L'humanité a toujours essayé de punir les criminels de manière à ce que les autres s'en souviennent et, sous peine de mort grave, ne répètent pas de tels actes. Il ne suffisait pas de priver rapidement de la vie une personne condamnée, qui pourrait facilement se révéler innocente, alors ils ont proposé diverses exécutions douloureuses. Cet article vous présentera des méthodes d'exécution similaires.

Garrote - exécution par strangulation ou fracture de la pomme d'Adam. Le bourreau a tordu le fil aussi fort qu'il a pu. Certaines variétés de garrot étaient équipées de pointes ou d'un boulon qui cassait moelle épinière. Ce type d'exécution était répandu en Espagne et a été interdit en 1978. Officiellement, le garrot était utilisé dans dernière fois en 1990 en Andorre, cependant, selon certaines sources, il est encore utilisé en Inde.

Le scaphisme est une méthode d'exécution cruelle inventée en Perse. L'homme a été placé entre deux bateaux ou troncs d'arbres évidés, superposés, la tête et les membres exposés. Il était nourri uniquement avec du miel et du lait, ce qui provoquait une grave diarrhée. Ils enduisaient également le corps de miel pour attirer les insectes. Au bout d'un moment, le pauvre garçon fut admis dans un étang avec de l'eau stagnante, où il y avait déjà quantité énorme insectes, vers et autres créatures. Ils ont tous lentement mangé sa chair et laissé des vers dans les blessures. Il existe également une version selon laquelle le miel n'attirait que les insectes piqueurs. Dans tous les cas, la personne était vouée à de longs tourments, durant plusieurs jours, voire plusieurs semaines.

Les Assyriens utilisaient l'écorchage pour la torture et l'exécution. Comme un animal capturé, l'homme a été écorché. Ils pourraient arracher une partie ou la totalité de la peau.

Le Ling Chi a été utilisé en Chine du 7ème siècle jusqu'en 1905. Cette méthode impliquait la mort par coupure. La victime a été attachée à des poteaux et privée de certaines parties de chair. Le nombre de coupes pourrait être très différent. Ils pourraient faire plusieurs petites coupures, couper un peu de peau quelque part ou même priver la victime de membres. Le nombre de coupures était déterminé par le tribunal. Parfois, les condamnés recevaient de l'opium. Tout cela s'est passé dans un lieu public, et même après la mort, les corps des morts sont restés bien en vue pendant un certain temps.

Wheeling était utilisé à l'époque Rome antique, et au Moyen Âge, ils ont commencé à l'utiliser en Europe. À l'époque moderne, le wheeling était devenu répandu au Danemark, en Allemagne, en France, en Roumanie, en Russie (approuvée par la loi sous Pierre Ier), aux États-Unis et dans d'autres pays. Une personne était attachée à une roue avec de gros os déjà brisés ou encore intacts, après quoi elle était brisée avec un pied de biche ou des matraques. Une personne encore en vie a été laissée mourir de déshydratation ou de choc, selon la première éventualité.

taureau de cuivre- l'arme d'exécution préférée des Phalarides, le tyran d'Agrigente, qui régna dans la seconde moitié du 6ème siècle avant JC. e. La personne condamnée à mort a été placée à l’intérieur d’une statue creuse en cuivre représentant un taureau, grandeur nature. Un feu a été allumé sous le taureau. Il était impossible de sortir de la statue, et ceux qui regardaient pouvaient voir de la fumée sortir des narines et entendre les cris du mourant.

L'éviscération était utilisée au Japon. Le condamné a été enlevé en partie ou en totalité organes internes. Le cœur et les poumons ont été coupés en dernier pour prolonger les souffrances de la victime. Parfois, l'éviscération servait de méthode de suicide rituel.

L'ébullition a commencé à être utilisée il y a environ 3000 ans. Il était utilisé en Europe et en Russie, ainsi que dans certains pays asiatiques. Condamné à peine de mort placé dans un chaudron, qui pouvait être rempli non seulement d'eau, mais aussi de graisse, de résine, d'huile ou de plomb fondu. Au moment de l’immersion, le liquide pourrait déjà être en ébullition, ou bien il bouillirait plus tard. Le bourreau pouvait précipiter la mort ou, à l’inverse, prolonger les tourments d’une personne. Il arrivait également qu'un liquide bouillant soit versé sur une personne ou versé dans sa gorge.

L'empalement a été utilisé pour la première fois par les Assyriens, les Grecs et les Romains. Ils empalaient les gens de différentes manières, et l'épaisseur du pieu pouvait également être différente. Le pieu lui-même pouvait être inséré soit dans le rectum, soit dans le vagin, s'il s'agissait de femmes, par la bouche ou par un trou pratiqué dans la région génitale. Souvent, le haut du pieu était émoussé afin que la victime ne meure pas immédiatement. Le pieu sur lequel le condamné était empalé était levé et les condamnés à une mort douloureuse le descendaient lentement sous l'influence de la gravité.

La pendaison et le dépeçage étaient utilisés dans Angleterre médiévale punir les traîtres à la patrie et les criminels qui ont commis un acte particulièrement grave. Une personne a été pendue, mais pour qu'elle reste en vie, après quoi elle a été privée de ses membres. Cela pouvait aller jusqu’à couper les parties génitales du malheureux, lui arracher les yeux et lui arracher les organes internes. Si la personne était encore en vie, sa tête était finalement coupée. Cette exécution dura jusqu'en 1814.

Une sélection effrayante des plus manières cruelles des exécutions qui étaient considérées comme banales et tout à fait normales il y a à peine 100 ans. Certaines de ces options cruelles en matière de peine de mort vous mettent mal à l’aise et vous donnent même maintenant la chair de poule. Continuez à lire, mais pas pour les âmes sensibles.

15. Enterrement vivant.

L'enterrement vivant commence notre liste d'exécutions courantes. Datant de la Colombie-Britannique, cette punition était utilisée pour individus, et pour les groupes. La victime est généralement attachée puis placée dans un trou et lentement enterrée dans le sol. L'un des plus utilisation de masse Cette forme d'exécution était le massacre de Nanjing pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque Soldats japonais des civils chinois exécutés en masse vivants dans ce qu'on appelait le « fossé des dix mille cadavres ».

14. Fosse aux serpents.

L'une des formes les plus anciennes de torture et d'exécution, les fosses aux serpents étaient une forme très courante. peine capitale punitions. Les criminels ont été jetés dans une fosse profonde remplie de serpents venimeux, mourant après que les serpents irrités et affamés les aient attaqués. Plusieurs dirigeants célèbres ont été exécutés de cette manière, notamment Ragnar Lothbrok, le seigneur de guerre viking, et Gunnar, roi de Bourgogne.

13. Chatouilleur espagnol.

Cet appareil de torture était couramment utilisé en Europe au Moyen Âge. Utilisée pour déchirer la peau de la victime, cette arme pouvait facilement déchirer n'importe quoi, y compris les muscles et les os. La victime était attachée, parfois publiquement, puis les tortionnaires commençaient à la mutiler. Habituellement, ils commençaient par les membres, le cou et le torse étant toujours gardés pour être terminés.

12. Coupe lente.

Ling Shi, qui se traduit par « coupe lente » ou « mort continue », est décrit comme la mort par mille coupures. Pratiquée de 900 à 1905, cette forme de torture s'est étendue sur une longue période. Le bourreau coupe lentement la victime, prolongeant ainsi sa vie et la torture le plus longtemps possible. Selon le principe confucéen, un corps coupé en morceaux ne peut pas être entier au sens spirituel du terme. vie après la mort. Par conséquent, il était entendu qu’après une telle exécution, la victime souffrirait dans l’au-delà.

11. Brûler sur le bûcher.

La mort par brûlage est utilisée comme forme de peine capitale depuis des siècles, souvent associée à des crimes tels que la trahison et la sorcellerie. Aujourd’hui, cela est considéré comme une punition cruelle et inhabituelle, mais au XVIIIe siècle, brûler sur le bûcher était une pratique normale. La victime a été ligotée, souvent en plein centre-ville avec des spectateurs, puis brûlée vive. Elle est considérée comme l’une des façons de mourir les plus lentes.

10. Collier africain.

Habituellement effectué dans Afrique du Sud, l'exécution appelée Collier est malheureusement encore assez courante aujourd'hui. Des pneus en caoutchouc remplis d'essence sont placés autour de la poitrine et des bras de la victime, puis incendiés. Essentiellement, le corps de la victime est réduit à une masse fondue, ce qui explique pourquoi cela figure parmi les dix premiers de notre liste.

9. Exécution par un éléphant.

En Asie du Sud et du Sud-Est, l’éléphant est une méthode de peine capitale depuis des milliers d’années. Les animaux ont été entraînés à effectuer deux actions. Lentement, sur une longue période, torturer la victime, ou coup écrasant le détruisant presque immédiatement. Généralement utilisés par les rois et les nobles, ces éléphants tueurs ne faisaient qu'accroître la peur. des gens ordinaires qui pensait que le roi avait pouvoir surnaturel gestion de la faune. Cette méthode d’exécution fut finalement adoptée par l’armée romaine. C'est ainsi qu'étaient punis les soldats qui désertaient.

8. Exécution « Cinq peines ».

Cette forme de peine capitale chinoise est un acte relativement simple. Cela commence par le nez de la victime, puis un bras et un pied sont coupés et enfin la victime est castrée. L'inventeur de ce châtiment, Li Sai, le Premier ministre chinois, a finalement été torturé puis exécuté de la même manière.

7. Cravate colombienne.

Cette méthode d'exécution est l'une des plus sanglantes. La victime a été égorgée, puis la langue a été arrachée à travers la plaie ouverte. Durant La Violencia, une période de l'histoire colombienne pleine de torture et de guerre, cette forme d'exécution était la plus courante.

6. Suspendre, étirer et écarteler.

L'exécution pour trahison en Angleterre, avec pendaison, arrachage et écartelement, était courante à l'époque médiévale. Bien que la torture ait été abolie en 1814, cette forme d’exécution a entraîné la mort de centaines, voire de milliers de personnes.

5. Bottes de ciment.

Introduite par la mafia américaine, cette méthode d'exécution consiste à placer les pieds de la victime dans des parpaings puis à les remplir de ciment, puis à jeter la victime à l'eau. Cette forme d'exécution est rare mais est encore pratiquée aujourd'hui.

4. Guillotine.

La guillotine est l'une des formes d'exécution les plus connues. La lame de la guillotine était si parfaitement aiguisée qu'elle décapita la victime presque instantanément. La guillotine est une méthode d’exécution apparemment humaine jusqu’à ce que vous appreniez que les personnes pourraient encore être en vie plusieurs instants après l’acte. Les gens dans la foule ont déclaré que les personnes exécutées et décapitées pouvaient cligner des yeux ou même prononcer des mots une fois la tête coupée. Les experts ont émis l’hypothèse que la vitesse de la lame n’avait pas provoqué de perte de conscience.

3. Mariage républicain.

Le mariage républicain n’est peut-être pas la pire mort de cette liste, mais c’est certainement l’une des plus intéressantes. Originaire de France, cette forme d'exécution était courante chez les révolutionnaires. Il s'agissait d'attacher deux personnes, généralement du même âge, et de les noyer. Dans certains cas, où l’eau n’était pas disponible, le couple était exécuté à l’épée.

Il est bien connu que les guerres sont une époque où parfois se réveillent toutes les choses les plus sombres et les plus cruelles qui existent chez les gens. nature humaine. En lisant les mémoires de témoins oculaires des événements de la Seconde Guerre mondiale, en vous familiarisant avec les documents, vous êtes tout simplement étonné de la cruauté humaine qui, à cette époque, semble-t-il, ne connaissait tout simplement aucune limite. Et nous ne parlons pas d’opérations militaires, la guerre est la guerre. Nous parlons de torture et d'exécutions qui ont été appliquées aux prisonniers de guerre et aux civils.

Allemands

Il est bien connu que les représentants du Troisième Reich, pendant les années de guerre, ont simplement lancé la question de l’extermination des populations. Fusillades de masse, les meurtres dans les chambres à gaz frappent par leur approche insensible et leur ampleur. Cependant, en plus de ces méthodes de meurtre, les Allemands en ont également utilisé d’autres.

En Russie, en Biélorussie et en Ukraine, les Allemands brûlaient vifs des villages entiers. Il y a eu des cas où des personnes encore en vie ont été jetées dans des fosses et recouvertes de terre.

Mais cela n’est rien en comparaison des cas où les Allemands ont abordé la tâche de manière particulièrement « créative ».

On sait que dans le camp de concentration de Treblinka, deux jeunes filles, résistantes, ont été bouillies vivantes dans un baril d'eau. Au front, les soldats s'amusaient à déchirer les prisonniers attachés aux chars.

En France, les Allemands ont utilisé massivement la guillotine. On sait que plus de 40 000 personnes ont été décapitées à l'aide de cet appareil. Entre autres, la princesse russe Vera Obolenskaya, membre de la Résistance, a été guillotinée.

Lors du procès de Nuremberg, des cas ont été rendus publics dans lesquels les Allemands sciaient des personnes avec des scies à main. Cela s'est produit dans les territoires occupés de l'URSS.

Même une forme d'exécution aussi éprouvée que la pendaison, les Allemands l'ont abordée « en dehors des sentiers battus ». Pour prolonger les tourments des exécutés, ils étaient pendus non pas à une corde, mais à une corde métallique. La victime n'est pas décédée immédiatement d'une fracture de la vertèbre, comme dans le cas de la méthode d'exécution habituelle, mais a souffert longtemps. Les participants à la conspiration contre le Führer furent ainsi tués en 1944.

Marocains

L'une des pages les moins connues de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale dans notre pays est la participation du corps expéditionnaire français, qui recruta des résidents marocains - Berbères et représentants d'autres tribus indigènes. On les appelait les Gumiers marocains. Les Gumier se sont battus contre les nazis, c’est-à-dire qu’ils étaient aux côtés des Alliés qui ont libéré l’Europe de la « peste brune ». Mais avec sa cruauté envers à la population locale Les Marocains, selon certaines estimations, auraient même dépassé les Allemands.

Tout d’abord, les Marocains ont violé les habitants des territoires qu’ils ont conquis. Bien sûr, ce sont avant tout les femmes de tous âges qui ont souffert - des petites filles aux femmes âgées, mais les garçons, les adolescents et les hommes qui ont osé leur résister ont également été victimes de violences. En règle générale, le viol collectif se terminait par le meurtre de la victime.

De plus, les Marocains pouvaient se moquer des victimes en leur arrachant les yeux, en leur coupant les oreilles et les doigts, car de tels « trophées » rehaussaient le statut du guerrier selon les idées berbères.

On peut cependant trouver une explication à ce comportement : ces peuples vivaient dans leurs montagnes de l'Atlas en Afrique presque au niveau système tribal, étaient analphabètes et, se retrouvant sur le théâtre des opérations militaires du XXe siècle, ils y transférèrent leurs idées essentiellement médiévales.

japonais

Si le comportement des Gumiers marocains est compréhensible, il est extrêmement difficile de trouver une interprétation raisonnable des actions des Japonais.

Il existe de nombreux souvenirs de la façon dont les Japonais ont maltraité les prisonniers de guerre, les représentants population civile territoires occupés, ainsi que sur leurs propres compatriotes soupçonnés d'espionnage.

L’une des punitions les plus populaires pour espionnage était de se couper les doigts, les oreilles ou même les pieds. L'amputation a été réalisée sans anesthésie. Dans le même temps, des précautions particulières ont été prises pour garantir que la personne punie ressente continuellement de la douleur pendant l'intervention, mais qu'elle survit.

Dans les camps de prisonniers de guerre américains et britanniques, ce type d'exécution pour rébellion était pratiqué comme un enterrement vivant. Le condamné était placé verticalement dans un trou et recouvert d'un tas de pierres ou de terre. L’homme a étouffé et est mort lentement, dans d’atroces souffrances.

Les Japonais utilisaient également l'exécution médiévale par décapitation. Mais si à l'époque des samouraïs, la tête était coupée d'un seul coup magistral, alors au 20ème siècle, il n'y avait pas autant de maîtres de la lame de ce type. Des bourreaux incompétents pouvaient frapper le cou du malheureux à plusieurs reprises avant que la tête ne soit séparée du cou. La souffrance de la victime dans cette affaire est même difficile à imaginer.

Une autre vue exécution médiévale, qui a été utilisé par l'armée japonaise - se noyer dans les vagues. Le condamné est attaché à un poteau creusé dans le rivage, dans la zone de marée haute. Les vagues montèrent lentement, l'homme s'étouffa et finit par mourir douloureusement.

Et enfin, probablement la méthode d'exécution la plus terrible, venue de l'Antiquité : déchirer avec la croissance du bambou. Comme vous le savez, cette plante est celle qui connaît la croissance la plus rapide au monde. Il pousse de 10 à 15 centimètres par jour. L'homme était enchaîné au sol, d'où sortaient de jeunes pousses de bambou. Pendant plusieurs jours, les plantes ont déchiré le corps du patient. Après la fin de la guerre, on a appris que pendant la Seconde Guerre mondiale, les Japonais avaient également utilisé une méthode d'exécution aussi barbare contre les prisonniers de guerre.

Top 10 des exécutions sophistiquées et cruelles inventées par des humains

Depuis l'Antiquité, les gens ont mis au point des méthodes d'exécution de plus en plus sophistiquées, car la mort n'était pas seulement un châtiment, mais aussi un véritable spectacle. Les gens allaient assister à l’exécution, un peu comme on va aujourd’hui à un concert.

Nombre

Cette exécution sophistiquée venait de l'Est, mais fut utilisée avec succès dans Europe de l'Est. L'idée est qu'un pieu aiguisé a été inséré dans l'anus de la victime, puis la personne s'est redressée et, avec son propre poids, a enfoncé le pieu de plus en plus profondément, lui déchirant l'intérieur. Parfois, ils n'utilisaient pas un pieu pointu, mais un pieu arrondi au bout, pour qu'il ne perce pas, mais s'enfonce plus profondément. Parfois, la profondeur de l'entrée était limitée par une barre transversale afin que le pieu n'atteigne pas le cœur et les organes vitaux - dans ce cas, le malheureux pouvait mourir d'une perte de sang pendant plusieurs jours.

Crochet

En Russie, on s'entraînait à se suspendre à un crochet. Fondamentalement, cette exécution était appliquée aux voleurs et servait d'édification aux autres, pour qu'ils comprennent - " grande route"ne mènera à rien de bon. Le condamné a été coincé avec un crochet sous la côte et a raccroché. Les mains étaient attachées dans le dos pour que la victime ne puisse pas sortir. Une personne peut rester ainsi pendue pendant plusieurs jours jusqu'à sa mort.

Brûlant sur le bûcher

C'était la méthode préférée de la Sainte Inquisition pour exécuter les hérétiques et les sorcières. On croyait que le feu purifiait l'âme et contribuait à son salut. Mais la légende de la purification ne diminue en rien la cruauté d'une telle exécution. D’abord, tous les cheveux du visage de la personne ont brûlé, puis les tissus ont commencé à brûler. Au même moment, la personne exécutée a inhalé de l'air chaud et s'est ainsi brûlé les poumons. Celui-ci est effrayant mort douloureuse le scientifique Giordano Bruno est décédé célèbre Jeanne D'Arc et bien d'autres des gens dignes.

Bambou

Cette exécution a été inventée en Asie. Les gens ont remarqué que le bambou pousse à une vitesse incroyable - jusqu'à trente centimètres par jour, et ont décidé d'utiliser cette propriété pour tuer. La victime a été allongée sur le dos au sommet de pousses de bambou et attachée. Au cours d'une journée, la plante a lentement poussé à travers le corps humain, le pénétrant de dizaines de pousses. Une mort terrible et douloureuse.

Aigle sanglant

Cette exécution démonstrative était utilisée parmi les tribus scandinaves. Les côtes de la victime ont été coupées avec une hache près de la colonne vertébrale des deux côtés, puis elles ont été repliées et les poumons ont été retirés par les trous. Dans cet état, avec les poumons retirés, une personne peut encore vivre un certain temps. L'exécution est appelée « Aigle rouge » car les poumons saillants ressemblaient aux ailes d'un aigle.

écorcher

Au Moyen Âge, l'exécution remplissait plusieurs fonctions à la fois. Pour les exécutés, c'est une punition, et pour les autres, c'est un divertissement et une édification. C’est pourquoi ces exécutions étaient souvent publiques et attiraient un très grand nombre de spectateurs. Plus l'exécution est terrible, mieux c'est. L’écorchage est probablement l’une des méthodes de mise à mort les plus spectaculaires. Une personne a été écorchée vive, puis clouée au mur lieu public pour rappeler que la punition est inévitable et sera appliquée à quiconque enfreint la loi.

Éviscération

C'est aussi un moyen très efficace de tuer lentement une personne. Le ventre du criminel a été déchiré et ses entrailles ont été arrachées. La tâche du bourreau était de maintenir la victime en vie le plus longtemps possible. Les intestins pourraient être enroulés autour d’un bâton ou d’un rouleau. Il existe des cas connus où l'intestin a été cloué à un arbre et une personne a été forcée de marcher autour de lui, s'enroulant lentement autour du tronc.

Rats

Lors de cette exécution, les bourreaux ont utilisé non seulement la douleur, mais aussi la peur des humains et des animaux. Une cage avec des rats a été attachée à la victime avec une porte donnant sur le corps, puis ils ont commencé à chauffer la cage avec des charbons. Les rats, paniqués, ont commencé à se précipiter autour de la cage à la recherche d'une issue. En conséquence, ils ont commencé à déchirer la chair humaine, rongeant la peau, les os, les entrailles et sortaient soit par l'estomac, rongeant la personne, soit par la bouche.