Comment aider votre enfant à surmonter les difficultés scolaires ? L'étudiant a besoin d'aide pour organiser le processus d'apprentissage. École primaire - apprendre à apprendre

Toute la famille va en première année avec l'enfant adulte. C'est vrai, croyez-moi !

Les grands-mères sanglotent doucement à l’entrée : « C’est comme si on partait à l’armée ! Les mamans commandent des uniformes scolaires élégants. Les papas vérifient les listes de papeterie. Les jeunes frères et sœurs envient silencieusement et s'adaptent au nouveau régime de la nouvelle élève de première année.

Et si quelqu'un pense qu'il suffit de remettre l'enfant au professeur et de se calmer : « Étudie, mon fils, et avant l'université, je t'aiderai ! – alors c'est incorrect...

Lorsqu'ils parlent d'inadaptation scolaire, ils entendent tout d'abord de mauvais résultats scolaires ou un « mauvais » comportement de l'enfant. L'école est une institution sociale qui a une fonction spécifique : éduquer les enfants. Par conséquent, tout ce qui ne correspond pas à cette fonction ou interfère avec elle est considéré comme une inadaptation à cette institution, c'est-à-dire pour l'école.

Pendant ce temps, l'école est un endroit où un enfant ne devrait pas passer plus ou moins de 11 ans, et il est hautement souhaitable que ces années soient très heureuses pour lui. Nous...

Il y a eu trop de publications sur le harcèlement scolaire dans les médias ces derniers temps - enseignants contre élèves, élèves contre enseignants...

Les ressources d'information « ravissent » les nouvelles chaque jour. L'autre jour, il s'est avéré que des écoliers d'Irkoutsk avaient battu pendant plusieurs mois un professeur âgé, l'avaient filmé et l'avaient montré à toute l'école.

Ils ont essayé de maintenir la situation en dehors de l’école, mais cela n’a pas été possible. Lire les documents sur cette affaire est en fait effrayant.

Dans le territoire de Stavropol à un...

Bonne journée. À ceux qui lisent mon problème, merci de votre attention. J'espère vos réponses qui m'aideront à comprendre ou au moins à analyser les problèmes et mes erreurs, en m'appuyant sur votre expérience de vie. J'essaie de le rendre plus ou moins clair.

Je loue un appartement en ville, je travaille pour le moment et j'ai l'intention d'étudier. Une nouvelle fille est apparue au travail, le 6 février de cette année j'ai emménagé avec elle car elle avait des difficultés avec le loyer, mais cela n'a pas d'importance pour le moment, et après mon déménagement...

Dernièrement, j'ai reçu beaucoup de lettres de personnes qui se plaignent de leur peur de parler devant un public. La peur qui les saisit dans les lieux publics est due au fait qu’ils ont peur de rougir ou de dire quelque chose de mal.

Sur la base de ces signes et de quelques autres, on peut comprendre qu'une personne souffre de phobie sociale.

La phobie sociale est une peur irrationnelle d'humiliation et de gêne dans les lieux publics (selon la classification psychiatrique DSM-III-R), qui se traduit par...

Lorsqu’il s’agit de réflexion pratique, trois difficultés fondamentales surgissent :

1. Émotions. Souvent, nous avons tendance à ne pas penser du tout, mais à nous fier dans nos actions à notre instinct, à nos émotions et à nos préjugés.

2. Impuissance. Notre réaction peut être un sentiment d'inadéquation : « Je ne sais pas comment penser à cela. Je ne sais pas quoi faire ensuite.

3. Confusion. Nous essayons de tout garder à l’esprit en même temps, et le résultat est un fouillis.

Six chapeaux de réflexion – Un moyen simple et pratique de surmonter...

Bonjour. J'ai 23 ans... Depuis six mois, voire plus, mon copain et moi vivons une terreur dans notre relation. J'étais souvent sur le point de partir, et une fois je suis même parti. Mais un mois plus tard, elle est revenue. M (c'est son nom) était inquiet, lui a demandé de ne pas prendre cela à la légère et a dit que nous ferions face à toutes les difficultés.

J'ai rassemblé les restes de ma foi et je suis venu vers lui. Littéralement, environ un mois s’est écoulé et notre relation est à nouveau au bord de la rupture.

Peut-être que tout est dû au fait que le passé a connu de nombreux moments : la trahison...

Alors tout a commencé il y a 3 ans. Elle était assise devant moi, pas tout à fait sobre, en pleurs, je ne comprenais pas ce qui s'était passé. J’ai cherché une réponse, et à la fin j’ai entendu « Je t’aime depuis 3 ans, j’essaie toujours d’attirer ton attention, mais tu n’as aucune émotion pour moi ».

Trois autres années se sont écoulées depuis. D'ailleurs, nous nous connaissons depuis 14 ans, nous sommes allés à l'école ensemble depuis l'école primaire. Tout au long de notre relation, elle s'est donnée à 100%, mais je l'ai accepté, le retour a été minime. En réalité, nous nous disputions rarement, mais si cela...

Difficultés scolaires des enfants aisés

Dans le cadre de ma spécialisation, j'aimerais parler des difficultés d'apprentissage de l'écriture et de la lecture. En règle générale, ce sont des difficultés typiques de tous les enfants qui commencent leurs études.

Les inscriptions de ces dernières années laissent beaucoup à désirer : sur 50 à 60 étudiants par an, environ 40 à 50 % ont besoin de l'aide spécialisée d'un orthophoniste et sont donc prédisposés à des difficultés dans l'apprentissage de l'écriture et de la lecture.

Pour les raisons de l'apparition de ces difficultés, les « groupes à risque » suivants sont généralement identifiés, c'est-à-dire les enfants les plus susceptibles d'avoir des difficultés de divers types.

L'un des principaux groupes à risque - plus de 30 % - sont les enfants ayant des antécédents (antécédents développementaux) de pathologies de grossesse et d'accouchement chez leur mère, de traumatismes à la naissance, de maladies infectieuses et d'autres maladies graves de moins d'un an.

Je voudrais accorder une attention particulière à ce groupe d’enfants. puisque la plupart des parents ne sont pas enclins à associer les troubles de l'écriture, les difficultés apparaissant lors de l'apprentissage de la lecture et la période déjà lointaine du développement périnatal (prénatal) et postnatal de l'enfant. En pratique, il n’est pas si rare qu’à la question de savoir comment un enfant a grandi et s’est développé, une mère réponde : « C’est normal. Comme tout le monde". Et cette « normalité » inclut les toxicoses tardives pendant la grossesse et les blessures à la naissance ainsi que les maladies graves pouvant aller jusqu'à un an.

Deuxième Ce groupe est constitué d'enfants affaiblis et souvent malades. Bien que le niveau d'intelligence de ces enfants puisse être très élevé, le début de l'école et l'ensemble des charges scolaires provoquent un stress si élevé que de graves problèmes scolaires surviennent. Ne connaissant pas le contexte, ou ne voulant pas voir les raisons objectives de ce phénomène, les parents exigent l'impossible de l'enfant, et le résultat s'aggrave.

Troisième Ce groupe d'enfants est constitué d'enfants atteints de divers troubles neurologiques. De nombreux enfants ont subi des traumatismes crâniens. Ce genre de blessure ne disparaît jamais sans laisser de trace.

Quatrième Le groupe est composé de ceux qui ont du retard dans la formation de certaines fonctions. De plus, ces retards sont visibles, bien entendu, avant l’école. Par exemple, un enfant ayant des fonctions motrices retardées, selon les parents eux-mêmes, n'aime pas dessiner, hésite à manipuler de petites pièces lorsqu'il joue avec un jeu de construction et ne sait même pas comment attacher ses lacets. Mais un tel « non-amour » chronique n'alarme pas les parents, et ils ne prennent aucune mesure pour corriger la situation avant même l'école.

Cinquième Le groupe est composé d'enfants chez qui un retard de développement de la parole a été diagnostiqué dès leur plus jeune âge, qui travaillent avec un orthophoniste ou fréquentent des jardins d'enfants spécialisés en orthophonie.

DANS sixième Nous avons réuni le groupe avec des enfants lents et gauchers.

Toutes les violations rencontrées dans la pratique quotidienne peuvent être divisées en trois groupes principaux :

I. Troubles de l'écriture associés à des troubles de la motricité, de la perception spatiale et de la coordination œil-main. Ce sont des troubles de l’écriture manuscrite.

II. Troubles de l'écriture associés à un retard du développement de la parole et à une perception phonétique-phonémique altérée.

III. Violations complexes.

Compte tenu des caractéristiques psychophysiologiques de la formation des compétences d'écriture, il faut dire que l'écriture, perçue de l'extérieur comme un tout et cohérente, est en fait (surtout dans les premiers stades de l'apprentissage) une séquence (chaîne) d'opérations discrètes. Et seulement lorsque la compétence est formée, l'exécution de tous les maillons de cette chaîne se produit automatiquement, sans conscience, sans contrôle directionnel. Cependant, si la phase de formation initiale est structurée de telle manière que certaines réactions ne sont pas renforcées (par exemple, en raison du manque de temps) et que d'autres sont mal renforcées, alors la formation ultérieure renforcera la mauvaise exécution et les résultats seront insatisfaisants.

L'exécution de l'acte moteur d'écriture (c'est-à-dire l'exécution de mouvements moteurs complexes coordonnés) dépend en grande partie non seulement du degré de développement des fonctions motrices, mais également des caractéristiques de la perception visuelle et spatiale de la coordination œil-main.

En règle générale, les enfants souffrant de troubles du développement des fonctions motrices ont du mal à maîtriser la configuration des lettres ; ils ne peuvent pas comprendre la relation entre les pièces et leur emplacement sur la feuille. Ces enfants écrivent avec beaucoup d'efforts et leur écriture se détériore fortement avec une légère augmentation de la vitesse d'écriture.

Comment pouvez-vous aider ces étudiants ?

Tout d'abord, une grande variété d'exercices sont nécessaires pour développer les petits mouvements de la main : jeux avec des mosaïques, de la broderie, du modelage et du ramassage ou du collage de petites pièces, du tricot. Vous pouvez enfiler des boutons et des perles sur du fil et du fil fin, vous pouvez colorier des images avec de petits détails.

Il est strictement interdit d'apprendre à ces enfants à écrire en continu ; il faut faire plus attention lors de l'étude de chaque lettre, à l'emplacement de ses parties, à la direction des traits. Il ne faut pas les précipiter, il faut leur donner la possibilité d'écrire en « grande ligne » (les micro-mouvements sont tout simplement trop pour ces enfants) et lentement.

Au stade initial de l’apprentissage, les devoirs volumineux et la réécriture répétée peuvent avoir l’effet inverse, car les enfants écrivent sous stress.

Parlant des difficultés d'écriture associées au développement de la motricité, de la coordination des mouvements et de la perception spatiale, il faut souligner que ces enfants ont un rythme d'écriture très lent et cette lenteur est en quelque sorte secondaire en raison d'autres difficultés.

En même temps, dans une même classe il y a des enfants qui n'ont pas d'autres difficultés que la lenteur de l'activité, mais au milieu de l'année ils accumulent tout un tas de difficultés. Ce sont les difficultés enfants lents.

Pourquoi et comment apparaissent-ils ?

Le rythme d'activité est une caractéristique individuelle et spécifique, qui repose sur les particularités du développement de l'activité nerveuse supérieure. Le rythme de l’activité dépend peu du « je veux et je ne veux pas ». Et cette particularité ne doit pas être combattue, mais prise en compte dans le processus d’apprentissage.

Le plus souvent, ces enfants non seulement écrivent lentement, mais parlent aussi lentement, lisent et bougent lentement, comme s'ils s'étendaient, ce qui déstabilise souvent non seulement leurs parents, mais aussi l'enseignant par leur lenteur.

Cet enfant est constamment (à la maison comme à l'école) sous pression ; il est constamment pressé, mais rien ne fonctionne pour lui. Afin de réaliser toutes les tâches en classe, il « sacrifie » la qualité de son écriture. Au lieu de lettres, il parvient à écrire quelque chose de similaire et progressivement cette écriture de lettres griffonnées se fige, un fort tremblement et des traits supplémentaires apparaissent. Mais le rythme du cours augmente et il n’arrive toujours pas à suivre

Dans de telles conditions, aux troubles graphiques s'ajoutent des troubles de l'orthographe ; ces enfants ont de grandes difficultés à développer la parole écrite. Toutes ces difficultés sont aggravées par le fait qu'à la fin de l'année, la plupart de ces enfants développent des névroses et des réactions névrotiques.

Comment pouvez-vous aider de tels enfants ?

La solution semble simple : laisser l’enfant travailler au rythme qui lui convient. Mais le programme est le même pour tous les enfants, et l'enseignant ne trouve pas toujours l'occasion de réduire la charge de travail de votre enfant. Mais lors de la préparation des devoirs, il ne faut pas limiter le temps de l’enfant, ni le pousser, ni surtout lui faire des reproches. Il se sent toujours coupable à cause de ses échecs constants.

Le tableau le plus complexe des troubles de l'écriture est observé chez les enfants présentant divers troubles du développement mental (par exemple, un retard mental). Chez ces enfants, les difficultés d'apprentissage de l'écriture se conjuguent généralement à d'autres difficultés d'apprentissage : lecture, mathématiques, ainsi que des difficultés d'adaptation à la classe, aux enfants, ainsi que des troubles du comportement.

Dans ce groupe d'enfants, les distorsions se caractérisent par de graves distorsions de l'écriture manuscrite, une distorsion du sens des mots et des phrases, le remplacement et l'omission de lettres et de syllabes, et parfois l'orthographe miroir de nombreuses lettres. Toutes ces difficultés d'écriture sont visibles dès la fin du premier semestre. Cet enfant a besoin de soins médicaux particuliers. Dans ce cas, nous essayons d'attirer immédiatement l'attention des parents sur la nature multiple des troubles et recommandons aux parents de contacter un psychoneurologue.

Un groupe particulièrement important de troubles de la parole écrite est celui des troubles basés sur le sous-développement de certaines composantes du langage.

Lors de l'admission des enfants à l'école et dans la première moitié de la première année, nous surveillons et identifions attentivement les enfants atteints d'ODD.

Sur la base des exigences relatives au développement de la parole des enfants de sept ans, le tableau suivant a été établi

Explications complémentaires pour le point n°3

De nombreux parents demandent : « Pourquoi l’analyse phonétique est-elle nécessaire dans le programme d’études de l’école primaire ? »

L'étude de l'alphabétisation en langue russe est réalisée à l'aide d'une méthode analytique-synthétique solide. Cela signifie que lorsqu'il dicte ou dicte, l'enfant doit :

décomposez-le en sons, c'est-à-dire analyser; analyser

déterminer la séquence de sons dans un mot ;

appliquer la règle si le mot écrit ne correspond pas à la prononciation ;

rassemblez toutes les actions ensemble et notez le mot.

Toutes ces actions se produisent automatiquement aux étapes ultérieures de l’apprentissage et s’il n’y a pas de difficultés. Si votre enfant trouve cela difficile et que les premiers signes de dysgraphie sont évidents, apprenez-lui à prononcer d'abord à voix haute, puis « pour lui-même ». Si un enfant prononce les mots lentement, il effectue consciemment une analyse son-lettre et évite ainsi les erreurs liées à la réorganisation des lettres. La prononciation est particulièrement importante pour les enfants ayant une attention instable et de faibles performances.

Explications complémentaires au point n°6.

La fonction d'inflexion est altérée chez 20 % des élèves de première année, et presque tous font des erreurs en accordant des noms avec des chiffres, 21 % font des erreurs en accordant des noms avec des adjectifs et 12 % utilisent incorrectement des prépositions, en particulier les plus complexes (de dessous , en raison de)

La fonction de formation des mots est insuffisamment développée chez 50 % des enfants. Les adjectifs possessifs sont particulièrement difficiles à former. Ici, vous pouvez également entendre la tête du « chien », également connue sous le nom de « chien » et « chien ».

Les adjectifs relatifs sont également difficiles à former. Les enfants avec des systèmes grammaticaux non formés de formation et d'inflexion des mots ne peuvent pas utiliser les formes grammaticales par écrit plus correctement que dans le discours oral, ce qui conduit inévitablement à une dysgraphie agrammatique, qui apparaît chez eux de la 3e à la 5e année, lorsqu'ils ont besoin d'écrire des phrases détaillées. , où il est inévitablement nécessaire de coordonner les mots entre eux.

Si nous essayons de résumer tout ce qui a été dit, la toute première et la plus grave circonstance que nous devons tous bien comprendre est qu'environ la moitié des enfants qui entrent en première année chaque année ne sont pas prêts pour l'étude systématique de la langue russe en raison de un retard évident dans le développement de la parole. Cette conclusion a été tirée par des scientifiques du Centre psychologique et pédagogique « Santé » de Saint-Pétersbourg, sur la base de nombreuses années d'observations. Nous sommes arrivés à la même conclusion en résumant notre propre expérience et nos observations.

Quelle est la sortie de cette situation ?

Pour vous et moi - travailler avec nos enfants, avec qui ils sont, pour les aider à surmonter les difficultés, car elles sont pour la plupart surmontables, surmontables si vous êtes avec votre enfant, si vous êtes prêt et suivez les principes didactiques généraux.

Par exemple, ceux-ci :

Ne comparez pas votre enfant avec des amis, avec des frères et sœurs – car chaque enfant est unique ;

Ne discutez pas de votre enfant avec des enseignants, des amis ou des collègues au téléphone, surtout en présence de l'enfant lui-même ;

Condamnez les actes de l’enfant, pas l’enfant lui-même. L'enfant doit être sûr qu'il est aimé pour ce qu'il est ;

S'il y a la moindre raison, félicitez l'enfant. Trouvez quelque chose pour lequel vous pouvez faire l'éloge ;

Ne limitez pas votre enfant aux activités dans lesquelles il réussit ;

Et aimez-les, cultivez des qualités morales positives.

Littérature.

Kostromina S.N., Nagaeva L.G. Comment surmonter les difficultés d'apprentissage de la lecture. M., Vlados. 2001.

Tsukerman A.V. Difficultés scolaires des enfants aisés. 1996.

À propos des problèmes scolaires. Assis. Institut régional de l'Altaï PKRO. 1995.

Voronova A. Comment surviennent les névroses scolaires. Magazine du directeur d'école. N° 2, 2000.

Ivanova N.A. Des queues qui s'étirent depuis l'enfance. Magazine du directeur d'école. N° 2, 2000.

P. Le problème des difficultés scolaires est complexe et plusieurs aspects y ressortent.

Tout d’abord, curieusement, je voudrais souligner l’aspect social. Le fait est que les difficultés scolaires constituent un énorme problème social. Pour plus de clarté, je présenterai les résultats de la dernière étude à laquelle ont participé 32 pays, dont la Russie. Il a évalué l'alphabétisation des élèves de neuvième et dixième année selon les paramètres suivants : la capacité à comprendre un texte, la capacité à analyser un texte et la capacité à exprimer son opinion sur le contenu de ce qu'ils lisent. Malheureusement, selon ces paramètres, les Russes se sont retrouvés à la 28e place. Il semblerait que les élèves de dixième année devraient lire et comprendre ce qu'ils lisent. Mais 55% de nos étudiants font face aux tâches de « trois », « deux » et « un » ! Et les compétences de 10 % des étudiants sont notées en dessous de un. Dans le même temps, un « C » était attribué pour la lecture du texte le plus simple.

Cela indique que 55% des étudiants ne savent pas analyser ce qu'ils lisent et exprimer leur opinion à ce sujet. Et si nous faisons des prédictions pour l’avenir, nous pouvons dire que la majorité des diplômés ne seront pas en mesure d’acquérir une alphabétisation fonctionnelle. Et leur enseigner davantage, malheureusement, ne sert à rien.

C'est pourquoi apparaissent des médecins illettrés, des enseignants illettrés, des ingénieurs illettrés. Ce sont des gens qui ne savent pas comprendre ce qu’ils lisent, ce qui signifie qu’ils n’absorbent pas les informations nécessaires.

Les origines de cet état déplorable de nos enfants, à mon avis, doivent être recherchées dans l'ensemble des difficultés scolaires que nous créons généralement nous-mêmes. De plus, non seulement nous ne savons pas comment les remarquer à temps, mais nous ne savons pas non plus comment aider les enfants. Ainsi, entre 40 et 60 % des élèves du primaire accèdent à l'école primaire sans surmonter les difficultés d'écriture et de lecture. Et la seule façon possible d’aider ces enfants est de recommencer toute leur éducation à partir de zéro.

Les difficultés scolaires ont d'énormes conséquences sociales, qui ne se manifestent pas seulement par la limitation des possibilités de choix d'une profession (qui est due à l'analphabétisme fonctionnel). Mais ce sont aussi les difficultés d'adaptation sociale, car une personne qui ne s'est pas trouvée, n'a pas maîtrisé son métier, ne peut devenir un membre à part entière de la société.

Le deuxième aspect du problème est psychologique. Tout le monde sait bien que les échecs et les échecs constants ne permettent pas à un enfant de se développer personnellement. Il y a aussi un aspect médical au problème des difficultés scolaires. Les échecs constants, les anxiétés et les peurs conduisent à des problèmes de santé mentale secondaires chez les enfants. Malheureusement, la ressource adaptative de nos enfants (la capacité de s'adapter dans une situation difficile) est assez faible dans l'ensemble de la population.

Ce n’est un secret pour personne que, selon les seules données officielles, nous avons 70 % des pathologies liées à la grossesse et à l’accouchement. Et tout enfant de cette catégorie a une ressource adaptative réduite. Tant que les conditions de sa vie sont favorables, tant que les charges sont réalisables, cette ressource adaptative réduite ne se fait pas sentir. Mais dès qu’un enfant se trouve dans une situation à laquelle il ne peut pas faire face (émotionnellement, intellectuellement et physiquement), une dépression se produit.

Et cela, nous le savons très bien, mais nous n’en tenons pas compte, nous ne le comprenons pas bien. Par conséquent, la période de début d’éducation (et les psychologues doivent très bien connaître les facteurs de risque qui existent à l’école) se termine souvent par une diminution de l’adaptation physiologique et psychologique de l’enfant. Et cela entraîne une forte détérioration de la santé psychologique et physique.

Vous pouvez le vérifier en effectuant un test de base. Si les élèves de première année sont pesés mensuellement, nous constaterons qu'en décembre, 90 % d'entre eux auront perdu 1,5 à 2 kg. Les enfants deviennent pâles et ont des bleus sous les yeux. Tout cela indique un échec d’adaptation au niveau physiologique. La dépression psychologique s'est produite beaucoup plus tôt, mais est généralement passée inaperçue.

A bas les diagnostics !

Parlant de l'aspect médical du problème, je tiens à souligner un point important. Désormais, le trouble déficitaire de l’attention, le syndrome d’échec d’apprentissage, la dyslexie et la dysgraphie sont classés parmi les maladies. Et très bientôt, de la part de nos neurologues, qui ne sont malheureusement pas très compétents, nous recevrons un grand nombre d'enfants avec ces diagnostics. De même, il y a 6 ou 7 ans, chaque enfant consulté par un neurologue recevait un diagnostic de MMD (dysfonctionnement cérébral minimal).

En tant que physiologiste, je peux dire qu'il n'y a rien de plus ignorant que ce concept et ce diagnostic. Le terme « dysfonctionnement cérébral minimal » peut être comparé au concept de « maladie de l’estomac ». Pas clair, mais génial !

Par conséquent, si les neurologues diagnostiquent néanmoins un enfant atteint de MMD, n’y prêtez pas attention ! Cela signifie que le neurologue ne sait pas de quels troubles réels souffre l'enfant. Malheureusement, tous les problèmes scolaires que les neurologues ne peuvent et ne veulent tout simplement pas comprendre sont jetés dans la « décharge » des dysfonctionnements cérébraux minimes.

La physiologie liée à l'âge, en particulier la neurophysiologie, est une science très jeune. Nous savons seulement ce que nous savons du fonctionnement du cerveau d'un enfant. Mais nous ne savons pas grand-chose. Il est nécessaire d'apprendre à différencier les différents changements dans le fonctionnement du cerveau, en tenant compte des caractéristiques liées à l'âge de l'enfant. Et si le diagnostic est correct, alors le trouble déficitaire de l’attention, le syndrome d’échec d’apprentissage, la dyslexie et la dysgraphie seront très, très rares. De toute façon, il n’y a pas plus de 5 % de dyslexiques. Tout le reste auquel nous sommes confrontés est des difficultés d’apprentissage. Ce problème présente des aspects psychophysiologiques très sérieux et importants. J’ai déjà mentionné qu’un psychologue doit comprendre quelle est la maturation du cerveau d’un enfant liée à l’âge.

Il doit comprendre que si un enfant de 6-7 ans a une mauvaise régulation volontaire de l'activité, alors cela est naturel, on ne peut pas le combattre, il suffit d'en tenir compte. Nous devons construire notre travail autour de cela. Mais, malheureusement, nous connaissons et comprenons mal les caractéristiques liées à l'âge de l'organisation de l'attention, de la mémoire, de l'activité et de la pensée.

Comment construire le processus éducatif en tenant compte de ces caractéristiques ? Les enseignants, en règle générale, ne comprennent pas cela non plus. Quand un enseignant vient voir un psychologue et lui dit : « Je ne peux rien faire avec eux ! Ils ne m’ont pas écouté depuis plus de 5 minutes », alors il doit d’abord expliquer au professeur que les enfants ne « ne veulent pas », mais « ne peuvent pas » ! Mais après les professeurs, les parents répètent aussi : « Ils ne veulent pas, ils sont paresseux ! Votre tâche est de montrer à la fois que la raison de ce comportement des étudiants n'est pas la paresse, mais l'immaturité des fonctions cognitives liée à l'âge.

Si l'on considère une autre compétence éducative - l'écriture, on peut affirmer que 35 % des enfants qui viennent à l'école aujourd'hui n'ont pas développé de capacités motrices manuelles. Et cela se produit non seulement parce que les enfants n'ont pas été formés, mais aussi parce que les taux individuels de maturation des capacités motrices sont également différents.

Juste à l’âge de 6 ou 7 ans, lorsqu’un enfant commence l’école, la différence entre l’âge physiologique et l’âge d’identité est extrêmement grande. Mais pour une raison quelconque, les adultes l'ignorent. Lorsqu’un adolescent commence à se laisser pousser la moustache à 16 ans et un autre à 18 ans, tout le monde dit unanimement qu’ils ont des taux de puberté différents.

Mais pourquoi alors refusons-nous le droit à des taux de maturation différents pour les plus jeunes enfants ? Pourquoi tous les enfants qui viennent à l’école devraient-ils être les mêmes ?

C’est un point très important, puisque la tâche du psychologue est de déterminer si les enfants sont prêts à aller à l’école. Et ce faisant, vous devez parfaitement comprendre qu'il n'y a pas de préparation générale à l'école. Il peut y avoir une volonté de répondre à des conditions spécifiques, à des exigences spécifiques, à un enseignant spécifique, etc. Et par conséquent, l'ignorance et l'incompréhension des fondements physiologiques ou psychophysiologiques de la formation des compétences éducatives de base ne permettent pas de comprendre les mécanismes d'apparition des problèmes scolaires.

Et la dernière chose sur laquelle je voudrais m'attarder, en soulignant divers aspects du problème multicomposant des difficultés scolaires, est l'aspect pédagogique.

Il est très important d'observer l'enfant lors des activités d'apprentissage. Il est très important de savoir en quoi un système de formation diffère d’un autre. Il est très important de comprendre que l’immaturité du corps de l’enfant, l’immaturité du cerveau de l’enfant peuvent l’empêcher de maîtriser tel ou tel programme.

Il y a des enfants qui apprennent bien en utilisant le système traditionnel, mais ne maîtrisent pas le système Zankov. Pourquoi? Après tout, le programme de Zankov n’est fondamentalement pas différent des programmes habituels. Mais cela nécessite une formation intensive. Mais tout le monde n’est pas prêt à cela. Parce que le stress des contraintes de temps est l’un des stress les plus puissants affectant l’état fonctionnel de l’enfant.

C'est pourquoi un psychologue dans le processus éducatif doit « vivre » dans la leçon. Il doit comprendre ce qui se passe. Comment le professeur enseigne-t-il ? Que fait-il? Comment explique-t-il ? Si un enfant n'a pas développé les mécanismes d'organisation des activités (et cela est typique de la plupart des enfants de six ans), alors l'enfant a du mal à percevoir les instructions et ne peut pas planifier ses activités de manière indépendante, ne peut pas maîtriser l'algorithme de la tâche. Par conséquent, il ne sera pas distrait après cinq minutes, mais après trois minutes.

Il arrive que lorsque vous venez à un cours d'écriture, vous entendiez le professeur dire aux enfants : « Commençons à écrire... En reculant un peu... On descend la main... Sans l'amener un peu, on arrondit à gauche ! » Mais pour cela, les enfants doivent parfaitement comprendre ce qu'est « prendre du recul », ce qu'est « ne pas finir », ce qu'est « arrondir »... etc.

Et si vous ne venez pas en cours, vous ne le saurez pas. Et vous essaierez de surmonter la réticence de l’enfant à apprendre en utilisant vos propres méthodes. Et des réticences surgissent, au moins en première année, car l'enfant ne peut tout simplement pas encore faire grand-chose ! Les enfants veulent tous apprendre jusqu’à ce qu’ils réalisent qu’ils ne peuvent pas le faire comme les adultes le souhaitent.

Mais il existe un autre problème pédagogique que nous n’avons pas encore surmonté : les classes de correction. Ceux qui échouent y sont envoyés avant même le début de leurs études, même si cette idée a été discréditée il y a au moins 30 ans. Dans les années 70, toutes les écoles de Siauliai fonctionnaient selon un système où, après la première année, les enfants étaient réinstallés, en distinguant les « correctionnels ». On supposait qu’au bout de 2 à 3 ans, ils « se corrigeraient » et étudieraient ensuite dans le même esprit que les autres. Mais cette expérience n’a apporté que du mal.

Le fait est qu'aucun spécialiste qualifié ne s'engagera à sélectionner un groupe homogène d'enfants à corriger. Tous les enfants sont différents. L’un aura un problème, un autre en aura un autre, un troisième en aura un troisième, etc. De nos jours, ils commencent à diviser les enfants en « hémisphère droit » et « hémisphère gauche ». On pense qu’ils doivent être enseignés différemment. Mais j'étudie depuis trente ans comment fonctionnent les cerveaux d'enfants d'âges différents, et je peux dire en toute responsabilité qu'il n'y a pas d'enfants qui « travaillent » uniquement avec l'hémisphère droit ou uniquement avec l'hémisphère gauche.

Récemment, dans une étude réalisée par une université occidentale respectée, j’ai lu une phrase merveilleuse : « Les Européens n’ont pas du tout besoin de l’hémisphère droit pour apprendre à écrire. » Et les Chinois ont donc raison ? Je vous demande de traiter ces informations avec une extrême prudence. Comme pour toute idée de séparation des enfants, pour toute idée de leur ségrégation, puisque cela ne mène à rien de bon : il n’y a ici aucune base physiologique.

Formuler les difficultés scolaires

Les problèmes de difficultés scolaires se posent partout dans le monde. Il s’agit d’un problème grave précisément parce qu’il est social, psychologique, médical et pédagogique.

Au cours de nombreuses années de travail, nous avons tenté d'identifier ce que l'on appelle les facteurs de risque scolaires. Et je voudrais d'abord donner une formulation des difficultés scolaires : les difficultés scolaires sont comprises comme l'ensemble des problèmes qui surviennent chez un enfant lors d'un apprentissage systématique et conduisent à une détérioration de la santé, à une violation de l'adaptation socio-psychologique, et seulement enfin à une diminution de la réussite des apprentissages.

Malheureusement, en pédagogie, échec et difficultés scolaires sont synonymes. Mais un enfant n’échoue que lorsque nous n’avons pas vu à temps qu’il avait des problèmes, que nous n’y avons pas prêté attention à temps et que nous n’avons pas pu l’aider.

Les raisons des difficultés scolaires sont très diverses. Par conséquent, lors du choix d'une méthode pour aider un enfant, nous devons tout d'abord trouver le problème qui a causé la difficulté, sinon notre aide sera inefficace.

Parmi les facteurs influençant l'apparition de difficultés scolaires, je peux citer les exogènes (facteurs environnementaux externes) et les endogènes (facteurs de croissance et de développement de l'enfant). Parmi les exogènes, on peut distinguer les conditions sociales de croissance et de développement de l’enfant.

Pourquoi est-ce que je me concentre là-dessus ? Il existe une idée selon laquelle les enfants qui grandissent dans des familles prospères réussissent, mais pas ceux qui vivent dans des familles dysfonctionnelles. Malheureusement, au cours des 5 à 6 dernières années, la situation a considérablement changé. Les enfants qui grandissent, à notre avis, dans des familles très prospères, où les parents ont de bonnes qualifications éducatives et une grande richesse matérielle, se trouvent souvent dans une situation de dénuement social. Il en va de même pour les enfants élevés dans des orphelinats et des internats.

Souvent, les parents « prospères » ne s'occupent que d'eux-mêmes, mais l'essentiel n'est même pas cela, mais le fait qu'ils exigent de l'enfant ce que veulent les adultes. L'enfant doit correspondre à la voiture, à la maison et aux parents eux-mêmes. C'est une situation effrayante. Nous en subirons de plus en plus les conséquences chaque année. Il existe des établissements d'enseignement où la plupart des enfants souffrent parce qu'ils ne répondent pas aux exigences de leurs parents.

Récemment, une fillette de six ans, réduite à une profonde névrose, m'a été amenée en consultation. En plus d'étudier à l'école, elle étudie le français, l'anglais, la flûte, la natation, la danse et les échecs. L'enfant n'a pas une seule seconde de temps libre ; il vit dans une situation de contraintes de temps constantes. Et c’est l’un des principaux facteurs de survenue des difficultés scolaires.

Selon nos données, les enfants qui ont été formés dans un gymnase préscolaire ne veulent pas aller à l'école dans 83% des cas. Bien que des études menées il y a 20 ans aient montré une image différente. Les élèves de première année rêvaient littéralement d'école dans 96 % des cas. Certes, en décembre, 63 % d’entre eux avaient perdu tout intérêt pour les études. Et maintenant, les enfants ne veulent plus étudier avant même l’école !

Et je dois dire qu'il est impossible d'augmenter la motivation pour apprendre en utilisant des méthodes psychologiques. De plus, vous pouvez créer des problèmes supplémentaires pour l'enfant. Parce que si lui, sans réserves fonctionnelles, veut apprendre, il commence à s'inquiéter de ce qu'il ne peut pas faire, et cela ne fait qu'aggraver la situation.

Il faut ici tenir compte du fait que les conditions socioculturelles de croissance et de développement évoluent avec le temps. Vous vous souvenez bien sûr que L.S. Vygotsky a écrit sur la crise pendant 7 ans. Alors maintenant, ils disent la même chose à propos de la crise de 6 ans. Mais selon nos données, le tournant se produit physiologiquement à 5,5 ans. Et le prochain aura lieu à 11-12 ans, et non à 14-15 ans, et certainement pas à 16-17 ans, comme on le pensait auparavant. Et cela doit être pris en compte.

Trois facteurs

Je voudrais particulièrement souligner le facteur de risque scolaire. Et l’un d’eux est le stress. Et pas le stress lié aux relations personnelles de l'enfant, ni les conséquences des conflits entre l'enseignant et l'élève ou entre les enfants, même si cela existe aussi (il existe des conflits prolongés qui conduisent l'enfant à de graves névroses). Maintenant, je parle du stress des contraintes de temps. La pression du temps dans laquelle vit un enfant. Il s’agit du facteur physiologiquement le plus nocif entraînant une altération de la santé physique et mentale.

Et la plupart des enfants vivent dans cette situation pendant de nombreuses années. Malheureusement, la « course à obstacles » commence de plus en plus avant l’école. Et cela aggrave la situation. Car moins un organisme est fonctionnellement développé, moins ses ressources adaptatives sont grandes.

Le stress est causé avant tout par l'incohérence des méthodes d'enseignement et de la technologie. C’est le premier facteur de risque scolaire. Le fait est que les méthodes d’enseignement modernes, du moins pour l’écriture et la lecture, sont axées sur la vitesse. Mais le mécanisme de formation de ces compétences est tel que la vitesse ne fait que ralentir leur formation. Cela perturbe le mécanisme naturel de leur formation.

Si un enseignant s'assoit avec un chronomètre et vérifie la vitesse de lecture, il est fort probable que ses élèves développeront des mécanismes de lecture inefficaces. Ils n’apprendront jamais à comprendre le contenu de ce qu’ils lisent.

Le prochain facteur de risque scolaire est l'organisation irrationnelle du processus éducatif. Et le processus éducatif est le plus souvent organisé de manière irrationnelle. Certains modèles physiologiques de dynamique de performance ne sont pas pris en compte. Par exemple, nous souhaitons qu'un enfant apprenne une langue étrangère à 17 heures, mais d'un point de vue physiologique, cela est inefficace. Les enseignants et les parents ont souvent de faibles compétences en matière de développement fonctionnel et de santé des enfants.

Le troisième et dernier facteur que je souligne est le manque d'interaction entre les spécialistes qui travaillent à l'école avec l'enfant. Le psychologue fait son travail, l'enseignant fait le sien et l'orthophoniste fait le sien. Et aider un enfant qui a des difficultés à apprendre à écrire ne peut se faire que grâce aux efforts conjoints d'un enseignant, d'un psychologue et d'un orthophoniste, qui, avec les parents, développent un système de travail commun. Malheureusement, l’expérience d’un tel travail en commun est extrêmement rare. Et cela ne nous permet pas de mettre en œuvre même ce qui est efficace, comme le plan de chaque spécialiste.

Il arrive qu'un psychologue propose une option efficace et, par exemple, qu'un enseignant l'utilise, mais l'orthophoniste n'en sait rien. Et parfois, un orthophoniste suggère quelque chose de très important qu'un psychologue devrait connaître et comprendre, mais le psychologue ne l'entend pas. On peut en dire autant des parents.

Nous avons récemment mené une enquête auprès de plus de 1 500 enseignants du primaire. Nous leur avons demandé s'ils étaient satisfaits de leurs interactions avec leurs parents et, dans le cas contraire, pourquoi. Il s'est avéré que 67 % d'entre eux sont insatisfaits de cette interaction et imputent cela aux parents qui ne comprennent pas suffisamment, ne connaissent pas leurs enfants et ne font pas grand-chose avec eux.

Ensuite, nous sommes passés à l'étape suivante. Près de 80 % de nos collègues enseignants sont eux-mêmes de jeunes parents et leurs enfants sont scolarisés. Nous avons décidé de leur demander s'ils, en tant que parents, étaient satisfaits de leur interaction avec l'enseignant. Étonnamment, 83 % d’entre eux se sont déclarés mécontents et ont blâmé les enseignants. Je suis sûr que si nous faisions cela avec des psychologues, nous obtiendrions la même chose.

Je crois que nous devons développer un algorithme d’interaction unifié, un langage commun qui nous aiderait à nous comprendre. Nous « travaillons » souvent avec notre cœur, en nous appuyant sur notre intuition, notre compréhension de ce qui se passe. Ou mieux encore, avec la tête. Mais cela nécessite des connaissances. Et si nous en savons davantage, nous pouvons espérer que nous aiderons nos enfants.

Les particularités de l'apprentissage dans une école moderne sont associées à un volume toujours croissant d'informations, à une intensification significative du passage du matériel et à la modernisation et à la complication constantes des programmes éducatifs. De telles conditions d'apprentissage imposent les plus hautes exigences au corps d'un élève du primaire, et il est très important que les enfants franchissent ce chemin difficile sans compromettre leur santé, sans perdre leur intérêt pour l'apprentissage, sans perdre confiance en eux et en leurs forces.

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Difficultés scolaires

Comme on le sait, la parole écrite est une forme d'existence linguistique secondaire, plus tardive, qui ne se forme que dans les conditions d'une alphabétisation ciblée et est ensuite améliorée. L’écriture et la lecture sont des compétences scolaires de base, sans lesquelles l’apprentissage est difficile, voire impossible. Ce sont les compétences les plus complexes qui combinent toutes les fonctions mentales supérieures - attention, perception, mémoire, réflexion - en une seule structure d'activité. Ces dernières années, on a constaté une augmentation significative du nombre d’enfants présentant diverses difficultés d’apprentissage à l’école primaire. Il y a plusieurs raisons à cela. Les adultes considèrent plus souvent que la cause des difficultés d’écriture et de lecture est « l’incapacité », « une mauvaise préparation » ou la réticence de l’enfant à bien apprendre à lire et à écrire. Le succès de toute aide dépend de la manière dont les adultes (enseignants et parents) traitent les difficultés de l’enfant, s’ils en comprennent la cause et s’ils savent comment l’aider. Ces enfants ont besoin d’une approche particulière, d’une attention accrue, de l’aide des enseignants et des parents, ainsi que d’une aide opportune, qualifiée et systématique. Il s'agit d'une aide dans laquelle ce ne sont pas les difficultés d'apprendre à écrire et à lire qui sont corrigées, mais les raisons qui les provoquent.

Les particularités de l'apprentissage dans une école moderne sont associées à un volume toujours croissant d'informations, à une intensification significative du passage du matériel et à la modernisation et à la complication constantes des programmes éducatifs. De telles conditions d'apprentissage imposent les plus hautes exigences au corps d'un élève du primaire, et il est très important que les enfants franchissent ce chemin difficile sans nuire à leur santé, sans perdre leur intérêt pour l'apprentissage, sans perdre confiance en eux et en leurs forces. La réussite de l’apprentissage de chaque élève dépend de son niveau de développement inhérent, et les forces et les faiblesses peuvent provoquer des difficultés temporaires et en même temps déterminer les moyens de les surmonter.

En règle générale, au cours des premiers mois de la scolarité, le comportement et le bien-être des enfants changent. Certains deviennent agités ou au contraire léthargiques, irritables, mangent mal et ont des difficultés à s'endormir. Mais un ou deux mois s’écoulent et la plupart des enfants se sentent mieux. Les gars deviennent calmes et disciplinés. La plupart d’entre eux maîtrisent avec succès le programme. Mais cela ne se produit pas toujours de manière heureuse. Certains se fatiguent très vite et il apparaît clairement que tous les enfants ne sont pas capables d’étudier. Des étudiants peu performants apparaissent. De nombreuses personnes tombent souvent malades, manquent les cours et prennent ainsi du retard.

Difficultés scolaires pour les enfants gauchers

Aujourd'hui, dans presque toutes les classes, il y a des enfants qui travaillent de la main gauche - des enfants gauchers. Les enfants gauchers (comme les enfants droitiers) sont différents par leurs caractéristiques psychologiques et physiologiques, par leurs capacités, leurs intérêts et leurs problèmes.

Les raisons de l'origine de la gaucherie peuvent être différentes et il est donc impossible de parler de caractéristiques générales caractéristiques de tous ces enfants. Une chose est sûre : la gaucherie ne peut pas être considérée comme la cause de troubles ou de déviations du développement, coupable de capacités intellectuelles et physiques réduites, comme on le pensait auparavant. L’usage prédominant de la main ne dépend pas du désir ou des réticences de l’enfant ni de son entêtement, mais se développe en lien avec l’organisation particulière de l’activité cérébrale.

Bien sûr, vous pouvez faire beaucoup d'efforts et forcer un bébé gaucher à travailler avec sa main droite. Mais son essence biologique ne peut être modifiée. Un changement arbitraire de la main dominante entraîne une interférence flagrante dans les mécanismes les plus subtils de l'activité cérébrale. Ce

Quelle est la cause des problèmes des enfants gauchers et quelle est l’importance de la gaucherie dans l’apparition de ces problèmes ? La première chose à laquelle il faut prêter attention est la manière incorrecte (très stressante et inefficace) de tenir le stylo. Le résultat est une manière d’écrire très tendue et très lente avec des lettres inégales, irrégulières qui ressemblent davantage à des gribouillages. En raison du stress constant et de l'incapacité de suivre le rythme de travail en classe, d'autres problèmes s'accumulent. Aux difficultés de l'écriture purement technique s'ajoutent rapidement des omissions, des substitutions et des ajouts incomplets, ce qui complique la situation : l'excitation, l'anxiété, la peur de l'échec, l'attitude négative des adultes environnants envers les gauchers - tout ce que l'enfant ne peut pas se changer. Naturellement, cela entraîne une détérioration de la santé mentale, ce qui entraîne une forte diminution des performances, une fatigue accrue et une altération de la concentration. Et le résultat est une détérioration de l'écriture manuscrite, des erreurs, des omissions, des omissions, des problèmes sur les tests (je n'arrive pas à suivre, et je m'inquiète)

Difficultés scolaires pour les enfants lents

Les difficultés scolaires des enfants lents restent longtemps ignorées par les enseignants et les parents. Parallèlement, dans l'écrasante majorité des cas, ce sont ces enfants qui, à la fin de la première année, connaissent une forte détérioration de leur santé mentale et éprouvent des difficultés prononcées en écriture et en lecture. Les enfants lents constituent un groupe à risque particulier, car leurs problèmes scolaires ne peuvent être associés qu'à un rythme d'activité lent. La lenteur n'est pas une maladie, ni un trouble du développement, c'est simplement une caractéristique individuelle d'une personne, une caractéristique de l'activité nerveuse.

Il est prouvé que même une légère lenteur réduit considérablement les chances de réussite scolaire d’un enfant. C’est pourquoi il est nécessaire d’aider ces enfants non pas lorsque l’échec scolaire et les problèmes de santé sont déjà évidents, mais dès les premiers jours d’école. Il y a environ 10 à 20 % d'enfants lents. Il s'agit d'enfants dont le rythme de parole, de marche et de tous les mouvements est 1,5 à 2 fois plus lent et dont la vitesse d'exécution de toutes les actions complexes, et surtout d'écriture et de lecture, est faible. Cependant, la qualité de l'exécution de toutes les actions à votre rythme peut être très élevée. Si vous imaginez que chaque action individuelle est effectuée presque 2 fois plus lentement, vous comprendrez alors pourquoi un enfant lent écrit plusieurs fois plus lentement que les autres et pourquoi il lit si lentement. La lenteur ne peut pas être évaluée en termes de « bon ou mauvais ». C'est une particularité de l'enfant, et elle doit être prise en compte et prise en compte dans le processus d'apprentissage. Un enfant lent ne peut pas être forcé à écrire et à lire plus vite. Avec l'âge (si l'enfant n'est pas poussé à la névrose), la vitesse d'écriture et de lecture augmentera (à mesure que l'activité elle-même s'améliore). Cependant, chez les enfants ayant une faible mobilité des processus nerveux, la vitesse d'écriture et de lecture sera toujours inférieure à celle des enfants ordinaires. Au stade initial de la formation, on ne peut pas forcer la vitesse de travail. Se précipiter et presser un tel enfant est non seulement inutile (il ne travaillera pas plus vite, l'effet sera inverse), mais aussi nuisible. Limiter le temps de repos a un impact négatif sur l'état d'un enfant lent. Ceci, à son tour, réduit les performances, augmente la fatigue, ce qui affecte immédiatement l'écriture (l'écriture manuscrite se détériore, des erreurs apparaissent - omissions, substitutions, ajouts incomplets, corrections) et la lecture - "une ligne est perdue", des erreurs de lecture apparaissent, l'effet possible de lecture « devinante », des problèmes surviennent dans la compréhension du texte, des difficultés à raconter. Un enfant lent a du mal à traiter les informations à un rythme très rapide. Pour un enfant lent, toutes les charges de travail scolaires sont fatigantes. Par conséquent, après l’école, il vaut mieux qu’il soit à la maison, dans un environnement calme. Après l'école, ce n'est pas pour les enfants lents.

Lorsqu'on travaille avec de tels enfants, la principale clé du succès est de créer un environnement à l'école et à la maison qui permettrait à l'enfant de travailler à un rythme qui lui est accessible, de ne pas le brusquer, de le calmer, de le soutenir. et ne pas oublier de le féliciter, de créer toutes les conditions pour un travail et des cours sereins, de prêter attention à chaque tâche accomplie avec succès.

Difficultés scolaires à enseigner l’écriture et la lecture à des élèves hyperactifs

Les difficultés d’apprentissage sont le plus souvent observées chez les enfants qui présentent certains types de comportements perturbés. Parmi eux, un groupe important est représenté par les enfants dits désinhibés, moteurs et hyperactifs. L'hyperactivité (activité accrue et excessive) des enfants et les troubles du comportement associés ne sont pas une raison rare non seulement de l'insatisfaction des enseignants et des parents, mais aussi des graves problèmes scolaires qui surviennent chez ces enfants dès les premiers jours d'école. Trop excitables, parfois agressifs, irritables, ils supportent difficilement le stress et leurs performances diminuent rapidement. Ils sont incapables d’organiser leurs activités, de concentrer leur attention sur leur travail et d’établir des relations normales avec leurs pairs. Ces enfants réagissent brusquement au refus de quelque chose, ne se contrôlent pas, oublient immédiatement les bonnes intentions et préfèrent faire uniquement ce qu'ils aiment et apprécient. En règle générale, les troubles du comportement sont associés chez ces enfants à toute une série de difficultés en écriture et en lecture. Aider un tel enfant n'est possible qu'avec le travail conjoint de l'enseignant et des parents.

1. Ne permettez pas (jamais, même dans des situations critiques) l'impolitesse, l'humiliation ou la colère. Des expressions comme « je te déteste », « tu m'épuises », « je n'ai pas la force », « j'en ai marre de toi », répétées plusieurs fois par jour (sans parler des plus grossières), sont sans signification. L'enfant cesse tout simplement de les entendre.
2. Ne parlez pas à votre enfant avec désinvolture, avec irritation, en montrant de toute votre apparence que l'enfant vous distrait de choses plus importantes que de communiquer avec lui. Excusez-vous si vous ne parvenez pas à vous laisser distraire (« Désolé, bébé, je vais finir maintenant et nous parlerons de tout »).
3. Essayez de prendre en compte la grande distraction et les performances instables de ces enfants lors des activités éducatives à l'école et à la maison.

1. On ne peut pas reprocher à quelqu’un ses échecs et l’obliger à « s’entraîner » pendant des heures ;
2. N'utilisez pas de mots comme « encore sale », « quelles lettres maladroites », etc.
3. Demandez à votre enfant de prendre son temps lors de la réalisation de devoirs écrits ou de lectures ;
4. Avant de faire vos devoirs, jouez à un jeu de doigts ;
5. Les devoirs peuvent être faits sur une mélodie classique douce, ce qui aidera l'enfant à soulager le stress ;
6. Assurez-vous de tenir correctement le stylo lorsque vous écrivez ;
7. Faites vos devoirs à une certaine heure, en suivant une routine quotidienne ;
8. Soyez indulgent avec l’écriture manuscrite.

1. Créer une situation de confort et de réussite ;
2. Ne créez pas de problèmes émotionnels ;
3. Soyez discret avec votre enfant;
4. N’exigez pas de votre enfant qu’il accomplisse rapidement une tâche, tant à l’écriture qu’à la lecture ;
5. Présenter l'information à l'enfant au rythme qui lui convient ;
6. N'utilisez pas de mots comme « Plus vite », « Ne me contrariez pas », etc. dans votre discours.
7. Utilisez plus souvent des mots comme « Ne vous précipitez pas, travaillez calmement » dans votre discours ;
8. Ne montrez pas à votre enfant votre irritation face à sa lenteur de travail, faites preuve de tact et de patience ;
9. Favoriser toute réussite de l'enfant, même le plus petit ;
10. Ne punissez pas le travail lent ;
11. Faites plus souvent des pauses dynamiques, durant lesquelles vous pourrez jouer à un jeu actif ou à un jeu pour développer la motricité générale ;

1. Recommandations aux parents pour aider les enfants hyperactifs à faire leurs devoirs :

1. Créer une situation de confort et de réussite ;
2. Ne créez pas de problèmes émotionnels ;
3. Le lieu de travail de l’enfant doit être calme et tranquille, où l’enfant peut étudier sans interruption ;
4. Planifiez soigneusement vos devoirs : « Faites ceci d'abord, puis… » ;
5. Lorsque votre enfant effectue des tâches graphiques (copie, copie de lettres, de chiffres), assurez-vous de la bonne assise et de la bonne position du stylo et du cahier ;
6. Parlez à votre enfant calmement, sans irritation. Le discours doit être clair et sans hâte, les instructions (tâches) doivent être claires et sans ambiguïté ;
7. Ne concentrez pas l'attention de l'enfant sur l'échec - il doit être sûr que toutes les difficultés et tous les problèmes sont surmontables et que le succès est possible ;
8. Faites vos devoirs à une certaine heure, en suivant une routine quotidienne, en organisant efficacement vos activités ;
9. Favoriser toute réussite de l'enfant, même le plus petit ;
10. Planifiez chaque tâche en détail avec votre enfant.

La réussite d’un enfant dépend directement de la compréhension, de l’amour, de la patience et de la capacité d’aider ses proches en temps opportun.

Règles pour les parents pour l'organisation de l'aide aux enfants en « difficultés scolaires »

Les résultats du travail des parents auprès des enfants ayant des difficultés d'apprentissage, avec une correction systématique et ciblée, peuvent être très efficaces. Les principales conditions sont le temps, la patience et la foi dans le succès. L’aide des parents ne doit pas se limiter au simple suivi des devoirs (ce qui est le plus souvent le cas). Les parents doivent savoir comment organiser les cours et comment interagir avec leur enfant. Ils doivent suivre les règles de base :

1. il faut travailler régulièrement et tous les jours, et non les dimanches et jours fériés ;
2. il faut faire des exceptions, ne pas étudier si l'enfant est très fatigué ou si des événements particuliers se sont produits ;
3. pendant les cours, il doit y avoir des pauses, de l'éducation physique et des exercices de relaxation toutes les 15 à 20 minutes ;
4. Vous devriez commencer vos cours par des exercices de jeu ;
5. Les cours doivent inclure des tâches que l'enfant peut certainement accomplir ou qui sont assez faciles et ne provoquent pas de stress important. Cela lui permettra de se préparer au succès et les parents pourront utiliser le principe du renforcement positif : « Voyez comme tout s'est bien passé ! », « Vous allez bien aujourd'hui », etc.

Environ une fois par semaine (tous les 10 jours), les parents devraient rencontrer l'enseignant et discuter des tactiques de travail pour la prochaine période.

Le travail des parents avec un enfant qui a des problèmes scolaires est particulièrement efficace dans les cas où il est contraint de s'absenter de l'école pendant un certain temps (par exemple, en raison ou après une maladie). L'absence de difficultés psychologiques liées à l'influence d'une grande équipe, d'un régime réglementé, de charges statiques importantes, c'est-à-dire l'ensemble des charges scolaires, permet d'utiliser un temps assez court uniquement pour des activités éducatives avec un grand bénéfice, et le travail individuel permet de prendre en compte toutes les caractéristiques de l'enfant. Le moyen le plus efficace d'aider les enfants ayant des difficultés d'apprentissage à l'école primaire est l'attention, la gentillesse et la patience, le désir d'en comprendre les raisons et la capacité de trouver une approche particulière à ces enfants.

Le succès de ce travail dépend en grande partie de la capacité de l'enfant à croire en sa réussite, mais les adultes doivent d'abord y croire.

Causes des difficultés d'apprentissage à l'école primaire.
Ces dernières années, nous avons constaté une augmentation significative du nombre d’enfants présentant diverses difficultés d’apprentissage à l’école primaire.

L'opinion des parents se résume souvent à ce qui suit : les particularités de l'apprentissage dans une école moderne sont associées à un volume d'informations toujours croissant, à une intensification significative du matériel, ainsi qu'à la modernisation et à la complication constantes des programmes éducatifs. De telles conditions d'apprentissage imposent les plus hautes exigences au corps d'un élève du primaire.

Les enseignants doivent le savoirP.Les raisons pour lesquelles les enfants ne réussissent pas à l'école primaire sont extrêmement diverses, s'enchaînent harmonieusement les unes dans les autres et surviennent même, en règle générale, non pas de manière isolée, mais dans leur ensemble.Les enseignants se préoccupent avant tout de la question de savoir comment, dans une école d'enseignement général, créer les conditions préalables au développement optimal de chaque enfant, en particulier pour ceux qui rencontrent certaines difficultés d'apprentissage ? Ceci est d'autant plus important que les lacunes dans les connaissances formées au cours de la période initiale d'apprentissage de la lecture, de l'écriture et des mathématiques entraînent généralement de graves problèmes aux étapes ultérieures de l'éducation. Il est très important que les enfants franchissent ce chemin difficile sans nuire à leur santé, sans perdre leur intérêt pour l'apprentissage, sans perdre confiance en eux et en leurs forces.

Causes des difficultés scolairestrès grossièrement peut être divisé enbiologique , sociale Etémotionnel .

Biologique:
1. Certains enfants entrent en première année sans atteindre le niveau de maturité scolaire .

Si, contrairement aux recommandations des experts, ces enfants finissent néanmoins en première année avant d'avoir atteint le niveau de maturité scolaire, ils sont tout simplement condamnés à prendre du retard. En règle générale, en gardant ces enfants à la maison pendant un an supplémentaire et en étudiant attentivement avec eux, il est possible de réduire considérablement le risque, voire de les empêcher complètement, d'échouer à l'école primaire.

2. Enfants somatiquement affaiblis.

Leur maturité scolaire est incontestable, le niveau d'intelligence est assez élevé, l'âge civil correspond aux études en première année, mais ils tombent souvent malades et manquent les cours, se fatiguent rapidement et à la troisième ou quatrième leçon ne sont plus capables de se concentrer. sur quoi que ce soit, et donc la seconde moitié de la journée scolaire est gaspillée pour eux. Ces enfants doivent bien entendu aller à l’école, mais ils ont besoin d’un régime spécial et d’un système de mesures de réadaptation et de durcissement.

3. Gaucher d'un enfant .

Aujourd’hui, dans presque toutes les classes, il y a des enfants qui travaillent de la main gauche. La gaucherie n’est pas une maladie. Non pas à cause de la gaucherie en tant que telle, mais parce que ces enfants présentent des facteurs de développement défavorables qui peuvent déterminer une excitabilité accrue, des difficultés de concentration et une maturation ultérieure des fonctions cognitives (parole, motricité, perception, pensée, mémoire). Toutes ces caractéristiques apparaissent également chez les enfants droitiers qui présentent des facteurs de risque développementaux.

Quelle est la cause des problèmes des enfants gauchers et quelle est l’importance de la gaucherie dans l’apparition de ces problèmes ?

La première chose à laquelle il faut prêter attention est la manière incorrecte (très stressante et inefficace) de tenir le stylo. Le résultat est une manière d’écrire très tendue et très lente avec des lettres inégales, irrégulières qui ressemblent davantage à des gribouillages. En raison du stress constant et de l'incapacité de suivre le rythme de travail en classe, d'autres problèmes s'accumulent. Les difficultés liées aux compétences d'écriture purement techniques sont rapidement complétées par des omissions, des substitutions et des souscriptions, et la situation se complique par l'excitation, l'anxiété, la peur de l'échec, l'attitude négative des adultes environnants envers les gauchers - tout ce que l'enfant ne peut pas changer lui-même. . Naturellement, cela entraîne une détérioration de la santé mentale, ce qui entraîne une forte diminution des performances, une fatigue accrue et une altération de la concentration. Et le résultat est une détérioration de l'écriture manuscrite, des erreurs, des omissions, des omissions, des problèmes lors des tests (n'arrive pas à suivre, et s'inquiète, et se fatigue rapidement).

Ainsi, le fait d’être gaucher n’a rien à voir ; exactement les mêmes problèmes pourraient survenir dans les mêmes conditions chez un enfant droitier.

4. N diagnostic eurologique .

Retard mental, retard mental léger, syndrome hyper- ou hypodynamique, conséquences du MMD. Ici, toutes les mesures correctives et thérapeutiques sont effectuées en contact étroit avec le spécialiste traitant et l'enfant, dans la mesure du possible, est inculqué de la certitude que ses problèmes peuvent être résolus et que l'arriéré peut être surmonté. En règle générale, c'est le cas.

Social et émotionnel :
1. Négligence pédagogique de l'enfant .

De plus, il convient de noter que nous ne parlons pas nécessairement de parents alcooliques dégénérés ou d'enfants qui ont grandi dans des repaires de drogue (malheureusement, cela arrive, mais ces enfants, en règle générale, ne vont pas du tout à l'école. Leur sort est notre sort commun. douleur et anxiété, mais maintenant nous n'en parlons pas.). Les enfants pédagogiquement négligés se retrouvent dans des familles tout à fait normales, très décentes, voire très riches.
2. Conflit entre l'enseignant et les parents.

3. Conflits entre l'enfant et ses camarades de classe.

4. Conflit personnel ou simple malentendu entre enseignant et élève .

Nous ne considérerons pas aujourd'hui les troubles des performances scolaires causés par les raisons énumérées. Ils peuvent ressembler à n’importe quoi, depuis (prétendument) une diminution de la mémoire de l’enfant jusqu’à un refus catégorique d’aller à l’école. Chacun de ces cas doit être examiné individuellement avec la participation des parents, d'un psychologue scolaire et d'un enseignant qui enseigne directement à l'enfant.

Considéronstroubles spécifiques du développement des compétences scolaires (SRRSHN), que l’on rencontre le plus souvent, car Ce groupe de troubles se manifeste par un déficit spécifique et important dans l'apprentissage des compétences scolaires. Bien qu'ils soient souvent observés en association avec d'autres syndromes cliniques tels que les troubles de l'attention ou les troubles des conduites ou d'autres troubles du développement tels que les troubles du développement moteur ou les troubles spécifiques du développement du langage.

Parmi les troubles du groupe SRRHS figurent :1. Dyslexie - déficience spécifique des compétences en lecture.La principale caractéristique de ce trouble est une déficience spécifique et significative dans le développement des compétences en lecture qui ne peut s'expliquer uniquement par l'âge mental, des problèmes d'acuité visuelle ou une scolarité inadéquate. Les capacités de compréhension, les techniques de lecture ou l'exécution de tâches nécessitant de la lecture peuvent être altérées. Les difficultés en lecture sont souvent combinées à des difficultés à acquérir des compétences rédactionnelles correctes.En lisant, vous observez :- un rythme de lecture lent ;- les omissions, remplacements, déformations ou ajouts de mots ou parties de mots ;- tentatives de reprise de lecture, hésitations prolongées ou « perte de place » dans le texte et imprécisions dans les expressions ;- réarrangement des mots dans une phrase ou des lettres dans les mots.Il peut également y avoir un manque de compréhension de ce qui est lu, exprimé par :- incapacité à se souvenir des faits issus de la lecture ;- incapacité à tirer des conclusions ou des conclusions de l'essence de ce qui a été lu ;- est-ce que pour répondre aux questions sur l'histoire lue, on utilise des connaissances générales plutôt que des informations provenant d'une histoire spécifique.2. Dysgraphie - déficience spécifique des capacités rédactionnelles.Ce trouble altère à la fois la capacité à épeler les mots oralement et à les épeler correctement. Des substitutions de lettres, des omissions de lettres et de syllabes sont observées.Très souvent, ils sont combinés avec ou à la suite d’une altération des compétences en lecture, c’est-à-dire que les compétences en lecture deviennent progressivement satisfaisantes, voire bonnes, mais les cahiers restent « un gâchis complet ».3. Acalculie - déficience spécifique des compétences arithmétiques.Ici, le déficit concerne les compétences informatiques de base en matière d'addition, de soustraction, de multiplication et de division ou de résolution de problèmes. Les difficultés constatées dans ce cas peuvent inclure un manque de compréhension des concepts sous-jacents aux opérations arithmétiques, un manque de compréhension des termes ou symboles mathématiques, une incapacité à reconnaître les signes numériques, une difficulté à apprendre l'ordre ordinal des nombres ou à apprendre les décimales ou les signes pendant calculs, mauvaise organisation spatiale des calculs arithmétiques.4. Trouble des compétences scolaires mixtes. Il s'agit ici d'une combinaison des effets de deux ou trois des troubles décrits ci-dessus, souvent associés à des troubles de l'attention, de la mémoire et à de faibles performances mentales.

Des troubles spécifiques des compétences scolaires sont particulièrement souvent observés chez les enfants avec des degrés de gravité variables.hyperdynamique syndrome.

Trop excitables, parfois agressifs, irritables, ils supportent difficilement le stress et leurs performances diminuent rapidement. Ils sont incapables d’organiser leurs activités, de concentrer leur attention sur leur travail et d’établir des relations normales avec leurs pairs. Ces enfants réagissent brusquement au refus de quelque chose, ne se contrôlent pas, oublient immédiatement les bonnes intentions et préfèrent faire uniquement ce qu'ils aiment et apprécient.

En règle générale, les troubles du comportement s'associent chez ces enfants à toute une série de difficultés en écriture, en lecture et en mathématiques.

Une autre catégorie d'enfants qui ont aussi souvent des difficultés d'apprentissage estlent enfants. Les enfants lents constituent un groupe à risque particulier, car leurs problèmes scolaires ne peuvent être associés qu'à un rythme d'activité lent. La lenteur n'est pas une maladie, ni un trouble du développement, c'est simplement une caractéristique individuelle d'une personne, une caractéristique de l'activité nerveuse.

Il est prouvé que même une légère lenteur réduit considérablement les chances de réussite scolaire d’un enfant. C’est pourquoi il est nécessaire d’aider ces enfants non pas lorsque l’échec scolaire et les problèmes de santé sont déjà évidents, mais dès les premiers jours d’école. Il y a environ 10 à 20 % d'enfants lents. Il s'agit d'enfants dont le rythme de parole, de marche et de tous les mouvements est 1,5 à 2 fois plus lent et dont la vitesse d'exécution de toutes les actions complexes, et surtout d'écriture et de lecture, est faible. Cependant, la qualité de l'exécution de toutes les actions à votre rythme peut être très élevée.

Est-il possible de faire travailler un enfant plus vite ?

Un enfant lent ne peut pas être forcé à écrire et à lire plus vite. Avec l'âge (si l'enfant n'est pas poussé à la névrose), la vitesse d'écriture et de lecture augmentera (à mesure que l'activité elle-même s'améliore). Cependant, chez les enfants ayant une faible mobilité des processus nerveux, la vitesse d'écriture et de lecture sera toujours inférieure à celle des enfants ordinaires. Au stade initial de la formation, on ne peut pas forcer la vitesse de travail. Se précipiter et presser un tel enfant est non seulement inutile (il ne travaillera pas plus vite, l'effet sera inverse), mais aussi nuisible. Limiter le temps de repos a un impact négatif sur l'état d'un enfant lent. Ceci, à son tour, réduit les performances, augmente la fatigue, ce qui affecte immédiatement l'écriture (l'écriture manuscrite se détériore, des erreurs apparaissent - omissions, substitutions, écriture incomplète, corrections) et la lecture - "une ligne est perdue", des erreurs de lecture apparaissent, l'effet est possible lecture « devinante », des problèmes surviennent dans la compréhension du texte, des difficultés à raconter. Un enfant lent a du mal à traiter les informations à un rythme très rapide. Vous devez prêter attention à l’état de l’enfant et à ses plaintes. Pour un enfant lent, toutes les charges de travail scolaires sont fatigantes. Par conséquent, après l’école, il vaut mieux qu’il soit à la maison, dans un environnement calme. Après l'école, ce n'est pas pour les enfants lents.

Lorsqu'on travaille avec de tels enfants, la principale clé du succès est de créer un environnement à l'école et à la maison qui permettrait à l'enfant de travailler à un rythme qui lui est accessible, de ne pas le brusquer, de le calmer, de le soutenir. et ne pas oublier de le féliciter, de créer toutes les conditions pour un travail et des cours sereins, de prêter attention à chaque tâche accomplie avec succès.

Principes de base pour aider les enfants ayant des difficultés d'apprentissage :

1) tout enfant ayant des problèmes scolaires peut recevoir une éducation primaire à part entière avec un système d'assistance correctionnelle approprié et organisé en temps opportun.

2) pour corriger des difficultés complexes, il est nécessaire de prendre en compte à la fois des facteurs externes et internes.

3) l'aide aux enfants en difficulté scolaire est une aide dans laquelle ce ne sont pas les difficultés d'apprentissage de l'écriture et de la lecture qui sont corrigées, mais les raisons qui les provoquent.

4) assistance systématique aux enfants ayant des difficultés d'apprentissage, comprenant des mesures d'immaturité non spécifique (optimisation du processus éducatif, normalisation du régime, élimination des situations conflictuelles dans la famille et à l'école, etc.) et spécifiques d'immaturité ou de troubles du développement des fonctions cognitives .

5) organisation d'une aide globale aux enfants ayant des difficultés d'apprentissage. Il s'agit d'un travail systématique et d'une interaction systématique entre un enseignant, un psychologue, un orthophoniste et des parents.

Conditions d'une correction efficace des difficultés scolaires

LA PREMIÈRE CONDITION est la présence de méthodes modernes de diagnostic psychophysiologique et psychologique des difficultés, de leurs causes et de l'identification de leurs caractéristiques.

LA DEUXIÈME CONDITION est la connaissance par les enseignants des causes et des mécanismes des difficultés scolaires, la capacité à identifier ces causes et la connaissance des méthodes et technologies d’organisation de l’aide.

TROISIÈME CONDITION - la possibilité de recevoir l'assistance consultative nécessaire de la part de spécialistes - psychologue, orthophoniste, médecin - et d'élaborer un programme d'assistance complet.

QUATRIÈME CONDITION – travail en commun et tactiques communes entre le travail et la famille lors de l'organisation de l'aide à un enfant en difficulté scolaire.

CINQUIÈME CONDITION – disponibilité de spécialistes, de locaux, de ressources matérielles, etc. organiser une assistance systémique globale aux étudiants.

Parcours pédagogique individuel - il s'agit d'un programme structuré d'actions pour un étudiant à un certain stade déterminé de sa formation.

Deux aspects de l'importance de la technologie dans un parcours éducatif individuel :

1) prise en compte des caractéristiques individuelles des enfants avec adaptation ultérieure du processus éducatif aux caractéristiques individuelles de chaque enfant ;

2) apporter à chaque enfant un accompagnement pédagogique individualisé afin de développer ses ressources psychologiques individuelles.

Étapes de construction
parcours pédagogiques individuels

1. Étape d'observation

Le but de l'étape : identifier un groupe de jeunes écoliers rencontrant des difficultés d'apprentissage.

A ce stade, l'enseignant surveille les activités pédagogiques des élèves qui appartiennent au groupe des élèves non préparés ou conditionnellement prêts à apprendre à l'école (diagnostic basé sur le niveau de préparation à l'apprentissage des élèves) ou il s'agit d'écoliers qui rencontrent des difficultés d'apprentissage en fonction sur les résultats des diagnostics pédagogiques.

2. Étape diagnostique

A ce stade, un certain nombre de diagnostics sont réalisés.

Le but de cette étape est d’identifier les causes des difficultés d’apprentissage de l’enfant.

Il est nécessaire de le faire pour connaître la véritable cause des difficultés d'enseignement chez un élève du primaire.

Questionnaires, tests

Déclaration

Oui

Non

Haut

moteur

activité

Agité dans les mouvements (battre avec les doigts, grimper quelque part)

S'agite en place.

Est en mouvement constant.

Très bavard.

Dort beaucoup moins.

Carence en actif

attention

Comportement incohérent.

A des difficultés d’organisation.

A de nombreux projets inachevés.

N'entend pas quand les gens lui parlent.

Accepte une tâche avec beaucoup d'enthousiasme, mais ne la termine pas.

Il perd des choses.

Évite les tâches qui nécessitent un effort mental et les tâches ennuyeuses.

Souvent oublieux.

Impulsivité

Impossible de réguler ses actions.

Ne sait pas obéir aux règles.

Réponses avant d'être interrogé.

Vivement son tour dans le jeu ou en classe.

Interfère souvent dans la conversation et interrompt l'orateur.

Mauvaise concentration.

Je ne peux pas retarder la gratification.

Variabilité du comportement (dans certaines classes il est calme, dans d'autres il ne l'est pas).

Si au moins 6 des signes listés apparaissent avant l’âge de 7 ans, on peut supposer que l’enfant est hyperactif.

La vitesse d'action chez les enfants lents est 1,5 à 2 fois inférieure à la normale.

C'est assez simple à vérifier. Placez une feuille de papier dans un carré devant votre enfant et demandez-lui de mettre un point dans chaque carré (sur n'importe quelle ligne) et de compter à voix haute jusqu'à dix. En moyenne, les enfants ordinaires de six ans accomplissent cette tâche en 10 à 12 secondes, les enfants de sept ans en 6 à 8 secondes ; et pour les personnes lentes, ce temps est 1,5 à 2 fois plus long.

Détermination de la main dirigeante, des yeux - pose de Napoléon, doigts croisés, etc.

3. Phase de construction

Objectif de l'étape : construire des parcours pédagogiques individuels pour les élèves du primaire rencontrant des difficultés d'apprentissage en fonction de raisons identifiées.

Tableau compilé à partir d'informationsextrait du livre d'A.F. Anufrieva, S.N. Kostromina "Comment surmonter les difficultés liées à l'enseignement aux enfants."

Difficultés typiques de l'enseignement à un élève du primaire : types, raisons, recommandations

Types de difficultés

Raisons possibles

Omet des lettres dans le travail écrit

1. Faible niveau de conscience phonémique

Exercices pour développer l'analyse son-lettre

3. Manque de développement de techniques de maîtrise de soi

Exercices pour développer la maîtrise de soi

Vigilance orthographique sous-développée

2. Manque de formation de méthodes d'activité éducative (maîtrise de soi, capacité d'agir selon la règle)

3.Faible niveau de volume et répartition de l'attention

Exercices pour développer le volume et la répartition de l'attention

4. Faible niveau de développement de la mémoire à court terme

5. Mauvais développement de l'audition phonémique

Exercices pour développer l'analyse son-lettre

Inattentif et distrait

1. Faible niveau de développement du volontariat

Exercices pour développer l'arbitraire

2. Faible capacité d’attention

4. La motivation prédominante pour apprendre est le jeu

A du mal à résoudre des problèmes de mathématiques

1. Faible niveau de développement de l'intelligence générale

Un examen complémentaire par un psychoneurologue est nécessaire

2. Mauvaise compréhension des structures grammaticales

Exercices de conceptualisation auditive

3. Manque de développement de la capacité à se concentrer sur un système de signes

Exercices pour développer la capacité de naviguer dans le système de signalisation

4. Faible niveau de pensée imaginative

Exercices pour développer l'attention figurative

A du mal à raconter un texte

1. Manque de capacité à planifier vos actions

Exercices pour développer la capacité de planifier vos actions

2. Mauvais développement de la mémorisation logique

Exercices pour développer la mémorisation logique

3. Faible niveau de développement de la parole

Exercices pour le développement de la parole

4. Faible niveau de développement de la pensée imaginative

Exercices pour développer la pensée imaginative

5. Faible niveau de développement des opérations logiques (analyse, généralisation, systématisation)

Exercices pour développer des opérations de réflexion

6. Faible estime de soi

Agité

1.Faible niveau de développement du volontariat

Exercices pour développer l'arbitraire

2. Traits de personnalité typologiques individuels

Régime doux, prenant en compte les caractéristiques individuelles lors de l'enseignement

3. Faible niveau de développement de la sphère volitive

Exercices pour le développement de la sphère volitive

Difficulté à comprendre les explications la première fois (12,7%)

Exercices pour développer les techniques d'apprentissage

2. Mauvaise concentration

Exercices pour développer la concentration

3. Faible niveau de développement de la perception

Exercices pour développer la perception

Exercices pour développer l'arbitraire

5. Faible niveau de développement de l'intelligence générale

Insouciance constante dans les cahiers (11,5%)

1. Mauvais développement de la motricité fine des doigts

Exercices pour développer la motricité fine de la main

Exercices pour développer les techniques d'apprentissage

3. Capacité d’attention insuffisante

Exercices pour développer la capacité d'attention

4. Faible niveau de développement de la mémoire à court terme

Exercices pour développer la mémoire à court terme

Mauvaise connaissance de la table d'addition (multiplication) (10.2)

1. Faible niveau de développement de la mémoire mécanique

Exercices pour développer la mémoire mécanique

2. Faible niveau de développement de la mémoire à long terme

Exercices pour développer la mémoire à long terme

3. Développement de l'intelligence générale en dessous de la norme d'âge

Examen par un neuropsychiatre

4. Faible niveau de développement du volontariat

Exercices pour développer l'arbitraire

5. Mauvaise concentration

Exercices pour développer la concentration

Exercices pour développer les techniques d'apprentissage

Ne peut pas faire face aux tâches liées au travail indépendant (9,6 %)

1. Manque de formation de méthodes d'activités éducatives

Exercices pour développer les techniques d'apprentissage

Exercices pour développer l'arbitraire

Oublie constamment les fournitures scolaires à la maison (9,5%)

1. Forte instabilité émotionnelle, impulsivité accrue

2. Faible niveau de développement du volontariat

Exercices pour développer l'arbitraire

3. Faible niveau de concentration et d’attention

Exercices pour développer la concentration et l'attention

Mauvaise copie du tableau (8,7%)

1. Manque de formation de prérequis pour les activités éducatives

Exercices pour développer les techniques d'apprentissage

2. Faible niveau de développement du volontariat

Exercices pour développer l'arbitraire

4. Capacité d’attention insuffisante

Exercices pour développer la capacité d'attention

5. Faible niveau de développement de la mémoire à court terme

Exercices pour développer la mémoire à court terme

Fait ses devoirs efficacement, mais obtient de mauvais résultats en classe (8,5 %)

1. Faible vitesse des processus mentaux

Prise en compte des caractéristiques typologiques individuelles lors de l'enseignement

2. Manque de formation de méthodes d'activités éducatives

Exercices pour développer les techniques d'apprentissage

Exercices pour développer l'arbitraire

Toute tâche doit être répétée plusieurs fois avant que l'élève commence à la réaliser (6,9 %)

1. Faible niveau de concentration et d’attention

Exercices pour développer la concentration et l'attention

2. Faible niveau de développement du volontariat

Exercices pour développer l'arbitraire

3. Manque de capacité à effectuer une tâche suite aux instructions orales d'un adulte

Exercices pour développer la capacité d'agir selon les instructions

4. Manque de formation de prérequis pour les activités éducatives

Exercices pour développer les techniques d'apprentissage

Pose constamment des questions à l'enseignant (6,4 %)

1. Faible capacité d’attention

Exercices pour développer la capacité d'attention

2. Mauvaise concentration et capacité d’attention

Exercices pour développer la concentration et l'attention

3. Faible niveau de changement d’attention

Exercices pour développer le changement d'attention

4. Faible niveau de mémoire à court terme

Exercices pour développer la mémoire à court terme

Exercices pour développer l'arbitraire

6. Manque de capacité à accepter une tâche d'apprentissage

Exercices pour développer la capacité d'accepter une tâche d'apprentissage

Mauvaise orientation dans les cahiers (5,5%)

1. Faible niveau de développement de la perception et de l'orientation dans l'espace

Exercices pour développer l'attention et l'orientation spatiale

2. Faible niveau de développement du volontariat

Exercices pour développer l'arbitraire

3. Mauvais développement des petits muscles des mains

Exercices pour développer la motricité fine

Lève la main mais reste silencieux en répondant (4,9%)

Stimulation de l'activité cognitive

2. Faible estime de soi

Correction de la sphère personnelle-motivationnelle

Exercices pour développer l'arbitraire

En retard en classe (4,8%)

1. Manque de développement de techniques de maîtrise de soi

Exercices pour développer des techniques de maîtrise de soi

2. Faible niveau de développement de la concentration et de la capacité d'attention

Exercices pour développer la concentration et l'attention

3. Faible niveau de développement du volontariat

Exercices pour développer l'arbitraire

4. Difficultés possibles dans la famille

Étudier les relations interpersonnelles au sein de la famille, travailler avec les parents

5. Raisons du bénéfice secondaire

Correction des relations interpersonnelles

Constamment distrait en classe, grimpe sous le bureau, joue, mange (4,7 %)

1. Manque de formation d'attitude envers soi-même en tant qu'écolier

Stimulation de l'activité cognitive

2. La prédominance de la motivation d'apprentissage est ludique

Correction de la sphère personnelle-motivationnelle

3. Caractéristiques typologiques individuelles de la personnalité

Prise en compte des caractéristiques individuelles

4. Faible niveau de concentration et d’attention

Exercices pour développer la résilience et la concentration

5. Faible niveau de développement du volontariat

Exercices pour développer l'arbitraire

6. Manque de formation de méthodes d'activités éducatives

A peur d'être interviewé par un enseignant (4,7%)

1. Faible estime de soi

Correction de la sphère personnelle-motivationnelle

2. Difficultés possibles dans la famille

Travailler avec les parents

3. État de stress interne

4. Traits de personnalité typologiques individuels

Prise en compte des caractéristiques individuelles dans le travail éducatif

En vérifiant le cahier après le cours, il s'avère qu'il n'y a aucun travail écrit (2,6%)

1. Manque de formation d'attitude envers soi-même en tant qu'écolier

2. La motivation prédominante pour apprendre est le jeu

Stimulation de l'activité cognitive

3. Faible niveau de hasard

Exercices pour développer l'arbitraire

4. Manque de formation de méthodes d'activités éducatives

Exercices pour développer les méthodes pédagogiques

Sort et s'absente longtemps pendant les cours (1,0%)

1. Manque de motivation à apprendre

Stimulation de l'activité cognitive

2.Attitude informe envers soi-même en tant qu'écolier

Correction de l'orientation personnelle

3. Faible estime de soi

Soulagement de l'anxiété grâce à des effets thérapeutiques

4. État de stress interne

Un examen complémentaire par un psychoneurologue est nécessaire

5. Difficultés à maîtriser la matière liée au retard mental

Un examen complémentaire par un psychoneurologue est nécessaire