Les exécutions les plus brutales à Alcatraz sont sanglantes. Les tortures les plus terribles de l'histoire de l'humanité (21 photos)

25. Skafisme

Ancienne méthode d'exécution perse dans laquelle une personne était déshabillée et placée dans un tronc d'arbre de manière à ce que seuls la tête, les bras et les jambes dépassent. Ils ont ensuite été nourris uniquement avec du lait et du miel jusqu'à ce que la victime souffre d'une grave diarrhée. Ainsi en tout espaces ouverts du miel pénétrait dans le corps, censé attirer les insectes. Au fur et à mesure que les excréments de la personne s'accumulaient, ils attiraient de plus en plus les insectes et ceux-ci commençaient à se nourrir et à se reproduire dans sa peau, qui devenait plus gangreneuse. La mort peut prendre plus de 2 semaines et est très probablement due à la famine, à la déshydratation et au choc.

24. Guillotine

Créée à la fin des années 1700, c'était l'une des premières méthodes d'exécution qui appelait à mettre fin à une vie plutôt qu'à infliger de la douleur. Bien que la guillotine ait été spécifiquement inventée comme forme d'exécution humaine, elle a été interdite en France et dernière fois utilisé en 1977.

23. Mariage républicain

Une méthode d'exécution très étrange était pratiquée en France. L’homme et la femme ont été attachés ensemble puis jetés dans la rivière pour se noyer.

22. Chaussures en ciment

La méthode d'exécution a été préférée par la mafia américaine. Semblable au mariage républicain dans la mesure où il utilisait la noyade, mais au lieu d'être attaché à une personne du sexe opposé, les pieds de la victime étaient placés dans des blocs de béton.

21. Exécution par un éléphant

Éléphants dans Asie du Sud-Est souvent formés pour prolonger la mort de la victime. L'éléphant est une bête lourde, mais facile à dresser. Lui apprendre à piétiner les criminels sur commande a toujours été une tâche passionnante. Cette méthode a souvent été utilisée pour montrer qu’il existe des dirigeants même dans le monde naturel.

20. Marchez sur la planche

Principalement pratiqué par les pirates et les marins. Les victimes n'avaient souvent pas le temps de se noyer, car elles étaient attaquées par des requins qui suivaient généralement les navires.

19. Bestiaire - déchiré par des animaux sauvages

Les bestiaires sont des criminels de la Rome antique qui étaient livrés pour être mis en pièces. animaux sauvages. Même si parfois l'acte était volontaire et accompli contre de l'argent ou de la reconnaissance, les bestiaires étaient souvent des prisonniers politiques envoyés dans l'arène nus et incapables de se défendre.

18. Mazatello

La méthode doit son nom à l'arme utilisée lors de l'exécution, généralement un marteau. Cette méthode peine de mortétait populaire dans l'État pontifical au XVIIIe siècle. Le condamné fut escorté jusqu'à l'échafaud de la place et resta seul avec le bourreau et le cercueil. Ensuite, le bourreau a levé le marteau et a frappé la tête de la victime. Comme un tel coup n'entraînait généralement pas la mort, les victimes étaient égorgées immédiatement après le coup.

17. « shaker » vertical

Originaire des États-Unis, cette méthode de peine capitale est aujourd’hui souvent utilisée dans des pays comme l’Iran. Bien que cela ressemble beaucoup à la pendaison, dans dans ce cas briser moelle épinière, les victimes étaient violemment soulevées par le cou, généralement à l'aide d'une grue.

16. Sciage

Soi-disant utilisé dans certaines parties de l’Europe et de l’Asie. La victime a été retournée puis sciée en deux, en commençant par l'aine. Comme la victime était à l’envers, le cerveau a reçu suffisamment de sang pour la maintenir consciente pendant que les principaux vaisseaux abdominaux étaient rompus.

15. Dépeçage

Action d'enlever la peau du corps d'une personne. Ce type d'exécution était souvent utilisé pour inciter à la peur, car l'exécution avait généralement lieu dans lieu publicà la vue de tous.

14. Aigle sanglant

Ce type d'exécution a été décrit dans les sagas scandinaves. Les côtes de la victime étaient cassées et ressemblaient à des ailes. Ensuite, les poumons de la victime ont été tirés à travers le trou situé entre les côtes. Les blessures étaient saupoudrées de sel.

13. Grille de torture

Rôtir une victime sur des charbons ardents.

12. Écraser

Bien que vous ayez déjà entendu parler de la méthode d’écrasement des éléphants, il existe une autre méthode similaire. L'écrasement était une méthode de torture populaire en Europe et en Amérique. Chaque fois que la victime refusait d'accéder aux demandes, plus de poids a été placé sur la poitrine jusqu'à ce que la victime meure par manque d'air.

11. Roues

Également connue sous le nom de roue de Catherine. La roue ressemblait à une roue de charrette ordinaire, seulement grandes tailles Avec un grand nombre aiguilles à tricoter La victime a été déshabillée, les bras et les jambes ont été écartés et attachés, puis le bourreau a frappé la victime avec un gros marteau, brisant les os. Dans le même temps, le bourreau s'efforçait de ne pas porter de coups mortels.

Donc le plus exécutions brutales et torture top 10 :

10. Chatouilleur espagnol

La méthode est également connue sous le nom de « pattes de chat ». Ces appareils étaient utilisés par le bourreau pour arracher et arracher la peau de la victime. Souvent, la mort ne survient pas immédiatement, mais résulte d’une infection.

9. Brûler sur le bûcher

Une méthode de peine de mort populaire dans l'histoire. Si la victime avait de la chance, elle était exécutée avec plusieurs autres. Cela garantissait que la flamme serait grande et que la mort surviendrait par empoisonnement. monoxyde de carbone, et non d'avoir été brûlé vif.

8. Bambou

Des punitions extrêmement lentes et douloureuses étaient utilisées en Asie. Les tiges de bambou qui dépassaient du sol étaient aiguisées. L'accusé a ensuite été pendu au-dessus de l'endroit où poussait ce bambou. La croissance rapide du bambou et ses pointes pointues permettaient à la plante de percer le corps d’une personne en une nuit.

7. Enterrement prématuré

Cette technique a été utilisée par les gouvernements tout au long de l’histoire. peine capitale. L'un des derniers cas documentés remonte au massacre de Nanjing en 1937, lorsque Troupes japonaises Des citoyens chinois ont été enterrés vivants.

6. Ling Chi

Également connue sous le nom de « mort par excision lente » ou « mort lente », cette forme d'exécution a finalement été interdite en Chine au début du XXe siècle. Les organes du corps de la victime ont été lentement et méthodiquement prélevés tandis que le bourreau essayait de la maintenir en vie le plus longtemps possible.

5. Seppuku

Une forme de suicide rituel qui permettait à un guerrier de mourir avec honneur. Il était utilisé par les samouraïs.

4. Taureau de cuivre

La conception de cette machine de mort a été développée par les anciens Grecs, à savoir le chaudronnier Perillus, qui a vendu le terrible taureau au tyran sicilien Phalaris afin qu'il puisse exécuter les criminels d'une nouvelle manière. À l’intérieur de la statue de cuivre, à travers la porte, était placée une personne vivante. Et puis... Phalaris a d'abord testé l'unité sur son développeur, le malheureux gourmand Perilla. Par la suite, Phalaris lui-même fut rôti dans un taureau.

3. Cravate colombienne

La gorge d'une personne est tranchée avec un couteau et la langue sort du trou. Cette méthode de meurtre indiquait que l'homme assassiné avait donné des informations à la police.

2. Crucifixion

Une méthode d'exécution particulièrement cruelle, utilisée principalement par les Romains. C'était aussi lent, douloureux et humiliant que possible. Habituellement, après des coups ou des tortures prolongées, la victime était forcée de porter sa croix jusqu'au lieu de sa mort. Elle a ensuite été clouée ou attachée à une croix, où elle a été suspendue pendant plusieurs semaines. En règle générale, la mort survenait par manque d'air.

1. Les exécutions les plus brutales : pendus, noyés et démembrés

Utilisé principalement en Angleterre. Cette méthode est considérée comme l’une des formes d’exécution les plus brutales jamais créées. Comme son nom l’indique, l’exécution s’est déroulée en trois parties. Première partie : la victime était attachée à un cadre en bois. Elle est donc restée suspendue presque jusqu'à ce qu'elle soit à moitié morte. Immédiatement après, le ventre de la victime a été déchiré et les entrailles ont été retirées et retirées. Ensuite, les entrailles ont été brûlées devant la victime. Le condamné a ensuite été décapité. Après tout cela, son corps fut divisé en quatre parties et dispersé dans toute l'Angleterre pour être exposé au public. Ce châtiment n'était appliqué qu'aux hommes, femmes condamnées, en règle générale, étaient brûlés vifs.

Le monde connaît des dizaines, voire des centaines d’exécutions cruelles. L'ingéniosité de l'homme en matière de représailles contre les siens est étonnante. Inventions d'ingénierie spéciales, étude des caractéristiques de la nature vivante, connaissance approfondie de l'anatomie et de la psychologie humaines. Tout cela a été utilisé dans un seul but : causer un maximum de souffrance à la victime.

Exécution avec des pousses de bambou

Cette exécution ou cette torture est souvent citée comme un exemple classique de la cruauté orientale. Au XIXe siècle, certaines sources mentionnaient une exécution similaire, qui aurait été courante en Asie du Sud-Est et aurait été réalisée à l'aide de pousses de palmier. Mais pour la première fois, une telle exécution a été évoquée publiquement après la Seconde Guerre mondiale. Parmi les soldats américains qui visitaient les camps de concentration japonais, il existait des légendes sur les bourreaux qui attachaient leurs victimes sur des pousses de bambou jeunes ou fraîchement coupées. Les tiges auraient poussé à travers la chair humaine, provoquant de terribles souffrances.

"MythBusters" a testé la possibilité théorique de cette exécution

Cependant, il n’existe toujours aucune preuve documentaire d’une telle cruauté. Cependant, les auteurs du programme de vulgarisation scientifique « MythBusters » ont testé la possibilité théorique de cette exécution. Comme les expérimentateurs l'ont découvert, la pousse peut réellement percer un mannequin en gélatine balistique (ce matériau est comparable en termes de résistance à la chair humaine).

Épisode du programme « MythBusters » sur « exécution en bambou»

Skaphisme (exécution du trésor)

Le skafisme peut être considéré comme l'un des plus douloureux et sites effrayants des exécutions auxquelles seule une personne pouvait penser. C’est peut-être la raison pour laquelle le scaphisme est souvent décrit dans la littérature. Le nom de l'exécution a été donné par Plutarque (« skafe » du grec ancien se traduit par « bateau », « auge »). Dans son ouvrage « La vie d'Artaxerxès », il écrit que terrible exécution Le roi perse condamna le souverain grec Mithridate.

Le skafisme peut être considéré comme l'un des types d'exécution les plus douloureux et les plus terribles.

Accrochage, dessin et écartèlement

La « triple peine » est bien connue de nombreux Anglais sources historiques. L'exécution a eu lieu pour la première fois au XIIIe siècle, inscrite dans la loi au XIVe et pour la dernière fois au début du XIXe. La séquence des actions était strictement définie par la loi et, à de rares exceptions près, était strictement respectée.

La première exécution a eu lieu au XIIIe siècle, inscrite dans la loi au XIVe

Le criminel a été attaché à un cadre ou à une clôture en bois et traîné jusqu'au lieu d'exécution derrière un cheval. Il y a eu une pendaison partielle (la victime n'a pas été autorisée à mourir). Cela a été suivi par l'éviscération, la décapitation et le découpage en quartiers. Parfois, la castration et la brûlure des entrailles étaient ajoutées à la liste ci-dessus. La tête et des parties du corps étaient exposées différentes parties Londres ou encore transportés pour démonstration dans plusieurs villes du pays. Punition cruelle assigné aux traîtres, aux rebelles, aux personnes ayant commis un crime contre le roi. Par exemple, environ 300 participants à la rébellion du duc de Monmouth au XVIIe siècle ont subi une mort douloureuse de cette manière. La « triple peine » a également été appliquée au combattant indépendantiste écossais William Wallace. Il a été condamné à une exécution si terrible gars célèbre Renard. Cependant, il a réussi à échapper à la torture mortelle en se suicidant. Le conspirateur sauta de l'échafaud avec un nœud coulant autour du cou et s'étrangla avant de tomber entre les mains des bourreaux. La « triple peine » a été abolie en tant que punition à la fin du XIXe siècle après de nombreux efforts du législateur.

Ling Chi

Du chinois, l’expression « ling chi » est traduite par « la mort par mille coupures ». Ce exécution publique utilisé depuis le Xe siècle et n'a été officiellement interdit qu'en 1905. Elle pourrait être nommée comme punition pour crimes contre l'État, meurtres brutaux et même pour insulte à un enseignant. Conservé preuve documentaire Applications du Ling Chi - photographie de la fin du 19e au début du 20e siècle. Cependant, il n’y avait pas de règles claires. Tout d’abord, on ne sait pas exactement à quelle fréquence la victime a été tuée avant le début de la profanation rituelle. Les scientifiques n'ont pas de consensus sur l'ampleur du démembrement. DANS dans certains cas l'exécution se terminait par le dépeçage du corps, l'incinération du cadavre et la dispersion des cendres au vent. La durée de l'exécution peut également varier en fonction d'un certain nombre de facteurs. Le massacre a duré de 15 minutes à trois jours. De plus, avant le début de la procédure, le criminel pouvait recevoir de l'opium afin qu'il ne perde pas connaissance pendant le processus de torture.

Vols mortels

En juillet 2015, un tribunal argentin devrait condamner 60 personnes impliquées dans l’affaire de la « fuite de la mort ». Ce processus couronne une série de procès très médiatisés contre des représentants de la junte militaire qui dirigeait le pays au milieu des années 70 et au début des années 80.

Des vols mortels ont également été utilisés pendant la guerre d'Algérie

Dans l'histoire de l'Argentine, la période s'appelait " Sale guerre« alors que le dictateur Jorge Videla a lancé la répression contre ses opposants politiques. Après la chute du régime, l'ancien pilote militaire Adolfo Silingo a admis avoir piloté des avions à partir desquels les forces de sécurité largaient dans l'océan des prisonniers toxicomanes. Personnellement, il est devenu complice du meurtre de 30 personnes. Les « vols de la mort » étaient dirigés par un commandant militaire de haut rang, Alfredo Astiz, surnommé « l’Ange blond de la mort ». Avant l'exécution, ou plutôt l'exécution extrajudiciaire, les prisonniers étaient informés que l'exil les attendait et étaient obligés d'en exprimer vigoureusement leur joie. L'interview du pilote a marqué le début d'un phénomène connu sous le nom d'effet Silingo. Ses aveux ont été suivis d’autres repentirs publics des bourreaux et de procès très médiatisés des deux côtés de l’Atlantique. Des vols de la mort ont également été utilisés troupes françaises pendant la guerre d'Algérie.

Avec le développement de la civilisation vie humaine pris de la valeur indépendamment statut social et la richesse. Il est d'autant plus terrible de lire les pages sombres de l'histoire, lorsque la loi n'a pas simplement privé une personne de la vie, mais a transformé l'exécution en un spectacle pour le plaisir du peuple. Dans d’autres cas, l’exécution pourrait être de nature rituelle ou édifiante. Malheureusement, dans histoire moderne il y a des épisodes similaires. Nous avons dressé une liste des exécutions les plus brutales jamais pratiquées.

Exécutions du monde antique

Skafisme

Tout d'abord, la personne a été déshabillée et attachée à l'intérieur de deux pirogues de telle sorte que sa tête, ses bras et ses jambes restent à l'extérieur, qui étaient largement enduits de miel. La victime a ensuite été gavée avec un mélange de lait et de miel pour provoquer la diarrhée. Après cela, le bateau a été abaissé sur de l'eau calme - un étang ou un lac. Attirés par l'odeur du miel et des eaux usées, les insectes s'accrochaient au corps humain, dévoraient lentement la chair et déposaient leurs larves dans les ulcères gangreneux qui en résultaient. La victime a survécu jusqu'à deux semaines. La mort est due à trois facteurs : infection, épuisement et déshydratation.

L'exécution s'est déroulée de deux manières. Dans une version, le condamné était percé d'un pieu dans la poitrine, dans l'autre, la pointe du pieu traversait le corps à travers anus. Les personnes tourmentées étaient souvent représentées dans les bas-reliefs à titre édifiant. Plus tard, cette exécution a commencé à être utilisée par les peuples du Moyen-Orient et de la Méditerranée, ainsi que Peuples slaves et quelques européens.

Exécution par des éléphants

Il existait de nombreuses façons de tuer une personne à l'aide d'un éléphant. Par exemple, une armure avec des lances acérées a été placée sur les défenses, avec lesquelles l'éléphant a transpercé le criminel puis, alors qu'il était encore en vie, l'a déchiré en morceaux. Mais le plus souvent, les éléphants étaient entraînés à écraser les condamnés avec leurs pieds et alternativement à leur arracher des membres avec leur trompe. En Inde, le coupable était souvent simplement jeté sous les pieds d’un animal en colère. Pour référence, un éléphant indien pèse environ 5 tonnes.

Tradition aux bêtes

Il y avait deux types d'exécution. Souvent, un condamné à mort était attaché à un poteau au milieu de l'arène des gladiateurs et des animaux sauvages étaient lâchés sur lui. Il y avait aussi des variantes : ils étaient jetés dans la cage d'un animal affamé ou attachés sur son dos. Dans un autre cas, le malheureux a été contraint de lutter contre la bête. Leurs armes étaient une simple lance et leur « armure » était une tunique. Dans les deux cas, de nombreux spectateurs se sont rassemblés pour l'exécution.

Mort sur la croix

Avant la crucifixion, la personne était déshabillée, ne laissant qu'un pagne. Il a été battu avec des fouets en cuir ou des bâtons fraîchement coupés, après quoi il a été contraint de porter une croix pesant environ 50 kilogrammes jusqu'au lieu de crucifixion. Après avoir creusé la croix dans le sol près de la route en dehors de la ville ou sur une colline, la personne était soulevée avec des cordes et clouée à une barre horizontale. Parfois, les jambes du condamné étaient d'abord écrasées avec une barre de fer. La mort est survenue par épuisement, déshydratation ou choc douloureux.

Après l'interdiction du christianisme dans le Japon féodal au XVIIe siècle. le crucifix a été utilisé contre les missionnaires en visite et les chrétiens japonais. La scène de l'exécution sur la croix est présente dans le drame Silence de Martin Scorsese, qui raconte exactement cette période.

Exécution en bambou

Ling-chi

L’essence du « Ling Chi » est la séparation progressive de petites parties du corps. Par exemple, après avoir coupé une phalange d'un doigt, le bourreau cautérisait la plaie puis passait à la suivante. Le tribunal a déterminé combien de morceaux devaient être coupés du corps. Le verdict le plus populaire consistait à couper en 24 parties, et les criminels les plus notoires étaient condamnés à 3 000 coupures. Dans de tels cas, la victime recevait de l'opium : elle ne perdait ainsi pas connaissance, mais la douleur se frayait un chemin même à travers le voile de l'intoxication médicamenteuse.

Parfois, en signe de miséricorde particulière, le souverain pouvait ordonner au bourreau de tuer d'abord le condamné d'un seul coup, puis de torturer le cadavre. Cette méthode l'exécution a été pratiquée pendant 900 ans et a été interdite en 1905.

Exécutions du Moyen Âge

Aigle sanglant

Les durs Vikings tuaient leurs ennemis aussi douloureusement et symboliquement que possible. Les mains de l'homme ont été liées et il a été placé à plat ventre sur un moignon. La peau du dos était soigneusement coupée avec une lame tranchante, puis les côtes étaient arrachées avec une hache, les brisant en une forme qui ressemblait à des ailes d'aigle. Après cela, les poumons de la victime encore vivante ont été retirés et suspendus aux côtes.

Cette exécution est montrée deux fois dans la série télévisée Vikings avec Travis Fimmel (dans l'épisode 7 de la saison 2 et l'épisode 18 de la saison 4), bien que les téléspectateurs aient noté des contradictions entre l'exécution en série et celle décrite dans le folklore Elder Edda.

"Bloody Eagle" dans la série télévisée "Vikings"

Déchirure par les arbres

Quartier

Roue

écorcher

Soudé vivant

Bottes de ciment

Vols mortels

Un homme qui s’opposait au régime du tyran a été rempli de barbituriques et, dans un état inconscient, transporté à bord d’un avion, puis jeté - certainement à l’eau.

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Attitudes à l'égard des crimes et des criminels différentes époques et dans différents pays différait, donc la sévérité de la punition variait. Mais si une personne était condamnée à exécution, c'était alors très cruel. Les exécutions les plus brutales de l'histoire de l'humanité provoquent l'horreur, car les condamnés peuvent mourir dans d'atroces souffrances pendant des semaines.

10 exécutions les plus brutales au monde

1. Exécution chinoise. Curieusement, les bourreaux traitaient les femmes avec une cruauté particulière. L’une des exécutions les plus terribles de l’histoire a eu lieu en Chine. La condamnée a été déshabillée et, privée de soutien sur ses pieds, des scies ont été attachées entre ses jambes.

Exécution "Sciage"

Les mains de la femme étaient attachées à l'anneau. Sous l'influence de la gravité, la victime est tombée sur les bords tranchants des scies, de sorte que son corps a été lentement scié de l'utérus au sternum. Les raisons d’une punition aussi terrible nous sont incompréhensibles ; par exemple, le riz préparé par le cuisinier ne s’est pas révélé aussi blanc comme neige que l’exigeait la sagesse du propriétaire.

2. Quartier. En Russie et dans toute l'Europe, en Inde, en Chine, en Égypte, en Perse et à Rome, cette exécution impliquait le déchirement ou le démembrement. corps humain en plusieurs parties. Les pièces elles-mêmes ont été exposées au public une fois l'exécution terminée. Il existe de nombreuses options pour diviser un criminel en plusieurs parties - il a été déchiré par des chevaux, des taureaux, la cime des arbres. Dans certains cas, un bourreau a été utilisé pour couper les membres.

De plus, il est impossible de déterminer pour quel type de crime une telle sanction a été infligée. Il était souvent utilisé lorsqu'il fallait rendre une exécution spectaculaire. C’est pour cela qu’ils ont cantonné les déserteurs et les membres de leurs familles, les criminels d’État, les violeurs, les chrétiens de la Rome antique, etc.

3. "Soldat de plomb" La prison d'Alcatraz est entrée dans l'histoire comme l'une des prisons les plus terribles au monde en raison de ses exécutions. La direction de l'établissement correctionnel avait une imagination malsaine ; il est tout simplement impossible d'expliquer autrement l'apparition du « soldat de plomb ».

Le condamné a reçu une injection d'héroïne, après quoi il a été aspergé de paraffine chauffée. En même temps, les gardes mettaient la personne dans une pose qui était drôle de leur point de vue. Lorsque la paraffine a durci, la personne ne pouvait tout simplement plus bouger - il s'est avéré " soldat de plomb" Après cela, les gardes ont coupé les membres du prisonnier. La mort par choc et perte de sang a duré des heures, que la personne exécutée a vécue dans une terrible agonie.

4. « Le berceau de Judas ». Une autre option tout aussi cruelle pour tuer les prisonniers à Alcatraz est le « Berceau de Judas ». Le condamné à mort était placé sur une pyramide, les mains et le corps fixés. La pointe de la pyramide était placée dans l’anus ou le vagin, de sorte que la structure déchirait progressivement le corps. Pour accélérer le processus, des poids étaient attachés aux pieds du condamné, augmentant ainsi la pression.

Cette mort lente et douloureuse due à une perte de sang et à une septicémie a pris plusieurs jours avec des poids, le processus a été accéléré jusqu'à plusieurs heures ; Gestion prison célèbre a emprunté cette méthode barbare aux inquisiteurs médiévaux.

5. Keeling. Il y a eu une série distincte d'exécutions de pirates, la pire étant celle du tangage. La personne a été attachée et tirée avec une corde sous la quille du navire.

Tant que ça a duré pendant longtemps, puis la personne a eu le temps de s'étouffer, sans parler des coups sur la quille elle-même, recouverte de coquillages pointus - la peau de la personne a été arrachée. Cependant, ce type de punition pour désobéissance au capitaine, qui avait un pouvoir absolu sur le navire, était également pratiqué dans la flotte anglaise.

6. Île déserte. Une autre option d'exécution de pirates connue dans le monde entier - les rebelles n'ont pas été tués, mais ont été débarqués. île déserte, qui nourrira les criminels.

De nombreux rebelles malchanceux ont dû vivre pendant des années une existence misérable sur un terrain sans nourriture ni commodités normales.

7. Marcher sur une planche. Ce type d'exécution parmi les pirates est décrit dans romans d'aventure.

Les voleurs n'avaient pas besoin de l'équipage du navire capturé, ils sont donc partis en mer. La planche était placée sur le côté du navire, de sorte qu'une personne, après avoir marché dessus, tombait à la mer dans la bouche des requins qui attendaient.

8. Exécution pour trahison. Dans de nombreuses cultures, la punition pour adultère pour une femme est la mort. Les méthodes d'exécution varient. En Turquie, une femme adultère était cousue dans un sac avec un chat et le sac était battu. L'animal enragé a déchiré la femme et le condamné est mort des suites d'une perte de sang et des coups.

En Corée, la femme adultère était obligée de boire du vinaigre, puis le corps enflé de la femme adultère était battu avec des bâtons jusqu'à ce que la gent féminine meure.

9. Exécutions de l'Etat islamique. Les types de châtiments adoptés par ISIS (une organisation interdite sur le territoire de la Fédération de Russie) sont également classés comme cruels, mais ils n'occupent pas la première place dans la liste TOP 10. terribles exécutions.

Les représentants du groupe diffusent volontiers dans les médias des photos et des vidéos d'exécutions par brûlage et décapitation, ce qui n'est pas très différent de l'ensemble médiéval de tortures et d'exécutions.

10. Exécutions pour viol. Les exécutions pour viol sont souvent beaucoup moins cruelles que pour adultère, notamment pour la gent féminine. Cependant, la menace de mort d'un violeur n'était pas seulement au Moyen Âge, cela est toujours d'actualité aujourd'hui en Iran, Arabie Saoudite, Émirats arabes unis, Pakistan, Soudan.

Cependant, le droit musulman de la responsabilité délictuelle entraîne parfois des décisions étranges. Il existe des précédents où, après un viol, une jeune fille est exécutée par lapidation, parce que la victime aurait séduit le violeur. Dans d'autres pays, pour les délits à caractère sexuel, le contrevenant est puni d'une peine d'emprisonnement d'un an à la réclusion à perpétuité.

À l'époque soviétique, le viol commis par un récidiviste, le viol entraînant de graves conséquences ou le viol d'une victime mineure était passible de la peine de mort. Cette loi était en vigueur jusqu'en 1997. Soit dit en passant, une peine similaire pour le viol d'un enfant en État américain La Louisiane n'a été abrogée qu'en 2008.

L'histoire connaît de nombreuses méthodes d'exécution sophistiquées, et à en juger par la cruauté de ces exécutions, nous pouvons dire que nos ancêtres étaient assoiffés de sang et méchants. Ils inventèrent de plus en plus de nouveaux types d'exécutions pour leur propre divertissement.

1.

Mort sous un éléphant


En Asie du Sud-Est, l'exécution à l'aide d'un éléphant, qui écrasait le condamné, était populaire. De plus, les éléphants étaient souvent dressés pour agir de manière à prolonger la mort de la victime.

2.

Marcher sur la planche


Cette forme d'exécution, consistant à marcher sur une planche par-dessus bord, était principalement pratiquée par les pirates. Les condamnés n'avaient souvent même pas le temps de se noyer, car les navires étaient généralement suivis par des requins affamés.

3.

Bestiaire


Les bestiaires étaient un divertissement populaire à l'époque Rome antique, lorsque les condamnés entraient dans l'arène contre des animaux sauvages affamés. Même si parfois cas similairesétaient volontaires et entraient dans l'arène à la recherche d'argent ou de reconnaissance, la plupart des prisonniers politiques envoyés dans l'arène sans armes tombaient aux mains des loups.

4.

Mazzatello


Cette exécution doit son nom à l'arme (généralement un marteau) utilisée pour tuer l'accusé dans les États pontificaux au XVIIIe siècle. Le bourreau a lu l'accusation sur la place de la ville, après quoi il a frappé la victime à la tête avec un marteau. En règle générale, cela ne faisait qu'étourdir la victime, après quoi sa gorge était tranchée.

5.

Agitateur vertical


Originaire des États-Unis, cette méthode de peine capitale est aujourd’hui souvent utilisée dans des pays comme l’Iran. Bien que cela ressemble beaucoup à la pendaison, il existe une différence significative : la victime n'avait pas de trappe ouverte sous ses pieds et la chaise n'a pas été expulsée sous lui, mais le condamné a été soulevé à l'aide d'une grue.

6.

écorcher

L'écorchage du corps d'une personne était souvent utilisé pour susciter la peur chez les gens, car la peau écorchée était alors généralement clouée sur un mur dans un lieu public.

7.

Aigle sanglant


Les sagas scandinaves décrivaient une méthode d'exécution sanglante : la victime était coupée le long de la colonne vertébrale, puis les côtes étaient éclatées pour ressembler aux ailes d'un aigle. Ensuite, les poumons ont été retirés par l'incision et suspendus aux côtes. En même temps, toutes les blessures étaient saupoudrées de sel.

8.

Grille à rôtir


La victime était fixée sur une grille horizontale sous laquelle étaient placés des charbons ardents. Après cela, elle était rôtie lentement, prolongeant souvent l'exécution pendant des heures.

9.

Écrasement


En Europe et en Amérique, il existait également une méthode similaire à celle utilisée pour broyer les éléphants indiens, mais ici, des pierres étaient utilisées. En règle générale, une telle exécution était utilisée pour arracher des aveux à l'accusé. Chaque fois que l'accusé refusait d'avouer, le bourreau ajoutait une pierre supplémentaire. Et ainsi de suite jusqu'à ce que la victime meure par étouffement.

10.

Chatouilleur espagnol


L'appareil, également connu sous le nom de pattes de chat, était utilisé par les bourreaux pour déchirer et écorcher la victime. Souvent, la mort ne survenait pas immédiatement, mais plus tard, à la suite d'une infection des plaies.

11.

Brûlant sur le bûcher


Méthode historiquement populaire de peine capitale. Si la victime avait de la chance, elle était exécutée en même temps que plusieurs autres. Cela garantissait que les flammes étaient très grande mort résulte d'une intoxication au monoxyde de carbone et non d'une combustion.

12.

Bambou


Des punitions extrêmement lentes et douloureuses étaient utilisées en Asie. La victime était attachée à des pousses de bambou pointues. Étant donné que le bambou pousse à une vitesse phénoménale (jusqu’à 30 cm par jour), il a poussé directement à travers le corps de la victime, le transperçant lentement.

13.

Enterré vivant


Cette méthode a été utilisée par les gouvernements tout au long de l’histoire pour tuer les prisonniers condamnés. L’un des derniers cas enregistrés remonte au massacre de Nanjing en 1937, lorsque les troupes japonaises ont enterré vivants des Chinois.

14.

Lin Chi


Également connue sous le nom de mort par mille coupures, cette forme d'exécution impliquait de couper de petits morceaux du corps de la victime. Dans le même temps, le bourreau a tenté de préserver le plus longtemps possible la vie de la victime.

15.

Cravate colombienne


Cartels de la drogue en Colombie et ailleurs l'Amérique latine pratiquer des exécutions similaires de traîtres qui donnent des informations à la police ou à des concurrents. La gorge de la victime est tranchée et la langue est arrachée.