Inde ancienne : réalisations et inventions. P. Oleksenko

P. Oleksenko. Objets façonnés de l’Inde ancienne. Ce qui est écrit dans les Vedas

La science moderne tente d’inscrire toute l’histoire de l’humanité moderne dans un certain laps de temps. Que notre civilisation a commencé après le Grand Déluge, qui s'est produit il y a environ 5 à 6 000 ans. Avec cette approche, l’Inde ancienne est un artefact qui ne rentre pas dans la science traditionnelle et les idées modernes.

Voici quelques exemples :

Premier exemple. Le nombre 108, sacré en Orient, est un attribut du dieu Vishnu, gardien du monde. Selon les Vedas, cela indique la structure du monde. En effet, il montre le rapport des diamètres du Soleil et de la Terre, ainsi que le rapport de la distance Terre au Soleil sur le diamètre du Soleil. L'égalité des rapports du diamètre du Soleil au diamètre de la Terre et de la distance du Soleil à la Terre au diamètre du Soleil avec une précision de 1 % peut également susciter un certain intérêt. Exprimé en kilomètres, cela ressemble à ceci :
1 390 000: 12 751 = 109
149 600 000: 1 390 000 = 108
Question : où les prêtres de l'Inde ancienne, gardiens du savoir, connaissaient-ils ces proportions ?
Deuxième question : de telles proportions et ratios de 1 % peuvent-ils être un résultat aléatoire ?

Deuxième exemple. Déjà dans le Rig Veda, des mondes multidimensionnels dans lesquels vivent les dieux sont décrits. Notre société ne fait que se rapprocher de cette compréhension.

Troisième exemple. Le Mahabharata et le Ramayana décrivent des machines volantes - les vimanas, qui dans leurs caractéristiques de vol coïncident avec les descriptions des OVNIS.

Exemple quatre. L’ancienne épopée indienne décrit des guerres grandioses utilisant les armes des dieux (non seulement nucléaires, bombes à vide, pistolets à plasma, mais aussi d’autres types d’armes que l’humanité moderne est sur le point d’« inventer »).

Cinquième exemple. Plus de 4 000 sceaux ont été retrouvés dans les anciennes villes de l'Inde, dont beaucoup sont des doubles, et tous les signes de l'écriture la plus ancienne sont présents sur les sceaux, en pierre comme en métal ! Cela indique que nous avons devant nous les caractères métalliques imprimés les plus anciens au monde, utilisés dans le cadre d'une sorte d'activité organisée. On sait que l’impression sur bois existait en Inde et au Tibet il y a deux mille ans. Le canon bouddhiste a été imprimé au Cachemire et au Tibet et transporté en Asie centrale et en Chine au milieu du premier millénaire. Cela indique que l'idée de l'imprimerie était bien connue dans toute l'Asie il y a deux mille ans et n'a probablement jamais disparu depuis l'époque védique.

Exemple six. Selon les experts, l'ancienne langue sanscrit, dans laquelle les anciens textes indiens ont été écrits, est la langue la plus parfaite de toutes les langues existantes. Et il est presque idéal pour la programmation, éclipsant Fortran, Algol et d’autres langages.

Des exemples similaires peuvent être poursuivis, mais essayons de comprendre ces faits à partir des positions actuelles et dans le cadre de notre vision du monde.

D’où nous vient la connaissance sacrée ?

Comme vous le savez, tous les livres sacrés ont été créés par des dieux. Bien entendu, les dieux eux-mêmes n'ont pas pris la plume - ils ont eu recours à l'aide d'intermédiaires (prophètes, apôtres, sages), qui ont formalisé les paroles révélées sous forme de textes. Les dieux l'ont fait plus d'une fois. Par l’intermédiaire du prophète Moïse, les anciens Juifs ont reçu les Dix Commandements et la Torah ; par une double médiation (la médiation d'un ange et d'un apôtre), le Dieu le Père chrétien annonçait la fin du monde ; Le Coran est un texte « prononcé » par Allah et reçu par le prophète Mahomet. Dans l'Inde ancienne, les « textes de révélation » étaient rédigés par des rishis-sages parmi les prêtres qui savaient communiquer avec les dieux. Et selon les légendes, les premiers rishis étaient d'origine divine.

Ces anciens textes indiens, écrits en sanskrit, contiennent des connaissances couvrant tous les domaines de l'existence humaine. De plus, ces connaissances ont été transmises par tradition orale pendant des milliers d’années et, plus tard, elles ont été écrites sous forme de livres. Il s'agit tout d'abord des Vedas, l'ancienne épopée indienne du Mahabharata, qui se compose de 18 livres (soit cent mille vers) et du Ramayana, qui contient un million de strophes (soit cent volumes importants), plusieurs dizaines d'énormes Grands et petits Puranas, racontant le passé et l'avenir de l'humanité, contes historiques d'Itihasa, des centaines de livres de Tantras éthiques et philosophiques, 200 commentaires des Upanishads, six écoles philosophiques - darshan, de nombreux commentaires sur les Vedas sacrés, un grand nombre des traités scientifiques, dans lesquels se trouvent les grandes lignes de la théorie d'un champ unifié, et l'épistémologie la plus profonde, avec laquelle rien à l'Est ou à l'Ouest il n'y a rien à comparer, à la fois les mathématiques supérieures, l'informatique et l'éthique spatiale universelle , l'astronomie, étonnante par ses calculs et ses chiffres précis, et la critique textuelle scrupuleuse des Vedas, qui rappelle les principes des langages artificiels modernes comme le Fortran, et bien plus encore.

À ce jour, environ 2 000 000 d’œuvres en sanskrit ont survécu. Rien dans le monde moderne ne peut même être comparé de près à cette bibliothèque, puisqu'elle dépasse en volume toute la littérature du monde réunie. Dans sa profondeur, la littérature sanskrite plonge simplement dans le découragement les têtes les plus désespérées des déchiffreurs et des interprètes. Cependant, récemment, de nombreux chercheurs de différents pays arrivent de plus en plus à la conclusion que tous nos arts et sciences, comme les mathématiques, la physique, l'astronomie, la médecine, la philosophie, la musique, les contes de fées, les mythes et même les systèmes religieux, ont leurs racines dans les sciences et arts védiques correspondants, représentés par une gigantesque bibliothèque de textes et manuels anciens en sanskrit. Bien entendu, de nombreux chercheurs européens, n'ayant pas la moindre idée de l'ampleur du travail scientifique et culturel qui s'est poursuivi sans interruption en Inde pendant plusieurs milliers d'années, tentent de spéculer et de construire des hypothèses sur l'origine de ses peuples, par exemple les Indo. -Aryens ou Dravidiens, ou d'où viennent une telle connaissance et sagesse, intemporel !

La question de savoir qui, quand et où a compilé et écrit les Vedas et d’autres textes reste encore floue ou controversée. Mais comme nous le savons, un niveau élevé d’éducation des personnes ne se trouve que dans les États forts dotés d’une économie (peu importe sur quoi elle repose) et d’une culture développées.

Ce qui est écrit dans les Vedas

Selon les Vedas et d’autres textes indiens anciens, l’humanité existe depuis des millions d’années. Et l’homme n’est jamais descendu du singe. Selon les Vedas, il existe quatre grandes époques de l'humanité : Satya Yuga, Dvapara Yuga, Treta Yuga et Kali Yuga, qui ont commencé le 18 février 3102 avant JC. ANNONCE Le cycle complet dure environ 4,5 millions d'années. Après la fin du Kali Yuga, le Satya Yuga et un nouveau cycle recommenceront.

Selon les Vedas, les ancêtres de tous les peuples sont les sages Manu - les fondateurs de l'humanité, venus des systèmes planétaires supérieurs, les planètes des dieux, et qui ont peuplé la Terre pendant l'âge d'or, lorsque notre planète entière, y compris le pôles, avait un climat doux et favorable.

En plus des concepts de ciel et de terre, d'en haut et d'en bas, qui sont assez courants dans la plupart des religions, les Vedas contiennent des concepts tels que « l'infini », « l'illusion du monde », « la matière », « l'énergie », etc. Les scientifiques sont convaincus que l’univers n’est pas gouverné par des dieux, mais par des lois fondamentales éternelles qui existent par elles-mêmes. Cependant, peu de gens pensent au Créateur de ces lois, à la manière dont elles sont liées les unes aux autres et à leur objectif.
L'ancienne sagesse des textes védiques témoigne que la conscience est la base des processus cosmiques. La preuve que des êtres intelligents supérieurs sont responsables des phénomènes de la nature et des éléments se trouve également dans d’autres cultures du monde. Si on pose la question :Quelle est la différence entre les dieux, les hommes et les animaux ? alors l’une des réponses sera celle-ci : la dimension de la conscience. Les animaux ont une conscience bidimensionnelle, les humains une conscience tridimensionnelle et les dieux une conscience quadridimensionnelle ou multidimensionnelle. Cela peut expliquer pourquoi la civilisation des dieux a si peu de contacts avec la civilisation des humains. Dans quelle mesure les gens communiquent-ils avec les animaux et essaient-ils de leur apprendre à vivre ?

Les Vedas servaient de moyen de communication entre le microcosme (l'homme) et le macrocosme (dieu). La méthode de communication était le sacrifice et son sens était l'harmonisation de l'existence. La culture védique, basée sur des principes esthétiques, a établi la stabilité émotionnelle de l'homme en l'impliquant dans de bonnes activités et dans de bonnes relations. Dans la société védique, chaque représentant était potentiellement et a priori porteur de l'un ou l'autre niveau de conscience.

Le premier et le plus ancien des quatre Vedas estRig Véda. Et le plus étonnant, c'est que le Rig Veda ne ressemble en rien à un faible ruisseau d'où naît finalement un grand fleuve. Au contraire, il peut être comparé à un immense lac majestueux, qui étonne plus que ce qui en découle, et en même temps reste toujours une source. Bien sûr, quelque chose doit exister avant le début, mais nous n’en savons rien et ne pouvons que le deviner.

Déjà dans le Rig Veda, les problèmes de l'origine et de la structure de l'Univers sont envisagés. Les sages de l’Inde ancienne n’avaient aucun doute sur le fait que l’Univers avait été créé par quelqu’un. Ils croyaient qu’il existait plusieurs mondes interpénétrés, habités par des dieux, des humains et d’autres créatures. Les Vedas disent qu’il n’existe aucun endroit ni territoire dans l’Univers qui ne soit habité par des êtres vivants. Même au soleil, vivent des êtres vivants dotés de types de corps spéciaux adaptés à un habitat ardent. De nombreuses zones et territoires inexplorés de notre planète sont décrits, qui se situent dans d'autres dimensions et qui seront ouverts aux humains dans un avenir proche ! Les Védas disent que dans différentes parties de l'Univers, l'espace est organisé selon ses propres lois et que sur chaque planète, le temps s'écoule de manière complètement différente.

Les Vedas parlent des possibilités étonnantes d'influencer l'environnement à l'aide d'une science spéciale du sacrifice, qui décrit les méthodes permettant d'influencer les processus énergétiques subtils se produisant dans la nature. Grâce à cette science, il a été possible de contrôler la fertilité des sols, le climat et de prévenir les catastrophes naturelles. Il est intéressant de noter qu'à cette époque, il ne pleuvait que la nuit, afin de ne pas gêner les gens qui vaquaient à leurs occupations et profitaient de la vie pendant la journée. Ce fait montre que les hommes du passé, grâce à leurs connaissances, pouvaient vivre en parfaite harmonie avec le monde qui les entourait. De plus, comme l'affirment les Vedas, avant le début du Kali Yuga, les gens étaient responsables même de leurs pensées, et le dirigeant était responsable non seulement de son peuple, mais aussi du temps qu'il faisait dans son État.

De nombreux hymnes du quatrième Veda (Atharva Veda) sont consacrés à l'anatomie, à la physiologie et à la chirurgie, c'est pourquoi de nombreux chercheurs s'accordent à dire que l'Atharva Veda, dans une certaine mesure, peut être considéré comme l'une des premières sources de connaissances ayurvédiques que nous connaissons. Les sorts de l'Atharva Veda étaient utilisés pour réussir dans l'agriculture, l'artisanat, une bonne progéniture, la santé et le bien-être matériel.

Vedas - anciennes connaissances à plusieurs niveaux

En général, les Vedas sont d'anciennes connaissances à plusieurs niveaux.Classiquement, la connaissance des Vedas peut être divisée en matière matérielle et spirituelle.Le premier comprend par exemple la médecine védique « Ayurveda », qui explique que le corps de chaque personne est différent, il doit être traité en fonction du type de corps et des flux d’énergie dans le corps. Autre exemple : l'architecture védique « Vastu » correspond aux lois de la conception de l'espace, ce qui est aujourd'hui mieux connu dans la version chinoise sous le nom de « Feng Shui ». Ainsi,la connaissance matérielle des Vedas est une connaissance de la vie dans ce monde. Le sens de la connaissance matérielle des Vedas est de rendre la vie d’une personne plus harmonieuse et plus confortable.

La connaissance spirituelle des Vedas parle des principeskarma – la loi de la création du destin, sur les principesréincarnation – réincarnation de l'âme sur cette planète et dans d'autres dimensions de l'Univers, le concept d'avatar est également esquissé - la descente des dieux dans le monde humain terrestre. Les Vedas nous apprennent comment dépasser le monde matériel, le monde de la naissance et de la mort, et atteindre le monde spirituel.
La connaissance spirituelle des Vedas est considérée comme ses branches les plus élevées. Par exemple, le Bhavishya Purana parle de la venue de Jésus-Christ (la date exacte à laquelle ce texte védique a été créé n'est pas connue, mais il est définitivement établi qu'il existait déjà il y a 5000 ans, soit 3000 ans avant la venue de Jésus-Christ) . Le Bhavishya Purana nomme la tribu juive des Amalikis, dans laquelle apparaîtra Isha Putra, qui signifie le fils de Dieu. Il déclare qu'il naîtra d'une femme célibataire nommée Kumari (Maria) Garbha Sambhava. On dit qu'à l'âge de 13 ans, il se rendra avec les pèlerins en Inde, où, sous la direction de mentors spirituels, il comprendra la connaissance sacrée, et après 18 ans, après avoir terminé son éducation spirituelle, il reviendra. en Palestine et commencer à prêcher. En outre, le Bhavishya Purana décrit la venue de Bouddha, de Mahomet et d’autres grands prophètes et personnalités.

Bien entendu, notre conscience moderne est difficilement capable d’assimiler les informations que dissimulent les anciens textes indiens. Ils changent trop nos idées établies. Cependant, si nous essayons néanmoins de résumer et d'analyser ces informations d'une manière ou d'une autre, nous devrons inévitablement tirer la conclusion suivante : Les Vedas contiennent la connaissance la plus complète dans tous les domaines de la vie, en commençant par l'agriculture et en terminant par le but de la vie humaine et les modes de vie. de son auto-amélioration.

Il semble que Dieu, ayant créé le monde, y ait ajouté les textes sacrés des Védas comme instructions.

Science et technologie dans l'Inde ancienne

Il existe également des connaissances techniques dans les Vedas et d’autres textes indiens anciens que nous ne faisons que comprendre. Par exemple, les méthodes permettant de créer une explosion nucléaire grâce à l'utilisation d'énergie psychique et de formules de discours mystiques spéciales -mantra Le Mahabharata décrit la forme d'une explosion nucléaire, comparée à un parapluie qui s'ouvre, et les conséquences d'une destruction nucléaire. Il est facile de proposer une arme qui détruit tout le monde, mais il est impossible de proposer la forme et les conséquences de la destruction nucléaire - vous devez les connaître.

Dans l’Inde ancienne également, il existait des technologies qui permettaient de créer divers appareils volants, connus sous le nom de « vimanas". Le scientifique indien Narin Shah d'Hyderabad a étudié attentivement le texte védique « Vimanika Shastra » (« L'art de créer des machines volantes »). Sur la base des informations contenues dans ce document, il a réussi à créer et à breveter trois alliages dotés de caractéristiques aéronautiques uniques. Dans le Rig Veda, le redoutable dieu Indra parcourait l'espace à bord d'un dirigeable, faisant la guerre aux démons, détruisant les villes avec ses terribles armes. Les machines volantes des anciens étaient décrites comme des « météores entourés d’un puissant nuage », comme « une flamme dans une nuit d’été », comme « une comète dans le ciel ».

Comment évaluer ces descriptions ? Le moyen le plus simple est de considérer les rapports sur les machines volantes comme de la fantaisie et de l'imagination. Mais même un sceptique ne se méfierait-il pas de ce détail : les dieux et les héros indiens se battent dans les cieux non pas sur des dragons ou des oiseaux, mais sur des « avions » habités avec à leur bord des armes terribles ? Les descriptions contiennent une base technologique bien réelle.

Par exemple, un chapitre entier du traité « Vimanik Prakaranam » est consacré à une description du dispositif unique « Guhagarbhadarsh ​​​​​​Yantra », qui a été installé sur un avion. Comme indiqué dans le livre, grâce à son aide, il a été possible de déterminer l'emplacement d'objets cachés sous terre à partir d'un « vimana » volant. Selon certains experts, il s’agirait d’armes anti-aériennes ennemies stationnées sous terre.
Le « Guhagarbhadarsh ​​​​​​Yantra » n’est que l’un des 32 appareils ou instruments qui, selon les descriptions, pourraient être installés sur un avion et utilisés pour observer des cibles ennemies cachées. Le livre contient des descriptions de divers appareils qui, selon les concepts actuels, remplissaient les fonctions de radar, de caméra, de projecteur et utilisaient notamment l'énergie du soleil, ainsi que des descriptions de types d'armes destructrices, d'alliages pouvant résister des températures très élevées sont décrites. La technologie mentionnée dans le livre est fondamentalement différente de la technologie spatiale moderne. Les avions étaient propulsés par une sorte d’énergie interne plutôt que par du carburant.

Les textes indiens anciens, en particulier le Mahabharata et le Ramayana, décrivent la vie des dieux et leur incarnation sur terre, décrivent des guerres cosmiques entières entre dieux, dévas et asuras, qui ont eu lieu non seulement sur Terre, mais aussi dans l'espace, au cours desquelles les Les armes des dieux et les armes des éléments étaient utilisées : le feu, l'eau, l'air et l'éther.

Védas sur les êtres intelligents

Selon les Vedas et d’autres textes indiens anciens, de nombreux êtres vivants différents vivent non seulement à la surface de notre planète, mais également dans des dimensions et des sphères parallèles et supérieures à l’intérieur de la Terre. Une caractéristique frappante est que différentes races d'êtres intelligents (tels que les Siddhas, Charanas, Gandharvas, Apsaras, Uragas, Guhyakas, Vidyadharas, Danavas, Nagas, Maruts, Rakshasas, Nairrits et autres) sont souvent décrites comme vivant et travaillant ensemble. ami, même malgré la différence de comportement et de structure corporelle. La Bhagavata Purana et la Bhagavad Gita disent qu'il y a plusieurs milliers d'années, les êtres intelligents, y compris les humains, vivaient en moyenne 1000 ans. Et plusieurs centaines de milliers d’années plus tôt, leur espérance de vie était de 10 000 ans. Et les dévas (demi-dieux qui peuvent prendre la forme d’un humain), qui sont les administrateurs de notre Univers, vivent des millions d’années selon le temps terrestre.

Les Vedas expliquent que voyager vers d'autres mondes est possible. Dans les temps anciens, cela aurait pu être un voyage vers d’autres étoiles, vers les dimensions supérieures de notre système stellaire et d’autres. Il est tout à fait possible de quitter les limites de l’Univers et de voyager dans l’espace multidimensionnel. Vous et moi sommes habitués à penser que voyager n’est possible que dans un espace tridimensionnel.

La signification de toutes ces descriptions n’est devenue plus facile à comprendre pour l’homme moderne qu’avec l’avènement de la théorie de la relativité et de la théorie de la multidimensionnalité de notre espace. Bien sûr, la description de la structure de l'Univers et des êtres vivants qui habitent notre planète et l'Univers semble très inhabituelle et mythique pour un Occidental, car elle contient de nombreuses idées étrangères aux concepts occidentaux. Cependant, ces textes anciens contiennent de nombreuses idées sur l’univers qui sont fondamentales pour la science moderne.

Systématisation de la tradition védique existante et existante.

Le mot sanskrit véda signifie « connaissance », « sagesse » et vient de la racine vid-, « savoir », liée à la racine proto-indo-européenne ueid-, signifiant « connaître », « voir » ou « voir ». savoir », c’est-à-dire « connaître » en tant qu’expert et en tant que « connaisseur » narrateur.

En tant que nom, le mot est mentionné juste une fois dans le Rig Veda. Il est lié au proto-indo-européen ueidos, grec (ϝ)εἶδος « aspect », « forme » - la source de la racine grecque ἰδέα, russe connaître, repérer, goûter, gérer, esprit anglais, témoin, sagesse, vision. (ce dernier du latin vidéo, videre), allemand wissen (« connaître », « connaissance »), norvégien viten (« connaissance »), suédois veta (« connaître »), polonais wiedza (« connaissance »), veda biélorusse (« connaissance »), le latin vidéo (« je vois »), le tchèque vím (« je sais ») ou vidím (« je vois ») et le néerlandais weten (« savoir »).

Le mot sanscrit veda dans son sens fondamental de « connaissance » est également utilisé en relation avec des sujets d'études qui ne sont pas liés à la liturgie et aux rites religieux, par exemple : agada-veda « science médicale », sasya-veda « science agricole ». " ou sarpa-veda. Veda « science des serpents » (qui est déjà mentionnée dans les premiers Upanishads) ; durveda signifie « ignorant ».

Les Vedas sont la connaissance la plus ancienne du monde, les monuments les plus anciens de la littérature indienne, créés à la fin du IIe millénaire - la 1ère moitié du Ier millénaire avant JC. e. dans la langue indienne ancienne (védique). Les Vedas, ou littérature védique, comprennent plusieurs catégories de monuments, se succédant chronologiquement :

1. les Vedas eux-mêmes ou sayahits, quatre recueils d'hymnes, chants et formules sacrificielles (Rigveda, Samaveda, Yajurveda et Atharvaveda),
2. Brahmanes - traités théologiques expliquant le rituel sacerdotal ;
3. Les Aranyakas et les Upanishads sont des œuvres philosophiques en vers et en prose, parmi lesquelles 12 à 14 premières Upanishads se distinguent par leur signification et leurs mérites littéraires.

Les bases de la connaissance védique commencent par la compréhension que l’âme est différente du corps. Presque toutes les écoles de connaissance védique sont d'accord avec l'expression « aham brahmasmi » – « Je suis une âme différente de ce corps ». L'âme dans les Vedas est appelée jiva ou jivatma, c'est-à-dire "être vivant".

Un autre trait caractéristique de la connaissance védique est qu'il existe un changement cyclique de quatre ères sur Terre :

• satya-yuga, (satya-yuga dure 1 728 000 ans, à cette époque les habitants de la Terre vivaient en moyenne 100 000 ans) ;
• Treta-Yuga (Treta-Yuga dure 1 296 000 ans, à cette époque il y avait plus de gens sur Terre et leur vie était réduite à 10 000 ans) ;
• dvapara-yuga (dvapara-yuga dure 864 000 ans, l'espérance de vie à cette époque est passée à 1 000 ans. À propos, la Bible dit qu'Adam et ses fils ont vécu 900 ans. Le temps décrit dans la Bible approche du dvapara-yuga );
• Kali-yuga (Le Kali-yuga dure 432 000 ans. Il faut dire que nous vivons au tout début du Kali-yuga. Le Kali-yuga a commencé il y a environ 5000 ans. Plus précisément, le 18 février 3102 avant JC selon le calendrier grégorien Dans le Kali-yuga Yugul, les gens vivent 100 ans, mais à la fin du Kali Yugi, les gens vivront 10 à 15 ans. Dans le Srimad-Bhagavatam, la venue d'un avatar du Seigneur nommé Kalka est prédite à la fin du Kali. Yuga (dans 427 000 ans), qui détruira la civilisation démoniaque et dégradée et commencera un nouveau satya-yuga).

Mais ce ne sont que des digressions. Revenons aux principaux livres qui composent les Védas.

Les Vedas sont les écritures les plus célèbres de l'hindouisme. On pense que les Vedas n'ont pas d'auteur et qu'ils ont été « clairement entendus » par les saints sages d'un passé lointain, et plusieurs millénaires plus tard, lorsque, en raison du déclin spirituel de l'humanité avec le début du Kali Yuga, de moins en moins moins de gens cherchaient à étudier les Vedas et à les transmettre oralement (comme l'exige la tradition) de génération en génération, Vedavyasa (« compila les Vedas ») structura les écritures qui restaient disponibles à cette époque et organisa leur enregistrement, formalisant ces textes dans le quatre Védas :

• Rigvéda,
• Samaveda,
• Yajurvéda et
• Atharva Véda.

Le Rig Veda (Rig Veda Samhita est son texte réel ; c'est un Veda d'éloge) se compose de 10 522 (ou 10 462 dans une autre version) slokas (versets), dont chacun est écrit dans un certain mètre. Les versets du Rigveda en sanskrit sont appelés « rik » - « parole d'illumination », « clairement entendue ». Le Rig Veda est principalement consacré aux hymnes mantras louant le Seigneur et ses diverses incarnations sous forme de divinités, les plus fréquemment mentionnées étant Agni, Indra, Varuna, Savitar et autres. Se compose d'hymnes de mantra destinés à être répétés par les principaux prêtres

Samaveda (chant rituel de mantras) se compose de 1875 vers, et 90 % de son texte répète les hymnes du Rigveda, sélectionnés pour le Samaveda pour leur son mélodique particulier. Le Samaveda contient des mantras destinés à être répétés par les prêtres-chanteurs Udgatri.

Le Yajurveda (méthodes d'exécution des sacrifices, formules sacrificielles Veda), composé de 1984 versets, contient des mantras et des prières utilisés dans les rituels védiques. Plus tard, en raison de contradictions entre les nombreuses écoles philosophiques du Yajurveda, il fut divisé en Shuklayajurveda (« Yajurveda léger ») et Krishnayjurveda (« Yajurveda sombre »), et ainsi les Vedas devinrent cinq. Contient des mantras destinés aux prêtres-assistants d'adhvaryu.

Contrairement aux trois autres Vedas, les mantras Atharva Veda ne sont pas directement liés aux sacrifices cérémoniels, à l'exception de certaines pratiques dans lesquelles les prêtres brahmanes utilisent les mantras Atharva Veda pour neutraliser les effets néfastes en cas d'erreurs. Sa première partie se compose principalement de formules et de sorts magiques consacrés à la protection contre les démons et les catastrophes, à la guérison des maladies, à l'augmentation de l'espérance de vie, à la satisfaction de divers désirs et à la réalisation de certains objectifs de la vie. La deuxième partie contient des hymnes philosophiques.

L'accent pratique de l'Atharva Veda a joué un rôle dans le fait qu'il n'a pas été reconnu pendant longtemps comme l'un des Vedas par les partisans du Tray Veda (trois Vedas). La confrontation féroce qui a commencé à l'époque des sages atharviques Bhrigu et Angiras et du Trayastic Vasishtha, en particulier, a coûté la vie à Vasishtha, à son petit-fils Parashara et à d'autres saints sages, et seulement au fils de Parashara - Krishna Dvaipayana (le nom donné à Vedavyasa à la naissance) au prix de efforts diplomatiques et héroïques. Seuls les efforts parvinrent à réconcilier les partisans de ces quatre Vedas lorsque, à la cour de l'empereur Shantanu, un Yajna de 17 jours fut organisé pour la première fois avec la participation de prêtres de chacun des quatre Vedas, et l'Atharva Lora (« lora » signifie « tas de connaissances ») a été reconnu comme l'Atharva Veda.

Et enfin, une petite note intéressante : des textes comme le Mahabharata, le Srimad Bhagavatam, le Ramayana et d'autres épopées et enseignements hindous (ainsi que toute la littérature Hare Krishna) du point de vue scientifique tout à fait officiel de la védologie tant en Inde que dans le monde. ne sont pas des textes védiques, et ils font référence à la « littérature védique » exclusivement au sens figuré, en fait, dans le désir de Krishna Prabhupadas de prendre un vœu pieux.

De plus, le terme upaveda (connaissance secondaire) est utilisé dans la littérature traditionnelle pour désigner des textes spécifiques. Ils n’ont rien à voir avec les Vedas, mais représentent simplement un sujet d’étude intéressant. Il existe différentes listes d'éléments liés à l'Upaveda. Charanavyuha mentionne quatre Upavedas :

1. L'Ayurveda - « médecine », est adjacente au « Rig Veda ».
2. Le Dhanur Veda – « arts martiaux », est adjacent au Yajur Veda.
3. Le Gandharva Veda - « musique et danses sacrées » est adjacent au Sama Veda.
4. Astra Shastra - « science militaire », est adjacente à l'Atharva Veda.

Dans d'autres sources, l'Upaveda comprend également :

1. Sthapatya Veda - architecture
2. Shilpa Shastras - Arts et artisanat

Ainsi, les Vedas constituent la connaissance la plus ancienne du monde. Eh bien, l'exactitude de ces connaissances sera démontrée (et est démontrée) par son application pratique efficace (ou inefficace).

Basé sur des documents de Wikipédia et http://scriptures.ru/vedas/

Des légendes issues des temps anciens suggèrent que les civilisations précédentes auraient pu être détruites par leurs propres scientifiques, qui, par inadvertance, auraient provoqué le déplacement de forces titanesques sur l'axe de la Terre. Les cataclysmes qui en ont résulté ont modifié le climat et plongé des pays fiers dans la mer. Le souvenir ancestral de la destruction de la Lémurie et de l'Atlantide a incité les initiés de l'Inde ancienne à garder soigneusement la sagesse qui leur était connue. Ils ont transmis des connaissances dangereuses de génération en génération à quelques étudiants seulement. Parfois, les traditions orales étaient préservées sous forme d’écrits courts et discrets sous forme de symboles qui, pour éviter les abus, ne pouvaient être lus que par les adeptes.

La connaissance des réalisations des sages anciens donne un aperçu de la culture reçue des civilisations perdues de l’Inde ancienne. Bien entendu, ils n'ont pas du tout été réanimés grâce aux fouilles de Mohenjo-Daro. Mais ils sont probablement connus du clergé des temples hindous. Les prédécesseurs des hindous ont formulé les religions du monde et ont jeté les bases de l’école de philosophie védantique. Ils ont donné au monde un merveilleux système de yoga : Znani Yoga de la sagesse, Raja Yoga de l'esprit, Hatha Yoga du corps, Bhakti Yoga de l'amour, Karma Yoga du travail et Mantra Yoga du son.

Tous, mêlant mysticisme et vie quotidienne, développent une conscience de la relation de l'homme à l'Univers. Kaushitaki Brahmana le prouve en 3100 avant JC. e. les initiés avaient des idées avancées sur l’astronomie. Le scientifique indien Brahmagupta du VIIe siècle affirmait que la Terre était ronde et tournait autour du Soleil. Il a également rapporté la loi de la gravitation universelle, un fait inconnu dans les temps modernes avant Copernic et Newton. Les chiffres dits arabes, apparus en Europe au IXe siècle, sont en réalité originaires de l'Inde, dont les mathématiciens ont inventé le système de comptage décimal), l'algèbre, le calcul différentiel et intégral.

Les anciens initiés connaissaient la loi de la gravité et prédisaient la vitesse de la lumière. Bien avant Démocrite et nos physiciens nucléaires, le Kananda indien avait formulé la doctrine atomique. On suppose que les anciens habitants de l'Inde utilisaient des forces électriques dont les secrets sont aujourd'hui perdus, et il est possible que leurs initiés, possédant des connaissances secrètes, aient fabriqué des bombes nucléaires en utilisant une technologie beaucoup plus simple que la technologie moderne. Il est probable qu’ils maîtrisaient les principes du vol et construisaient des avions utilisant du combustible nucléaire, comme le montre l’épopée indienne. Les philosophes de l'école Waisesaki ont réduit le temps à un brillant concept mathématique, définissant la plus petite unité de temps, le kala, comme la période nécessaire à un atome pour parcourir sa propre unité d'espace, et la plus grande comme la période de vie de l'univers entier. , tel que défini par les anciens voyants.

Dans l’Inde ancienne, les hindous étaient de grands alchimistes ; même avant 1000 avant JC. e. ils cherchaient l'élixir de vie, ils connaissaient la composition de l'eau et les propriétés occultes des métaux, qui constituent une science secrète qui nous est aujourd'hui inconnue. Leurs connaissances dans le domaine de la médecine et de la pharmacologie étaient étonnantes : les anciens chirurgiens effectuaient les opérations les plus délicates pour enlever la cataracte. Quant à la musique, leurs ménestrels ont inventé le sol-fa tonique bien avant le médiéval Guy d'Arszo. La plus grande réussite de l’Inde ancienne était le sanscrit – la langue la plus étonnante, plus parfaite que le grec, plus riche que le latin et plus raffinée que les deux.

Je recommande à tous ceux qui s'intéressent à l'histoire ancienne, à l'âge et à l'origine de l'humanité de lire l'ouvrage de P. Oleksenko « Artefacts de l'Inde ancienne », qui raconte les connaissances étonnantes contenues dans les Vedas et d'autres livres indiens anciens écrits en sanskrit. Une conclusion est tirée sur la primauté du sanskrit, ainsi que sur sa similitude avec de nombreuses langues du monde, et on suppose que le sanskrit est la langue de la communauté nostratique.
Le travail de P. Oleksenko fournit des informations intéressantes selon lesquelles les sons sanscrits sont en harmonie naturelle avec les vibrations cosmiques. Par conséquent, même la simple écoute et lecture de textes sanscrits a un effet bénéfique sur le corps et le psychisme humain et contribue également aux quêtes spirituelles. L'auteur cite une légende indienne sur l'origine du sanskrit, selon laquelle les anciens yogis éclairés captaient cinquante vibrations différentes émanant des chakras, et chacune de ces vibrations subtiles devenait l'une des lettres de l'alphabet sanskrit, c'est-à-dire que le sanskrit est interne énergies exprimées en sons.
L'hypothèse de P. Oleksenko selon laquelle le sanskrit était la langue du peuple serpent - les nagas ou la langue de communication entre eux et les dévas - semble assez intéressante et justifiée.
En même temps, je trouve très controversé (malgré leur apparente conviction) le raisonnement de l'auteur selon lequel la patrie ancestrale du sanskrit était la civilisation de l'Indus et du Saraswati, et que le sanskrit a été créé sur la base de l'écriture de l'Indus, ainsi que la conclusion qui en résulte que les origines de la communauté nostratique se trouvaient dans la péninsule de l'Hindoustan. Il y a trop d'informations contenues dans les Vedas et d'autres textes indiens anciens qui vont bien au-delà des frontières de l'Hindoustan et sont davantage liées à un autre continent antique - l'Hyperborée, où, selon les reconstructions que j'ai effectuées dans le livre « Terre du Immortels, mages et sorciers. Lorsqu’il y avait un « âge d’or » sur Terre, vivaient des dieux ou des jeunes filles blanches.
Il me semble également que celle donnée par l'auteur - le 18 février 3102 avant JC - est sous-estimée de plusieurs ordres de grandeur. J.-C., d'autant plus qu'elle est plus récente qu'un certain nombre de dates de datation existantes pour la rédaction des Vedas et d'autres textes indiens anciens (l'auteur lui-même en parle à propos du Bhavisya Purana) - et pourtant les textes contenus dans les Vedas, avant ils ont été écrits, transmis oralement pendant de nombreuses générations.

L'affirmation de l'auteur selon laquelle il y a plusieurs milliers d'années l'espérance de vie des êtres intelligents était de 1 000 ans, et il y a plusieurs centaines de milliers d'années - 10 000 ans, ne semble pas non plus convaincante. Comme je l'ai montré dans mes livres et ouvrages « La formation d'une nouvelle terre, d'un nouveau ciel et de nouveaux peuples », « Il y a 5,2 millions – 12,5 mille ans - de la création du monde au déluge », «Encore une fois sur l'époque de la Création du monde et du déluge biblique (de Noé). Ajustements apportés par la géologie et le folklore" et d'autres, les êtres intelligents avaient une telle espérance de vie bien plus tôt (il y a des millions d'années).

Malgré les désaccords que j'ai exprimés, l'ouvrage de P. Oleksenko « Artefacts de l'Inde ancienne » deviendra sans aucun doute une perle dans la collection d'œuvres publiées sur le site.

La science moderne tente d’inscrire toute l’histoire de l’humanité moderne dans un certain laps de temps. Que notre civilisation a commencé après le Grand Déluge, qui s'est produit il y a environ 5 à 6 000 ans. Avec cette approche, l’Inde ancienne est un artefact qui ne rentre pas dans la science traditionnelle et les idées modernes.
Voici quelques exemples :
Premier exemple. Le nombre 108, sacré en Orient, est un attribut du dieu Vishnu, gardien du monde. Selon les Vedas, cela indique la structure du monde. En effet, il montre le rapport des diamètres du Soleil et de la Terre, ainsi que le rapport de la distance Terre au Soleil sur le diamètre du Soleil. L'égalité des rapports du diamètre du Soleil au diamètre de la Terre et de la distance du Soleil à la Terre au diamètre du Soleil avec une précision de 1 % peut également susciter un certain intérêt. Exprimé en kilomètres, cela ressemble à ceci :
1 390 000: 12 751 = 109
149 600 000: 1 390 000 = 108
Question : où les prêtres de l'Inde ancienne, gardiens du savoir, connaissaient-ils ces proportions ?
Deuxième question : de telles proportions et ratios de 1 % peuvent-ils être un résultat aléatoire ?
Deuxième exemple. Déjà dans le Rig Veda, des mondes multidimensionnels dans lesquels vivent les dieux sont décrits. Notre société ne fait que se rapprocher de cette compréhension.
Troisième exemple. Le Mahabharata et le Ramayana décrivent des machines volantes - les vimanas, qui dans leurs caractéristiques de vol coïncident avec les descriptions des OVNIS.
Exemple quatre. L’ancienne épopée indienne décrit des guerres grandioses utilisant les armes des dieux (non seulement nucléaires, bombes à vide, pistolets à plasma, mais aussi d’autres types d’armes que l’humanité moderne est sur le point d’« inventer »).
Cinquième exemple. Plus de 4 000 sceaux ont été retrouvés dans les anciennes villes de l'Inde, dont beaucoup sont des doubles, et tous les signes de l'écriture la plus ancienne sont présents sur les sceaux, en pierre comme en métal ! Cela indique que nous avons devant nous les caractères métalliques imprimés les plus anciens au monde, utilisés dans le cadre d'une sorte d'activité organisée. On sait que l’impression sur bois existait en Inde et au Tibet il y a deux mille ans. Le canon bouddhiste a été imprimé au Cachemire et au Tibet et transporté en Asie centrale et en Chine au milieu du premier millénaire. Cela indique que l'idée de l'imprimerie était bien connue dans toute l'Asie il y a deux mille ans et n'a probablement jamais disparu depuis l'époque védique.
Exemple six. Selon les experts, l'ancienne langue sanscrit, dans laquelle les anciens textes indiens ont été écrits, est la langue la plus parfaite de toutes les langues existantes. Et il est presque idéal pour la programmation, éclipsant Fortran, Algol et d’autres langages.
Des exemples similaires peuvent être poursuivis, mais essayons de comprendre ces faits à partir des positions actuelles et dans le cadre de notre vision du monde.

La vie dans la péninsule de l’Hindoustan a commencé il y a si longtemps qu’il est difficile de choisir un point de départ pour décrire les réalisations culturelles de l’Inde ancienne. Cinq, voire six mille ans, ce n’est pas une blague ; une analyse complète sera donnée dans un court article. Nous nous limiterons donc à de brèves informations.

Caractéristiques de la culture

Il existe un grand nombre de peuples, de tribus et, par conséquent, de langues en Inde. Contrairement à la culture européenne, elles se sont développées de manière complètement séparée et indépendante, et ce qu’un Européen considère comme fondamental ne l’est pas pour un résident indien. Nous pensons de manière empirique, mais en Inde, nous pensons de manière abstraite. Nous pensons selon des catégories éthiques, en Inde - selon des catégories rituelles. Le rituel est bien plus important que la moralité. La pensée européenne est juridique (droit, droits de l’homme), en Inde c’est un mythe dans lequel tous les droits sont noyés. Nous pensons en termes collectifs, mais en Inde, seuls le salut personnel et la renaissance sont importants. Les catégories « peuple », « nation », « tribu », « coreligionnaires » ne sont pas très claires pour les Indiens. Mais ils étaient néanmoins unis par une religion dans laquelle il n’y a pas de systématicité. Ci-dessous, nous parlerons de l'hindouisme, qui est toujours vivant et qui a été créé par l'Inde ancienne. Les réalisations de ses pratiques spirituelles sont également appréciées par les représentants d'autres civilisations.

Origine de la vie

Les premiers habitants vivaient dans les villes de Harappa et Mohenjo-Daro dans la vallée de l'Indus. Mais on sait peu de choses à leur sujet. C'était la population noire (Dravidiens). Les tribus nomades à la peau claire des Aryens arrivés d'Iran, ce qui signifie « noble » dans la langue, ont poussé les aborigènes dans les forêts et à l'extrême sud du sous-continent indien.

Ils ont apporté avec eux la langue et la religion. Plusieurs siècles plus tard, lorsque les Aryens eux-mêmes atteignirent le sud, ils commencèrent à coexister pacifiquement avec la population dravidienne à la peau foncée, et leurs religions s'unirent, fusionnèrent et fondirent.

Système de castes

Les Aryens l'ont apporté avec eux. Les Indiens eux-mêmes utilisent le mot « varna », et il se traduit par « couleur » pour désigner leurs catégories sociales. Plus la peau était claire et blanche, plus les gens se situaient haut dans l’échelle sociale. Il y a quatre varnas. Les plus élevés sont les brahmanes, qui possèdent à la fois le pouvoir et le savoir. Les prêtres et les dirigeants sont nés ici.

Viennent ensuite les kshatriyas, c'est-à-dire les guerriers. Puis - Vaishyas. Ce sont des commerçants, des artisans, des paysans. Les plus bas sont les Shudras (serviteurs et esclaves). Toutes les classes proviennent de l'homme mythique - Purusha. De sa tête sont sortis les brahmanes, des bras et des épaules - les Kshatriyas, des cuisses et des reins - les Vaishyas, pour qui la fertilité était importante, des pieds - les Shudras, qui sont dans la boue. De la boue sont nés les intouchables, dont la situation est la plus terrible. La population entière était analphabète et a survécu jusqu'à ce jour. Et les kshatriyas et les brahmanes avaient la connaissance. Ce sont ces derniers qui ont créé l'Inde ancienne qui doit son développement à eux. Les réalisations dans divers domaines culturels ont été importantes. Mais il est impossible de gravir l’échelle sociale avec l’existence des castes. De la naissance à la mort, une personne n'est associée qu'à la caste dans laquelle elle est née.

Langue et écriture

Nous ne nous attarderons pas sur les langues non déchiffrées, mais nous nous tournerons vers celles qui sont apparues il y a près de cinq mille cinq cents ans et qui sont devenues la langue des scientifiques, des prêtres et des philosophes. Une abondante littérature a été créée à ce sujet. Initialement, il s'agissait d'hymnes religieux obscurs, de chants, de sortilèges (Rig Veda, Sama Veda, Yajur Veda, Atharva Veda) et plus tard d'œuvres d'art (Ramayana et Mahabharata).

Pour les brahmanes, le sanskrit était la même langue que le latin pour nous. C'est la langue de l'apprentissage. Cela nous intéresse car toutes les langues parlées en Europe en seraient issues. Ses racines peuvent être retracées dans les langues grecques, latines et slaves. Le mot « Veda » lui-même est traduit par connaissance. Comparez avec la racine du verbe russe « vedat », c'est-à-dire savoir. C’est ainsi que l’Inde ancienne entre dans le monde moderne. Les réalisations dans le développement du langage appartiennent aux brahmanes et les méthodes de sa diffusion n'ont pas été suffisamment étudiées.

Architecture, sculpture et peinture

Les brahmanes, nés des yeux du mythique Purusha, pratiquaient les arts visuels.

Ils ont conçu des temples et créé des peintures et des sculptures de dieux. Cela attire l'attention non seulement des Indiens pieux, mais aussi de tous ceux qui viennent en Inde et se familiarisent avec les palais et les temples d'une beauté incomparable.

Sciences

• Mathématiques.

Pour vous lancer dans une construction grandiose, vous avez besoin de connaissances précises. dont les réalisations dans ce domaine sont très grandes, a développé un compte décimal, les nombres, qui par malentendu sont appelés arabes et que nous utilisons, ont été inventés en Inde. Il a également développé le concept du zéro. Des scientifiques indiens ont prouvé que si un nombre est divisé par zéro, le résultat sera l'infini. Six siècles avant JC, ils connaissaient le nombre pi. Les scientifiques indiens étaient engagés dans le développement de l'algèbre, ils ont décidé qu'ils savaient comment extraire les racines carrées et cubiques des nombres et calculer le sinus d'un angle. L'Inde ancienne était bien en avance sur tout le monde dans ce domaine. Les réalisations et les inventions dans le domaine des mathématiques font la fierté de cette civilisation.

• Astronomie.

Malgré le fait qu’ils ne disposaient pas de télescopes, l’astronomie occupait une place d’honneur dans l’Inde ancienne.

En observant la Lune, les astronomes ont pu déterminer ses phases. Avant les Grecs, les scientifiques indiens étaient parvenus à la conclusion que la Terre tournait autour de son axe. Les astronomes indiens divisaient la journée en heures.

• Médecine.

L'Ayurveda, qui contient des principes médicaux de base, était à l'origine utilisée pour la purification rituelle par les prêtres qui s'occupaient des intouchables. De là sont nées toutes sortes de nettoyages du corps, largement utilisés de nos jours, car l'environnement est très pollué.

hindouisme

Cette religion remonte, ce qui est effrayant à dire, à près de six mille ans, et elle est vivante et prospère. Il est très étroitement lié au système des castes évoqué ci-dessus. Aucun théologien n'a donné de définition de l'hindouisme, puisqu'il inclut tout ce qu'il rencontre sur son chemin. Vous pouvez y trouver des éléments de l’islam et du christianisme. Il n’y a jamais eu d’hérésies, car la religion est « omnivore », tout comme il n’y a pas eu de guerres de religion en Inde. Ce sont là les réalisations incontestables de l’Inde ancienne. L'essentiel de l'hindouisme, ce sont les idées de non-violence et d'ascèse. Les dieux en Inde sont à la fois humanoïdes et incluent des éléments animaux.

Dieu Hanuman a le corps d'un singe et Dieu Ganesha a la tête d'un éléphant. La divinité vénérée suprême qui a créé le monde puis l'a divisé en petites parties, comme un récipient de cristal - Brahma. Les brahmanes l'étudient et développent ses enseignements. Les gens ordinaires sont plus proches des plus compréhensibles : Shiva - un guerrier (il avait un troisième œil, conçu pour détruire les ennemis ; puis une curieuse transformation s'est produite, et l'œil est devenu nécessaire pour étudier le monde intérieur) et le dieu de la fertilité, et Vishnu - un protecteur de la famille à la peau foncée et un combattant contre le mal.

bouddhisme

Ceci, il faut le dire tout de suite, n'est pas une religion, puisque la notion de divinité y est absente et qu'il n'y a pas de prière comme cri de salut. Cette doctrine philosophique complexe a été créée un peu plus tôt que le christianisme par le prince Gautama.

La principale chose qu’un bouddhiste souhaite réaliser est de sortir de la roue du samsara, de la roue de la renaissance. C’est seulement alors que l’on peut atteindre le nirvana, ce qui est incompréhensible. Mais le bonheur et l’harmonie sont de fausses idées, ils n’existent tout simplement pas. Mais le bouddhisme en Inde ne s'est pas répandu, puisqu'il n'y a pas de prophète dans son propre pays, mais a prospéré, modifié, en dehors de ce pays. Aujourd'hui, on pense qu'une personne peut ne rien savoir du Bouddha, mais si elle vit instinctivement correctement et suit toutes les lois du bouddhisme, elle a alors la possibilité de s'éclairer et de trouver le chemin du Nirvana.

Les réalisations de l’Inde ancienne en bref

Mathématiques - nombres modernes et algèbre.

Médecine - mesures de nettoyage, déterminant l'état d'une personne par son pouls et sa température corporelle. Des instruments médicaux ont été inventés - sondes, scalpels.

Le yoga est une pratique spirituelle et physique qui améliore une personne.

La cuisine est riche en assaisonnements, parmi lesquels le curry mérite d'être souligné. Le composant principal de cet assaisonnement est la racine de curcuma, qui améliore l'immunité et prévient la maladie d'Alzheimer.

Les échecs sont un jeu qui entraîne l'esprit et développe les capacités stratégiques. Ils synchronisent les hémisphères du cerveau et contribuent à son développement harmonieux.

L'Inde ancienne a donné tout cela. Les réalisations culturelles des temps anciens ne sont pas devenues obsolètes à ce jour.