Je voudrais présenter à votre attention une sélection de superbes photographies de l'un des phénomènes naturels les plus destructeurs - la tornade. Une tornade est un phénomène naturel auquel les humains et les animaux ne peuvent se cacher ou échapper, c'est quelque chose dont les gens doivent restaurer les conséquences pendant des années, ce cataclysme peut tout détruire littéralement en quelques secondes. ( En regardant la tornade 24 photos)
Examinons d’abord ce phénomène naturel d’un point de vue physique. Une tornade est un vortex aérien qui apparaît généralement dans un nuage céleste tonitruant. C'est une sorte de tuyau qui descend jusqu'au sol. La collision de deux courants d’air, de températures différentes, génère un vortex. Une tornade naît d'un nuage et se déplace avec lui.
Un entonnoir de tornade peut atteindre plusieurs centaines de mètres de diamètre. En règle générale, le diamètre d'une tornade est de 300 à 500 mètres, mais il existe des exceptions lorsque l'entonnoir atteint 1,5 à 3 km. La hauteur du cratère peut atteindre environ 10 km. Malgré l'apparent point commun, les tornades sont divisées en de nombreuses variétés, notamment les tornades de feu, ressemblant à des fléaux, floues, composites, etc. Mais leur essence est toujours la même, un énorme entonnoir doté d'un pouvoir destructeur colossal.
Ils ne peuvent différer que par la nature de leur origine et de leur composition. Ainsi, une tornade portant le beau nom de « feu » est une tornade ordinaire uniquement avec des langues de flammes coincées à l'intérieur. De même, la couleur d’une tornade dépend de son origine et des « déchets » qui ont déjà réussi à y pénétrer. Le mot tornade lui-même vient du vieux russe « smirch », « smarch », qui se traduit par nuage.
Les tornades peuvent être blanches, grises, noires, rouges, bleu foncé, etc. Une tornade acquiert sa plus belle couleur au coucher du soleil, lorsque l'entonnoir d'air est rempli de diverses couleurs vives. Mais une tornade peut aussi être complètement transparente, à condition qu’aucun débris ou poussière n’y pénètre. Pour la plupart, les tornades sont transparentes et deviennent visibles dès le moment où elles atteignent leur plus grande puissance. Selon diverses estimations, une tornade peut se déplacer à une vitesse assez élevée ; la vitesse moyenne d'une tornade est de 40 à 60 km/h, mais en théorie, elle peut atteindre des vitesses allant jusqu'à 310 km/h.
En apparence, les tornades sont des phénomènes naturels assez fragiles, enfin, disons qu'un vent fort souffle et détruit simplement toute cette structure, mais ce n'est pas le cas, bien sûr, les tornades peuvent être de courte durée, et la plupart d'entre elles ne durent même pas un heure, mais il y a aussi ceux qui sont capables de tout détruire sur leur propre chemin pendant 4 heures maximum, et ainsi de gagner seulement du pouvoir. Les scientifiques comparent une tornade à l’explosion d’une petite bombe atomique ; en effet, en termes de forces destructrices, elles sont très similaires. Photo de tornade de feu.
Il est très difficile de connaître la vitesse exacte du vent à l'intérieur d'un entonnoir tornade ; l'équipement ne peut tout simplement pas supporter de telles charges. Mais selon de nombreuses hypothèses, la vitesse à l'intérieur du cratère est d'environ 1 300 km/h, et certaines rafales peuvent atteindre jusqu'à 20 m/s. Voici une chose très intéressante, le fait est que les masses d'air à l'intérieur de l'entonnoir tournent, se déplacent vers le bas et à l'extérieur, respectivement, vice versa, vers le haut, et par conséquent, une zone d'air hautement raréfié est créée.
Et ce vide est si fort qu'un objet situé à l'intérieur de cet entonnoir, contenant de l'air à l'intérieur, par exemple une bouteille, explose littéralement à cause de la différence de pression. Aujourd’hui, une tornade fait partie des phénomènes naturels dont on ne sait pratiquement rien. Aujourd'hui, il existe même une science particulière impliquée dans l'étude des tornades, bien qu'elle soit relativement jeune ; l'humanité observe les tornades en détail depuis environ 60 ans.
Aujourd’hui, des tornades se produisent en permanence partout dans le monde. Ils apparaissent le plus souvent dans les zones situées à la jonction de deux fronts atmosphériques. La zone la plus propice à l'apparition de tornades est l'Amérique du Nord ; dans sa partie sud, de tels phénomènes naturels ne sont pas rares non plus, mais ils y sont beaucoup moins fréquents.
La première zone sur Terre où des tornades apparaissent est l'État de Floride ; ici, près des Florida Keys, des trombes marines apparaissent ici presque tous les jours en 1969, 395 tornades ont été enregistrées ;
Les tornades ne sont pas rares en Europe. Les mêmes tornades sont souvent enregistrées dans la partie européenne. Les tornades apparaissent le plus souvent dans la zone tempérée des deux hémisphères.
C’était un phénomène naturel que nous connaissons tous sous le nom de tornade.
Alors que la plupart des gens fuient les tempêtes et les tornades, cet homme, au contraire, court vers elles. Le photographe basé à Phoenix parcourt souvent plusieurs centaines de kilomètres par jour pour se retrouver face à face avec un ouragan.
1. Arc-en-ciel et éclairs lors d'une tempête en Arizona, le 28 juillet 2017. (Photo de Mike Olbinski) : 
2. En Extrême-Orient et en Asie du Sud-Est, les cyclones tropicaux sont appelés typhons, et en Amérique du Nord et du Sud, ils sont appelés ouragans. (Photo de Mike Olbinski) : 
3. Il est généralement admis, selon l'échelle de Beaufort, qu'une tempête se transforme en ouragan lorsque la vitesse du vent dépasse 117 km/h (ou 30 m/s). (Photo de Mike Olbinski) : 
4. Tempête dans le Grand Canyon. (Photo de Mike Olbinski) : 
5. Tempête au Texas. (Photo de Mike Olbinski) : 
La force d'une tornade est mesurée à l'aide de l'échelle Fujita-Pearson, développée par le Dr Theodore Fujita pour classer les tornades en fonction du degré de dégâts causés par le vent. La tornade de Moore, en Oklahoma, a été initialement classée F4 sur l'échelle Fujita-Pearson, mais a ensuite été classée F5 : 
6. Et cette tornade en Oklahoma est une F4. (Photo de Mike Olbinski) : 
La première mention d'une tornade en Russie remonte à 1406. Le Trinity Chronicle rapporte que près de Nijni Novgorod, « un tourbillon très terrible » a soulevé dans les airs un attelage accompagné d'un cheval et d'un homme et l'a emporté si loin qu'ils sont devenus « rapidement invisibles ». Le lendemain, la charrette et le cheval morts ont été retrouvés accrochés à un arbre de l'autre côté de la Volga, et l'homme avait disparu.
7. Tempête en Arizona. (Photo de Mike Olbinski) : 
En avril 1965, 37 tornades de puissance variable, atteignant 10 km de haut et environ 2 km de diamètre, avec des vitesses de vent allant jusqu'à 300 km par heure, sont apparues simultanément au-dessus des États-Unis. Ces tempêtes ont causé d'énormes dégâts dans six États. Le nombre de morts a dépassé 250 personnes et 2 500 ont été blessées.
8. Foudre sur l’autoroute. (Photo de Mike Olbinski) : 
9. Une supercellule est un type de nuage d’orage caractérisé par la présence d’un flux d’air ascendant en rotation d’échelle moyenne. (Photo de Mike Olbinski) : 
La vitesse du vent la plus élevée à la surface de la Terre a été enregistrée lors d'une tornade aux États-Unis qui a balayé l'Oklahoma et le Kansas le 3 mai 1999 - 511 km/h.
10. Coucher de soleil et éclairs. (Photo de Mike Olbinski) : 
11. Les plus grandes tornades jamais enregistrées se sont produites dans l'État de l'Oklahoma, aux États-Unis d'Amérique, lors d'une série de tornades dans la seconde moitié du mois de mai 2013. Le 20 mai, un ouragan s'est formé près de la banlieue sud d'Oklahoma City, la ville de Moore. La vitesse du vent y atteignait 322 km/h, le diamètre de l'entonnoir était d'environ 3 km (attribué la catégorie la plus élevée EF5 sur l'échelle Fujita améliorée). La tornade qui a traversé une autre banlieue d'Oklahoma City, la ville d'El Reno, le 31 mai 2013, s'est révélée encore plus puissante. La vitesse du vent y atteignait 485 km/h avec un diamètre d'entonnoir de 4,2 km (catégorie EF5, comme la tornade de Moore). (Photo de Mike Olbinski) : 
Augmenté à la quatrième catégorie. Ike est apparu dans le nord-ouest de l'océan Atlantique, grâce à des vents de 120 milles marins, avec des rafales jusqu'à 145 milles par endroits. (photo fournie par la NASA et l'équipage de la Station spatiale internationale)
2. Cette image prise par le satellite Terra a capturé l'ouragan Ike quittant les côtes des Petites Antilles et se précipitant vers les côtes le jeudi 4 septembre 2008, à 10h40. "Ike a l'air très dangereux", a déclaré l'administrateur de la FEMA, David Polison. (Photo NASA/AP)
3. Cette photographie prise depuis la navette spatiale Atlantis le 18 septembre 2006 montre clairement l'œil de l'ouragan Gordon. Au moment où cette photo a été prise avec un appareil photo 28 mm, l'ouragan était centré à 37,5°N, 46,4°E et se déplaçait vers le nord-ouest. L'ouragan a été soutenu par des vents soufflant à 80 milles marins par heure avec des rafales allant jusqu'à 95 milles par heure. (NASA)
4. Au centre de cette photo, vous pouvez voir l'œil de l'ouragan Ivan et une partie du panneau solaire de la Station spatiale internationale. L'ouragan le plus puissant, Ivan, a été capturé à une altitude de 230 milles par l'astronaute Fink Edward Michael, ingénieur de vol de l'équipe travaillant à l'époque sur l'ISS. Au moment du tournage, Ivan se trouvait dans l’ouest de la mer des Caraïbes, avec des vents soufflant à 260 milles à l’heure. (NASA)
5. Le 12 septembre 2003, le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) à bord du satellite Terra a photographié l'ouragan Isabel au large des côtes des Petites Antilles. À cette époque, Isabel atteignait la catégorie de puissance cinq la plus élevée, avec des vitesses de vent de 160 milles par heure. (Jacques Descloîtres, équipe de réponse rapide MODIS, NASA/GSFC)
6. Cette photographie de l'ouragan Félix a été prise le 3 septembre 2007 à 11 h 38 min 29 s GMT. L'un des membres de l'expédition 15 vers l'ISS a pris cette photo à l'aide d'un appareil photo 28-70 mm. lentille. Au moment du tournage, l'ISS se trouvait au-dessus de la côte est du Honduras. Avec des vents violents de 165 mph avec des rafales, Felix a été classé dans la catégorie 5 sur l'échelle des ouragans Saffir-Simpson. (NASA)
7. Une image prise depuis la navette spatiale Atlantis le 18 septembre 2006 montre l'ouragan Gordon. Au moment du tournage, l'épicentre de l'ouragan était situé aux coordonnées 37,5° de latitude nord et 46,4° de longitude est et se déplaçait en direction nord-ouest. La vitesse du vent était de 80 milles marins par heure avec des rafales allant jusqu'à 95 milles par heure. (NASA)
8. La photographie a été prise par l'un des membres de l'expédition 8 vers l'ISS le 27 mars 2004. L'ouragan a été filmé alors qu'il touchait terre dans l'État de Katrina, au sud du Brésil (c'est pourquoi il a reçu le nom de Katrina). Le nuage tourbillonnant autour du cœur du typhon, un cyclone en circulation dans l’hémisphère sud, est au moins de catégorie 1. (NASA)
9. Cette photo, prise par l'astronaute Fink Edward Michael dans l'après-midi du mercredi 15 septembre 2004, montre l'ouragan Ivan alors qu'il s'approche de la côte nord du Golfe. La vitesse du vent à l'épicentre était de 135 mph. Cette photo a été prise à une altitude de 230 milles. (NASA)
10. Cette photo de l'ouragan Wilma a été prise à 8 h 23 le mercredi 19 octobre 2005 par des membres de l'équipage de l'ISS alors que la station se trouvait à 222 milles au-dessus du point zéro. Wilma est alors devenu l'un des ouragans les plus puissants, avec des vitesses de vent atteignant 175 milles par heure. Wilma a balayé les eaux de la mer des Caraïbes à 340 milles de Cozumel, au Mexique. (NASA)
11. Cette photo montre l'ouragan Ivan au large de la côte nord du Golfe alors que la tempête touchait terre en Alabama le 15 septembre 2004. La vitesse du vent était de 135 mph. (NASA)
12. Une photographie de l'ouragan Epsilon dans l'océan Atlantique a été prise par l'un des membres de l'équipage de l'expédition 12 vers l'ISS le 3 décembre 2005. La station orbitale se trouvait à une altitude de 190 milles. L'épicentre de l'ouragan était situé aux coordonnées 34,5° de latitude nord et 44,4° de longitude est. (NASA)
13. L'ouragan Ivan le plus puissant a été capturé à une altitude de 230 milles par l'astronaute Fink Edward Michael, ingénieur de vol de l'équipe travaillant à l'époque sur l'ISS, le 11 septembre 2004. (NASA)
14. Ce gros plan de l'œil de l'ouragan Isabel a été pris le 15 septembre 2003 par l'un des membres de l'équipage de l'ISS Expedition 7. (NASA)
15. Sur l'image du 4 septembre 2003, il n'y a pas d'ouragan, mais on peut voir une zone de basse pression qui forme des nuages tourbillonnants au sud-est du Groenland. Ce phénomène illustre bien le dicton « la nature a horreur du vide ». L'espace vide dans ce cas était une conséquence de la faible pression atmosphérique. L'air provenant de couches de haute pression atmosphérique s'est précipité pour combler ce vide, emportant avec lui les nuages. Cet énorme phénomène a survolé le détroit du Danemark, entre le Groenland et l'Islande. (Jacques Descloîtres, équipe de réponse rapide MODIS, NASA/GSFC)
16. Ce gros plan de l'œil de l'ouragan Isabel a été pris par l'un des membres de l'équipage de l'Expédition 7 à bord de l'ISS. Au moment du tournage, le 13 septembre 2003, Isabel avait atteint des vents de catégorie 5 de 160 mph. (NASA)
17. Ouragan Douglas, 23 juillet 2002. La force de Douglas est tombée à la catégorie 1 à mesure qu'il s'éloignait de la péninsule de Bahia, en Californie, pour s'enfoncer plus profondément dans l'océan Pacifique. Cette image a été prise par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) du satellite Terra le 23 juillet. (Jacques Descloîtres, Équipe de réponse rapide MODIS Land, NASA/GSFC)
18. L'ouragan le plus puissant, Ivan, a été capturé à une altitude de 230 milles par l'astronaute Fink Edward Michael, ingénieur de vol de l'équipe travaillant à l'époque sur l'ISS, le 11 septembre 2004. Au moment du tournage, Ivan était en colère la mer des Caraïbes occidentale, avec des vents atteignant 160 milles par heure. (NASA)
19. Gros plan sur l'œil de l'ouragan Ivan. Photo prise depuis la Station spatiale internationale le 11 septembre 2004. (NASA)
20. Le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) du satellite Aqua a capturé des images de l'ouragan Isabel, le 14 septembre 2003, à 17 h 55. L'ouragan se trouvait à environ 400 milles de Porto Rico avec des vents soufflant à 250 km/h. (Jacques Descloîtres, équipe de réponse rapide MODIS, NASA/GSFC)
21. Gros plan sur l'œil de l'ouragan Isabel. Photo prise depuis la Station spatiale internationale le 15 septembre 2003. (NASA)
Des anneaux de nuages sont clairement visibles depuis la Station spatiale internationale lorsque la station survole l'ouragan Frances le 2 septembre 2004. (NASA)
23. Cette photo de l'ouragan Isabel a été prise par l'un des membres de l'équipage de l'expédition 7 vers l'ISS le 13 septembre 2003. Au moment de la photo, Isabel avait atteint la catégorie 5, avec des vents de 160 mph. (NASA)
24. Le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) du satellite Terra a capturé des images de l'ouragan Kate le 4 octobre 2003. Au moment de la prise de l'image, les vents soufflaient à 115 mph et l'ouragan se déplaçait vers l'ouest à 19 mph. (Jacques Descloîtres, équipe de réponse rapide MODIS, NASA/GSFC)
25. Cette photo, prise avec un appareil photo doté d'un objectif de 400 mm, capture une vue panoramique de l'œil de l'ouragan Emily, le 16 juillet 2005. La photo a été prise par l'équipe travaillant à l'époque sur l'ISS. Au moment de la photo, la station se trouvait au-dessus du golfe du Mexique, avec l'ouragan capturé sur fond de lune montante. À l'époque, Emily était un ouragan de catégorie 4 avec des vents de 250 km/h et se dirigeait vers le nord-ouest de la mer des Caraïbes, en direction de Kingston, en Jamaïque. (NASA)
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