La mort ou le destin peuvent-ils être évités ? Métropolite Marc de Riazan et Mikhaïlovski : « Nous créons du nouveau dans les traditions de l'ancien »

Des questions telles que l'existence du destin, s'il est possible de changer le destin à sa discrétion, si une personne elle-même est capable d'attirer sa propre mort ou, au contraire, d'augmenter la durée de la vie - les gens ont essayé de comprendre ces secrets sacrés et mystérieux depuis des temps immémoriaux.

Les magiciens et les médiums assurent que l'avenir offre de nombreuses options et, lors de leurs réceptions, ils promettent qu'ils changeront les événements de votre vie dans un sens ou dans l'autre.
Bien entendu, une personne a le choix de son chemin de vie. Mais à partir de nombreux faits et traités anciens, nous sommes en mesure d'influencer la qualité de notre vie, mais nous ne sommes pas en mesure de modifier les dates les plus importantes.

Dans le livre « Vanga : Confession d'un clairvoyant aveugle », Krasimira Stoyanova, nièce et biographe personnelle du devin bulgare, a donné le dialogue suivant :

" Des questions:

– S’il arrive que vous voyez, avec la vision intérieure qui vous est donnée d’en haut, un malheur imminent ou même la mort d’une personne qui est venue vers vous, pouvez-vous faire quelque chose pour éviter le malheur ?

- Non, ni moi ni personne d'autre ne pouvons rien faire.

– Et si des troubles, même catastrophiques, menacent non pas une personne, mais un groupe de personnes, une ville entière, un État, est-il possible de préparer quelque chose à l'avance ?

- C'est inutile.

– Le sort d’une personne dépend-il de sa force intérieure, morale et de ses capacités physiques ? Est-il possible d'influencer le destin ?

- C'est interdit. Chacun suivra son propre chemin, et seulement son propre chemin. »

Visions de mort

Certaines personnes ont le pressentiment latent d’une mort imminente. Cela se manifeste différemment pour chacun. Certains tentent de mettre de l’ordre dans leurs affaires. D’autres tentent de comprendre la structure de l’univers, en réfléchissant au sens de l’existence, de l’âme et de Dieu. D'autres, tombant dans le découragement, perdent tout intérêt pour la vie, comme s'ils se préparaient psychologiquement et physiquement à la transition vers une autre forme d'existence.
La capacité de prédire la date de sa mort se manifeste plus clairement dans les œuvres des poètes et des écrivains. Et de plus, souvent les auteurs dans leurs œuvres prévoient non seulement l'approche de leur mort, mais décrivent également en détail les circonstances de leur mort.

Dans l’un des poèmes de Nikolai Rubtsov, il y avait de telles lignes prophétiques :

"Je mourrai dans les gelées de l'Épiphanie,
Je mourrai quand les bouleaux craqueront."

Dans un poème de 1913, Fiodor Sologub, 14 ans avant sa mort, se prédit :

"Les ténèbres me détruiront en décembre.
En décembre, j'arrêterai de vivre."

Dans le poème « Rêve », M. Yu.

» Chaleur de midi dans la vallée du Daghestan
Je reste immobile avec du plomb dans la poitrine. »
Tout s'est passé comme le poète l'avait prédit. Il fut tué en duel par un coup de feu de Martynov.
Mais ici se pose une question controversée : soit les poètes ont réellement « vu » quelque chose du futur, soit, encore une fois, avec l'aide du don de l'imagination et de la capacité de créer leurs propres mondes, ils ont formé leur propre modèle de mort. ?
Apparemment, les poètes ont reçu dans une certaine mesure des informations sur l'avenir de leur propre subconscient, en écoutant leur « moi » intérieur, qui est étroitement lié à l'esprit supérieur - un référentiel où l'on peut trouver des réponses à toutes les questions qui existent.
Ce fait est également surprenant : beaucoup de gens qui n'ont pas le don de prévoyance et qui ne savent pas quand viendra la fin de leur existence terrestre, peuvent facilement dire comment cela se produira.

Mais il arrive aussi que les gens aient peur de quelque chose et que, avec ces peurs, ils soient attirés par des événements tragiques. Ce n’est pas en vain que les anciens disaient : « Nous invitons nous-mêmes des invités au festin de nos pensées. »
Venedikt Erofeev, écrivain toute sa vie, s'est enveloppé dans des foulards, boutonnant fermement son col, comme pour se protéger d'une future maladie incurable qui le rattraperait à l'avenir. Il est mort d'un cancer de la gorge.
Peu avant sa mort, le légendaire musicien John Lennon devient soudainement un ermite, caché chez lui. Comme s'il pressentait une tentative d'assassinat à venir, il cessa de communiquer avec le monde et de sortir. Et surtout, à partir des souvenirs de ses proches, il commence à s'intéresser au thème du meurtre, imaginant avec peur les sentiments d'une personne dont le corps est touché par une balle.
Il a été remarqué que les personnes destinées à une vie courte la vivent de manière très brillante et fructueuse, se précipitant pour tout faire. On dit de ces personnes : ils étaient pressés de vivre. De nombreux poètes brillants sont décédés très jeunes, laissant derrière eux les plus grandes créations (Sergei Yesenin est décédé à 30 ans, M. Yu. Lermontov est décédé à 26 ans). Et tandis que d'autres personnes talentueuses - les foies longs - n'ont commencé à se réaliser qu'après 40 à 50 ans. De nombreux artistes ont créé leurs œuvres vieilles de plus de 70 ans. Les meilleurs tableaux de Titien ont été peints il y a près de 100 ans. Strauss, Verdi et bien d’autres compositeurs ont écrit de la musique jusqu’à l’âge de 80 ans.

Des chercheurs américains de Stanford (Californie) ont récemment achevé une expérience appelée « Espérance de vie » et l'ont commencée il y a plus de... 90 ans, en 1921. Plus de 1 500 enfants ont participé à l'expérience et ont été suivis tout au long de leur vie. Les résultats ont surpris les chercheurs. Il s'est avéré que les personnes qui avaient un bon sens de l'humour et qui ont eu une enfance heureuse avaient en moyenne une espérance de vie plus courte que les autres. Nous avons également découvert que contrairement à la croyance selon laquelle aimer un animal prolonge la vie, ce n’est pas le cas. Mais les mariages, tout comme les divorces, n’affectent pas la santé. Ceux qui sont aimés tout au long de leur vie et dont on prend soin sont heureux tout au long de leur vie, mais cela n'affecte pas leur espérance de vie.

On suppose que l'âme humaine connaît le temps qui nous est imparti et que lorsque ce moment est arrivé, cela pousse les gens dans une situation critique. Souvenons-nous de l'histoire de la mort du merveilleux chanteur et poète Igor Talkov. La tragédie s'est produite dans les coulisses du Palais des Sports Yubileiny. Talkova a été invitée par le chanteur Aziz, par l'intermédiaire de son ami Igor Malakhov, à se produire pour elle, car elle n'avait pas le temps de se préparer pour le spectacle. Mais Talkov n’était pas d’accord. Un conflit a eu lieu, à la suite duquel le chanteur a été tué par un coup de pistolet. Le réalisateur du chanteur, Valery Shlyafman, a été accusé de meurtre involontaire lorsqu'il a tenté d'arracher l'arme des mains d'une autre personne et a accidentellement appuyé sur la gâchette. Mais comme vous le savez, il n’y a pas d’accidents.

D'après les mémoires de la veuve du chanteur, Tatiana, Talkov n'a jamais emporté d'arme avec lui, mais ce jour-là, pour une raison quelconque, il a emporté un pistolet à gaz au concert. Et lorsqu'une dispute essentiellement inoffensive s'est produite, le premier a sorti une arme et a commencé à tirer en l'air, incitant ainsi Malakhov à saisir son pistolet à balles réelles. Et qui sait, si Talkov n’avait pas emporté l’arme avec lui, peut-être que rien ne serait arrivé ? Ou peut-être que c'est le destin, ce jour-là, le commandement interne de l'âme a fonctionné - "le moment est venu", et conformément à cela, une chaîne cohérente d'événements a été construite.

Les anciens textes orientaux contiennent des connaissances selon lesquelles une personne vient au monde juste au moment où un développement évolutif général est nécessaire et quitte ce monde à l'heure où sa mission est accomplie. Ni plus tôt ni plus tard. Et il est très important de réaliser que la mort est non seulement inévitable et fait partie de l’ordre mondial universel, mais aussi que la fin ne vient pas avec la mort, mais plutôt une transition de la conscience vers un niveau spirituel supérieur.

Est-il possible de changer la date du décès ?

Cette question a déjà été abordée à plusieurs reprises et a néanmoins été abordée de manière très fragmentaire. Premièrement, qui est soumis à une telle action ? Il est fort probable que vous parliez de vous-même. Deuxièmement, si par date nous entendons un point vital (c'est-à-dire une situation dans laquelle la mort ne survient pas pour des raisons naturelles (vieillissement du système protéique) ou évidentes (maladie, faim, soif)) moment, et par mort nous entendons le fin de l’existence du corps physique, et c’est exactement ce que vous voulez dire habituellement lorsque vous nous interrogez sur la mort, alors, en principe, il est possible de changer ce moment.

Mais cela ne signifie pas que cela peut se produire à tout moment et qu’il existe un certain mécanisme qui permet d’éviter constamment le schéma des séries d’événements.

Alors, prêtons attention à la série d'événements. Tout événement, comme on l'a dit plus d'une fois, se développe avec des signes. Autrement dit, cela ne se produit pas « tout seul », mais il a des raisons. Il en va de même pour le moment vital où se produit la mort « physique » du corps protéique humain. D'une manière ou d'une autre, les raisons de l'apparition de ce moment ont leurs propres schémas. C'est sur la connaissance de ces schémas et la possibilité de les modifier que repose le mécanisme de correction de la série d'événements qui conduit une personne à une fin mortelle inattendue.

Comment une personne peut-elle changer la date de son décès ? Suivez simplement les règles connues et de base. "Ne traversez pas la route au feu rouge", "Ne restez pas sous une flèche", "N'entrez pas - cela vous tuera" - les slogans de sécurité les plus célèbres et les plus intelligibles, parmi lesquels un la personne utilise constamment et... continue de vivre. A vous de juger si cela change la date du décès de quelqu'un ? Ces règles sont certains signes, fruits d'une triste expérience, qu'une personne se fixe. Et s'il suit ou ignore ces signes, alors la probabilité qu'un moment vital se produise change d'une manière ou d'une autre.

Tout ce qui précède illustre clairement pour vous les principes généraux de fonctionnement du mécanisme de prévention du décès. Les signes (signes situationnels) existent toujours, mais on ne les remarque pas toujours correctement.

Pour qu'une personne puisse non seulement percevoir efficacement les signes d'événements, mais également pouvoir les utiliser, elle doit être connectée au Champ d'Information de la Terre (dans le cadre duquel les questions relatives à sa vie et à sa mort sont « considérées »). et être en « connexion » constante avec son Patron.

Vous devez réaliser que la correction des chaînes d'événements afin de changer la position spatiale du corps physique en fonction de la position probabiliste choisie est possible. On suppose qu'une personne consciente de l'extrême importance de sa propre sécurité ou de la préservation de la vie de ses semblables possède les compétences suivantes :

1. Avoir la capacité de faire une évaluation probabiliste efficace de la réalité environnante.

2. Refléter le schéma probabiliste de l'Univers dans la mesure du possible (savoir comment tout fonctionne).

3. Être conscient des conditions de possibilité de « contourner » ou d’éviter certains points de référence dans lesquels le danger pour l’existence de son propre corps physique est critique, ainsi que neutraliser certaines influences énergétiques.

4. Analyser de manière critique les évaluations probabilistes des phénomènes en cours.

Pour répondre à la question actuelle, je me limiterai à ce qui suit.

Une personne, afin de « survivre » à un point de référence critique (les points de référence sont des repères sur lesquels se base l'échelle d'observation - env. qsec) de son processus de vie, doit lui-même devenir l'initiateur de la génération d'un signal de contrôle pour modifier certaines chaînes d'événements menant à la mort pour lui ou pour quelqu'un d'autre.

Dans la plupart des cas, à la suite de la réception d'un tel signal, une discordance se produira dans le schéma de dépendance précédent et un nouveau schéma sera formé, excluant la possibilité de menaces pour la vie humaine en question. Ce n'est pas aussi simple. Et il existe de nombreuses conditions pour qu'un tel mécanisme fonctionne, mais cela est en votre pouvoir.

Les méthodes pour générer un tel signal de contrôle sont variées, mais la base de chacune d'entre elles est un message énergétique assez puissant du Hiérarque, qui dans le schéma général des Hiérarchies du Metacosmos occupe un niveau relativement bas, mais suffisant pour de telles actions. de subordination des bases planétaires. Pour cette raison, votre effort volontaire ou émotionnel ne nécessite pas de réponse loin dans le Métacosmos. Ils vous « entendront », « comprendront » et vous aideront. Mais c’est un effort ciblé, et pas seulement une intention de survivre, qui doit être correctement réalisé, sinon le désir ne restera que dans votre esprit.

Analysez le comportement des personnes dans des situations critiques, voyez quelles qualités apparaissent chez une personne qui veut vivre, quelle force elle gagne en « se ressaisissant » sous la menace de la mort. Pas tout le monde, pas toujours, pas partout, mais il y a une raison : certains ont pu le faire, d'autres non. Mais il y a des situations où une personne a depuis longtemps dépassé le point de non-retour, dont nous avons parlé dans le dialogue précédent, et ici il est trop tard pour demander de l'aide et attirer l'attention du Patron est inutile.

Comprenant la logique ultérieure de vos intentions de comprendre le sujet, je dirai que

Oui, la variabilité de l’Univers présuppose la possibilité d’ajuster les processus événementiels et d’éviter les meurtres à forfait et les catastrophes.

Le message énergétique dans de tels cas doit être développé par une personne initiée aux « algorithmes » correspondants avec l'autorisation de son Leader. (À ce stade, vous devez faire attention au fait que le Patron a nommé le Leader, et non le Patron - ndlr.)

Est-il possible de changer la date du décès ? - concept et types. Classement et caractéristiques de la catégorie « Est-il possible de changer la date du décès ? 2017, 2018.

Est-il possible de prédire la date de sa mort, de sentir que la fin est proche ? Est-il possible d’éviter une mort « accidentelle » ? Le parapsychologue et lauréat du prix « Meilleur ésotériste » Anton Malinor répond à cette question.

Est-il possible de prédire la date de sa mort, de sentir que la fin est proche et de changer le cours du destin ? Est-il possible d’éviter une mort « accidentelle » ? Les correspondants d'iReactor ont posé cette question passionnante à un magicien, médium, docteur en sciences métaphysiques, parapsychologue et

« Le phénomène de prémonition de mort est connu depuis l’Antiquité. De nombreuses personnes formidables ont prédit leur durée de vie peu avant sa fin, et la plupart des ésotéristes reconnaissent spécifiquement cette date à l'avance, comme le célèbre hypnotiseur et télépathe Wolf Messing. Cependant, les gens ordinaires possèdent également cette capacité si leur conscience est suffisamment ouverte à la sensation des probabilités dans le temps. Et cette capacité s'étend non seulement aux êtres chers, mais aussi à la prémonition de se séparer d'êtres chers - beaucoup pressentent à l'avance le départ de parents et d'amis, alors que rien n'est apparu...

Bien avant qu'une personne ne termine son voyage terrestre, son moi spirituel supérieur commence à quitter la réalité matérielle, coupant les connexions énergétiques avec elle, ce qui est très visible pour les personnes clairvoyantes et extrasensorielles. Vous pouvez développer la capacité de percevoir magiquement l'avenir et de le corriger dans les écoles de magie faisant autorité, par exemple dans les séminaires de l'Église de la Magie et de ses exarchats en Fédération de Russie et dans divers pays. Cependant, je ne recommanderais à personne de se développer de manière unilatérale, en essayant uniquement de connaître la durée de vie des gens - ceux qui ont un tel don par nature le considèrent comme une malédiction ! Apprenez toujours à percevoir à la fois l'écoulement du temps et l'inévitabilité de la transition de l'état matériel d'existence au véritable état libre de la vie spirituelle.

En outre, il convient d'ajouter que très souvent, en faisant preuve de prévoyance, vous pouvez sauver une personne d'une mort accidentelle (un moment d'entropie dans lequel il n'y a pas de choix conscient de quitter le monde matériel, mais la décision est prise par d'autres forces), et aussi, ayant certaines connaissances, si elle le souhaite, la personne elle-même en danger peut non seulement retarder le moment de la mort physique, mais même ramener l'âme à l'existence terrestre.

Les gens demandent souvent s'il existe des signes avant-coureurs de la mort, des signes et des présages. La réponse claire est oui, ils existent. Mais ils ne sont connus, en règle générale, que des initiés et constituent le secret des ordres occultes. Bien que, dans l'histoire, il existe de nombreuses preuves de divers avertissements concernant des morts inattendues - depuis les annonces des anges et les rêves prophétiques, jusqu'aux plus simples. Par exemple, un chien hurle devant la maison du futur défunt. Mais ces signes ne sont pas très précis, et doivent être confirmés par d'autres signes ; le même chien peut, par son hurlement, signaler non pas la visite des démons de la mort, mais la présence de créatures simplement malveillantes venues de l'autre monde.

La prémonition de la mort d'êtres chers se manifeste, en règle générale, sous la forme d'un sentiment de mélancolie, de douleur de perte, d'un désir de se protéger à tout prix contre une menace inconnue, d'un sentiment d'aliénation extrêmement froide, avec extérieurement inchangé relations (les canaux énergétiques sont déchirés). Si de telles sensations se répètent fréquemment et sur une période de temps, il est alors trop tard pour se précipiter pour apprendre la perception extrasensorielle, vous devez vous tourner vers un magicien expérimenté pour obtenir des prédictions et de l'aide.

Au début, il ne sera pas facile d'accepter la perte, mais vous avez la possibilité de ne pas vous plonger plus profondément dans votre état et d'essayer de faire face au stress.

L’épreuve la plus terrible de la vie est la mort et la douleur de la perte.

Comme le montre la pratique, il est impossible de se préparer pleinement au décès d'un être cher, même s'il était malade, et une telle issue a déjà été déterminée par les médecins. Une telle perte entraîne généralement une grave détresse émotionnelle et une dépression. Après cela, la personne en deuil elle-même peut, pour ainsi dire, « perdre la vie » pendant une longue période.

Malheureusement, il n’existe pas de moyen rapide de sortir de l’état dépressif provoqué par le décès d’un proche, mais il est nécessaire de prendre des mesures pour que ce malheur n’entraîne pas chez vous une forme grave de dépression. En règle générale, après le décès d'un parent proche ou d'un ami, les gens commencent à se sentir coupables, estimant qu'ils n'ont pas fait tout le bien qu'il méritait pour le défunt. De nombreuses pensées liées à la personne décédée défilent dans la tête, ce qui provoque une dépression générale.

4 étapes du deuil

1. Choc et choc. Pour certains, cette étape peut durer quelques minutes, tandis que d'autres plongent dans un état similaire pendant plusieurs jours. Une personne ne peut pas comprendre pleinement ce qui s'est passé ; c'est comme si elle était dans un état « gelé ». De l'extérieur, il peut même sembler que l'incident tragique n'a pas eu beaucoup d'impact sur lui, mais en réalité, il est tout simplement sous le choc le plus profond.

2. Rejet et déni complet, dépression. La personne ne veut pas accepter ce qui s’est passé et penser à ce qui va se passer ensuite. La prise de conscience que la vie ne sera plus jamais la même lui semble terrible, et il essaie par tous les moyens de s'oublier, simplement de ne pas penser à ce qui s'est passé. De l'extérieur, il peut sembler que la personne est engourdie. Soit il évite, soit il ne soutient pas toutes les conversations sur la perte. Cependant, il existe un autre extrême : une agitation accrue. Dans le second cas, la personne en deuil commence activement à se lancer dans une sorte d'entreprise - trier les affaires du défunt, découvrir toutes les circonstances de la tragédie, organiser des funérailles, etc. En conséquence, tôt ou tard, on comprend que la vie a radicalement changé, ce qui conduit au stress, puis à la dépression.

3. Conscience de la perte. La pleine réalisation de ce qui s'est passé arrive. Cela peut arriver de manière complètement soudaine. Par exemple, une personne prend involontairement son téléphone pour appeler un parent ou un ami et comprend soudain pourquoi cela n'est plus possible. De plus, la prise de conscience peut venir progressivement. Après avoir dépassé le stade du déni, une personne commence à rejouer dans sa tête de nombreux événements liés au défunt.

Cette étape peut s'accompagner d'explosions de colère et de ressentiment. Ce qui se passe semble injuste et cauchemardesque, et la prise de conscience de la situation irréparable suscite colère et inquiétude. De nombreuses options sont envisagées, dont l’issue aurait pu être différente. La personne commence à se mettre en colère contre elle-même, croyant qu'il était en son pouvoir d'empêcher le malheur. Il repousse également les autres, devenant irritable et déprimé.

4. Acceptation et deuil. Cette étape survient généralement en quelques mois. Dans des cas particulièrement difficiles, la situation peut s'éterniser. Après avoir traversé les étapes les plus aiguës du deuil, une personne commence à accepter ce qui s'est passé. Depuis quelque temps, sa vie suit une direction différente et il commence à s'y habituer, se « reconstruisant » progressivement. Les souvenirs du défunt le rendent triste et il pleure périodiquement une personne chère.

Comment aider quelqu'un à faire face au décès d'un être cher

En essayant d'aider leur voisin à mieux faire face à la perte, beaucoup tentent de trouver un moyen de le distraire complètement de ce qui s'est passé, en évitant les conversations sur ce sujet. Mais ce n’est pas toujours exact. Veuillez consulter les directives générales pour obtenir de l'aide dans de telles situations.

N'ignorez pas les conversations sur le défunt

Si moins de six mois se sont écoulés depuis la tragédie, vous devez alors comprendre que les pensées de votre ami ou parent tournent le plus souvent autour d'elle. Parfois, il est très important pour lui de s'exprimer, et parfois de pleurer. Ne vous isolez pas de ces émotions, ne forcez pas une personne à les supprimer en vous-même, en restant seule avec ses expériences. Bien sûr, si beaucoup de temps s'est écoulé et que toutes les conversations portent sur le défunt, elles doivent alors être dosées.

Distraire les personnes endeuillées de leur chagrin

Au début, la personne en deuil ne s'intéressera à rien - elle n'aura besoin que de votre soutien moral. Cependant, après plusieurs semaines, il vaut la peine de donner périodiquement aux pensées d’une personne une direction différente. Invitez-le avec insistance dans des endroits intéressants, inscrivez-vous ensemble à des cours passionnants, etc.

Rediriger l'attention de la victime

Souvent, les gens sont quelque peu distraits des événements qui se sont produits lorsqu’ils se rendent compte que quelqu’un d’autre a besoin de leur aide. Montrez à la personne en deuil que vous avez besoin de lui dans une situation donnée. Prendre soin d’un animal de compagnie peut également accélérer considérablement le processus permettant de surmonter la dépression. Si vous voyez qu'une personne a beaucoup de temps libre, ce qui se traduit par une immersion dans ses propres expériences, alors donnez-lui un chiot ou un chaton, ou confiez-lui simplement une famille d'accueil « temporaire », en lui disant qu'il n'y a nulle part où le placer. encore. Au fil du temps, lui-même ne voudra plus abandonner son nouvel ami.

1. Ne refusez pas l’aide de vos proches

Ne repoussez pas les personnes qui cherchent à vous soutenir dans votre deuil. Partagez vos expériences avec eux, intéressez-vous à leur vie - la communication vous aidera à ne pas perdre le contact avec le monde extérieur et à ne pas vous immerger dans votre propre état.

2. Prenez soin de vous et prenez soin de vous

De nombreuses personnes confrontées à la douleur de la perte renoncent à leur apparence et, en général, à tout type de soins personnels. Et pourtant, c'est le minimum nécessaire qu'il ne faut pas oublier : se laver les cheveux, se baigner, se brosser les dents, faire la lessive. La même chose s’applique à l’alimentation. Il est clair que vous n’avez besoin de rien de tout cela pour le moment et que toutes vos pensées sont occupées par d’autres choses, mais n’ignorez toujours pas vos besoins.

3. Écrivez une lettre à la personne décédée

Vous pensez sûrement que vous n’avez pas eu le temps d’en parler beaucoup à votre proche, vous n’avez pas beaucoup avoué. Crachez tous les non-dits sur papier. Écrivez à quel point cette personne vous manque, ce que vous feriez si elle était là, ce que vous regrettez, etc.

4. Ne supprimez pas vos émotions

Peut-être vous semble-t-il que si vous supprimez les manifestations extérieures du chagrin de toutes les manières possibles, vous ferez ainsi rapidement face au malheur qui s'est abattu sur vous. Cependant, vous « verrouillez » simplement vos émotions et vos expériences et ne leur permettez pas de se libérer. Il vaut mieux crier votre chagrin - ce sera plus facile pour vous.

5. Essayez de vous distraire

Bien sûr, en ce moment, il n’y a rien de plus important pour vous que votre perte, mais n’oubliez pas que votre vie continue, tout comme celle de ceux qui vous sont chers. Sans aucun doute, beaucoup d’entre eux traversent également des moments difficiles et ont besoin de votre soutien. Communiquez avec vos proches, ensemble il vous sera plus facile de survivre à cette douleur.

6. Aide d'un psychologue

Certains ont beaucoup de mal à accepter par eux-mêmes leur nouvelle situation. Si vous réalisez que la situation s'aggrave et que votre dépression s'éternise, prenez rendez-vous avec un psychologue. Il vous conseillera sur la façon de faire face à l'amertume de la perte.

Comment accepter le départ d'un proche vers un autre monde

Qu’en disent l’Église et l’Orthodoxie ?

Pour faciliter la vie au-delà du défunt, l'église enseigne à croire en la miséricorde de Dieu, à allumer des bougies dans l'église pour le repos de l'âme et à lire des prières pour le défunt. Vous devriez également faire un sacrifice sans effusion de sang - nous parlons d'aumône et d'aide à ceux qui souffrent. On pense que Dieu pourra entendre vos prières si vous honorez ses commandements. Il ne faut surtout pas négliger cela dans les quarante premiers jours qui suivent le décès d'un proche. Si vous ne savez pas comment tout faire correctement, rendez-vous à l'église la plus proche et consultez le prêtre.

Est-il possible de préparer le décès d’un proche ?

Si une personne est en phase terminale, passez plus de temps avec elle

Si la personne est inconsciente, soignez-la pleinement tout en passant beaucoup de temps avec elle. Parlez au patient, parlez de vos plus beaux souvenirs liés à lui, dites tout ce que vous vouliez dire, mais vous n’avez pas eu le temps. Il est probable que la personne vous entendra réellement : de nombreux patients sortis du coma ont admis qu'ils se souvenaient de tout ce qui leur avait été dit alors qu'ils étaient inconscients.

Le travail implique des risques constants : appréciez chaque instant que vous vivez

La meilleure chose à faire est de le convaincre de changer de travail, même si cela lui rapporte un revenu élevé. En cas de situation irréparable, vous vous en voudrez certainement de ne pas avoir insisté pour changer d'emploi. Envisagez avec lui d'autres options pour gagner de l'argent, mais assurez-vous de le convaincre de changer de domaine d'activité, car même si rien de terrible ne se produit, cela ne vous soulagera pas d'un stress et d'une inquiétude constants.

Un parent âgé revient - acceptez l'inévitabilité d'une mort imminente

Il est important que vous et lui passiez plus de temps ensemble. Les personnes âgées aiment souvent se souvenir des histoires de leur jeunesse ; elles s’intéressent à tout ce qui se passe dans la vie de leurs enfants et petits-enfants et elles sont très heureuses lorsqu’on leur demande leur avis. Il est en votre pouvoir de rendre la dernière étape de la vie de votre proche heureuse et lumineuse.

La mort d'un animal de compagnie bien-aimé - comment surmonter l'angoisse mentale

1. Acceptez le caractère inévitable de ce qui se passe. Bien sûr, vous comprenez que pas mal d’animaux ont une durée de vie comparable à celle d’un humain. Si votre chat, chien ou autre animal de compagnie est gravement malade ou est âgé, assurez-vous de consulter un médecin qui vous expliquera comment améliorer la vie de votre animal. Demandez également si votre ami à quatre pattes souffre et comment vous pouvez l'aider dans sa situation.

2. Prenez une photo pour mémoire. La première fois après la mort d'un chat ou d'un chien, il ne vous sera pas facile de regarder cette photo, mais un certain temps passera et l'image de votre animal de compagnie bien-aimé, ainsi que ses souvenirs, pourront pour vous faire sourire.

3. Soyez là souvent. Dorlotez l'animal, permettez-lui de faire des farces, donnez-lui ses aliments préférés, prenez soin de lui, caressez-le plus souvent. Assurez-vous qu'il est heureux et dans les situations les plus confortables pour lui-même. Informez les autres membres de la famille de ce qui pourrait bientôt arriver - préparez-les et donnez-leur une opportunité similaire de profiter de la « communication » avec votre animal de compagnie.

4. Après la mort. Que la mort soit prévisible ou soudaine, y faire face est tout aussi difficile.

• Ne refoulez pas vos émotions et laissez-les s'exprimer aussi souvent que nécessaire. Il s’agit d’une réaction humaine naturelle à la perte de communication avec un être cher. Partagez vos expériences avec vos proches – ils voudront probablement vous retenir.
• Il s’agit d’une grande épreuve pour tous les membres de la famille – peut-être que certains d’entre eux ont besoin de votre soutien.
• De nombreux propriétaires se sentent coupables après le décès d’un animal s’il survient prématurément. Ne blâmez pas vous-même ou un proche pour ce qui s’est passé.
• Parlez de vos expériences aux personnes qui vous sont chères. Ils voudront sûrement vous soutenir, ce qui vous permettra de faire face plus facilement à la perte.
• Aidez les autres animaux qui souffrent. Il existe sans aucun doute plus d'un refuge dans votre ville et, en général, de nombreux animaux dans les rues ont besoin de protection. Il est possible que vous finissiez par vous attacher à l’un d’eux et que vous souhaitiez l’introduire chez vous. Sans aucun doute, il ne remplacera jamais votre bien-aimé ami à quatre pattes, mais vous pouvez sauver l'animal de l'adversité et trouver un autre camarade parmi « nos petits frères ».

Que faire si l'on est déprimé après le décès d'un proche ?

Chaque jour sur Terre, pour diverses raisons, un grand nombre de personnes meurent, laissant derrière elles des proches qui les pleurent sincèrement. Vivre un deuil sous forme de dépression ou même de profond chagrin après le décès d'un être cher (par exemple, une mère ou un mari) est une réaction tout à fait normale à une telle perte. Et les gens ressentent particulièrement profondément la mort d'un enfant (fils ou fille).

Cependant, chez certaines personnes, les symptômes naturels du deuil, tels que la culpabilité, l'insomnie, l'engourdissement et les sanglots, peuvent entraîner des symptômes plus graves, notamment le deuil (chagrin profond) et le trouble dépressif (dépression clinique majeure).

Symptômes du deuil naturel

Le deuil diffère du deuil naturel par sa durée et son intensité. Les personnes qui vivent un deuil normal peuvent souvent expliquer pourquoi elles sont tristes. Ils continuent de fonctionner normalement dans la société et sont généralement capables de surmonter leur intense tristesse dans un laps de temps relativement court (généralement en un mois ou deux).

Généralement, après le décès d'une personne très proche (mari, mère, fils ou fille, frère ou sœur), des sentiments forts tels que le chagrin ou la dépression peuvent s'intensifier pendant plusieurs jours, semaines, voire mois. Et parfois, une telle dépression peut se développer même après la mort d'un animal bien-aimé.

Presque toute personne, confrontée au décès d'un être cher (notamment un enfant, une mère, un mari bien-aimé), ressentira les symptômes naturels suivants :

• sentiment de culpabilité pour ce qu'ils ont fait (ou n'ont pas fait) avant le décès d'un proche. Ainsi, une mère peut se reprocher de ne pas avoir sauvé son fils ;
• des pensées obsessionnelles, comme celle-ci : « Ce serait mieux si je mourais à la place de mon mari ! » Ainsi, les parents peuvent regretter que la mort ne les ait pas emportés à la place de l'enfant ;
• sentiment imaginaire de voir ou d'entendre le défunt ;
• problèmes de sommeil;
• changer les habitudes alimentaires et sportives;
• désir d’être socialement isolé.

Étapes de la perte et du deuil

Pour comprendre comment une véritable dépression clinique peut naître d'un deuil ordinaire, il faut savoir par quelles étapes passent les gens après le décès d'un être cher (mari, mère, enfant, etc.). En 1969, la psychiatre Elisabeth Kübler-Ross présentait 5 étapes du deuil après le décès d'un proche dans son livre De la mort et de l'agonie. Ces étapes du deuil sont universelles et sont vécues par des personnes de tous horizons.

En cas de perte, une personne passe un temps différent à chaque étape. De plus, chaque étape peut différer en intensité. Ces cinq étapes peuvent se dérouler dans n'importe quel ordre. Nous passons souvent d’une étape à l’autre jusqu’à accepter la mort. Tout le monde pleure différemment. Certaines personnes sont extérieurement très émotives, tandis que d’autres éprouveront un chagrin intérieur, peut-être sans même pleurer. Mais, d’une manière ou d’une autre, tout le monde passe par les cinq étapes du deuil :

La première étape est le déni et l’isolement ;

La deuxième étape est la colère ;

La troisième étape est la négociation ;

La quatrième étape est la dépression ;

La cinquième étape est l'acceptation.

Bien que toutes les émotions que les gens éprouvent à l’une de ces étapes soient naturelles, toutes les personnes en deuil ne passent pas par toutes ces étapes – et ce n’est pas grave aussi. Contrairement à la croyance populaire, il n’est pas nécessaire de passer par toutes ces étapes pour avancer dans la vie. En fait, certaines personnes sont capables de faire leur deuil sans passer par aucune de ces étapes. Alors ne vous inquiétez pas de ce que vous « devriez » ressentir ou de l’étape dans laquelle vous devriez vous trouver en ce moment.

Quand le deuil se transforme-t-il en dépression ?

Tous les symptômes et étapes de deuil ci-dessus sont tout à fait normaux. Ils aident les gens à s'adapter à la perte et à accepter de nouvelles conditions de vie après le décès d'un proche.

La différence entre le deuil et la dépression clinique n’est pas toujours facile à discerner car ils partagent de nombreux symptômes, mais il existe une différence.

N'oubliez pas que le chagrin arrive par vagues. Cela comprend un large éventail d’émotions et un mélange de bons et de mauvais jours. Même lorsque vous êtes profondément en deuil, vous pouvez toujours vivre des moments de joie ou de bonheur. Et avec la dépression, le sentiment de vide et de désespoir est constant.

Si une personne en deuil présente des symptômes importants de dépression, il est temps de demander de l’aide. Cela doit être fait dans les cas où la personne en deuil a :

• manque de concentration et incapacité totale de se concentrer;
• des sentiments inhabituellement aigus d’inutilité ou de culpabilité ;
• une anxiété ou une dépression qui ne disparaît pas, mais qui ne fait qu'empirer avec le temps ;
• des problèmes de sommeil qui durent plus de six semaines ;
• des souvenirs intrusifs le jour et des cauchemars la nuit, qui tiennent constamment une personne en haleine ;
• prise ou perte de poids soudaine ;
• des symptômes physiques inexpliqués, tels qu'une douleur déraisonnable dans l'une ou l'autre partie du corps, un rythme cardiaque rapide, une transpiration abondante, des problèmes digestifs ou des difficultés respiratoires ;
• pensées selon lesquelles le défunt continue d'être à proximité, hallucinations visuelles ou auditives ;
• comportement étrange ou antisocial;
• pensées suicidaires, qui ne peuvent être stoppées que par des arguments très sérieux (par exemple, la mère a un autre enfant) ;
• rompre tous les contacts sociaux.

Tous ces symptômes peuvent indiquer l’apparition d’une dépression clinique suite au décès d’un proche. Si l’un de ces symptômes persiste plus de deux mois après le décès d’un proche, c’est le signe que la personne a besoin de l’aide d’un professionnel.

Les symptômes de dépression ou de choc post-traumatique seront plus graves si une personne est témoin de la mort subite d'un être cher ou si elle était présente au moment du décès d'un être cher, comme un enfant.

La dépression comme complication du deuil

Les sentiments négatifs tels que le désespoir et l’impuissance font partie du processus normal de deuil, mais ils peuvent également être des symptômes de dépression ou d’autres troubles mentaux. Mais parfois, le chagrin, normal dans cette situation, se transforme en trouble mental. La dépression n’est qu’un des nombreux problèmes de santé mentale qui peuvent être associés au décès d’un être cher. D'autres troubles comprennent le trouble d'anxiété généralisée et le trouble de stress post-traumatique.

Ce n'est pas sans raison que l'un des futurs changements proposés dans la classification des maladies mentales proposés par les psychiatres américains est l'introduction d'une nouvelle catégorie de maladie mentale : le deuil aggravé. L’expérience lourde du deuil, parfois appelée deuil traumatique ou prolongé, est proposée comme étant considérée comme un trouble mental complexe. Il sera diagnostiqué si les symptômes généraux d'un deuil sévère, tels que la tristesse après le décès d'un être cher (mari, enfant ou autre proche), la difficulté à passer à autre chose, la dépression ou la colère après une telle perte, durent plus de six mois.

Le diagnostic de trouble de deuil compliqué doit être posé sur la base de deux critères :

Premier critère. La personne en deuil aspire quotidiennement et très intensément au défunt.

Deuxième critère. Une personne doit ressentir, et également interférer avec son fonctionnement normal, au moins cinq des symptômes suivants :

• l'impossibilité d'accepter cette mort ;
• se sentir dépassé ou choqué après le décès d'un être cher ;
• colère ou amertume ressentie après le décès de proches (par exemple, colère contre un mari pour avoir quitté sa femme) ;
• engourdissement ou stupeur (cela arrive particulièrement souvent après la perte d'un enfant);
• difficulté à définir un but dans la vie après une perte ;
• une extrême incertitude quant à son rôle dans la vie ;
• éviter tout ce qui rappelle la mort ;
• incapacité de faire confiance aux gens, car une telle personne croit qu'un être cher l'a trahi par sa mort ;
• le sentiment que la vie a perdu tout sens.

Prévenir la dépression après une perte

Une fois que le deuil se transforme en dépression clinique, il ne peut plus être surmonté par un deuil ordinaire, il est donc nécessaire dans ce cas de consulter un psychothérapeute. Le traitement d’une telle dépression comprend généralement des antidépresseurs et une thérapie comportementale interpersonnelle ou cognitive.

Cependant, il existe des moyens par lesquels les gens peuvent eux-mêmes éviter que le chagrin ne se transforme en dépression.

Vivez dans la réalité, acceptez la réalité de la perte et réalisez que même dans le deuil, elle ne cesse jamais de faire partie de la vie quotidienne. Connectez-vous plus souvent avec votre famille et vos amis.

Prenez un itinéraire différent. Essayez de vous adapter à la nouvelle réalité en faisant les choses différemment. Par exemple, adoptez un nouveau passe-temps ou abandonnez les activités qui rappellent douloureusement la vie de votre proche. Avancez - forcez-vous à bouger, à communiquer et à participer à des événements agréables.

Une activité physique régulière est nécessaire : faites de l'exercice au moins 30 minutes chaque jour, apprenez à évacuer le stress par la respiration profonde ou la méditation, dormez au moins 7 à 9 heures par jour.

Une bonne alimentation : assurez-vous que votre alimentation est saine. Arrêtez de vous détruire – abandonnez l’alcool, les somnifères et la caféine.

La mort d'une personne que l'on aime et dont on prend soin est toujours très douloureuse. Vous pouvez ressentir toutes sortes d’émotions négatives, notamment le chagrin et la tristesse. C’est une réaction tout à fait normale face à une perte aussi importante. Sachez qu'il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de gérer la dépression causée par le décès d'un être cher, mais il existe des moyens efficaces de faire face à la douleur afin que vous puissiez continuer votre vie.

Toutes les informations fournies sur ce site sont à titre indicatif uniquement et ne constituent pas un appel à l'action. Si vous remarquez des symptômes, vous devez immédiatement consulter un médecin. Ne vous soignez pas et ne vous auto-diagnostiquez pas.

Est-il possible d'éviter le décès d'un proche ?

COURS « FAMILLE CHRÉTIENNE »

Mémoire bénie Ksenia de Pétersbourg

• › Aide miraculeuse de la Bienheureuse Xénia

Semaine du fils prodigue

• › Parabole du Père miséricordieux

Métropolitain Limassol Afanassi

Nouvelles

Publications

« Une personne extraordinaire, impétueuse, aimable »

À la mémoire de l'archimandrite Jean (Krestyankin)

TC "Soyouz" et ses habitants

« Les œuvres de Dieu ne peuvent pas rester irréalisées »

TC "Soyouz" et ses habitants

Décret « Sur la séparation de l'Église de l'État et de l'école de l'Église »

« Les autorités craignaient que l’Église entre dans la clandestinité »

L'historien Andrei Kostryukov à propos des décrets anti-églises du gouvernement soviétique. Partie 2

Un mot de la semaine sur le fils prodigue

À propos du but caché du Grand Carême

Un mot de la semaine sur le fils prodigue

Confesseurs inconnus de Dieu. Milliers? Des dizaines de millions!

Parole lors de la prière aux nouveaux martyrs et confesseurs de l'Église russe

Joie perdue

Avec amour pour le fils aîné

Joie perdue

Avec amour pour le fils aîné

Fuyez le mal de l'usure impie

Des enseignements moraux de Maxime le Grec

"La guerre a été déclarée à l'Église"

"La guerre a été déclarée à l'Église"

L'historien Andrei Kostryukov à propos des décrets anti-églises du gouvernement soviétique. Partie 1

Métropolite Marc de Riazan et Mikhaïlovski : « Nous créons du nouveau dans les traditions de l'ancien »

Mythes sur la bataille de Stalingrad

Mythes sur la bataille de Stalingrad

• Cours pédagogiques pour laïcs « Orthodoxie » 4ème année d'études.

COURS « FAMILLE CHRÉTIENNE »

Vidéo

Galeries de photos

• Nativité du Christ au monastère Sretensky

REPORTAGE PHOTO

Chaque jour, nous concluons un pacte avec la mort : « Pas aujourd’hui ! », et beaucoup d’entre nous ont de la chance. La plupart des gens franchissent le seuil du lendemain. Mais qu’en est-il de ceux qui ont déjà été touchés par le souffle glacial de la mort et que le moment est venu d’acheter ? La vieille femme osseuse se tient déjà sur le seuil et se prépare à emmener l'âme au royaume des morts. Et si une personne n'est absolument pas prête à dire adieu à la vie ? Qu'est-ce qui peut retenir une personne dans ce monde ?

Il existe une version selon laquelle vous pouvez accepter la mort. Qu'est-ce que je dois faire? Pour lui offrir quelque chose de vraiment très cher, mais pas pour la payer, comme on pourrait le penser. Les valeurs matérielles n'ont absolument aucune importance pour la mort, car on dit que la mort égalise tout le monde. Pour « se mettre d'accord » sur un sursis, vous pouvez, par exemple, vous rendre dans un monastère, fonder une organisation caritative ou faire autre chose qui profitera sans aucun doute aux autres. Après une telle refonte de votre propre vie, l'émergence d'un objectif important, peut-être que les pensées de mort imminente disparaîtront.

Comment éviter la mort

Dans tous les cas, si vous voulez négocier avec la mort, vous devrez donner quelque chose de précieux en retour. Pour certains, la « rançon » pour les parents mourants représente des années de leur propre vie. Une personne abandonne volontairement, par exemple, dix ans et reçoit en retour un parent en convalescence. Il est important que le désir de guérison soit sincère et vienne du cœur, et que votre sacrifice en vaille vraiment la peine. Parfois, des miracles peuvent se produire, et il semblerait que les personnes proches de la mort se rétablissent, ce qui fait que la mort recule pendant un certain temps.

Vous pouvez essayer de négocier la mort en personne. De nombreuses personnes en phase terminale font des vœux pour vivre au moins un peu plus longtemps. Ils prient sincèrement pour assister au mariage des petits-enfants, à la naissance des arrière-petits-enfants ou à d'autres événements importants. Souvent, ils disent à leurs proches : « Comment puis-je mourir sans m’assurer que vous avez arrangé votre vie comme il se doit ? Et en effet, pour de nombreuses personnes âgées, un tel objectif devient un indice qui les aide à rester dans ce monde.

Le scientifique américain Donn Jung a mené une étude sur 300 000 décès dans l'Ohio et est arrivé à la conclusion que près de 1 % des patients atteints d'un cancer en phase terminale ont réussi à négocier la mort. Il a découvert qu'ils étaient morts le lendemain de l'une des trois fêtes américaines les plus importantes : Thanksgiving, Noël ou leur propre anniversaire. Même si cela n’a pas duré longtemps, ces personnes ont réussi à retarder l’inévitable.

La foi donne beaucoup aux gens, surtout aux personnes âgées ou gravement malades. Si à 18 ans, 47 % des Russes se disent religieux, après 60 ans, leur nombre augmente jusqu'à environ 60 %. La proximité de la mort, du chagrin ou de la maladie amène une personne à réfléchir à la foi. La prière aide non seulement à détourner l'attention des pensées tristes, elle peut normaliser le rythme cardiaque, calmer les nerfs, et même le niveau de bactéries dans l'eau diminue après la lecture du « Notre Père » dessus.

Une autre façon d’accepter la mort est de l’accepter. Il faut sentir que la vie est finie et que la mort est toujours proche d'une personne (sur l'épaule gauche ou derrière le dos). Pour comprendre cela, il suffit de visiter les endroits les plus terribles de Russie ou du monde.

Une autre façon d’accepter la mort est la méditation. Ceci est fait pour que chacun puisse sentir à quel point il est proche du bord du gouffre. Elle ne doit être pratiquée que par une personne ayant de graves problèmes et manquant de motivation pour continuer à vivre. Dans un silence absolu, vous devez méditer devant une bougie allumée jusqu'à ce que vous sentiez le froid grave par derrière et aperceviez une silhouette en robe noire. Ceux qui ont subi cette pratique affirment qu'une vie remplie d'événements importants défilait immédiatement devant leurs yeux et que leur principal désir était d'y rester le plus longtemps possible. Si une personne a vu sa propre mort, la principale motivation est sa présence constante à proximité et la peur de la rencontrer prématurément face à face. Se retrouver dans des situations extrêmes permet aussi de comprendre la valeur particulière de chaque instant vécu. De telles méthodes extrêmes consistant à « invoquer » délibérément la mort ne sont pas recommandées à ceux qui vivent dans le calme et la prospérité.

Est-il possible de négocier avec la mort ?

Il y a deux points de vue sur la mort. Certains sont convaincus qu'il repose sur chacun de nous, sur notre épaule gauche, et nous protège des incidents qui pourraient nous conduire à la mort. L’objectif principal de « votre » mort est d’empêcher une personne de mourir par accident. Il est peu probable que vous parveniez à un accord avec elle, car elle attend simplement dans les coulisses. D'autres disent que la mort est un être envoyé sur terre seulement à un certain moment. Elle peut faire une erreur et se présenter à la mauvaise adresse, vous pourrez donc vous mettre d'accord avec elle lorsqu'elle s'adressera à une autre personne.

Les scientifiques sont arrivés à la conclusion qu’en général, ceux qui croient sincèrement ont plus de chances d’être « d’accord » avec la mort. Aucune référence spécifique au christianisme, au bouddhisme ou à d’autres croyances n’est faite. La communication avec Dieu donne avant tout la paix et une attitude plus simple envers la vie, ce qui aide aussi à accepter la mort. En règle générale, quiconque adhère aux canons religieux ne boit pas, ne fume pas, ne trompe pas son conjoint, n'utilise pas de langage grossier, ce qui en soi devrait garantir une vie plus longue. Et les croyants, en règle générale, ont une relation moins tendue avec la mort. Si une personne a lutté pour une vie juste, elle n'a pas aussi peur d'aller en enfer que quelqu'un qui a passé ses journées sans réfléchir à des activités vides de sens et n'a pas pensé à ce qui l'attend au-delà.