Je ne peux pas sentir mon corps. Ahimsa – Une personne en bonne santé ne sent pas son corps ! Cette expérience est connue de la science depuis longtemps

Julia, la même chose m'est arrivée aujourd'hui, je conduisais, je n'étais pas comme ça depuis longtemps, mon corps ne ressentait plus, j'avais l'impression de tomber à travers le siège, PA a commencé, mon cœur faisait un bond , je trouvais à peine une place de parking car je roulais dans une circulation dense, c'était à l'heure du déjeuner, 5 minutes et tout s'est envolé, j'ai dû me donner une goutte de Pumpan, je suis sorti récemment, ça semble être parti loin, mais je tiens à souligner que depuis six mois maintenant j'ai l'impression d'être ivre, ma tête est lourde, c'est impossible de se concentrer, j'ai l'impression que l'image flotte, c'est tout cela empire quand on roule en mouvement , lorsqu'une certaine attention est requise, un sentiment d'anxiété apparaît, on ne comprend pas où l'on va et ce qui se passe, j'arrive à peine à me ressaisir, je n'arrive pas à travailler, je vais y aller en vacances de longue durée, comme il est désormais impossible de tolérer cette condition la plus terrible, le sentiment d'être sur le point de devenir fou et que cela vous accompagnera pour le reste de votre vie, j'étais à l'hôpital pendant que dès que tout a commencé, depuis six mois déjà, le neurologue a diagnostiqué un OCS, région cervicale, elle a dit que tout cela était à cause de lui, même si je n'ai jamais eu de douleur au cou ni à la colonne vertébrale, la seule chose qui me dérange depuis 6 ans maintenant c'est un bourdonnement sauvage dans mes oreilles, et une sensation de naufrage, je arrête de sentir mon corps, et l'AP commence, mais c'est la sensation de naufrage qui arrive rarement, la sonnerie est déjà devenue écrasante, surtout avant de se coucher dans un silence complet, parfois ce n'est tout simplement pas possible de s'endormir, il faut s'endormir avec la télévision allumée, j'ai donc été traité pour cela avec des OCS (boralgine, Cavinton, Mexidol et vitamines), après la sortie, ça ne s'est pas amélioré, ça a empiré chaque jour, j'ai dû recontacter, seulement avec un autre neurologue, et encore une fois en vain, les pilules suivantes ont été prescrites (Betaserc, Bellataminal, Mexidol et Cavinton Forte.) et aussi Magne B6, j'ai suivi une cure de ces pilules, aucun résultat, tout empire au travail et j'ai décidé d'y aller. une clinique payante pour voir un neurologue rémunéré (mais maintenant neurochirurgien) et lui a expliqué tous les symptômes : acouphènes, sensation d'ivresse, yeux qui s'assombrissent, pincement de la tête (parfois), sensation de naufrage (parfois), peur de devenir fou. Pour lequel on m'a finalement prescrit un examen complet : IRM de la tête, du cou, échographie de la thyroïde, écho du cœur. analyse générale taux sanguins, hormones, etc. Tous les paramètres sanguins sont dans les limites normales. Sur la base des résultats d'une IRM de la tête, aucune pathologie n'a été identifiée. D'après les résultats du cou, il y a une légère courbure de la colonne vertébrale avec un déplacement vers la gauche. Conclusion : Des modifications dégénératives-dystrophiques de la colonne cervicale, des malformations, des dilatations anévrismales et des sténoses n'ont pas été identifiées. résultats du Doppler Doppler Doppler : entrée élevée de l'artère vertébrale droite dans le canal osseux, probablement due à une ostéochondrose de la colonne cervicale, la vitesse du sang dans l'artère vertébrale droite a été réduite à 9 cm/s. L'écho cardiaque est normal. La glande thyroïde est également normale. Maintenant, sur la photo suivante, le médecin n'a vu aucune raison de poser un diagnostic et a décidé que je suis en parfaite santé du point de vue neurologique et que cela ne peut pas affecter une personne comme ça, c'est vrai. pas assez pour de telles conditions. Elle a dit que le cerveau est alimenté par un pool différent et que si j'ai déjà vécu jusqu'à l'âge de 22 ans, alors ces états ne peuvent être qu'en arrière-plan. troubles mentaux, dépression, stress sévère ou intoxication grave Le traitement suivant a été prescrit (comprimés, sirdalud, bétagistine, némisil, glycine. Milgamma intramusculaire, alflutop. intraveineuse, cytoflavine, actovegin) Que dois-je faire ? personne ne peut comprendre ce qui m'arrive, et ce que c'est réellement, est-ce que le VSD se manifeste vraiment de cette façon !? J'espère que c'est le dernier médecin qui a prescrit le traitement correct et a dit que tout cela n'a aucun sens, il vous suffit de vous ressaisir et de moins vous conduire (la réponse de n'importe quel médecin), peu importe mes efforts, je peux Je ne m'en convainc pas et m'en débarrasse cette fois et pour tout, j'ai essayé tout ce qui était possible (massages, thérapie manuelle, piscine 2-3 fois par semaine), j'ai arrêté l'alcool, je ne fume pas et j'ai presque jamais vraiment fumé, je n'ai fait que du sport dans mon enfance. Course à pied, salles de sport, rien n'y fait, tout reste à sa place, j'espère que ce traitement soulagera au moins un peu mon état. Je souhaite à tous de la patience et un prompt rétablissement !

Je ne sens pratiquement pas mon corps ; parfois, par exemple, je pose mon téléphone sur la table de nuit et j'oublie presque immédiatement où il se trouve. Je n’ai pas mal à la tête, mais je pense toujours qu’il pourrait y avoir une tumeur ou un cancer du cerveau. Cela pourrait-il être dû au fait que j'ai un corps en pleine croissance et un âge de transition ? Ceci est apparu après avoir passé beaucoup de temps devant l'ordinateur.

Réponse du psychologue de la Solution :

La dépersonnalisation comme signe de névrose

Le détachement de ses sensations, un sentiment d’aliénation de son propre corps s’appelle la dépersonnalisation. Ce syndrome survient en cas de maladie mentale, rarement seul. Ce syndrome appartient au troisième niveau névrotique. Une caractéristique du syndrome de dépersonnalisation peut être l'apparition d'un sentiment de changement personnel, s'observant comme si de l'extérieur, séparément de son corps, il pouvait y avoir un sentiment d'aliénation de son propre corps. propres pensées.

Dépersonnalisation chez les personnes en bonne santé

Ensuite, ce phénomène est de nature épisodique et la personne ne ressent pas un tel état comme douloureux. Dans ce cas, la dépersonnalisation n’altère pas la capacité de fonctionner adéquatement. La dépersonnalisation est particulièrement courante dans adolescence et, en règle générale, disparaît spontanément. La fatigue, l'épuisement, le manque de sommeil et les événements stressants provoquent une dépersonnalisation. Sur cette base, théoriquement longue durée le temps passé devant l'ordinateur peut conduire au développement de la dépersonnalisation, car il conduit à... Certains auteurs notent que le syndrome de dépersonnalisation survient plus souvent chez les personnes infantiles sujettes à une introspection excessive et présentant des traits de personnalité démonstratifs.

Signes de trouble de dépersonnalisation

La dépersonnalisation se produit dans la structure du trouble du même nom ou en combinaison avec d'autres syndromes. Si les sentiments de dépersonnalisation surviennent fréquemment, sont douloureux, se produisent de manière répétée ou durent pendant longtemps, interfèrent avec la capacité d’accomplir les activités quotidiennes et de s’adapter à la société, vous pouvez alors penser au trouble de dépersonnalisation. Ce trouble mental survient généralement sous l'influence de situations psychotraumatiques fortes, du stress et de la consommation de substances psychoactives.
Le syndrome de dépersonnalisation-déréalisation survient rarement seul ; le plus souvent, il fait partie des symptômes d'autres troubles et maladies mentaux plus complexes, et peut s'accompagner d'une diminution de l'humeur jusqu'au niveau de développement de phénomènes psychotiques (hallucinations, délires). .

Consulter un psychiatre pour un diagnostic différentiel

Faites attention à la fréquence à laquelle cette condition se produit et à quel point elle vous dérange. Si vous remarquez le caractère douloureux de telles expériences, ainsi que l'ajout des symptômes énumérés ci-dessus, vous devez alors contacter un psychiatre de votre lieu de résidence pour un diagnostic et la prescription d'un traitement approprié. Si un psychiatre identifie votre état comme une névrose et que la dépersonnalisation est identifiée comme un signe de névrose, vous serez prescrit et envoyé à un psychothérapeute ou à un psychologue clinicien. Si votre psychiatre constate que votre trouble de dépersonnalisation est une composante d'autres troubles plus complexes, des médicaments peuvent vous être prescrits. Bonne chance à vous !

Bonjour.. J'espère vraiment votre réponse ! Je m'appelle Karina, j'ai 16 ans (ma sœur écrit sur sa page que je veux vous le dire et vous demander) le fait est que j'ai cette condition depuis deux. des années maintenant.. comme si je n'étais pas dans mon corps.. au début, c'était une sorte de sensations passagères.. me voilà en train de marcher dans la rue.. je me sens bien... et puis tout d'un coup, cette sensation.. comme si Je ne suis pas dans mon corps... comme si je ressentais tout. J'entends... mais ce sentiment d'inhibition... a duré quelques minutes... et puis l'état normal est revenu.....je me suis plaint auprès de moi. ma mère et ma sœur... mes parents disaient que cela pouvait être dès l'adolescence... et ma sœur Elle a dit qu'à mon âge elle avait aussi des sensations si momentanées... mais pour elle elles passaient... et pour moi avec le temps ... ces états arrivaient... de plus en plus souvent... et deux ans plus tard... je suis constamment dans cet état... maintenant j'ai toujours le sentiment de ne pas être dans mon corps... ça rend vraiment difficile la concentration... ma mémoire a commencé à disparaître... ça me dérange vraiment d'étudier... c'est très difficile pour moi de m'inscrire l'année prochaine à l'université... mais je ne peux pas étudier..je ça m'inquiète beaucoup..quand je lis quelque chose...j'oublie immédiatement..ce qui est écrit dans la phrase précédente...des chiffres, des dates, des chiffres, des noms...je ne me souviens de rien...c'est a commencé à me faire peur... je n'ai pas l'impression que ma vie est pleine... c'est comme si j'étais dans une autre dimension... j'ai l'impression d'avoir une bonne audition... et une bonne vision... mais les sons m'atteignent comme si avec un écho... comme s'il y avait un trou noir dans ma tête... et tout s'y envole... J'ai constamment besoin de redemander... ce qu'ils m'ont dit... plusieurs fois... parce que je peux Je ne me concentre pas... et c'est pour ça qu'à l'école, quand ils me posent des questions..ils pensent que je fais ça exprès..parce que je n'ai pas appris..et mes parents pensent que je fais semblant.. .mais en réalité..c'est l'état... qui me fait déprimer d'une manière ou d'une autre... ça fait très mal au niveau du cou... et une balle dans la tête... ma tête est devenue lourde ... Je suis pratiquement incapable de me concentrer... pour répondre à une question ou comprendre une question... Je dois... réfléchir longtemps... pour au moins donner une réponse adéquate... dernièrement..si je ne peux pas répondre..je commence à pleurer parce que je ne peux rien dire. Maintenant, je suis dans un état de dépression croissante...Je ne comprends pas ce qui m'arrive..je demande à mon. sœur... on dirait que je deviens folle ?! tout est devenu incontrôlable, je ne peux pas le contrôler.. ma mémoire, mes sentiments... ma tête est lourde.. je suis comme une créature *inanimée* qui marche !!! tout a commencé spontanément il y a environ deux ans.. ce sont les sensations.. puis j'ai commencé à remarquer que les conditions deviennent plus fréquentes PARFOIS lorsque les menstruations sont planifiées ou en cours.. mais hier et aujourd'hui... cela ne dépend pas des menstruations ! cette condition est permanente.. J'ai déjà oublié ce que c'est quand on se sent dans son corps....... Je n'ai pas fumé, je n'ai pas pris de drogue. , je n'ai eu aucune blessure à la tête, je n'ai jamais eu mal à quoi que ce soit (à part mon ventre).... s'il te plaît.. je t'en supplie, dis-moi ce que c'est peut-être..où aller..quels examens faut-il faire ?

Il y a de nombreuses années, lors d'une conversation, mon professeur Shailendra Sharma a demandé : « Connaissez-vous la définition d'une personne en bonne santé en Ayurveda ? J'ai répondu non. Puis il dit :

« Homme en bonne santé"C'est une personne qui ne sent pas son corps et qui est heureuse."

(L'Ayurveda est la science de la vie. L'Ayur est la vie, le Veda est un ensemble de connaissances.)

Cette phrase résumait étonnamment mes propres recherches sur le thème d'un corps sain, des méthodes pour atteindre cette santé et de la relation entre la santé du corps et l'état mental.

Pourquoi Ahimsa est-il le plus important pour la santé ?

Pour qu'une personne ne sente pas son corps, il faut qu'il soit détendu. On sait que homme moderne porte en lui une énorme quantité de choses profondes et contraintes superficielles. Chaque mouvement d'un corps tendu est lutte continue avec soi-même, avec la force de gravité de la terre et d'autres lois de la physique. Un tel corps souffre constamment d'inconfort et de spasmes musculaires.

Pour développer son corps les gens modernes entraîner les muscles, performer exercice physique, se créent des difficultés physiques artificielles, qu'ils surmontent ensuite et se sentent devenus plus forts. Même les exercices d'étirement sont effectués de la même manière que le travail de force : les gens essaient de vaincre la résistance de leurs tissus tendus, créant ainsi encore plus de pression. Cependant, cette approche de la santé ne fait qu’épuiser le corps. Les muscles et les tissus, même s’ils deviennent plus élastiques et résilients, ce résultat disparaît rapidement. Tout le monde sait que si vous arrêtez de faire de l’exercice, votre corps se déforme rapidement.

Cela crée un sentiment de désespoir chez de nombreuses personnes. C'est comme s'ils étaient un petit animal qui doit courir toute sa vie pour survivre et qui ne peut pas se permettre de s'arrêter et de se détendre.

Malheureusement, dans le yoga moderne enseigné dans les villes, cette approche est très courante.

Pourquoi devrions-nous nous détendre ? Quel est le lien entre la relaxation et notre santé ?

Notre santé physique près de cent pour cent dépend du mouvement du sang dans notre corps. Si une partie du corps ou un organe n’est pas approvisionné en sang ou si le sang est mal pompé et stagne, cela ouvre la porte à toutes les maladies et affections. Si, au contraire, un organe ou une zone du corps a une circulation sanguine normale, alors ni la maladie, ni l'usure précoce ni le vieillissement ne se produiront dans la zone correspondante.

Lorsqu’il s’agit de mouvement fluide dans un système, il y a toujours deux facteurs :

- la force de pression créée par la pompe qui pompe le liquide,

- résistance dans le système que le fluide pompé par la pompe doit surmonter.

Plus la résistance est élevée, plus la pompe doit travailler dur pour pomper le fluide dans tout le système. Notre sang est un fluide qui circule système circulatoire, ce qui précède s'applique donc au système circulatoire.

Dans notre corps, le principal facteur qui crée une résistance à la circulation sanguine est la tension musculaire. Un muscle tendu est dans un état de spasme, ce qui rend difficile l'entrée et la sortie du sang et la nutrition de la partie correspondante du corps se détériore. Afin de bien approvisionner le corps, la pression artérielle commence à augmenter. Ceci est particulièrement visible dans une situation où une personne présente une tension sévère au niveau de la ceinture scapulaire et du cou, ce qui interfère avec l'apport sanguin au cerveau. Puisque le maintien des fonctions cérébrales est la priorité numéro un de notre corps, la pression artérielle augmente afin que le sang puisse « franchir » la barrière créée par les muscles tendus qui pincent les vaisseaux allant à la tête. De plus, la tête est située au-dessus du niveau du cœur, ce qui crée une difficulté supplémentaire sous la forme de la nécessité de vaincre la force de gravité. Une pression croissante entraîne inévitablement une charge accrue sur le cœur et accélère son usure, mais cela ne prolonge pas notre vie.

Pourquoi sommes-nous tendus ?

Il existe de nombreuses raisons de tension, mais toutes peuvent être attribuées à des facteurs physiques ou mentaux.

Les causes physiques du stress sont :

1) Défauts de posture, obligeant le corps à combattre la force de gravité ;

2) Modèles moteurs inefficaces, grâce à quoi plus d'efforts musculaires sont utilisés pour effectuer des actions que ce qui est réellement nécessaire.

3) Froid. Le contact avec le froid a un effet spasmodique sur notre organisme. Le corps se tend. La chaleur, au contraire, détend.

4) Respiration superficielle et intermittente. Toute interruption du cycle respiratoire normal, appelée rythme irrégulier, entraîne des spasmes musculaires dans les muscles et les membres respiratoires. Les respirations conscientes effectuées lors d'exercices ou de pranayama ne s'appliquent pas ici. Si une personne respire peu profondément ou ne peut pas respirer par le ventre ou la poitrine, cela indique généralement une tension sous-jacente permanente.

Les causes mentales du stress sont :

1) Émotions et sentiments négatifs. Chaque émotion négative se reflète dans le corps par un certain schéma de tension. La plupart des émotions négatives ont un emplacement spécifique dans le corps. De plus, les tensions dans le corps manifestent divers sentiments sociaux et personnels, tels que la responsabilité, le désir de posséder quelque chose ou quelqu'un. Tous ces « démons » de notre esprit et de notre psychisme nous contrôlent à travers les tensions du corps.

2) Stresser. Tout stress, qu'il soit fort ou temporaire, ainsi que le stress de fond mineur, se reflète dans le corps sous forme de tension.

3) L'habitude de forcer. C’est-à-dire l’incapacité de détendre les muscles lorsque le besoin de tension est déjà passé.

Toute notre vie, depuis la naissance, nous apprend à nous tendre, consciemment et inconsciemment.

Dans les cours d’éducation physique et dans les clubs sportifs, on nous apprend également à nous fatiguer, à nous battre et à vaincre. Toutes ces tensions nous volent notre vitalité et notre force.

Et personne ne nous apprend à nous détendre.

Comment vaincre les tensions dans le corps ?

La capacité de se détendre est un art particulier. Dans la ville moderne, c’est presque oublié. Nous sommes souvent fascinés par les animaux qui peuvent être complètement détendus et qui, même lorsqu'ils bougent, ne semblent toujours pas tendus. Cela fonctionne particulièrement bien chez les chats. Nous, les citadins, isolés de la nature, devrons réapprendre cette compétence.

Dans l’enseignement de l’art de la relaxation, le yoga n’a pas d’égal. Mais pour cela, il faut faire du yoga de manière yogique (par la compréhension), et non de manière sportive (plus haut, plus loin, plus fort).

Faites du yoga de manière yogique - par la compréhension, et non de manière sportive - plus haut, plus loin, plus fort !

L'étude du yoga classique commence par les principes de Yama. Le mot yama est traduit par contrôle ou retenue. Le premier Yama est Ahimsa – la non-violence. Le but de cette fosse est d'éviter toute violence. Lorsque ce principe est appliqué à la pratique du yoga, principalement à l’exécution d’asanas, il s’avère que nous devons nous abstenir de toute violence contre notre propre corps. Dans le même temps, la plupart des pratiquants, en particulier les pratiquants de yoga débutants, exécutent les asanas sous tension. Ils s'efforcent et endurent, s'efforcent et endurent. Et ce schéma moteur-mental reflète notre approche de la vie et démontre clairement comment nous la vivons. La tension est une violence. Vous devez le quitter.

Puisque nous avons oublié comment se détendre consciemment, pour se détendre, la plupart des gens doivent d'abord se tendre, de sorte que sur fond de tension encore plus grande, l'état habituel semble détendu. Bien que cette approche ressemble plus à une blague : « Si vous vous sentez mal, achetez un éléphant, puis vendez l'éléphant, alors vous comprendrez que vous avez passé un bon moment », mais pour les pratiquants débutants, cela est nécessaire. C’est ainsi que nous obtenons la compréhension primaire de la relaxation-tension.

Mais ce n'est que le début)

Il y a aussi une énorme signification positive inhérente à la pratique du shavasana après la partie active du cours. En shavasana, il devient possible de soulager les tensions résiduelles accumulées dans le corps après avoir effectué des asanas. Mais c'est tout simplement actions initiales sur la maîtrise de l'habileté de la relaxation consciente.

L'étape suivante consiste à transférer l'expérience de relaxation acquise lors du shavasana dans la pratique des asanas. Ici, vous devez apprendre à suivre et à détendre toutes les tensions présentes dans le corps et qui ne sont pas associées à la tenue d'une pose spécifique. En conséquence, l’effet de l’absence de corps se produit. Il ne reste du corps que la sensation de sa coquille due à la différence de température entre le corps et l'air qui le touche. Espace intérieur comme rempli de vide et de légèreté. À propos, le terme « corps vide » est souvent utilisé par les maîtres orientaux pour décrire les sensations correctes dans la pratique du yoga. Ceci n'est pas une métaphore - c'est un état très spécifique qui est le résultat équilibre interne effort, lorsque la tension dans le corps est exactement celle nécessaire pour maintenir la position actuelle, et pas un milligramme de plus.

Malheureusement, l'expérience d'une véritable relaxation dans le mouvement ne peut pas être comprise théoriquement ou décrite avec des mots dans un article, mais peut être transmise par le contact personnel entre l'enseignant et l'élève pendant un cours. Bien que pour cela, l'enseignant lui-même doive très bien comprendre ce qu'est la relaxation et maîtriser cette compétence.

Détente et pranayama.

On dit généralement du pranayama que c'est la science de la respiration. Mais ce n’est pas tout à fait exact. Le pranayama est la science du prana et la respiration n'est qu'une partie de ce système. Une fois que le prana pénètre dans le corps par la respiration et est absorbé dans les poumons, il est absorbé par le sang et transporté dans tout le corps. Pour ceux qui préfèrent méthodes scientifiques explications de tous les processus, nous pouvons dire avec confiance que nous parlons deà propos de l'oxygène qui, en pénétrant dans les cellules, provoque une réaction chimique qui produit de l'énergie.

Le contrôle conscient du mouvement des flux sanguins et, par conséquent, le contrôle du mouvement du prana dans tout le corps est possible en travaillant avec une relaxation consciente. La relaxation des tissus entraîne un écoulement naturel qui attire la masse sanguine (prana) vers l'endroit approprié. La tension, au contraire, crée une compression qui expulse le sang des tissus. Ainsi, en combinant tension et relaxation dans les tissus, le pratiquant du yoga est capable de contrôler consciemment le mouvement du prana au sein du corps.

Conclusions :

Si vous ne traitez pas le corps naturellement, une maladie ou une autre éclatera. Cette maladie est votre amie. Elle affiche : « Comportez-vous mieux, changez de comportement ! D’une certaine manière, vous allez contre nature ! Si trois ou quatre jours je vous ne mangez rien, vous commencerez à avoir des vertiges, vous aurez faim, vous serez déprimé. Tout le corps vous dira : « Prends à manger ! » - parce que le corps a besoin d'énergie.

Rappelez-vous toujours : l’énergie est neutre et toute la qualité de votre être dépend de vous. Vous pouvez être heureux, vous pouvez être malheureux – le choix vous appartient. Personne d'autre n'est responsable.

Quand vous avez faim, mangez. Quand tu as soif, bois. Lorsque vous avez sommeil, allez vous coucher. Ne forcez pas la nature à faire quoi que ce soit. Sur peu de temps vous pouvez le maîtriser ; il y a un peu de liberté là-dedans. Si vous voulez jeûner, vous pouvez jeûner quelques jours, mais Avec chaque jour tu deviendras de plus en plus faible, et chaque jour tu deviendras sentir plus et plus malheureux. Si vous ne voulez pas respirer, vous pouvez arrêter de respirer pendant quelques secondes – une certaine liberté est possible. Mais ce n'est pas très grand, et si vous ne respirez pas bien, vous aurez vite l'impression d'étouffer, de mourir.

Tout malheur existe pour afin d'indiquer vous pensez que quelque part vous avez pris un mauvais chemin et que vous avez perdu votre chemin. Revenez immédiatement ! Si vous commencez à écouter votre corps, à écouter la nature, à écouter votre être intérieur, vous serez de plus en plus heureux. Devenez de bons auditeurs de la nature.

J'ai souvent l'impression que mon ventre est comme de la pierre. Comment puis-je l'adoucir ?

La plupart des gens souffrent d’un « ventre de pierre ». Cela devient la cause de mille et une maladies, tant physiques que mentales, car l'estomac est le centre de rencontre de la psychologie et de la physiologie ; ils se rencontrent au nombril. Le nombril est le point de contact de la psychologie et de la physiologie. Et si la musculature autour du nombril se transforme en pierre, vous vous retrouvez divisé en plusieurs parties. L'esprit devient séparé ; alors vous devenez presque comme deux morceaux, sans aucun lien entre eux.

Et il se peut que vous fassiez quelque chose que votre esprit veut, mais que votre corps n’y soit pas prêt. Par exemple, en mangeant : le corps n’a pas faim, mais peut-être que vous continuez à manger parce que l’esprit aime le goût. L’esprit ne sait pas ce que ressent le corps parce que la sensation en est coupée ; aucune connexion. Parfois, il peut arriver que vous soyez tellement absorbé par une partie de cartes ou un film que votre corps ait faim, mais vous ne le savez pas. Alors une personne reste comme deux lignes parallèles qui ne se rencontrent jamais. C’est exactement ce qu’est la schizophrénie, et il est très rare de trouver une personne qui ne soit pas schizophrène d’une manière ou d’une autre. Mais un symptôme demeure toujours : le « ventre de pierre ».

Voici la première chose à faire : commencer à expirer profondément. Et lorsque vous expirez profondément, vous devrez naturellement rentrer votre ventre. Ensuite, détendez-vous et laissez l’air entrer. Et si vous expirez profondément, l'inspiration se fera avec grande force. Cela viendra comme un coup de marteau - cela détruira la structure de pierre entourant l'estomac... C'est la première chose.

Deuxièmement : le matin, après la défécation, lorsque l'estomac est vide, prenez une serviette sèche et frottez-vous le ventre, massez-vous le ventre. Commencez par la partie supérieure droite et faites le tour de toute la zone en cercle, et non l'inverse - trois à quatre minutes de massage. Cela vous aidera également à vous détendre.

Et troisièmement : lorsque vous pouvez le faire, courez un peu. Courir, c'est très bien - long jogging, jogging. Faites ces trois choses et dans un mois la pierre disparaîtra.

J'ai l'impression que mon corps est très raide et ma copine dit que j'ai des seins- Comment coquille.

Si vous portez une coque solide, il est bon d’en être conscient. Mais si ce n’est qu’une coquille, elle ne s’accroche pas à vous. Vous vous y accrochez, et si vous en êtes conscient, vous pouvez simplement le laisser tomber. La coquille est morte. Si vous ne le portez pas, il tombera tout simplement. Non seulement vous le portez, mais vous le nourrissez et le renforcez également constamment.

C'est ça la civilisation... - un état très névrotique. La civilisation est une névrose, et elle porte ses fruits – c'est pourquoi nous choisissons d'être névrosés. Mais petit à petit, à mesure qu'une personne prend conscience, il lui devient de plus en plus clair que le coût de cet événement est trop élevé. Cela donne quelque chose, mais enlève encore plus que ce que cela donne. Cela donne beaucoup, mais enlève l'âme intérieure. Cela vous donne un meilleur niveau de vie, mais cela vous tue aussi.

Chaque enfant coule, il n'y a pas de parties figées en lui ; tout son corps est une unité organique. La tête n’est pas plus importante que les jambes. En fait, il n’y a pas de divisions ; il n'y a pas de lignes de démarcation. Petit à petit, des lignes de démarcation commencent à apparaître. Ensuite, la tête devient le maître, le patron, et le corps tout entier s'avère divisé en parties. Certaines parties sont acceptables pour la société et d’autres ne le sont pas. Certaines parties sont dangereuses pour la société et devraient presque être détruites. Cela crée tout le problème.

Vous devez donc observer exactement où vous ressentez une raideur dans votre corps. Où exactement avez-vous pris conscience de la raideur de vos jambes ?

- Dans les jambes, le cou, la poitrine et la gorge.

Faites trois choses.

Premièrement : lorsque vous marchez ou êtes assis – ou que vous ne faites rien – expirez profondément. L’accent doit être mis sur l’expiration et non sur l’inspiration. Alors, expirez profondément - tout l'air que vous pouvez expulser de vous-même, expirez par la bouche. Faites-le lentement, donc cela prend du temps ; plus c'est long, mieux c'est, car alors ce sera plus profond. Lorsque tout l’air de l’intérieur du corps est expulsé, le corps inhale. Ne vous inhalez pas. L'expiration doit être lente et profonde, l'inspiration doit être rapide. Cela va ramollir la carapace au niveau de la poitrine et agir sur la gorge.

Deuxièmement, si vous pouvez commencer à courir un peu, cela vous aidera. Pas beaucoup de kilomètres, un kilomètre suffit. Imaginez simplement que le poids disparaisse de vos jambes, comme s'il tombait de vous. Les jambes portent une coque si votre liberté a été trop limitée ; si on vous disait de faire une chose ou de ne pas en faire une autre ; être ceci ou ne pas être cela ; déménager ici ou ne pas déménager là-bas. Alors, commence à courir, hein ? Et pendant que vous courez, faites plus attention à votre expiration. Dès que vous sentirez à nouveau vos jambes, ressentirez leur fluidité, un énorme flux d'énergie apparaîtra en vous.

Troisièmement : le soir, lorsque vous vous endormez, enlevez vos vêtements, et pendant que vous les enlevez, imaginez que vous enlevez non seulement vos vêtements, mais aussi votre coquille. Soyez littéral. Enlevez vos vêtements et respirez profondément, puis dormez comme si la coquille n'était plus là et que rien ne contraignait votre corps.

Je ne sens pas mon corps. Comment puis-je établir une meilleure connexion avec lui ?

La première et la plus importante chose est de retourner au corps. Si nous n’avons aucun lien avec notre propre corps, alors il n’y a aucun lien avec la terre. Nous sommes déconnectés, sans racines, et sans racines dans le corps, rien ne peut être fait, absolument rien. Une fois enraciné dans le corps, tout devient possible.

Et des problèmes tels que la jalousie, la possessivité, la cupidité – ils viennent tous du manque de racines. Sans racines, nous avons toujours peur ; à cause de cette peur, nous essayons de rendre les autres esclaves, à cause de cette peur nous ne pouvons faire confiance à personne et la jalousie surgit. En fait, nous ne pouvons pas nous faire confiance - c'est là le problème - comment pouvez-vous vous faire confiance si vous n'avez pas de racines dans la terre ? La confiance vient quand on a des racines profondes dans la terre. Alors, quoi qu’il arrive, vous savez que vous pouvez le supporter et que vous pouvez le gérer. Alors vous n’êtes pas obligé de vous accrocher aux autres – ce n’est pas nécessaire ; Vous vous suffisez à vous-même.

C’est donc la première chose à faire : il faut s’enraciner de plus en plus dans le corps. Ressentez davantage votre corps, profitez de l'action, courez le matin et profitez de votre corps et de la sensation d'énergie de course. Nager : profiter du corps, de la rivière, du contact de l'eau. Courez, dansez et sautez dans les airs, au soleil, et laissez votre corps trembler de joie à nouveau.

Cela doit être fait en premier... et respirer le plus profondément possible. Dès que vous entrez dans le corps, dès que vous redevenez vivant dans le corps, neuf problèmes sur dix disparaîtront.

C’est l’une des astuces par lesquelles la société éloigne les gens d’eux-mêmes. Cela vous a coupé de votre corps et vous êtes devenu comme un fantôme dans une cage mécanique. Vous êtes dans le corps, mais toujours pas dans le corps – vous planez autour de lui. Vous prenez la main d'un ami, mais ce n'est qu'une main morte dans une main morte – pas de sentiment, pas de poésie, pas de joie. Vous mangez, mais en même temps vous vous gavez simplement de nourriture ; le goût ne se fait pas sentir. Vous regardez, mais vous ne voyez pas l’existence aussi incroyablement brillante qu’elle l’est réellement ; vous voyez les couleurs comme ternes, grises et poussiéreuses. Vous écoutez de la musique, mais seuls les sons vous parviennent ; vous n'entendez pas la musique.

Alors, pendant quelques mois, profitez de tout ce qui concerne votre corps : marcher, courir, jouer, sauter, danser, crier en montagne. Retournez en enfance ! Et vous commencerez à avoir l’impression d’être né de nouveau. Vous ressentirez exactement la même sensation qu’une chenille lorsqu’elle se transformera en papillon.

Je suis un homme d'affaires et quand je travaille sur le marché, j'ai douleur intense dans les épaules. Les médecins disent que c'est psychosomatique et me traitent avec des analgésiques.

Je pense qu'il y a quelques choses qui aideront beaucoup. Premièrement, le Rolfing, deuxièmement, l'acupuncture.

Cela passera – ne vous inquiétez pas. Rappelez-vous juste quelques choses. Premièrement : un psychanalyste canadien, le Dr Hans Selye, a passé toute sa vie à travailler sur un seul problème : le stress. Et il est arrivé à certaines conclusions très profondes. L’une d’elles était que le stress n’est pas toujours mauvais ; il peut être parfaitement utilisé. Ce n’est pas nécessairement négatif, mais si on pense que c’est négatif, que ce n’est pas bon, alors on crée des problèmes. Le stress lui-même peut être utilisé comme un tremplin, il peut devenir une force créatrice. Mais au contraire, on nous a appris depuis des siècles que le stress est mauvais et que lorsque nous sommes soumis à une quelconque forme de stress, nous avons peur. ET la peur rend le stress encore plus fort ; cela n'améliore pas la situation.

Par exemple, certaines situations de marché créent du stress. Dès qu’une certaine tension, un certain stress apparaît, on prend peur et on pense que cela ne devrait pas arriver : « Je devrais me détendre ». Mais si vous essayez de vous détendre, cela ne vous aidera pas, car vous ne pouvez pas vous détendre ; en fait, en essayant de vous détendre, vous créez un nouveau type de stress. Il y a du stress et vous essayez de vous détendre et vous n'y parvenez pas, ce qui complique encore davantage le problème.

Lorsque le stress arrive, utilisez-le comme énergie créatrice. Tout d’abord, acceptez-le ; il n'est pas nécessaire de le combattre. Acceptez-le, tout va bien. Il dit simplement : « La situation du marché n'est pas bonne, quelque chose pourrait mal tourner... », « Vous pourriez perdre... », ou quelque chose comme ça. Le stress est simplement un signal indiquant que le corps est prêt à faire face à quelque chose. Maintenant, vous essayez de vous détendre, ou de prendre des analgésiques ou des tranquillisants ; vous allez contre le corps. Le corps est prêt à affronter une certaine situation, un certain défi vous est lancé : profitez de ce défi !

Même si parfois vous n’arrivez pas à dormir la nuit, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Utilisez l'énergie qui apparaît en vous, utilisez-la de manière créative : promenez-vous dans la pièce, allez courir, faites une longue marche, planifiez ce que vous voulez faire, ce que l'esprit veut faire. Au lieu d’essayer de dormir, ce qui est impossible, utilisez la situation de manière créative. Cela montre simplement que le corps est prêt à faire face au problème ; ce n’est pas le moment de se détendre. Vous pourrez ensuite vous détendre.

En fait, si vous ressentez un stress total, vous vous détendrez automatiquement ; vous ne pouvez atteindre qu'un certain point, puis le corps se détend automatiquement. Si vous voulez vous détendre à mi-chemin, vous créerez des problèmes ; le corps ne peut pas se détendre à mi-chemin. Imaginez un coureur olympique debout sur la ligne de départ, attendant le coup de sifflet, le signal pour décoller et courir comme le vent. C'est plein de stress ; ce n’est pas le moment de se détendre. S'il prend un tranquillisant, cela ne servira à rien à la compétition. S'il se détend ou essaie de faire Méditation transcendantale, alors il viendra en dernier. Il doit utiliser le stress : le stress bouillonne, mobilise son énergie. Ça se remplit forces vitales et apporte du potentiel à la préparation. Maintenant, il doit surmonter ce stress et l'utiliser comme énergie, comme carburant.

Selye a donné un nom à ce type de stress : il l'appelle « eustress », par analogie avec « euphorie » ; c'est du stress positif. Une fois que le coureur aura parcouru la distance, il pourra dormir paisiblement ; problème résolu. Maintenant il n’y a plus de problème, le stress disparaît tout seul.

Essayez ceci aussi : lorsqu’une situation provoque du stress, ne perdez pas la tête, n’ayez pas peur. Entrez-y, utilisez-le comme moyen de lutte. L'homme a une énergie illimitée, et plus encore Il son utilise, plus cela devient.

Le Rolfing aidera aussi. Cela ne vous aidera pas à vous détendre ; cela changera simplement l’état des muscles, vous rendant plus vivant. Cela passera par Rolfing.

Quand le stress arrive et qu’une situation se présente, combattez-la, faites de votre mieux, allez-y à fond, jusqu’à la folie. Autorisez le stress, acceptez-le et accueillez-le. Et lorsque vous y parviendrez, vous serez surpris : une relaxation incroyable viendra, et une relaxation qui n'a pas été créée par vous. Peut-être que vous ne pourrez pas dormir pendant deux ou trois jours, mais ensuite vous ne pourrez pas vous réveiller pendant quarante-huit heures - et tout va bien !

Nous transportons constamment avec nous de fausses idées - par exemple, que tout le monde devrait dormir huit heures tous les jours. Tout dépend de la situation. Il existe des situations dans lesquelles dormir n'est pas nécessaire : il y a un incendie dans votre maison et vous essayez de dormir. Or, cela est impossible et ne devrait pas être possible, sinon qui viendra à bout de l’incendie ? Quand la maison est en feu, tout le reste doit être mis de côté ; tout à coup, votre corps devient prêt à combattre le feu. Vous n'aurez pas sommeil. Lorsque le feu sera éteint et que tout se calmera, vous pourrez dormir longtemps et paisiblement, et ce sera approprié.

Tout le monde n’a pas besoin de la même quantité de sommeil. Certaines personnes peuvent se débrouiller avec trois heures, deux heures, d'autres ont besoin de quatre heures, cinq heures, six, huit, dix, douze. Tous les gens sont différents, il n’y a pas de norme. Et le stress affecte également chacun différemment.

Il existe deux catégories de personnes dans le monde : certaines peuvent être classées comme du type cheval de course, d'autres peuvent être classées comme du type tortue. Si un cheval de course n’est pas autorisé à se déplacer rapidement, à tout faire rapidement, le stress se développera ; elle doit pouvoir avancer à son propre rythme. Et si vous êtes un cheval de course, ne pensez pas à la détente ou à quoi que ce soit du genre ; ce n'est pas pour toi. Ces choses sont pour les tortues. Soyez simplement le cheval de course qui vous vient naturellement et ne pensez pas aux joies dont jouissent les tortues ; ils ne sont pas pour vous. Vous avez d'autres joies. Si une tortue essaie de devenir cheval de course, elle aura les mêmes difficultés !

Vous pouvez quitter le marché. C'est si simple ; l’esprit dira : « Sortez du marché, oubliez ça. » Mais vous ne vous sentirez pas bien. Vous sentirez que d'autres choses se produisent plus de stress, car votre énergie ne sera pas utilisée.

Acceptez donc votre nature. Vous êtes un combattant, un guerrier ; c'est comme ça que tu devrais être, c'est ta joie. Et il n’y a aucune raison d’avoir peur de quoi que ce soit ; allez-y de tout votre cœur. Combattez le marché, soyez compétitif sur le marché, faites tout ce que vous voulez vraiment faire. N'ayez pas peur des conséquences, acceptez le stress. Une fois que vous acceptez le stress, il disparaîtra. Et en plus, vous serez plus heureux parce que vous commencerez à l'utiliser ; c'est une sorte d'énergie.

Si vous êtes un cheval de course, n'écoutez pas les gens qui disent que vous devriez vous détendre ; ce n'est pas pour toi. La détente ne vous parviendra que si vous la gagnez grâce à un travail acharné. Une personne doit comprendre sa constitution. Une fois qu’il l’a compris, il n’y a plus de problème ; il peut alors suivre un parcours clairement défini. Cela signifie que le stress est un mode de vie qui vous convient.

Je tombe souvent malade et je il semble que ceci à cause du fait que je me pousse trop. Donc je ne suis plus connecté au centre et c'est pour ça que le corps devient malade ?

Tout le monde devrait comprendre comment fonctionne son corps. Si vous essayez de faire quelque chose et que cela dépasse ce que votre corps peut supporter, tôt ou tard vous tomberez malade...

Il y a une certaine limite jusqu'à laquelle vous pouvez étirer le corps, mais cela ne peut pas durer éternellement. Peut-être que tu travailles trop. Peut-être que d’autres ne le pensent pas, mais là n’est pas la question. Votre corps ne peut pas le supporter ; il a besoin de repos. Et au final, le résultat sera le même. Au lieu de travailler deux ou trois semaines, puis de prendre deux ou trois semaines de congé, travaillez six semaines complètes et réduisez de moitié vos activités quotidiennes... des calculs simples.

Le surmenage est très dangereux car il peut détruire de nombreuses choses fragiles dans le corps... le surmenage constant et le sentiment d'épuisement, de dépression, le fait d'être au lit et de se sentir mal tout le temps. Ralentissez, conduisez lentement et faites-le indirectement. Par exemple, arrêtez de marcher comme avant. Marchez lentement, respirez lentement, parlez lentement. Mangez lentement ; Si cela vous prend habituellement vingt minutes, laissez-le prendre quarante. Prenez votre bain lentement ; Si cela prend habituellement dix minutes, faites-en vingt. À tous égards, la quantité de ce que vous allez faire devrait être réduite de moitié.

Ce n'est pas seulement une question de toi travail professionnel. Pendant les vingt-quatre heures, vous devez ralentir, réduire la vitesse au minimum, la réduire de moitié. Ce changement doit s'étendre à l'ensemble du mode et du style de vie. Parlez lentement... et lisez même lentement, car l'esprit a tendance à faire les choses d'une certaine manière.

Une personne trop obsédée par le travail lit vite, parle vite, mange vite ; c'est une obsession. Quoi qu'il fasse, il le fait rapidement, même lorsque ce n'est pas nécessaire. Même s'il fait une promenade matinale, il marche vite. Sans objectif... ce n'est qu'une promenade, et peu importe que vous parcouriez trois ou trois kilomètres. Mais une personne obsédée par la vitesse est toujours pressée. C’est juste qu’un mécanisme, un comportement automatique, mécanique, s’y déclenche. Cela devient presque intégré au système. Arrêtez-le.

À partir de aujourd'hui, réduisez le plan de moitié. Attendez lentement, marchez lentement. Et cela vous donnera également une conscience très profonde, car lorsque vous faites quelque chose très lentement – ​​par exemple bouger votre main très lentement – ​​vous en devenez très attentif. Quand on bouge vite, cela se fait mécaniquement.

Si vous voulez ralentir, vous devrez le ralentir consciemment ; il n'y a pas d'autre moyen.

Et ce n'est pas une question de capacité. C'est juste une question de vitesse. Chacun a sa propre vitesse et chacun doit avancer à sa propre vitesse. Cela vous vient naturellement, cela n’a rien à voir avec la capacité. Avec moins de mouvement, vous pouvez faire suffisamment de travail et je pense que vous pouvez en faire encore plus. Une fois que vous aurez trouvé le bon rythme, vous pourrez faire beaucoup plus.

Le travail ne sera pas mouvementé, il se déroulera plus facilement et vous pourrez en faire plus. Il y a des gens qui travaillent lentement, mais cette lenteur a ses propres qualités. En fait, ce sont les meilleures qualités. Une personne qui travaille rapidement peut être meilleure d’un point de vue quantitatif. Quantitativement, il peut produire davantage, mais qualitativement, il ne sera jamais aussi bon. Il y a plus d'excellence qualitative chez une personne qui travaille lentement. Toute son énergie se déplace dans la dimension qualitative. La quantité est peut-être petite, mais c'est l'essentiel En fait pas en quantité.

Si vous ne pouvez pas faire grand-chose mais que c'est vraiment beau, presque parfait, vous vous sentirez heureux et épanoui. Il n’est pas nécessaire de faire grand-chose. Si une seule chose vous apporte une entière satisfaction, cela suffit ; votre vie est comblée. Vous pouvez continuer à faire beaucoup de choses, mais rien ne vous apportera satisfaction et vous vous ennuierez jusqu'à la nausée. À quoi ça sert ? Aucun certain critère Non.

Il y a quelques choses importantes à comprendre. L'universel n'existe pas nature humaine. Il y a autant de natures humaines que d’êtres humains, et il n’y a pas de critères. Certains courent vite, d’autres marchent lentement. Ils ne peuvent pas être comparés car ils sont distincts les uns des autres, ils sont à la fois complètement uniques et individuels. Alors ne vous inquiétez pas. Tous les problèmes viennent de la comparaison. Vous voyez quelqu'un d'autre faire tant de choses et ne jamais se coucher, et vous en faire peu et devoir vous coucher, et vous vous sentez mal parce que vous pensez que vous êtes moins capable que vous ne devriez l'être.

Mais qui est cette personne et comment allez-vous vous comparer à elle ? Tu es toi, il est lui. S’il est obligé de bouger lentement, il peut se sentir malade. Alors il ira contre sa nature. Ce que vous faites est contre votre nature – donc : écoutez votre nature.

Écoutez toujours votre corps. Il parle à voix basse, il ne crie jamais, car il ne peut pas crier. Il communique ses messages uniquement à voix basse. Si vous êtes alerte, vous pouvez les comprendre. Et le corps a sa propre sagesse, qui est bien plus profonde que l’esprit. L’esprit n’est tout simplement pas encore mature. Le corps existait des milliers d'années avant l'esprit. L’esprit est innovation ; il ne sait pas encore grand chose. Tout ce qui compte vraiment, c'est toujours le contrôle du corps. L'esprit ne reçoit que des choses inutiles - penser... à la philosophie, à Dieu, à l'enfer, à la politique.

Le plus fonctions importantes: la respiration, la digestion, la circulation sanguine - restent sous le contrôle du corps, et seul le luxe est laissé à l'esprit.

Ainsi, écoutez le corps et ne comparez jamais. Il n’y a jamais eu de personne comme vous auparavant et il n’y en aura plus jamais. Vous êtes absolument unique – dans le passé, dans le présent, dans le futur. Vous ne pouvez vérifier vos notes avec personne d’autre et vous ne pouvez imiter personne.

Je suis généralement une personne très mentale, mais dernièrement, mon corps et mon esprit ont subi de grands changements. Je me suis senti plus à l'intérieur pendant cette période, mais maintenant j'ai peur de retomber dans mes vieilles habitudes et que l'esprit reprenne le contrôle. Comment puis-je passer davantage de l’esprit au corps ?

Lorsqu’un réel changement se produit dans l’esprit, il a toujours un effet immédiat sur le corps. Si ce changement est réel, vous ressentirez qu’au plus profond de vous, dans le corps, quelque chose change aussi. Et lorsque le corps change, il n’y a pas lieu d’avoir peur que l’esprit reprenne le dessus sur vous ; ce n'est pas si simple. Si seulement l’esprit change et que le corps n’en a rien entendu, alors l’esprit peut très facilement prendre le dessus, car tout reste à la surface. C’est dans le corps que se situent vos racines.

C'est dans le corps que vous êtes enracinés dans la terre, et l'esprit ne reste que des branches dans le ciel - c'est agréable de les regarder, mais tout ce qui est important dépend des racines qui restent profondément dans l'obscurité de la terre. Ils ne se montrent pas ; ils ne sont pas visibles. Si vous regardez simplement autour de vous, vous verrez des branches et des fleurs, mais vous ne connaîtrez jamais les racines.

Ainsi, si seules les branches sont modifiées et que les racines ne sont pas affectées, le changement ne durera pas longtemps. Mais une fois que les racines ont changé, le changement est permanent et le processus ne peut pas être facilement inversé. Alors ne vous inquiétez pas. Faites de plus en plus attention au phénomène qui se produit dans le corps.

On sent le corps de l'intérieur, c'est très beau. Il y a des millions de personnes – presque la majorité – qui ne ressentent jamais la moindre sensation du corps. Ils ont complètement oublié qu'ils vivent dans un corps... tout comme des fantômes.

Retrouver ses racines dans le corps est certainement une sensation nouvelle, car l'humanité est devenue complètement coupée de ses racines.

Le corps a été supprimé pendant des milliers d’années, l’esprit a reçu l’idée qu’il est le maître ; que l'esprit est tout, et que le corps n'est qu'un serviteur... en fait, il y a une sorte de condamnation là-dedans, cela fait écho à l'idée du péché.

Une personne est gênée d’avoir un corps. C'est pourquoi les gens ont peur d'être nus, car lorsque vous êtes nu, vous êtes plus un corps qu'un esprit. Les vêtements vous donnent l'impression que le corps n'existe pas : il n'y a que le visage, la tête et les yeux. Tout le mécanisme de l’esprit se trouve là. Par conséquent, en restant nus, les gens se sentent soudain comme des corps - et cette sensation est désagréable.

Restez à l’intérieur du corps car c’est la réalité. Ressentez-le de plus en plus... laissez votre corps utiliser toute la sensibilité qu'il peut. Retrouvez-le, revendiquez-le, permettez à votre corps tous les changements dont il a besoin pour que vous puissiez ressentir son être. Par exemple, vous pouvez parfois fermer les yeux et vous allonger par terre... sentir le sol avec votre corps. N'y pense pas, ressens-le.

Entrez dans la rivière et allongez-vous dans l'eau, allongez-vous sur le sable. Allongez-vous simplement au soleil. Ressentez le plus intensément possible... soyez sensuel. Lorsque vous mangez du pain, sentez-le d'abord avec votre main... pressez-le contre votre joue et sentez-le... sentez-le. Laissez le corps le reconnaître en premier. Alors goûtez-le... fermez les yeux et laissez-vous envahir par le goût. Et prenez votre temps ; ne vous précipitez pas pour vous gaver de nourriture. Profitez-en... mâchez lentement - car ce pain deviendra votre corps. Ne manquez pas cette opportunité. Ce pain est votre corps en potentiel. Acceptez-le, accueillez-le, et dans quelques mois votre corps sera complètement différent.

Si vous mangez avec un état d’esprit différent, avec une attitude différente ; si vous buvez de l’eau avec une attitude différente et n’oubliez pas d’être sensuel et sensible, vous remarquerez bientôt que de nombreuses parties du corps étaient auparavant mortes. Vous prenez vie, comme si un lion dormait en vous, et ce lion se réveille... étend ses pattes, s'étire. Vous constaterez que le même sentiment de vie surgit en vous. C'est presque la résurrection.

Mon sommeil est très irrégulier : parfois je dors une heure, parfois douze heures.

Fixez la même heure pour vous coucher - s'il est onze heures tous les soirs, il est onze heures. C'est la première chose à faire : fixer un certain temps, et bientôt le corps pourra entrer dans ce rythme. Ne changez pas cette fois, sinon vous confondriez le corps. Le corps est déjà confus – parfois il dort, parfois il ne dort pas, et cela dure depuis si longtemps. Le corps a perdu le sens du rythme ; ce rythme doit être créé à nouveau. Il y a un certain rythme biologique, et le corps devrait le rattraper. Si vous décidez de vous coucher à onze heures, qu'il en soit ainsi ; alors, quoi qu'il arrive, il faudra être au lit à onze heures. Vous pouvez décider de le faire à midi – quelle que soit l’heure que vous vous fixez – mais il doit alors être régulier. C'est le premier...

Et avant de vous coucher, dansez pendant une demi-heure avec toute l’énergie possible pour que tout votre corps puisse relâcher toutes les tensions. Si vous vous couchez avec toute cette tension, ces tensions ne vous laisseront pas dormir. Donc, si vous vous couchez à onze heures, commencez à danser à dix heures. Dansez jusqu'à dix heures et demie. Prenez ensuite une douche chaude ou un bain chaud. Détendez-vous dans le bain pendant quinze minutes. Laissez votre corps se détendre. Dansez d’abord pour que toutes les tensions se libèrent ; puis une douche chaude. Un bain chaud est encore mieux qu'une douche car vous pouvez vous allonger dans le bain pendant une demi-heure, quinze minutes, vingt minutes et vous détendre. Ensuite, mangez quelque chose – quelque chose de chaud fera l'affaire, pas de froid. Juste du lait chaud fera l'affaire, puis allez vous coucher. Et ne lisez pas avant de vous endormir – jamais.

Cela devrait devenir un programme, un programme d'une heure : danser, nager, manger quelque chose ou, mieux encore, boire du lait chaud - et ensuite se coucher ; éteignez la lumière et allez dormir. Que le sommeil vienne ou non, ne vous inquiétez pas. Si cela ne vient pas, allongez-vous tranquillement dans votre lit et surveillez votre respiration. Ne respirez pas trop profondément, sinon cela vous réveillerait. Laissez le souffle rester tel qu'il est ; en silence, vous continuez simplement à l'observer : inspirez, expirez, inspirez, expirez... C'est un processus tellement monotone que bientôt vous vous endormirez profondément. Tout ce qui est monotone aidera. Et la respiration est absolument monotone - aucun changement : inspirez, expirez, inspirez, expirez. Vous pouvez même vous dire ces mots : « inspirez », « expirez », « inspirez », « expirez »… Répétez simplement : « inspirez », « expirez », « inspirez », « expirez ».

Si le sommeil ne vient pas, ne vous levez pas. Ne vous dirigez pas vers le réfrigérateur et commencez à manger, à lire ou à faire autre chose. Quoi qu’il arrive, restez au lit, détendu. Même si le sommeil ne vient pas, la relaxation est aussi précieuse que le sommeil ; un peu moins de valeur, c'est tout. Si le sommeil vous donne un repos à cent pour cent, la relaxation au lit vous en donnera quatre-vingt-dix pour cent. Mais ne vous levez pas, sinon vous perturberez le rythme. Et dans quelques jours vous verrez que le sommeil viendra. Le matin, fixez-vous également pour règle de vous lever à une certaine heure.

Aidez votre corps à retrouver le rythme ; ça s'est un peu perdu. Et le matin, à six ou sept heures - quelle que soit l'heure à laquelle vous souhaitez vous lever - réglez cette heure comme habituelle ; gardez un réveil près de chez vous. Même si vous ne dormez pas de la nuit, cela n'a pas d'importance ; quand le réveil sonne, il faut se lever. Et ne vous rendormez pas pendant la journée, car c'est ainsi que vous cassez le rythme. C'est pourquoi un jour tu dors une heure, puis une autre- midi. Comment le corps peut-il se mettre en rythme ? Ne dormez pas pendant la journée, oubliez ça ; attends la nuit. Tu devrais être de nouveau au lit à onze heures. Laissez votre corps avoir envie de dormir. De onze à six heures... sept heures suffisent.

Pendant la journée, même si vous avez sommeil, allez vous promener, lisez, chantez, écoutez de la musique, mais ne vous endormez pas. Résistez à la tentation. Le tout est de ramener le corps à un rythme cyclique.

Je dors mal et je me réveille toujours entre trois et quatre heures du matin.

Vous vous réveillez toujours entre trois et quatre heures ? Alors, faites-en un moment de méditation.

Utilisez toujours les opportunités dans un but positif. Si vous n'arrivez pas à dormir, vous n'êtes pas obligé de vous forcer à dormir, et vous ne pouvez pas vous forcer à dormir de toute façon. Le sommeil fait partie de ces énergies qui ne peuvent être forcées à quoi que ce soit par la force de la volonté. Si vous faites cela, cela créera une violation. Si vous faites quelque chose pour provoquer le sommeil, l’action elle-même deviendra un obstacle, car le sommeil est le contraire de l’action ; c'est un état de non-action. Par conséquent, si vous faites un effort - par exemple, vous commencez à compter les moutons, ou à répéter un mantra, ou à vous retourner d'un côté à l'autre, ou à invoquer Dieu et à prier - tout cela ne fera que vous réveiller. Cela n'aide pas, mais les gens le font.

Mon approche est complètement différente. Premièrement, si le rêve s'en va, cela signifie simplement que le corps est complètement reposé, et que chacun est différent...

- Mais je me sens épuisé.

C'est votre esprit ; cela n'a rien à voir avec le corps. L’idée même de ne pas dormir suffisamment vous fatigue. Ce n'est pas vraiment un manque de sommeil. Parce que le mécanisme corporel, l'organisme corporel a sa propre sagesse. Par exemple, vous mangez… Le corps dit : « Assez ! - mais vous dites : "Je suis tellement maigre et maigre, j'ai besoin de manger plus." C'est faux ; vous vous créez des problèmes. On peut manger, se forcer à manger un peu plus, se gaver de nourriture, mais le corps n'y est pas prêt, et il va rejeter cette nourriture.

Un jour, vous n'aurez peut-être plus envie de manger du tout, mais l'esprit vous dit que si vous ne mangez pas, vous deviendrez faible. Personne ne faiblit en un jour. Si le corps ne ressent pas le besoin de nourriture, il vaut mieux l’écouter ; il sait mieux. Il sait instinctivement que manger à ce moment-là est dangereux. Peut-être qu'il y a un travail en cours à l'intérieur et que le corps veut les nettoyer avant d'y mettre la prochaine portion de nourriture. Peut-être qu'une sorte de poison y est entré. Vous avez déjà ingéré tellement de nourriture et votre corps n’a pas eu le temps de finir de la traiter. Il n'a pas encore besoin de travail supplémentaire, sinon tout le mécanisme échouera ; il n'y a aucun moyen qu'il puisse s'en sortir. Et le corps dit : « Aucune nourriture n’est nécessaire, il n’y a pas d’appétit. » Mais l’appétit est un langage corporel, juste un signal pour vous. Le corps ne peut pas parler avec des mots, il ne peut pas dire : « Stop ! » C'est un symbole, un symbole corporel : le manque d'appétit. Le corps dit : « Ne mange pas ! » - mais il y a une certaine idée dans l'esprit, tu sens que tu dois manger au moins deux ou trois fois par jour, sinon tu vas devenir faible. Alors vous continuez à vous gaver, et comme il n'y a pas d'appétit, vous créez un faux appétit. Vous ajoutez plus d'assaisonnements à votre nourriture pour créer un faux appétit, ou vous allez dans un endroit où vous aimez toujours manger. Vous essayez de tromper le corps, mais c'est tout simplement stupide ! Et la même chose se produit avec le sommeil.

Si vous vous endormez et qu'à trois ou quatre heures vous sentez que vous êtes éveillé, cela signifie simplement que le corps s'est reposé. Le sommeil du corps est terminé, mais maintenant l’esprit crée des problèmes. Profitez de cette heure. Allongez-vous simplement en silence ; profitez du silence de la nuit ! Au lieu de devenir agité parce que le sommeil est perturbé, profitez de ce moment en méditation. Pas besoin de se lever : il suffit de s'allonger dans son lit, de se détendre, d'écouter... écouter les bruits de la nuit, le silence de la nuit... Vous entendrez le bruit de la circulation, mais il n'y a personne dans la rue ; tout le monde dort. C'est tellement beau ! Vous êtes seul - presque comme si vous étiez dans les montagnes - seul avec l'obscurité, la qualité apaisante de l'obscurité. Profitez-en et détendez-vous dans ce plaisir.

Voyez-vous l'intérêt ? Sinon, vous serez malheureux - votre sommeil sera à nouveau perturbé ; demain, vous vous sentirez à nouveau fatigué et anxieux, des tensions, des douleurs internes et de l'anxiété surgiront. Ces choses vous empêcheront à nouveau de dormir.

Regardez-le positivement, utilisez ce temps. Branchez-vous sur la nuit, avec les sons de la nuit, et profitez-en ! Il y a là une immense beauté. Ensuite, vous ne saurez pas vous-même quand vous vous rendormirez... mais c'est un effet secondaire, cela ne peut être qu'un effet secondaire. Lorsque vous êtes tellement absorbé par l'écoute des bruits de la nuit, vous vous rendormez progressivement - non pas par décision volontaire, pas parce qu'ils le voulaient.

Et je ne vous dis pas qu’il faut méditer pour s’endormir, non. Il n’y a pas de « dans l’ordre », il n’y a pas de « donc ». Je dis juste : profitez-en ! Et soudain, vous découvrirez qu’un rêve s’est produit. Mais que cela se produise ou non n’a aucune importance. Si cela arrive, tant mieux ; Si cela n’arrive pas, tant mieux. Trois semaines seulement et cette fatigue disparaîtra. C'est un problème mental. Dès le matin, vous portez l’idée que vous êtes fatigué. Bien sûr, vous vous sentirez de plus en plus fatigué. Vous aurez peur de tout, de toute implication. Vous êtes déjà fatigué et si vous faites autre chose, vous le deviendrez encore plus. Vous vous créez une névrose.

Chaque personne a des besoins différents en matière de sommeil et de nourriture. Certaines personnes dorment huit heures, d'autres n'en ont besoin que de dix heures, d'autres seulement six, d'autres quatre, et parfois il y a des gens qui n'ont besoin que de trois ou deux heures...

Mon père ne pouvait pas dormir après trois heures. Il s'est endormi vers onze heures et a dormi trois heures, tout au plus quatre heures. Ma mère était toujours inquiète, mais j'ai suggéré à mon père de s'asseoir et de méditer. Et il s'assit pour méditer à trois heures, et cela devint pour lui la porte du divin. Pendant de nombreuses années, il resta assis en méditation de trois heures à sept heures... et il devint absolument comme une statue ; il a oublié le corps.

C'est devenu l'expérience la plus précieuse de sa vie ; Aucun rêve ne lui aurait donné cela. Vers trois heures, il se sentait frais ; c’est ainsi que fonctionnait son mécanisme, son corps. Au début, il essayait souvent de se rendormir. Cela lui a apporté de la souffrance parce que le sommeil n'est pas venu, il a essayé de dormir et a été déçu ; le matin, il se sentit déçu. Trois ou quatre heures à lutter pour s'endormir et le sommeil ne vient pas... comment éviter les déceptions ? Mais depuis que je lui ai donné de la méditation, toute la frustration a disparu et ces périodes sont devenues ses moments les plus précieux. Il se mit à les attendre : pendant vingt-quatre heures il pensa à eux, car ils étaient les plus paisibles. Il les a utilisés correctement.

Je ressens beaucoup de tension et de stress. Comment puis-je me détendre ?

Commencez la relaxation depuis la périphérie – d’où nous sommes ; nous ne pouvons que partir de là où nous sommes. Détendez la périphérie de votre être – détendez votre corps, détendez votre comportement, détendez vos actions. Marchez détendu, mangez détendu, parlez, écoutez détendu. Ralentissez tous les processus. Prenez votre temps et prenez votre temps. Bougez comme si toute l’éternité était à votre disposition – en fait, c’est le cas. Nous étions là depuis le début et nous le serons jusqu'à la fin, s'il y a eu un début, il y aura une fin. Il n’y a vraiment ni début ni fin… Nous avons toujours été là et nous le serons toujours. Les formes changent constamment – ​​mais pas l'être ; les vêtements changent - mais pas l'âme.

La tension implique la hâte, la peur, le doute. La tension signifie un effort constant pour se protéger, pour se créer une certitude et une sécurité. La tension signifie que maintenant vous vous préparez pour demain, ou pour la vie après la mort - vous avez peur de ne pas pouvoir faire face à la réalité demain et vous essayez donc de vous préparer. La tension signifie un passé que vous n’avez pas vraiment vécu, mais que vous avez d’une manière ou d’une autre dépassé ; il plane sur vous, s'attarde, vous enveloppe.

Souvenez-vous d'une loi fondamentale de la vie : toute expérience qui n'a pas été vécue restera suspendue autour de vous en insistant : « Achevez-moi ! Vivez-moi! Complétez-moi ! La propriété interne de toute expérience est une tendance, un désir d’être achevé, complété. Une fois terminé, il s’évapore ; inachevé, il continue, vous tourmente, vous hante, attire votre attention. Il dit : « Qu'est-ce que tu vas me faire ? Je suis encore incomplet – comblez-moi !

Tout votre passé pèse sur vous et rien n'est fini - parce que vous n'avez vraiment rien vécu, vous ne l'avez vécu que d'une manière ou d'une autre, partiellement, indifféremment, ni chaud ni froid. Il n’y avait aucune intensité, aucune passion. Tu bougeais comme un somnambule, comme quelqu'un qui marche dans son sommeil. Et c’est pourquoi le passé ne disparaît pas et l’avenir suscite la peur. Et entre le passé et le futur, votre présent, votre seule réalité, est écrasé.

Tu ferais mieux de commencer à te détendre par la périphérie. La première étape consiste à détendre le corps. N'oubliez pas : regardez le corps aussi souvent que possible, vérifiez si vous pouvez trouver des tensions quelque part dans le corps - dans le cou, dans la tête, dans les jambes. Détendez-les consciemment. Allez simplement dans cette partie du corps, convainquez cette partie du corps, dites-lui avec amour : « Détendez-vous ! »

Et vous serez surpris : si vous vous tournez vers n'importe quelle partie du corps, elle écoutera, suivra vos paroles - c'est votre corps ! AVEC les yeux fermés entrez dans le corps, examinez-le de la tête jusqu'à la pointe des pieds, à la recherche d'un endroit où il y a des tensions. Et puis parlez à cette partie du corps comme vous parlez à un ami ; qu'il y ait un dialogue entre vous et le corps. Demandez-lui de se détendre, dites-lui : « Il n'y a rien à craindre. N'ayez pas peur. Je suis là pour prendre soin de toi afin que tu puisses te détendre. Petit à petit, vous prendrez le coup. Le corps se détend alors.

Passez ensuite à la deuxième étape, un peu plus profonde : demandez à votre esprit de se détendre. Et si le corps écoute, l’esprit écoutera aussi, mais vous ne pouvez pas partir de l’esprit – vous devez commencer depuis le tout début. Vous ne pouvez pas commencer par le milieu. Beaucoup de gens commencent par être fous et rien ne fonctionne ; ça ne marche pas parce qu’ils sont partis du mauvais endroit. Tout doit être fait dans le bon ordre.

Si vous pouvez intentionnellement détendre votre corps, vous pouvez alors aider votre esprit à se détendre intentionnellement. L'esprit est un phénomène plus complexe. Une fois que vous aurez pris confiance parce que votre corps vous écoute, vous aurez nouvelle foi en vous-même. Désormais, même l’esprit peut vous écouter. Cela prendra un peu plus de temps, mais cela arrivera.

Lorsque votre esprit est détendu, commencez à détendre votre cœur, le monde de vos sentiments, de vos émotions – qui est encore plus complexe et subtil. Mais maintenant, vous pouvez avancer avec une nouvelle confiance, avec une grande confiance en vous. Maintenant vous savez que c'est possible. Si cela est possible avec le corps et l’esprit, alors cela est possible avec le cœur. Et ce n’est que lorsque ces trois étapes auront été franchies qu’il sera possible de passer à la quatrième. Vous pouvez désormais entrer dans le centre le plus profond de votre être, qui reste au-delà du corps, de l'esprit, du cœur : le centre même de votre existence. Et vous pouvez aussi le détendre.

Et cette détente apporte sans aucun doute la plus grande de toutes les joies possibles, les plus hauts sommets d'extase, d'acceptation. Vous serez plein de bonheur et de joie. La qualité de la danse apparaîtra dans votre vie.

Toute existence danse sauf l'homme. Toute l'existence est dans un mouvement très détendu ; Il y a du mouvement, certes, mais c'est extrêmement détendu. Les arbres poussent, les oiseaux gazouillent, les rivières coulent, les étoiles bougent : tout se déroule de manière très détendue. Pas de précipitation, pas de précipitation et pas d'effort inutile... sauf chez les humains. L'homme a été victime de son propre esprit.

L'homme pouvait s'élever au-dessus des dieux, mais tombait au-dessous des animaux. Les êtres humains représentent un large spectre. L'homme est une échelle du plus bas au plus haut.

Commencez par le corps, puis allez progressivement plus profondément. Et ne commencez rien d’autre tant que la chose la plus importante n’a pas été décidée. Si le corps est tendu, ne commencez pas par le mental. Attendez. Travailler avec le corps. Et les petites choses feront une énorme différence.

Vous marchez à un certain rythme ; c’est devenu une habitude, c’est devenu un automatisme. Essayez maintenant de marcher lentement. Le Bouddha disait à ses disciples : « Marchez très lentement, faites chaque pas consciemment. » Si vous faites chaque pas très consciemment, vous marcherez certainement lentement. Si vous êtes pressé, pressé, vous oublierez ce dont vous devez vous souvenir. Bouddha marche donc très lentement.

Essayez simplement de marcher très lentement et vous serez surpris : une nouvelle qualité de conscience commence à se produire dans le corps. Mangez lentement et vous serez surpris - cela se pose détente complète. Faites tout lentement... juste pour changer l'ancien modèle, juste pour vous débarrasser des vieux vêtements.

Tout d'abord, le corps doit être complètement détendu, comme le corps petit enfant, ce n'est qu'alors que vous pourrez commencer à travailler judicieusement. Procédez scientifiquement : d’abord le plus simple, puis le plus complexe, puis encore plus complexe. Ce n’est qu’alors que vous pourrez atteindre le noyau ultime.

La relaxation est un des phénomènes les plus complexes... très riche, multidimensionnel. Toutes ces choses en font partie : permettre, faire confiance, s’abandonner, aimer, accepter, suivre le courant, l’unité avec l’existence, l’absence d’ego, l’extase. Tout cela en fait partie, et ces parties commencent à se produire si vous apprenez les méthodes de relaxation.

Vos soi-disant religions vous ont rendu très tendu car elles ont dû créer en vous un sentiment de culpabilité. Mon effort ici est de vous aider à vous débarrasser de toute culpabilité et de toute peur. Je voudrais vous dire : il n’y a ni enfer ni paradis. N'ayez pas peur de l'enfer et ne soyez pas avide du paradis. Tout ce qui existe existe en ce moment. Vous pouvez faire de ce moment un enfer ou un paradis - c'est certainement possible - mais il n'y a ni paradis ni enfer nulle part ailleurs. L’enfer, c’est quand vous êtes complètement tendu, et le paradis, c’est quand vous êtes complètement détendu. La détente totale est le paradis.

Je ne m'aime pas, surtout mon corps.

Si vous avez une certaine idée de ce que devrait être votre corps, vous serez malheureux. Le corps est comme il se doit. Si vous avez des idées, vous ne serez pas satisfait, alors laissez tomber ces idées.

C'est le corps que vous avez ; c'est le corps que Dieu vous a donné. Utilisez-le... profitez-en ! Et si vous commencez à l’aimer, vous constaterez que cela change, car si une personne aime son corps, elle commence à en prendre soin, et prendre soin signifie tout. Ensuite, vous ne gavez pas votre corps de nourriture quand vous n'en avez pas besoin, car vous en prenez soin. Alors vous ne l'affamerez pas parce que vous tenez à lui. Vous écoutez ses demandes, écoutez ses indices : ce qu'il veut, quand il le veut. Dans le soin, dans l'amour, on s'accorde avec son corps, et le corps se met automatiquement en ordre. Si vous n'aimez pas le corps, cela crée des problèmes, car petit à petit vous devenez indifférent à lui, vous commencez à le négliger, car qui se soucie de l'ennemi ? Vous ne le regarderez pas ; vous l'éviterez. Vous arrêterez d’écouter ses messages, et vous commencerez alors à le détester encore plus.

Mais c’est vous qui créez tout le problème vous-même. Le corps ne crée jamais de problème ; Seul l'esprit crée des problèmes. Et cela aussi est une idée dans l’esprit. Aucun animal ne souffre d'idées sur propre corps, pas une seule chose... pas même un hippopotame ! Aucun d’entre eux ne souffre – ils sont satisfaits et heureux parce qu’ils n’ont pas l’intention de créer des idées ; sinon l'hippopotame commencerait à penser : « Pourquoi suis-je comme ça ? Mais il n'y a aucun problème.

Laissez tomber l’idéal. Aimez votre corps – c’est votre corps, c’est un don de Dieu. Vous devriez l'apprécier et prendre soin de lui. Si vous vous en souciez, vous faites de l'exercice, vous mangez, vous dormez. Vous vous occupez de tout parce que c'est votre outil, tout comme, par exemple, une voiture que vous lavez, entretenez, écoutez le fonctionnement du moteur - pour savoir si quelque chose ne va pas. Vous en prenez soin, même si une rayure apparaît à la surface. Prenez simplement soin de votre corps et il sera impeccablement beau - c'est ce qu'il est ! C’est un mécanisme si beau, si complexe et pourtant si efficace qu’il continue de fonctionner parfaitement pendant soixante-dix ans. Que vous soyez endormi ou éveillé, que vous soyez conscient ou inconscient, le corps continue de travailler, et de travailler en silence. Même sans aucun soin de votre part, il continue de fonctionner ; il continue son service. Le corps doit être reconnaissant.

Changez simplement votre approche et vous verrez votre corps changer de forme en six mois. Presque la même chose se produit lorsque, par exemple, vous tombez amoureux d'une femme et voyez : immédiatement elle devient belle. Peut-être que jusqu'à ce moment-là, elle ne prenait pas soin de son corps, mais quand un homme tombe amoureux d'elle, elle. commence à prendre soin d'elle-même. Elle reste des heures devant le miroir... parce que quelqu'un l'aime ! La même chose se produit : aimez votre corps et vous verrez que le corps commence à changer. Il est aimé, soigné, nécessaire. Il s’agit d’un mécanisme très délicat – les gens l’utilisent de manière très grossière et violente. Changez simplement d’attitude et vous verrez !

J'ai constamment l'impression d'être vraiment moche. D'une manière ou d'une autre, il me semble être capable d'hypnotiser mes amis et les gens, Avec que je rencontre, qu'il n'est pas très agréable de me regarder.

L'esprit crée constamment problèmes inutiles. Mais c’est tout le mécanisme de l’esprit : créer des problèmes sans fondement. Et une fois qu’il les a créés, vous tombez dans un piège, vous commencez à essayer de les résoudre. N'essayez pas de les résoudre. Voyez simplement leur manque de fondement. Il faut voir l'absurdité elle-même, c'est tout. Si vous commencez à faire quelque chose, cela signifie que vous avez accepté le problème. Voyez simplement cette absurdité.

Chaque visage est beau. Chaque visage est beau à sa manière. Chaque visage est différent ; chaque visage est unique. En fait, il n’y a ni comparaison ni possibilité de comparaison. Si vous l'acceptez, vous deviendrez belle. La beauté se produit dans l'acceptation. Si vous vous reniez et vous reniez, cela vous paralyse et vous rend laid. Se pose cercle vicieux.

D’abord, vous rejetez ; Si vous ne l’acceptez pas, vous devenez laid. Alors d’autres commencent à voir cette honte, et vous dites : « Exactement, c’est comme ça. J'ai tout bien compris." Et vous rejetez encore plus. C’est ainsi que l’esprit continue à mettre en œuvre ses idées. Et toutes ses prophéties se réalisent inévitablement parce que vous ratez la première étape. La première étape est que vous êtes vous.

Il n’y a aucun critère de beauté. En fait, depuis près de cinq mille ans, les philosophes tentent de définir la beauté. Et ils ont échoué parce qu’il n’y a pas de critère. Quelqu’un est beau pour une personne, mais laid pour une autre. Même la plus belle des femmes peut être tout simplement terrible pour quelqu’un. C'est une impression tout à fait personnelle.

Il n’y a donc pas de critère… les critères changent comme la mode vestimentaire. Par exemple, en Inde, si une femme n’a pas de gros seins ni de grosses fesses, elle n’est pas considérée comme belle. En Occident, c'est l'inverse : les fesses disparaissent ; Les seins deviennent également de plus en plus petits. Se pose nouveau concept beauté.

Et quel que soit le concept, le corps le réalise. C’est quelque chose qui nécessite de la compréhension. Lorsqu’un pays accepte l’idée selon laquelle les gros seins sont beaux, les femmes développent de gros seins.

On dit généralement que les romans, la poésie et la littérature sont le reflet de la société. Mais l’inverse est également vrai. Les romans, la poésie, la littérature créent aussi la société. Dès qu’une certaine idée apparaît, elle entre dans l’esprit des gens, elle commence à les influencer.

Il n’existe aucun critère pour distinguer qui est beau et qui ne l’est pas. C'est une question de préférence personnelle, en fait c'est un caprice. Mais si vous ne vous acceptez pas, tout d’abord, vous créez une situation dans laquelle personne ne peut vous accepter, car si vous ne vous acceptez pas, vous ne permettrez à personne d’autre de vous accepter.

Vous placez toutes sortes d’obstacles et de difficultés devant l’autre personne parce qu’il contredit vos idées. Si quelqu’un tombe amoureux de vous, vous détruirez son amour parce que vous direz : « Comment peux-tu tomber amoureux d’une sorcière aussi laide et laide ? » Ou bien vous penserez que cette personne a des idées très étranges sur la beauté. Si vous ne vous aimez pas, personne d’autre ne peut vous aimer. Par conséquent, tout d’abord, chaque personne doit tomber amoureuse de elle-même.

Jésus dit : « Aimez Dieu. Aime ton prochain comme toi-même. C'est la base de tout. Si vous vous aimez, vous pouvez aimer votre prochain, vous pouvez aimer votre Dieu. Mais voici le commandement principal : aimez-vous.

Si vous vous aimez, si vous êtes satisfait de vous-même, vous attirerez beaucoup de gens. Une femme qui s’aime est forcément belle, forcément belle. Elle crée la beauté avec son amour-propre. Elle gagne en grâce et en dignité.

Qu'est-ce que la beauté ?

La beauté intérieure est la seule beauté qui existe. Toute beauté, toute autre beauté n’est pas plus profonde que la peau. Une personne peut se tromper pendant un certain temps, mais tôt ou tard, toute autre beauté sera épuisée et la personne restera dans une laideur absolue parce qu'elle n'a jamais développé la vraie beauté. La vraie beauté n’a rien à voir avec le visage ; cela vient de la lueur qui vient de vous. Cela n’a rien à voir avec la forme des yeux, mais vient de la lumière qui les traverse. Cela n’a rien à voir avec le corps, mais vient d’une présence intérieure vibrant dans le corps. La vraie beauté naît du noyau intérieur, le centre même de votre être, et s’étend à l’extérieur jusqu’à tout le corps. La fausse beauté n’existe qu’en surface ; il n'a pas de racines en vous. C'est sans fondement.

N'oubliez pas : une personne doit rechercher sans relâche la vraie beauté. Et le présent est éternel, il persiste : si vous l'avez trouvé une fois, vous l'avez trouvé pour toujours. Instantané - uniquement un gaspillage le temps, une sorte de rêve. Une personne peut rester plongée dans un rêve pendant un certain temps, mais dès le réveil, vous voyez que tout cela était déraisonnable, stupide.

Aide! Je vieillis !

Une très bonne sensation de votre corps aide énormément votre vie. Cela vous rend en meilleure santé, plus entier. Beaucoup de gens oublient leur corps ; ils deviennent aveugles et considèrent le corps comme quelque chose qui doit être caché derrière les vêtements, quelque chose qui besoin de cachez-vous toujours et ne laissez jamais personne vous voir ; comme quelque chose d'obscène, d'impur. Concepts absurdes, névrotiques notions.

Le corps est magnifique. Le corps en tant que tel - peu importe qu'il soit jeune ou vieux. Bien sûr, la jeunesse a sa propre beauté, mais la vieillesse a aussi de la beauté.

Un corps jeune est plus plein de vie. Le vieux corps est plus sage. Chaque époque a sa propre beauté ; il n'est pas nécessaire de les comparer. Mais, surtout en Occident, le corps âgé est devenu une expérience très effrayante parce que la vie est en quelque sorte considérée comme synonyme de jeunesse – et cette idée est stupide. L’Est est meilleur à cet égard. La vie est davantage synonyme de personnes âgées, parce que les personnes âgées ont vécu plus longtemps, ont vécu davantage, ont aimé davantage ; il a appris toutes les saisons de la vie, tous ses hauts et ses bas. vieillard a vécu sa jeunesse. La jeunesse n’a pas encore connu la vieillesse.

Le vieux corps porte simplement toutes les expériences, toutes les cicatrices, toutes les blessures – et la grâce qui vient de l’expérience mûrie. Et une fois que vous commencez à profiter du corps et à l’aimer, quelle que soit la phase de la vie dans laquelle il se trouve, vous sentez soudain qu’il est à nouveau beau et que beaucoup de choses sont libérées à l’intérieur.

J'ai problème sexuel... J'ai l'impression qu'il y a quelque chose qui ne va pas chez moi, mais je fais toujours semblant d'aimer le sexe avec un homme.

Un jour, il faut dépasser le sexe, mais le chemin pour le dépasser passe par l'expérience, et si l'on n'y entre jamais correctement, il est très difficile de le dépasser. Alors l’expérimenter fait partie du dépassement. Les gens qui ne peuvent pas apprécier le sexe ont peut-être adopté une certaine approche, peuvent avoir été conditionnés...

Partout dans le monde, l’humanité est corrompue d’une manière ou d’une autre – et la plus grande de ces corruptions est que chacun apprend à se sentir coupable lorsqu’il profite de la vie… comme s’il y avait quelque chose de mal à être heureux. Quand on est malheureux, tout va bien, mais quand on est heureux, quelque chose ne va pas. De cette façon, le bonheur devient écrasé et opprimé – et si vous ne vous épanouissez pas dans le bonheur, vous manquez toute l’opportunité de cette vie.

La vie existe dans ce but – pour qu’une personne puisse apprendre à être absolument heureuse… apprendre à s’épanouir dans le bonheur.

Et bien sûr, le sexe offre la plus grande opportunité de floraison. C'est l'une des façons les plus naturelles d'avoir un aperçu samadhi- méditation profonde, bénédictions. Il existe d’autres manières d’accéder à cette bénédiction, mais elles ne sont pas aussi naturelles. Le sexe est la manière la plus naturelle ; une voie construite biologiquement. C'est un don de Dieu à l'homme que n'importe qui - religieux ou non religieux, croyant en Dieu ou non, hindou, musulman, communiste, athée, n'importe qui... mais dans la nature elle-même, il existe une opportunité qui peut donner un un aperçu de l'au-delà - un aperçu de quelque chose qui vient d'au-delà du corps, d'au-delà de l'esprit.

Ainsi, en tant que femme, vous devez vous rappeler et essayer trois choses : premièrement, lorsque vous faites l’amour, soyez active. Si vous êtes passif, cela peut arriver très facilement. Lorsque vous êtes actif, cela n’arrivera pas si facilement. Dites à votre partenaire de jouer le rôle de la femme et de jouer le rôle de l'homme. Que ce soit un jeu. Laissez-le être plus passif et vous serez plus actif. Lorsqu'une personne est active, l'activité est plus impliquée, l'énergie est plus impliquée - il est difficile de s'arrêter à mi-chemin. Mais lorsque vous êtes passif, vous pouvez vous arrêter à tout moment, car vous ne participez presque à rien. Vous êtes simplement présent en tant que spectateur. Ainsi, devenez plus actif. Il ne s'agit que d'une mesure temporaire. Une fois que vous aurez atteint l’expérience de l’orgasme, cela ne sera plus nécessaire – vous pourrez recommencer à jouer le même rôle de femme. Il ne s'agit que d'une mesure temporaire. Ainsi, dites à votre partenaire qu'il devrait devenir une femme pendant un certain temps et que vous devriez devenir un homme et être actif.

Et deuxièmement : avant de faire l’amour, dansez ensemble. Que ce soit une danse sauvage. Chantez fort, dansez, jouez de la musique si vous le souhaitez. Allumer de l'encens dans la pièce. Faites-en un rituel spécial... presque religieux.

Les gens n’abordent pas le fait de faire l’amour progressivement. Deux personnes sont juste assises, puis soudain elles commencent à faire l'amour. C'est si soudain – et trop soudain pour une femme. Pour un homme, ce n'est pas si soudain, car l'énergie d'un homme est différente et la sexualité masculine est très locale. La sexualité des femmes est plus totale ; Le corps tout entier d'une femme doit être impliqué dans la sexualité. Et si le sexe n’est pas précédé de jeu, une femme ne s’y plonge jamais à fond.

Par conséquent, premièrement, dansez, chantez, laissez l’énergie bouillonner, et deuxièmement, soyez un partenaire actif. Et soyez sauvage ! Ne suivez aucun stéréotype – soyez sauvage. Si vous avez envie de crier en faisant l'amour, ne vous inquiétez pas. Si vous avez envie de chanter, ne vous inquiétez pas... si vous avez envie de dire des bêtises, parlez, cela fera office de mantra.

Et troisièmement." tous les jours, le matin à le soir, vous devez veiller – dans d'autres domaines, vous devez aussi réprimer votre joie. Tout doit changer en même temps. Lorsque vous mangez, mangez avec joie, car tout est interdépendant. Quand vous dansez, il doit y avoir de la joie. Lorsque vous méditez, soyez joyeux. Lorsque vous parlez à quelqu'un, soyez joyeux, radieux, fluide. En marchant le long de la route, soyez joyeux. Nous ne savons pas nous-mêmes à quel point il nous manque. La promenade la plus ordinaire le long de la route peut apporter un grand plaisir. Qui sait ? - Peut être, lendemain ce ne sera pas... Demain, peut-être que tu ne pourras plus marcher sur la route. Demain, peut-être, vous ne serez pas là pour recevoir ce soleil ; il y aura du vent, mais peut-être que vous ne serez pas là. Qui sait pour demain ? Ce jour sera peut-être le dernier.

Ainsi, profitez toujours de chaque instant comme si c'était le dernier. Prenez-le en entier, pressez-le jusqu'à la dernière goutte, qu'il ne reste plus rien. Alors une personne vit intensément et passionnément. Le sexe n’est qu’un sous-produit de votre approche de la totalité, vous ne pouvez donc pas changer de sexe seul – c’est impossible. Tout est interdépendant et tout devra changer.

Mangez joyeusement ! Ne continuez pas à manger comme si vous aviez juste besoin de remplir votre corps de quelque chose – profitez-en ! C'est un sacrement. Marcher... - profitez-en. C’est un don de Dieu et l’homme devrait en être reconnaissant. Vous parlez à quelqu'un, profitez-en.

Alors, à partir de maintenant, commence à profiter de tout, même de ce qui n'a rien à voir avec le sexe, hein ? Mais le résultat final est que si vous aimez d’autres choses, vous apprécierez le sexe. Si vous n’aimez pas d’autres choses, vous ne pourrez pas apprécier le sexe.

Voici mon constat : l'attitude envers le sexe est très révélatrice ; cela dit tout sur toute votre vie. Vous ne pourrez pas profiter d'autres choses dans la vie à moins de certaines limites- alors tu t'arrêtes. Une personne qui a peur du bonheur et de la joie a toujours peur de bien d’autres choses. Vous atteignez certaines limites et vous vous arrêtez.

Faites ces trois choses et dans trois semaines dites-moi ce qui s'est passé. Trois semaines de vie sauvage... Oubliez votre humanité - soyez un animal, un simple animal, et alors je pourrai très facilement faire de vous un être humain. Mais pour être un animal, une personne doit approfondir tout.

Tant que vous ne devenez pas un véritable animal, vous ne pouvez pas être un véritable être humain. Tant que vous ne devenez pas un véritable être humain, vous ne pouvez pas devenir un être divin.

Tout a sa propre hiérarchie : l'animal constitue le fondement du temple, l'humanité - les murs du temple, la divinité - son toit. Mais un toit ne peut exister sans fondations. S’il y a un toit mais pas de murs, le temple ne peut même pas exister. L'homme est un bâtiment à trois étages : le premier étage est animal, le deuxième est l'homme et le troisième est le divin. Commencez par le début, dès le début – posez la première pierre.

Chaque fois que je fais l’amour avec une femme, cette peur de l’impuissance surgit.

L’approche occidentale exige toujours de faire bouger les choses, de « faire » quelque chose ! Mais il y a certaines choses que vous ne pouvez pas « faire ». C’est là que l’Occident se révèle complètement fou !

Par exemple : dormir, sexe. Ces choses que vous ne pouvez pas faire, c'est pour cela que l'Occident souffre de troubles du sommeil, l'insomnie et problèmes sexuels. Tout le monde craint de ne pas vivre la situation comme il le devrait. L'orgasme ne se produit pas, ou il est très local, ou peu intense, ou encore pas total. Le sommeil n'est pas bon : trop de rêves. Plusieurs fois, une personne se réveille et doit attendez plusieurs heures avant de retrouver le sommeil. Les gens utilisent toutes sortes de choses pour induire le sommeil : tranquillisants, exercices, mantras, méditation transcendantale.

Mais les gens sont aussi très inquiets à propos du sexe. Cette inquiétude et cet effort même pour faire quelque chose créent un problème.

Le sexe arrive ; ce n’est pas quelque chose qui doit être « fait ». Vous devez apprendre l’approche orientale du sexe, l’approche tantrique. L’approche tantrique consiste à traiter votre partenaire avec amour. Pas besoin de planifier, pas besoin de répéter dans sa tête. Vous n’avez rien de spécial à faire : soyez simplement aimant et disponible. Continuez à jouer avec l’énergie de chacun. Et quand vous commencez à faire l’amour, il n’est pas nécessaire de faire quelque chose d’extraordinaire. Sinon, vous ferez semblant, et votre femme fera semblant. Elle fera semblant d'être une grande amante, vous ferez semblant d'être une grande amante... et aucun de vous ne sera épanoui ! Il n’est pas nécessaire d’adopter de fausses poses.

C'est une prière très calme. Faites de l'amour une méditation. Elle est sacrée ; le saint des saints... Et quand on fait l'amour très lentement... avec émotion, en absorbant chaque sensation... Et très lentement : pas de précipitation, pas besoin de se précipiter ; assez de temps.

Et quand vous faites l’amour, oubliez l’orgasme. Au lieu de cela, soyez détendu avec votre femme et détendez-vous l'un avec l'autre. L’esprit occidental pense constamment qu’il faut obtenir l’orgasme, le rendre plus rapide, le rendre meilleur, etc. Cette réflexion ne permet pas aux énergies du corps d’agir. Cette pensée ne permet pas au corps d’agir à sa manière ; l'esprit interfère constamment...

Détendez-vous l'un dans l'autre. Si rien ne se passe, alors rien ne devrait se passer. Si rien ne se passe, voilà ce qui se passe... et c'est beau aussi ! L'orgasme n'est pas quelque chose qui devrait arriver tous les jours. Le sexe devrait être une façon d’être ensemble, de simplement se perdre l’un dans l’autre. Ensuite, vous pouvez continuer à faire l'amour pendant une demi-heure, une heure, simplement en vous relaxant l'un avec l'autre. Vous serez alors un espace de vie, vide de mental, car le mental n’est pas nécessaire. L'amour est le seul état dans lequel l'esprit n'est pas nécessaire ; C’est justement là que l’Occident se trompe : il apporte de l’intelligence même là-bas !

Détendez-vous simplement l'un dans l'autre et oubliez votre esprit. Profitez de la présence de l'autre, de la rencontre, et perdez-vous dedans. N'essayez pas d'en faire quoi que ce soit ; il n'y a rien à faire. Puis un jour surviendra l’orgasme de la vallée ; il n'y aura pas de sommet. Ensuite, il n'y aura que la détente, mais elle a son propre apogée, car il y a de la profondeur. Un jour, le corps atteindra l’orgasme maximal, mais cela aussi sera involontaire ; cela aussi arrivera.

Parfois il y aura des vallées, parfois il y aura des sommets... il y a un certain rythme. Vous ne pouvez pas vivre le sommet tous les jours. Si seulement des pics vous arrivent, ces pics ne seront pas très élevés. Il faut gagner le sommet en s'enfonçant profondément dans la vallée. Ils sont donc équilibrés. Parfois, un orgasme dans la vallée se produit. Perdez-vous ensuite dans l'obscurité de la vallée, dans sa fraîcheur et sa paix. C'est ainsi que vous gagnez le sommet. Un jour les énergies sont prêtes : elles s'élèvent elles-mêmes haut. Ce n'est pas vous qui les apportez : comment pouvez-vous faire cela ? Qui êtes-vous et comment cela peut-il fonctionner pour vous ? Dans la vallée, les énergies s’accumulent ; le pic naît de la vallée. Ensuite, l’orgasme est énorme ; tout votre être est rempli de joie.

Au sommet il sera la joie, dans la vallée il sera la paix. Et finalement, la paix a plus de valeur que la joie, car la joie ne vient qu'un instant : on ne peut pas rester au sommet plus d'un instant. Apex signifie un très petit point ; comme une pyramide... Vous ne pouvez pas rester longtemps au sommet ; vous ne pouvez être là qu'un instant. Mais quand la vallée arrive, on peut y rester longtemps. Les deux doivent être appréciés ; les deux peuvent donner beaucoup. Que les deux sont importants et les deux vous aideront à grandir.

En fin de compte, dit le Tantra, l’orgasme de la vallée est infiniment supérieur à l’orgasme du sommet. L'orgasme de pointe est immature, l'orgasme de vallée a une grande maturité. L'orgasme maximal est plein d'excitation : il est fébrile ; c'est la passion. Il y a de la crainte en lui, mais cette crainte est fatiguante. Dans l'orgasme de la vallée, il n'y a pas de tremblement, mais il y a le silence, et ce silence est bien plus précieux car ça apporte transformation. Il restera avec vous pendant vingt-quatre heures. Une fois que vous êtes allé dans une vallée, cette vallée vous suivra. Le sommet sera perdu et vous serez épuisé et vous vous endormirez. La vallée continuera ; pendant plusieurs jours, cela peut continuer à vous affecter de nouvelles manières. Vous vous sentez détendu, serein.

Les deux sont bons, mais rien ne peut être « fait ». Vous ne pouvez que l'autoriser. Ainsi, l’amour est une sorte de détente dans laquelle tout ne peut être que permis.

Parfois j'ai envie de me cacher trou noir, surtout quand j'ai mes règles.

Ce sont des vagues d'énergie. Parfois la marée monte, parfois la marée descend. Quand on est au sommet, il est très facile de communiquer, d’être en public, d’être ouvert, aimant, acceptant, donnant. Quand on n’est pas au sommet et que son énergie décline, la communication est très difficile, voire impossible. Mais les deux états vont et viennent – ​​ils font tous deux partie de la vie. Il n'y a rien de mal à cela, c'est naturel, mais n'oubliez pas de les prendre.

Lorsque vous ressentez une période de dépression, n'essayez pas de communiquer. Ne vous forcez pas à être ouvert, car cette ouverture ne sera pas une véritable ouverture. C'est la période de maturation des graines. Une personne se ferme simplement et reste en elle-même. Utilisez ce temps pour une méditation profonde. C'est très fertile pour la méditation. Lorsque vous êtes au sommet de la marée et que l’énergie circule et monte plus haut, c’est l’heure de l’amour. Alors soyez avec les gens, soyez ouvert, partagez. C'est le temps des récoltes, mais il je ne peux pas durer toute l'année. On dit que même au ciel, les anges ne chantent pas tout le temps.

Ainsi, quand vient le temps de chanter, chantez. Et quand vous avez l’impression que tout se ferme, aidez-vous simplement à fermer. C'est ce que signifie le naturel. Le naturel ne signifie pas qu'une personne doit être ouverte vingt-quatre heures sur vingt-quatre - vous n'êtes pas une corne d'abondance. Il y a des moments où il faut s'arrêter, sinon tout sera trop fatigant, ennuyeux. Il n’est pas nécessaire de sourire continuellement : seuls les politiciens le font, et ce sont les gens les plus stupides du monde.

Il y a des moments où les larmes peuvent être accueillies – elles devraient être accueillies. Ce sont les moments où une personne est triste – la tristesse est belle, alors quand vous êtes triste, soyez triste. Quand vous êtes heureux, soyez heureux. Être authentique, c’est ne jamais aller à l’encontre de ce qui se passe déjà. Bougez avec ce qui se passe... faites-lui confiance. Les pétales de lotus se ferment la nuit et s'ouvrent à nouveau le matin : c'est un processus naturel.

Or, dans l’esprit moderne – en particulier dans l’esprit de la nouvelle génération – il existe une conception complètement erronée selon laquelle une personne devrait toujours être ouverte ; il doit toujours être aimant. Ce nouveau look la torture, un nouveau type de répression, une nouvelle mode en matière de violence. Ce n'est pas nécessaire.

Une personne authentique- c'est celui qui reste avec tout, peu importe ce qu'il ressent ; vous pouvez compter sur lui. S’il est triste, vous pouvez être sûr qu’il est vraiment triste : c’est un homme de vérité. S'il est fermé, vous pouvez compter sur lui, vous pouvez lui faire confiance. C'est un état de méditation : il veut rester en lui-même. Il ne veut pas sortir, il se plonge dans une profonde introspection. Bien! S'il sourit et parle, c'est qu'il a envie de communiquer, de sortir de son être et de partager. Vous pouvez compter sur une telle personne.

N’essayez donc pas d’imposer quoi que ce soit de mental à la créature. Laissez l’être avoir le dernier mot, et l’esprit doit être le suiveur, le serviteur. Mais l’esprit essaie toujours d’être le maître. Je ne vois rien de mal à ce qui se passe. Vivez simplement ces périodes et, petit à petit, vous pourrez constater que cela se produit chaque mois. Certains jours, vous serez très ouvert ; certains jours, vous serez fermé.

Ceci est plus prononcé chez les femmes que chez les hommes car les femmes vivent toujours selon la périodicité. Grâce aux menstruations, la chimie du corps traverse des cycles - vingt-huit jours, et le cycle est terminé - l'horloge interne fonctionne. En fait, la même chose arrive à un homme, mais c’est plus subtil, invisible.

Plus récemment, un petit groupe de chercheurs a découvert que les hommes connaissent un certain type de cycle menstruel, mais que ce cycle est invisible car il n’y a pas de saignement. Mais tout comme pendant quatre jours par mois une femme entre dans un état de très faible énergie, tout homme entre également dans un état de faible énergie pendant quatre jours, mais ce n'est pas le cas. phénomène physique, pas si visible ; mental – interne plutôt qu’externe.

Mais si vous observez vos états et pouvez établir un calendrier... Notez-le sur votre calendrier. J'ai le sentiment que vous et vos humeurs changerez en fonction de la Lune ; observez et remarquez simplement votre relation avec la Lune. Gardez un calendrier pendant au moins un mois, deux mois, et vous pourrez même alors prédire. Ensuite, vous pourrez planifier votre vie.

Si vous souhaitez rencontrer des amis, ne les rencontrez jamais lorsque vous êtes fermé ; rencontrez-les lorsque vous êtes ouvert. Mais il n’y a rien de mal à cela : c’est juste un processus naturel.

Mes jambes et le bas de mon corps sont lourds et il y a un blocage d’énergie. Comment puis-je entrer davantage en contact avec la terre ?

Le bas du corps est l’un des problèmes rencontrés par de nombreuses personnes ; presque la majorité. La partie inférieure du corps est morte parce que le sexe a été supprimé pendant de nombreux siècles. Les gens ont commencé à avoir peur de se déplacer en dessous du centre sexuel. Ils restent surmenés, essayant de rester au-dessus du centre sexuel. En fait, beaucoup de gens vivent dans la tête ou, s’ils ont un peu de courage, dans le torse.

La plupart des gens descendent jusqu'au nombril, mais pas plus loin, et la moitié du corps reste presque paralysée, et à cause de cela, la moitié de la vie est également paralysée. Alors beaucoup de choses deviennent impossibles, car la partie inférieure du corps est comme des racines. Ce sont les racines. Vos pieds sont vos racines ; ils vous connectent à la terre. Et les gens sont suspendus dans les airs comme des fantômes, déconnectés de la terre. L’homme doit revenir et se remettre sur pied.

Lao Tzu a dit à ses disciples : « Tant que vous ne commencez pas à respirer par la plante de vos pieds, vous n'êtes pas mes disciples. » Respirez avec la plante de vos pieds... il a tout à fait raison. Plus vous allez en profondeur, plus votre respiration est profonde. Et presque littéralement, la limite de votre être est la limite de votre respiration. Lorsque la frontière s’étend et atteint les pieds, la respiration semble également atteindre les pieds – pas au sens physiologique du terme ; Le sens est très psychologique. Vous avez alors retrouvé tout votre corps. Pour la première fois, vous êtes entier, indivisible, assemblé en un tout.

Continuez à ressentir de plus en plus votre présence dans vos jambes. Parfois, il suffit de se tenir par terre sans chaussures et de ressentir sa fraîcheur, sa douceur, sa chaleur. Tout ce que la terre est prête à donner en ce moment, ressentez-le et laissez-le couler à travers vous. Et laissez votre propre énergie circuler dans la terre. Soyez connecté à la terre.

Si vous êtes connecté à la terre, vous êtes connecté à la vie. Si vous êtes connecté à la terre, vous êtes connecté à votre corps. Si vous êtes connecté à la terre, cela vous apportera sensibilité et centrage – ce dont vous avez besoin. Si vous ressentez cela, vous pouvez passer à autre chose. Allez-y de plus en plus profondément.

Je m'inquiète constamment pour mon corps, j'ai peur qu'il tombe malade. Pourriez-vous me donner des conseils ?

Si vous pensez trop au corps, le corps commence à faire mal, et quand le corps commence à faire mal, naturellement vous y pensez encore plus. Un cercle vicieux se crée alors.

Même si une personne en bonne santé, en parfaite santé, commence à penser à son estomac : comment pourra-t-elle digérer ceci ou cela ?.., que se passera-t-il ?.. - au bout de vingt-quatre heures, sa digestion sera perturbée. Et dès que le travail de l'estomac sera perturbé, il commencera à réfléchir encore plus, alors que dans le corps, en fait, tout était en ordre. La seule chose, c'est que cette idée est née. La médecine n’aidera pas, car la médecine ne peut pas guérir une personne d’une idée. Et on peut passer d’un médecin à un autre, passer d’une « voie » à une autre, mais rien n’y fera vraiment. Cela peut même être nocif, car tous ces médicaments auront un certain effet sur le corps, mais ils ne peuvent pas vous guérir de cette idée. Et en dehors de l’idée, il n’y a pas de maladie. Mais ces médicaments ont des effets secondaires ; ils sont venimeux.

Et plus vous êtes déçu par les médecins, plus vous vous inquiétez pour votre corps. Une obsession pour le corps commence. La personne devient trop sensible au corps. Le moindre changement, un léger malaise, un léger inconfort et la personne panique. Et la panique entraîne le corps dans un désordre encore plus grand.

Ma première suggestion est donc la suivante : abandonnez cette préoccupation. Commencez à vivre.

Un jour, c'est arrivé...

Son médecin a dit à un homme qu'il ne lui restait plus que six mois à vivre. Cet homme a souffert de mille et une maladies pendant vingt ans. Tout ce qui peut arriver à une personne lui est arrivé. Les médecins sont fatigués ; il était très riche. Il souffrait d'hypocondrie et, par pure fatigue, le médecin lui dit :

De toute façon, vous ne pourrez pas survivre, alors oubliez ça. Encore six mois et tu mourras ; C'est sûr. Désormais, personne ne peut vous sauver. Et si tu veux vivre, tu peux vivre ces six mois.

Cet homme pensa : « S’il ne me reste que six mois à vivre, pourquoi s’inquiéter pour mon corps ? De toute façon, il mourra. » Et pour la première fois, sa conscience changea. Il s'est ordonné meilleurs vêtements, acheté les meilleures voitures, j'ai décidé voyager à travers le monde. Il a visité tous les endroits où il avait toujours voulu aller mais ne l'a jamais fait à cause de ses problèmes corporels. Il a voyagé partout dans le monde, a mangé ce qu'il voulait, est sorti avec des femmes, a acheté tout ce qu'il voulait... a vraiment vécu ! La mort approchait et il ne servait à rien de se retenir. Six mois plus tard, il était de retour et il était en meilleure santé que jamais. Il a vécu encore trente ans et n’a plus jamais eu de problèmes !

Il faut abandonner cette obsession. La naturopathie n’est pas une mauvaise chose car ce n’est pas une « -pathy » ; ce sont juste des vacances. Mais ne devenez pas un fanatique holistique, sinon cela redeviendra douloureux. La naturopathie en elle-même n'est pas une « -pathy » ; cela donne simplement au corps du repos, lui offre une situation dans laquelle il peut s'accorder avec la nature. Il s'agit d'une harmonisation avec la nature instinctive ; cela n'a rien à voir avec la médecine. Mais le problème de la naturopathie, c’est qu’elle peut évoluer vers une obsession, et cette addiction est bien plus dangereuse que la maladie elle-même. Et cela arrive très rarement... La naturopathie aide de nombreuses personnes, mais très rarement une personne aidée par la naturopathie ne tombe pas malade à cause de la naturopathie elle-même. Cela arrive très rarement ; cela se transforme généralement en une erreur. Une personne commence à penser constamment à ce qu'elle devrait manger, à ce qu'elle ne devrait pas manger, où elle devrait aller, où elle ne devrait pas aller, à se soucier de l'environnement, etc.

La vie redevient difficile. Tu ne peux pas respirer C'est pourquoi que l'air est tellement pollué. Vous ne pouvez pas manger dans un hôtel car la nourriture n’est pas préparée de manière naturelle. Vous ne pouvez pratiquement rien manger parce que vous aimez uniquement les aliments naturels. Vous ne pouvez pas vivre en ville. Et tout devient de plus en plus difficile.

Rappelez-vous toujours naturopathie- c'est juste un repos. Bien; De temps en temps, cela ne ferait de mal à personne de visiter une clinique naturopathique et de se détendre pendant deux ou trois semaines, un mois, deux mois, autant de temps par an qu'une personne peut se le permettre - sans raison particulière, juste pour profiter de la nature, alimentation naturelle, bains, saunas et massages. Sans raison particulière, juste par joie, par pure joie...

Mais abandonnez l’idée que vous êtes malade. Pensez au roi vivant à l’intérieur ; le corps n'est que son palais.

Je suis un intellectuel et je travaille beaucoup avec l'ordinateur. Je me sens souvent pas assez vivant.

Entrez davantage dans le corps. Rendez vos sentiments plus vivants. Voir avec plus d'amour, goûter avec plus d'amour, toucher avec plus d'amour, sentir avec plus d'amour. Laissez les sentiments agir de plus en plus. Puis soudain, vous verrez que l’énergie qui se déplaçait excessivement dans la tête est désormais bien répartie dans tout le corps.

Le chef est un grand dictateur. Il enlève constamment de l’énergie partout et devient un monopole. Elle tue les sentiments. La tête consomme près de quatre-vingts pour cent de l’énergie, ne laissant que vingt pour cent à l’ensemble du corps. Bien sûr, le corps souffre, et quand le corps souffre, vous souffrez, parce que vous ne pouvez être heureux que si vous vivez dans son ensemble, comme une unité organique, et que chaque partie du corps et de l'être ait sa part ; ni plus ni moins. Ensuite, vous vivez en rythme. Il y a de l'harmonie en vous.

Harmonie, bonheur, santé : tout cela fait partie d'un seul phénomène - et cela constitue la totalité. Si vous êtes entier, vous êtes heureux, en bonne santé et harmonieux.

La tête crée le désordre. Les gens ont beaucoup perdu. Les gens ne sentent pas. Ils ont perdu la capacité de sentir.

Ils ont perdu la capacité de goûter. Ils n'entendent que peu. Ils ont perdu leurs oreilles. Les gens ne savent pas ce qu'est le vrai contact. Leur peau était presque morte. Elle a perdu sa douceur et sa sensibilité. Et la tête gouverne tout, comme Adolf Hitler, écrasant tout le corps. La tête devient de plus en plus grosse. C'est tellement ridicule. L’homme est devenu presque une caricature : une énorme tête à laquelle pendent de minuscules membres.

Ainsi, retrouvez vos sens. Faites quelque chose avec vos mains, travaillez avec la terre, avec les arbres, avec les pierres, avec les corps, avec les gens. Faites quelque chose qui demande moins de réflexion, moins d’intellectualité. Et profitez-en. Ensuite, la tête sera progressivement libérée du fardeau. Ce sera bon pour la tête elle-même, car si la tête est trop chargée, elle pense - mais ne peut pas penser. Comment un esprit troublé peut-il penser ? Penser nécessite de la clarté. Penser nécessite un esprit détendu.

Cela peut paraître paradoxal, mais penser nécessite un esprit sans pensées. Vous pouvez alors penser très facilement, très directement, intensément. Posez simplement n’importe quel problème et votre esprit irréfléchi commencera à le résoudre. Ensuite, vous avez l'intuition. Ce n’est pas le résultat d’une préoccupation – juste une révélation.

Lorsque l’esprit est trop chargé de pensées, vous réfléchissez trop sans aucun bénéfice. Toute pensée ne mène à rien ; il n'y a rien dans ma tête. Vous allez et tournez en rond ; vous faites beaucoup de bruit, mais le résultat reste nul.

Ainsi, si vous diffusez l’énergie à tous les sens, ce n’est pas contre la tête. Cela est en sa faveur, car si la tête est équilibrée, mise en place, elle fonctionne mieux ; sinon il est surchargé. Il y a trop de circulation, presque aux heures de pointe – vingt-quatre heures, aux heures de pointe.

Le corps est magnifique. Tout ce qui touche au corps est beau.

Qu'est-ce que la sensualité ?

La sensualité signifie que vous êtes ouvert, que vos portes sont ouvertes, que vous êtes prêt à vibrer d'existence. Si un oiseau se met à chanter, la personne sensuelle sent immédiatement que son chant se reflète au plus profond de son être, comme un écho. Une personne insensible n'entend rien du tout, ou peut-être que pour elle c'est juste une sorte de bruit. La chanson ne pénètre pas son cœur. Le coucou pleure - une personne sensuelle commence à avoir l'impression que le coucou n'appelle pas d'une mangueraie lointaine, mais du plus profond de sa propre âme. Ce cri devient son propre cri, sa soif de divin, son désir de sa bien-aimée. A ce moment, l'observateur et l'observé se confondent en un seul. En voyant un beau bouton s'épanouir, une personne sensuelle s'épanouit avec lui, devient une fleur avec lui.

Une personne sensuelle est douce, fluide, fluide. Dans chaque expérience, il devient cette expérience. En voyant le coucher du soleil, il est le coucher du soleil. Voir la nuit nuit noire, belle obscurité silencieuse, il devient cette obscurité. Le matin, il fait jour.

Il est tout ce qu'est la vie. Il mange de toutes les sources de la vie. Et cela l'enrichit ; c'est une vraie richesse. En écoutant de la musique, en écoutant les bruits de l'eau qui coule, il devient ces sons. Et lorsqu'un coup de vent touche la bambouseraie, le crépitement des tiges de bambou se fait entendre... il n'en est pas séparé. Il est parmi eux, il est lui-même une tige de bambou.

Un Maître Zen dit à l'un de ses élèves qui voulait dessiner un bambou :

Allez d’abord et devenez un bambou.

L'étudiant était un artiste reconnu et a réussi tous les tests dans son art avec distinction. Son nom a déjà commencé à devenir célèbre. Mais le Maître dit :

Allez dans la forêt, vivez quelques années parmi les bambous, devenez un bambou. Et le jour où vous pourrez devenir bambou, revenez en arrière et commencez à peindre – pas avant. Comment pouvez-vous représenter le bambou sans connaître la sensation du bambou de l’intérieur ? Vous pouvez représenter l’extérieur du bambou, mais ce ne sera qu’une photographie.

C'est la différence entre la photographie et la peinture. Une photographie ne peut jamais être une peinture. Aussi habile et artistique soit-il, ce n’est que le reflet de la périphérie du bambou. Aucune caméra ne peut entrer dans son âme.

Lorsque la photographie s'est développée pour la première fois, le monde de la peinture craignait beaucoup que la peinture ne perde désormais son ancienne beauté et son ancien piédestal ; car la photographie se développera chaque jour davantage et un jour elle remplira toutes les exigences. Cette crainte est totalement infondée. En fait, depuis l’invention de l’appareil photo, la photographie s’est incroyablement développée, mais en même temps la peinture a ouvert de nouvelles dimensions, de nouvelles visions, de nouvelles perceptions. La peinture est devenue plus riche ; elle devait devenir plus riche. Avant l’invention de l’appareil photo, l’artiste lui-même faisait office d’appareil photo.

...Le Maître dit :

Allez dans la forêt.

Et l'étudiant est allé dans la forêt, et pendant trois ans il est resté avec des bambous, en toutes saisons, par tous les temps. Parce que quand il pleut, le bambou a une joie, quand le vent souffle, le bambou a une humeur différente, et quand le soleil brille, bien sûr, tout change dans l'être du bambou. Et quand le coucou s'envole dans la bambouseraie et commence à chanter, les tiges de bambou sont si silencieuses et réceptives... Il a dû y rester trois ans.

Et puis c'est arrivé, un jour c'est arrivé : assis au pied du bambou, il a oublié qui il était. Le vent a soufflé et il a commencé à se balancer - comme une tige de bambou ! Ce n'est que plus tard qu'il se souvint qu'il n'était plus humain depuis longtemps. Il est entré dans l'âme du bambou. Et puis il a dessiné du bambou.

Cette image de bambou a sans aucun doute une qualité complètement différente que l’on ne retrouve sur aucune photographie. La photographie est peut-être belle, mais elle est morte. Ces tableaux sont vivants car ils montrent l’âme du bambou, dans toutes ses humeurs, dans toute sa richesse, sous tous ses temps. Il y a de la tristesse en eux, il y a de la joie, il y a de l'agonie, il y a de l'extase, et tout ce que le bambou sait, c'est toute la biographie du bambou.

Être sensuel, c'est être accessible aux mystères de la vie. Soyez de plus en plus sensuel, abandonnez tout jugement. Laissez le corps devenir juste une porte.

Depuis que je ne suis plus en couple, je mange trop et je commence à prendre du poids. Comment retrouver mon équilibre et manger moins ?

Lorsque vous ne laissez pas l’énergie du sexe circuler correctement, cela se transforme en une obsession pour la nourriture. La nourriture et le sexe sont deux polarités ; ils s'équilibrent. Si vous avez trop de relations sexuelles, votre intérêt pour la nourriture disparaîtra. Si vous réprimez la sexualité, votre intérêt pour la nourriture deviendra presque une obsession. Ainsi, vous ne pouvez rien faire directement avec la nourriture, et si vous essayez, vous vous retrouverez en difficulté. Pendant quelques jours, vous pourrez vous forcer, mais ensuite le problème reviendra, et reviendra avec vengeance. Vous devrez travailler avec l'énergie sexuelle.

Ce problème se pose parce que les premières expériences d’un enfant en matière de nourriture et d’amour sont profondément liées les unes aux autres. Il reçoit à la fois nourriture et amour du sein de sa mère. Lorsqu’un enfant reçoit de l’amour, il ne se soucie pas du lait ; sa mère doit le persuader. Si l’enfant ne reçoit pas d’amour, il ne peut pas quitter le sein car il a peur de l’avenir. Il doit boire autant que possible car il ne peut pas être sûr que sa mère sera de nouveau disponible, ni quand. Si un enfant reçoit de l’amour, il se sent en sécurité ; il ne s'en soucie pas. Quand le besoin s’en fera sentir, la mère sera là ; il peut faire confiance à son amour. Mais si la mère n’aime pas, l’enfant ne peut pas faire confiance ; puis il essaie de boire le plus possible. Il mange constamment trop.

De la même manière, si un enfant ne reçoit pas d’amour, il s’intéresse à la nourriture. S'il reçoit de l'amour, il ne s'intéresse pas à la nourriture, ou cet intérêt est naturel - autant que le corps en a besoin.

Si, d’une manière ou d’une autre, votre énergie d’amour est bloquée, cette énergie bloquée devient un intérêt pour la nourriture. Si vous voulez changer cela, vous devrez vous déplacer un peu plus vers l’amour, vous devrez être un peu plus aimant. Aimez votre corps – commencez par là ; profitez de votre propre corps. Ce beau phénomène, c'est un tel cadeau. Dansez, chantez, ressentez et touchez votre corps.

Le problème est que si vous n’aimez pas vous-même votre corps, vous ne permettrez à personne d’autre de l’aimer. En fait, une personne qui essaie de vous aimer semblera drôle, stupide, déraisonnable. Si vous n’aimez pas votre corps vous-même, que voit-il en vous ? Vous ne voyez rien vous-même ! Tant que vous ne commencez pas à voir la beauté de votre propre corps, vous ne pouvez pas accepter l’amour de quelqu’un d’autre. L’idée même que cette personne vous montre de l’amour ne fera que vous montrer qu’elle est stupide, et rien de plus.

Alors, aimez votre corps. Et si la bonne opportunité se présente et que vous pouvez être aimant, vous pouvez embrasser quelqu'un, vous pouvez tenir la main de quelqu'un, ne manquez pas ces opportunités. Vous serez surpris : lorsque vous commencerez à entrer dans l’amour, le problème de la nourriture sera automatiquement résolu. Être amoureux est une expérience incroyable, mais se gaver de nourriture est une expérience très misérable. Ce n'est pas parce que la nourriture n'est pas belle ; mais la nourriture n’est belle que lorsqu’elle est prise en certaines quantités que vous pouvez digérer. Si vous en prenez trop, c'est douloureux.

C’est l’une des beautés de l’amour : on n’a jamais trop d’amour. Personne ne peut aimer excessivement, personne ; il n'y a pas de mesure en amour. Quand tu manges, tu te gaves de quelque chose ; quand on aime, on partage, on donne. C'est un phénomène qui libère des fardeaux. Et plus vous donnez, plus l’énergie commence à circuler. Vous devenez une rivière, vous n’êtes plus une étendue d’eau stagnante.

C’est exactement ce que vous avez fait : vous avez fait de votre énergie un étang stagnant.

Détruisez les murs ! Vous manquez quelque chose de beau, quelque chose que l'amour et seul l'amour peut apporter, et à la place vous souffrez de ce problème alimentaire.

Katya, puis-je déterminer quelle nourriture est bonne pour moi ?

Il existe deux types de nourriture. Le premier est ce que vous aimez, ce à quoi vous êtes accro, ce sur quoi vous fantasmez. Il n’y a rien de mal à cela, mais il y a une petite astuce que vous devez comprendre. Il y a de la nourriture très attractive. Elle est attirante quand on la voit. Vous entrez dans un hôtel ou un restaurant et voyez un certain aliment - il y a une odeur qui vient de quelque part... une couleur et un arôme. Vous ne pensiez pas à la nourriture, mais tout à coup, cela commence à vous intéresser – cela ne fera rien. Ce n’est pas un réel désir. Vous pouvez manger cette nourriture – elle ne vous rassasiera pas. Vous mangerez et mangerez, mais cela ne vous donnera rien ; cela n'apportera aucune satisfaction. Et la satisfaction est la chose la plus importante. C'est l'insatisfaction qui provoque toute obsession.

Méditez simplement avant de manger tous les jours. Fermez les yeux et ressentez ce dont votre corps a besoin, quoi que ce soit ! Vous n'avez vu aucune nourriture - il n'y a pas de nourriture à proximité ; vous ressentez simplement votre propre être, ressentez ce dont le corps a besoin, ce que vous voulez, ce qui cause la faim.

Le Dr Leonard Pearson appelle cette nourriture « résonante » – une nourriture qui résonne en vous. Allez-y, mangez-en autant que vous le souhaitez, mais limitez-vous à cela. Il appelle les autres aliments « appelant » la nourriture : elle commence à vous intéresser lorsque vous la voyez devant vous. Alors c’est une idée mentale et non votre réel besoin. Si vous trouvez une nourriture qui vous parle, vous pouvez en manger autant que vous le souhaitez et cela ne vous fera jamais de mal car cela vous apportera de la satisfaction. Le corps veut simplement ce dont il a besoin ; il ne désire rien d'autre. Cela apportera de la satisfaction, et lorsque la satisfaction se fait sentir, une personne ne mange jamais plus que ce dont elle a besoin. Le problème ne se pose que si vous mangez des aliments de la variété « appelant » : vous le voyez, cela pique votre intérêt et vous commencez à manger. Une telle nourriture n'apportera pas de satiété, vous ne vous sentirez pas satisfait. Et par sentiment d'insatisfaction, vous mangerez de plus en plus, mais peu importe la quantité que vous mangerez, il n'y aura aucune satisfaction, car, premièrement, ce n'était pas un besoin.

Le désir du premier type doit être satisfait, puis le second disparaîtra. Mais voilà ce que font les gens : ils n’écoutent jamais le premier, et le second devient un problème. Si vous écoutez si la nourriture résonne en vous, la nourriture qui vous appelle disparaît. La seconde ne devient un problème que si vous avez complètement oublié que vous devez écouter vos désirs intérieurs et que les gens apprennent à ne pas les écouter. On leur apprend : « Mangez ceci et cela, ne mangez pas ceci ou cela » - des règles fixes. Le corps ne connaît aucune règle fixe.

Il a été découvert que si les jeunes enfants sont laissés seuls avec de la nourriture, ils ne mangent que ce dont leur corps a besoin - et c'était incroyable. De nombreuses découvertes psychologiques sont désormais disponibles ; mais c'était tout simplement incroyable. Si un enfant souffre d'une maladie et que les pommes sont utiles pour cette maladie, l'enfant choisira une pomme. Tous les autres aliments sont disponibles, mais l’enfant mangera la pomme.

C'est ce que font les animaux ; seul l'homme a oublié cette langue. On ne peut pas tromper un âne : il connaît sa nourriture. Les gens sont faciles à tromper. Vous êtes entouré de toutes parts d’images colorées, de publicités, de télévision, de films, qui vous attirent et vous détournent du chant du corps. Une entreprise souhaite vous vendre quelque chose. C’est bénéfique pour l’entreprise, bon pour l’entreprise, pas pour vous.

Certains Coca-Cola, par exemple, souhaitent vous vendre du Coca-Cola. Il n’y a rien de bénéfique pour le corps ; elle vous attire. Où que vous alliez, vous trouverez du Coca-Cola partout ; Coca-Cola semble être la chose la plus omniprésente au monde - c'est même le cas dans Russie soviétique. Une bouteille de Coca-Cola vous appelle de partout : « Viens ici ! Et soudain tu sentir J'ai soif. Ce FAUX soif. Je ne dis pas qu'il ne faut pas boire de Coca-Cola, - mais laisse-la résonne avec vous; faites-en une règle.

Il faudra quelques jours, voire quelques semaines, avant que vous commenciez à ressentir ce qui vous attire vraiment. Mangez autant que vous le souhaitez, mais seulement ce qui vous attire. Ne vous inquiétez pas de ce que disent les autres. Si la glace vous plaît, mangez de la glace. Mangez jusqu'à ce que vous soyez rassasié, jusqu'à ce que vous soyez rassasié, et puis tout à coup vous verrez le contentement surgir. Et quand on se sent satisfait, l’envie de se gaver disparaît. C'est l'état d'insatisfaction qui vous fait vous gaver de n'importe quoi, et vous vous gavez de plus en plus, et Ce n'est rien n'apporte pas. Tu te sens rassasié, mais c'est tout il n'y a pas de satisfaction et un problème surgit.

Alors, commencez à apprendre ce qui est naturel et ce sentiment viendra parce que vous l’avez simplement oublié ; il est toujours là dans le corps. Avant de prendre votre petit-déjeuner, fermez les yeux et imaginez ce que vous voulez ; quel est réellement votre désir. Ne pensez pas à ce que vous avez ; réfléchissez simplement à votre désir, puis allez le trouver et mangez-le. Mangez autant que vous le souhaitez. Suivez simplement cela pendant quelques jours. Petit à petit, vous verrez que désormais aucune nourriture ne vous « appelle ».

Et deuxièmement : lorsque vous mangez, mâchez bien. N'avalez pas à la hâte, car si c'est du plaisir oral, du plaisir oral, pourquoi ne pas mâcher plus longtemps ? Vous prenez dix bouchées alors que vous auriez pu en savourer une en mâchant dix fois plus longtemps. Ce sera presque l’équivalent de dix bouchées dont vous n’avez apprécié que le goût.

Ainsi, lorsque vous mangez, mâchez plus longtemps car le plaisir reste juste au-dessus de la gorge. Il n'y a pas de goût sous la gorge - rien de tel... alors pourquoi se précipiter ? Mâchez un peu plus longtemps, goûtez un peu plus fort. Et faites tout ce que vous pouvez pour rendre ce goût aussi intense que possible. Lorsque vous mangez quelque chose, sentez-le d’abord. Profitez de l’odeur car le goût est constitué d’odeur.

Donnez-lui suffisamment de temps, faites-en une méditation. Même si les gens pensent que vous êtes fou, ne vous inquiétez pas. Regardez votre nourriture sous tous les angles. Touchez-le les yeux fermés, portez-le à votre joue. Ressentez-le autant que possible ; Inspirez son parfum encore et encore. Ensuite, prenez une petite bouchée et mâchez-la en l'appréciant ; que ce soit une méditation. Ce ne sera pas suffisant grande quantité nourriture et cela vous apportera plus de satisfaction.

Avec un jeûne, le corps n'a plus à travailler sur la digestion. Pendant cette période, le corps peut travailler pour se débarrasser des cellules mortes et des substances toxiques. De même, si vous avez congé le samedi ou le dimanche, vous restez à la maison et faites le ménage toute la journée. Vous avez été tellement occupé toute la semaine que vous n'avez pas pu nettoyer la maison. Quand le corps n’a rien à digérer, quand on ne mange rien, le corps commence à nettoyer intérieurement. Ce processus commence spontanément et le corps peut jeter tout ce dont il n’a pas besoin, tout ce qui le pèse. Le jeûne est une méthode de purification. Parfois, le jeûne peut être merveilleux : ne faites rien, ne mangez rien, reposez-vous simplement. Prenez-en le plus possible plus de liquide et reposez-vous et le corps se purifiera.

Parfois, si vous sentez que vous avez besoin d’un jeûne plus long, vous pouvez faire un jeûne plus long – mais aimez votre corps. Et si vous sentez que le jeûne nuit au corps, arrêtez-le. Si le jeûne aide le corps, vous ressentirez plus d’énergie ; vous deviendrez plus vivant ; vous vous sentirez renouvelé et plein d'énergie. Et tel devrait être le critère : si vous commencez à sentir que vous vous affaiblissez ; si vous commencez à sentir un léger tremblement apparaître dans votre corps, soyez conscient : il ne s'agit plus d'un nettoyage. C’est devenu destructeur. Arrêtez-le.

Mais toute cette science doit être apprise. En fait, il faut jeûner à côté de quelqu'un qui le fait depuis longtemps et qui connaît très bien ce chemin, en connaît tous les symptômes : que se passe-t-il si le jeûne devient nocif ; si ce n’est pas nocif, cela n’arrive pas. Après un véritable jeûne de nettoyage, vous vous sentirez plus frais, plus jeune, plus propre, en apesanteur, plus heureux ; et le corps fonctionnera mieux car il est désormais libéré des fardeaux inutiles. Mais le jeûne n’est nécessaire que si vous mangez mal. Si vous mangez bien, il n’est pas nécessaire de jeûner. Le jeûne n’est nécessaire que si vous faites quelque chose de mal avec votre corps – et nous mangeons tous mal.

L'homme a perdu le bon chemin. Aucun animal ne mange comme l’homme ; Chaque animal choisit sa propre nourriture. Si vous amenez des buffles dans le jardin et les laissez là, ils ne mangeront que certaines herbes. Ils ne mangent pas tout ce qui leur arrive – ils sont très pointilleux. Ils ont un certain bon sens dans la nourriture. L’homme s’est perdu et a perdu tout bon sens en matière de nourriture. Il mange tout ce qui lui tombe sous la main. En fait, on ne trouve rien quelque part dans le monde qu’une personne ou une autre n’ait mangé. Dans certains endroits, ils mangent des fourmis. Dans certains endroits, ils mangent des serpents. Dans certains endroits, ils mangent des chiens. L'homme mange de tout. Cet homme est tout simplement fou. Il ne sait pas ce qui résonne avec le corps et ce qui ne le fait pas. Il était complètement confus.

Il est naturel qu’une personne soit végétarienne car son corps tout entier est conçu pour la nourriture végétarienne. Même les scientifiques acceptent le fait que la structure du corps humain montre qu’une personne ne devrait pas être non-végétarienne. L'homme vient du singe. Les singes sont végétariens ; végétariens absolus. Si Darwin a raison, l’homme devrait être végétarien. Il est désormais possible de savoir si tel ou tel animal est végétarien : cela dépend des intestins, de la longueur du tractus intestinal. Tigres, lions - ils ont un tractus intestinal très court, car la viande est un aliment déjà digéré. Un long tractus intestinal n’est pas nécessaire pour le digérer. Le travail digestif a déjà été effectué par l’animal dont vous mangez la viande. Il est déjà digéré - un long tractus intestinal n'est pas nécessaire. Le tractus intestinal humain est l’un des plus longs ; cela montre que par nature l’homme est végétarien. Un long tractus intestinal est nécessaire, et il doit transporter et expulser beaucoup de matières fécales.

Si une personne n’est pas végétarienne et continue à manger de la viande, cela pèse sur le corps. En Orient, tous les grands méditants – Bouddha, Mahavira – ont souligné ce fait. Non pas à cause du concept de non-violence - qui est secondaire - mais parce que si l'on veut vraiment approfondir la méditation, le corps doit être en apesanteur, naturel, fluide. Le corps doit être déchargé ; Le corps d’un non-végétarien est très sollicité.

Regardez simplement ce qui se passe lorsque vous mangez de la viande : vous tuez l'animal. Qu'arrive-t-il à un animal lorsqu'il est tué ? Bien entendu, personne ne veut être tué. La vie veut continuer ; l'animal ne meurt pas à volonté. Si quelqu’un vous tue, vous ne mourrez pas de votre propre gré. Si un lion vous attaque et vous met en pièces, qu’arrivera-t-il à votre esprit ? La même chose se produit lorsque vous tuez un lion. L'agonie, la peur, la mort, la mélancolie, l'anxiété, la colère, la violence, la tristesse : toutes ces choses arrivent à un animal. La violence, la douleur, l'agonie se répandirent dans tout son corps. Le corps tout entier est rempli de toxines et de poisons. Dans tout le corps, les glandes sécrètent des poisons, car l'animal ne veut vraiment pas mourir. Et puis vous mangez cette viande – une viande qui transporte tous les poisons excrétés par l'animal. Toute son énergie est empoisonnée. Et vous portez ces poisons dans votre propre corps.

Deuxièmement, la viande que vous mangez provient du corps d’un animal. Il avait un but précis. Il y avait une conscience spécifique dans le corps de l'animal. Vivez-vous plus haut termes que conscience animal, et lorsque vous mangez la viande d'un animal, votre corps descend vers le plan inférieur, le plan de l'animal. Cela crée un fossé entre l’esprit et le corps, et des tensions et de l’anxiété apparaissent.

Vous devez manger ce qui est naturel – naturel pour vous. Fruits, noix, légumes – mangez-en autant que vous le souhaitez. Et la beauté est que vous ne pouvez pas manger plus de ces choses que ce dont vous avez besoin. Tout ce qui est naturel est satisfaisant car il nourrit le corps et vous nourrit. Vous vous sentez rassasié. Si quelque chose n’est pas naturel, cela ne procure jamais de sentiment de satisfaction. Continuez à manger de la glace : vous ne vous sentirez jamais rassasié. En fait, plus vous en mangerez, plus vous aurez envie d’en manger. Ce n'est pas de la nourriture. C'est un piège mental. Maintenant, vous ne mangez pas selon les besoins du corps ; on ne mange que pour le goût. La langue prend le contrôle.

La langue ne doit pas contrôler. Il ne sait rien de l'estomac. Il ne sait rien du corps. La langue doit faire une certaine fonction: déterminer le goût des aliments. Naturellement, la langue doit porter un jugement, mais seulement sur une chose : si la nourriture est adaptée au corps - à un corps particulier - et quelle nourriture ne convient pas à un corps particulier. C'est juste un gardien ; ce n'est pas le propriétaire. Et si le portier devient le maître, tout va sombrer dans le désordre.

Pourrais-tu s'il te plaît dire quelque choseÔ poste?

Si parfois vous sentez que le jeûne vient naturellement - non pas comme une loi, non pas comme un principe, non pas comme une philosophie que vous suivez, non pas comme une discipline auto-imposée, mais d'un sentiment besoin naturel, - C'est bien. Mais même dans ce cas, rappelez-vous toujours que ce jeûne sert de préparation au festin - afin que vous puissiez à nouveau bien manger. Le but du jeûne est une préparation, jamais une fin en soi ; et ça arrive occasionnellement, de temps en temps. Et si vous êtes pleinement conscient du moment où vous mangez et que vous l’appréciez, vous ne mangerez jamais trop.

Je n'insiste pas sur le régime, mais sur la pleine conscience. Mangez bien, profitez autant que possible. N'oubliez pas la seule règle : si vous n'aimez pas manger, vous devrez manger plus pour compenser. Si vous appréciez votre nourriture, vous mangerez moins et vous n’aurez pas besoin de compenser. Si vous mangez lentement, en goûtant chaque bouchée, en mâchant soigneusement, vous y êtes complètement immergé. Manger devrait être une méditation.

Cela ne me dérange pas d'apprécier le goût parce que les sens ne me dérangent pas. Être sensible, c'est être intelligent, être sensible, c'est être vivant. Vos soi-disant « religions » ont tenté de vous désensibiliser, d’émousser votre sensibilité. Ils s’opposent au goût ; ils veulent que votre langue devienne complètement engourdie et que vous ne ressentiez aucun goût en mangeant. Mais ce n’est pas un problème de santé ; La langue ne perd sa sensibilité qu'en cas de maladie. Quand est-ce que tu haute température, la langue devient insensible. Quand on est en bonne santé, la langue est sensible ; il est vivant, palpitant, plein d'énergie. Je ne suis pas contre le goût, je suis pour. Mangez bien, appréciez le goût ; le goût est divin.

Et tout comme avec le goût, vous devriez voir la beauté et en profiter ; vous devriez écouter de la musique et en profiter ; vous devez toucher les pierres, les feuilles et les êtres humains avec chaleur, en étant conscient de la qualité de la surface - et en profiter. Utilisez tous vos sens, utilisez-les jusqu'aux limites de leurs capacités, et alors vous serez vraiment vivant, et la vie brûlera d'une flamme vive ; la vie ne sera pas ennuyeuse, elle brillera d'énergie et vitalité. Je ne suis pas fan des gens qui vous apprennent à tuer vos sens ; ils sont contre le corps.

Et rappelez-vous, le corps est votre temple, le corps est un don divin. C'est si délicat, si beau, si merveilleux, le tuer, c'est être ingrat envers Dieu. Dieu vous a donné le sens du goût ; ce n'est pas vous qui l'avez créé, cela n'a rien à voir avec vous. Dieu vous a donné des yeux, Dieu a rendu ce monde psychédélique si coloré et vous a donné des yeux. Qu'il y ait une grande communion entre l'œil et la couleur du monde. Il a tout créé et il y a une harmonie incommensurable dans tout. Ne perturbez pas cette harmonie.

Écoutez le corps. Le corps n’est pas votre ennemi et quand le corps dit quelque chose, agissez en conséquence car le corps a sa propre sagesse. Ne vous y opposez pas, ne partez pas en voyage mental. C'est pourquoi je n'enseigne pas les régimes, j'enseigne uniquement la pleine conscience. Mangez en pleine conscience, mangez de manière méditative, et vous ne mangerez jamais trop ou pas assez. Trop est aussi mauvais que pas assez ; ce sont des extrêmes. La nature veut que vous soyez en équilibre, dans une sorte d’équilibre, exactement au milieu, ni plus, ni moins. Évitez les extrêmes. Les extrêmes signifient la névrose.

Il existe deux types de névroses associées à l'alimentation : la première souffre des personnes qui continuent à manger sans écouter le corps - le corps pleure et crie : « Stop ! - mais ils continuent à manger. Ce sont des gens névrosés. Et il y en a une autre : le corps continue de crier : « J’ai faim ! - mais ils jeûnent. Tous deux souffrent de névrose, tous deux souffrent de pathologie - ils ont besoin d'un traitement, ils ont besoin d'une hospitalisation. Parce qu'une personne vraiment en bonne santé est celle qui est équilibrée : quoi qu'elle fasse, elle reste au milieu en tout. Il ne va jamais aux extrêmes, car tous les extrêmes créent des tensions, de l'anxiété. Si vous mangez trop, l’anxiété surgit car le corps est surchargé. Si vous ne mangez pas suffisamment, l’anxiété surgit car le corps meurt de faim. Une personne en bonne santé est celle qui sait s’arrêter ; et cette connaissance doit venir de votre propre conscience, et non de tel ou tel enseignement.

Si je vous dis quelle quantité vous devez manger, c'est dangereux car ce sera une moyenne. Quelqu'un est très maigre, quelqu'un est très gros, et si je vous dis combien vous devez manger - "trois chapatis", pour certains ce sera trop, et pour d'autres ce sera trop peu. C'est pourquoi je ne donne pas des règles fermes, je donne juste un sentiment de conscience. Écoutez votre corps : vous avez votre propre corps, spécial. Il existe différents types d’énergie, différents types d’activités. Quelqu’un est professeur dans une université ; cela ne dépense pas beaucoup d’énergie pour le corps. Il aura besoin de peu de nourriture, et ce sera une seule nourriture. Certaines personnes travaillent physiquement ; il aura besoin de beaucoup de nourriture, et ce sera une nourriture différente. Tout principe ferme à cet égard est dangereux. Aucune règle ne peut être universelle.

George Bernard Shaw a dit qu'il n'y en avait qu'un règle d'or: Il n’y a pas de règles d’or. Rappelez-vous ceci : il n’y a pas de règle d’or – et il ne peut y en avoir, car chaque individu est si unique que personne ne peut rien lui prescrire. Alors je vous donne juste un sentiment... Et mon sentiment n'est pas un sentiment de principes, pas un sentiment de lois ; mon approche est une approche de pleine conscience, car aujourd’hui vous avez peut-être besoin de plus de nourriture, mais demain vous n’en aurez pas besoin de beaucoup. Ce n’est même pas que vous êtes différent de tous les autres, chaque jour de votre vie est différent de tous les autres jours. Aujourd'hui, vous vous êtes reposé toute la journée ; Peut-être que vous n'avez pas besoin de beaucoup de nourriture. Hier, vous avez travaillé toute la journée dans le jardin, à creuser un trou ; cela peut nécessiter beaucoup de nourriture. Il faut simplement être alerte et capable d’écouter ce que dit le corps. Agissez en harmonie avec votre corps.

Le corps n’est pas un maître, mais il n’est pas non plus un esclave ; le corps est votre ami ; se lier d'amitié avec le corps. Une personne qui mange constamment trop et une personne qui suit constamment un régime sont toutes deux dans le même piège. Tous deux sont sourds ; ils n'écoutent pas ce que leur corps leur dit.

Toutes ces idées selon lesquelles manger pour le plaisir de la langue est un péché sont absurdes. Pourquoi alors manges-tu ? Cela signifie que voir est un péché pour l’œil ; pourquoi voir alors ? Cela signifie que c’est un péché pour l’oreille d’entendre ; pourquoi écouter alors ? Alors vous n’avez pas le choix : suicidez-vous, car toute vie est constituée d’organes sensoriels. Quoi que vous fassiez, les sens sont impliqués. C’est à travers les sens que vous circulez et fusionnez avec la vie. Lorsque vous mangez et goûtez, Dieu est comblé, satisfait ; et lorsque vous mangez avec goût, vous rendez hommage au Dieu contenu dans la nourriture.

Mais vos mahatmas, vos soi-disant gourous religieux enseignent l’auto-torture. Se cachant derrière le nom de religion, ils ne présentent tout simplement que du masochisme : « Torturez-vous. Plus vous vous torturez, plus vous avez de la valeur aux yeux de Dieu. Plus vous êtes malheureux, plus vous êtes vertueux. Si vous êtes heureux, alors vous commettez un péché. Le bonheur est un péché ; il est vertueux d’être malheureux. Les voici logiques.

Je ne trouve aucun sens à cela, c'est tellement absurde, tellement illogique, tellement évidemment stupide. Dieu est heureux, alors si vous voulez être en harmonie avec Dieu, soyez heureux. Voici mon enseignement : Dieu est heureux, et si vous voulez être en phase avec Dieu, soyez heureux, car lorsque vous êtes heureux, vous êtes en phase avec Dieu ; quand vous êtes malheureux, vous êtes en décalage avec lui. Une personne malheureuse ne peut pas être personne religieuse.

Ainsi, si vous me demandez ce qu’est le péché, il n’y a qu’un seul péché : être malheureux signifie être pécheur. Être heureux, immensément heureux, signifie être un saint. Laissez votre religion vous apprendre à chanter, danser, profiter de la vie. Que votre religion soit une religion qui affirme la vie, une religion accueillante, une religion du bonheur, de la joie, de la béatitude. Jetez toutes les absurdités que vous véhiculez depuis des siècles - elles ont paralysé toute l'humanité. Il a rendu les gens si laids, misérables et souffrants ! Et cela n’attire que les personnes en mauvaise santé – ceux qui veulent se torturer ; ils ont une raison pour cela.

Se torturer ou tourmenter les autres, les deux sont douloureux - l'idée même de tourment est douloureuse. Quelqu’un pourrait être Adolf Hitler ; il torture les autres ; quelqu'un peut être le Mahatma Gandhi ; il se torture. Ils sont tous les deux dans le même bateau – peut-être dos à dos, mais dans le même bateau. Adolf Hitler prend plaisir à torturer les autres, Mahatma Gandhi prend plaisir à se tourmenter lui-même, mais tous deux sont violents. Ils ont la même logique : la joie leur apporte du tourment. Ils ont des directions différentes, mais le problème n’est pas la direction, le fait est que dans leur esprit l’approche est la même : le tourment. Vous honorez une personne qui se torture parce que vous ne comprenez pas cette logique. Adolf Hitler est condamné par le monde entier et Gandhi est vénéré par le monde entier, mais cela m’étonne tout simplement. Comment est-ce possible ? - parce que la logique est la même. Gandhi dit : « Ne mangez rien pour le goût. Le goût est inacceptable. Manger est un devoir, pas une joie. Mangez parce qu’il faut vivre, rien de plus. Il réduit la joie de manger au monde banal du travail : « La nourriture n’est pas un jouet. » Mais n’oubliez pas que c’est ainsi que les animaux se nourrissent. Ils mangent juste pour exister, pour survivre. Avez-vous déjà vu des animaux apprécier la nourriture ? Jamais. Ils n'ont pas de fêtes ni de vacances, ils ne chantent ni ne dansent. Seul l'homme faisait de grandes vacances avec de la nourriture.

Et cette attitude se répète dans d’autres domaines. Gandhi dit : « Ne faites l’amour que si vous voulez un enfant, sinon jamais. Que l'amour soit uniquement biologique. La nourriture ne doit servir qu’à la survie et l’amour ne doit servir qu’à la procréation. Ne faites jamais de l'amour un plaisir."

Mais c’est exactement ainsi que se comportent les animaux. Avez-vous déjà vu comment les chiens font l'amour ? Regardez leurs visages, vous n'y trouverez aucune joie... une sorte de devoir. Le chien doit l'accomplir, quelque chose l'y oblige – une obligation biologique. Et dès que le sexe se termine, elle oublie son amant et suit son propre chemin, sans même lui dire « merci ». C'est fini, le travail est fait ! Seule une personne aime pour la joie. C’est en cela que l’homme est supérieur aux animaux : seul l’homme aime pour la joie ; simplement parce que c'est joyeux, parce que c'est beau, parce qu'il y a de la musique et de la poésie dedans.

C’est pourquoi je dis que la pilule a provoqué l’une des plus grandes révolutions du monde – parce qu’elle a complètement changé la conception mondiale de l’amour. Désormais, une personne peut aimer pour le plaisir. Désormais, l’esclavage biologique n’est plus nécessaire, il n’est plus nécessaire de faire l’amour uniquement lorsqu’un enfant est nécessaire. Désormais, le sexe et l’amour sont complètement séparés. "Tablette" produite la plus grande révolution: Maintenant, le sexe est le sexe et l'amour est l'amour. Le sexe, c’est quand l’action est biologiquement dirigée ; l'amour, c'est quand il y a simplement une belle musique, quand deux corps se rencontrent, se dissolvent l'un dans l'autre, disparaissent l'un dans l'autre, se perdent l'un dans l'autre, se retrouvent dans une toute autre dimension de rythme, d'harmonie... dans l'expérience de l'orgasme. Il n’y a plus de problème de procréation, de problème de pression biologique, rien de tout cela. Or cette action elle-même est belle, elle ne sert plus de moyen à aucune fin : c'est là la différence. Le travail est un moyen d'atteindre un objectif. Un jeu, c'est quand le but et les moyens sont combinés en un seul. Un jeu, c'est quand le moyen lui-même est la fin ; il n'y a pas d'autre but.

Mangez pour le plaisir de manger, et alors vous êtes un être humain, un être suprême. Aimez pour la joie de l’amour, et alors vous êtes un être supérieur. Écoutez pour la joie d'écouter, et vous serez alors libéré de l'esclavage des instincts.

Je ne suis pas contre le bonheur, je suis tout à fait pour. Je suis un hédoniste, et voici ma compréhension : tous les grands spirituels du monde ont toujours été hédonistes. Si quelqu’un n’est pas hédoniste et prétend être une personne spirituelle, soit il ment, soit il est psychopathe. Parce que le bonheur est le but même, la source même, la finalité même des choses. Dieu cherche le bonheur à travers vous, sous des millions de formes. Accordez-lui tout le bonheur possible, aidez-le à s'élever vers des hauteurs plus élevées, vers les plus hauts sommets du bonheur. Alors vous serez religieux, et alors vos temples seront des lieux de célébration, et vos églises ne seront plus si tristes et laides, si sombres et si mortes, si semblables à des cimetières. Alors il y aura des rires, et il y aura des chants, et il y aura des danses, et il y aura une grande joie.

L'essence de la religion n'est rien d'autre que la joie. Et tout ce qui apporte de la joie est vertueux ; tout ce qui vous rend triste, malheureux, misérable est un péché. Que ce soit le critère décisif.

Et ne créez pas de règles rigides, car je sais comment fonctionne l'esprit humain. Une fois qu’on vous donne une règle fixe, vous oubliez la conscience et commencez à suivre la règle fixe. Mais la règle n'aidera pas - vous pouvez suivre la règle, mais vous ne grandirez jamais. Écoutez quelques histoires.

Benny est rentré à la maison et a trouvé un tas de vaisselle cassée dans la cuisine.

Ce qui s'est passé? - il a demandé à sa femme.

Il doit y avoir une erreur dans mon livre de cuisine », a-t-elle expliqué. "Il est dit qu'une vieille tasse sans anse fera l'affaire comme mesure, et ce n'est qu'à la onzième tentative que j'ai réussi à faire tomber l'anse sans casser la tasse."

Si c’est dit dans un livre de cuisine, c’est bien vrai. L’esprit humain est tellement stupide – rappelez-vous ceci. Une fois que vous avez une règle fixe, vous commencez à la suivre.

Une foule d'invités a rendu visite au grand homme, et tout ce qu'il a dit grand homme, c'était la loi.

On sonna à la porte et un domestique vint à la porte. En regardant par le judas de la porte, il reconnut le visiteur et lui ouvrit la porte.

Laissez le parapluie à la porte, dit le domestique au visiteur.

"Je n'ai pas de parapluie", répondit le visiteur.

Alors rentrez chez vous et apportez-le. Le patron m'a dit que tout le monde devait laisser un parapluie à la porte. Sinon, je ne te laisserai pas entrer.

Une règle est une règle.

Dans une poursuite désespérée, la voiture de police a progressivement dépassé les braqueurs de banque, mais soudain, avec un crissement de freins, elle a plongé dans une station-service, d'où le chauffeur a appelé le patron.

Les avez-vous attrapés ? - a demandé le patron avec enthousiasme.

Ils ont eu de la chance », a répondu le policier. - Nous les avions presque rattrapés, il ne restait plus qu'un demi-mile, quand soudain j'ai remarqué que notre indicateur indiquait cinq cents milles, et j'ai dû m'arrêter et changer l'huile.

Que pouvez-vous faire si vous devez changer l’huile tous les cinq cents milles et que cinq cents milles sont écoulés ? Vous devez d’abord changer l’huile.

Je ne donne jamais de règles fixes parce que je sais à quel point l'esprit humain peut être stupide. Je donne juste un sentiment, un sens de l'orientation. Soyez conscient et vivez avec conscience.

J'ai entendu…

Mike a dit un jour à Pat qu'il allait à des funérailles et Pat s'est porté volontaire pour l'accompagner. En chemin, Pat a suggéré d'en sauter un petit, et bientôt ils ont atteint la condition souhaitée, à la suite de laquelle Mike n'a pas pu se souvenir de l'adresse de la maison vers laquelle ils se dirigeaient.

Où est la maison de ton ami ? - Pat a demandé.

J'ai oublié le numéro, mais la rue est clairement la même. Ils marchèrent dans la rue pendant plusieurs minutes et, du coin de l'œil, Mike remarqua une maison qui lui semblait familière. Ils montèrent à l'intérieur, mais le couloir était sombre. Ils ouvrirent la porte et se retrouvèrent dans le salon, qui était également sombre, à l'exception du faible scintillement des bougies sur le piano. Ils s'approchèrent du piano, s'agenouillèrent devant et commencèrent à prier. Pat s'arrêta un instant et leva les yeux vers l'instrument.

Mike", a-t-il déclaré. "Je ne connaissais pas ton ami, mais je vais te dire : ses dents étaient incroyables."

Cela décrit parfaitement la situation. C'est exactement ainsi qu'une personne vit. La seule chose que je voudrais vous donner, c'est un avant-goût de la conscience. Cela changera toute votre vie. Le but n’est pas de vous discipliner, le but est de vous faire briller de l’intérieur.

Remarques :

Les suggestions et recommandations suivantes ont été extraites des conversations personnelles d'Osho avec des disciples et des chercheurs du monde entier. Bien que les réponses d'Osho aient été données individuellement, elles contiennent également des informations et des conseils qui peuvent être appliqués plus largement pour résoudre des problèmes physiques ou psychologiques. problèmes psychologiques. Ces suggestions ne visent toutefois en aucun cas à remplacer un avis ou un traitement médical professionnel. . - Prim.modifier.collection.

Il est mort éclairé . - Prim.modifier.collection.