Les guerrières, les Amazones Antiope et Hippolyta, appartenaient-elles réellement à une société matriarcale disparue ? Ou s’agit-il simplement de personnages fictifs représentés dans les mythes de la Grèce antique ? Les histoires de belles guerrières assoiffées de sang filant comme des éclairs sur des champs de bataille arides ont été racontées et répétées depuis plus de mille ans par de nombreuses cultures à travers le monde.

Les mythes grecs regorgent d'histoires sur les Amazones, leurs exploits, leurs histoires d'amour et leurs batailles avec les dieux de l'Olympe - Zeus, Ares et Héra. Les guerriers amazoniens sont morts sur les champs de bataille de la guerre de Troie. Homère Et Hippocrate décrit ces femmes guerrières cruelles, tout comme l'historien grec Hérodote.

Le royaume ouest-africain du Dahomey comptait une légion de soi-disant mercenaires. Amazones qui ont pu conquérir les villes du roi Agadja tout au long des années 1600. Comme le disent les légendes, le fleuve sud-américain Amazone a été nommée par le voyageur espagnol Francisco de Orellana en l'honneur de la tribu de guerrières qu'il a rencontrée sur ses rives.

Selon la mythologie grecque, les Amazones étaient les descendantes du dieu de la guerre Arès et de la nymphe des mers Harmonie. Ils adoraient Artémis, la déesse de la chasse, et le territoire où vivaient les Amazones a toujours été une question controversée. Hérodote croyait que ces femmes guerrières vivaient dans les vastes steppes du sud de la Russie. Selon d'autres légendes, les Amazones vivaient en Thrace ou le long de la crête du Petit Caucase, au nord de l'Albanie du Caucase. La rivière Fermodon, située en Asie Mineure, aujourd'hui la côte turque de la mer Noire, peut être considérée comme l'habitat des Amazones le plus fréquemment mentionné.

Habitat amazonien sur la carte 1770

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La société amazonienne était strictement matriarcale. Les hommes étaient utilisés par les femmes guerrières uniquement comme engrais et comme esclaves pour effectuer les tâches ménagères des femmes. L'apparence des hommes était spécialement défigurée afin d'empêcher les émeutes contre leurs maîtresses et de stopper toute tentative de fuite. Si des bébés mâles naissaient dans la tribu amazonienne, ils étaient soit donnés aux tribus voisines, soit complètement tués.

Dès leur plus jeune âge, les Amazones ont été formées aux métiers de la guerre. Certaines légendes racontent qu'à l'adolescence, le sein droit de la jeune Amazone était cautérisé ou complètement enlevé par sa mère, afin qu'une fois adulte, elle puisse manier un arc et lancer des lances avec plus d'adresse. Cependant, cette légende est réfutée par les experts qui affirment que les Amazones n'avaient pas suffisamment de connaissances dans le domaine de la médecine et ne pourraient pas empêcher des saignements importants ni guérir les infections si de telles blessures radicales se produisaient réellement.

Selon des mythes anciens, les Amazones furent les premières à apprivoiser les chevaux et à apprendre à les monter. C'étaient des guerriers intrépides et expérimentés, tant à cheval qu'en tant qu'infanterie, et étaient considérés comme les principaux ennemis de l'armée grecque. Les Amazones se consacraient à d'interminables heures d'entraînement à l'art de la guerre et utilisaient diverses armes, notamment des arcs, des lances et des haches de combat à deux mains.

L'un des mythes grecs les plus anciens sur les Amazones raconte l'histoire du roi Eurysthée, qui ordonna à Hercule de voler une ceinture d'or à la reine Hippolyta, un cadeau du dieu Arès. Au lieu d'attaquer l'armée située à l'extérieur de leur ville, les Amazones, au contraire, les reçurent très hospitalièrement. Hippolyte et Hercule tombèrent amoureux l'un de l'autre. La déesse jalouse Junon, qui aimait elle-même Hercule, répandit des mensonges sur les Grecs comme s'ils avaient une arrière-pensée pour kidnapper la reine amazonienne et exiger une rançon pour elle. Une bataille sanglante s'ensuivit, avec de nombreuses victimes des deux côtés, mais finalement Hercule fut victorieux et retourna en Grèce avec la ceinture d'Hippolyte.

Cependant, malgré les nombreux contes et mythes, il existe aujourd’hui de nombreuses preuves archéologiques concrètes de l’existence réelle des Amazones. La plupart des histoires sur ces femmes guerrières ont été immédiatement rejetées par les experts comme de pures hypothèses ou des vœux pieux, y compris les notes d'Hérodote, qui prétend que les Amazones vivaient en Russie et avaient peut-être un lien avec la race des anciens Scythes. Cependant, de récentes fouilles menées par des archéologues russes ont fourni de nouvelles informations et pourraient même prouver qu’Hérodote avait peut-être raison.

Les Scythes étaient un peuple de guerriers nomades à cheval, dont les origines restent encore un mystère, qui vivaient en Asie centrale aux alentours des VIe-VIIIe siècles. Colombie-Britannique Selon les informations disponibles aujourd'hui, leurs guerriers avaient des tactiques militaires plus rusées que Gengis Khan lui-même, qui, des siècles plus tard, fut capable de conquérir la moitié du monde.

Mais les Scythes étaient analphabètes, ils n'ont laissé aucune langue ni aucune autre trace dans l'histoire, à l'exception des grands monticules ronds et des ruines pillées que l'on trouve dans les steppes russes. Les archéologues russes ont réussi à retrouver plusieurs tumulus non pillés, mais peu d'entre eux contiennent les restes de ce que les experts pensent être la noblesse scythe. Ces tombes contiennent également de nombreux objets en or étonnants, tels que divers bijoux, coupes, armes, armures et bien d'autres objets qui reflètent la vie des Scythes.

Hérodote a décrit les Scythes comme une race extrêmement barbare et assoiffée de sang, dont les représentants écorchaient leurs adversaires vaincus et fabriquaient des coupes à partir de leurs crânes. Les funérailles des Scythes furent très pompeuses et sanglantes. L'épouse d'un guerrier tombé au combat et toute sa famille ont été tuées par des membres de la tribu et placées à l'intérieur du monticule pour servir dans l'au-delà. Des dizaines des meilleurs chevaux ont été tués et placés verticalement autour du monticule.

De nouveaux tumulus récemment découverts à proximité du village de Pokrovka contiennent les restes de femmes qui, selon certaines informations, pourraient appartenir à une famille noble. Ils ont été enterrés en tenue militaire complète et avec un ensemble d'armes et d'autres objets militaires. Les os des jambes de l'une des femmes avaient une forme incurvée, ce qui permettait aux experts de supposer qu'elle passait beaucoup de temps à monter à cheval. L'autre squelette avait une flèche dans le haut de la poitrine, ce qui peut indiquer que la femme aurait pu mourir au combat.

Cette preuve étonnante semble confirmer les premières théories d'Hérodote selon lesquelles, dans certaines cultures, les femmes étaient tenues en plus haute estime que les hommes et qu'en combat et en équitation, elles n'avaient pas d'égal. D’autres sites funéraires mystérieux ont également été récemment découverts en Chine, datant de 2 000 ans ou plus.

Les restes et les artefacts trouvés dans ces monticules suggèrent que dans d'autres cultures, les femmes auraient pu occuper des positions sociales puissantes et des postes militaires élevés. Chacune de ces femmes retrouvées dans les tumulus lors de récentes fouilles pourrait en effet être l'Amazone mythique de la légende grecque. Jusqu’à présent, en vérité, aucune des théories n’a de preuve directe. Mais quels que soient les résultats, les recherches se poursuivront et, peut-être, la vérité sera clarifiée.

Amazones

Pour la première fois, des informations sur les femmes guerrières, appelées plus tard Amazones, sont apparues parmi les historiens de la Grèce antique (hellénique). Pendant de nombreux siècles, les légendes sur les femmes amazoniennes ont inquiété les personnes instruites, hommes et femmes. Au fil du temps, ces légendes se sont remplies de fictions de toutes sortes, ont été grandement embellies et les Amazones sont devenues les héroïnes de nombreuses œuvres artistiques et littéraires, y compris de science-fiction. Pour les femmes, c'est un symbole - un symbole d'indépendance féminine, un modèle, parfois littéralement, et pour les hommes - un modèle de beauté et d'attractivité. Il est donc curieux de savoir ce qui s’est passé et si cela s’est réellement produit.

En particulier, après la guerre de Troie, un détachement d'Amazones est apparu sur le territoire des Scythes. Au cours de cette guerre, selon Hérodote, certaines Amazones furent capturées et les Grecs les envoyèrent sur trois navires. Mais ce n’était pas le cas ! Les Amazones se sont rebellées, ont tué les guerriers grecs et les équipages des navires et, emportées par le courant et les vents, ont navigué vers le rivage, débarquant sur les terres scythes à un endroit appelé Kremny, perdu depuis des siècles. Là, ils volèrent les chevaux des Scythes et, armés des armes des Grecs tués, commencèrent à piller le pays des Scythes.

Après consultation, les Scythes décidèrent d'envoyer chez les Amazones un groupe de leurs jeunes hommes, en nombre égal au nombre d'Amazones, mais non pas pour les engager dans la bataille, mais pour camper à proximité. Après s'être assurés qu'il n'y avait aucun danger pour eux de la part des extraterrestres, les Amazones ne les ont pas attaqués. Combien de temps cela a pris, mais les Amazones ont commencé à entrer en contact avec les jeunes Scythes et ont même maîtrisé leur langue. Les jeunes Scythes ont appelé les Amazones à rejoindre leur tribu, mais les Amazones n'ont pas accepté et ont commencé à vivre seules. Ainsi, un nouveau peuple est apparu sur le territoire des Scythes - les Sauromates, qui parlaient une langue scythe déformée. Cette légende a été relativement récemment confirmée lors des fouilles de tumulus scythes dans les territoires adjacents de la Russie et du Kazakhstan, où, entre autres, des sépultures de femmes portant des armures et des armes militaires ont été découvertes. Les mêmes sépultures ont été trouvées dans le Caucase et dans la région nord de la mer Noire, où les femmes étaient enterrées avec des armes et même des harnais de chevaux.

L'histoire de l'apparition des Amazones sous les murs d'Athènes est associée au nom de l'ancien héros grec Thésée (Thésée). Cette histoire a été racontée par Plutarque. Au cours d'un de ses voyages le long du Pont Auxinus (mer Noire), Thésée navigua jusqu'aux rives du pays des Amazones et y débarqua, où il fut accueilli très hospitalièrement. Il paya cette hospitalité par une noire ingratitude, tombant amoureux de la reine amazonienne Antiope et l'emmenant sur son bateau pour Athènes. Pour libérer leur reine, les Amazones se rendirent par voie terrestre jusqu'à Athènes et assiégèrent la ville. Le siège dura 4 mois et se termina par une bataille contre les murs de l'Acropole, sans résultat pour les deux camps. Par conséquent, une trêve fut conclue et les Amazones rentrèrent chez elles. Ils ne relâchèrent pas Antiope parce qu'elle combattit aux côtés des Grecs et mourut au combat. Ce sont des choses qui se sont produites dans les temps anciens : on ne sait pas exactement pourquoi ils se sont battus.

Il existe en Ukraine des tombes contenant des squelettes de femmes enterrées avec des armes. Ils ont vécu à l'époque où les Grecs racontaient encore des légendes séculaires sur le peuple des femmes guerrières, mais ils les considéraient déjà comme de la fiction. Grâce à ces découvertes, les archéologues ont de nouveau soulevé la question des Amazones. Peut-être ont-ils encore existé autrefois ? Dans le sud-est de l’Ukraine moderne, à travers la grande steppe d’Eurasie, des hordes de nomades, des personnes de différents groupes ethniques et cultures, ont erré pendant des milliers d’années. Mais la nature dure leur dictait un mode de vie unique.

Des gens robustes montés sur des chevaux robustes ont conduit leur bétail toute leur vie, ont mangé leur viande et ont bu le lait des juments. Désormais, seules les collines de la steppe sont les témoins silencieux de leur passé. Ce sont les lieux de sépulture du peuple ancien, les Sarmates, qui n'ont trouvé une demeure permanente qu'avec la mort. Dans ces sépultures, appelées tumulus, peu de gens s'attendaient à trouver une confirmation des mythes grecs anciens. Les Sarmates, qui parcouraient ici au 1er millénaire avant JC. e., n'a laissé ni sources écrites ni bâtiments. Tout ce que nous savons à leur sujet provient de tombes ou est lu par l'historien grec Hérodote, mais ses informations ont toujours été considérées comme des légendes.

Les Amazones, les ennemis féroces des anciens Grecs, étaient partout représentées par eux comme une tribu de femmes sauvages, à tel point qu'elles ne connaissaient les hommes que pour la procréation et osaient même un jour attaquer Athènes. Mais plus tard, tout le monde considérait cela comme une fable. « Qui croira », disait ironiquement le géographe grec Strabon : - qu'autrefois il pouvait y avoir une armée de femmes, créée sans la participation des hommes, et coordonnée de telle sorte qu'elle pillait les terres des peuples voisins, dire cela revient à dire qu'à cette époque les maris jouaient le rôle d'épouses, et les épouses jouaient le rôle de maris. ». De nombreuses informations sur les Amazones n'étaient pas incluses dans la science, mais elles ont fourni une riche nourriture pour le travail des dramaturges de tous genres - des comédies aux tragédies. Au XXe siècle, les Amazones sont apparues sur scène et dans la fiction. Mais chaque fois que des sépultures de femmes armées sont découvertes dans la steppe, le mythe à leur sujet est involontairement rappelé. Et déjà depuis leurs tombes, les Amazones semblent se battre à nouveau – pour leur place dans l’histoire du monde. Je me demande ce que Strabon et d’autres sceptiques diraient de ces tombes ?

Les archéologues nationaux connaissent depuis longtemps les cimetières de femmes dans les steppes d'Ukraine et de Russie, où ils ont trouvé non seulement des bijoux en or et en argent, mais également du matériel militaire. Mais ils n'ont pas relié ces sépultures aux Amazones jusqu'à ce qu'un groupe multinational d'archéologues d'Europe occidentale et des États-Unis soit venu ici. Dans un monde où les hommes combattaient, l’image du guerrier semblait absurde. Certains envisageaient même le rituel des armes, pour combattre dans un autre monde, pas dans celui-ci. Mais les squelettes de femmes indiquent autre chose - il y a des crânes avec des traces de coups coupés et poignardés, il y a des humérus avec des pointes de flèches qui en dépassent...

En essayant d'imaginer des nomades sauvages galopant rapidement à travers la steppe, vous vous souvenez involontairement de Gengir Khan et des hordes de Mongoloïdes, mais les Sarmates étaient européens. Les Grecs, habitués à combattre à pied en formation serrée, considéraient les cavaliers armés d'arcs comme des lâches, mais ils les obligeaient à admettre que leurs attaques étaient meurtrières. Presque toutes les légendes sur la bataille avec les Amazones se terminent par la mort ou l'humiliation d'une guerrière belle mais féroce qui a osé mesurer sa force avec le héros grec. Mais chez Hérodote, au contraire, les Amazones gagnaient plus souvent. Elles ont pris pour mari d’anciens opposants et ont partagé avec elles les difficultés de la vie nomade et des guerres. Ces femmes sont très importantes pour nous car elles représentent une formation sociale qui n’a jamais été documentée auparavant.

Il existe de nombreux lieux de sépulture dans les steppes ukrainiennes, notamment des tumulus. Au fil de plusieurs saisons, les archéologues en ont déjà fouillé une centaine, hommes et femmes également. Il y a des tombes de différentes tribus qui sont venues ici les unes après les autres. À un moment donné, sont apparues ici des tribus dont les guerriers étaient des femmes, très semblables à celles qui, selon Hérodote, vivaient dans les steppes au nord de la mer Noire. S’il y a une abondance d’objets de toutes sortes dans les tombes des femmes, il n’y en a presque pas dans les tombes des hommes. Dans une tombe masculine, seul un pot a été trouvé ; dans plusieurs autres, des hommes ont été enterrés avec un enfant dans les bras...

La pauvreté des tombes des hommes suggère en outre le matriarcat. Les résultats des fouilles sont tout simplement étonnants. Grâce à eux, les légendes ont trouvé une base réelle et les notes d'Hérodote sur les Amazones ont été confirmées. Selon Hérodote, les Amazones vivaient au VIe siècle avant JC. e., et ces dernières tombes appartenaient à la période du IVe au IIe siècle avant JC. e. Ainsi, plus de deux siècles se sont écoulés depuis les Amazones d'Hérodote jusqu'à celles enterrées dans les dernières tombes ouvertes, et le patriarcat régnait déjà dans les tribus décrites dans les mythes de la Grèce antique. En trois siècles, les femmes des steppes ont perdu le pouvoir et celui-ci est passé à leurs fils et petits-fils.

Peut-être que les coupables de ce changement étaient des captifs mâles qui ne voulaient pas supporter leur nouveau rôle et à qui les Amazones confiaient l'éducation de leurs enfants. Aujourd'hui, après la découverte des archéologues, il est clair que les Amazones existaient, que de telles femmes vivaient sur terre, et les mythes à leur sujet sont devenus encore plus attrayants. Pour la première fois, il a été possible de trouver sur le terrain des preuves matérielles de l'existence d'une formation dans la société comme la tribu amazonienne. C'était parmi les peuples nomades qui vivaient dans ces steppes. Ici, les femmes gouvernaient, gardaient le bétail, gardaient les troupeaux et, si nécessaire, se battaient pour leurs terres, les armes à la main. Grâce à ces découvertes, la bonne réputation d'Hérodote fut restaurée, car on l'appelait non seulement le père de l'histoire, mais aussi le père de la fiction pour ses histoires sur toutes sortes de choses exotiques comme les Amazones. En une douzaine d’années de fouilles, les archéologues ont prouvé qu’Hérodote avait raison.

Au XIIe siècle. Colombie-Britannique Après la bataille des Elènes avec les Amazones lors de la guerre de Troie, les Elènes les capturèrent et les transportèrent sur trois navires. Mais les Amazones tuèrent tous les guerriers grecs. Ne sachant pas comment diriger les navires, ils, emportés par les vagues et le vent, arrivèrent sur les rives du lac Méotie et débarquèrent sur la terre des Scythes libres près de certains Kremni. Après avoir volé un troupeau de chevaux aux Scythes, les Amazones commencèrent à piller le pays.

« Les Scythes ne pouvaient pas comprendre », écrit Hérodote, « quel était le problème : après tout, ils ne connaissaient ni la langue, ni les vêtements, ni la tribu elle-même et ne savaient pas d'où ils venaient ; Les Amazones étaient des hommes jeunes et, par conséquent, elles entrèrent en bataille avec elles. Lorsque les Scythes prirent possession des cadavres laissés après la bataille, ils apprirent ainsi qu'elles étaient des femmes, après consultation, ils décidèrent de ne plus les tuer, mais. pour leur envoyer leurs plus jeunes hommes, à peu près le même nombre. Il y avait des Amazones qui devaient camper près d'eux et faire la même chose que si les Amazones commençaient à les poursuivre, alors elles ne devraient pas s'engager dans la bataille. quand ils s'arrêteraient, ils devraient s'approcher des Scythes. Ils voulaient que des enfants naissent de ces femmes. Lorsque les Amazones se rendirent compte qu'elles étaient venues sans aucune mauvaise intention, elles ne le firent pas. faites attention à eux et chaque jour les Scythes rapprochaient leur camp du camp amazonien. Les jeunes hommes, comme les Amazones, n'avaient que des armes et des chevaux et menaient le même mode de vie qu'eux, se livrant à la chasse et au vol. Les Amazones ont fait ce qui suit à midi. Ils se dispersèrent par groupes de deux, s'éloignant les uns des autres pour répondre à leurs besoins naturels.

Ayant appris cela, les Scythes commencèrent à faire de même. Et quelqu'un s'est approché de l'un d'eux, qui est resté seul, et l'Amazone ne l'a pas repoussé, mais lui a permis de communiquer avec elle. Et elle ne pouvait pas le dire (après tout, ils ne se comprenaient pas), mais elle indiqua par des gestes que le lendemain il devrait venir au même endroit et en amener un autre, indiquant qu'ils étaient deux et qu'elle amènerait aussi l'autre. Le jeune homme partit et raconta cela aux autres. Le deuxième jour, il vint lui-même au même endroit, en amena un autre et trouva l'Amazone qui attendait avec l'autre. Lorsque les autres garçons l'ont découvert, ils ont également apprivoisé le reste des Amazones. Et puis, après avoir unifié les camps, ils commencèrent à vivre ensemble, chacun ayant la femme avec laquelle il avait noué une relation dès le début. Les hommes ne pouvaient pas apprendre la langue des femmes, mais les femmes apprenaient la langue des hommes. Et après s'être compris, les hommes dirent aux Amazones ce qui suit : "Nous avons des parents, nous avons aussi des biens. Désormais, nous ne mènerons plus un tel style de vie, mais nous vivrons, étant allées vers notre peuple, vous serez nos épouses, et aucune autre femme.". A cela ils répondirent ce qui suit :
« Nous ne pourrions pas vivre avec vos femmes, parce que nous et elles avons des coutumes différentes.

Nous tirons des flèches, lançons des fléchettes et montons à cheval, mais nous ne sommes pas formées au travail des femmes. Et vos femmes ne font rien de ce que nous avons énuméré, mais restant sur les charrettes, elles font un travail de femme, sans aller à la chasse ni nulle part. Nous ne pouvons donc pas nous entendre avec eux. Mais si tu veux que nous soyons tes épouses et que tu puisses te considérer comme juste, alors quand tu viendras chez tes parents, tu recevras ta part des biens et ensuite, à ton retour, nous vivrons seuls.

Les Sauromates utilisent la langue scythe, mais ils la parlent depuis longtemps avec des erreurs, car les Amazones l'ont mal apprise. Concernant le mariage, ils ont établi ce qui suit : aucune fille ne se marie avant d'avoir tué un homme parmi ses ennemis. Certains d’entre eux, incapables d’accomplir la coutume, meurent très âgés avant de se marier. »

Les mythes et légendes sur les Amazones sauvages - des femmes qui formaient une tribu distincte, vivaient selon les règles du matriarcat et combattaient avec les hommes - existent depuis l'Antiquité...

Qui est une femme amazonienne ? Mythe ou réalité ?

De Masterweb

Les mythes et légendes sur les Amazones sauvages - des femmes qui formaient une tribu distincte, vivaient selon les règles du matriarcat et combattaient avec les hommes - existent depuis l'Antiquité. Les fouilles archéologiques confirment ce fait, mais les controverses sur l'authenticité de l'existence d'une société militante composée exclusivement de représentants de la gent féminine ne s'apaisent pas.

Mythes et légendes

Selon la mythologie grecque antique, le royaume des Amazones, des guerrières, existait depuis quelque temps sur le territoire de la Libye, au bord de la mer Méditerranée. La raison pour laquelle elles vivaient séparées des hommes n'était pas claire, mais pendant longtemps elles se débrouillèrent seules. Certaines sources parlent d'une tribu nomade de femmes, d'autres - de l'existence d'un royaume dirigé par la reine des Amazones.

Leurs principales occupations étaient : la chasse pour se nourrir, les guerres avec les tribus voisines pour l'enrichissement. Selon d'anciennes légendes, les Amazones sont issues de l'union du dieu Ares (ou Mars) et de sa fille Harmony, et les guerriers eux-mêmes adoraient la déesse Artémis, une vierge chasseresse.

L'un des travaux d'Hercule était une tâche au cours de laquelle il devait prendre aux filles guerrières une ceinture magique, destinée à servir de rançon pour le retour de la fille de la reine Antiope.

Tribus de femmes amazoniennes : vie et reproduction

D'après l'opinion exprimée au Ve siècle. Colombie-Britannique Selon l’historien grec Hérodote, un tel État matriarcal existait sur les rives du lac. Méotides (territoire moderne de Crimée). Ils construisirent plusieurs villes, dont Smyrne, Sinop, Éphèse et Paphos.

La principale occupation des Amazones était de participer à des guerres et à des raids contre leurs voisins, et elles maniaient avec une grande habileté un arc, une double hache de combat (labrys) et une épée raccourcie. Les guerriers fabriquaient leur propre casque et leur armure.

Mais pour avoir des enfants, à des fins de reproduction, une tribu de femmes amazoniennes a déclaré une trêve chaque année au printemps et a organisé des rencontres avec des hommes des terres frontalières, avec lesquels elles ont ensuite payé 9 mois plus tard avec les bébés garçons nés. .

Mais selon une autre version, un sort plus triste attendait les nouveau-nés mâles : ils étaient soit noyés dans la rivière, soit mutilés afin de pouvoir être utilisés comme esclaves à l'avenir. Les filles nouveau-nées étaient laissées dans la tribu et élevées comme de futures guerrières censées manier toutes les armes disponibles. Ils ont également appris des techniques de chasse et d'agriculture.

Pour qu'à l'avenir, en tirant un arc au combat, leur sein droit ne soit pas gêné, ils l'ont fait brûler dans leur enfance. Selon une version, le nom de la tribu vient de mazos, c'est-à-dire « sans poitrine », selon une autre - de ha-mazan, qui est traduit de l'iranien par « guerriers », selon la troisième - de masso, signifiant « intouchable ». ».

Guerre avec Dionysos

Les victoires au combat de la tribu amazonienne les ont tellement glorifiés que même le dieu Dionysos a décidé de conclure une alliance avec eux afin qu'ils l'aident à combattre les Titans. Après la victoire, il déclencha insidieusement une guerre contre eux et les vainquit.

Les quelques femmes survivantes purent se cacher dans le temple d'Artémis puis s'enfuir vers l'Asie Mineure. Là, ils se sont installés sur la rivière Fermodon, créant un immense empire. Après avoir participé à plusieurs guerres, les femmes amazoniennes se sont emparées de la Syrie et ont atteint l'île de Crimée. Beaucoup d'entre eux ont participé au siège de la célèbre Troie, au cours duquel l'ancien héros grec Achille a tué leur reine.

Au cours des batailles avec les Grecs, l'ennemi a réussi à capturer plusieurs filles captives et, les ayant chargées sur un navire, a voulu les emmener dans leur pays d'origine pour une démonstration. Cependant, en cours de route, des guerrières ont attaqué le navire et tué tout le monde. Mais en raison du manque de compétences en navigation, les Amazones ne pouvaient naviguer qu'avec le vent et finissent par s'échouer sur les rives de l'ancienne Scythie.

Éducation de la tribu sarmate

Après s'être installés dans un nouvel endroit, les guerriers ont commencé à piller les colonies et à emporter du bétail, tuant les résidents locaux. Les guerriers scythes étaient très fiers et considéraient donc que faire la guerre aux femmes guerrières était une occupation indigne. Ils ont agi différemment : ils ont rassemblé leurs meilleurs guerriers et les ont envoyés capturer des femmes sauvages afin d'en tirer ensuite une bonne progéniture. La chance les attendait, après quoi un nouveau peuple de Savramats ou Sarmates au physique héroïque est né.

La vie de la tribu des femmes amazoniennes était active dans les campagnes militaires et la chasse, et elles portaient des vêtements pour hommes. Et les hommes locaux étaient affectés aux tâches ménagères : cuisine, ménage, etc. Les Sarmates avaient une tradition intéressante : les filles ne pouvaient se marier qu'après avoir tué tout représentant de la moitié la plus forte, mais elles trouvaient généralement des victimes dans les tribus voisines.

Homère et Hérodote à propos des Amazones

Selon les historiens, le grand penseur antique Homère, qui a créé les célèbres œuvres « Iliade » et « Odyssée », a également écrit sur le pays amazonien. Cependant, ce poème n’a pas survécu. Les mythes grecs sont confirmés par des amphores antiques et des bas-reliefs décorés de dessins de femmes amazoniennes (photo ci-dessous). Seulement dans toutes les images, les belles guerrières ont à la fois des seins et des muscles suffisamment développés. Les Amazones sont également mentionnées dans le conte des Argonautes, mais là Homère les montre comme des furies répugnantes.

Selon Hérodote, après avoir participé à la guerre de Troie, les Amazones tombèrent aux mains des Scythes et formèrent la tribu sarmate, dans laquelle les femmes et les hommes avaient des droits égaux. Les légendes leur attribuent non seulement une excellente maîtrise des armes, mais aussi la capacité de rester en selle et un sang-froid incroyable. Les Scythes et les Sarmates, selon Hérodote, combattirent ensemble au Ve siècle. Colombie-Britannique e. contre le roi Darius.

L'historien romain Déodore était d'avis que les femmes amazoniennes étaient les descendantes des anciens Atlantes et vivaient dans l'ouest de la Libye.

Données archéologiques

De nombreuses découvertes réalisées par des historiens dans différentes parties du monde confirment d'anciennes légendes sur l'existence de femmes amazoniennes non seulement en Grèce, mais également dans d'autres pays et continents.

Ainsi, en 1928, sur les rives de la mer Noire, dans la colonie de Zemo Akhvala, la sépulture d'un ancien dirigeant en armure et en armes a été découverte. Après des recherches, il s'est avéré qu'il s'agissait d'une femme, après quoi beaucoup ont supposé que la reine des Amazones avait été retrouvée.

En 1971, sur le territoire de l'Ukraine, les sépultures d'une femme et d'une fille ont été retrouvées, luxueusement habillées et richement décorées. La tombe contenait de l'or, des armes et les squelettes de 2 hommes qui ne sont clairement pas morts de maladie. Selon les scientifiques, les restes appartenaient à une autre reine avec sa fille et ses esclaves sacrifiés.

Dans les années 1990. Lors de fouilles au Kazakhstan, des sépultures anciennes similaires de femmes guerrières ont été découvertes, remontant à plus de 2,5 mille ans.

Une autre sensation dans le monde scientifique a été la dernière découverte en Grande-Bretagne, lorsque les restes de guerrières ont été retrouvés à Brougham (Cumbria). Ils sont clairement venus d’Europe. Selon des scientifiques anglais, les femmes combattaient dans les rangs de l’armée romaine. Selon eux, des tribus de femmes amazoniennes vivaient en Europe de l’Est entre 220 et 300 après JC. e. Après leur mort, ils étaient cérémonieusement brûlés vifs avec leur équipement et leurs chevaux de guerre. Leur origine provient du territoire des États actuels d'Autriche, de Hongrie et de l'ex-Yougoslavie.

Amérique : la vie tribale des femmes amazoniennes

Des histoires de femmes guerrières sauvages racontent également leur découverte par Christophe Colomb après la découverte du continent américain. Après avoir entendu les histoires des Indiens locaux sur une tribu de femmes guerrières, le grand navigateur a tenté de les capturer sur l'une des îles, mais n'y est pas parvenu. En souvenir de cet incident, le nom a été donné aux Îles Vierges (traduit par « Îles des Vierges »).

Conquistador espagnol P. de Orellana débarqua en 1542 sur les rives d'un immense fleuve d'Amérique du Sud, où il rencontra une tribu de femmes sauvages amazoniennes. Les Européens ont été vaincus dans la bataille contre eux. Certains scientifiques suggèrent que l'erreur est due aux cheveux longs des Indiens locaux. Cependant, c'est en souvenir de cet incident que le fier nom a été donné au fleuve le plus majestueux du continent américain - l'Amazone.

Amazones africaines

Ce phénomène unique dans l'histoire du monde - la tribu des femelles Terminators du Dahomey - vivait sur le continent africain au sud du Sahara, sur le territoire de l'État moderne du Bénin. Elles s’appelaient N’Nonmiton ou « nos mères ».

Les Amazones africaines, des guerrières, faisaient partie des troupes d’élite qui défendaient leur dirigeant dans le royaume du Dahomey, pour lequel les colonialistes européens les appelaient Dahomey. Une telle tribu s'est formée au XVIIe siècle. pour chasser les éléphants.

Le roi du Dahomey, ravi de leur talent et de leur réussite, les nomma gardes du corps. L'armée N'Nonmiton a existé pendant 2 siècles, au XIXème siècle. Le corps militaire féminin comptait 6 000 soldats.

La sélection pour les rangs des guerrières a eu lieu parmi des filles de 8 ans, à qui on a appris à être fortes et impitoyables, ainsi qu'à résister à toute douleur. Ils étaient armés de machettes et de mousquets hollandais. Après de nombreuses années d’entraînement, les Amazones africaines sont devenues des « machines de combat », capables de combattre avec succès et de couper la tête des vaincus.

Pendant qu'ils servaient dans l'armée, ils ne pouvaient ni se marier ni avoir d'enfants et restaient chastes, étant considérés comme mariés au roi. Si un homme attaquait une femme guerrière, il était tué.

La mission britannique en Afrique de l'Ouest est fondée en 1863 ; puis arrive au Dahomey le scientifique R. Barton, qui va faire la paix avec les autorités locales. Pour la première fois, il a pu décrire la vie de la tribu des femmes amazoniennes du Dahomey (photo ci-dessous). Selon ses informations, cela constituait pour certains guerriers l'occasion d'acquérir de l'influence et de la richesse. Le chercheur anglais S. Alpern a écrit un grand traité sur la vie des Amazones.

Fin du 19ème siècle. Le territoire était occupé par les colonialistes français, dont les soldats étaient souvent retrouvés morts le matin, la tête coupée. La Seconde Guerre franco-dahoméenne se termine par la capitulation de l'armée du roi et la plupart des Amazones sont tuées. Son dernier représentant, une femme nommée Navi, qui avait alors plus de 100 ans, est décédée en 1979.

Tribus féminines sauvages modernes

Il existe encore des zones dans la jungle impénétrable du fleuve Amazone où la vie est très différente de la civilisation moderne. Depuis des temps immémoriaux, les gens vivent dans la partie orientale du Brésil, coupés du monde extérieur, mais conservant leurs coutumes et leurs savoir-faire.

Les scientifiques trouvent régulièrement ici non seulement de nouvelles espèces d'animaux et de plantes, mais aussi des colonies de tribus sauvages, qui, selon les chercheurs de l'organisation FUNAI, sont désormais au nombre de plus de 70. Ils chassent, pêchent, récoltent des fruits et des baies, mais ne veulent pas d'entrer en contact avec le monde civilisé, de peur de contracter des maladies inconnues. Après tout, même la grippe ordinaire leur est mortelle.

Les femmes des tribus sauvages d'Amazonie effectuent généralement tout le travail des femmes, s'occupent de la vie quotidienne et élèvent les enfants. Parfois, ils récoltent des baies ou des fruits dans la forêt. Cependant, il existe également des tribus agressives dans lesquelles les femmes, avec les hommes, chassent ou participent à des raids contre les voisins, armées de gourdins et de lances, empoisonnées par le venin de plantes locales ou de serpents.

Il existe également une tribu sauvage Kuna sur l'île de San Blas, près du territoire du Brésil, qui a émigré du continent et vit selon les règles du matriarcat. Les traditions ont été préservées et sont soutenues par les habitants de la colonie avec sévérité et inébranlabilité. À l'âge de 14 ans, les filles sont déjà considérées comme sexuellement matures et doivent choisir leur propre époux. L'homme emménage généralement dans la maison de la mariée. Les principaux revenus de la tribu de l'île proviennent de la collecte et de l'exportation de noix de coco (environ 25 millions de pièces par an) ; ils cultivent également de la canne à sucre, des bananes, du cacao et des oranges. Mais ils vont sur le continent pour chercher de l’eau douce.

Les Amazones dans l'art et le cinéma

Les femmes guerrières occupent une place importante dans l’art de la Grèce antique et de Rome ; leurs images se retrouvent sur la céramique, la sculpture et l’architecture. Ainsi, la bataille des Athéniens et des Amazones est représentée dans le bas-relief en marbre du Parthénon, ainsi que dans les sculptures du mausolée d'Halicarnasse.

Les activités préférées des femmes guerrières sont la chasse et la guerre, et leurs armes sont un arc, une lance et une hache. Pour se protéger de l'ennemi, ils ont mis un casque et ont pris dans leurs mains un bouclier en forme de croissant. Comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessus, les maîtres anciens représentaient des femmes amazoniennes à cheval ou à pied, en bataille avec un centaure ou des guerriers.

À la Renaissance, ils ressuscitent à nouveau dans les œuvres du classicisme et de la poésie baroque, des peintures et des sculptures. Des intrigues de batailles avec d'anciens guerriers sont présentées dans les œuvres de J. Palma, J. Tintoretto, G. Rennie et d'autres artistes. Le tableau de Rubens "La bataille des Grecs avec les Amazones" les montre dans une bataille sanglante à cheval avec des hommes. Et des copies de la sculpture originale « L'Amazonie blessée » sont célèbres dans le monde entier et sont conservées dans les musées du Vatican et des États-Unis.

La vie et les exploits des Amazones ont inspiré des écrivains et des poètes : Tirso de Molina, Lope de Vega, R. Granier et G. Kleist. Aux XXe et XXIe siècles, ils s’implantent dans la culture populaire : cinéma, dessins animés et bandes dessinées du genre fantastique.

Le cinéma contemporain confirme la popularité du thème des femmes amazoniennes. De belles et courageuses filles guerrières sont présentées dans les films : « Amazones de Rome » (1961), « Pana - Reine des Amazones » (1964), « Déesses de la guerre » (1973), « Amazones légendaires » (2011), « Femmes guerrières » (2017), etc.

Le dernier film, sorti en 2017, s'appelle « Wonder Woman » et parle d'une héroïne nommée Diana, la reine des Amazones, dotée d'une force, d'une vitesse et d'une endurance fantastiques. Elle communique librement avec les animaux et porte des bracelets spéciaux pour se protéger, mais elle considère les hommes changeants et trompeurs.

Parmi les femmes modernes, on trouve aussi des « Amazones » intelligentes, instruites et qui rêvent de conquérir le monde. Ils peuvent diriger une grande entreprise et élever des enfants en même temps, et ils traitent les hommes avec condescendance, se laissant aimer.

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