Depuis l'enfance, la peur de l'échec nous accompagne partout. En tant qu'enfant, un enfant s'attend à être félicité pour quelque chose, et s'il ne reçoit pas d'éloges, il croit qu'il a échoué. La même chose se produit dans vie d'adulte.
Description de la pathologie
La peur de l'échec naît en effet le plus souvent dans l'enfance, et à mesure qu'une personne grandit, la peur de faire quelque chose de mal demeure et la personne ne sait pas comment la surmonter.
Il n'est pas toujours possible de recevoir une évaluation positive de votre travail ou de vos actions. Parfois, il faut écouter les critiques et échouer. Confiant et personne développée fait face assez rapidement aux critiques et aux échecs.
D’autres ne font qu’accroître la peur de l’échec, en essayant d’éviter de telles actions à l’avenir. Il s'avère ce qui suit : après avoir connu un échec dans un domaine, afin de surmonter sa peur, une personne ne s'occupe plus de ce domaine. Il arrive au point que lui préparer du café est une tâche sérieuse dans laquelle l'essentiel est de ne pas échouer. C'est-à-dire qu'il existe un isolement complet d'une personne de la société et une peur pathologique de l'échec.
La peur des erreurs est scientifiquement appelée atychiphobie. C'est l'une des phobies les plus courantes monde moderne. En psychologie, il est d'usage d'attribuer la peur de commettre des erreurs à classe sociale peurs, puisque la peur de se tromper naît et se modifie sous l’influence de la société.
Une personne qui est envahie par la peur de commettre une erreur peut complètement renoncer à essayer quoi que ce soit, car elle considérera d'avance que cela a échoué. À son tour, une personne qui a peur de commettre des erreurs tombera progressivement dans l'échelle sociale, puisque l'auto-amélioration et évolution de carrière ils lui font peur.
Causes de l'atychiphobie
La peur de l'embarras peut être entièrement causée pour diverses raisons. La raison prédominante reste l’existant expérience négative personne. En raison de la peur de l’échec, une personne projette l’expérience d’un incident sur toutes ses expériences possibles.
Certaines personnes éprouvent ce genre de peur de l’échec qu’elles ne veulent même pas penser à la possibilité d’essayer quelque chose et de commencer quelque chose. Cette forme de pensée stéréotypée, comme il semble à une personne, la protège des erreurs. En fait, elle empêche tout mouvement dans sa vie.
Des craintes d’échec peuvent également surgir lorsque les activités sont évaluées uniquement par leur efficacité, sans tenir compte propres rythmes et les qualités humaines. À la suite d'une telle évaluation unilatérale, une étiquette spécifique est attribuée à l'activité - échec ou succès. Il n'y a rien entre ces deux étiquettes.
Les raisons pour lesquelles les gens ont peur de faire une activité peuvent être :
- Lien avec la peur de l'enfance, lorsque, dans son enfance, l'enfant était sévèrement puni pour toute erreur.
- L'incapacité de faire des erreurs en groupe, le ridicule de toute erreur - le plus souvent l'incapacité de surmonter la peur survient dans un groupe d'adolescents, à l'école ou au collège.
- De nombreuses peurs sont également motivées par des peurs sociales imposées par l'environnement - une personne commence à craindre que si elle est pire que les autres, elle sera rejetée.
Manifestations de peur
L'atychiphobie s'exprime assez de différentes manières. Ce qui caractérise la peur dans cette pathologie peut être décrit ainsi :
- Auto-isolement - une personne a peur de participer à des événements, notamment publics, en s'enfermant dans sa zone de confort.
- Auto-sabotage - craignant de faire quelque chose de mal, une personne sape inconsciemment sa force et ses efforts.
- Immobilité - pour ne pas faire quelque chose de mal, une personne décide de ne rien faire et de ne lutter pour rien.
- Manque de confiance en soi - craignant de se tromper, une personne s'assure que tout ce qu'elle a fait et les connaissances qu'elle a acquises ne valent rien.
- Le perfectionnisme est le désir d'être le meilleur en tout et de toujours garder postes de direction, le désir de travailler uniquement dans un domaine dans lequel une personne a totalement confiance.
Symptômes physiques de la maladie
La peur de l'échec n'est pas seulement manifestations mentales. Cette pathologie se caractérise également par conditions physiques personne. Il y a un battement de cœur rapide, par exemple, lorsqu'une personne semble s'approcher de l'effondrement de ses affaires. Douleur possible au cœur.
À cause de peur panique il est difficile de respirer, il y a une sensation de brûlure dans la poitrine, un essoufflement, des nausées et des spasmes musculaires. La diarrhée est possible. Parfois, l'excitabilité nerveuse augmente, tandis que chez certains, au contraire, une raideur et une fermeture sont possibles.
Il y a une transpiration accrue, des frissons et une sensation de chaleur ou de froid. Dans certains cas, des hallucinations sont possibles, le plus souvent auditives.
Comment se débarrasser d'une phobie
Cette peur réduit considérablement la qualité de vie d’une personne, interfère avec son développement personnel et activités professionnelles, vie personnelle et le réseautage. Par conséquent, dans les cas avancés, l'assistance doit être fournie par un spécialiste.
- N'ayez pas peur de vous souvenir des moments où la peur est apparue pour la première fois. Il est nécessaire d'analyser les raisons pour lesquelles telle ou telle affaire n'a pas eu lieu. Même si la cause était une inattention ou un autre facteur personnel, vous ne devriez pas prendre trop de responsabilités sur vous-même.
- La cause de la pathologie peut être une ignorance constante ou inconnue. Pour éviter cela, vous devez disposer de bases théoriques solides avant de démarrer une entreprise. Alors risques possibles sera considérablement réduit.
- Apprenez à refuser si vous sentez que vous ne pouvez accomplir aucune tâche. Ne prenez pas de risques à moins qu'ils ne soient justifiés.
- Évaluez sobrement les pertes possibles si la tâche qui vous est assignée n'est pas accomplie. Les opportunités manquées deviennent parfois importantes grosses pertes que le sentiment de peur.
- Ayez toujours un plan de sauvegarde. De cette façon, vous disposerez d’un filet de sécurité qui vous permettra de le changer si les choses tournent mal. Par exemple, demandez l’aide d’un ami ou d’un collègue.
- Soyez plus décisif, tout retard ne fera qu’augmenter la peur. Créez une situation dans laquelle vous ne pouvez pas battre en retraite.
- Enfin, croyez que les échecs arrivent à absolument tout le monde. Mais le plus rationnel est de les utiliser comme tremplin pour un démarrage ultérieur et une amélioration de soi.
Les psychologues utilisent des méthodes d'analyse et d'auto-analyse pour traiter cette peur, en fournissant au patient un examen approfondi des raisons pour lesquelles il considère toute entreprise comme un échec.
Conclusion
La peur de l’échec est assez courante, mais la surmonter ne nécessite pas autant d’efforts qu’il y paraît. Si vous effectuez une profonde introspection et acceptez l’idée que personne ne peut être parfait, les problèmes de peur et d’erreurs passeront au second plan. Si lutte indépendante n’a pas abouti, n’hésitez pas à contacter un spécialiste. Sinon, la phobie peut devenir grave. troubles mentaux et la dépression.
La peur de faire des erreurs est familière à tout le monde. Ce sentiment de malaise permet à une personne d'éviter les décisions hâtives et les conséquences qui y sont associées, mais souvent cela nous ralentit, nous empêchant de prendre des mesures qui mènent au succès. Cependant, une personne a le pouvoir de surmonter la peur des erreurs et de continuer à avancer. Demandez-vous si un enfant sera capable de faire du vélo ou du patin s'il refuse de réessayer après la première chute ? Pourra-t-il apprendre à nager s’il n’enlève pas l’anneau gonflable ? Probablement pas. La peur de l'erreur affecte un adulte de la même manière : elle bloque le chemin du succès, empêchant une personne de faire de nouvelles tentatives.
La peur de l’erreur (nom scientifique atychiphobie) peut à première vue sembler être un produit de notre époque ou le résultat d’un échec personnel. Jugez par vous-même : la société aspire à de nouvelles réalisations, fixe des limites au succès, oblige les gens à réaliser quelque chose si rapidement qu'une personne est incapable de réaliser ses actions.
Cette structure de la société peut provoquer de nombreuses situations qui traumatisent le psychisme. L'âge le plus tendre pour la perception est l'enfance, et lequel des enfants d'aujourd'hui n'a pas rencontré un enseignant ou un parent trop exigeant ? D’où la peur de faire quelque chose qui entraînerait la censure d’une figure d’autorité.
Plus important encore, la peur de commettre des erreurs a une base évolutive. Son apparition a des raisons non seulement conscientes, mais aussi inconscientes. En train de devenir espèce humaine la peur de commettre de nouvelles actions apparemment dangereuses protégeait les représentants du genre Homo des blessures et de la mort.
En raison de l'imperfection des instincts, ce qui protégeait autrefois une personne des flammes et des dents pointues est devenu plus fort dans le subconscient et a continué à fonctionner dans un environnement moderne et sûr. La peur instinctive d'accomplir des actions inconnues répond tout aussi bien à la probabilité de menace réelle, et imaginaire.
Une personne qui a peur de commettre des erreurs est obligée de rester dans la « zone de confort » et est privée de la possibilité de se développer sans entrave et de recevoir nouvelle expérience et acquérir de nouvelles compétences. La peur de se tromper rétrécit le cercle actions possibles une personne, la forçant à exister dans un espace mental limité. Cela peut conduire à une stagnation personnelle, voire à une dégradation.
Comment gérer la peur de l’erreur ?
Voici quelques exemples de méthodes qui vous aideront à surmonter la peur de commettre des erreurs. Disons tout de suite qu’ils ne sont pas universels et ne conviennent pas à tout le monde. De plus, pour beaucoup, la peur atteint un tel degré d’intensité qu’il leur est même difficile de commencer à mettre en œuvre les recommandations suivantes. Si la peur est trop forte pour commencer à s'en débarrasser de manière indépendante, il est préférable de se tourner vers psychologue professionnel, qui vous aidera à naviguer la bonne façon. L'un de ces spécialistes est un psychologue-hypnologue. Baturin Nikita Valerievitch.
Perspectives positives
Essayez de considérer tout résultat de votre action comme utile expérience de vie, même si cela vous semble être un échec absolu. Pensez par vous-même : si tout s'était déroulé comme prévu, et non comme cela s'est réellement passé, vous ne seriez jamais parvenu à conclusions actuelles, des résultats, et à une réelle compréhension de la réalité. Vous ne verriez jamais ce qui se passerait si vous procédiez de cette façon et pas autrement. Et même si cette expérience s'avérait négative, à l'avenir vous aurez quelque chose avec quoi la comparer et donc la coïncidence réussie des circonstances sera encore plus appréciée par vous.
Au début, ces pensées seront assez tendues et il sera difficile de s'habituer à penser de cette façon. Cependant, progressivement, vous vous habituerez à cette façon de penser et pourrez tirer des leçons vraiment précieuses de votre situation. Par exemple, l’une des entreprises les plus riches de la planète – Facebook – a une devise qui se traduit en gros par « Pelle, mais bouge ». L'expérience de l'entreprise confirme que si son dirigeant n'avait pas pris de décisions risquées, il n'aurait jamais obtenu le succès qu'il connaît aujourd'hui.
Il y a quelque chose de différent dans le marketing. slogan« Chaque « non » vous rapproche du « oui ». Cela peut être interprété de différentes manières : que chaque refus accélère la rencontre avec le bon client, ou que chaque refus oblige le vendeur à être plus sophistiqué et plus performant. D'une manière ou d'une autre, ce principe fonctionne : la persévérance et l'expérience rendent le progrès inévitable.
Comprendre la cause
Pensez à quoi la vraie raison vos préoccupations. De quoi avez-vous peur lorsque vous évitez de faire quelque chose ? A quoi cela pourrait-il conduire ? Peut-être n’avez-vous pas peur d’un résultat catastrophique, mais d’un refus ou d’une chute de votre autorité ? Dans quelle mesure les conséquences de votre erreur seront-elles tangibles et critiques ? Ont-ils l’air aussi effrayants que vous les craignez ?
Pensez au contraire : à ce que vous obtiendrez si vous acceptez cette tâche. Imaginez ce que vous pourriez gagner si vous assumiez la responsabilité du risque. Réalisez une vérité simple : le monde qui nous entoure- pas une créature maléfique hostile à votre égard. Personne ne mettra d'obstacles sur votre chemin sans bonnes raisons, et cela vaut donc la peine d'essayer - et le monde vous aidera à avancer.
Bouger sans s'arrêter
Dans votre entreprise, essayez de suivre le principe de « manger un éléphant morceau par morceau ». Métaphoriquement, cela peut être représenté ainsi : devant vous se trouve un éléphant que vous devez manger. Quand on regarde une carcasse entière, la tâche semble insurmontable. Vous pensez à quel point cette chose est énorme et que vous ne pourrez jamais y faire face.
Cependant, si vous divisez l’éléphant en petits morceaux et que vous le mangez petit à petit, vous finirez par comprendre. C’est la même chose pour d’autres choses : au début, la tâche vous semble trop difficile, mais cela vaut la peine de vous décider. plan étape par étape, et tout devient plus simple. De petits pas vous mènent à grand objectif, l'essentiel est de ne pas s'arrêter sur votre chemin, car à chaque pas vous devenez plus confiant et plus fort.
En chemin, vous rencontrerez la peur plus d’une fois, pas deux. Vous devez vous mettre au défi : vous essayer à quelque chose qui vous fait peur et qui semble impossible. Surmonter des difficultés atypiques pour vous vous permettra d'acquérir de nouvelles expériences et de prendre confiance en vous, de renforcer votre caractère, et même de trouver une philosophie de vie différente. Rencontre avec diverses difficultés, vous devenez mieux préparé aux défis ultérieurs qui se présenteront.
N'oubliez pas que tout le monde a des peurs - c'est normal et inhérent à une personne de par sa nature. Il est impossible de ne pas avoir peur de quoi que ce soit. Une personne ne prend courage que lorsqu’elle regarde sa peur en face et la surmonte à maintes reprises. Vous ne pouvez pas vaincre la peur en l’ignorant.
ne devrait pas devenir un obstacle à vie pleine et pour réussir dans divers domaines. Une personne est capable de surmonter cette peur et de diriger un riche, vie harmonieuse- son désir et un environnement sûr sous forme de soutien de la part de ses proches suffisent. Si vos propres forces ne suffisent pas, il est logique de contacter un spécialiste qui vous aidera à choisir le chemin et les moyens pour y parvenir.
Source: http://briankim.net
Traduction: Balezine Dmitri
L’un des principaux obstacles qui empêchent une personne d’agir est la peur de se tromper. Si vous y réfléchissez, vous réaliserez que cette peur est en fait un ensemble d’autres peurs :
la peur de paraître stupide aux yeux des autres ; la peur de perdre du temps et des ressources ; la peur de perdre confiance en soi ;
... et toutes ces peurs sont regroupées en une seule - peur de faire une erreur.
Alors, comment surmonter cette peur ?
Il est nécessaire d’éliminer le stigmate de la peur d’un tel événement en tant qu’erreur. Comment? Très simple.
Une fois pour toutes, acceptez le FAIT INCONDITIONNEL, SOLIDE COMME LA ROCHE, À MILLION POUR CENT DE VRAI : dans votre vie, vous ferez définitivement des erreurs.
Vous les ferez, point final.
Sentez-vous comme si un poids avait été retiré de vos épaules.
Sentez combien il est maintenant plus facile d’avancer avec cette croyance.
Sachez également que faire des erreurs est naturel.
Vous êtes une personne imparfaite, il est donc tout à fait raisonnable de supposer que les actions d’une personne imparfaite le seront également. Il n'y a donc pas besoin de faire grand événement d'une erreur commune. Il ne s'agit pas d'erreurs...
Il s'agit de CORRIGER LES ERREURS.
Avec l’aide des erreurs, vous pouvez voir votre prochaine étape. C’est exactement pour cela qu’ils sont créés. Si vous avez peur des erreurs, vous ne pourrez pas comprendre ce que vous devez faire pour atteindre l’objectif souhaité.
Certains diront peut-être : « Eh bien, n’importe qui peut gérer un bug dans côté technique des choses, personne n’en a peur. Et le côté social ?
Qu’en est-il de la peur de paraître drôle aux yeux des autres lorsque vous faites une erreur ? Comment surmonter cela ?
Ma bien-aimée m'aidera avec ça Citation de Théodore Roosevelt :
« Ni les critiques ni ceux qui soulignent à quel point les erreurs ne sont importantes. homme fort, ni ceux qui soulignent où l'auteur des affaires aurait pu faire quelque chose de mieux. Le mérite revient à celui qui était dans l’action ; à celui dont le visage est taché de poussière, de sueur et de sang ; quelqu'un qui lutte farouchement pour quelque chose ; à celui qui fait des erreurs encore et encore, car il n'y a pas d'effort sans erreurs ; à celui qui éprouvait encore un grand enthousiasme et un grand dévouement ; celui qui s'est consacré objectif louable; celui qui, dans le meilleur des cas, connaîtra le triomphe d’une grande réussite et, dans le pire des cas, la défaite d’une tentative audacieuse. La place de cette personne ne sera jamais à côté de ces âmes froides et timides qui ne connaissent ni victoire ni défaite.
En réfléchissant davantage à cette citation, vous comprendrez que Ce sont les gens qui font des erreurs qui finissent inévitablement par grandir et apprendre. En se dirigeant vers un objectif, ils trébucheront plus d'une fois, mais ils apprendront à s'adapter situation nouvelle. À un moment donné, cette série d’erreurs se transformera pour eux en un bagage qui les aidera très bien en cas de tempête venue de nulle part.
Ceux qui ne commettent pas d’erreurs souffriront grandement d’une telle tempête, uniquement parce qu’ils n’auront pas développé les « muscles d’adaptation »… ils auront beaucoup plus de mal.
Que ressentez-vous lorsque vous êtes sur le point de commencer quelque chose de grandiose et de nouveau pour vous-même : créer enfin un projet auquel vous réfléchissez depuis longtemps, quitter un travail qui a longtemps été ennuyeux et en trouver un autre, démarrer votre propre entreprise ? Quel est le plus sentiment fort vous prend le dessus ? Enthousiasme? Détermination? Prêt à passer à l'action ? Pourquoi, jour après jour, continuez-vous à remettre à plus tard cette question importante et à ne prendre aucune mesure ? des mesures concrètes? Admettez-le honnêtement, vous avez juste peur.
En même temps, vous pouvez vous chercher de « bonnes » excuses : pour commencer, vous avez besoin de quelques ressources (temps, argent, personnes partageant les mêmes idées). Il est temps d'admettre que ce ne sont que des excuses. La peur est la chose la plus importante qui vous ralentit.
Vous avez peur que ce que vous avez prévu ne puisse se réaliser ou que le résultat ne soit pas à la hauteur de vos attentes. C'est la peur que « tout ira mal et que rien ne fonctionnera » qui vous oblige à reporter la mise en œuvre des plans pour une période indéfiniment longue - en d'autres termes, à ne jamais commencer à mettre en œuvre vos plans.
Pas de place à l'erreur
La peur de toute nouvelle entreprise est normale. Chacun en fait l’expérience face à quelque chose d’inconnu au niveau instinctif : « il faut voir ce qu’il y a là, au-delà de la ligne, si c’est dangereux et comment y faire face ». Mais si, malgré la peur, nous commençons néanmoins à agir, tout rentre dans l’ordre.
C’est une autre affaire lorsque la peur se transforme en un puissant moyen de dissuasion qui vous empêche de commencer à agir. Si vous arrêtez de le contrôler, en essayant de rester dans votre zone de confort, cette zone deviendra de plus en plus étroite avec le temps. Il deviendra terriblement effrayant d'entreprendre toute nouvelle action, car cela crée du stress et du choc, et la personne est déjà habituée à éviter ces problèmes à tout prix.
Dans le même temps, une personne peut penser que tout va bien et qu'elle contrôle totalement la situation, sans se rendre compte qu'elle est devenue l'otage de la peur de se tromper. Vous pouvez comprendre que la peur guide déjà complètement vos actions et contrôle votre vie par plusieurs signes :
- Peur d’essayer quelque chose d’inhabituel, de nouveau.
- Évitement tâches complexes et des projets.
- La procrastination et l’habitude de laisser les choses inachevées ont commencé. Souvent, ces signes ne sont pas une manifestation de paresse, mais une conséquence de la peur de « faire quelque chose de mal » et des critiques des autres.
- Le perfectionnisme ou la capacité de faire uniquement ce que vous êtes assuré de faire parfaitement.
Pourquoi ce genre de peur surgit-il et comment la surmonter ?
La peur de se tromper, comme beaucoup d'autres peurs et complexes, se forme dans jeune âge. Si les parents
- a souvent critiqué votre travail, que ce soit devoir scolaire, un métier ou une tâche « mauvais » ;
- sévèrement puni pour mauvaise conduite;
- n'encourageait catégoriquement pas l'initiative et vous demandait de « demander la permission » avant de commencer à faire ce que vous avez en tête -
ils ont tout fait pour créer en vous la peur avant toute nouvelle entreprise. Vous avez mûri, mais votre " enfant intérieur"attend toujours l'approbation et la permission pour faire ce qu'il veut. Dans les cas avancés, un tel comportement parental peut conduire à un TOC (trouble de la personnalité obsessionnelle-compulsive).
Un fiasco public ou une autre expérience traumatisante vécue à un âge précoce peut également jouer un rôle important dans la formation de ce type de peur.
La prochaine étape au cours de laquelle la peur des erreurs se renforce (ou se forme chez ceux qui ont plus de chance avec leurs parents) est l'école. Système notes scolaires est structuré de telle manière que l'étudiant n'a pas le droit à l'erreur : il termine le travail et reçoit une confirmation matérielle de l'exactitude/de l'incorrection de ses actions sous la forme d'une note qui affecte la note finale globale. Dans ce cas, bien sûr, il est possible de « corriger » l'évaluation, mais elle sera quand même prise en compte lors de la synthèse des résultats. Un tel système met l'enfant dans des conditions plus strictes que dans la vie adulte : ayant mal fait son travail, un spécialiste a la possibilité de le refaire, de corriger les lacunes et d'obtenir un agrément. L'enfant n'a pas ce droit.
De plus, à un moment donné, l'attitude de l'enseignant envers l'élève se forme en fonction du nombre de notes qu'il a déjà reçues au cours de son cours. processus éducatif. Les enseignants sont de vraies personnes, et il leur est plus facile de « classer » les élèves, en les divisant en « faibles » et « forts ». Une fois placé dans la catégorie des « sous-performants », il est extrêmement difficile, voire impossible, pour un enfant de sortir d’une position d’outsider. En règle générale, cela se produit si l'enseignant ou l'école change et que l'enfant commence à être évalué de manière impartiale, « à partir de zéro ».
En même temps, on oublie en quelque sorte qu'une marque n'est qu'un marqueur conditionnel qui sert à marquer le degré d'assimilation d'un bloc particulier. programme d'études. Sur proposition des enseignants, et souvent des parents, cela devient une fin en soi pour l'enfant. Il commence à paniquer à l'idée d'obtenir la prochaine « paire », parce que... sait avec certitude qu'il s'agit d'une étape irréparable pour devenir un outsider. Et cet « entraînement à la peur » se déroule sur 11 années scolaires !
D'ailleurs, il a été remarqué que les élèves « excellents » et « bons » des écoles ont plus peur de l'échec que les élèves « C ». Ils sont mieux formés pour éviter les situations d’échec. Il n'est pas surprenant que ce soient souvent les étudiants ayant des résultats scolaires moyens, voire faibles, qui deviennent plus les gens qui réussissent. Ils ont appris dès l’enfance que les échecs et les erreurs sont normaux et ils ont arrêté ou n’ont jamais appris à en avoir peur. Ils faisaient simplement ce qui les intéressait vraiment, sans participer à la course générale des perfectionnistes scolaires.
Cependant, un adulte diffère d'un enfant en ce sens qu'il est capable d'être responsable de lui-même. état émotionnel. Cela signifie que les peurs et les complexes des enfants peuvent et doivent être traités. Vous pouvez également apprendre à contrôler votre peur des erreurs. Les moyens les plus efficaces pour y parvenir
- Capacité à fixer correctement des objectifs ;
- La capacité de sortir de votre zone de confort.
Fixation d'objectifs corrects
Très souvent, la peur de l’échec amène une personne à avoir des difficultés à se fixer des objectifs. Cependant, il est plus facile de développer la capacité de se fixer des objectifs que de commencer à combattre la peur de commettre des erreurs. Positionnement correct les objectifs aident une personne à comprendre exactement ce qu'elle veut et à trouver le chemin optimal pour réaliser son désir.
On croit que de manière efficace motivez-vous pour commencer à avancer vers votre objectif - la visualisation. Cependant, les résultats de la recherche montrent que si une personne est en proie à la peur de l'échec, il n'est pas recommandé d'utiliser cette technique : une fois qu'elle commence à visualiser son succès, elle peut s'enraciner encore plus dans ses peurs de l'échec et abandonner toute possibilité. tente de mettre en œuvre ses plans.
Quelle est la meilleure chose à faire ?
Si la peur de l’échec est trop grande, commencez par de petits objectifs que vous êtes sûr de pouvoir atteindre. Cependant, l’objectif ne doit pas être trop facile, sinon vous n’aurez pas le sentiment joyeux de vaincre qui contribue à renforcer la confiance en vos capacités.
Par exemple, si vous envisagez de créer jeu informatique, n'essayez pas de vous fixer immédiatement l'objectif d'atteindre un résultat. Commencez par développer le prototype le plus simple.
Tout commence dans la réalité moderne, puis le héros se rend temps préhistoriques, tue un singe qui était censé évoluer vers un humain, puis se rend dans l'espace. Sur une planète qui vit selon les lois de la fantaisie, il est transporté comme par magie vers une Terre alternative, où des êtres intelligents est originaire des dinosaures, et de là il revient à monde réel et sauve sa bien-aimée.
Mais ce concept n’était pas destiné à se réaliser. Plutôt projet global les développeurs se sont concentrés sur une idée simple : un héros normal agit dans un monde anormal, et les habitants de ce monde se perçoivent comme la norme. Peu à peu, cette idée s'est transformée et a acquis une incarnation visuelle sous la forme d'un monde après une apocalypse nucléaire.
Will Smith appelle cette approche de la planification le principe « une brique à la fois » et l'illustre très clairement :
Lorsque vous commencez à construire un mur, vous ne pensez pas : « Maintenant, je vais créer le mur le plus haut, le plus grandiose et le plus beau ». le plus grand mur dans le monde." Vous commencez simplement à poser des briques. Vous mettez chacun du mieux que vous pouvez. Derrière lui se trouve le suivant, et un autre, et encore un autre... Et ainsi de suite jour après jour. Au final, il s’avère que votre mur est prêt !
Le principe « une brique à la fois » permet de gagner en confiance propre force et se concentrer sur des tâches dont une personne peut prendre le contrôle, sans penser à l'échelle mondiale effrayante de l'ensemble du projet dans son ensemble.
Bien entendu, même les petites tâches doivent être liées à votre objectif principal. Par exemple, il peut s'agir de maîtriser certaines compétences, d'acquérir des connaissances qui seront utiles à la mise en œuvre de votre grand projet. N'oubliez pas d'enregistrer les résultats, faites attention à chaque « élément de base », vous aurez alors plus d'opportunités de départ pour l'analyse et la mise en place de davantage. tâches courantes en route vers la construction de votre « mur ».
Apprendre à jongler
Lorsque le fondateur d'IDEO, David Kelley, est tombé sur un livre destiné aux jongleurs en herbe, Juggling for the Complete Klutz de John Cassid, une chose l'a frappé :
Près de la moitié de ce manuel, contrairement à d'autres livres similaires, n'était pas consacrée à l'enseignement de la manière de lancer et d'attraper des balles ; elle n'expliquait pas comment mesurer la force de lancement et le poids d'un objet ; Il était consacré à la façon de développer l’habileté de laisser tomber une balle. À première vue, c’est terriblement stupide. En fait, s’étant habitué au fait que la balle va certainement tomber, le cerveau cesse de percevoir cela comme une « erreur » ou un « échec ». Il s'habitue au fait que la chute de la balle est normale et cesse d'envoyer des signaux d'alarme aux muscles, les provoquant ainsi à se contracter inutilement.
David Kelly a décidé que cette approche est en général la plus efficace pour tout apprentissage. En effet, entraînez-vous à penser que les erreurs sont normales et inévitables.
Une façon de sortir de votre zone de confort
Pour vous assurer que sortir de votre zone de confort ne semble pas être quelque chose de catastrophique, commencez par les « bagatelles ». Par exemple, pourquoi ne pas vous lancer dans un nouveau passe-temps ? Choisissez une activité qui peut vous intéresser, mais qui en même temps est complètement nouvelle et inhabituelle, contrairement à ce que vous avez déjà fait auparavant. Cela peut être n'importe quoi : dessiner, jouer d'un instrument, tricoter, chanter, sculpter le bois, tisser de l'osier - en un mot, quelque chose qui ne peut être maîtrisé immédiatement, en une ou deux leçons.
Naturellement, en train de maîtriser une nouvelle compétence, vous rencontrerez des échecs et des erreurs. Mais ce n’est que votre passe-temps, ce qui signifie qu’il n’y a aucune raison de faire de chaque erreur une tragédie. Cela vaut la peine de réessayer : vous voulez enfin maîtriser cette compétence, n'est-ce pas ? Cette attitude « non sérieuse » réduira le degré d’anxiété face à d’éventuels échecs et vous aidera à apprendre à ne pas attacher trop d’importance aux erreurs. d'une grande importance. Petit à petit, vous vous habituerez à l’idée que cela est normal, comme dans l’exemple de la jonglerie.
La peur de se sentir débutant et amateur cédera progressivement la place à la compréhension que les erreurs n'interfèrent pas avec l'apprentissage de nouvelles choses. Une fois atteint un certain niveau de compétence, vous gagnerez en confiance en vous. Au fil du temps, ce sentiment s’étendra à d’autres domaines plus importants de vos intérêts.
Et vous ne devriez pas supposer que le doute de soi et la peur de l’échec sont un trait de caractère inné qui ne peut être surmonté. Vous avez déjà prouvé que vous en étiez tout à fait capable lorsque vous avez acquis l'habileté de marcher à l'âge d'un an ou d'un an et demi. Au début, tu avais aussi peur de te tenir debout et ça faisait mal de tomber - mais tu as appris à marcher !
Après tout, consacrer au moins quelques minutes par jour à quelque chose qui peut vous rapprocher de vos rêves est un moyen plus efficace que de simplement rester assis et avoir peur que rien ne marche.
P.S.
Quand nous avons commencé à travailler sur SmartProgress, nous étions aussi tourmentés par des doutes : est-ce que ça vaut le coup de commencer ? Et oui, nous aussi, nous avions peur. Mais la peur est normale, vous pouvez simplement l’ignorer et passer à autre chose. En fin de compte, « intéressant » et « j’aime » deviennent plus forts que « effrayant ». Et maintenant de nouveaux utilisateurs rejoignent le projet, ils sont de plus en plus nombreux, le processus a commencé, et je veux continuer sans m'arrêter à mi-chemin.
Et la confirmation que la ressource que nous avons créée est vraiment nécessaire et utile sont les lettres de nos utilisateurs, les critiques reconnaissantes et, surtout, les objectifs réalisés par les participants au projet.
Nous sommes loin de penser que tout ce que nous avons fait est parfait, mais l'expérience que nous avons acquise nous aide à nous développer, à agir plus consciemment et à formuler plus clairement les tâches qui restent à résoudre.
Nous avançons vers notre objectif et nous souhaitons sincèrement que vous atteigniez les objectifs que vous vous êtes fixés.
Ce n'est pas effrayant de commencer. C'est effrayant de rester au même endroit sans même essayer de changer quoi que ce soit.
Assez souvent, je vois à la réception des enfants qui s'énervent lorsqu'ils font des erreurs ; sont très inquiets des échecs scolaires ; ils pleurent pour un C ou un B. U collégiens les erreurs peuvent conduire à une inhibition du processus de réflexion.
Dictée et essais Pour ces enfants, c'est une épreuve sérieuse. Ils commencent à s'inquiéter d'avance ; ils ont mal à la tête, au ventre.
Ces enfants se fixent des normes élevées et sont contrariés si leurs résultats sont inférieurs à ceux souhaités. En même temps, ils n'envient pas les autres, mais veulent simplement réussir eux-mêmes (en classe, à l'Olympiade, jeu de sport) et essayez très, très fort.
En essayant de ne pas faire d'erreurs, ils sont là tension constante et donc se fatiguer plus vite que les autres pairs. Il est plus difficile pour ces enfants d'apprendre parce que forte tension réduit souvent leur attention et ils font des erreurs non pas par inattention, mais par peur de commettre des erreurs. Parfois, un enfant transfère la peur de se tromper en classe vers d'autres domaines de la vie qui sont importants pour lui, par exemple, il refuse d'être capitaine d'une équipe dans une compétition ou de se produire sur scène par peur de l'imperfection...
Le plus étonnant est que ces enfants ne sont élevés que dans des conditions très bonnes familles, les parents leur accordent beaucoup d’efforts et d’attention. Les parents eux-mêmes sont bien éduqués et ont réussi socialement, ils veulent donc non seulement, mais savent aussi comment élever et élever des enfants.
Dans de telles familles, les enfants aiment beaucoup leurs parents, sont fiers d'eux et veulent être comme eux. Ils considèrent leurs parents comme des individus déjà établis et qui ont réussi. Le chemin qu'ils ont parcouru pour réussir n'est pas familier aux enfants et n'est pas rempli de signification émotionnelle. Par conséquent, toute comparaison de soi avec les parents d’aujourd’hui n’est pas en faveur des enfants. Ils ont l’impression de ne pas avoir assez de succès. Les erreurs qu'ils ont commises le confirment, leur montrant leur inutilité, qu'ils sont indignes de l'amour de parents si merveilleux...
En règle générale, la plupart des parents ne grondent ni ne punissent leurs enfants pour leurs erreurs, mais ils se grondent et se punissent eux-mêmes. N'oubliez pas : plus la relation entre l'enfant et ses parents est étroite, plus ils passent de temps ensemble, plus enfant plus fort il a peur de les contrarier, et chaque petite erreur qu'il commet se transforme pour lui en une énorme erreur. Et si l'enfant est également intérieurement délicat, émotif et impressionnable, alors les inquiétudes concernant une erreur interfèrent grandement avec sa vie.
Je voudrais recommander aux parents d'enfants qui ont peur de se tromper :
- Créez artificiellement des situations dans lesquelles ils paraîtront imparfaits et démontrez-le à l'enfant. Ayant vu les erreurs des parents, l'enfant se permettra d'être ce qu'il est.
- Il est important d'apprendre à réagir correctement aux erreurs des enfants. Il ne faut pas dire : « C'est bon, ne t'inquiète pas », car l'enfant entendra le contraire : « Ça fait peur, t'inquiète ». Il est plus efficace d'utiliser un vocabulaire positif, en excluant la particule « non », par exemple : « Tout va bien », « sois calme », « plus tard tu feras ce qu'il faut », etc. Si un enfant est très inquiet d'une erreur, vous devez trouver un moyen de le féliciter pour autre chose : « Vous avez fait une erreur, mais vous avez magnifiquement écrit, il est clair à quel point vous avez essayé.
- Vous devez apprendre à votre enfant à rechercher les raisons de ses erreurs, par exemple : « Une erreur peut arriver parce que vous avez confondu la droite et la gauche, pensez par vous-même.
- L’impact des erreurs sur l’apprentissage doit être reconnu. Il est logique d'élever leur rôle d'enseignant au niveau de la philosophie de vie, afin de ne pas simplement s'inquiéter des erreurs commises dans la vie, mais de les comprendre et d'acquérir une expérience qui encourage le changement de soi, en répétant les mots : « Celui qui fait rien ne fait d'erreurs », « Le succès vous rend heureux, mais les erreurs vous apprennent », « Une personne intelligente s'efforce non pas d'éviter les erreurs, mais de les corriger », etc.
- Il est nécessaire d'apprendre à l'enfant à analyser les causes des erreurs et, avec lui, à reconnaître l'expérience acquise.
Vos enfants connaîtront beaucoup de réussite si vous prenez soin de leur fragile âme affective !
