Comment se libérer du passé, retrouver soi-même et son intérêt pour la vie. Émotions positives en automne

"L'automne, le charme des yeux", a déclaré le cher Alexandre Sergueïevitch. Mais la plupart d’entre nous commencent à se morfondre à ce moment-là, l’état émotionnel de la personne est déprimé, sombre. Cette condition a même un nom officiel : dépression automnale. L’été est terminé et les émotions positives ont disparu avec lui. L'automne est gris, c'est une période triste. Et pour retrouver la joie de vivre, regardons le blues de l’automne sous un autre angle.

"On regarde dans une flaque d'eau et on voit de la terre,
un autre voit les étoiles réfléchies »,
Emmanuel Kant

L'état émotionnel d'une personne en période d'automne

Vous pouvez souvent trouver des conseils pour lutter contre la dépression automnale. Mais lutter est une perte d’énergie et de temps. C’est une tension inutile et même un état de guerre que vous combattez. Je propose donc immédiatement de remplacer le mot lutte par le mot harmonie. Toute flaque d’eau jusqu’aux genoux est dans un état d’harmonie. Nous allons la chercher.

Principaux signes de dépression automnale

1. Humeur déprimée et mélancolique, désir de se cacher des gens ;
2. Manque d'appétit ou vice versa – le désir de trop manger avec des aliments riches en calories ;
3. Diminution de l'activité et somnolence ;
4. Irritabilité ;
5. Vulnérabilité et susceptibilité.

Si au moins un des signes répertoriés vous ressemble, alors cet article est fait pour vous.

Il est important de comprendre que l’état émotionnel d’une personne ne dépend que d’elle-même. En s'accordant sur l'ennui et la mélancolie, on se programme en conséquence ! Donc pas un mot de plus sur le blues et la dépression.

Les émotions les plus positives même les jours les plus pluvieux

« La nature n’a pas de mauvais temps » est une excellente citation tirée d’une chanson. Regardons l'automne et l'hiver sous un angle et une ambiance différents.

L'automne signifie feuilles jaunes, nature dans toutes les nuances de l'arc-en-ciel, fruits et légumes délicieux. Hiver – flocons de neige, flocons de neige, Nouvel An et cadeaux. Comment peux-tu ne pas sourire ? 🙂

« Il fait froid et humide », dites-vous. « Une belle raison pour organiser une rencontre chaleureuse sous des couvertures entre amis », dirai-je. Délicieux thé au gingembre, au miel et à la menthe, conversations sincères, musique préférée - il n'y aura aucune trace d'ambiance mélancolique !


Avez-vous constamment envie de dormir et de ne rien faire ? Trouvez-vous une activité complètement nouvelle pour laquelle vous n’aviez pas le temps auparavant. Une excellente façon de retrouver la joie de vivre est de suivre un cours de dessin (ce n’est pas pour rien que les artistes aiment l’automne), de chanter ou de se former.

Les types plus actifs sont la danse et le fitness. L’essentiel est que l’activité vous réchauffe et apporte de la variété et de la positivité dans votre vie.

Soyez plus souvent dans la nature. L'automne est vraiment une période dorée. Se promener dans une forêt calme et transparente, s'éloigner de la ville, respirer l'air frais - c'est un conte de fées qui peut facilement devenir réalité.


Méthode personnellement éprouvée : sauter dans les flaques d’eau. Oui, oui. Des bottes en caoutchouc - et c'est parti ! C'est garanti : une humeur joyeuse, des jambes toniques, un sourire sincère, des yeux pétillants et un soulagement des pensées mornes !

Comment trouver la joie de vivre en automne

Harmonie de l'âme et du corps : comment les atteindre si l'on veut se cacher sous la couverture, s'offusquer du monde entier et la manger avec un kilo de gâteaux ? Faisons encore de petits ajustements : remplacez les gâteaux par des fruits et légumes d'automne - un véritable cadeau pour les gens de l'automne.

Même la salade la plus basique regorge de vitamines, de couleurs et de saveurs vibrantes. Ici, vous obtenez à la fois la luminosité des couleurs et les avantages. Plaisir esthétique d’un côté, plaisir physique de l’autre.

Apportez de la beauté à votre maison et à votre extérieur. Prenez une douche avec des huiles aromatiques et de la mousse, faites-vous masser, faites un masque. Prenez soin de votre corps – il le mérite.

Vous pouvez décorer votre maison avec un bouquet réalisé de vos propres mains. Feuilles multicolores, branches de sorbier, églantier, aubépine, épine-vinette et même pommes, laissez libre cours à votre imagination. Déjà en train de décorer, la tristesse disparaîtra sans laisser de trace.

La capacité de s’auto-guérir et de remettre notre corps dans un état sain nous est inhérente par nature. C’est comme si un programme d’auto-guérison et de restauration était inscrit dans notre corps. On se rétablit si on tombe malade, une blessure au bras ou à la jambe guérit avec le temps. Par pur réflexe, nous posons notre main sur le point sensible, commençons à le frotter ou tenons simplement notre main.

L’essentiel est de faire confiance à votre nature et de ne pas laisser ces programmes échouer. Les échecs surviennent du fait que nous bloquons nous-mêmes nos capacités d'auto-guérison. Nous n'y croyons pas. L'initiation au Reiki améliore vos capacités et rend le processus d'auto-guérison conscient.

Prenez cinq minutes pour le lire et mettez-le immédiatement en pratique.

1. Adoptez une position confortable (assis ou allongé) et concentrez-vous sur votre respiration.

Il n'est pas nécessaire de le changer. Observez simplement comment l'air se déplace : inspirez, expirez, expirez, expirez. N’évaluez ni ne changez rien – observez simplement. Ceci est fait pour que vous puissiez vous immerger dans le moment présent et calmer les pensées qui pullulent dans votre tête, au moins pendant quelques minutes.

2. Étendez vos bras devant vous et frottez vigoureusement vos paumespendant 30 à 60 secondes.

En conséquence, vos paumes devraient devenir chaudes. Ressentez cette chaleur. Souriez en vous frottant les paumes. Un sourire en lui-même a des pouvoirs de guérison et peut changer votre humeur en quelques secondes.

3. Gardez vos paumes à 15-20 cm l'une de l'autreet ressentez l'énergie entre eux.

Cette énergie existe toujours. Et maintenant, vous le ressentez parce que vous vous êtes consciemment fixé une telle tâche. Lorsque vous ressentez cette énergie, réalisez qu’elle fait partie de votre être. Garder le sourire. C'est une sensation agréable, n'est-ce pas ?

4. Fermez les yeux.

Essayez de déplacer cette énergie de vos mains vers une autre zone de votre corps. Il n’y a aucun moyen de faire « mal ». Vous réveillez votre corps énergétique avec le pouvoir de l’intention : l’intention de ressentir et de guérir.

Essayez de déplacer cette énergie vers n’importe quelle partie stressée ou malsaine de votre corps. Maintenez l’énergie là-bas, sachant que vous y envoyez de l’amour et de l’énergie de guérison Reiki.

Si vous ne ressentez plus l'énergie, frottez à nouveau vos paumes. Vous ne pouvez pas faire le bien, le mal ou le mal. Vous pouvez représenter l’énergie comme vous le pensez. Vous voudrez peut-être simplement la ressentir, peut-être l’imaginerez-vous comme une lumière blanche. Faites ce qui est plus facile pour vous. Pendant que vous effectuez cette étape, soyez enjoué et souriez.

5. Continuez à travailler avec le flux d’énergie.

Dirigez-le vers différentes parties du corps. Remarquez les sensations qui surviennent aux endroits où le flux atteint. Sachez que cette énergie peut vous aider à guérir de la douleur et soyez reconnaissant d’avoir enfin découvert cette capacité naturelle en vous. Ressentez comment cette énergie détend chaque partie de votre corps avec laquelle elle entre en contact.

Bonjour. Pas de joie de vivre, de dépression, pas d'humeur ni au travail ni à la maison, des larmes. Il y a des pensées tristes sur la vie dans ma tête. Je ne veux pas aller de chez moi au travail et vice versa. Marié depuis 20 ans. A la maison, l'envie de faire quelque chose a longtemps été repoussée, je le fais par la force. Je ne peux pas me séparer et quitter mon mari ; ma conscience ne me permet pas de partir dans une situation difficile, il est malade ; Même si, lorsque j'ai eu une situation de vie difficile, il n'était pas là. Un an plus tard, lorsque mes parents sont morts, des étrangers m'ont soutenu. Tout le temps, il disait qu'il n'y avait pas d'argent, que je cherchais un endroit où emprunter, et il s'est caché et a économisé pendant plusieurs années... Puis il a acheté une voiture, personne ne sait combien de nerfs cet achat m'a coûté. Il y a 2 ans, nous nous sommes disputés et il m'a battu, puis a dit un mois plus tard qu'il ne s'en souvenait pas. Même si pendant tout ce temps j'attendais des excuses. J'ai fait beaucoup pour lui, maintenant je ne veux plus rien... Maintenant nous vivons séparément financièrement, nous n'avons pas non plus de relations intimes, cela fait 5 ans que nous dormons dans la rue sur le canapé... là ne sont pas non plus des mots gentils... MAIS ! aime les enfants... Et j'ai l'air d'être marié... mais essentiellement seul, ne comptant que sur moi-même. Je veux des soins, de l'amour, de la confiance, du soutien. Et il y a de la peur dans mon âme. Maintenant, il est gravement malade et son seul espoir est en moi. Je n'ai aucune joie autre que celle de m'acheter quelque chose, de bien manger ou bien boire. Je veux une vie et des relations normales, des soins et de l'amour...

anonymement

Tout le monde veut que nous éprouvions moins de souffrance dans nos vies et plus de joie et de plaisir. Ce qui en soi est tout à fait normal. Tout ce qui nous entoure s'efforce de bouger - de l'inconfort au confort, de l'anxiété au calme, de la souffrance à la satisfaction. Nous posons donc la question « comment trouver la joie dans la vie ?».

La souffrance que nous vivons est le signal que quelque chose dans notre vie ne nous convient pas ou même met notre vie en danger. Que nous sommes dans un état de déséquilibre et qu’il n’y a pas d’harmonie dans nos vies. Après avoir reçu ce signal, nous pouvons reconnaître et éliminer les causes qui ont conduit à l’inconfort que nous ressentons et rétablir l’équilibre et la joie dans notre vie.

Est-il possible de contrôler la quantité de bonheur ? Assez. À tout le moins, vous pouvez « tirer le meilleur parti » de ce que vous avez et travailler constamment à améliorer votre qualité de vie. Mais le mot clé ici est « travail », que beaucoup de gens oublient ou ne veulent pas penser. Eh bien oui, le mot est fastidieux et ennuyeux, quelle bénédiction !…

A la question « comment trouver la joie dans la vie » vous voulez une réponse simple et inspirante

Mais je n’ai pas une telle réponse, alors parlons de ce travail même.

Dans un premier temps, vous devrez apprendre à vous observer et à observer vos réactions.

Parce que si vous ne savez pas vous-même quelles situations vous apportent de la joie, du bonheur, du calme, de la paix, il est peu probable que vous puissiez les répéter. Et vous attendrez toujours une sorte d’inspiration ou de « coïncidence de circonstances » comme la manne venue du ciel.

Bien sûr, à la question « comment trouver la joie dans la vie» Presque chacun d’entre nous peut donner une réponse sous la forme d’un rêve, d’un grand objectif, d’une « image de ce que nous voulons ». Mais en règle générale, un grand objectif peut être dans plusieurs années, et où trouverez-vous la force pour ce long voyage s'il n'y a pas de joie au quotidien ?

Ce sont les « petites choses », les détails, les petits cadeaux à soi-même, les moments particuliers de la vie du jour où l'on sent que « le moment est merveilleux », et que cette minute vaut la peine d'être vécue - ce sont eux qui donnent la force d'atteindre de grands objectifs. Ainsi que la capacité, une fois de plus, de ne pas se plonger dans des situations d'inconfort évident.

En général, cette observation s'avère assez laborieuse et même quelque peu fastidieuse. Mais sans cela, il est évident que si vous ne savez pas où et comment votre bonheur « s'allume », vous n'y arriverez jamais vous-même, et vous n'aurez qu'à compter sur l'univers, qui pourra un jour « vous y emmener » à nouveau. .

Deuxièmement, vous devrez non seulement apprendre à observer toutes les nuances d'états, même les plus petites, mais aussi comprendre quels besoins se cachent derrière les situations souhaitées.

Parce que toutes les situations ne peuvent et ne doivent pas être reproduites de manière constante.

Exemple simple : Supposons que vous vous sentiez bien si vous buvez de l'alcool. S’ensuit-il que vous devez en boire tous les jours pour augmenter votre joie ? À peine. Plus précisément, vous pouvez bien sûr essayer, mais cela ne fera probablement qu'augmenter la souffrance.

Il ne reste donc pas seulement à remarquer les situations dans lesquelles on se sent bien, mais aussi à isoler le besoin même qui se cache derrière, puis à choisir des méthodes les plus respectueuses de l'environnement possible pour tous les systèmes du corps, afin de ne pas le faire. Nous ne finirons pas par dire « nous traitons une chose et en paralysons une autre ».

Il peut y avoir de nombreux besoins derrière l'alcool - détente, calme, ou vice versa - courage, élan de force, libération. Lequel est le vôtre ? Et de quelles autres manières pouvez-vous la satisfaire ?

Troisièmement (et c'est encore plus difficile, mais aussi plus intéressant) - vous devrez déterminer si votre souffrance est causée par une situation extérieure ou, après tout, si elle est générée par votre attitude à son égard.

Il y a beaucoup de nuances ici.

Par exemple, si vous êtes dérangé par le bruit constant de vos voisins, ce problème peut-il être résolu en déménageant ou en ayant une conversation sérieuse avec vos voisins, ou peut-être s'agit-il simplement de votre excitabilité accrue sur fond d'autres expériences, fantasmes et projections ? Peut-être que toute cette histoire touche à quelque chose qui était auparavant douloureux, mais qui semblait oublié, et maintenant révélé avec une vigueur renouvelée par la situation ? Et puis vous n'avez pas besoin de vous occuper de vos voisins, mais de vos expériences d'il y a de nombreuses années, coincées à l'intérieur et ayant besoin d'être révisées ?

N’importe qui peut devenir heureux et aucune circonstance ne peut l’empêcher. Quelle est la recette ? Le conseil est simple : cherchez le bonheur en vous-même !

Essayez de vous imprégner d’une pensée simple : « La joie est en nous ». Répétez-vous ces trois mots plusieurs fois. Comprenez-vous ce qu’ils veulent dire ? Qu’est-ce que cela signifie exactement ? Et si vous avez répondu émotionnellement à cette déclaration, si elle a touché votre âme, évoquant des souvenirs agréables, alors vous êtes en mesure de réaliser l'une des plus grandes vérités : vous pouvez être heureux. On vous fait comprendre que le bonheur ne dépend pas de la façon dont les autres vous traitent, que peu importe que votre enfance ait été terrible ou merveilleuse. Les échecs de carrière, les succès des amis et même les maladies n'interféreront pas avec le bonheur.

Réfléchissez maintenant à la signification du mot « joie ».

Est-ce juste une sensation agréable pour vous ou quelque chose de plus ? Le soleil du matin, un rendez-vous romantique, le football du dimanche entre amis, une leçon de yoga réussie, ce sont bien sûr des moments agréables importants. Mais si vous y approfondissez, il s'avère qu'ils ne dépendent tous pas de vous-même, mais de certains événements, personnes ou situations dont vous avez besoin pour vous réjouir. Et il vous semble que vous ne pouvez devenir heureux que dans une combinaison réussie de toutes les circonstances : le matin, le soleil brillait dans le ciel, l'après-midi vous avez négocié avec succès, le soir vous avez maîtrisé un nouvel asana et un dîner avec votre un proche vous attendait à la maison. Vous risquez donc de devenir un chercheur effréné de sensations agréables. Croire qu'il faut créer toutes les conditions pour être toujours de bonne humeur est l'une des idées fausses les plus répandues de notre époque.

Mais la joie intérieure est d’une autre nature. Il y a quatre mots en sanscrit – sukha, santosha, mudita et ananda – chacun signifiant un niveau de bonheur différent. Ensemble, ils constituent le chemin qui mène à une joie que rien ne peut ébranler.

Soukha

Plaisir éphémère

Sukha est le bonheur que nous éprouvons lorsque nous sommes dans notre zone de confort. Le mot « sukha » est traduit par « facilité », « confort », « plaisir ». Lorsque nous sortons par une chaude journée d’été, nous ressentons un élan de joie inattendu. Sukha – ce soi-disant bonheur ordinaire – est de nature éphémère. Tous les états qui dépendent de conditions extérieures peuvent disparaître à tout moment.

Sukha est directement liée à son opposé, duhkha, ou souffrance. Comme le chaud et le froid, la naissance et la mort, sukha et duhkha sont toujours indissociables : si notre bien-être dépend des conditions extérieures, il sera toujours précaire.

Santosha

Satisfaction

Les Yoga Sutras considèrent la pratique du Santoshi comme extrêmement importante, car c'est le moyen le plus rapide de se débarrasser des soucis et de l'agitation qui résultent des déceptions et des désirs insatisfaits.

Santosha est satisfait de ce que vous avez. Pour être heureux, vous n’avez besoin de rien, pas de conditions particulières. Nous ne pouvons être véritablement satisfaits que si nous abandonnons la poursuite des attentes inaccessibles et élevées de la vie. Nous devons nous éloigner des stéréotypes et apprendre à ne pas comparer nos capacités, nos traits de caractère, nos biens et même nos réalisations spirituelles avec ce que possèdent les autres.

Mudita

Bonheur spirituel

La pratique du Santoshi a un effet apaisant sur notre conscience - et sans nous en rendre compte, nous pouvons passer au niveau de bonheur suivant. Mudita apparaît spontanément, sorti de nulle part, comme un message venu des profondeurs de la conscience, capable de changer notre état en un instant. Il évoque différents sentiments : gratitude, plaisir, paix, la capacité de voir la beauté là où nous ne l'avons jamais remarquée auparavant, par exemple dans les déchets sur les trottoirs ou dans les hamburgers.

Mudita peut être développé en soi-même - la pratique spirituelle vise principalement à trouver en soi une joie précisément de cette nature. Par exemple, mudita est provoquée par le chant spirituel. Pratiquez certaines poses et méditez en répétant des mantras. Certaines traditions religieuses, comme le bhakti yoga et le soufisme, se spécialisent dans l’art de développer le mudita, qui nous aide à entrer dans des états plus subtils de notre conscience.

Ananda

Le bonheur dépasse l'entendement

Lorsque mudita influence le plus pleinement notre perception du monde, nous comprenons le niveau de joie le plus profond - l'ananda. Il est généralement traduit par « bonheur », « bonheur complet ». C'est l'extase, le délice, le ravissement émanant du centre même de l'univers. Lorsque vous entrez en contact avec lui, vous réalisez que vous avez compris des niveaux de réalité jusqu’alors inconnus.

Certains enseignants croient qu'au moment d'une telle extase, qui coule par vagues dans nos veines, nous communiquons avec Dieu. Vous trouverez des comparaisons similaires entre la joie et le fait de toucher le divin dans la poésie soufie, dans la Kabbale et dans les œuvres des mystiques chrétiens. Clive Lewis a appelé son autobiographie spirituelle « Dépassé par la joie » parce que toute sa communication avec Dieu était un sentiment de bonheur absolu. En cultivant la joie en nous-mêmes, nous ouvrons un chemin direct vers la connaissance de soi. Commencez par prendre au sérieux et sans ironie les déclarations des grands gourous. Essayez de comprendre leurs paroles sur la joie, qui est matérielle et proche – en vous et dans le monde qui vous entoure. Trouvez ensuite les pratiques qui vous aideront à vous ouvrir. La joie peut vous venir de manière inattendue. Mais vous pouvez vous-même l’aborder étape par étape.

De la tristesse à la joie

Il est plus facile de croire que la source du bonheur est en nous que de la connaître. Vous conviendrez peut-être que la joie est en vous, mais vous ne la ressentez pas. Que devez-vous faire pour trouver la force de changer quelque chose dans votre attitude envers le monde ? Comment choisir une pratique qui peut aider ?

Le plus important est de ne pas avoir peur de ne pas trouver la joie ici et maintenant, à votre première demande. Siddha Gurumayi Chidvilasananda a un jour comparé la joie à un papillon qui, un jour, volera et atterrira sur votre main, mais il ne peut pas être attrapé et planté de force, et encore moins tenu. Au lieu d'essayer d'obtenir de la joie, il sera beaucoup plus efficace de trouver des pratiques qui l'attirent vers vous - principalement celles qui concernent le travail avec la conscience. Essayez de vous guérir du cynisme qui infecte inévitablement tout habitant d'une grande ville.

La miséricorde, la capacité d'être reconnaissant envers soi-même et envers les autres pour toutes les bonnes choses qui nous arrivent dans la vie, et même pour les problèmes qui nous arrivent, le refus conscient des offenses - tout cela contribue à briser la barrière qui se forme autour du cœur et ne permet pas à la joie de lui venir. Et assurez-vous de prêter attention à la conversation mentale avec vous-même que vous, comme tout le monde, menez constamment. La pensée est matérielle.

Je veux me faire plaisir aujourd'hui

L'étape suivante est l'une des formes de mudita, comme le chant, la prière, s'adresser directement à votre cœur et développer l'énergie qu'il contient, la méditation avec visualisation, la prière pour le bien-être des êtres chers ou toute autre pratique existante. d'innombrables nombres.

Une des très bonnes pratiques décrit dans les textes tantriques. Peut-être que cela sous-tend tout ce qui précède. Nous l’appellerons provisoirement « In Pursuit ». Cet exercice simple peut être effectué à tout moment : lorsque vous prenez les transports en commun, que vous faites la vaisselle et même en écoutant la radio. En très peu de temps, cela peut changer votre conscience.

Fermez les yeux et souvenez-vous d’un moment où vous étiez vraiment heureux. Transportez-vous mentalement à ce moment. Rappelez-vous ce que vous avez ressenti à ce moment-là. Vous pouvez imaginer des images : rappelez-vous la scène de l'action, ce que vous portiez, qui était présent. Demandez-vous : « Qu’est-ce que j’ai ressenti exactement à ce moment-là ? » Après vous être posé cette question, attendez que le sentiment de bonheur vous revienne à nouveau. Essayez de le garder en vous, même si ce n’est que pour quelques instants.

Ensuite, après avoir supprimé le lieu ou la situation de votre mémoire, déterminez le point de votre corps où se trouve le centre du sentiment de bonheur et essayez d'élargir le sentiment de joie jusqu'à ce qu'il vous remplisse complètement. Si vous avez une mémoire visuelle bien développée, essayez d'imprégner cette sensation d'une couleur chaude, comme l'or ou le rose. Vous pouvez également travailler avec votre respiration, en élargissant la sensation trouvée dans les souvenirs lorsque vous expirez.

Essayez de conserver le sentiment de bonheur le plus longtemps possible. Essayez d’en faire la chose la plus importante, au moins pour un instant. Mais ce n’est qu’un aperçu éphémère de la nouvelle réalité découverte : imaginez combien de bonheur est réellement caché en vous.

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La joie inspire et donne un sentiment d'épanouissement dans la vie. Mais soudain, quelque chose se brise et elle s'en va. Connaissez-vous le sentiment de désespoir et d’apathie ? Pour y faire face, vous devez comprendre sa véritable cause.

La fatigue est la raison la plus simple et la plus courante pour laquelle le monde qui nous entoure cesse d’être agréable. Les sentiments deviennent ennuyeux, tout semble gris et monotone. Et la seule recette dans ce cas est de bien se reposer.

Parfois, il nous semble que nous vivons une vie très ennuyeuse. Les artistes (showmen, hommes politiques, journalistes...) ont une vie intéressante et riche, pas comme la mienne, pensons-nous. Le paradoxe est que les écrivains, les artistes, les interprètes et les pop stars sont tous également fatigués de ce qu’ils font chaque jour. Peu importe qui vous êtes, vous avez de temps en temps besoin de sortir de la réalité quotidienne et de changer de décor. Prenez des vacances et partez plus loin - dans une autre ville, un autre pays. Libérez-vous de votre routine habituelle. Respirez l'air de la liberté. Apprenez de nouvelles choses. Souvent, cette étape peut redonner de la force et ramener la joie de chaque jour.

La fatigue est la raison la plus simple et la plus courante pour laquelle le monde qui nous entoure cesse d’être agréable. Les sentiments deviennent ennuyeux, tout semble gris et monotone. Et la seule recette dans ce cas est de bien se reposer.

Mais il arrive que le blues devienne chronique. Déception totale, réticence à faire quoi que ce soit, prise de conscience de l'absurdité de la vie - tels sont les symptômes de cette maladie. Nous perdons la joie dans un cas : lorsque nous ne pouvons pas utiliser la vie pour satisfaire nos besoins, explique le thérapeute psychanalytique Eduard Livinsky. - Une personne perçoit le monde à travers le prisme de ce qu'elle peut influencer. Et s’il satisfait les désirs des autres et sacrifie les siens, il ressent alors de la frustration. Mais c’est exactement comme ça que nous sommes élevés ! Vous allez travailler là où personne ne pensera à vos besoins personnels. Vous vivez dans une société axée sur l’accumulation de capital, et si vous avez des valeurs différentes, vous devez vous briser. La joie est toujours la joie de faire son propre travail, d'être actif pour soi-même parmi des personnes partageant les mêmes idées.

6 façons de se secouer et d'avoir envie de vivre

Si la vie quotidienne est devenue ennuyeuse, il faut chercher un moyen de la diversifier. Ne restez pas les bras croisés : l’apathie ne disparaît pas d’elle-même !

  1. Partez en voyage. Un changement d'environnement et de nouvelles expériences repoussent les limites de la perception. Toutes les sensations deviennent plusieurs fois plus vives. Et vous avez le temps de réfléchir à ce qui est réellement important pour vous.
  2. Procurez-vous un animal de compagnie. Prendre soin d'une petite créature sans défense - même une tortue - donne à chacun de nous le sentiment nécessaire d'être nécessaire. L'animal dépend entièrement du propriétaire : vous commencerez à ressentir de la joie lorsque vous le nourrirez, le caresserez, communiquerez avec lui.
  3. Allez à l'église pour un service. Même si vous n'êtes pas religieux, essayez d'assister au service, d'écouter les prières et de mieux vous comprendre. Les gens trouvent souvent la paix et l’harmonie après être allés à l’église. Il ne s'agit même pas de rituel, mais de retour à soi.
  4. Inventez un nouveau passe-temps. Demandez-vous : qu’est-ce qui est important pour vous, qu’avez-vous toujours voulu faire et qu’est-ce que vous vous êtes refusé ? Et franchissez cette étape : inscrivez-vous à un cours de danse ou à un studio de théâtre, commencez à apprendre la photographie professionnelle. Il n’y a nulle part où reporter davantage.
  5. Idée de mini rénovation de maison. Réorganisez au moins les meubles et refaites le papier peint. Premièrement, vous serez sans aucun doute distrait, et deuxièmement, en transformant et en modernisant votre maison, vous souhaiterez vous-même vous renouveler intérieurement.
  6. Aidez ceux qui vivent des moments plus difficiles. Quand nous faisons le bien, nous ressentons toujours de la joie. Nous sommes transformés, devenant plus propres et plus brillants. Une visite à un ami malade, de l'aide pour votre mère, quelques mots gentils à votre voisin... Et peut-être un peu de bénévolat.

Dorlotez votre corps - votre âme va dégeler

Les plaisirs corporels peuvent être une excellente thérapie contre l’apathie. Pour ce faire, transformez les procédures quotidiennes en un rituel agréable. Les choses les plus simples que nous faisons souvent à la hâte peuvent donner des moments de véritable joie. Par exemple, le peeling : il y a tant de cocooning et de sensualité à soigner le corps avec un gommage parfumé ! On peut en dire autant du rituel préféré de l'Ayurveda, le huilage, pour lequel n'importe quelle huile légèrement chauffée convient (vous pouvez prendre de l'huile d'olive et ajouter quelques gouttes d'huile essentielle à votre goût). Il est logique de suivre un cours de massage à l'huile ou plusieurs séances de thérapie aux pierres - massage avec des pierres chauffées. Lors de telles procédures, nous nous concentrons sur nos sensations et apprenons à apprécier le toucher et le contact tactile. Le corps se détend, les pensées inutiles disparaissent avec les tensions. Nous prenons soin de nous – et cela nous donne confiance !

Il y a des moments où la tristesse arrive. Les psychologues conseillent de ne pas s'en cacher sous un faux plaisir, mais de vivre pleinement les émotions.

  • Écoutez-vous

Si à ce moment vous ressentez de la tristesse et de la mélancolie, abandonnez-vous pleinement à ces sentiments difficiles. Vous y avez droit.

  • Trouver une activité adaptée

Il est peut-être temps de regarder un film sentimental ou de consulter votre journal d'il y a dix ans. Ou pleurez simplement dans votre oreiller. À propos, les larmes ont un effet nettoyant.

  • Je pense que ça va passer

Peu importe la gravité de la situation, vous devriez toujours chercher un fil auquel vous accrocher. Ce fil est notre espoir pour demain, que tout changera pour le mieux et que nous serons en pleine forme. Pensez aux bonnes choses même dans les périodes les plus difficiles - et elles vous arriveront certainement !

Prends un pinceau dans tes mains

L'art-thérapie (guérison par l'art), méthode de psychothérapie devenue populaire ces dernières années, vous permet d'exprimer vos expériences par la créativité et de comprendre l'essence du problème qui vous préoccupe. Le blues, l'apathie, le manque d'intérêt pour la vie en sont des indications directes. La technique la plus simple consiste à essayer d’exprimer ses émotions dans un dessin.

Représentez, par exemple, votre mélancolie, puis votre joie - et comparez ces deux images, en vous transférant mentalement dans un champ de joie. Si vous êtes submergé d'émotions négatives, vous pouvez même créer une sculpture à partir de papier, de vieux journaux, de morceaux de papier peint, puis la peindre dans des couleurs ensoleillées - essayez de transformer le négatif en positif. Qu’est-ce qu’il y a de bien dans l’art-thérapie ? Premièrement, vous exprimez vos émotions, ce qui signifie qu’elles ne s’accumulent pas en vous. Deuxièmement, vous retirez le problème et vous vous en éloignez. Et troisièmement, le processus créatif lui-même guérit et vous captivera complètement ! En plus de l'isothérapie, il existe bien d'autres techniques : musique, danse, conte de fées, photo, jeu, théâtre et même thérapie par le sable.

Où chercher l'énergie vitale

Pour redonner de la couleur au monde, il faut commencer à faire quelque chose. Pas pour quelqu'un, mais pour vous-même. Trouvez le domaine où vos efforts ne porteront pas leurs fruits. En voyant le résultat de votre travail, vous aurez envie de revivre !

Un travail qui n'apporte pas de joie et ne sert qu'à gagner de l'argent, une relation dans laquelle l'intensité des sentiments s'est longtemps atténuée, une activité et une précipitation constantes, de nombreuses petites tâches ménagères... Comment briser ce cercle vicieux ? Vous devez trouver un domaine où vous pourrez pleinement réaliser vos capacités et votre perception de la vie changera.

La tâche principale de chacun d’entre nous est de nous permettre de faire quelque chose de précieux pour nous-mêmes. Ainsi, toute activité qui vous procure du plaisir peut vous soulager du blues ! Le plus difficile reste : trouver quelque chose pour l’âme. Le problème est que nous nous désactivons souvent à tel point qu’il perd la capacité de créer des désirs. Dans ce cas, les psychologues recommandent de se souvenir de ce qui vous a apporté de la joie dans votre enfance. Coudre des tenues pour poupées, créer des collages, sculpter, dessiner - c'était sûrement une activité passionnante. Et puis mettez de côté les doutes et la fausse honte (on dit que je ne suis plus un enfant) et offrez-vous ce que j’aime ! Même si au début vous ne vous sentez pas inspiré.

Il est très important de ne pas s’isoler. Trouvez des personnes ayant des problèmes similaires pour avoir quelqu'un à qui parler. Recherchez ceux qui partagent vos passe-temps, heureusement, c'est désormais facile à faire en utilisant Internet. Mais la communication ne doit pas se limiter au monde virtuel : il faut impérativement entrer dans le réel !

Chacun de nous a besoin d’être apprécié et accepté par les autres. Trouvez donc l'occasion de participer à ces événements collectifs où votre activité sera la bienvenue ! Une personne seule peut faire une visite de la ville en groupe : une ambiance conviviale, un échange d'opinions - et maintenant vous n'êtes plus seul ! Pour une jeune maman qui a l'impression que la vie lui passe, il suffit d'organiser une fête à la maison, d'inviter des amis avec des enfants - et elle se remontera le moral, conseille Eduard Livinsky. - Une vie sans sens est un chemin sûr vers la dépression.

Fixez-vous des objectifs et atteignez-les, et cette activité vous sortira d'une stupeur émotionnelle. Notez cinq objectifs axés sur vos propres besoins - ce que vous ferez pour votre âme et votre bonne humeur.

IMPORTANT! Toute communication avec les enfants vous apportera du plaisir et une joie sincère si vous mettez toutes les questions de côté et consacrez entièrement du temps à l'enfant. Apprenez-lui quelque chose, découvrez un nouveau sens à ses activités préférées. Rien ne nous plaît plus que la réussite de nos enfants.

Donnez de la joie aux enfants

La cause la plus fréquente de l’apathie et de la dépression est l’infantilité. Une personne s'attend à ce que la vie lui donne toutes les joies, sans vouloir agir seule. Pendant ce temps, la vie demande des efforts, sinon elle se transforme en marécage. Cherchez par vous-même de nouveaux sens à l’existence. L’un d’eux s’occupe peut-être d’enfants qui n’ont pas de parents. Si vous êtes seul et pas trop heureux en ce moment, donnez un peu de chaleur à ceux qui en ont vraiment besoin ! Aller à l'orphelinat le plus proche le week-end et lire un conte de fées aux enfants, parler aux enfants plus âgés - cela ne nécessitera aucune dépense particulière. Mais l’impact peut être très fort. Vous sentirez que quelqu'un a besoin de vous, que quelqu'un est heureux de vous voir, que quelqu'un vous attend. Ce qui veut dire qu’il y a un sens à vivre !

L'art de la gratitude

Toute personne se sent heureuse lorsque ses efforts sont acceptés - que ce soit au travail ou en famille. Imaginez que vous ayez préparé un délicieux déjeuner après avoir passé toute la journée à travailler aux fourneaux, et que vos proches l'ont mangé avec des expressions fades et ne vous ont même pas remercié. - où peut-on être heureux ? Par conséquent, chez nous – dans notre microcosme, où nous établissons nous-mêmes l’ordre – nous devons cultiver une culture de gratitude.

Apprenez à vos enfants, à votre mari et apprenez à apprécier ce qu'ils ont fait pour vous. Dites merci !, en ressentant cette sensation de chaleur en vous. Et remerciez la vie pour ce qu'elle vous donne.

Éprouver des difficultés. Et vaincu avec honneur !

Tout est bon, mais tout est ennuyeux - le blues de la satiété, il n'y a pas d'autre moyen de le dire. Elle est soignée !

Vivez dans des conditions extrêmes. Par exemple, faites du camping avec des tentes. Le monde va basculer. Vous commencerez à remarquer des choses auxquelles vous n’aviez pas prêté attention auparavant. Et de nombreux problèmes s’avéreront sans importance.

Apprenez une autre langue. La communication pendant les cours élargit considérablement vos horizons. Et votre tête sera occupée - pas au point de devenir apathique.

Commencez à courir. Minimum 3 km par jour. Il n'est pas facile de s'arracher à la télé, le passe-temps favori de tous ceux qui se morfondent. Mais quelle joie vous ressentirez à chaque fois que vous terminerez votre course ! Y compris le fait que des endorphines sont libérées dans le sang pendant la course.

Histoire de vie

Ma nièce m'a sorti de mon apathie

Il y a à peine deux ans, Diana (26 ans), résidente de Poltava, était gravement déprimée. Elle, enceinte, a été abandonnée par son proche. Elle a perdu son enfant par frustration. Et ce ne sont pas toutes les épreuves qui lui sont arrivées !

Au début, tout s'est déroulé à merveille. Ayant appris que j'attendais un enfant, Denis m'a proposé. Nous avions déjà invité des invités au mariage, quand soudain, la nuit, nous nous sommes disputés pour une bagatelle. Et Denis... a disparu. Et je me suis vite retrouvé à l'hôpital. Le bébé n'a pas été sauvé.

Je détestais les hommes. Elle vivait dans une apathie chronique. Rien ne m'a rendu heureux. Je suis allé travailler uniquement parce que je devais vivre de quelque chose. Un jour, je rentrais chez moi fatigué et je pensais : je veux aller à l'hôpital avec un mal de gorge. Nos attitudes négatives se réalisent : j’ai malheureusement glissé et je me suis retrouvé aux soins intensifs. J'étais paralysé, les médecins ont dit que maintenant je m'allongerais. Mais un miracle s’est produit : je me suis remis sur pied. J’ai quitté l’hôpital en sachant que je ne pourrais pas tomber enceinte avant trois ans.

Ma sœur vient d'avoir une fille. Et elle m'a invité chez elle à Kiev.

Elle a proposé de changer de vie et de rester avec elle, d'aider Karina. Au début, j'ai refusé, mais six mois plus tard, j'ai quitté mon emploi et j'ai emménagé chez ma sœur. Au début, j'avais peur de toucher le bébé. Mais bientôt, j’ai pu facilement changer ses couches et rester avec elle toute la journée. La communication avec ce soleil m'a chargé d'énergie. Nous avons marché longtemps avec elle, joué, je lui ai lu des livres. D'une manière ou d'une autre, je me suis surpris à penser que je voulais le même miracle ! Karina m'a appris à sourire à nouveau. La dépression est passée. Je suis désormais à la recherche d'un emploi dans la capitale et j'espère organiser ma vie personnelle.

En prenant soin, nous trouvons l'harmonie

Prendre soin des plantes et des animaux est un moyen garanti de retomber amoureux du monde. Dans le livre acclamé de Haruki Murakami « Norwegian Wood », le personnage principal, Naoko, des années après avoir perdu un être cher, se retrouve dans un hôpital fermé dans les montagnes. Les personnes qui ont perdu le goût de la vie - des gens comme elle - y sont soignées non pas avec des médicaments, mais avec des activités simples : culture de légumes, floriculture et élevage de volailles.

En travaillant près de la terre, en entrant en contact avec ses créations, en observant comment émergent les germes, comment les fruits mûrissent, une personne puise sa force et se charge d'énergie vitale, oubliant ses traumatismes mentaux. Cette activité primitive, malgré tous les acquis du progrès scientifique et technologique, reste pour nous la plus naturelle. Mais où un citadin doit-il chercher un jardin ou une ferme ? Une bonne solution consiste à faire pousser des fleurs. Ce passe-temps ne nécessite pas beaucoup d'argent, mais permet de vivre pleinement la joie de communiquer avec la nature. Les fleurs sont belles, elles éveillent en nous un sentiment de beauté. En prenant soin d'eux, nous libérons notre tête des pensées ennuyeuses, nous nous détendons et faisons une pause dans l'agitation.

Vos sources d'inspiration

Nous nous sentons tristes quand quelque chose nous manque. Et nous nous réjouissons lorsque nous nous sentons connectés au monde et aux autres. Et pour cela, vous n'avez pas besoin de vous livrer à une introspection, mais de vous efforcer d'apprendre de nouvelles choses, de voir le monde sous toutes ses couleurs. Et sentez que vous êtes vivant !

Regarder la nature apporte de la joie car elle est vivante. Et la dépression n’est rien d’autre qu’une perte de dynamique vitale. La contemplation de la nature est donc réparatrice. Vous regardez les arbres fleurir, les nuages ​​flotter, les insectes pulluler, et vous comprenez : la vie coule quelles que soient nos petites adversités quotidiennes. Dans ce contexte fascinant, vos problèmes semblent insignifiants. Et la nature inculque également la foi que l’on peut faire quelque chose d’aussi important et naturel qu’une fleur qui s’épanouit ou qu’une abeille porte du nectar.

L’art inspire et démontre la diversité de la vie, montrant que tout autour de nous n’est pas gris et monotone. Cela nous permet également d’avoir nos propres émotions, nous poussant à ressentir, expérimenter et prendre feu. Après tout, l’art est essentiellement une émotion transfusée en sons, en couleurs et en mouvements. La dépression commence toujours par la peur de ses sentiments.

Les livres et les films avec une intrigue positive, dédiés à surmonter les obstacles, inspirent confiance en sa propre force. Si le héros a fait face à des difficultés, alors vous pouvez le faire aussi ! La joie disparaît parce que nous ne pouvons pas gérer la situation, nous y restons coincés. Et l’exemple de quelqu’un d’autre le montre : il y a une issue, il faut la chercher ! Et la seule question est de savoir comment procéder. Si vous ne parvenez pas à trouver une issue par vous-même, vous devriez en parler à un ami, à un psychologue ou à toute personne qui peut vous aider à examiner le problème de l’extérieur. Et assurez-vous : il y a de quoi être heureux dans la vie !

Les beaux paysages évoquent une joie inconsciente, alors profitez de chaque occasion d'être dans la nature. Alternez repos actif avec méditation ou contemplation de la nature en éveil. Profitez du printemps !

4 livres qui vous mettront de bonne humeur

  • Osho. Hsin-Hsin-ming : Un livre sur rien

Notre esprit crée des rêves. Pour vous réveiller et expérimenter la vraie joie, vous devez aller au-delà du mental. Osho explique comment mettre fin aux stéréotypes imposés par la culture, se libérer du besoin de choix et commencer à vivre une vie authentique.

  • Anna Gavalda. Juste ensemble

Un roman gentil, sage et vivifiant sur l'amour et la façon de trouver la joie au quotidien. Tous les personnages, seuls au début, trouvent leur bonheur à la fin de l'intrigue. Et l’un de ses éléments importants est d’aider les autres dans les moments difficiles.

  • Sue Townsend. Le journal d'Adrian Mole

Un livre incroyablement drôle, jamais sorti des best-sellers, sur les aventures d'un adolescent anglais enclin au blues et se considérant comme un intellectuel et un poète talentueux. Pétillant!

  • Victor Frankl. L'homme en quête de sens

Un psychiatre autrichien décrit son expérience personnelle de survie dans un camp de concentration et montre que même si l'on se trouve dans les conditions les plus terribles, on peut trouver une incitation à continuer à vivre. Un livre sérieux qui peut changer votre vision du monde.

Photo dans le texte : Depositphotos.com



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