« Situation de réussite dans la leçon » - Quels sont les principaux facteurs d'augmentation de la motivation : Projet de décision du conseil des enseignants. Donnez tout à l'école, et quand vous quitterez l'école, commencez nouvelle vie. Qu’est-ce qu’une situation de réussite ? (d'un point de vue pédagogique). Ce qui peut être utilisé en pratique par d'autres enseignants est noté. Objectifs du conseil des enseignants. Qu'est-ce que le succès ? (avec les réseaux sociaux – point psychologique vision).
"Héros de la bataille de Stalingrad" - La hauteur totale de la sculpture est de 85 mètres. Un soldat prend la bannière de l'unité des mains d'un porte-étendard blessé qui tombe pour continuer la bataille sous la bannière de bataille. Les dimensions du mur sont de 125x10 m. L'excédent de la zone au-dessus de l'Allée des Peupliers est de 6 m. Les murs en ruine sont sonnés, des chants de la période de guerre, des rapports du bureau d'information et le déroulement des hostilités sont interprétés.
"Histoires de réussite" - Walt Disney 1901-1966. Chanel coco 1883-1971. GATES BILL est né en 1955. Je travaille et j'apprécie mon travail. Ted lisait beaucoup et s'intéressait particulièrement à la vie des gens formidables. Comment réussir dans votre métier. Né à Chicago, en famille nombreuse Immigré irlandais. À l'âge de 20 ans, Gabrielle commence à travailler dans un magasin de tricots.
«Créer une situation de réussite» - MOTIF - incitations à l'activité liée à la satisfaction des besoins du sujet. Ce qui s'est passé. Motivation scolaire. Techniques pour créer des situations de réussite. 4e années. Évaluation générale des facteurs. Grands didactiques et philosophes : les plus caractéristiques motifs éducatifs: Résultats des travaux pour les 2e années. Je peux quand je me dis que je peux. mini-essais.).
« Réussite de la vie » - Enseignant. "Sur le chemin de la réussite dans la vie." Qualités de personnalité qui contribuent à la réussite dans la vie. De quoi est-il composé ? réussite dans la vie. Réussi - contenant le succès, réussi. (Dictionnaire de langue russe de S.I. Ozhegov). Parents. Facteurs environnement externe, influençant le succès. Des habitudes qui vous aident à réussir.
"Bataille de Stalingrad" - "Cité des Héros". La communication a été rétablie. Département d'éducation militaro-patriotique et civile du CDT "Bouclier". Signaleur Matvey Putilov. Titres de héros Union soviétique 127 personnes ont été récompensées. Kourgane Mamaïev. Chaque muscle est tendu à l’extrême. 17 juillet 1942 - 2 février 1943. Après la Libération, la ville était complètement en ruine.
Question 01. Quelles sont les raisons du succès de la contre-offensive soviétique à Stalingrad ? Parlez-nous-en à l’aide d’une carte.
Répondre. Raisons du succès :
1) résistance héroïque Stalingrad n'a jamais permis à la Wehrmacht de s'emparer définitivement de la ville et lui a donné le temps de se préparer à une frappe de représailles ;
2) les succès de la mobilisation et de l'industrie de la défense ont permis de rassembler suffisamment de forces et de moyens pour une contre-attaque ;
3) Les stratèges soviétiques ont développé une équipe compétente plan stratégique, qui prévoyait une frappe non pas sur les sections les plus fortes, mais sur les sections les plus faibles du front, suivie de l'encerclement des unités ennemies les plus fortes ;
4) merci bon travail la frappe du contre-espionnage soviétique a été une surprise totale pour l'ennemi ;
5) un changement dans la direction initiale de l’attaque de la Wehrmacht a créé un fossé entre les groupes combattant dans le Caucase et à Stalingrad ;
6) en raison des pertes de la Wehrmacht lors de la bataille de Moscou, les secteurs secondaires du front étaient défendus par des troupes alliées de l’Allemagne moins prêtes au combat ;
7) après une offensive rapide, l'Armée rouge a pu dès que possible organiser défense puissante et empêcher les troupes de la Wehrmacht de percer jusqu'à Stalingrad, ce qui a conduit à la destruction du groupe encerclé.
Question 02. Quelle est l'importance de la bataille de Stalingrad pendant la Seconde Guerre mondiale ?
Répondre. Au cours de la bataille de Stalingrad, plus de 800 000 soldats, 2 000 chars et canons d'assaut et 3 000 avions ennemis ont été détruits. Sur Front de l'Est l'initiative passa finalement entre les mains de l'Armée rouge (la Wehrmacht tenta de l'intercepter, mais en vain). Cette bataille a marqué le début d’un changement radical dans toute la Seconde Guerre mondiale.
Question 03. À l'aide d'une carte, racontez Bataille de Koursk. Pourquoi est-elle considérée comme la bataille qui a marqué le tournant radical de la Grande Guerre Patriotique ?
Répondre. Au printemps 1943, Hitler décida de redresser la ligne de front, ce qui devait réduire sa longueur et, par conséquent, augmenter le nombre de troupes dans certaines zones sans attirer des réserves supplémentaires, dont il n'en restait presque plus. Le front s'est redressé, même s'il a commencé à aller beaucoup plus à l'ouest que ce que Hitler avait prévu. Il n'y avait qu'une seule saillie du front orienté vers l'ouest dans la région de Koursk - elle s'appelait le Renflement de Koursk. Les nazis avaient l'intention d'enfoncer deux coins à la base de cet arc et, en les reliant, d'encercler un nombre important de troupes ennemies. renseignement soviétique J'ai appris ce plan dans tous ses détails avant même qu'Hitler ne le signe, ce qui a permis de bien préparer la défense. L’offensive nazie s’est heurtée à une défense profondément stratifiée, immédiatement ralentie et bientôt étouffée. Cependant, cela a nécessité des efforts véritablement héroïques de la part des soldats de l'Armée rouge, par exemple les bataille de chars près de Prokhorovka. Contre-offensive armée soviétique s'est transformé en une défaite complète de l'ennemi. Cette bataille constitue la dernière tentative majeure de la Wehrmacht de prendre l'initiative sur le front de l'Est et est donc considérée comme la fin d'un tournant fondamental au cours de la guerre.
Question 04. Comment pouvez-vous expliquer l'héroïsme de masse ? peuple soviétique pendant la guerre? Nommez les héros de première ligne que vous connaissez.
Répondre. Causes :
1) les gens croyaient vraiment à la nécessité d’expulser les nazis à tout prix ;
2) la génération de jeunes de cette époque, dès l'enfance, était dans une atmosphère de préparation à l'héroïsme, tant au travail que militaire ;
3) l'exploit a été activement promu pendant la guerre elle-même, certains héros sont devenus des légendes (le pilote Gastello, 28 hommes de Panfilov, etc.).
4) la définition de « lâche », en particulier de « traître », a eu l'impact le plus négatif sur la famille du soldat, ce qui, dans les années de guerre difficiles, s'est souvent soldé par une condamnation à mort, tandis que les familles des héros ont reçu l'honneur et les soins relatifs de l'État.
Question 05 : Quelle est l’importance de la Conférence de Téhéran ?
Répondre. Staline, Roosevelt et Churchill se sont mis d'accord lors de cette conférence sur l'ouverture du Deuxième Front en Europe en mai-juin 1944, sur la création des Nations Unies après la guerre, sur l'ordre mondial d'après-guerre, sur le sort de l'Allemagne après son indépendance. défaite militaire, etc. L'URSS a promis de se joindre à la guerre contre le Japon après la fin de la guerre en Europe.
La Grande Guerre patriotique et la Seconde Guerre mondiale. Et tout a commencé par une offensive réussie de l’Armée rouge, baptisée « Uranus ».
Conditions préalables
La contre-offensive soviétique à Stalingrad commença en novembre 1942, mais la préparation du plan de cette opération au haut commandement commença en septembre. À l’automne, la marche allemande vers la Volga échoue. Pour les deux camps, Stalingrad était important à la fois sur le plan stratégique et sur le plan de la propagande. Cette ville porte le nom du chef État soviétique. Staline a autrefois dirigé la défense de Tsaritsyne contre les Blancs pendant Guerre civile. Du point de vue de l’idéologie soviétique, perdre cette ville était impensable. De plus, si les Allemands avaient pris le contrôle de la basse Volga, ils auraient pu arrêter l'approvisionnement en nourriture, en carburant et d'autres ressources importantes.
Pour toutes les raisons évoquées ci-dessus, la contre-offensive de Stalingrad fut planifiée avec un soin particulier. La situation au front était favorable au processus. Pendant un certain temps, les parties se sont tournées vers la guerre des tranchées. Finalement, le 13 novembre 1942, le plan de contre-offensive sous nom de code« Uranus » a été signé par Staline et approuvé au quartier général.
Plan original
Comment les dirigeants soviétiques voulaient-ils voir la contre-offensive à Stalingrad ? Selon le plan, le Front Sud-Ouest, sous la direction de Nikolaï Vatoutine, était censé frapper dans la région. petite ville Serafimovich, occupé par les Allemands en été. Ce groupe a reçu l'ordre de franchir au moins 120 kilomètres. Une autre formation de choc a été Front de Stalingrad. Les lacs Sarpinsky furent choisis comme lieu de son attaque. Après avoir parcouru 100 kilomètres, les armées du front étaient censées rencontrer le front sud-ouest près de Kalach-Sovetsky. Ainsi, les divisions allemandes situées à Stalingrad seraient encerclées.
Il était prévu que la contre-offensive à Stalingrad serait soutenue par des attaques auxiliaires du front du Don dans la région de Kachalinskaya et Kletskaya. Le quartier général a tenté de déterminer les parties les plus vulnérables des formations ennemies. En fin de compte, la stratégie de l’opération a commencé à consister dans le fait que les frappes de l’Armée rouge ont été portées à l’arrière et sur les flancs des formations les plus prêtes au combat et les plus dangereuses. C'est là qu'ils étaient le moins protégés. Grâce à une bonne organisation, l’opération Uranus est restée secrète pour les Allemands jusqu’au jour où elle a commencé. La surprise et la coordination des actions des unités soviétiques ont fait leur jeu.
Encercler l'ennemi
Comme prévu, la contre-offensive soviétique à Stalingrad débute le 19 novembre. Elle fut précédée d'un puissant barrage d'artillerie. Avant l’aube, le temps a fortement changé, ce qui a entraîné des ajustements dans les plans du commandement. Un épais brouillard ne permettait pas aux avions de décoller, la visibilité étant extrêmement faible. Par conséquent, l’accent a été mis sur la préparation de l’artillerie.
La première à être attaquée fut la 3e armée roumaine, dont les défenses furent percées. troupes soviétiques. Les Allemands étaient à l'arrière de cette formation. Ils ont tenté d’arrêter l’Armée rouge, mais n’ont pas réussi. La défaite de l'ennemi a été achevée par le 1er corps blindé sous la direction de Vasily Butkov et le 26e corps blindé d'Alexei Rodin. Ces unités, ayant accompli leur tâche, commencèrent à avancer vers Kalach.
Le lendemain, l'offensive des divisions du front de Stalingrad débute. Durant les premières 24 heures, ces unités ont avancé de 9 kilomètres, franchissant défense ennemie aux abords sud de la ville. Après deux jours de combats, trois divisions d'infanterie allemandes sont vaincues. Le succès de l’Armée rouge a choqué et embarrassé Hitler. La Wehrmacht a décidé que le coup pourrait être atténué par un regroupement des forces. Finalement, après avoir examiné plusieurs options, les Allemands ont transféré à Stalingrad deux autres divisions de chars, qui opéraient auparavant dans le Caucase du Nord. Paulus, jusqu'au jour même où eut lieu l'encerclement final, continua d'envoyer des rapports victorieux dans son pays natal. Il répétait obstinément qu'il ne quitterait pas la Volga et qu'il ne permettrait pas que sa 6e armée soit bloquée.
21 novembre 4 et 26 corps de chars Front sud-ouest atteint la ferme Manoilin. Les voici, c'est fini manœuvre inattendue, tournant brusquement vers l'est. Désormais, ces unités se dirigeaient directement vers le Don et Kalach. L'avancée de l'Armée rouge a tenté de retarder la 24e Wehrmacht, mais toutes ses tentatives n'ont abouti à rien. À ce moment-là poste de commandement La 6e armée de Paulus s'est redéployée d'urgence vers le village de Nizhnechirskaya, de peur d'être prise par une attaque de soldats soviétiques.
L’opération Uranus a démontré une fois de plus l’héroïsme des soldats de l’Armée rouge. Par exemple, le détachement avancé du 26e Corps blindé, composé de chars et de véhicules, a traversé le pont sur le Don près de Kalach. Les Allemands se sont révélés trop négligents: ils ont décidé qu'une unité amie, équipée d'armes capturées, se dirigeait vers eux. Technologie soviétique. Profitant de cette connivence, les soldats de l'Armée rouge détruisirent les gardes détendus et prirent une défense périmétrique, en attendant l'arrivée des forces principales. Le détachement tient sa position malgré de nombreuses contre-attaques ennemies. Finalement, le 19 lui parvint brigade de chars. Ces deux formations assuraient conjointement le passage des principales forces soviétiques se précipitant pour traverser le Don dans la région de Kalach. Pour cet exploit, les commandants Georgy Filippov et Nikolai Filippenko ont reçu à juste titre le titre de Héros de l'Union soviétique.
Le 23 novembre, les unités soviétiques prennent le contrôle de Kalach, où 1 500 soldats de l'armée ennemie sont capturés. Cela signifiait l'encerclement effectif des Allemands et de leurs alliés restés à Stalingrad et entre la Volga et le Don. L'opération Uranus a été un succès dans sa première étape. Aujourd'hui, 330 000 personnes ayant servi dans la Wehrmacht ont dû percer le ring soviétique. Dans ces circonstances, le commandant de la 6e armée blindée, Paulus, demanda à Hitler la permission de percer vers le sud-est. Le Führer a refusé. Parallèlement, les forces de la Wehrmacht, situées près de Stalingrad mais non encerclées, ont été regroupées en nouveau groupe armées "Don". Cette formation était censée aider Paulus à briser l'encerclement et à tenir la ville. Les Allemands piégés n’avaient d’autre choix que d’attendre l’aide extérieure de leurs compatriotes.
Des perspectives peu claires
Bien que le début de la contre-offensive des troupes soviétiques près de Stalingrad ait conduit à l'encerclement d'une partie importante forces allemandes, ce succès incontestable ne signifiait pas du tout que l’opération était terminée. Les soldats de l’Armée rouge ont poursuivi leurs attaques contre les positions ennemies. Le groupe de la Wehrmacht était extrêmement important, le quartier général espérait donc percer les défenses et le diviser en au moins deux parties. Cependant, en raison du rétrécissement notable du front, la concentration des forces ennemies est devenue considérablement plus élevée. La contre-offensive soviétique près de Stalingrad ralentit.
Pendant ce temps, la Wehrmacht préparait un plan pour l’opération Wintergewitter (qui se traduit par « Tempête hivernale »). Son objectif était d'assurer l'élimination de l'encerclement de la 6e armée sous la direction du groupe d'armées Don. La planification et l'exécution de l'opération Wintergewitter ont été confiées au maréchal Erich von Manstein. Maison force d'impact Les Allemands devinrent cette fois la 4ème Armée Panzer sous le commandement d'Hermann Hoth.
"Gewitter d'hiver"
Aux tournants de la guerre, la balance penche d’abord d’un côté ou de l’autre, et jusqu’au dernier moment on ne sait absolument pas qui sera le vainqueur. Ce fut le cas sur les bords de la Volga fin 1942. Le début de la contre-offensive des troupes soviétiques près de Stalingrad revient à l'Armée rouge. Cependant, le 12 décembre, les Allemands tentent de prendre l’initiative en main. Ce jour-là, Manstein et Goth commencèrent à mettre en œuvre le plan Wintergewitter.
Étant donné que les Allemands ont lancé leur attaque principale depuis la zone du village de Kotelnikovo, cette opération a également été appelée Kotelnikovskaya. Le coup était inattendu. L'Armée rouge a compris que la Wehrmacht tenterait de briser le blocus de l'extérieur, mais une attaque depuis Kotelnikovo était l'une des options les moins envisagées pour développer la situation. Sur le chemin des Allemands, tentant de venir au secours de leurs camarades, le 302e fut le premier division de fusiliers. Elle était complètement distraite et désorganisée. Hoth réussit donc à créer une brèche dans les positions occupées par la 51e armée.
Le 13 décembre, la 6e division blindée de la Wehrmacht attaque les positions occupées par le 234e régiment de chars, soutenu par la 235e brigade blindée séparée et le 20e chasseur antichar. brigade d'artillerie. Ces formations étaient commandées par le lieutenant-colonel Mikhaïl Diasamidze. A proximité se trouvait également le 4ème corps mécanisé Vassili Volsky. Groupes soviétiquesétaient situés près du village de Verkhne-Kumskoye. Lutte Les troupes soviétiques et les unités de la Wehrmacht ont duré six jours pour en prendre le contrôle.
La confrontation qui a eu lieu avec avec plus ou moins de succès des deux côtés, elle a failli se terminer le 19 décembre. groupe allemand fut renforcé par de nouvelles unités venant de l'arrière. Cet événement a forcé Commandants soviétiques retraite vers la rivière Myshkova. Cependant, ce retard de cinq jours dans l’opération a également fait le jeu de l’Armée rouge. Alors que les soldats combattaient dans chaque rue de Verkhne-Kumsky, la 2e Armée fut amenée dans cette zone voisine. armée de gardes.
Moment critique
Le 20 décembre, l'armée de Hoth et de Paulus n'étaient séparées que de 40 kilomètres. Cependant, les Allemands, tentant de briser le blocus, avaient déjà perdu la moitié de leur personnel. L’avancée ralentit et finit par s’arrêter. Les pouvoirs de Goth ont disparu. Désormais, pour briser l’anneau soviétique, il fallait l’aide des Allemands encerclés. Le plan de l'opération Wintergewitter comprenait en théorie plan supplémentaire"Donnerschlag". Cela consistait dans le fait que la 6e armée bloquée de Paulus devait aller à la rencontre des camarades qui tentaient de briser le blocus.
Cependant, cette idée ne s'est jamais concrétisée. Il s’agissait du même ordre d’Hitler : « ne quittez jamais la forteresse de Stalingrad ». Si Paulus avait franchi le ring et s'était uni à Goth, il aurait bien sûr laissé la ville derrière lui. Le Führer considérait cette tournure des événements comme une défaite et une honte totales. Son interdiction était un ultimatum. Certes, si Paulus s'était frayé un chemin dans les rangs soviétiques, il aurait été jugé dans son pays natal comme traître. Il l’a bien compris et n’a pas pris l’initiative au moment le plus crucial.
La retraite de Manstein
Pendant ce temps, sur le flanc gauche de l’attaque des Allemands et de leurs alliés, les troupes soviétiques ont pu résister puissamment. Les divisions italiennes et roumaines combattant sur cette section du front se retirèrent sans autorisation. Le vol a pris un caractère d'avalanche. Les gens ont quitté leurs positions sans se retourner. Désormais, la voie vers Kamensk-Shakhtinsky, sur les rives du nord du Donets, était ouverte à l'Armée rouge. Cependant Tâche principale Les unités soviétiques sont devenues Rostov occupée. En outre, les aérodromes stratégiquement importants de Tatsinskaya et de Morozovsk, nécessaires à la Wehrmacht pour le transfert rapide de nourriture et d'autres ressources, ont été exposés.
À cet égard, le 23 décembre, le commandant de l'opération, Manstein, a donné l'ordre de battre en retraite afin de protéger les infrastructures de communication situées à l'arrière. La 2e armée de la garde de Rodion Malinovsky profite de la manœuvre ennemie. Les flancs allemands étaient tendus et vulnérables. Le 24 décembre, les troupes soviétiques rentrent dans Verkhne-Kumsky. Le même jour, le front de Stalingrad lance une offensive vers Kotelnikovo. Hoth et Paulus n'ont jamais pu se connecter et fournir un couloir pour la retraite des Allemands encerclés. L'opération Wintergewitter a été suspendue.
Achèvement de l'opération Uranus
Le 8 janvier 1943, lorsque la situation des Allemands encerclés devint finalement désespérée, le commandement de l'Armée rouge lança un ultimatum à l'ennemi. Paulus a dû capituler. Il s’y refuse cependant, suivant les ordres d’Hitler, pour qui un échec à Stalingrad aurait été un coup terrible. Lorsque le quartier général apprit que Paulus insistait seul, l'offensive de l'Armée rouge reprit avec encore plus de force.
Le 10 janvier, le Front du Don entame la liquidation définitive de l'ennemi. Selon diverses estimations de l'époque, environ 250 000 Allemands étaient piégés. La contre-offensive soviétique à Stalingrad durait depuis deux mois et il fallait maintenant un dernier effort pour la mener à bien. Le 26 janvier, le groupe encerclé de la Wehrmacht est divisé en deux parties. La moitié sud se trouvait au centre de Stalingrad, dans la zone de l'usine de Barrikady et usine de tracteurs- au nord. Le 31 janvier, Paulus et ses subordonnés se rendirent. Le 2 février, la résistance du dernier détachement allemand est brisée. Ce jour-là, la contre-offensive des troupes soviétiques près de Stalingrad prend fin. Cette date devint en outre la date définitive de toute la bataille sur les rives de la Volga.
Résultats
Quelles ont été les raisons du succès de la contre-offensive soviétique à Stalingrad ? À la fin de 1942, la Wehrmacht manquait de main-d’œuvre fraîche. Il ne restait tout simplement plus personne à lancer dans la bataille à l’Est. Les forces restantes étaient épuisées. Stalingrad est devenu point extrême Offensive allemande. Dans l'ancien Tsaritsyne, cela s'étouffait.
La clé de toute la bataille fut le début de la contre-offensive près de Stalingrad. L'Armée rouge, sur plusieurs fronts, a pu d'abord encercler puis éliminer l'ennemi. 32 divisions et 3 brigades ennemies ont été détruites. Au total, les Allemands et leurs alliés de l'Axe ont perdu environ 800 000 personnes. Chiffres soviétiquesétaient également colossaux. L'Armée rouge a perdu 485 000 personnes, dont 155 000 tués.
Pendant deux mois et demi d'encerclement, les Allemands n'ont fait aucune tentative pour sortir de l'encerclement de l'intérieur. Ils attendaient de l'aide pour " grand terrain«Cependant, la levée du blocus par le groupe d'armées Don de l'extérieur a échoué. Néanmoins, dans le temps imparti, les nazis ont mis en place un système d'évacuation aérienne, à l'aide duquel environ 50 000 soldats (principalement des blessés) sont sortis de l'encerclement. Ceux qui sont restés à l’intérieur du ring sont morts ou ont été capturés.
Le plan de contre-offensive à Stalingrad a été exécuté avec succès. L’Armée rouge a renversé le cours de la guerre. Après ce succès, le processus progressif de libération du territoire de l'Union Soviétique de Occupation nazie. En général, la bataille de Stalingrad, dont la contre-offensive des forces armées soviétiques était l'accord final, s'est avérée être l'une des batailles les plus importantes et les plus sanglantes de l'histoire de l'humanité. Les combats dans les ruines incendiées, bombardées et ravagées furent encore compliqués par le temps hivernal. De nombreux défenseurs de leur patrie sont morts à cause du climat froid et des maladies qu'il provoquait. Néanmoins, la ville (et ensuite l’ensemble de l’Union soviétique) fut sauvée. Le nom de la contre-offensive de Stalingrad – « Uranus » – est inscrit à jamais dans l’histoire militaire.
Raisons de la défaite de la Wehrmacht
Beaucoup plus tard, après la fin de la Seconde Guerre mondiale, Manstein publia des mémoires dans lesquels il décrivait en détail son attitude envers Bataille de Stalingrad et la contre-offensive soviétique en dessous. Il imputait à Hitler la mort de la 6e armée encerclée. Le Führer ne voulait pas rendre Stalingrad et jetait ainsi une ombre sur sa réputation. Pour cette raison, les Allemands se sont d'abord retrouvés dans un chaudron, puis complètement encerclés.
Les forces armées du Troisième Reich connurent d’autres complications. L'aviation de transport n'était clairement pas suffisante pour fournir aux divisions encerclées les munitions, le carburant et la nourriture nécessaires. Le couloir aérien n’a jamais été pleinement utilisé. En outre, Manstein a mentionné que Paulus avait refusé de percer l’anneau soviétique vers Hoth précisément à cause du manque de carburant et de la peur de subir une défaite finale, tout en désobéissant aux ordres du Führer.
La bataille est l'une des événements majeurs Deuxième Guerre mondialeet avec la bataille sur Renflement de Koursk devenu tournant lors d'opérations militaires, après quoi les troupes allemandes ont finalement perdu l'initiative stratégique. La bataille comprenait la tentative de la Wehrmacht de capturer la rive gauche de la Volga dans la région de Stalingrad (Volgograd moderne) et la ville elle-même, l'affrontement dans la ville et la contre-offensive de l'Armée rouge.(Opération Uranus), à la suite de laquelle la 6e armée de la Wehrmacht et d'autres forces alliées allemandes dans et autour de la ville furent encerclées et en partie détruites et en partie capturées.
Bataille de Stalingrad (du 17 juillet 1942 au 2 février 1943) - le plus bataille sanglante Dans l'histoire de l'humanité, selon des estimations approximatives, les pertes totales des deux côtés dans cette bataille dépassent les deux millions de personnes.
Événements précédents
Le 22 juin 1941, l’Allemagne et ses alliés envahissent l’Union soviétique, se déplaçant rapidement vers l’intérieur des terres. Après avoir subi des défaites lors des combats de l'été-automne 1941, les troupes soviétiques contre-attaquent lors de la bataille de Moscou en décembre 1941 contre des troupes allemandes affaiblies, mal équipées pour les combats hivernaux et aux arrières étirés, précédemment arrêtées aux abords de la capitale, et lors de la contre-offensive, ils furent repoussés.
Hiver 1941-1942 Front soviéto-allemand stabilisé. Les plans d'une nouvelle attaque contre Moscou ont été rejetés par Adolf Hitler, malgré le fait que généraux allemands a insisté sur cette option. Cependant, Hitler pensait qu’une attaque contre Moscou serait trop prévisible. Pour toutes ces raisons commandement allemand a envisagé des plans pour de nouvelles offensives dans le nord et le sud. Une attaque contre le sud de l'URSS assurerait le contrôle de champs de pétrole Caucase (régions de Grozny et de Bakou), ainsi que sur la Volga - le principal artère de transport, connexion partie européenne pays avec la Transcaucasie et Asie centrale. Une victoire allemande dans le sud de l’Union soviétique pourrait sérieusement ébranler l’industrie soviétique.
Les dirigeants soviétiques, encouragés par les succès près de Moscou, tentèrent de prendre l'initiative stratégique et, en mai 1942, lancèrent d'importantes forces à l'offensive près de Kharkov. L'offensive a commencé depuis le rebord de Barvenkovsky au sud de Kharkov, qui a été formé à la suite offensive hivernale Front sud-ouest. Une caractéristique de cette offensive était l'utilisation d'une nouvelle formation mobile soviétique - un corps de chars, qui, en termes de nombre de chars et d'artillerie, correspondait approximativement au corps allemand. division de chars, cependant, il lui était nettement inférieur en termes de nombre d'infanterie motorisée. A cette époque, les Allemands planifiaient simultanément une opération visant à couper le rebord de Barvenkovsky.
L'offensive de l'Armée rouge était si inattendue pour la Wehrmacht qu'elle faillit se terminer par un désastre pour le groupe d'armées Sud. Cependant, les Allemands décidèrent de ne pas modifier leurs plans et, grâce à la concentration de leurs troupes sur les flancs de la corniche, percèrent les défenses des troupes soviétiques. La plupart de Le front sud-ouest était encerclé. Au cours des batailles de trois semaines qui ont suivi, mieux connues sous le nom de « deuxième bataille de Kharkov », les unités en progression de l'Armée rouge ont subi une lourde défaite. Selon les données allemandes, plus de 200 000 personnes ont été capturées à elles seules, selon les archives soviétiques pertes irrécupérables L'Armée rouge comptait 170 958 personnes et de nombreuses armes lourdes ont également été perdues au cours de l'opération. Après la défaite près de Kharkov, le front au sud de Voronej était pratiquement ouvert (Voir carte Mai - juillet 1942 ). La clé du Caucase, la ville de Rostov-sur-le-Don, si difficilement défendue en novembre 1941, a été perdue par les troupes soviétiques.
Après le désastre de Kharkov de l'Armée rouge en mai 1942, Hitler est intervenu planification stratégique, ordonnant au groupe d'armées Sud de se diviser en deux. Le groupe d'armées A devait poursuivre l'attaque contre Caucase du Nord. Le groupe d'armées B, comprenant la 6e armée de Friedrich Paulus et la 4e armée blindée de G. Hoth, était censé se déplacer vers l'est en direction de la Volga et de Stalingrad.
La prise de Stalingrad était très importante pour Hitler pour plusieurs raisons. C'était une grande ville industrielle sur les rives de la Volga, le long de laquelle se trouvaient des voies de transport vitales reliant le centre de la Russie à Régions du sud URSS, y compris le Caucase et la Transcaucasie. Ainsi, la prise de Stalingrad permettrait aux nazis de couper les communications maritimes et terrestres vitales pour l'URSS et de couvrir de manière fiable le flanc gauche de ceux qui avancent dans le Caucase. Troupes allemandes et créer Problèmes sérieux avec du ravitaillement pour les unités de l'Armée rouge qui leur opposaient. Enfin, le fait même que la ville portait le nom de Staline – le principal ennemi d’Hitler – a fait de la prise de la ville une initiative idéologique et de propagande gagnante. Cependant, certains chercheurs pensent que raison principale, selon lequel Hitler a insisté pour capturer et tenir la ville (même lorsque la menace d'encerclement de la 6e armée est devenue évidente), aurait été son accord secret avec les dirigeants turcs sur son entrée en guerre immédiatement après que la Wehrmacht ait rendu le transfert impossible le long de la Volga des troupes et des armes soviétiques en Transcaucasie.
L'offensive estivale de la Wehrmacht reçut le nom de code « Fall Blau ». Cette phrase n'a pas Allemand correspondance syntaxique stricte, de sorte qu'il n'a pas de traduction claire. Avec quelques libertés, il peut être traduit par « Azure Case », par « Blue Fall » et par « Drunken Case ».
L'opération Fall Blau a commencé avec l'offensive du groupe d'armées Sud contre les troupes du front de Briansk au nord et les troupes du front sud-ouest au sud de Voronej. Les 6e et 17e armées de la Wehrmacht, les 1re et 4e armées de chars y participèrent. Il convient de noter que, malgré une pause de deux mois dans les hostilités actives, pour les troupes du front de Briansk, le résultat n'a pas été moins catastrophique que pour les troupes du front sud-ouest, battues par les combats de mai. Le premier jour de l'opération, les deux Front soviétique ont été percés sur des dizaines de kilomètres de profondeur et les Allemands se sont précipités vers le Don. Les troupes soviétiques ne purent opposer qu'une faible résistance dans les vastes steppes désertiques, puis commencèrent à affluer vers l'est dans le plus grand désordre. Les tentatives de reformation de la défense se sont également soldées par un échec complet lorsque Unités allemandes atteint les positions défensives soviétiques par le flanc. À la mi-juillet, plusieurs divisions de l'Armée rouge sont tombées dans la poche du sud. Région de Voronej, près de la ville de Millerovo (au nord de la région de Rostov).
L'un des facteurs importants qui ont contrecarré les plans allemands a été l'échec opération offensiveà Voronej. Ayant facilement capturé la partie de la rive droite de la ville, l'ennemi n'a pas pu s'appuyer sur ce succès et la ligne de front s'est alignée sur la rivière Voronej. La rive gauche est restée aux troupes soviétiques et les tentatives répétées des Allemands pour déloger l'Armée rouge de la rive gauche ont échoué. Les troupes allemandes étaient à court de ressources pour continuer actions offensives, et les batailles pour Voronej sont entrées dans la phase de position. Du fait que les principales forces armée allemande ont été envoyés à Stalingrad, l'offensive sur Voronej a été arrêtée, les unités les plus prêtes au combat du front ont été retirées et transférées à la 6e armée de Paulus. Par la suite, ce facteur a joué un rôle important dans la défaite des troupes allemandes à Stalingrad.
Après la prise de Rostov, Hitler transféra la 4e armée blindée du groupe A (avançant dans le Caucase) au groupe B, dirigé vers l'est en direction de la Volga et de Stalingrad.
L'offensive initiale de la 6e armée fut un tel succès qu'Hitler intervint à nouveau, ordonnant à la 4e armée de chars rejoindre le groupe d'armées Sud (A). En conséquence, un énorme embouteillage s'est développé lorsque les 4e et 6e armées avaient besoin de plusieurs routes dans la zone d'opération. Les deux armées étaient étroitement coincées et le retard s'est avéré assez long et a ralenti l'avancée allemande d'une semaine. Avec le ralentissement de l'avancée, Hitler changea d'avis et réaffecta l'objectif de la 4e armée blindée vers Stalingrad.
Disposition des forces avant la bataille
Allemagne
Groupe d'armées B. La 6e armée (commandée - F. Paulus) fut affectée à l'attaque de Stalingrad. Il comprenait 13 divisions, qui comptaient environ 270 000 personnes, 3 000 canons et mortiers et environ 500 chars.
L'armée était soutenue par la 4e flotte aérienne (commandée par le colonel-général Wolfram von Richthofen), qui comptait jusqu'à 1 200 avions (les avions de combat visant Stalingrad, au début de la bataille pour cette ville, étaient composés d'environ 120 Messerschmitt Bf .109F- avions de chasse 4/G-2 (divers sources nationales donnent des chiffres allant de 100 à 150), plus une quarantaine de Bf.109E-3 roumains obsolètes).
Au total, environ 2 millions de soldats et d'officiers ont pris part à la bataille du côté allemand.
A la fin de la bataille, pertes totales représentait environ 1,5 million de personnes.
Front de Stalingrad (commandant - S.K. Timoshenko, à partir du 23 juillet - V.N. Gordov, à partir du 9 août - Colonel-général A.I. Eremenko). Il comprenait les 62e, 63e, 64e, 21e, 28e, 38e et 57e armées interarmes, 8ème aviation(L'aviation de chasse soviétique comptait ici au début de la bataille 230 à 240 chasseurs, principalement des Yak-1) et la flottille militaire de la Volga - 37 divisions, 3 corps de chars, 22 brigades, qui comptaient 547 000 personnes, 2 200 canons et mortiers, environ 400 chars, 454 avions, 150 à 200 bombardiers longue portée et 60 chasseurs de défense aérienne.
(Les pertes de l'Armée rouge lors de la bataille de Stalingrad se sont élevées à plus de 1,1 million de personnes, 4 341 chars et 2 769 avions.)
