En Ukraine, 5 millions 300 000 civils sont morts aux mains des nazis, 2 millions 300 000 femmes et hommes ukrainiens valides ont été déportés vers l'Allemagne.
Aux mains des forces punitives de Bandera, 850 000 Juifs, 220 000 Polonais, plus de 400 000 prisonniers de guerre soviétiques et 500 000 civils ukrainiens sont morts. 20 000 soldats et officiers de l'armée soviétique et des forces de l'ordre ont été tués, soit environ 4 à 5 000 de leurs propres « soldats » de l'UPA, ce qui n'est pas assez « actif et conscient du niveau national ».
30 juin 1941. Le bataillon Nachtigall, sous le commandement de R. Shukhevych, a fait irruption dans la ville de Lviv à l'aube avec des unités avancées allemandes et a détruit dans les premiers jours plus de 3 000 Polonais de Lviv, dont 70 scientifiques de renommée mondiale. Et en une semaine, le bataillon Nachtigal de R. Shukhevych a brutalement détruit environ 7 000 civils, notamment des enfants, des femmes et des personnes âgées. Dans la cour de la cathédrale Saint-Youra, le métropolite Andrei Sheptytsky a célébré un service en l'honneur de « l'invincible armée allemande et de son principal chef Adolf Hitler ». Avec la bénédiction du chef de l'Église gréco-catholique ukrainienne, l'extermination massive de civils en Ukraine a commencé par les Bandera, les Nachtigalevites, les Upovites et les soldats de la division SS Galicia. 
R. Choukhevych.
Créé au début de la Grande Guerre patriotique par un agent de l'Abwehr, membre de la branche régionale de Tchernivtsi de l'OUN Voinovsky, le Bukovinsky kuren (environ 500 personnes) arriva à Kiev le 22 septembre 1941, où il participa à partir du 28 septembre. dans le massacre de personnes innocentes de différentes nationalités à BABIEM YARU. Ensuite, 350 000 personnes ont été privées de la vie, dont 160 000 Juifs, dont 50 000 enfants ! Et non seulement il a participé, mais il a été le principal auteur de ce massacre sanglant. Pour ces atrocités et ce cannibalisme, pour son zèle au service du fascisme, Voinovsky a reçu le grade de major SS.
Parmi les 1 500 forces punitives présentes à Babi Yar, il y avait 1 200 policiers de l'OUN et seulement 300 Allemands ! 
Au début de 1942, le bataillon Nachtigal fut réorganisé en 201e bataillon de police SS et, dirigé par le capitaine Shukhevych, fut envoyé en Biélorussie pour combattre les partisans. Ce sont les Nachtigalites qui ont effacé de la surface de la terre le village biélorusse de KHATYN et le village de Volyn de KORBELISY, dans lesquels ils ont tué et brûlé plus de 2 800 civils, pour la plupart des enfants, des femmes, des personnes âgées et des malades.
Le 9 février 1943, des membres de Bandera du gang de Piotr Netovitch, sous couvert de partisans soviétiques, sont entrés dans le village polonais de Parosle près de Vladimirets, dans la région de Rivne. Les paysans, qui avaient auparavant prêté assistance aux partisans, ont chaleureusement accueilli les invités. Après avoir mangé à leur faim, les bandits ont commencé à violer des femmes et des filles. Avant d'être tués, leur poitrine, leur nez et leurs oreilles ont été coupés. Puis ils ont commencé à torturer le reste des habitants du village. Les hommes étaient privés de leurs organes génitaux avant de mourir. Ils ont terminé à coups de hache sur la tête. 
Deux adolescents, les frères Gorchkevitch, qui ont tenté d'appeler à l'aide de vrais partisans, ont eu le ventre ouvert, les jambes et les bras coupés, les blessures généreusement recouvertes de sel, les laissant à moitié morts pour mourir sur le terrain. Au total, 173 personnes ont été sauvagement torturées dans ce village, dont 43 enfants.
Dans l'une des maisons, sur la table, parmi les restes et les bouteilles de clair de lune inachevées, gisait un enfant mort d'un an, dont le corps nu était cloué aux planches de la table avec une baïonnette. Les monstres lui fourrèrent un concombre mariné à moitié mangé dans la bouche.
Mars 1943. Dans la banlieue de Huta Stepanska, commune de Stepan, comté de Kostopil, des nationalistes ukrainiens ont trompé 18 jeunes filles polonaises qui ont été tuées après avoir été violées. Les corps des filles ont été posés les uns à côté des autres et un ruban a été placé dessus avec l'inscription : « C'est ainsi que doivent mourir les grenouilles ». 
Le 7 mars 1943, dans la région de Terazha (district de Loutsk), les partisans de Bandera capturèrent plusieurs enfants polonais dans un pâturage, qui furent tués dans la forêt voisine.
Le 5 mai 1943, à Lipniki (district de Kostopil), les Upovites ont fracassé la tête de Stasik Pavlyuk, trois ans, contre le mur, en le tenant par les jambes.
Le 8 juin 1943, dans le village de Chertozh-Vodnik (district de Rovno), les Upovites, en l'absence du domicile de leurs parents, ont muselé trois enfants Bronevsky : Vladislav, 14 ans, Elena, 10 ans, et Henry, 12 ans.
Le 11 juillet 1943, pendant le service de Dieu, le village d'Osmigovichi fut attaqué par les Banderaites et tua les croyants. Une semaine plus tard, notre village a été attaqué... Les petits enfants ont été jetés dans le puits, et les grands enfants ont été enfermés dans la cave et remplis. Un membre de Bandera, tenant le bébé par les jambes, s'est cogné la tête contre le mur. La mère de ce bébé a crié jusqu'à ce qu'on lui frappe à la baïonnette.
11 juillet 1943 Village de Biskupichi, commune de Mikulichi, district de Vladimir-Volynsky. Les nationalistes ukrainiens ont commis un massacre en poussant les habitants dans un bâtiment scolaire. Au même moment, la famille de Vladislav Yaskula a été sauvagement assassinée. Les bourreaux ont fait irruption dans la maison alors que tout le monde dormait. Ils ont tué les parents et cinq enfants à coups de hache, les ont tous rassemblés, les ont recouverts de paille de matelas et y ont mis le feu.
Le 11 juillet, à Kalusovo (district de Vladimir), lors d'un massacre, les Upovites ont muselé un enfant de deux mois, Joseph Fili, l'ont déchiré par les jambes et ont posé des parties de son corps sur la table. 
12 juillet 1943 Colonie Maria Volya, commune Mikulichi, district de Vladimir-Volynsky. Vers 15 heures, des nationalistes ukrainiens l'ont encerclée et ont commencé à museler les Polonais à l'aide d'armes à feu, de haches, de couteaux, de fourches et de bâtons. Environ 200 personnes (45 familles) sont mortes. Une trentaine de personnes ont été jetées vivantes dans un puits et là, elles ont été tuées à coups de pierres. Ceux qui couraient étaient rattrapés et achevés. Lors de ce massacre, l'Ukrainien Didukh reçut l'ordre de tuer une Polonaise et ses deux enfants. Lorsqu'il n'a pas obéi à l'ordre, ils l'ont tué, ainsi que sa femme et ses deux enfants. Dix-huit enfants âgés de 3 à 12 ans, qui se cachaient dans les champs de céréales, ont été attrapés par les criminels, mis sur une charrette, emmenés au village de Chestny Krest et là ils ont été tués, transpercés avec des fourches, hachés avec des haches. . L'action était dirigée par Kvasnitsky.
Les 29 et 30 août 1943, sur ordre du commandant du district militaire dit de l'OUN « Oleg » sur
Sur le territoire des districts de Kovel, Lyuboml et Turin de la région de Volyn, plusieurs centaines d'hommes de l'UPA sous la direction de Yuri Stelmashchuk ont massacré toute la population polonaise. Ils ont pillé tous leurs biens et incendié leurs fermes. Au total, dans ces zones, les 29 et 30 août 1943, plus de 15 000 personnes ont été massacrées et abattues par Bandera, parmi lesquelles se trouvaient de nombreuses personnes âgées, femmes et enfants. 
Ils ont rassemblé toute la population au même endroit, l’ont encerclé et ont commencé le massacre. Comme il ne restait plus une seule personne vivante, ils creusèrent de grands trous, y jetèrent tous les cadavres et les recouvrirent de terre. Pour cacher les traces de cette terrible action, nous avons allumé des feux sur les tombes. Ils ont donc complètement détruit des dizaines de petits villages et hameaux..."
À la mi-septembre 1943, les gangs de l'UPA dans les districts de Gorokhovsky et de l'ancien Senkivichsky de la région de Volyn ont tué et poignardé à mort environ 3 000 habitants de nationalité polonaise. Il est caractéristique que l'un des groupes de l'UPA soit dirigé par un prêtre de l'église autocéphale, qui faisait partie de l'OUN, qui a absous les péchés de son troupeau pour les atrocités commises. Les gens ont été étendus au sol en rangées, face contre terre, puis abattus. Une fois de plus, préparant des personnes à être exécutées, l'homme de Bandera a tiré sur un garçon de 3 à 4 ans. La balle a explosé le haut de son crâne. L'enfant s'est levé, s'est mis à crier et à courir d'un côté à l'autre, le cerveau ouvert et palpitant. L'homme de Bandera a continué à tirer et l'enfant a couru partout jusqu'à ce qu'une autre balle le calme...
Le 11 novembre 1943, sur ordre du commandant Laidaki, une centaine (compagnie. Auteur) dirigée par Nedotypolsky va liquider la colonie polonaise de Khvaschevata. La colonie entière a été incendiée, 10 Polonais ont été tués... 45 chevaux ont été pris... 
À l'automne 1943, des soldats de « l'armée des immortels » tuèrent des dizaines d'enfants polonais dans le village de Lozovaya, district de Ternopil. Dans l’allée, ils « décoraient » le tronc de chaque arbre avec le cadavre d’un enfant tué auparavant.
Selon le chercheur occidental Alexander Korman, les cadavres étaient cloués aux arbres de manière à créer l’apparence d’une « couronne ».
Yu.H. de Pologne : « En mars 1944, notre village de Guta Shklyana, commune de Lopatin, a été attaqué par Bandera, parmi eux se trouvait un nommé Didukh du village d'Oglyadov. Ils ont tué cinq personnes et les ont coupées en deux. Une mineure a été violée. »
16 mars 1944 Stanislavchtchina : le groupe « L » et le groupe « Garkusha » au nombre de 30 personnes ont détruit 25 Polonais...
Le 19 mars 1944, le groupe « L » et un groupe militant de district de 23 personnes menèrent une action dans le village. Zelenivka (Tovmachchina). 13 fermes ont été incendiées, 16 Polonais ont été tués. 
Le 28 mars 1944, le groupe de 30 personnes de Sulima détruisit 18 Polonais...
Le 29 mars 1944, le groupe de Semyon liquida 12 Polonais à Pererosl et incendia 18 fermes...
1er avril 1944 Région de Ternopil : tué dans le village. Beloe 19 Polonais, 11 fermes incendiées
2 avril 1944 Région de Ternopil : neuf Polonais et deux femmes juives au service des Polonais sont tuées...
Le 5 avril 1944, le groupe régional de Zaliznyak a mené une action à Porogi et Yablintsi. Six maisons ont été incendiées, 16 Polonais ont été tués...
5 avril 1944 Kholmshchyna : les groupes « Galaida » et « Tigres » mènent une action de liquidation contre les colonies : Gubynok, Lupche, Polediv, Zharnyki... De plus, le groupe d'autodéfense « Lisa » détruit la colonie de Marysin et Radkiv, et le groupe « Orla » - colonies polonaises à Riplyn. Plusieurs dizaines de soldats polonais et de nombreux civils ont été tués. » 
Le 9 avril 1944, le groupe de Nechay est liquidé dans le village. Pasichnaya 25 Polonais...
Le 11 avril 1944, le groupe de Dovbush liquida 81 Polonais à Rafaylov.
14 avril 1944 Région de Ternopil : 38 Polonais tués...
15 avril 1944 au village. Obèses, 66 Polonais ont été tués, 23 fermes ont été incendiées...
Le 16 avril 1944, le groupe de Dovbush fut liquidé dans le village. Vert 20 Pôles...”
Le 27 avril 1944, dans le village d'Ulatsko-Seredkevichi, 55 Polonais et cinq femmes furent tués lors d'un combat régional. Dans le même temps, environ 100 fermes ont été incendiées... Et plus loin dans ce rapport, en détail, avec une précision comptable, sont indiqués des chiffres, plus précisément des déclarations détaillées sur le nombre de Polonais liquidés par le groupe UPA : « Potoki - 3 (places), Lyubich-Koleitsy - 3 (places. )..., Lyubich - 10 (local)..., Tyagliv - 15 (femmes, locales) et 44 (non locales)..., Zabirie - 30 ( local et inconnu), Rechki - 15 ( lieux et inconnus)".
17 avril 1944 Khovkovchtchina : le groupe UPA (Gromova) et les militants de Dovbush détruisent le bastion polonais de Stanislivok. Au même moment, environ 80 Polonais furent liquidés.
19 avril 1944 Lyubachivshchyna : le groupe de l'UPA « Avengers » détruit le village polonais de Rutka, le village est incendié et 80 Polonais sont liquidés...
Du 30 avril 1944 au 12 mai 1944 dans le village. Glibowicz a tué 42 Polonais ; à proximité des villages : Mysyova - 22, Mestechko - 36, Zarubina - 27, Bechas - 18, Nedilyska - 19, Grabnik -19, Galina - 80, Zhabokrug - 40 Polonais. Toutes les actions ont été menées par le district combattant avec l'aide des "Aigles" de l'UPA
Durant l'été 1944, une centaine d'« Igors » rencontrèrent dans la forêt de Paridub un camp de gitans qui avaient fui les persécutions des nazis. Les bandits les ont volés et les ont brutalement tués. Ils les coupaient avec des scies, les étranglaient avec des nœuds coulants et les coupaient en morceaux avec des haches. Au total, 140 Roms ont été tués, dont 67 enfants. 
Une nuit, les hommes de Bandera ont amené toute une famille du village de Volkovia dans la forêt. Ils se sont longtemps moqués des malheureux. Voyant que la femme du chef de famille était enceinte, ils lui ont coupé le ventre, en ont arraché le fœtus et y ont fourré un lapin vivant.
Une nuit, des bandits ont fait irruption dans le village ukrainien de Lozovaya. Plus de 100 paysans pacifiques ont été tués en une heure et demie. Un bandit avec une hache à la main a fait irruption dans la hutte de Nastya Diagun et a tué à coups de couteau ses trois fils. Le plus jeune, Vladik, quatre ans, a eu les bras et les jambes coupés. Dans la hutte de Makukha, les tueurs ont trouvé deux enfants, Ivasik, trois ans, et Joseph, dix mois. L'enfant de dix mois, voyant l'homme, fut ravie et lui tendit en riant les bras en lui montrant ses quatre dents. Mais le bandit impitoyable a tranché la tête du bébé avec un couteau et a coupé la tête de son frère Ivasik avec une hache.
Après que les soldats de « l'armée des immortels » aient quitté le village, des cadavres ont été retrouvés sur le lit, sur le sol et sur le poêle dans la hutte du paysan Kuzi. Des éclaboussures de cerveau humain et de sang ont gelé sur les murs et le plafond. La hache Bandera a mis fin à la vie de six enfants innocents : l'aîné d'entre eux avait 9 ans et le plus jeune 3 ans. 
C.B. des États-Unis : « À Podlesye, comme on appelait le village, les hommes de Bandera ont muselé quatre membres de la famille du meunier Petrushevsky, tandis qu'Adolfina, 17 ans, a été traînée le long d'une route rurale rocailleuse jusqu'à sa mort. »
F.B. du Canada : « Les hommes de Bandera sont venus dans notre cour, ont attrapé notre père et lui ont coupé la tête avec une hache, et ont transpercé notre sœur avec un pieu. Maman, voyant cela, est morte d'un cœur brisé.
Yu.V. du Royaume-Uni : « La femme de mon frère était ukrainienne. Parce qu'elle avait épousé un Polonais, 18 membres de Bandera l'ont violée. Elle n'est jamais sortie de ce choc... elle s'est noyée dans le Dniestr.
La nuit, une fille du village de dix-sept ans, voire moins, a été amenée dans la forêt depuis le village de Khmyzovo. Sa faute était qu'elle et d'autres filles du village allaient danser alors qu'il y avait une unité militaire de l'Armée rouge dans le village. « Kubik » a vu la jeune fille et a demandé à « Varnak » la permission de l'interroger personnellement. Il lui a demandé d'admettre qu'elle avait « marché » avec les soldats. La jeune fille a juré que cela ne s'était pas produit. "Je vais vérifier maintenant", sourit "Kubik", en aiguisant un bâton de pin avec un couteau. Un instant plus tard, il a sauté vers la prisonnière et a commencé à la pousser entre les jambes avec le bout pointu d'un bâton jusqu'à ce qu'il enfonce un pieu de pin dans les parties génitales de la jeune fille.
Les hommes de Bandera ont longtemps torturé la même jeune fille Motrya Panasyuk, puis lui ont arraché le cœur de la poitrine.
Des milliers d’Ukrainiens ont connu une mort terrible, en martyr. 
Les hommes de main du Service de sécurité de R. Choukhevych ont mené une lutte sans merci contre les partisans soviétiques et les combattants clandestins. En confirmation, nous présentons un autre document des archives de Rivne :
« Le 21 octobre 1943... 7 officiers du renseignement bolcheviques ont été capturés qui se rendaient de Kamenets-Podolsk à la Polésie. Après enquête, il a été prouvé qu'il s'agissait d'officiers des renseignements bolcheviques.
détruit... Le 28 octobre 1943, dans le village de Bogdanovka, district de Koretsky, un enseignant-informateur a été détruit... Dans le village de Trostyanets, 1 maison a été incendiée et une famille a été jetée vivante dans le feu... Quartier général. 31/10/43 Chef R. 1 V. Winter.
Infirmière Yashchenko D.P. «Bientôt, nous avons vu comment l'OUN a complètement supprimé des hôpitaux entiers, qui étaient d'abord laissés à l'arrière comme avant - sans gardes. Ils découpèrent des étoiles sur les corps des blessés, coupèrent les oreilles, la langue et les organes génitaux. Ils se moquaient à leur guise des libérateurs sans défense de leur pays contre les nazis. Et maintenant, on nous dit que ces soi-disant « patriotes » de l’Ukraine n’ont combattu qu’avec les « punisseurs » du NKVD. Tout cela est un mensonge ! Quel genre de patriotes sont-ils ?! C'est une bête enragée.
Un policier du village de Ratno, dans la région de Volyn, A. Koshelyuk, alors qu'il servait chez les Allemands, a personnellement abattu une centaine de civils. Il a participé à la destruction de la population du village de Kortelisy, communément appelé « Lidice ukrainien ». Plus tard, il part pour l'UPA. Il était connu de la police et de l'UPA sous le surnom de Dorosh.
Roman Shukhevych : « … L'OUN agit de telle manière que tous ceux qui connaissent le règne des Radyans seront démunis. Ne calomniez pas, mais détériorez-vous physiquement ! Il n’y a pas lieu d’avoir peur que les gens nous maudissent pour notre cruauté. Même si la moitié des 40 millions d’Ukrainiens disparaissent, il n’y a rien de terrible à cela... » 
Les hommes de Bandera, qui ont perfectionné les compétences des bourreaux des unités de police allemandes et des troupes SS, ont littéralement affiné leur art de tourmenter les personnes sans défense. Un exemple pour eux était Chuprinka (R. Shukhevych), qui encourageait de toutes les manières possibles de telles activités.
Alors que le monde entier pansait les blessures infligées à l’humanité par la plus terrible de toutes les guerres précédentes, les voyous de Choukhevytch sur les terres de l’ouest de l’Ukraine ont coûté la vie à plus de 80 000 personnes. L'écrasante majorité des personnes tuées étaient des personnes pacifiques exerçant des professions civiles, loin de la politique. Un pourcentage important des personnes tuées par des tueurs nationalistes étaient des enfants et des personnes âgées innocents.
Dans le village de Svatovo, on se souvient bien des quatre enseignantes torturées par les sbires de Choukhevych. Parce qu'ils venaient du Donbass soviétique ! 
Raisa Borzilo, enseignante, p. Pervomaïsk. Avant son exécution, les nationalistes l'accusaient de promouvoir le système soviétique à l'école. Les hommes de Bandera lui ont arraché les yeux vifs, lui ont coupé la langue, puis lui ont passé un nœud coulant autour du cou et l'ont traînée dans un champ.
Des milliers d’exemples similaires peuvent être donnés.
C'est ce qu'a déclaré l'un des organisateurs du génocide sur les terres de l'Ukraine occidentale, le commandant du groupe UPA Fiodor Vorobets, après son arrestation par les forces de l'ordre :
«... Je ne nie pas que sous ma direction, un grand nombre d'atrocités ont été commises contre... la population civile, sans parler de l'extermination massive de membres de l'OUN-UPA soupçonnés de collaborer avec les autorités soviétiques... Il suffit de dire dire que dans un superdistrict de Sarnensky, dans les régions : Sarnensky, Bereznovsky, Klesovsky, Rokitnyansky, Dubrovetsky, Vysotsky et d'autres districts de la région de Rivne et dans deux districts de la région de Pinsk de la RSS de Biélorussie, des gangs et des militants du SB me sont subordonnés, selon les rapports que j'ai reçus, rien qu'en 1945, six mille citoyens soviétiques..."
(Affaire pénale de F. Vorobets. Conservé à la Direction du SBU de la région de Volyn). 
Le résultat de l'exhumation des victimes du massacre des Polonais situé dans les villages d'Ostrowki et Vola Ostrovetska, effectué du 17 au 22 août 1992, commis par les monstres de l'OUN - UPA - Le nombre total de victimes dans le deux villages classés, c'est 2 000 Polonais.
Conformément aux normes du Tribunal International, de tels actes sont qualifiés de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, et sont imprescriptibles !!!
Les actions des partisans de Bandera ne peuvent être qualifiées que de GÉNOCIDE contre l'humanité, et vaut-il la peine de rappeler que les mains des bandits de l'UPA ont été tachées du sang de centaines de milliers de Juifs, Tsiganes, Polonais, Biélorusses et Russes tués lors de la création de le « nouvel ordre mondial » en Ukraine. Des monuments aux victimes du GÉNOCIDE de Bandera devraient être érigés dans de nombreuses villes polonaises, ukrainiennes, biélorusses et russes ! Il est nécessaire de publier le livre « À la mémoire des victimes du GENOCIDE mortes aux mains des nationalistes ukrainiens et des Banderaites ». 
Le principal organisateur du génocide des Polonais et des Juifs était Chuprinka (R. Shukhevych), qui a émis un ordre spécial qui disait :
« Traitez les Juifs de la même manière que les Polonais et les Tsiganes : détruisez sans pitié, n'épargnez personne... Prenez soin des médecins, des pharmaciens, des pharmaciens, des infirmières ; gardez-les sous surveillance… Les Juifs utilisés pour creuser des bunkers et construire des fortifications doivent être discrètement liquidés une fois les travaux terminés… »
(Prus E. Holokost po banderowsku. Wroclaw, 1995). 
Les âmes des victimes innocentes réclament un procès équitable pour les meurtriers brutaux - les nationalistes ukrainiens de l'OUN-UPA !
Les crimes de l’OUN-UPA sont imprescriptibles.
Dernièrement, le mot « Bandera » est devenu de plus en plus populaire, particulièrement apprécié par les médias russes « véridiques », effrayant les Russes avec de terribles Banderaites de l'ouest de l'Ukraine, qui se promènent tous avec des mitrailleuses et boivent le sang des bébés russes. En même temps, ils confondent souvent les Bandera et les Benderites (qui sont des Benderites - des habitants de la ville de Bendery, en Moldavie, ou peut-être un fan club de fans d'Ostap Bender de l'œuvre impérissable d'Ilf et Petrov « 12 » ?) . Alors que voit-on ? Oui, une ignorance élémentaire, y compris à propos de la figure historique de Stepan Bandera et des célèbres Banderaites, que les mêmes médias qualifient également, pour une raison quelconque, de fascistes. Mais les partisans de Bandera sont-ils des fascistes ? Et ce sont vraiment de terribles Banderaites (je veux dire ici ces vrais Banderaites qui ont vécu, combattu, combattu et sont morts pendant la Seconde Guerre mondiale, et non leurs partisans modernes). Et qui est Stepan Bandera, qui est cet homme légendaire qui a vécu une telle vie que même après sa mort, plusieurs générations russes ont peur de lui ?
Stepan est né le 1er janvier 1909, dans le village de Stary Ugrinov, en Ukraine occidentale, dans la famille du prêtre gréco-catholique Andrei Bandera. La famille avait beaucoup d'enfants (cependant, à cette époque, la plupart des familles avaient beaucoup d'enfants), outre Stepan, il y avait cinq autres enfants dans la famille Bander. Ils vivaient mal, mais amicalement ; entre autres choses, le père réussit à inculquer à son fils non seulement la religiosité (selon les mémoires des contemporains, Stepan Bandera était un homme profondément religieux), mais aussi des opinions politiques. Après tout, le simple prêtre gréco-catholique Andrei Bandera était aussi un fervent nationaliste ukrainien (personnellement, je préfère le mot « patriote »), un ardent partisan de la restauration de l'État ukrainien (l'ouest de l'Ukraine à cette époque faisait encore partie de l'Autriche). -Empire hongrois). En conséquence, il a participé activement à la vie politique de la Galice, y compris de son village natal de Stary Ugrinov. Ainsi, grâce à ses efforts, la salle de lecture de la société Prosvita et le cercle de l'École autochtone ont été créés dans le village.
Alors que le petit Stepan n'avait que 5 ans, la Première Guerre mondiale éclata. L’homme a été témoin d’actions militaires à plusieurs reprises, la ligne de front passant plusieurs fois devant son village natal. Un jour, lors d'une attaque d'artillerie, la moitié de la maison dans laquelle vivait la famille Bander a été détruite, mais heureusement aucun membre de la famille n'a été blessé. Mais vers la fin de la guerre, lorsque l'Empire austro-hongrois (la grand-mère de l'Autriche) commença à éclater et finit par se désintégrer, le père de Stepan, Andrei Bandera, rejoignit comme aumônier la nouvelle armée ukrainienne galicienne (elle fut formée à partir de les unités ukrainiennes de l'armée austro-hongroise), puis défendant les intérêts de la République populaire d'Ukraine occidentale (RPM), combattirent aux côtés des Polonais (la bataille de Lviv en novembre 1918 fut particulièrement épique). Mais malheureusement, les troupes ukrainiennes ont ensuite été vaincues et il n’a jamais été possible de réaliser le rêve de nombreux patriotes ukrainiens : l’Ukraine était à nouveau divisée.
Mais revenons à Stepan Bandera. Lorsque les combats se sont calmés, la famille Bandera est revenue à une vie paisible, le père a continué son ministère sacerdotal et le jeune Stepan a déménagé dans la ville polonaise (à l'époque) de Stryi, où vivaient ses grands-parents paternels. À Stryi, il entra dans l'un des rares gymnases classiques ukrainiens, où il reçut une bonne éducation. De plus, Stepan est devenu un membre actif de l'organisation scoute ukrainienne Plast.
Voici une bonne photo de cette époque, un très jeune Stepan Bandera en uniforme Plastun, 1923.
Ainsi passèrent les années de jeunesse de notre héros, et déjà en 1928 Stepan s'installa dans la ville de Lvov, où il entra au département d'agronomie de l'École polytechnique de Lvov (votre auteur est également diplômé de cette glorieuse université avec près de deux cents ans d'histoire) . Et en même temps, comme son père, il est actif en politique. Il dirige par exemple le mouvement de la jeunesse nationaliste ukrainienne. Tout cela se passe principalement dans la clandestinité, car les autorités polonaises de l’entre-deux-guerres n’approuvaient pas les mouvements nationalistes ukrainiens et prenaient des mesures actives pour les réprimer et les anéantir. Déjà en 1930, la société Plast était officiellement interdite et un certain nombre de journaux ukrainiens étaient fermés.
A cette époque, Stepan Bandera commençait sa petite et grande lutte en rejoignant l'organisation des nationalistes ukrainiens - l'OUN, qu'il dirigerait bientôt. Mais avant de devenir chef de l'OUN, Stepan Bandera s'est engagé dans une propagande active, imprimant et publiant des journaux nationalistes clandestins : « Gorn », « L'éveil de la nation », « Nationaliste ukrainien ». Il n’y avait pas Internet à cette époque, mais les journaux étaient exactement ce dont nous avions besoin. La police polonaise le suivit et finit même par arrêter notre héros à plusieurs reprises.
Il est intéressant de noter que pendant les années de famine artificielle stalinienne sur le territoire du centre et de l'est de l'Ukraine, l'organisation OUN, sous la direction de Stepan Bandera, a mené une série de manifestations en soutien aux Ukrainiens affamés (d'ailleurs, ce n'est pas le cas). il vous semble paradoxal que la population des régions actuelles de l'est de l'Ukraine, qui soutient activement les sentiments pro-russes, soit peut-être celle qui a le plus souffert de l'Holodomor dans les années 30 du siècle dernier ?).
Finalement, le moment est venu où l'organisation OUN a commencé à mener des actions ouvertement terroristes. Par exemple, pendant l’Holodomor, une tentative a été faite (bien que sans succès) pour éliminer le consul soviétique à Lvov. L'OUN a également été impliquée dans l'assassinat de plusieurs responsables polonais, mais le plus retentissant a été l'assassinat de Bronislaw Peratsky, alors ministre de l'Intérieur de la Pologne. Les dirigeants de l'OUN, dont Stepan Bandera, ont été arrêtés en 1936 pour avoir organisé le meurtre. Le tribunal a d'abord imposé la peine capitale - l'exécution, mais a ensuite remplacé la peine par la réclusion à perpétuité. Ainsi, Stepan Bandera a passé du temps dans une prison polonaise avant le début de la Seconde Guerre mondiale.
Mais avant d'aller plus loin, réfléchissons un peu à la question de savoir si les activités de l'OUN et de Stepan Bandera lui-même étaient bonnes ou mauvaises, s'il était nécessaire de recourir à des actions terroristes, car des manifestations pacifiques pourraient également être menées. Et à propos, il y a eu aussi des manifestations pacifiques, tout comme les Ukrainiens boycottent désormais les produits russes, et avant cela, ils boycottaient les produits et les entreprises du Parti des régions, les Ukrainiens occidentaux des années 30 boycottaient les produits polonais, les écoliers et étudiants ukrainiens ignoraient fondamentalement les cours et conférences de professeurs de polonais, communiqués exclusivement en ukrainien. Mais malheureusement (ou peut-être heureusement) Stepan Bandera n'était pas partisan des idées de son non moins célèbre contemporain - et pourtant, oui, les responsables ou personnalités polonaises qui voulaient supprimer l'idée ukrainienne ne se sentaient pas en sécurité.
La Seconde Guerre mondiale a tout bouleversé. Les événements se sont développés rapidement. Très vite, la Pologne se retrouve complètement occupée et démembrée par deux régimes totalitaires : soviétique et allemand. Et déjà en 1939, Stepan Bandera, condamné à la « prison à vie », fut libéré. Pendant deux semaines, il vient à Lvov, désormais occupée par les troupes soviétiques. Là, dans un refuge, il rassemble d'anciens camarades de l'OUN et annonce le plat principal de la lutte contre les bolcheviks.
Dans le même temps, une certaine scission s'est produite au sein de l'OUN elle-même, où un autre dirigeant est apparu - Andrei Melnik. Entre lui et Bandera existe un différend idéologique (plutôt même géopolitique) dont l'essence est la suivante : Melnik parie sur une alliance avec l'Allemagne nazie, Stepan Bandera propose au contraire de ne s'appuyer que sur ses propres forces. Finalement, plus tard, l’histoire elle-même lui donne raison. Et nous arrivons ici à la question posée au tout début de cet article : les bandera étaient-ils des fascistes ? Et la réponse claire est non. Le fait est que dès le début de la campagne militaire allemande contre l’Union soviétique (ce que les historiens soviétiques et russes modernes appellent la « Grande Guerre patriotique »), l’aile de l’OUN, sous la direction de Stepan Bandera, a déclaré l’indépendance de l’Ukraine.
Et voici la maison de Prosvita, en plein centre de l’ancienne Lviv, près de laquelle a eu lieu la déclaration d’indépendance de l’Ukraine. Mais le commandement allemand n'aimait pas beaucoup cela et bientôt les Ukrainiens patriotes furent dispersés, Stepan Bandera lui-même fut de nouveau arrêté et jusqu'en 1944 il se trouva dans le camp de concentration allemand de Sachsenhausen. Les partisans de Stepan Bandera, qui ont reçu ce nom - les Banderaites, sont de nouveau entrés dans la clandestinité, créant en même temps l'Armée insurrectionnelle ukrainienne - qui a combattu à la fois les fascistes allemands et, bien sûr, plus tard l'Armée rouge soviétique. Par conséquent, une question tout à fait logique se pose : quels Banderaites sont des fascistes, alors qu'ils se sont battus avec de vrais fascistes authentiques avec autant de zèle qu'avec les bolcheviks ?
Bien entendu, parmi les Ukrainiens se trouvaient également leurs collaborateurs qui se sont rangés du côté de l’Allemagne nazie, le plus célèbre d’entre eux étant la division SS Galicia. Mais la division SS « Galice » n’est pas une adepte de Bandera, pas plus que l’UPA. La seule chose qui les unissait était leur « amour ardent » pour le bolchevisme. Mais en toute honnêteté, il convient de noter que parmi les Russes, il y avait aussi de nombreux collaborateurs - la division Vlasov (qui comprenait des soldats soviétiques capturés qui ont décidé de changer de camp), la division Rusland, les cosaques du Kouban, le corps russe (composé d'anciens officiers blancs , qui à un moment donné ont fui la Russie bolchevique), et tous ont combattu aux côtés des Allemands avec les mêmes Russes, Biélorusses et Ukrainiens. Et seul Bandera s'est battu avec tout, avec les Allemands, les Soviétiques, même les partisans polonais de l'Armée de l'Intérieur, pour un seul objectif noble : la restauration de l'État ukrainien. Dès lors, comment peut-on qualifier de fascistes les patriotes ukrainiens qui se sont battus pour leur indépendance et sur leur terre natale ?
Et un autre fait intéressant - le deuxième personnage de l'UPA, l'un des odieux dirigeants de la lutte de libération ukrainienne - le général Roman Shukhevych a hébergé une jeune fille juive dans sa famille. Et en général, contrairement aux véritables collaborateurs, les partisans de Bandera ont aidé à plusieurs reprises les Juifs à se cacher et leur ont préparé de faux documents.
Revenant à la personnalité de Bandera, après avoir quitté le camp de concentration allemand en 1944, il n'est jamais retourné en Ukraine, continuant à contrôler le mouvement clandestin depuis l'étranger. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’Union soviétique a bien sûr exigé que l’Occident lui livre le « terrible criminel » Stepan Bandera, mais l’Occident a montré la fig. Ils disent qu’après la guerre, Bandera a commencé à collaborer avec les services de renseignement britanniques, les aidant à trouver et à former des espions à envoyer en Union soviétique. Il est intéressant de noter que, ironiquement, le service de renseignement britannique était dirigé par un certain Keene Figley, qui, comme il s'est avéré plus tard, était un agent double et travaillait en fait pour Moscou. Il est probable que ce soit ce loup-garou qui ait remis notre Stepan aux agents du NKVD, qui à cette époque avaient déjà entamé une véritable chasse au dirigeant ukrainien (mais ce n'est qu'une hypothèse, car qui connaît ces espions).
Il y a eu plusieurs tentatives d'assassinat de Stepan Bandera, mais les services de sécurité de l'OUN, en collaboration avec la police allemande, ont réussi à empêcher plusieurs tentatives. Le NKVD, qui à l'époque était déjà rebaptisé KGB, n'abandonna néanmoins pas son intention de le liquider et finalement, le 15 octobre 1959, à l'entrée de la maison de la rue Kreitmayr, 7, un agent du KGB Bogdan Stashinsky a tiré son coup fatal... C'est ainsi qu'est mort un homme, le patriote et nationaliste ukrainien, combattant infatigable pour l'indépendance de l'Ukraine, Stepan Bandera, dont la vie continue d'inspirer les futures générations d'Ukrainiens et d'effrayer les futures générations de Russes.
Gloire à l'Ukraine ! Gloire aux héros !
Déjà le 9 février 1943, Bandera, sous couvert de partisans rouges (il s'agit de « déguiser les unités du NKVD en Banderaites »), entra dans le village polonais de Parosle. Les paysans, qui avaient réussi à se lier d'amitié avec les partisans, ont chaleureusement accueilli les invités. Assez
« Devenus si cupides », les bandits ont commencé à violer puis à tuer des femmes et des filles. Avant d'être tués, leur poitrine, leur nez et leurs oreilles ont été coupés. Puis ils ont commencé à torturer le reste des habitants du village. Les hommes ont eu les parties génitales, le nez, la langue et les oreilles coupés avant de mourir. Fini à coups
une hache sur la tête.
Deux adolescents, les frères Gorshkevich, qui ont tenté d'appeler à l'aide de vrais partisans, ont eu le ventre ouvert, les jambes et les bras coupés et les blessures couvertes de sel, les laissant à moitié morts pour mourir sur le terrain. Au total, 173 personnes ont été torturées dans le village, dont 43 enfants.
Dans une maison, parmi les débris et les bouteilles de clair de lune, les vrais partisans qui sont entrés dans le village le lendemain ont trouvé un enfant d'un an épinglé sur la table avec une baïonnette. Les joyeux camarades de l'OUN lui ont fourré dans la bouche un concombre mariné à moitié mangé.
Également à Kalusovo, district de Vladimir, Joseph Filyu, deux mois
Ils l'ont déchiré par les jambes et des parties du corps ont été placées sur la table.
En général, les partisans de Bandera avaient une tendresse particulière pour les enfants polonais innocents.
Dans le village de Lozovaya, région de Ternopil, ils ont « décoré » le tronc de chaque arbre
le cadavre d'un enfant précédemment tué.
Comme l’écrit le chercheur britannique Corman, les enfants se clouaient aux arbres de manière à créer l’apparence d’une « couronne ».
Les partisans de Bandera ont qualifié cette voie de « route vers une Ukraine indépendante ».
Et le 13 juillet, les Banderaites ont « conçu » la rue principale de Sukhaya Loza comme une autre rue.
« le chemin de l'indépendance », en clouant 50 enfants sur une palissade.
Lors de l'attaque de Terebeyki en août 1943, les Polonais adultes étaient coupés à la scie comme des bûches, tandis que les enfants étaient tués à coups de hache ou noyés dans un puits. De même, au cours de l'été 1944, des centaines d'« Igors » dépecèrent 140 gitans, dont 67 enfants.
Dans le village d’Osmigovichi, en juillet 1943, les partisans de Bandera jetèrent de jeunes enfants dans
eh bien, et les plus gros ont été enfermés dans le sous-sol et remplis.
Un soldat, tenant le bébé par les jambes, lui a cogné la tête contre le mur. Et pour que la mère du bébé ne gêne pas le plaisir, elle a été transpercée avec une baïonnette. Mais en général, les mères ne sont pas très
dérangé les Banderaites, car, en règle générale, ils mouraient le cœur brisé, voyant
le martyre de ses enfants.
Il y a quelques mois, lors de la Nuit des Moineaux, des individus armés se sont rendus dans une cabane paysanne près de la ville de Sarny et ont poignardé les propriétaires avec des couteaux. La jeune fille regarda avec de grands yeux avec horreur l'agonie de ses parents. L'un des bandits a mis la pointe d'un couteau sous la gorge de l'enfant, mais au dernier moment une nouvelle idée est née dans son cerveau : « Vivez pour la gloire de Stepan Bandera Et pour qu'elle ne meure pas de faim, nous ! Je vais vous laisser de la nourriture. Eh bien, les gars, coupez-la en morceaux pour elle ! . »
Les « gars » ont aimé cette proposition. Quelques minutes plus tard, une montagne de viande du père et de la mère ensanglantés grandissait devant la jeune fille, engourdie d'horreur..."
Cette scène cannibale a été capturée par Yaroslav Galan, un écrivain ukrainien.
Bonne journée les amis.
Je pense qu’il n’est pas nécessaire de parler de ce qui se passe actuellement en Ukraine. Je veux juste souligner qu'il s'agit d'une guerre civile. Commencé par des traîtres ukrainiens en 1941. avec le soutien de l'Allemagne nazie en armes et en argent, et cela s'est poursuivi aujourd'hui - avec le soutien de l'Occident et des États-Unis en argent et en informations (je pense que l'approvisionnement en armes des États-Unis ne rouillera pas).
Pouvons-nous désormais combattre les armes à la main ? J'ai bien peur que non.
Avons-nous de l’argent en quantité capable de rivaliser avec l’argent américain ? Non, certainement pas.
Mais nous avons un champ de bataille dont la victoire dépend entièrement de nous. Il s'agit d'un champ d'information.
Le nazisme qui monte actuellement en Ukraine a des racines de Bandera, utilise sa rhétorique, utilise ses méthodes. Et nous, connaissant leur histoire, leurs astuces, pouvons leur résister.
Aidez tous ceux qui se tiennent sur les barricades d’information.
MYTHES SUR LES BANDEROVISTES
Mythe n°1 Bandera n’a pas combattu dès le début avec la Russie et, surtout, avec les Russes, comme on le croit.
Dès le début de leur apparition, les Banderaites ont mené une guerre acharnée contre les Polonais (qui étaient des occupants) et les Russes (qui étaient également considérés comme des occupants « moscovites »). Et ils ont préparé cette guerre bien à l’avance.
Témoignage du Colonel Stolze au procès de Nuremberg le 25 décembre 1945 :
« Lahousen m'a donné un ordre de révision... L'ordre indiquait que pour porter un coup éclair sur l'Union soviétique, l'Abwehr-2, lorsqu'elle menait un travail subversif contre l'URSS, devait utiliser ses agents pour inciter à l'hostilité nationale entre les peuples de l'Union soviétique. En particulier, j'ai personnellement reçu des instructions données aux dirigeants des nationalistes ukrainiens, les agents allemands Melnik (surnommé "Consul-1") et Bandera, pour organiser, immédiatement après l'attaque allemande contre l'Union soviétique, une action provocatrice. performances en Ukraine afin de saper l'arrière immédiat des troupes soviétiques, ainsi que pour convaincre la communauté internationale que l'arrière soviétique semble se décomposer.
E. Stolze : « .. Après la fin de la guerre avec la Pologne, l'Allemagne se préparait intensément à une guerre contre l'Union soviétique et des mesures ont donc été prises par l'intermédiaire de l'Abwehr pour intensifier les activités subversives, car les mesures mises en œuvre par Melnik et les autres agents semblaient insuffisants.
À cette fin, le célèbre nationaliste ukrainien Bandera Stepan a été recruté. Pendant la guerre, il a été libéré de prison par les Allemands, où il avait été emprisonné par les autorités polonaises pour avoir participé à un acte terroriste contre les dirigeants du gouvernement polonais.
(source - documents du procès de Nuremberg. Livre Procès de Nuremberg, M.)
Comme l’écrit à ce sujet Petro Poltava, « l’historien » des partisans de Bandera :
Bandera est le nom populaire récemment largement utilisé pour désigner tous les participants à la lutte de libération insurrectionnelle et clandestine, qui a commencé contre les nazis pendant l'occupation nazie et qui s'est poursuivie depuis 1944 (sic !) contre les envahisseurs bolcheviques.
Mythe n°2 Bandera n’a jamais considéré le peuple russe comme un ennemi, ni aucun autre peuple, comme les Polonais, les Allemands ou les Juifs.
Il y a tellement de faits ici qu’une petite fraction suffit pour voir clairement leur position sur cette question.
Témoignage du général E. Lahousen, l'un des dirigeants de l'Abwehr, lors d'une réunion du Tribunal militaire international le 30 novembre 1945.
"... Canaris a été chargé de créer un mouvement insurrectionnel en Galicie ukrainienne, dont le but serait l'extermination des Juifs et des Polonais... il est nécessaire d'organiser un soulèvement ou une insurrection de telle manière que tous les foyers polonais soient englouti dans le feu et que tous les Juifs soient tués. »
Source - documents du procès de Nuremberg.
30 juin 1941. Les troupes fascistes occupent Lviv. Avec eux, le célèbre bataillon de l'Abwehr "Nachtigal" (traduit de l'allemand par "Nightingale"), composé de Banderaites et dirigé par Roman Shukhevych, l'allié le plus proche de Bandera, est entré dans la ville.
Le même jour, toute la ville était recouverte de messages de Stepan Bandera : « Les gens ! Sachez ! Moscou, la Pologne, les Magyars, les Juifs sont vos ennemis !
En 1941, Y. Stetsko déclarait : « Moscou et le judaïsme sont les plus grands ennemis de l’Ukraine. Je considère que l’ennemi principal et décisif est Moscou, qui a impérieusement maintenu l’Ukraine en captivité. Et néanmoins, j’apprécie la volonté hostile et de sabotage des Juifs qui ont aidé Moscou à asservir l’Ukraine. C’est pourquoi je suis en faveur de l’extermination des Juifs et de l’opportunité de transférer les méthodes allemandes d’extermination des Juifs en Ukraine, à l’exclusion de leur assimilation.»
Sources : Berkhoff K.C., Carynnyk M. L'Organisation des nationalistes ukrainiens.
Dyukov A. Sur la participation de l'OUN - UPA à l'Holocauste : « Moscou et le judaïsme sont les principaux ennemis de l'Ukraine » // Agence de presse « REGNUM », 14/10/2007
Je ne peux m’empêcher de citer les paroles d’un des partisans de Bandera sur la façon dont ils ont été guidés pendant la guerre :
"-une attitude fraternelle envers ceux d'entre eux qui soutiennent la lutte du peuple ukrainien pour son État et ses intérêts ;
- une attitude tolérante envers ceux d'entre eux qui vivent simplement en Ukraine ;
- une attitude hostile envers ceux qui sont hostiles à l'Ukraine, à son indépendance, à son État et à sa langue.
Ce paragraphe fait partie de ces paragraphes où c’est tellement triste que c’en est drôle.
Mythe n°3 L’idéologie de Bandera n’est ni fasciste ni nazie
L'un des théoriciens de l'OUN a écrit : A. Andrievsky : "Notre nouveau nationalisme n'est pas une conséquence des efforts de l'esprit ukrainien, mais plutôt un produit du fascisme italien et du national-socialisme allemand. Dontsov a jeté les bases d'un tel passe-temps."
Source : « Stepan Bandera. Perspectives de la révolution ukrainienne ». - Drogobich, 1998. - P. 5-8 ; Gordusevich S. Stepan Bandera. Les gens et le mythe. - K., 2000. - P. 43-44.
Mythe n°4 Bandera n'a pas coopéré avec le régime d'occupation allemand avant la guerre, mais les a accueillis comme des libérateurs
Après la fin de la Première Guerre mondiale et de la guerre civile, les « Sich Streltsy » qui se sont retrouvés en exil et d'autres personnes similaires se sont organisés en UVO (Organisation militaire ukrainienne), qui a ensuite été transformée en OUN. , les « combattants pour la liberté » s'accrochaient affectueusement à Hitler, des flux financiers commencèrent également à affluer, revigorant immédiatement le cœur des membres de l'OUN. Ils ont même modifié l’idéologie, et il en est résulté une sorte de fascisme de second ordre. Mais avec des affirmations : « Marchez en rangs, formez des rangs, baignez-vous dans le sang, chevauchez dans le feu. Il y a du feu et un abri, il y a la liberté de vivre et la mort crie dans leurs poitrines... Vous pouvez entendre le cri - Sieg Heil ! Hé! Sieg héil! (Yu. Lipa « Doba ukrainien », Lviv, 1934).
Déjà en 1938 En Allemagne, plusieurs centres de formation ont été créés où les saboteurs de l'OUN ont été formés. Même si les dirigeants du Reich avaient des opinions différentes sur leurs capacités, le chef de l'Abwehr, V. Canaris, a déclaré : « Il n'y a pas de racailles, il n'y a que des cadres ».
Mythe n°5 Stepan Bandera lui-même s'est battu contre Hitler, c'est pourquoi il a été tué en 1941. envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen (un mythe similaire - Bandera a cessé de collaborer avec le régime d'occupation allemand après 1941)
Deux semaines après la prise de Lvov, le bataillon Nachtigal, formé sous la direction de Bandera, a transformé l'arrière allemand en un champ de confrontation avec les Polonais, ce qui a provoqué l'extrême mécontentement d'Hitler. Et ce n’est pas qu’ils aient eu pitié d’un « untermensch ». La tâche de l'état-major de tout pays en guerre est de créer le chaos derrière les lignes ennemies et, inversement, d'assurer l'ordre sur ses propres arrières. En outre, pensaient les Allemands, la population des pays occupés devait travailler avec enthousiasme (ou sans) pour le bien du Reich et ne pas rester dans un fossé, la gorge tranchée.
En outre, une grande somme d'argent allouée par les renseignements allemands pour financer l'OUN a coulé dans une direction inconnue (vers les comptes des banques suisses).
"Ainsi, selon Lazarek:" S. Bandera a reçu des Allemands 2,5 millions de marks, soit autant que Melnik reçoit (source - documents du procès de Nuremberg) et transférés sur un compte personnel dans une banque suisse.
Portraits historiques : Makhno, Petlyura, Bandera. - K., 1990. - P. 24.
Mais ce n’est pas tout : sans que les Allemands le demandent, la loi sur la proclamation de l’État ukrainien a été adoptée. L'OUN espérait que les Allemands accepteraient cette situation. Une tentative de proclamer arbitrairement un État sur un territoire déjà capturé par les troupes allemandes, où ces dernières avaient déjà subi des pertes, alors que l'OUN ne pouvait ou ne voulait pas organiser un soulèvement à grande échelle à l'arrière de l'Armée rouge dans l'ouest de l'Ukraine, s'est malheureusement terminée. pour les partisans de Bandera.
5 juillet 1941 Lors de la réunion, Adolf Hitler a déclaré : « Parteigenosse Himmler, machen Sie Ordnung mit diesen Bande ! » »(Parteigenosse Himmler, mets de l'ordre dans cette bande !). Presque immédiatement, la Gestapo a arrêté S. Bandera, Y. Stetsko ainsi qu'environ 300 membres de l'OUN. "Nachtigall" a été réorganisé d'urgence en bataillon de police et transféré en Biélorussie pour combattre les partisans, et Bandera a été assigné à résidence à Cracovie, puis transféré à Sachsenhausen, dans une sorte d'hôtel, où des collaborateurs fascistes de haut rang ont été temporairement transférés. des réserves ont été conservées.
Les Banderaites étaient très inquiets :
« Les nazis ont jeté des centaines de patriotes ukrainiens dans des camps de concentration et des prisons. La terreur de masse a commencé. Les frères de Stepan Bandera, Oleksa et Vasyl, ont été brutalement torturés dans le camp de concentration d’Auschwitz.
Et peu importe l’insistance des partisans de Bandera, l’histoire ne s’arrête pas là.
En 1944, Hitler retira Bandera de la réserve et l'inclut dans le Comité national ukrainien, dont la tâche était d'organiser la lutte contre l'avancée de l'Armée rouge.
« Début avril 1945, Bandera reçut des instructions de la Direction principale de la sécurité impériale de rassembler tous les nationalistes ukrainiens dans la région de Berlin et de défendre la ville contre l'avancée des unités de l'Armée rouge. Bandera a créé des détachements de nationalistes ukrainiens qui ont agi dans le cadre du Volkssturm, et il s'est lui-même enfui. Il quitte la datcha du département 4-D et s'enfuit à Weimar. Burlai m'a dit que Bandera était d'accord avec Danylyvy sur une défection commune aux côtés des Américains.»
Source : témoignage de Mueller, daté du 19 septembre 1945.
Laissons maintenant la parole aux Banderaites, nous voulons connaître l’opinion des deux côtés.
« Ayant éprouvé à leurs dépens le pouvoir de l'UPA, les Allemands commencèrent à chercher un allié contre Moscou au sein de l'OUN-UPA. En décembre 1944, Bandera et plusieurs autres membres de l'OUN-révolutionnaire furent libérés. Une éventuelle coopération. La première condition des négociations, Bandera a mis en avant la reconnaissance de la loi de renouvellement de l'État ukrainien et la création de l'armée ukrainienne en tant que puissance indépendante distincte des forces armées allemandes. l'indépendance de l'Ukraine et a cherché à créer un gouvernement fantoche pro-allemand et des formations militaires ukrainiennes au sein de l'armée allemande. Bandera a rejeté de manière décisive ces propositions.
Source - article de Stepan Bandera. Vie et activité.
Mythe n°6 À propos des frères Bandera torturés à mort par les Allemands à Auschwitz.
Les frères Bandera sont morts à Auschwitz en 1942. Ils ont été battus à mort par des prisonniers polonais. Œil pour œil.
Mythe n°7 Les hommes de Bandera, avec le même dévouement, ont mené une lutte désespérée contre le fascisme hitlérien et contre le régime réactionnaire et répressif de Staline.
Mythe n°9 Les atrocités prescrites aux partisans de Bandera ont été commises par des membres du NKDV déguisés en Bandera pour discréditer le mouvement rebelle et le priver du soutien populaire.
La gravité de la situation avec la propagation de ce mensonge est démontrée par le fait que le mythe des « soldats du NKVD déguisés » est inscrit dans ce qu'on appelle. « Conclusion professionnelle (fakhovy vysnovok) du groupe de travail d'historiens chargé d'étudier les activités de l'OUN-UPA », publiée en Ukraine à un tirage massif de 120 000 exemplaires et distribuée de manière centralisée à toutes les bibliothèques et établissements d'enseignement secondaire et supérieur. Le 14 octobre 2005, lors d'une réunion de la Commission gouvernementale, ce « Vysnovok » a été approuvé comme évaluation officielle des activités de l'OUN-UPA.
Ici, l’argument peut être interprété de deux manières – directe et indirecte.
Direct - pour comprendre toutes les subtilités de la guerre de l'information. Tout cela est analysé dans le livre La Grande Guerre calomniée-2 dans l'article d'Oleg Rossov «Le mythe des soldats déguisés du NKVD dans la lutte contre les formations de bandits en Ukraine occidentale». Ou utilisez les documents contenus dans l'article.
Indirect - Bandera a combattu l'Union soviétique - un fait. Ils ont reçu de l'argent et des armes des Allemands, c'est un fait. Et ils ne jouaient pas avec des jouets avec ces armes. Ils ont commis des massacres, c'est un fait. Pour que tout cela soit fait par le NKVD, il faut que l'UPA n'existe pas du tout. Et il y avait une chose, le NKVD, qui était responsable de tout. La situation dans laquelle l'UPA déguisée, de son côté, organise impunément un massacre de la population, et l'UPA, qui voit tout cela, souffre énormément et ne fait rien (ou mieux encore, suit derrière et demande de ne tuer personne) est tout simplement des absurdités scandaleuses de toxicomane.
Mythe n°10 L'UPA n'a pas été condamnée par le tribunal de Nyurgber, ce qui prouve sa non-implication dans les massacres et indique sa lutte contre l'hitlérisme.
L'OUN est mentionnée à plusieurs reprises dans les documents, mais les activités de cette organisation ne relevaient tout simplement pas de la charte du tribunal de Nuremberg.
Les criminels de guerre japonais, par exemple, n’ont pas non plus été jugés à Nuremberg. Et les Oustachis croates.
Cependant, cela ne signifie pas qu’ils n’ont pas commis de crimes (et n’ont pas écrit le livre « La Cuisine du Diable »).
Mais les partisans de Bandera continuent de s’en tenir fermement à ce point, comme si cela justifiait tout. Probablement parce qu’il n’y a pas de délai de prescription pour ces crimes. L’époque des Japonais est arrivée (les criminels de guerre japonais furent jugés plus tard en 1946 par le Tribunal militaire de Tokyo. La charte du Tribunal de Tokyo reprenait les dispositions les plus importantes de la charte du Tribunal de Nuremberg), et la leur n’est pas loin.
Mythe n°11 Final. Ils (les Banedrovtsy) se sont battus pour l’indépendance de l’Ukraine et la libération du peuple ukrainien.
Bandera était un groupe extrêmement petit (effectif permanent de 6 500 personnes), bien organisé, armé, formé et motivé par son idée de groupe de militants. Qui, pendant l'occupation de la Pologne, ne pouvait rien faire (Bandera lui-même, jusqu'à ce que les Allemands prennent la Pologne, était dans une prison polonaise pour tentative d'assassinat. À propos, les Allemands l'ont libéré). Ils n’ont pu agir sérieusement que lorsqu’ils ont trouvé leur allié le plus puissant en la personne de l’Allemagne nazie. Ils vivaient de leur argent et tiraient sur des civils avec leurs armes.
Les Allemands ont remis à l'OUN-UPA 100 000 fusils et mitrailleuses, 10 000 mitrailleuses, 700 mortiers et de nombreuses munitions.
Les anciens dirigeants nazis de l'Abwehr Lahousen, Stolze, Lazarek et Paulus en ont témoigné lors du procès.
Source - documents du procès de Nuremberg
Ils ont recruté des gens dans leurs rangs par le biais de menaces et de mensonges.
Assurer un afflux massif de volontaires à l'UPA en 1942. Choukhevych a déclaré la guerre officielle aux bolcheviks et aux Allemands. C'était déroutant, et de nombreuses personnes, voulant combattre les Allemands, rejoignirent les détachements de Shukhevych, dont le nombre atteignait 100 000 personnes, mais en réalité, il s'est avéré que malgré les appels à combattre à la fois les bolcheviks et les Allemands, la direction du L'OUN-UPA dirige ses principaux efforts vers la lutte contre les partisans rouges et la population civile polonaise de Volhynie.
Source – film War Line. Choukhevitch R.I. - chef de l'OUN).
Après l'appel général, afin d'éviter un exode massif de personnes qui ont rejoint les rangs de l'OUN, se rendant compte qu'elles avaient été trompées, les membres de l'OUN ont posé une condition aux Allemands : garder secret le fait de leur coopération.
C'est ainsi que le ministre du « gouvernement » Bandera « Gerasimovsky » (I. Grinyoh) a écrit à ce sujet au commandement allemand :
« La livraison d'armes et d'armes de sabotage du côté allemand à travers la ligne de front aux unités de l'UPA doit être effectuée selon les règles du secret, afin de ne donner aux bolcheviks aucune preuve concernant les Ukrainiens, alliés des Allemands, qui L'OUN demande donc que les négociations et les accords se déroulent depuis le centre et que les partenaires du côté allemand soient, si possible, la police de sécurité, car elle connaît les règles du secret.»
Source - livre "Sans droit à la réhabilitation", chapitre R. Shukhevych, auteur du chapitre Poddubny L.A.
Ceux qui tentèrent de résister furent battus et tués. Ceux qui accomplissaient leur devoir avec un zèle insuffisant furent tués, ainsi que toute leur famille.
En 1943, l’ordre est donné de « liquider » les déserteurs de l’UPA et de frapper à coups de baguette ceux qui échappent à la conscription.
Il s’agit d’une lutte d’un groupe de terroristes pour le pouvoir et non pour l’indépendance de l’Ukraine. Il s’agit de tentatives, par le biais de menaces, d’armes et de massacres, pour forcer des personnes pacifiques à reconnaître leur influence. On se souvient d’eux comme des assassins de leurs propres compatriotes.
Les partisans de Bandera ont bien sûr choisi d’autres mots pour se justifier :
"L'OUN, qui compte environ 20 000 membres, a eu une grande influence sur la population ukrainienne"(avec les armes à la main et avec le soutien des fascistes - ndlr)
Article source "STEPAN BANDERA",
Le nombre de personnes tuées sur le territoire de l'Ukraine pendant la Seconde Guerre mondiale par les nazis (dont Bandera) :
En Crimée, des civils ont été embarqués sur des barges, emmenés en mer et noyés. Plus de 144 000 personnes ont ainsi été tuées.
Des actes criminels monstrueux de la part des conspirateurs nazis ont eu lieu en Ukraine soviétique. À Babi Yar, près de Kiev, ils ont abattu plus de 100 000 hommes, femmes, enfants et personnes âgées. Dans cette ville, en janvier 1942, après une explosion au quartier général allemand de la rue Dzerzhinskaya, les Allemands arrêtèrent 1 250 personnes âgées, mineurs, femmes avec des nourrissons en otages. À Kyiv, ils ont tué plus de 195 000 personnes.
À Rivne et dans la région de Rivne, ils ont tué et torturé plus de 100 000 civils.
À Dnepropetrovsk, près de l'Institut des transports, ils ont abattu et jeté vivants 11 000 femmes, personnes âgées et enfants dans un immense ravin.
Dans la région de Kamenets-Podolsk, 31 000 Juifs ont été tués et exterminés, dont 13 000 personnes amenées de Hongrie.
Au moins 200 000 citoyens soviétiques ont été tués dans la région d'Odessa.
À Kharkov, environ 195 000 personnes ont été torturées, abattues ou étranglées dans des chambres à gaz.
À Gomel, les Allemands ont rassemblé les habitants en prison, les ont torturés, puis les ont emmenés au centre-ville et les ont abattus publiquement.
Source - documents du procès de Nuremberg.
N’y a-t-il pas trop de « dissidents » et de ceux « qui avaient une grande influence » tués ?…
Et bien. Nous avons soudainement décidé d'oublier que les Banedra ont tué leurs compatriotes. S’ils se battaient pour une idée, ne feraient-ils pas équipe avec tous ceux qui soutiennent cette idée ? Mais non, l'OUN s'est scindée en 1940 en deux organisations OUN-b (Banderaites) et OUN-m (Melnikovites).
Mais les partisans de Banera, bien sûr, l'expriment différemment : « Il y avait des conflits internes dans l'organisation : entre des jeunes inexpérimentés, impatients et des gens plus expérimentés et sensés qui avaient traversé la guerre et la révolution, entre les dirigeants de l'OUN, vivant dans des conditions d'émigration confortables, et la majeure partie des membres de l'OUN, travaillant dans des conditions de clandestinité et de persécution policière.
Source "STEPAN BANDERA",
Les Banderaites ont « essayé leur force » contre les OUN-Melnikovites. Puis, au cours de plusieurs mois en 1940, les services de sécurité liquidèrent environ 400 de leurs opposants politiques.
Ils se traqueront et se dénonceront ensuite au sein de la Gestapo tout au long de la guerre.
Des désaccords entre les participants ? Allez. 400 cadavres, est-ce juste un désaccord ? Pensez-y : ce ne sont pas des pertes pour toute la période de la Seconde Guerre mondiale. Ce sont les résultats d'un travail de plusieurs (!) mois à une époque où la guerre n'avait pas encore commencé. C’est ainsi qu’ils traitaient les « personnes partageant les mêmes idées ». Ou peut-être que c'était autre chose ?
Peut-être s’agissait-il d’une lutte pour le pouvoir et l’influence politique ? Car qui gérera l’argent allemand ? C'est peut-être inévitable lorsque vous trompez les gens en disant que vous vous battez pour la liberté et l'indépendance, mais en réalité, tout n'est pas tout à fait vrai ? C'est de la pure politique. Autrement, ils ne commenceraient pas à se battre entre eux, comme ils le font avec leurs concurrents politiques. C’est ce qu’ils font lorsqu’ils luttent pour le pouvoir, et non lorsqu’ils sauvent le peuple.
Mais ce n'est pas tout. Dans les relations entre les Banderaites eux-mêmes, tout ne s'est pas non plus déroulé sans heurts.
En 1943, le fil régional confie les tâches suivantes au Conseil de sécurité :
. « liquider » les déserteurs de l’UPA et battre à coups de baguette ceux qui échappent à la conscription ;
. continuer à « surveiller » la loyauté des membres de l’OUN eux-mêmes.
Au cours de l'été 1945, Bandera publia son célèbre décret trois fois secret, qui parlait notamment de la nécessité de « immédiatement et très secrètement... les éléments susmentionnés de l'OUN et de l'UPA (ceux qui pourraient se rendre à l'armée) autorités) à éliminer de deux manières : a) diriger des détachements importants et insignifiants de l'UPA pour combattre les bolcheviks et créer des situations permettant leur destruction par les Soviétiques aux postes et aux « embuscades » (« The Land Accuses », p. 150).
Maintenant, rassemblons ces faits.
Ils tuent leurs compatriotes et appellent cela la libération du peuple.
Ils tuent ceux qui partagent les mêmes idées et qui ont choisi un autre dirigeant, et appellent cela une lutte pour l’indépendance du pays.
Ils s’entretuent et se rendent, c’est ce qu’on appelle l’unité et la fraternité.
Je peux vous dire comment ça s'appelle. Tout cela s’appelle en un seul mot : TRAHISON.
Trahison du peuple.
Trahison de la Patrie.
Trahison de l'Idée.
Un traître est pire qu'un ennemi. L'ennemi a des principes. Le traître ne les a pas. L'ennemi a des valeurs, le traître n'a que de la valeur : sa propre peau.
L'historien Boris Yulin l'a écrit très clairement.
« Qu'est-ce que l'acte de trahison ? Cela réside dans le fait qu'un citoyen du pays se met délibérément au service des ennemis du pays. Il s’agit généralement d’une transition du côté de l’ennemi pendant les hostilités.
Puisqu’il y aura toujours un monstre moral qui considérera un tel acte comme raisonnable, la punition en cas de trahison a toujours été prévue dans tous les pays. Et c’est exact, car nous parlons de la survie du pays et du peuple. Détruire les traîtres, c'est comme l'amputation due à la gangrène ou l'élimination des vers. Il n’y a pas de temps pour l’humanisme ici.
L'acte de trahison est précisément lié à la conscience de l'action. Autrement dit, la personne comprend ce qu'elle fait.
Une petite nuance : il n'y a aucune excuse pour la trahison. Seuls des monstres comme le traître lui-même tentent de le retrouver. Par exemple, on attribue à un traître la lutte contre le régime.»
Pour nous, la trahison est aussi un acte que l’on ne pardonne pas. Il n’y a pas de délai de prescription pour cela.
Et nous nous en souviendrons lorsque nous nous rendrons aux barricades d’information.
Et nous nous souviendrons s’il nous arrive de nous rencontrer lors de vrais.
Gloire à la Russie !
P.S. Il existe une phrase bien connue : « Pour discréditer un libéral, il faut lui donner la parole ». Et même si les partisans de Bandera ne sont pas des libéraux, la méthode elle-même est capable de produire des résultats intéressants. Alors, je vous donne une citation de leur littérature officielle :
« Nous, Banderaites, nous caractérisons par un style de lutte révolutionnaire distinct et hautement héroïque. Elle repose sur l’idéologie inouïe et sans précédent de ceux qui participent à notre mouvement, sur notre profond patriotisme.»
C’est le texte de l’historien officiel du mouvement Bandera. Vous y trouverez beaucoup de choses intéressantes. Les partisans de Bandera n’avaient pas de point de vue commun et ils ont tellement menti que la réfutation de leurs mensonges peut être déduite des incohérences de leurs textes.
Aujourd'hui, à la télévision et sur Internet, de nombreuses informations sont consacrées à l'Ukraine. Le mot « Banderaites » apparaît de temps en temps dans les reportages.
Qui sont-ils et que font-ils en Ukraine ? Si vous cherchez la réponse par vous-même, sans l'aide de personnes compétentes, vous risquez de tomber sur des descriptions complètement incorrectes de ces personnes. Pour répondre à cette question, il faudra remonter le temps.
D'où viennent les partisans de Bandera ?
Le nom collectif « Bandera » est né du nom de l’un des dirigeants qui ont activement promu le nationalisme ukrainien. Stepan Bandera voulait tellement libérer sa nation des « non-Ukrainiens » qu’il s’en est pris brutalement à tous ceux qui avaient d’autres racines. La principale justification pour lui était qu'il s'efforce d'obtenir le plus rapidement possible la liberté et l'indépendance complètes du pays face à l'influence d'autres États et peuples.
En conséquence, aujourd’hui, les Banderaites sont ceux qui partagent l’idéologie de Bandera et veulent nettoyer l’Ukraine de ceux qui sont ethniquement « impurs ». Le banderaïsme est apparu pendant la Grande Guerre patriotique, mais il connaît aujourd'hui un second renouveau.
La vie de Stépan Bandera
Bandera lui-même n’était pas un Ukrainien de pure race. Il est né dans une famille de prêtres d'origine grecque. Le père a beaucoup appris aux enfants et a essayé de leur transmettre sa vision du monde. Peut-être que Stepan a alors absorbé la première partie du nationalisme de son père, qui s'est ensuite transformé en haine. De plus, la Première Guerre mondiale a également laissé une marque indélébile sur le psychisme d’un très jeune homme.
Alors qu’il était encore lycéen, Bandera a commencé à montrer des penchants nationalistes. Il a dirigé le mouvement de jeunesse dans l’ouest de l’Ukraine, essayant par tous les moyens d’obtenir son indépendance. Il convient de noter que Bandera n'avait pas peur d'utiliser même les moyens les plus dangereux, par exemple le terrorisme.
En tant qu'étudiant senior, Bandera a rejoint l'Organisation militaire ukrainienne, avec laquelle il a poursuivi ses activités après avoir obtenu son diplôme. Dans certaines villes, notamment à Lviv, Stepan était considéré comme une idole. C’est là que fut créée l’OUN, l’Organisation des nationalistes ukrainiens. Un uniforme spécial Bandera a même été développé.
À cette époque, les nationalistes consacraient beaucoup d’efforts à combattre leurs opposants politiques. Bandera avait donc déjà plusieurs victimes politiques. Pour l'un de ces crimes, le tueur a été condamné à mort, mais la peine a ensuite été commuée en emprisonnement à vie - mais il n'a même pas réussi à purger cette peine. Pendant l'occupation allemande de la Pologne, tous les nationalistes, y compris Bandera, ont été libérés. Cela s'est produit en 1939, juste au début de la Seconde Guerre mondiale.
Bandera considérait l’Union soviétique comme le principal ennemi du peuple ukrainien. Mais en même temps, il pensait que l’Allemagne n’aiderait pas les nationalistes ukrainiens à accéder à l’indépendance. En fait, c'est ce qui s'est passé : en 1941, Stepan a été arrêté en Allemagne, les nazis ayant des projets complètement différents pour l'Ukraine. Il a passé 3 ans en prison.
Après sa libération, Bandera est resté vivre dans l'Allemagne nazie et a créé une branche étrangère de l'OUN. Ses activités étaient très discrètes, il essayait de ne pas attirer l'attention et jusqu'à la fin de sa vie il marchait en toute sécurité. Cependant, il n'a toujours pas réussi à échapper à la tentative d'assassinat : en 1959, il a été tué par l'agent du KGB B. Stashinsky.
Après sa mort, Bandera s'est retrouvé avec une famille. Ses partisans ont maintenu leur confiance en leur leader et leur loyauté envers leur idéologie, y ajoutant leurs propres innovations cruelles. Ils ont commis de nombreux autres meurtres sur le territoire de l’Ukraine et de la Biélorussie, se cachant derrière les idées de Bandera.
Activités pendant la Seconde Guerre mondiale et après
Pendant que le dirigeant de Bandera était en Allemagne, ses partisans étaient actifs en Ukraine et combattaient d’abord contre l’occupation polonaise, puis passaient du côté de l’Armée rouge et du pouvoir soviétique. C’est alors que fut créée l’UPA – « l’armée insurrectionnelle ukrainienne », dont les ennemis étaient tous ceux qui n’étaient pas ukrainiens. Tous les « extras » devaient être éliminés par tous les moyens.
L'un des ardents fans de cette doctrine était Roman Shukhevych. Sous sa direction, de nombreuses familles d'origine polonaise furent tuées. On se souvient de cette période comme la plus sanglante de l’histoire de la région. Le village biélorusse de Khatyn a tout simplement été rayé de la surface de la terre. Des personnes de tous âges n'ont pas seulement été tuées, mais torturées avant de porter le coup fatal.
Affrontement
Sans aucun doute, le mouvement nationaliste avait ses ennemis. Après tout, les partisans de Bandera n’ont pas seulement tué des personnes d’autres nationalités. Cela a abouti à une terrible absurdité : des familles entières étaient massacrées si elles étaient fidèles aux Russes et ne soutenaient pas l’idéologie des radicaux. Les gens vivaient dans la peur et il était impossible de se défendre. À cette époque, l’Union soviétique envoyait des travailleurs du NKGB et du NKVD en Ukraine. Un travail est mené auprès de la population, des « escouades d'extermination » sont créées. Tous ceux qui voulaient aider à éliminer les gangs ont pris part aux combats. Finalement, le bien est devenu blanc : les derniers groupes clandestins de l'OUN-UPA ont été impitoyablement vaincus au milieu des années cinquante. Ce n’est qu’à ce moment-là que les attaques contre les civils ont cessé.
Qui sont aujourd’hui les partisans de Bandera en Ukraine ?
Dans l’Ukraine moderne, le mouvement Bandera a recommencé à renaître. Les jeunes sont les plus sensibles à cette idéologie radicale. Cependant, tout le monde ne connaît pas bien l’histoire et ne sait pas à quel point ce nationalisme trop ardent a causé de problèmes au pays où vivent les Banderaites d’aujourd’hui. L’ancienne génération ne les soutient pas particulièrement et regrette qu’ils n’aient pas exterminé tous les partisans de Bandera.
Aujourd'hui en Ukraine, l'anniversaire du leader est célébré avec éclat : des défilés ont lieu, les participants portent des portraits des dirigeants du mouvement et allument des torches. La fête se propage dans toute la ville, mais tous les habitants n'aiment pas le fanatisme envers Stepan Bandera et le drapeau rouge et noir de Bandera.
Les Banderaites d'aujourd'hui sont les combattants les plus actifs pour la liberté de l'Ukraine et d'ardents opposants aux Russes. Si vous recherchez sur Internet « photo du peuple Bandera », vous verrez qu'en apparence, ce sont pour la plupart des jeunes gens banals, sauf qu'ils portent des symboles nationaux. Lors des défilés, des banderoles rouges et noires et des drapeaux nationaux sont déployés et des banderoles avec des slogans sont brandies. Stepan Bandera est leur principale idole ; des monuments lui sont érigés et des chansons lui sont dédiées.
Cependant, tous les Ukrainiens ne devraient pas être classés dans cette direction. La majorité des habitants du pays ne sont pas du tout satisfaits de ce qui se passe en Ukraine. Heureusement, des incidents similaires survenus du vivant de Stepan Bandera et d’autres dirigeants du mouvement ne se reproduisent pas. Bien qu’il existe aujourd’hui de nombreuses histoires terribles sur la façon dont les partisans de Bandera commettent des atrocités en Ukraine, il ne faut pas tout croire, car toute la vérité sur les partisans de Bandera ne peut être apprise qu’en visitant le pays.
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