOIT ».

La bonne stratégie parentale est que les parents montrent ouvertement leur amour avec des mots, des gestes, de l'affection, s'intéressent à la vie de leurs enfants, soient sensibles, remarquent si quelque chose arrive à l'enfant et essaient de le consoler. Ces parents contrôlent leurs enfants, mais savent aussi faire confiance. Un enfant qui grandit dans une famille où la communication est saine n’utilisera l’agressivité que pour se défendre. Il saura exprimer toute insatisfaction sous une forme ouverte, avec des mots.

Agression envers les parents : raisons et que faire ?

N'attendez pas que la situation dégénère ; arrêtez immédiatement les comportements indésirables. Comment savoir quand exactement arrêter un comportement indésirable ? Croyez-moi, vous le ressentirez vous-même. Dès que le comportement de l'enfant vous gêne, vous, en tant que parent, êtes obligé de l'arrêter avec les mots : « C'est désagréable pour moi » ou « Je n'ai pas l'intention de poursuivre la conversation sous cette forme », etc.

Respectez-vous et ce faisant, vous apprendrez à votre enfant à être sensible aux besoins des autres et à respecter son espace personnel. Un enfant qui a appris à respecter les membres de sa famille traitera certainement les gens autour de lui et en dehors de la famille avec respect.

Agression envers les pairs : causes et que faire ?

Un thérapeute familial, observant la dynamique des relations familiales, est capable de diagnostiquer le problème et de trouver une solution appropriée.

Différences d'agressivité entre garçons et filles

Au cours du processus d'évolution, les filles ont appris à recourir à l'agression non pas physique, mais verbale, y compris l'intrigue et la manipulation. Il est très rare que les garçons soient les organisateurs d'un boycott ; c'est généralement l'apanage des filles.

L'agressivité de l'enfance disparaît-elle avec l'âge ?

Un adulte qui ne sait pas comment correctement entrer en conflit et exprimer son désaccord exprimera inconsciemment son agressivité interne envers son mari/femme par une jalousie accrue et/ou une liaison. Cette personne n’est pas capable de respecter la volonté d’autrui et imposera activement son opinion et sa volonté.

Au travail, cela peut s’exprimer par des intrigues, des manipulations d’autrui ou des abus de pouvoir.

Comment corriger l'agressivité d'un enfant ? Que doivent faire les parents d’un enfant agressif ?

Apprenez à parler à votre enfant. Expliquez que lorsqu'il est en colère, il peut lancer son agressivité sur un objet inanimé (oreiller, matelas).

Inscrivez votre enfant dans une section sportive pour une expression saine de l'agressivité. Il est conseillé à l'enfant de le choisir lui-même.

Embrassez votre enfant plus souvent, montrez votre amour et votre attention. Apprenez à votre enfant à parler : de sa joie, de sa douleur, de ses expériences. Un enfant qui reçoit un soutien psychologique de ses parents est capable d'exprimer verbalement ses sentiments. Il n'aura pas à exprimer son agressivité par d'autres moyens.