Les plus grandes colonies Fédération Russe traditionnellement choisie selon deux critères : le territoire occupé et la taille de la population. La zone est déterminée plan directeur villes. Population – le recensement de la population panrusse, ou données Rosstat, prenant en compte les taux de natalité et de mortalité, s'ils sont à jour.
La plupart grandes villes La Russie, avec une population de plus d'un million d'habitants – 15. Selon cet indicateur, la Russie se classe au troisième rang mondial. Et leur nombre ne cesse de croître. Plus récemment, Krasnoïarsk et Voronej sont entrés dans cette catégorie. Nous vous présentons le top dix des plus peuplés Mégapoles russes.
Population : 1 125 mille personnes.
Rostov-sur-le-Don est devenue une ville de plus d'un million d'habitants relativement récemment – il y a seulement trente ans. Il est le seul parmi les dix plus grandes villes La Russie, qui ne possède pas son propre métro. Sa construction en 2018 ne sera que discutée. Pour l'instant, l'administration de Rostov est occupée à préparer la prochaine Coupe du monde.
Population : 1 170 mille personnes.
À l'avant-dernière place de la liste des plus grandes villes de Russie en termes de population se trouve le centre administratif de la région de la Volga - Samara. Certes, à partir de 1985, la population a préféré quitter Samara au plus vite, jusqu'à ce qu'en 2005 la situation s'améliore. Et maintenant, la ville connaît même une légère augmentation de la migration.
Population : 1 178 mille personnes.
La situation migratoire à Omsk n'est pas brillante : de nombreux habitants instruits d'Omsk préfèrent s'installer à Moscou, Saint-Pétersbourg et Novossibirsk et Tioumen voisins. Cependant, depuis 2010, la population de la ville ne cesse de croître, pour la plupart en raison de la redistribution de la population dans la région.
Population : 1 199 mille personnes.
Malheureusement, Chelyabinsk connaît des problèmes d'habitabilité : les habitants se plaignent de l'abondance de saleté, de flaques d'eau géantes au printemps et en été, lorsque, en raison d'égouts pluviaux qui ne fonctionnent pas, des quartiers entiers se transforment en quelque chose comme Venise. Il n'est pas surprenant qu'environ 70 % des habitants de Tcheliabinsk envisagent de changer de lieu de résidence.
Population : 1 232 mille personnes.
La capitale de la République du Tatarstan porte à juste titre le titre de l'une des villes les plus confortables de Russie. C’est probablement l’une des raisons pour lesquelles la ville a connu une croissance démographique constante depuis le milieu des années 90. Et depuis 2009, Kazan est devenue un plus non seulement grâce à la migration, mais aussi grâce à sa croissance naturelle.
Population : 1 262 mille personnes.
Ancien et très belle ville pas inquiet des temps meilleurs en termes de nombre d'habitants. Le pic a eu lieu en 1991, lorsque sa population dépassait 1 445 000 personnes, et depuis lors, elle n'a fait que diminuer. Une légère augmentation n'a été observée qu'en 2012-2015, lorsque la population a augmenté d'environ 10 000 personnes.
Population : 1 456 mille personnes.
La « capitale de l’Oural » est devenue une ville de plus d’un million d’habitants il y a exactement 50 ans, en 1967. Depuis lors, après avoir survécu au déclin démographique des « années 90 affamées », la population de la ville a augmenté lentement mais régulièrement. Elle augmente, comme dans toutes les grandes villes de Russie, principalement à cause des migrants. Mais pas ceux auxquels vous pensiez : la reconstitution de la population provient principalement (plus de 50 %) de la région de Sverdlovsk.
Population : 1 602 mille personnes.
Le centre occupe la troisième place dans la liste des plus grandes villes de Russie Région de Novossibirsk. En plus de son statut de millionnaire, la ville peut également se targuer de figurer parmi les 50 premières villes au monde avec le plus bouchons longs. Il est vrai que les habitants de Novossibirsk ne sont guère satisfaits d’un tel bilan.
Cependant, contrairement aux embouteillages, la situation démographique de la ville est plus ou moins favorable. Un certain nombre d'organismes régionaux et programmes gouvernementaux visant à augmenter le taux de natalité et à réduire la mortalité. Par exemple, à la naissance d'un troisième enfant ou d'un enfant ultérieur, la famille reçoit un certificat régional d'un montant de 100 000 roubles.
Selon les autorités de la ville, si la dynamique actuelle de croissance démographique se poursuit, d'ici 2025, le nombre d'habitants de la région de Novossibirsk atteindra 2,9 millions de personnes.
Population : 5 282 mille personnes.
La capitale culturelle de la Russie, où les intellectuels polis s'inclinent les uns devant les autres en levant leurs bérets et où vivent des animaux tels que le « petit pain » et le « trottoir », connaît une croissance constante en termes de superficie et de population.
Il est vrai que cela n’a pas toujours été le cas ; Depuis la fin de l’URSS, la population a préféré quitter Saint-Pétersbourg. Et ce n’est qu’à partir de 2012 qu’une dynamique positive a commencé à être observée. La même année, le cinq millionième habitant de la ville est né (pour la deuxième fois de son histoire).
1. Moscou
Population : 12 381 mille personnes.
Il est peu probable que la réponse à la question : « Quelle est la solution la plus Grande ville en Russie?" a été une surprise pour quelqu'un. Moscou est la plus grande ville d'Europe en termes de population, mais ne figure pas parmi les premières.
Plus de 12 millions de personnes vivent ici, et si l'on ajoute à cela la population de la région proche de Moscou, qui se rend régulièrement à Moscou pour travailler et faire du shopping, le chiffre s'avère plus qu'impressionnant - 16 millions en relation avec le. actuel situation économique la population du pays est Babylone moderne, et les zones environnantes ne feront qu'augmenter. Selon les prévisions des experts, ce nombre pourrait atteindre 13,6 millions de personnes d’ici 2030.
Les Moscovites ne sont traditionnellement pas satisfaits de ceux qui sont venus en grand nombre, et ceux qui sont venus en grand nombre haussent les épaules : « Je veux vivre, et je veux même bien vivre ».
Les plus grandes villes de Russie par zone
Il semblerait que la liste des plus grandes villes de Russie par superficie devrait coïncider avec la liste des plus grandes villes de Russie. villes peuplées, Cependant, ce n'est pas le cas. En plus de la simple taille de la population, la superficie de la ville est influencée par de nombreux facteurs - de la méthode historique de croissance territoriale au nombre de entreprises industrielles dans la ville. Certaines positions du classement peuvent donc surprendre le lecteur.
Superficie : 541,4 km²
Samara ouvre le top 10 des plus grandes villes de Russie. Elle s'étendit banque de l'Ouest la Volga sur plus de 50 km et une largeur de 20 km.
Superficie : 566,9 km²
La population d’Omsk dépassait le million d’habitants en 1979, le territoire de la ville est vaste et, selon la tradition soviétique, la ville aurait dû se doter d’un métro. Cependant, les années 90 ont frappé, et depuis lors, la construction n'a été ni fragile ni lente, mais en général rien. Il n'y a même pas assez d'argent pour la conservation.
Superficie : 596,51 km²
Voronej est devenue une ville de plus d'un million d'habitants assez récemment - en 2013. Certaines zones sont presque exclusivement secteur privé– des maisons, des cottages confortables aux maisons de village, en passant par les garages, les potagers.
Superficie : 614,16 km²
Grâce au développement historique de l'anneau radial, Kazan est une ville assez compacte avec un agencement pratique. Malgré sa taille, la capitale du Tatarstan est la seule ville de Russie comptant plus d'un million d'habitants qui recycle entièrement ses déchets et qui a réussi à maintenir une situation environnementale plus ou moins favorable.
Superficie : 621 km²
Seule ville régionale qui n'est pas un centre administratif et qui compte plus d'un million d'habitants, Orsk semble avoir été incluse dans ce classement par erreur. Sa population n'est que de 230 mille personnes, qui occupent une superficie de 621 km2, avec une très faible densité (seulement 370 personnes par km2). La raison est la suivante immense territoire avec un petit nombre d'habitants - un grand nombre de entreprises industrielles au sein de la ville.
Superficie : 707,93 km²
Les habitants d'Oufa disposent d'un logement spacieux - chaque personne dispose de 698 m2 de territoire commun villes. Dans le même temps, à Oufa, le plus faible densité réseau routier parmi les mégalopoles russes, ce qui se manifeste souvent par d'énormes embouteillages de plusieurs kilomètres.
Superficie : 799,68 km²
Perm est devenue une ville de plus d'un million d'habitants en 1979, puis dans les années 90, en raison du déclin général de la population, elle a perdu ce statut pendant plus de 20 ans. Ce n'est qu'en 2012 qu'il a été possible de le restituer. Les Permiens vivent librement (la densité de population n'est pas trop élevée, 1310 habitants au km2) et verts - superficie totale les espaces verts représentent plus d'un tiers du total de la ville.
Superficie : 859,4 km²
Bien que Volgograd soit devenue une ville de plus d'un million d'habitants relativement récemment - en 1991, elle figure depuis longtemps parmi les trois premières en termes de taille de territoire. La raison en est le développement urbain historiquement inégal, où alternent immeubles d'habitation, maisons de village avec parcelles et espaces vides de steppe.
Superficie : 1439 km²
Contrairement au « vieux » Moscou compact à poutre radiale, Saint-Pétersbourg s’étend librement à l’embouchure de la Neva. La longueur de la ville est de plus de 90 km. L'une des caractéristiques de la ville est l'abondance d'espaces aquatiques, occupant 7% de l'ensemble du territoire.
1. Moscou
Superficie : 2561,5 km²
Et la première place absolue parmi les plus grandes villes de Russie est attribuée à Moscou. Sa superficie est 1,5 fois plus grande que celle de la deuxième place du classement, Saint-Pétersbourg. Certes, jusqu'en 2012, le territoire de Moscou n'était pas si impressionnant - seulement 1 100 km2. Elle s'est développée de manière significative en raison de l'annexion des territoires du sud-ouest, dont la superficie totale atteint 1480 km2.
Russie. L’immensité de cet État n’a ni fin ni début. En Russie, comme ailleurs pays moderne, il y a des villes. Petites, moyennes et même villes d'un million d'habitants. Chaque ville a sa propre histoire et chacune est différente.
Chaque année, dans les zones peuplées, recherche sociologique, il s'agit principalement d'un recensement de la population. La grande majorité des villes sont de petites agglomérations, d’autant plus qu’il existe des régions de Russie où la colonisation n’est pas si intensive. Le classement présente les dix plus petites villes de la Fédération de Russie.
Ville de Kedrovy. 2129 personnes
La ville de Kedrovy est située à Région de Tomsk et très peu connu. Est situé dans forêt de pins, son objectif est un règlement pour les travailleurs des stations pétrolières.
Kedrovy a été construit dans les années quatre-vingt du siècle dernier. Cette ville entière ne se compose presque que de bâtiments de cinq étages. Surprenant : plusieurs immeubles de cinq étages dans une pinède. Probablement, ses habitants ne se plaignent pas de l'odeur des gaz d'échappement et du bruit des voitures. 2129 personnes – population de la ville de Kedrovy.
Ville d'Ostrovnoï. 2065 personnes
Région de Mourmansk. Situé sur la côte, à proximité des îles Yokang (mer de Barents). Ce qui est le plus intéressant, c’est que c’est pratiquement une ville fantôme. Seulement environ 20% habités par des humains. Il n'y a pas de routes menant à la ville. Des lignes ferroviaires- Même. Accessible uniquement par l'eau ou l'air. Auparavant, comme le disent ceux qui y restaient, les avions volaient, mais désormais, seuls les hélicoptères volaient, et encore occasionnellement. Si vous la regardez de loin, la ville est assez grande, mais si vous connaissez sa population, cela sera difficile à croire. Au total, 2065 citoyens vivent dans cette ville mourante.
Ville de Gorbatov. 2049 personnes
À environ 60 kilomètres de Nijni Novgorod. La ville est vraiment ancienne ; les informations à son sujet ont été enregistrées pour la première fois en 1565. Avant de commencer à disparaître, elle produisait (et produisait auparavant) des cordes, des cordes et d'autres objets similaires pour la marine.
Des recherches ont été menées et les résultats indiquent que 2 049 personnes vivent désormais dans la ville. Hormis les cordages et cordages, le jardinage est également très bien développé dans cette ville. Il y a aussi une usine de produits souvenirs.
Ville de Plios. 1984 personnes
Appartient à la région d'Ivanovo. Il existe des informations à son sujet qui proviennent de la chronique des monastères de Novgorod (1141), cette information est la première. Certaines sources affirment que cette ville possédait autrefois sa propre forteresse, mais on ne sait toujours pas quand. La population diminue, mais la ville continuera probablement à attirer les touristes grâce à sa légende.
Sur villes modernes ce n'est pas pareil : il n'y a pas d'immeubles à cinq étages, communications de transport. Cela ressemble à un village ordinaire, mais en plus grand. La population est de 1984 personnes. La ville ne compte aucune entreprise industrielle.
Ville de Primorsk. 1943 personnes
Ses bâtiments sont en réalité plus modernes. Réminiscence du petit Pripyat, apparemment construit selon les mêmes normes. Situé dans la région de Kaliningrad. Avant la guerre, elle appartenait aux Allemands, mais fut capturée en 1945 par l'Armée rouge.
Il a acquis son nom deux ans après la capture. Aujourd'hui, 1 943 personnes y vivent. À notre connaissance, il est facilement accessible. Avant que la ville n’appartienne à l’Union soviétique, elle s’appelait Fischhausen. De 2005 à 2008, elle a été classée comme agglomération de type urbain de l'arrondissement urbain de la Baltique.
Ville d'Artemovsk. 1837 personnes
Au siècle dernier, environ treize mille ont été enregistrés (en 1959). La population a commencé à chuter. Il est situé dans le territoire de Krasnoïarsk, à environ 370 kilomètres du centre. Cela ressemble à une grande plante dans une zone montagneuse.
Elle occupe la cinquième place dans le classement des plus petites villes de la Fédération de Russie. Cette ville a été fondée en 1700 ; elle s'appelait auparavant Olkhovka, car elle était entourée d'arbres de ce type. Il fait désormais partie du district de Kuraginsky. La population diminue de ce moment cela représente 1837 personnes. Elle est engagée dans l'industrie du bois, ainsi que dans l'exploitation minière de l'or, du cuivre et de l'argent.
Ville de Kourilsk. 1646 personnes
Cette ville compte 1 646 habitants et est située sur l'île d'Iturup. Fait référence à Région de Sakhaline. Les Aïnous vivaient autrefois ici - c'est tribu indigène. Plus tard, cet endroit fut colonisé par des explorateurs Russie tsariste. Cela rappelle un peu un village de villégiature, même si le climat des loisirs est très inadapté.
Le terrain est montagneux, ce qui ajoute un plus à Kourilsk sites pittoresques. Il se consacre principalement à la pisciculture. En 1800, elle fut capturée par les Japonais et ce n'est qu'en 1945 qu'elle fut occupée par les soldats de l'Armée rouge. Le climat est modéré.
Ville de Verkhoïansk. 1131 personnes
Cette ville est la colonie la plus septentrionale de la Yakoutie. Le climat est très froid ; il y a plusieurs décennies, la température de l'air était d'environ -67 degrés Celsius. L'hiver est très glacial et venteux.
Cette ville se caractérise par de faibles précipitations. En 2016, sa population était de 1 125 personnes et en 2017, selon le dernier recensement de la population, elle a augmenté de 6 personnes. Cette ville a été construite comme cabane d'hiver cosaque.
Ville de Vysotsk. 1120 personnes
Il a été construit comme port. Situé dans Région de Léningrad (Quartier de Vyborg). Passé en possession Union soviétique seulement au début des années quarante du siècle dernier, et avant cela, elle appartenait à la Finlande. Effectue rôle stratégique, puisqu'il y a une base navale ici Service fédéral Sécurité de la Fédération de Russie. La population de la ville de Vysotsk est, selon les dernières données, de 1 120 habitants. Vysotsk est situé dans un endroit très pratique pour troupes frontalières emplacement, juste à la frontière avec la Finlande. Le port dispose également d’une fonction de chargement de pétrole.
Ville de Tchékaline. 964 personnes
Région de Toula, district de Suvorovsky. En première place dans le classement des plus petites villes de la Fédération de Russie. En 2012, ils voulaient le reconnaître comme village, mais les habitants de la ville ont commencé à protester et ont abandonné ce statut. Un autre nom ancien est Likhvin.
Pendant la guerre, Likhvine fut rebaptisée Tchkaline. Le fait est qu'à cet endroit, les nazis ont exécuté un partisan qui n'avait alors que seize ans. A reçu le titre de Héros de l'Union soviétique à titre posthume. Malgré cela petite population, qui ne compte que 964 personnes, en 1565 (année de sa fondation) elle occupait une superficie d'environ 1 verste carrée.
La Russie est un pays qui en a assez haut niveau urbanisation. Aujourd’hui, notre pays compte plus de 15 millions de villes. Quelles villes russes sont actuellement en tête en termes de population ? Vous trouverez la réponse à cette question dans cet article passionnant.
L'urbanisation et la Russie
L’urbanisation est-elle une réussite ou un fléau de notre époque ? Il est difficile de répondre à cette question. Après tout, ce processus se caractérise par une énorme incohérence, provoquant des conséquences à la fois positives et négatives.
Sous ce concept dans dans un sens large comprendre le rôle croissant de la ville dans la vie humaine. Ce processus, qui a fait irruption dans nos vies au XXe siècle, a fondamentalement changé non seulement la réalité qui nous entoure, mais aussi la personne elle-même.
En termes mathématiques, l'urbanisation est un indicateur qui marque la proportion de la population urbaine d'un pays ou d'une région. Les pays dans lesquels cet indicateur dépasse 65 % sont considérés comme hautement urbanisés. En Fédération de Russie, environ 73 % de la population vit en ville. Vous trouverez ci-dessous une liste des villes de Russie.
Il convient de noter que les processus d'urbanisation en Russie ont eu lieu (et se déroulent) sous deux aspects :
- L'émergence de nouvelles villes couvrant de nouvelles régions du pays.
- Expansion des villes existantes et formation de grandes agglomérations.
Histoire des villes russes
En 1897, dans la Russie moderne Le territoire panrusse comptait 430 villes. La plupart de parmi celles-ci étaient de petites villes ; à cette époque, il n’y en avait que sept grandes. Et ils étaient tous à la hauteur Montagnes de l'Oural. Mais à Irkoutsk – l’actuel centre de la Sibérie – il y avait à peine 50 000 habitants.
Un siècle plus tard, la situation des villes russes a radicalement changé. Il est fort possible que la raison principale en soit la politique régionale tout à fait raisonnable menée par autorités soviétiques Au vingtième siècle. D'une manière ou d'une autre, en 1997, le nombre de villes du pays était passé à 1 087 et la part de la population urbaine atteignait 73 pour cent. Dans le même temps, le nombre de villes a été multiplié par vingt-trois ! Et aujourd'hui, près de 50 % de la population totale de la Russie y vit.
Ainsi, seulement cent ans se sont écoulés et la Russie est passée d'un pays de villages à un État de grandes villes.
La Russie est un pays de mégapoles
Les plus grandes villes de Russie en termes de population sont réparties de manière assez inégale sur son territoire. La plupart d’entre eux sont situés dans la région la plus peuplée du pays. En Russie, on observe en outre une tendance constante à la formation d’agglomérations. Ce sont eux qui forment le réseau-cadre (socio-économique et culturel) sur lequel s’articule tout le système d’implantation, ainsi que l’économie du pays.
850 villes (sur 1087) sont situées au sein Russie européenne et l'Oural. En termes de superficie, cela ne représente que 25 % du territoire de l'État. Mais dans les vastes étendues de Sibérie et d’Extrême-Orient, il n’y a que 250 villes. Cette nuance complique extrêmement le processus de développement de la partie asiatique de la Russie : le manque de grandes mégapoles y est particulièrement ressenti. Après tout, il existe ici des gisements minéraux colossaux. Cependant, il n’y a tout simplement personne pour les développer.
Le Nord de la Russie ne peut pas non plus se targuer d’un réseau dense de grandes villes. Cette région est également caractérisée par une concentration de population. On peut en dire autant du sud du pays, où seules des villes courageuses et solitaires « survivent » dans les régions montagneuses et au pied des contreforts.
Alors, la Russie peut-elle être qualifiée de pays de grandes villes ? Bien sûr. Néanmoins, dans ce pays aux vastes étendues et aux colossales ressources naturelles, il y a encore une pénurie de grandes villes.
Les plus grandes villes de Russie par population : TOP-5
Comme mentionné ci-dessus, en 2015, il y avait plus de 15 millions de villes en Russie. Un tel titre, comme on le sait, est reçu par un localité, dont la population a dépassé le million.
Alors, listons le plus grandes villes Russie par population :
- Moscou (de 12 à 14 millions d'habitants selon diverses sources).
- Saint-Pétersbourg (5,13 millions d'habitants).
- Novossibirsk (1,54 million d'habitants).
- Ekaterinbourg (1,45 million d'habitants).
- Nijni Novgorod(1,27 million de personnes).
Si nous analysons soigneusement la population (c'est-à-dire sa la partie supérieure), alors vous pouvez en remarquer un fonctionnalité intéressante. Il s'agit de il y a un écart assez important dans le nombre de résidents entre les première, deuxième et troisième lignes de ce classement.
Ainsi, plus de douze millions de personnes vivent dans la capitale et environ cinq millions à Saint-Pétersbourg. Mais la troisième plus grande ville de Russie, Novossibirsk, ne compte qu'un million et demi d'habitants.
Moscou est la plus grande métropole de la planète
La capitale de la Fédération de Russie est l’une des plus grandes mégalopoles du monde. Il est très difficile de dire combien d’habitants vivent à Moscou. Les sources officielles parlent de douze millions de personnes, les sources non officielles donnent d'autres chiffres : de treize à quinze millions. Les experts, quant à eux, prédisent que dans les décennies à venir, la population de Moscou pourrait même atteindre vingt millions d'habitants.
Moscou fait partie de la liste des 25 villes dites « mondiales » (selon le magazine Foreign Policy). Ce sont les villes qui apportent la contribution la plus significative au développement de la civilisation mondiale.
Moscou n'est pas seulement un important centre industriel, politique, scientifique, éducatif et Centre financier Europe, mais aussi un centre touristique. Quatre objets Capitale russe inscrit sur la liste du patrimoine de l'UNESCO.
Enfin...
Au total, environ 25 % de la population du pays vit dans plus de 15 millions de villes en Russie. Et toutes ces villes continuent d'attirer tout grande quantité de personnes.
Les plus grandes villes de Russie en termes de population sont bien entendu Moscou, Saint-Pétersbourg et Novossibirsk. Tous disposent d’un potentiel industriel, culturel, scientifique et éducatif important.
Les gros sont devenus encore plus gros, les petits déchiquetés - la tendance principale
la dernière décennie.
Population des grandes villes
(avec une population de plus de 100 000 personnes en 2017) au total, en 10 ans, elle a augmenté de 5,50 millions de personnes, dont 1 000 000. villes de plus d'un million d'habitants par 3,24 millions d'habitants.
Une croissance a été observée dans 115 des 170 grandes villes, incl. dans toutes les villes de plus d'un million (sauf Nijni Novgorod) et dans toutes les villes de plus d'un demi-million (sauf Novokuznetsk). En moyenne, les villes de plus de 250 000 habitants, et ce sont pour la plupart des centres régionaux, ont connu une croissance de 8 à 10 % en 10 ans.
Deuxième/troisième ville avec une population de 50 à 250 000 habitants. - dans certaines régions, il y a eu une croissance, surtout s'il s'agissait des banlieues des plus grandes villes, dans d'autres, il y a eu un déclin actif.
Les villes petites et moyennes (842 villes) ont connu collectivement une baisse de population d’un million d’habitants.
Parmi eux la baisse a été observée dans 721 villes
. Et quoi taille plus petite villes, plus le déclin de la population était intense. Parmi les villes de moins de 5 000 habitants. la baisse moyenne était de 14,5% (!) et a été observée dans presque toutes les villes à l'exception de Ladouchkine (région de Kaliningrad).
Figure 1. Dynamique démographique des groupes de villes par population en 2007-2017. (V%)
En termes absolus
leaders en matière de croissance démographique
en Russie en 2007-2017. étaientMoscou(+1 289 mille personnes), Saint-Pétersbourg(+701 mille personnes) et Novossibirsk(+210 mille personnes). De 100 à 200 mille habitants ajoutée Tioumen, Krasnodar, Voronej, Kazan, Ekaterinbourg, Tcheliabinsk, Krasnoïarsk, Makhachkala, Balashikha. Collectivement, ces 12 villes ont vu leur population augmenter de 3,57 millions. soit près de 80 % de l’augmentation totale de la population des villes du pays.
Au cours des 10 dernières années, il y a eu 4 villes millionnaires supplémentaires en Russie
. Et si Perm et Volgograd
retrouvé le statut de mégalopoles, puisVoronej et Krasnoïarsk il a été reçu pour la première fois et était nettement en avance en termes de taux de croissance par rapport à la plupart des villes millionnaires. La population de Saint-Pétersbourg dépassait les 5 millions d'habitants., la population de Novossibirsk est devenue plus de 1,5 million d'habitants, et la population de Kirov a atteint pour la première fois 0,5 million de personnes.
En termes relatifs
doit être divisé en grands, grands et petits d’une part et petits et moyens d’autre part.
Grandes villes
Parmi les 170 grandes villes de Russie, la population de 115 villes a augmenté de plus de 10 % et celle de 22 villes de plus de 20 %.
Il s'est développé le plus activement dans les villes de la région de Moscou, dans des centres régionaux sélectionnés
(Tioumen, Voronej, Iakoutsk, Krasnodar, Stavropol, Oulan-Oude, Grozny),villes des grandes agglomérations urbaines(Essentuki, Bataysk, Kaspiysk) et des centres sous-régionaux individuels (Sotchi et Surgut).
La croissance la plus remarquable a été observée grandes villes satellites Moscou - Krasnogorsk, Balashikha et Domodedovo, dont la population a augmenté de près de moitié en dix ans
toi. Parmi les centres régionaux, Tioumen a connu la plus forte augmentation, dont le nombre d'habitants a augmenté de plus d'un tiers, passant de 550 à 745 000 habitants. Parmi les villes millionnaires, c'est à Voronej que le nombre d'habitants a le plus augmenté - de 24%, passant de 841 à 1 040 000 personnes.
, mais environ la moitié de cette augmentation était due à l’annexion des communautés suburbaines à la ville en 2010, qui ont fusionné de facto avec la ville. Une situation similaire s'est produite à Oulan-Oude, où en 2009 plus de 60 000 habitants ont été ajoutés en raison de l'annexion de nombreux villages de banlieue.
Tableau 3 grandes villes avec les taux de croissance démographique les plus élevés en 2007-2017
Les étrangers dans valeurs absolues
devenir Naltchik et Norilsk
, ayant perdu 31 mille habitants chacun. La population de Nijni Novgorod, Toula, Nijni Tagil, Taganrog, Komsomolsk-sur-Amour, Shakhty, Dzerzhinsk, Bratsk, Orsk, Angarsk, Biysk, Prokopyevsk, Rybinsk, Petropavlovsk-Kamchatsky, Kamensk-Ouralsky, Zlatoust a diminué de plus de 10 000 habitants. personnes Rubtsovsk, Bereznikov, Maykop, Kovrov, Novomoskovsk, Nevinnomyssk. Dimitrovgrad, Nazran, Mourom, Kiselevsk, Kansk, Novotroitsa, Ust-Ilimsk, Novouralsk, Balachov, Kirovo-Chepetsk, Anzhero-Sunzhensk, Vorkuta. Au totalla population de ces 39 villes a diminué de 640 000 personnes. Il s'agit pour la plupart de « secondes » villes industrielles des régions, la plupart étant situées dans l'Oural, en Sibérie et en Extrême-Orient.
En termes relatifs, les étrangers
parmi les grandes villes, il convient de reconnaître les 34 villes qui ont perdu plus de 5 % de leur population, ce qui, dans une situation relativement favorable avec mouvement naturel au cours des 10 dernières années s’est traduit par la présence d’un flux migratoire stable. La liste se compose principalement de deuxièmes/troisièmes villes de leur région.
, majeur dans le passé et le présent centres industriels, à travers lequel la population de la population croissante centre régional. Centres régionaux quelques-uns - ce sont les côtes «nord» de Mourmansk et Petropavlovsk-Kamchatsky, ainsi que les régions méridionales et relativement peu peuplées de Maykop et Nalchik, qui ont perdu des habitants en raison de l'exode des Russes, ainsi que Nazran, dont la population a été ajustée selon c'est Norilsk qui a perdu le plus, ce qui est compréhensible dans le contexte d'un déclin de l'emploi à Norilsk Nickel dû à l'automatisation croissante du travail et à Berezniki, où le déclin de la population active est moins justifié (personne n'est mort dans les fameux gouffres de cette région). ville en 2006 et 2010).
Tableau 4 Grandes villes avec les taux de déclin démographique les plus élevés entre 2007 et 2017.
PETITES et MOYENNES Villes
Parmi les villes petites et moyennes, seules 34 villes ont connu une croissance supérieure à 20 %.
Parmi eux, les leaders absolus étaient Magas
, où le nombre d'habitants a été multiplié par 23, incl. et en raison du faible effet de base (en 2007, la ville ne comptait que 334 habitants) etKotelniki dans la région de Moscou, où la population a été multipliée par 2,3.
Au cours des 10 dernières années, Kotelniki est devenue un terrain d'essai pour une construction de logements sans fin.
, ainsi que la création de nouveaux centres commerciaux. La ville compte 5 immeubles résidentiels de plus de 30 étages, plusieurs dizaines de 20 à 27 étages, soit plus que dans la plupart des villes de Russie comptant plus d'un million d'étages.. Dans le même temps, il n'y avait pratiquement aucun développement réseau routier et routier et les infrastructures sociales.Kotelniki et Balashikha - deux apothéoses de la folie urbanistique dans la Russie moderne. Le volume des installations en construction à Kotelniki et le taux d'occupation de celles déjà construites sont conçus pour plus de 100 000 personnes.
Tableau 5 Villes petites et moyennes avec les taux de croissance démographique les plus élevés en 2007-2017.
Le nombre d'habitants dans Zvenigorod
(V. petite ville un certain nombre de microquartiers de grande hauteur ont été construits), enKhanty-Mansiïsk(une ville en développement systématiquement rapide) et Vsevolojsk(une ville conglomérale à l'est de Saint-Pétersbourg, où d'importantes constructions de logements ont été réalisées).
La liste des leaders de la croissance (+20% sur 10 ans) note villes satellites des grandes villes où des projets de développement ont été mis en œuvre
(Mikhailovsk, Sosnovoborsk, Nikolskoye, Sertolovo, Aksai, Kommunar, Guryevsk).Presque toutes les villes de taille moyenne de la région proche de Moscou se sont développées dans l'agglomération de Moscou(Ivanteevka, Dzerzhinsky, Lobnya, Reutov, Vidnoye, Bronnitsy, Krasnoznamensk). Croissance active il y en avait aussi des petits centres administratifs Nord(Salekhard, Khanty-Mansiysk, Naryan-Mar et Anadyr). Groupe individuel composent les villes des républiques Caucase du Nord
, où l'augmentation a été prévue comme croissance naturelle, et probablement par migration des villages vers ces centres relativement petits (Argoun, Urus-Martan, Izberbash). Les villes de villégiature ont également enregistré une augmentation de leur population, y compris côtier, sud (Anapa, Geledzhik, Goryachiy Klyuch, Zelenogradsk). Des exceptions agréables sont un petit groupe de villes qui se sont développées grâce à facteurs internes, tout d'abord développement économique, mise en œuvre de projets d'investissement - Doubna, Gubkinski et Tsiolkovsky.
35 villes petites et moyennes ont connu un déclin de plus de 20 %, ce qui signifie un flux migratoire 2 à 3 fois supérieur au déclin naturel.
. La réduction maximale a été constatée dans la ville d'Ostrovnoy
V Région de Mourmansk (2,2 fois de 4,4 à 1,9 mille personnes). Ostrovnoy est l'une des villes les plus inaccessibles de Russie, avec laquelle la communication n'est possible que par voie maritime et par hélicoptère. Le démantèlement de la base navale de la ville entraînera probablement sa réinstallation complète dans les années à venir. La population d'un certain nombre de villes du nord a diminué de plus d'un tiers - Nevelsk, Shakhtersk et Igarka. Nevelsk à Sakhaline, malgré les travaux de restauration, n'a jamais pu se remettre du tremblement de terre de 2007 ; Shakhtersk, également à Sakhaline, se dépeuple en raison d'une réduction de la production de charbon (fin 2016, elle a également été privée de son statut de ville ( ce que Rosstat ne connaît pas)). Igarka ( Région de Krasnoïarsk) est dans une longue dépression en raison du manque d’économie. La population d'Igarka a diminué de 4 fois en 30 ans - un record absolu en Russie.
Parmi les villes de la principale zone de peuplement, la très forte baisse de la population permanente à Plyos est déprimante.
(qui, selon le recensement de 2010, était la ville avec la population la plus âgée et la plus féminine de Russie). Le taux de mortalité à Plyos en 2016 a dépassé le taux de natalité de 6 fois
(4,8‰ et 28,0‰, respectivement). Un autre dirigeant estIourievets (Région d'Ivanovo) - Beau vieille ville sur la Volga se dépeuple sous nos yeux en raison d'énormes pertes naturelles et migratoires.
En général, le groupe présentant le déclin démographique maximal comprenait soit de très petites villes Russie centrale avec une population très âgée
, qui diminuent depuis plusieurs décennies consécutives (Porkhov, Demidov, Puchezh, Kozlovka, Opochka, Vesyegonsk, etc.), ou des villes mono-industrielles, surtout dans le Nord
, où il n'a pas été possible de redémarrer l'économie locale - Udachny, Vuktyl, Kedrovy, Susuman, Nikolaevsk-on-Amur, Inta, Okha. Se démarque de leur contexte par sa taille.Vorkouta, dont la population a diminué de près d'un quart et continue de décliner comme prévu. La dépression est une préoccupation exprimé par l'exode massif de la population vers des villes relativement grandes - des centres d'implantation avec des avantages position géographique- Nikolaevsk-sur-Amour, Kirov (région de Kalouga), Raichikhinsk.
Tableau 6 Villes petites et moyennes présentant les taux de déclin démographique les plus élevés entre 2007 et 2017.
