Ouvrir le menu de gauche Sikkim. Sikkim - le royaume bouddhiste du nord de l'Inde et notre chemin vers cet endroit

Bonjour les amis !

je dernièrement très détendu. J'ai atteint 1000 visiteurs et je suis devenu paresseux. Il y a moins d'articles à publier sur le blog. Cependant, le Sikkim, un État du Inde du Nord J'ai fait ce rêve deux fois ces derniers temps. C'est peut-être l'occasion de parler de ce coin merveilleux, pur et entièrement bouddhiste, situé au coin du vaste et ancien Bharata.

J'ai longtemps rêvé de venir ici. Cependant, il n'y avait toujours pas assez de temps, car le Sikkim est assez loin et il faut y aller délibérément. Donc, après la vente et la discussion projets futurs C’est ce que nous avons décidé : nous allons au coin le plus reculé de l’Himalaya, pris en sandwich entre deux royaumes bouddhistes : le Bhoutan.

Les rêveurs et les romantiques viennent au Sikkim. C'est une région ancienne, belle et égocentrique qui, après avoir adopté le bouddhisme, est devenue le dernier « Shangri-La », le pays pur du Bouddha et de ses bodhisattvas.

C'est calme, sûr et très pittoresque ici. Dans les petits villages, vous pouvez faire tourner des moulins à prières, jouer avec de gentils chiens et méditer près de nombreux grands arbres et lacs sacrés.

La population ici est calme et pas agaçante. Il parle principalement le népalais et se réunit parfois en groupes de trois pour discuter du problème de la discrimination à l'égard du peuple Gurkha.

Ce n’est pas loin d’ici que se trouve le pittoresque Darjeeling, où les sentiments séparatistes sont très forts. Cependant, cela n’a pratiquement aucun effet sur les touristes. A moins qu'il y ait des problèmes de transport...

En venant ici :

1. pour le trekking à Kanchenjunga
2. admirer la nature et le silence relatif
3. vivre dans des villages tranquilles près de forêts denses avec le battement des drapeaux de prières
4. visitez d'anciens et magnifiques monastères bouddhistes

Vue fantastique depuis Pelling

Permis pour visiter le Sikkim

Le Sikkim est un très petit État. Et il est frontalier sur 3 côtés avec d'autres pays : la Chine, le Népal et le Bhoutan. Par conséquent, il y a ici de nombreuses zones frontalières et semi-interdites. Une visite au Sikkim lui-même nécessite un permis.

Le permis est délivré gratuitement dans les points suivants :

1. à Delhi
2. à Calcutta
3. à Darjeeling
4. à l'aéroport de Bagdogra
5. vers Siliguri
6. aux frontières de l'état à Rangpo (on l'a fait ici, c'est sur la route de Darjeeling à Gangtok) ou à Meili

Le permis est valable 2 semaines et peut être prolongé à Gangtok, Namchi, Mangan et Geising.

Que voir et quelques mots sur les sites touristiques

Le Sikkim est un État montagneux, parsemé de serpentines et de montagnes escarpées. Les principales attractions ici sont la mer. Je vais vous parler de quelques-uns des principaux :

Monastère de Rumtek près de Gangtok

Le monastère principal de Karma Kagyu, restauré par le 16e Karmapa en 1959 après sa fuite forcée du Tibet. Malgré mon origine ancienne(XVIe siècle), avant restauration du monastère pendant longtempsétait en ruine. Merci au gouvernement indien et au soutien du Sikkim famille royale, il a été restauré.

Il est facile de voyager ici depuis Gangtok en une journée. Et ici, vous pouvez passer la nuit, ce qui est beaucoup plus intéressant et plus calme qu'à Gangtok même.

pris d'ici

Kanchenjunga

À 8560 mètres, le Kanchenjunga est bien visible depuis le village de Pelling par beau temps. Des sentiers de randonnée partent également d'ici via le col de Goche La jusqu'à Kanchenjunga, où des randonnées peuvent être organisées dans le même Pelling.

Kanchenjunga vu de Pelling

Malheureusement, on ne peut pas aller loin ici tout seul, comme au Népal. Mais vous pouvez admirer les vues à l'infini.

Lacs alpins

Il y a beaucoup de lacs, grands et petits, ici. L'un des plus populaires est Tsongmo, situé à 40 km de Gangtok. Un permis séparé est nécessaire pour le visiter.

Pas si haute montagne, mais lac Kecheperi très sacré

Monastères bouddhistes

Le Sikkim est une terre bouddhiste bénie. Il y a beaucoup de monastères actifs ici. Les plus importants sont situés près de Gangtok et dans la partie ouest de l’État, autour des villages de Pelling et Yuksom. Il existe également un itinéraire semi-piéton, appelé. "Boucle du monastère".

Dubdi Gompa, le plus ancien monastère du Sikkim. Fortement endommagé lors du tremblement de terre au Népal en 2015

Comment se rendre au Sikkim

Le Sikkim est loin des sentiers battus du centre de l'Inde, donc les gens au hasard ne viennent pratiquement pas ici. Malgré cela, arriver ici est assez simple.

1. En train jusqu'à la gare de New Jalpaiguri (NJP), puis en jeep partagée jusqu'à Gangtok. En général, le NJP et la ville principale - Siliguri dans cette zone sont les principales pôles de transport, donc la plupart des itinéraires les traversent.
2. En avion jusqu'à Bagdogra et plus loin par les mêmes jeeps
3. Transport local depuis les points clés du Bengale occidental - Darjeeling, Kalimpong

les jeeps publiques sont le principal moyen de transport du Sikkim

Pour moi, le Sikkim a commencé à s'ouvrir après son départ. Là, parmi les rhododendrons, les brouillards et les drapeaux battants, il me semblait plutôt que j'errais comme un touriste parmi expositions de musée. Je n'ai eu ce sentiment qu'en Inde. Apparemment, la propreté inattendue et la faible population de la région ont eu un effet.

Mais maintenant, en parcourant les photographies et en rétablissant dans ma mémoire les liens entre attractions et logistique, je comprends : je suis heureux de revenir ici. L'essentiel est de s'éloigner de Gangtok, vers les merveilleux villages de Pelling et Yuksom, où les brouillards errent le long des routes pendant la journée, et la nuit, vous pouvez devenir sourd à cause du silence descendant.

De délicieux momos et les types les plus fous à vous !

L'État du Sikkim est souvent appelé le dernier Shangri-La, un nom littéraire pour la terre mythique bénie de Shambhala dans les montagnes. Selon la légende, Shambhala est devenue invisible après l'invasion musulmane. Asie centrale et seulement les personnes avec âmes pures peut la trouver.

Peuples

Selon les idées de tous les peuples vivant dans l'État du Sikkim, quelle que soit la foi à laquelle ils adhèrent, cette partie de l'Himalaya est un lieu de pouvoir.
Chacun de ces peuples a le sien nom ancien Sikkim. Bhuti - "lieu secret fortifié". Tibétains - "vallée du riz". Lepcha - « terre fertile » (« paradis »). Dans les textes religieux hindous, le Sikkim est appelé Indrakil – « Jardin d’Indra » (Indra est le seigneur du ciel). Mais le nom issu de la langue des Limbu - les premiers habitants du Sikkim - Su-Khiyim a été établi : la syllabe « su » signifie « nouveau », et « Khiyim » signifie « maison » ou « palais ». "Cinq Trésors des Grandes Neiges" - c'est ainsi que se traduit le nom de la montagne, plus précisément, la chaîne de montagnes Kanchenjunga, ou Kanche, à la frontière du Sikkim et du Népal, le troisième plus haut sommet de l'Himalaya et du monde après Chomolungma et. Il possède cinq sommets, et tous dépassent les 8 000 m. Concernant ce que sont les « cinq trésors », il existe des légendes avec une explication matérielle (sel, pierres précieuses, grains de plantes, armes invincibles et autres). textes sacrés), mais les chercheurs pensent que les trésors désignent ici les cinq facettes de la plus haute sagesse. Kanchenjunga est vénéré à la fois par les hindous et les bouddhistes. La première mention du Sikkim dans les sources écrites est associée à un voyage au VIIIe siècle. Mahatma bouddhiste – en sanskrit « grande âme » – nommé Padmasambhava, ou Guru Rimpoche (Précieux Maître), à ​​qui est dédié le plus grand monastère bouddhiste du Sikkim, Rumtek.

Histoire

Guru Rimpoche a béni le Sikkim et a prédit que ce serait un royaume. Et son principal exploit fut la disgrâce des prêtres et des sorciers. Il les surpassa en magie, subjuguant les démons et les mauvais esprits du Tibet, les convertissant au bouddhisme et en faisant des dharmapalas – protecteurs du Dharma. Cependant, l'historien tibétain Sailen Debnath affirme que l'empereur tibétain Stronsen Gam a construit une forteresse dans la région de l'actuel Gangtok bien avant Rimpoche. Épisode suivant histoire traditionnelle Les scientifiques modernes remettent également en question le Sikkim : il y a trop de coïncidences mystiques, mais c'est ainsi qu'on le raconte au Sikkim. Vers le XIIIe siècle. Le pays commença à être peuplé de tribus Lepcha venues d'Assam. Au XIVe siècle. Le prince tibétain Kye Bumsa, dans un rêve, reçut l'ordre des dieux de se déplacer vers le sud du Tibet, qu'il accomplit bien sûr ; ses compatriotes commencèrent à s'installer au Sikkim aux XVe et XVIe siècles. En 1642 (et c'est déjà un fait), le descendant de Kye Bumsa Phuntsog Namgyal fut couronné par trois lamas apparus du nord, de l'ouest et de l'est (comme cela aurait été prédit dans ce même rêve mystique). Phuntsog Namgyal était un Chagyal (monarque) éclairé, il a fondé de nombreux monastères, temples et écoles bouddhistes au Sikkim. De lui est née la coutume de donner un fils sur trois dans une famille pour devenir lama (moine). Le pays sous son règne comprenait une partie de l'est du Népal, la vallée de Chumbi (Tibet), la vallée de Kha (Bhoutan) et une partie du Terrai, dont Darjeeling et Kalimpong. Yuksom est la première capitale du Sikkim (aujourd'hui plus un village qu'une ville), ce nom issu de la langue Lepcha se traduit par « lieu de rencontre des trois lamas ». La deuxième capitale était la ville de Rabdentse, détruite par les Népalais en 1814. Mais encore plus tôt, en 1794, Tumlong devint la capitale. Gangtok est la capitale du Sikkim depuis 1894. En 1717-1734. Le Sikkim a combattu avec le Bhoutan et a perdu une partie importante de ses territoires à la suite de cette guerre.
En 1886, les Britanniques déclarèrent leur protectorat sur le territoire du Sikkim et commencèrent à encourager la réinstallation des Gurkhas du Népal au Sikkim. Les Népalais constituent désormais la majeure partie de sa population ; En 1947-1950, le Sikkim devint en plusieurs étapes un protectorat de l’Inde. Au début des années 1970. De sérieuses contradictions commencent à surgir entre les pouvoirs royal et exécutif du Sikkim. En avril 1975, les troupes indiennes occupèrent le Sikkim et organisèrent ensuite un référendum. Le taux de participation a été de 59 %. 97,5 % des participants au référendum ont voté pour l'adhésion du Sikkim à l'Inde. Le 16 mai 1975, le royaume cesse d'exister et le Sikkim devient le 22ème État de l'Inde.
Pang Lamsol est la fête principale de l'État, elle est dédiée au pont divin entre la terre et le ciel, qui pour les bouddhistes et les hindous est le Kanchenjunga et le Sikkim qu'il garde.

Nature

La nature de l’État correspond à cette idée respectueuse. Le tibétologue allemand Ernst Schaefer, chef de la célèbre expédition au Tibet en 1938-1939, décrit ainsi le Sikkim : « Cette région rassemble tous les espaces de vie : des forêts tropicales épargnées par la civilisation, des zones subtropicales regorgeant d'orchidées diverses ; zone tempérée avec des bouleaux clairs et des forêts d'épicéas sombres, des fourrés de rhododendrons s'étendant sur plusieurs kilomètres, des couvertures de prairies alpines, des gouges vides rochers et enfin les neiges éternelles. Presque aucun pays au monde ne peut rivaliser avec le Sikkim dans la richesse des couleurs, l'abondance des formes de flore et de faune qui se cachent dans les abris des labyrinthes montagneux... Même dans la faune, il existe des contrastes inouïs. Dans le sud, un tigre perfide parcourt des forêts vierges impénétrables enchevêtrées dans les vignes pour déchiqueter le timide cerf Sambar. Au même moment, au nord, un léopard des neiges flexible chasse le mouton bleu dans les neiges éternelles. Et les steppes infinies, qui s’étendent depuis les limites des barrières de glace jusqu’au « toit du monde », tremblent sous le bruit des sabots des magnifiques kiangs, les plus beaux chevaux sauvages d’Asie.
Il y en a 28 sommets des montagnes, plus de 80 glaciers, 227 lacs de haute montagne, cinq grandes sources chaudes dont la température dépasse 50°C, plus de 100 rivières et ruisseaux. La plupart Ce territoire est impropre à l'agriculture ; le riz et d'autres cultures ne sont cultivés que sur les terrasses aux pentes douces du sud de l'État. Et toute construction est également très problématique : les glissements de terrain au Sikkim sont fréquents, et ils se produisent également forts tremblements de terre. Le plus récent s'est produit en septembre 2011, sa force était de 6,9 ​​sur l'échelle de Richter, l'épicentre était à 20 km de Gangtok, une vingtaine de maisons se sont effondrées, des personnes sont mortes (au Népal et au Bhoutan voisins également).

Religion

L'hindouisme occupe pourcentage positions dominantes dans la vie spirituelle de l'État. Cependant, à première vue, au Sikkim, on ne dirait pas cela : il semble que le bouddhisme prédomine ici : premièrement, il y a beaucoup plus de monastères bouddhistes que de temples hindous, deuxièmement, on peut voir des drapeaux de prière bouddhistes partout, et troisièmement, des temples bouddhistes et hindous. Ils ne diffèrent guère les uns des autres en apparence ; ils sont tous réalisés principalement dans la tradition architecturale tibétaine. Et il y en a un autre chose importante Ce qui unit les adeptes de toutes les religions au Sikkim, c’est la tolérance. Des conflits entre les gens, ici comme ailleurs, bien sûr, surviennent, mais beaucoup moins fréquemment que dans d'autres régions de l'Inde, et en général, le Sikkim est un endroit très calme.
Il existe environ 70 monastères bouddhistes et environ 3 000 lamas dans l'État. Les monastères les plus célèbres sont Gum, Tashiding, Pemayantse, Sangachelling, Rumtek. Dans le monastère de Gum se trouve une statue de Maitreya, le Bouddha du futur, un bodhisattva vénéré par toutes les écoles du bouddhisme. À Pemayantse, il y a une sculpture en bois à sept niveaux richement sculptée représentant le palais céleste de Padmasambhava et ses habitants et incarnant les principales scènes. développement spirituel humanité.
L’État a vraiment besoin d’un chemin de fer. Il est prévu qu'en 2015 la ville de Rangpo au Sikkim soit reliée à l'État du Bengale occidental. Mais de Rangpo à Gangtok, il y a encore 40 km, et on ne sait pas encore quand les rails y seront posés. Pour l’instant, le principal moyen de transport dans l’État sont les jeeps fonctionnant comme taxis. De plus en plus de touristes viennent au Sikkim chaque année. Pour visiter l'État, une autorisation spéciale du service d'immigration indien est requise (le Sikkim dispose d'une garnison militaire importante en raison du fait que la situation aux frontières avec le Népal et la Chine peut être mouvementée).

informations générales

Division administrative : 4 quartiers.
Centre administratif : Gangtok - 98 658 personnes. (2011).

Le plus grand colonies: Gangtok, Singtam, Rangpo, Jretang, Namchi.

Langues : népalais, lepcha, bhutia, limbu, newar, rai, gurung, mangar, sherpa, tamang, sunwari. La principale langue de communication est le népalais ; d'autres langues bénéficient d'un statut officiel dans l'État afin de préserver la culture et les traditions locales. De nombreux résidents de l'État parlent également l'hindi et l'anglais.

Composition ethnique : descendants des Gurkhas népalais, Lepcha, Bhutia, Limbu, les mariages interethniques sont assez fréquents, et il y a une partie de la population qui a du mal à déterminer lequel ethnie incluez-vous.
Religions : Hindouisme - 60,9 %, Bouddhisme - 30,1 %, Christianisme - 6,6 % (Église anglicane de l'Inde du Nord), Islam (sunnite) - 1,4 %, il existe également de petites communautés de Jaïns - 1 % (ces chiffres peuvent varier légèrement d'une source à l'autre). à la source.)

Devise: Roupie indienne.

Les plus grandes rivières : Teesta, Rangit.
Les plus grands lacs alpins : Tsongmo, Gurudongmar, Khecheopalri.

Le plus grand glacier : Zemu (25 km).
Aéroport le plus proche : Bagdogra se trouve dans la ville de Siliguri (Bengale occidental), à 124 km de Gangtok. Des hélicoptères volent régulièrement de là vers Gangtok.

Nombres

Population : 607 688 personnes. (2011).

Densité de population : 85,6 personnes/km 2 .

Point culminant : Mont Kanchenjunga (8586 m).
Le plus point bas: 280 m d'altitude.

Climat et météo

Température moyenne de janvier : 0°C.

Température moyenne en août(mois le plus chaud) : +23°С.

Les températures nocturnes et diurnes peuvent varier considérablement.
Saison de la mousson : De mai à octobre, à cette époque, tout l'État est enveloppé de brouillard et la pluie tombe de manière inégale.

Précipitations annuelles moyennes : de 1 270 mm au nord de l'État à 5 000 mm à l'est.
La ligne des neiges éternelles s'étend à des altitudes d'environ 4 900 à 6 100 m.

Économie

Agriculture: culture de cardamome, de gingembre, d'oranges, de pommes, de thé et d'orchidées pour l'exportation. Des pommes de terre, du chou, du maïs, des pois, des haricots, du blé, de l'orge et du millet sont également cultivés (pour un usage domestique).

Élevage de bovins - buffles, yacks, moutons, chèvres, porcs, mulets.

Artisanat traditionnel : sculpture sur bois, fabrication bijoux fait d'argent et de tapis tibétains en laine.
Secteur des services : le tourisme, le type de tourisme qui se développe le plus intensément, est le trekking, ainsi que les excursions en kayak, rafting, alpinisme et VTT - le tout sous la direction de guides expérimentés.

Attractions

Faits curieux

Le nom Darjeeling vient du nom du monastère Dorje Ling, qui se traduit par « Lieu de la Foudre ». Ici se lève pic blanc comme neige Mont Kanchenjunga (8598 m) - le plus haut d'Inde. Cette montagne est devenue le sujet d'inspiration du célèbre artiste Nicholas Roerich, qui l'a représentée dans plusieurs de ses tableaux.

Ici, vous pouvez voir le lever du soleil sur Tiger Hill, situé à 11 km au sud du centre de Darjeeling, d'ici vous pouvez clairement voir le premier rayons du soleil illuminez le sommet enneigé du plus haut mont Everest du monde. Paysages uniques, verdure luxuriante, air pur des montagnes - le meilleur remède rechargez-vous d'énergie positive et ressentez toute la grandeur de la nature. Bien... Bien sûr, il est impossible de repartir d’ici sans goûter le meilleur thé du monde et visiter les célèbres plantations de thé.

Parc national du Kanchenjunga

Le parc national de Kanchenjunga est situé au nord-ouest de l'État indien du Sikkim et a été créé en 1998 dans le but de protéger faune de l'extinction. Aujourd'hui, le parc national de Kanchenjunga offre un refuge sûr à de nombreux habitants en voie de disparition de notre planète : léopards des neiges, ours noir de l'Himalaya, cerf porte-musc, panda roux, mouton bleu et espèces rares de singes.

Pour mois de printemps Dans la réserve, il est impossible de ne pas admirer la floraison inhabituellement belle des orchidées, des lys et des rhododendrons. Les vallées sont cachées forêt tropicale, qui, avec l'augmentation de la hauteur, cède la place aux chênes et aux pins. Ici, les faisans se promènent de manière importante et de curieuses pies à bec rouge bavardent joyeusement.

Les voyageurs peuvent s'attendre à des rivières cristallines et à des cascades bruyantes, dont la hauteur atteint 160 mètres. Ici, vous pouvez non seulement observer de beaux papillons et des oiseaux rares, dont il existe 600 espèces, mais aussi grimper montagne légendaire Kanchenjunga ou, à l'inverse, descendre le fleuve Sikkim à la rame. Il est préférable de le faire en vous rendant à la réserve avec un grand groupe - cela vous aidera seulement à obtenir l'autorisation de visiter le parc, mais également à éviter les obstacles et les dangers inutiles. Les sections locales Parfois, les voyageurs solitaires sont prévenus que le Kanchenjunga rebute les femmes qui tentent de grimper jusqu'à son sommet. Peut-être que cet avertissement n'est qu'une fable, mais, voyez-vous, c'est bonne raison rassemblez tout le monde et partez pour un long voyage.

Quels sites du Sikkim avez-vous aimé ? À côté de la photo se trouvent des icônes, en cliquant sur lesquelles vous pouvez évaluer un lieu particulier.

Lac Khecheoparli

Peut-être avez-vous déjà lu ou vu dans des films comment les moines bouddhistes recherchent un endroit pour atteindre la paix, la tranquillité et le calme, où rien ne vous dérangera pendant la méditation. Le lac Khecheoparli est la quintessence de cet endroit.

Pour les bouddhistes et les hindous, le lac est sacré. Ils viennent ici pour prier et méditer. Les touristes sont davantage attirés par le fait que ce lac est aussi un « lac des désirs ». Si vous avez un souhait secret, vous pouvez le réaliser ici et il se réalisera certainement.

Le lac Khecheoparli a un deuxième nom - le lac Tara, et tout cela parce que, selon la légende locale, il est apparu dans l'empreinte de l'empreinte de la déesse Tara, car vu à vol d'oiseau, le lac ressemble vraiment à une empreinte de pas.

Comme tout le reste en Inde, le lac est époustouflant par la beauté de la flore et de la faune voisines. Beau forêt tropicale, à travers lequel juste il y a un moyen au lac, une abondance d'oiseaux et de poissons exotiques. Cependant, vous devez être prudent, car il y a ici de nombreux insectes venimeux et animaux dangereux, dont la rencontre peut gâcher votre promenade.

En mode , vous pouvez visualiser les attractions du Sikkim uniquement à partir de photographies.

Institut de tibétologie

L'Institut Namgyal de tibétologie abrite la plus grande collection de statues, masques, autels et autres objets d'art tibétains. L'institut abrite également des musées d'iconographie et d'art religieux tibétains, considérés comme l'un des plus grands musées du monde. Il est intéressant de noter que l’institut est situé en dehors du Tibet, au Sikkim.

L'Institut a été créé en 1958 dans un bâtiment qui est un monument imposant et un magnifique exemple de l'architecture sikkimaise. Son ouverture officielle s'est déroulée en présence du Premier ministre indien Jawaharlal Nehru.

La raison de son apparition est attention accrueà l'étude de la religion, de la langue, de l'histoire, de l'art et de la culture de la région tibétaine, y compris le Sikkim. De nombreux projets de l'institut sont consacrés à l'histoire des 60 monastères du Sikkim, notamment la numérisation de documents historiques et d'archives photographiques liées au Sikkim.

Les attractions les plus populaires du Sikkim avec des descriptions et des photographies pour tous les goûts. Choisir meilleurs endroits visiter lieux célèbres Sikkim sur notre site Web.

Pays disparus au XXe siècle. Sikkim 9 septembre 2015

« Ils appelaient le Sikkim le pays de la foudre. Bien sûr, il y a des éclairs ici, mais ne serait-il pas plus facile de l’appeler : « Le pays des marches célestes ». Il est difficile d’imaginer un meilleur prélude aux secrets du futur. Un pays de roches et de fleurs inexploré et peu pénétré"

N. K. Roerich. Altaï-Himalaya

Je t'ai déjà parlé du pays disparu et . En voici un autre exotique.

Le Sikkim était petit une principauté indépendante gouverné par la dynastie Namgyal depuis 1642 (Phuntsog Namgyal devint le premier roi). En 1975, le Sikkim fut absorbé par l’Inde et devint son 22e État. Durant la période de l'indépendance du Sikkim, le célèbre Route de la Soie en Chine.

Découvrons-en davantage sur ce pays disparu...

Selon les Tibétains, État princier du Sikkim, situé dans l'Himalaya entre le Népal et le Bhoutan, était autrefois un pays caché appelé Baiul Demojong, ou « Vallée cachée du riz ». Il n’y avait pas beaucoup de gens qui y vivaient à l’époque. peuples autochtones, mais la zone était en grande partie vide et inaccessible depuis le Tibet. Vers le début du XVe siècle. Rigdzin Godem, un lama tibétain qui a découvert de nombreux trésors cachés, a réussi à trouver un passage à travers les montagnes enneigées jusqu'aux vallées chaudes et abritées du Sikkim. Bien qu'il ne soit jamais retourné au Tibet, il a écrit un message indiquant où il était allé et l'a envoyé à son monastère, l'attachant au cou d'un aigle. Environ deux cents ans plus tard, un autre lama, Namkha Jigme, acheva la découverte du Sikkim. Suivant les instructions de Rigdzin Godem, ou peut-être un guide, il conduisit un grand nombre de Tibétains à travers les montagnes et ils s'installèrent au Sikkim. Il nomma l'un des membres de son détachement premier chogyal, ou dirigeant de la nouvelle principauté. La dynastie qu'il a fondée au XVIIe siècle s'est poursuivie sans interruption jusqu'au dernier Chogyal, Palden Thondup Namgyal, qui a épousé une Américaine nommée Hope Cook en 1963 et a perdu son trône en 1974. Un grand stupa construit à l'extérieur de la capitale du Sikkim, Gangtok, contient. le crâne de Rigdzin Godham, la première personne à avoir découvert le pays caché du Sikkim...

Il est clairement visible que le dessin des armoiries a un style européen. En effet, elle a été peinte par l'Anglais Robert Taylor. Les armoiries ont été accordées au Maharaja Thutobu Namgyal (1874-1914) au durbar de Delhi en 1877. Durbar est un conseil de nobles et une réception cérémoniale chez le monarque dans les États musulmans médiévaux. Il était utilisé dans ce sens dans l'Inde coloniale - durbar sous le vice-roi de l'Inde et les gouverneurs provinciaux.

Au centre du bouclier doré se trouve une fleur de lotus bleue (padma) avec une graine écarlate à l'intérieur. Il est entouré d'une ceinture de 12 amulettes violettes. Padma est un symbole de pureté ; Le trône du lotus symbolise l'atteinte de l'illumination. DANS dans ce cas Le lotus, l'un des quatre attributs de Vishnu, est un symbole hindou du pouvoir administratif.

Au sommet du bouclier se trouve un casque de chevalier tourné vers la droite (pour le spectateur à gauche) Uniforme européen avec un lambrequin (un morceau de tissu recouvrant un casque) d'or et fleurs violettes. Au-dessus du casque se trouve une coquille de mollusque azur (sankha). Sankha est le symbole de la parole. Également l'un des quatre signes de Vishnu. Dans ce cas, la coquille symbolise le pouvoir religieux.

Les détenteurs du bouclier sont des dragons rouges, rappelant les dragons gallois. Les dragons sont appelés druks, ils symbolisent le renouveau et la transformation et servent de signe à l'empereur chinois. Dans ce cas, ils montrent l’importance de la suzeraineté de la puissance impériale chinoise pour le Sikkim, mais peuvent également être interprétés comme des symboles du Maharaja sikkimais lui-même.

La devise (en népalais ou en sanscrit ?) OM MANI PADME HUM est le mantra principal du bouddhisme Mahayana : « Ô perle qui brille dans la fleur de lotus ! »

Construites sur des principes européens, les armoiries du Sikkim peuvent être considérées comme controversées. Un drapeau avec des éléments bouddhistes est beaucoup plus local. Le drapeau est apparu en 1877 et a été utilisé jusqu'en 1962.

Le drapeau représente le Dharmachakra, ou Roue de la Loi, associé au Roi des Rois. Elle personnifie la justice, la vertu, qui est la loi même pour le Grand Monarque. La roue symbolise le dirigeant du pays.

En son centre se trouve un gakhil (croix gammée) tourbillonnant, symbolisant le changement et le mouvement continus.

Dans les coins supérieurs du drapeau se trouvent le Soleil et la Lune, symboles de l'Empire ou du peuple et de l'État.

Ainsi, trois conditions d'organisation humaine du pouvoir sont présentées : l'Empire, l'État et le souverain.

Ce schéma est typique de l'héraldique chinoise. En Chine, le Soleil et la Lune étaient placés sur la robe de l'Empereur, également décorée de dragons. En Corée, le roi (ou l'empereur) est assis devant un écran représentant le même corps célestes. Au Tibet, la vénération de l'État s'accompagne encore une fois de vénération (sous forme d'images symboles d'état) Soleil et Lune. Au Népal, le Lion Royal avec un étendard se dresse entre le Soleil et la Lune. Et au Bhoutan voisin, le sceau royal est placé devant chaîne de montagnes, sur lequel brillent le Soleil et la Lune. Et il existe de nombreux autres exemples de ce type.

Autour du Dharmachakra sont représentées les Sept Pierres Précieuses (rinchen dun ; rinchen dun). Ils ont leurs propres noms symboliques - dans le sens des aiguilles d'une montre : défenses d'éléphant, chapeau de lama, boucle d'oreille du roi, branche de corail, sonnerie de cloche (harmonie), boucle d'oreille et sceptre de la reine.

La partie centrale du drapeau est entourée sur trois côtés par le « Feu de la Conscience » bouddhiste.

Depuis 1975, le drapeau de la Principauté du Sikkim est interdit.

Aujourd'hui, le Sikkim est le plus petit état Inde

Les deux tiers de la population sont originaires du Népal (Népalais, Tamangs, Kiratis, Sherpas, Newars). Dans le district de Songbu, à l'ouest de Gangtok, vivent les Lepchas, la population locale la plus ancienne ; dans le nord et régions centrales- Bhotia, dans les villes - immigrants d'Inde (Bengalis). Langues officielles - Dialecte sikkimais langue tibétaine, népalais et anglais. Religion Lepcha et Bhotiya - Bouddhisme (lamaïsme) ; les autres sont pour la plupart des hindous

Aux XVe-XVIe siècles. Les Tibétains ont commencé à pénétrer sur le territoire du Sikkim. En 1641, Pencha Namgyal devint le premier chögyal (prince) du Sikkim, à cette époque l'État princier comprenait des parties de l'est du Népal, du Tibet, du Bhoutan, y compris les districts de Darjeeling et Kalimpong. En 1717-1734, sous le règne du quatrième Chogyal du Sikkim, à la suite de la guerre avec le Bhoutan, le Sikkim perdit une partie importante de ses territoires. Le Sikkim resta dépendant du Tibet jusqu'à la fin du XVIIIe siècle.

La Grande-Bretagne a soumis l'État princier du Sikkim dans un traité en 1861. En 1890, les limites du Sikkim furent définies. Les Britanniques ont encouragé les Népalais à s'installer au Sikkim, ce qui a entraîné une diminution significative de la population tibétaine et les Népalais représentent désormais environ 75 % de la population du Sikkim.

Après l'indépendance de l'Inde (1947), le régime autocratique des Chogyal du Sikkim a provoqué des troubles populaires (1947-1949) ; Chogyal s'est tourné vers l'Inde pour obtenir de l'aide. En 1949, un protectorat indien fut établi sur le Sikkim. En vertu du traité de 1950, le gouvernement indien a assumé la responsabilité de la défense et de l'intégrité territoriale du Sikkim.

En avril 1974, les premières élections générales ont eu lieu au Sikkim. Assemblée législative. La Constitution adoptée le 3 juillet 1974 limitait le pouvoir du Chogyal. En septembre 1974, le Sikkim a obtenu le statut d'État associé de l'Inde. En avril 1975, lors d'un référendum, la majorité de la population du Sikkim était favorable à faire du Sikkim un État indien. Depuis mai 1975, le Sikkim est un État indien.

Ecoute, c'est toujours là, et il y a aussi quelque part L'article original est sur le site InfoGlaz.rf Lien vers l'article à partir duquel cette copie a été réalisée -