Temps biologique. Temps biologique et temps subjectif : caractéristiques comparatives

On constate depuis longtemps que toute vie sur Terre obéit à certains rythmes fixés par des processus globaux. Ce rotation quotidienne planètes autour d'un axe et son mouvement sur une orbite circumsolaire. Les organismes vivants perçoivent le temps d’une manière ou d’une autre et leur comportement est soumis à son flux. Cela se manifeste par l'alternance de périodes d'activité et de sommeil chez les animaux, par l'ouverture et la fermeture des fleurs chez les plantes. Oiseaux migrateurs chaque printemps, ils retournent à leurs sites de nidification, font éclore leurs poussins et migrent vers régions chaudes pour l'hiver.

Qu'est-ce qu'une horloge biologique ?

Le rythme de tout processus de la vie- une propriété inhérente à tous les habitants de notre planète. Par exemple, les flagellés unicellulaires marins brillent la nuit. On ne sait pas pourquoi ils font cela. Mais pendant la journée, ils ne brillent pas. Les flagellés ont acquis cette propriété au cours du processus d'évolution.

Chaque organisme vivant sur Terre – plantes et animaux – possède une horloge interne. Ils déterminent la fréquence de l’activité vitale, liée à la durée du jour terrestre. Cette horloge biologique adapte son cours à la fréquence du jour et de la nuit ; elle ne dépend pas des changements de température. En plus des cycles quotidiens, il existe des périodes saisonnières (annuelles) et lunaires.

Horloge biologique- dans une certaine mesure notion conditionnelle, impliquant la capacité des organismes vivants à naviguer dans le temps. Cette propriété leur est inhérente au niveau génétique et est héritée.

Étudier le mécanisme de l'horloge biologique

Pendant longtemps, la rythmicité des processus vitaux des organismes vivants s'est expliquée par la rythmicité des changements des conditions environnementales : éclairement, humidité, température, pression atmosphérique et même l'intensité rayonnement cosmique. Cependant expériences simples ont montré que l'horloge biologique fonctionne indépendamment des changements des conditions extérieures.

On sait aujourd’hui qu’ils sont présents dans chaque cellule. Dans les organismes complexes, les horloges forment un complexe système hiérarchique. Ceci est nécessaire pour fonctionner dans son ensemble. Si des organes et des tissus ne sont pas coordonnés à temps, différents types maladies. Horloge interne endogènes, c'est-à-dire qu'ils ont nature intérieure et sont ajustés par des signaux extérieurs. Que savons-nous d’autre ?

Les horloges biologiques sont héritées. Ces dernières années, des preuves de ce fait ont été trouvées. Les cellules possèdent des gènes d’horloge. Ils sont sujets aux mutations et à la sélection naturelle. Cela est nécessaire pour coordonner les processus vitaux avec la rotation quotidienne de la Terre. Depuis dans différentes latitudes Les rapports entre la durée du jour et de la nuit ne sont pas les mêmes tout au long de l'année ; des horloges sont également nécessaires pour s'adapter aux changements de saisons. Ils doivent se demander si le jour et la nuit augmentent ou diminuent. Il n'y a pas d'autre moyen de distinguer le printemps de l'automne.

En étudiant les horloges biologiques des plantes, les scientifiques ont découvert le mécanisme par lequel elles s’adaptent aux changements de durée du jour. Cela se produit avec la participation de régulateurs spéciaux de phytochromes. Comment fonctionne ce mécanisme ? L'enzyme phytochrome existe sous deux formes, qui changent de l'une à l'autre selon le moment de la journée. Le résultat est une horloge régulée par des signaux externes. Tous les processus des plantes - croissance, floraison - dépendent de la concentration de l'enzyme phytochrome.

Le mécanisme de l'horloge intracellulaire n'a pas encore été entièrement étudié, mais il a été étudié la plupart façons.

Rythmes circadiens dans le corps humain

Des changements périodiques dans l'intensité des processus biologiques sont associés à l'alternance du jour et de la nuit. Ces rythmes sont appelés circadiens ou circadiens. Leur fréquence est d'environ 24 heures. Bien que les rythmes circadiens soient associés à des processus se produisant en dehors du corps, ils sont d’origine endogène.

L'homme n'a pas d'organes et fonctions physiologiques, qui n’obéirait pas aux cycles quotidiens. Aujourd’hui, il y en a plus de 300 connus.

L'horloge biologique humaine régule les processus suivants conformément aux rythmes circadiens :

Fréquence cardiaque et fréquence respiratoire ;

La consommation d'oxygène du corps ;

Péristaltisme intestinal ;

L'intensité des glandes ;

Alternance de sommeil et de repos.

Ce ne sont là que les principales manifestations.

Le rythme des fonctions physiologiques se produit à tous les niveaux - depuis les changements au sein de la cellule jusqu'aux réactions au niveau du corps. Expériences dernières années ont montré que les rythmes circadiens reposent sur des processus endogènes et autonomes. L’horloge biologique humaine est programmée pour osciller toutes les 24 heures. Ils sont associés à des changements dans l'environnement. Le tic-tac de l’horloge biologique est synchronisé avec certains de ces changements. Les plus caractéristiques d'entre elles sont l'alternance de fluctuations de température diurnes et nocturnes et quotidiennes.

On croit que organismes supérieurs L'horloge principale est située dans le cerveau, dans le noyau suprachiasmatique du thalamus. Les fibres nerveuses du nerf optique y conduisent et l'hormone mélatonine, produite par la glande pinéale, est amenée, entre autres, avec le sang. Il s'agit d'un organe qui était autrefois le troisième œil des anciens reptiles et conservait les fonctions de régulation des rythmes circadiens.

Horloge biologique des organes

Tous les processus physiologiques du corps humain se déroulent selon un certain cycle. La température, la pression et la concentration de sucre dans le sang changent.

Les organes humains sont soumis à un rythme circadien. Au cours des 24 heures, leurs fonctions alternent entre des périodes de montée et de descente. C'est-à-dire toujours, en même temps, pendant 2 heures, l'organe fonctionne particulièrement efficacement, après quoi il entre dans la phase de relaxation. A ce moment, l'organe se repose et récupère. Cette phase dure également 2 heures.

Par exemple, la phase d'augmentation de l'activité gastrique se produit de 7 à 9 heures, suivie d'une diminution de 9 à 11 heures. La rate et le pancréas sont actifs de 9h à 11h et se reposent de 11h à 13h. Pour le cœur, ces périodes surviennent à 11-13 heures et à 13-15 heures. La vessie a une phase active de 15 à 17 ans, de repos et de repos - de 17 à 19 ans.

L'horloge biologique des organes fait partie de ces mécanismes qui ont permis aux habitants de la Terre de s'adapter au rythme circadien au cours de millions d'années d'évolution. Mais la civilisation créée par l’homme détruit progressivement ce rythme. La recherche montre qu’il est facile de déséquilibrer l’horloge biologique du corps. Il suffit de changer radicalement votre alimentation. Par exemple, commencez à dîner au milieu de la nuit. Un régime strict est donc un principe fondamental. Il est particulièrement important de l'observer avec petite enfance lorsque l'horloge biologique du corps humain démarre. L'espérance de vie en dépend directement.

Chronogérontologie

Il s'agit d'un nouveau produit récemment apparu discipline scientifique qui étudie changements liés à l'âge rythmes biologiques, survenant dans le corps humain. La chronogérontologie est née à l'intersection de deux sciences : la chronobiologie et la gérontologie.

L'un des sujets de recherche est le mécanisme de fonctionnement de ce qu'on appelle la « grande horloge biologique ». Ce terme a été introduit pour la première fois dans la circulation par l'éminent scientifique V. M. Dilman.

La « grande horloge biologique » est un concept plutôt relatif. Il s’agit plutôt d’un modèle des processus de vieillissement qui se produisent dans le corps. Il permet de comprendre la relation entre le mode de vie d’une personne, ses préférences alimentaires et son âge biologique réel. Cette horloge permet de suivre l'espérance de vie. Ils enregistrent l’accumulation de changements dans le corps humain depuis la naissance jusqu’à la mort.

Le cours de la grande horloge biologique est inégal. Soit ils sont pressés, soit ils sont à la traîne. Leur progression est influencée par de nombreux facteurs. Soit ils raccourcissent, soit ils prolongent la vie.

Le principe de fonctionnement des grandes horloges biologiques est qu’elles ne mesurent pas de périodes de temps. Ils mesurent le rythme des processus, ou plus précisément leur perte avec l'âge.

La recherche dans ce sens peut aider à résoudre le principal problème de la médecine - l'élimination des maladies du vieillissement, qui constituent aujourd'hui le principal obstacle à l'atteinte de la limite spécifique de la vie humaine. Or, ce chiffre est estimé à 120 ans.

Rêve

Les rythmes internes du corps régulent tous les processus vitaux. L'heure de l'endormissement et du réveil, la durée du sommeil - le « troisième œil » - le thalamus - sont responsables de tout. Il a été prouvé que cette partie du cerveau est responsable de la production de mélatonine, une hormone qui régule les biorythmes humains. Son niveau est soumis aux rythmes quotidiens et est régulé par l'illumination de la rétine. Avec des changements d'intensité flux lumineux Les niveaux de mélatonine augmentent ou diminuent.

Le mécanisme du sommeil est très délicat et vulnérable. La perturbation de l'alternance sommeil-éveil, inhérente à la nature humaine, nuit gravement à la santé. Ainsi, le travail posté constant, qui implique activité de travail la nuit est associée à un risque plus élevé de maladies telles que le diabète de type 2, les crises cardiaques et le cancer.

Pendant le sommeil, une personne se détend complètement. Tous les organes se reposent, seul le cerveau continue de fonctionner, systématisant les informations reçues au cours de la journée.

Durée de sommeil réduite

La civilisation apporte ses propres ajustements à la vie. En étudiant l'horloge biologique du sommeil, les scientifiques ont découvert que homme moderne dort 1,5 heure de moins que les gens du 19ème siècle. Pourquoi réduire la durée du repos nocturne est-il dangereux ?

La perturbation du rythme naturel de l'alternance sommeil-éveil entraîne des dysfonctionnements et des perturbations du fonctionnement des systèmes vitaux du corps humain : immunitaire, cardiovasculaire, endocrinien. Le manque de sommeil entraîne un excès de poids et affecte la vision. Une personne commence à ressentir une gêne aux yeux, la clarté de l'image est altérée et il existe un risque de développer une maladie grave - le glaucome.

Le manque de sommeil provoque des problèmes au travail système endocrinien personne, augmentant ainsi le risque de maladie grave- le diabète sucré.

Les chercheurs ont identifié modèle intéressant: L'espérance de vie est plus longue chez les personnes qui dorment 6,5 à 7,5 heures. La réduction et l’augmentation du temps de sommeil entraînent une diminution de l’espérance de vie.

Horloge biologique et santé des femmes

De nombreuses études ont été consacrées à ce problème. L’horloge biologique d’une femme correspond à la capacité de son corps à produire une progéniture. Il existe un autre terme : la fertilité. Il s'agit de sur la limite d'âge favorable pour avoir des enfants.

Il y a quelques décennies, l’horloge marquait le cap des trente ans. On croyait que se réaliser en tant que mère du beau sexe après cet âge était associé à un risque pour la santé de la femme et de son enfant à naître.

Aujourd’hui, la situation a changé. Le nombre de femmes qui ont conçu un enfant pour la première fois entre 30 et 39 ans a augmenté de manière significative - 2,5 fois, et celles qui l'ont fait après 40 ans ont augmenté de 50 %.

Néanmoins, les experts considèrent que 20-24 ans est un âge favorable à la maternité. Souvent le désir de s'instruire, de se réaliser dans domaine professionnel gagne. Seules quelques femmes assument la responsabilité d’élever un enfant à cet âge. Puberté 10 ans d'avance sur la maturité émotionnelle. Par conséquent, la plupart des experts sont enclins à croire que, pour femme moderne Le moment optimal pour donner naissance à un enfant est de 35 ans. Aujourd'hui, ils ne font plus partie du groupe dit à risque.

Horloge biologique et médecine

La réponse du corps humain à diverses influences cela dépend de la phase rythme circadien. Les rythmes biologiques jouent donc un rôle important en médecine, notamment dans le diagnostic et le traitement de nombreuses maladies. Ainsi, l'effet des médicaments dépend de la phase du biorythme circadien. Par exemple, lors du traitement des dents, l'effet analgésique est maximal de 12 à 18 heures.

Modification de la sensibilité corps humainÀ médicamentsétudie la chronopharmacologie. Sur la base des informations sur les biorythmes quotidiens, les schémas thérapeutiques les plus efficaces sont développés.

Par exemple, des fluctuations purement individuelles des valeurs pression artérielle nécessitent de prendre en compte ce facteur lors de la prise de médicaments pour le traitement de l'hypertension et de l'ischémie. Ainsi, afin d’éviter une crise, les personnes à risque devraient prendre leurs médicaments le soir, lorsque l’organisme est le plus vulnérable.

Outre le fait que les biorythmes du corps humain influencent l'effet de la prise de médicaments, des troubles du rythme peuvent provoquer diverses maladies. Ils appartiennent aux maladies dites dynamiques.

La désynchronisation et sa prévention

Pour la santé humaine grande importance a la lumière du jour. Exactement soleil assure la synchronisation naturelle des biorythmes. Si l’éclairage est insuffisant, comme c’est le cas en hiver, une panne se produit. Cela peut être la cause de nombreuses maladies. Développement psychique états dépressifs) et physique (diminution de l'immunité générale, faiblesse, etc.). La cause de ces troubles réside dans la désynchronisation.

La désynchronisation se produit lorsque l'horloge biologique du corps humain présente un dysfonctionnement. Les raisons peuvent être différentes. La désynchronisation se produit lors du passage à longue période fuseau horaire, pendant la période d'adaptation lors du passage à l'heure d'hiver (été), lors du travail posté, dépendance à l'alcool, troubles de l'alimentation. Cela se traduit par des troubles du sommeil, des crises de migraine, une diminution de l'attention et de la concentration. En conséquence, l’apathie et la dépression peuvent survenir. Pour les personnes âgées, l’adaptation est plus difficile et prend plus de temps.

Pour prévenir la désynchronisation et corriger les rythmes corporels, on utilise des substances qui peuvent influencer les phases des rythmes biologiques. On les appelle chronobiotiques. On les trouve dans les plantes médicinales.

L'horloge biologique se prête bien à la correction à l'aide de la musique. Cela contribue à augmenter la productivité du travail lors de l’exécution d’un travail monotone. Les troubles du sommeil et les maladies neuropsychiatriques sont également traités à l’aide de la musique.

Le rythme dans tout est le moyen d'améliorer la qualité de vie.

Importance pratique de la biorythmologie

L'horloge biologique est un objet de sérieux recherche scientifique. Leurs clients comprennent de nombreux secteurs de l’économie. Les résultats de l'étude des rythmes biologiques des organismes vivants sont appliqués avec succès dans la pratique.

Connaissance des rythmes de vie des animaux domestiques et plantes cultivées contribue à améliorer l’efficacité de la production agricole. Les chasseurs et les pêcheurs utilisent ces connaissances.

Fluctuations quotidiennes du corps processus physiologiques prend en compte sciences médicales. L'efficacité de la prise de médicaments, des interventions chirurgicales, de la réalisation d'actes médicaux et de manipulations dépend directement de l'horloge biologique des organes et des systèmes.

Les acquis de la biorythmologie sont utilisés depuis longtemps dans l'organisation du régime de travail et de repos des équipages des avions de ligne. Leur travail consiste à traverser plusieurs fuseaux horaires en un seul vol. L'élimination de l'influence négative de ce facteur a un effet très grande valeur préserver la santé du personnel navigant des compagnies aériennes.

Il est difficile de se passer des acquis de la biorythmologie en médecine spatiale, notamment lors de la préparation de longs vols. Une portée considérable des projets grandioses La création d'établissements humains sur Mars ne sera apparemment pas possible sans étudier les particularités du fonctionnement de l'horloge biologique humaine dans les conditions de cette planète.

L'astrologie est la connaissance du temps. Quelles que soient les différences entre nous, nous vivons tous dans le temps : nous sommes conçus, nous naissons, nous vivons et nous mourons. Pour comprendre la vie, il faut comprendre le temps.

Temps biologique de chacun de nous

Qu'est-ce que l'astrologie ? L'espace est tridimensionnel et le temps est un mouvement à travers ces dimensions. Nous croyons que le temps est absolu ; que partout où le temps est mesuré, il est toujours le même, puisqu'un instant discret succède à un autre à la même vitesse.

La seule façon mesurer le temps, c'est utiliser une horloge qui, lorsqu'elle est placée n'importe où dans l'espace, doit coïncider dans ses lectures.

Précision montre mécanique ne fait que souligner l'idée qu'une minute, une seconde, une heure, un jour, un mois ou une année sont les mêmes pour tout le monde. Mais en réalité, ces affirmations sont fausses.

Le temps biologique est la relation entre le métabolisme et la perception. Le métabolisme est la vitesse à laquelle notre corps digère la nourriture et l'oxygène – notre rythme de vie – et peut être jugé par le poids, la fréquence respiratoire, l'absorption des aliments et l'âge ; quand il change, notre perception du temps change.

Lorsque notre métabolisme s’accélère, la vitesse à laquelle nos yeux et notre cerveau traitent les images entrantes augmente également, ce qui nous amène à surestimer la durée d’une période donnée et à avoir l’impression que le temps passe lentement.

Si vitesse normale perception - six images par seconde, puis lorsque nous sommes dans un état élevé, nous percevons neuf images par seconde ; Il nous semble que chaque seconde au compteur dure 1,5 seconde.

Lorsque notre métabolisme ralentit, nos yeux et notre cerveau captent moins d’images dans le même laps de temps, ce qui conduit à une tendance à sous-estimer la durée et à donner l’impression que le temps passe vite. Si nous percevons habituellement six images par seconde, alors dans un état d'équilibre, nous percevons trois images par seconde et il nous semble que chaque seconde passe en une demi-seconde. Lorsque votre métabolisme ralentit, votre notion du temps s’accélère !

Temps et âge biologiques

La jeunesse est caractérisée par un métabolisme rapide, la vieillesse est lente. Le temps passe lentement pour jeune homme et beaucoup plus rapide pour les personnes âgées, puisque notre perception du temps évolue avec l'âge.

Au moment de la conception, le métabolisme de notre ovule fécondé se produit à une vitesse moléculaire élevée et des changements d’état spectaculaires se produisent chaque seconde. Après la conception, le métabolisme ralentit progressivement jusqu'à la mort. La mort due à la vieillesse survient lorsque les processus de notre corps ralentissent tellement qu'ils s'arrêtent.

Notre taux métabolique global change tout au long de la vie et est également constamment déformé par des changements à court terme dans le métabolisme lui-même et dans la perception. La stimulation et le calme entraînent des changements locaux dans le métabolisme et dans notre perception du temps.

Comment le temps biologique change-t-il ?

• Excitation,
• paix,
• changement d'humeur,
• manger et digérer les aliments
• les drogues,
• sexe,
• stimulation externe et interne

Tout cela modifie instantanément le métabolisme. Fumer une cigarette, boire une tasse de café ou monter un escalier augmentent temporairement votre taux métabolique ; nous nous sentons plus jeunes.

Boisson alcoolisée, un tranquillisant ou le repos ralentissent notre métabolisme, introduisant dans notre monde la lenteur caractéristique de la vieillesse. Les distorsions temporelles sont constamment simulées vitesse moyenne métabolisme. À mesure que nous vieillissons, le corps perd sa capacité à consommer et à convertir l’oxygène, et il nous est de plus en plus difficile de nous remettre de blessures mineures. Une blessure chez un enfant guérit beaucoup plus rapidement qu'une blessure similaire chez un adulte.

Un autre facteur qui change la perspective de la perception du temps est la mémoire. Chaque jour, nous comparons nos perceptions avec la mémoire de tous les jours précédents ; notre passé tout entier existe à chaque instant durable du présent. Expériences aujourd'hui se jettent dans le lac de nos souvenirs, et au fil des années, cette étendue d'eau ne cesse de s'agrandir.

La valeur de chaque jour présent est proportionnelle numéro complet les jours que nous avons déjà vécus.

• Par exemple, le premier jour de notre vie est un à un, soit 100 pour cent de notre vie ; Les expériences de cette journée sont extraordinairement vivantes et extrêmement importantes.
• Le deuxième jour est comparé au souvenir du premier, soit 1/2.
• Le troisième jour est 1/3, puis 1/4, 1/5 et ainsi de suite. En un an, chaque jour représente 1/365 de notre vie. Après dix ans, une journée ne représente plus que 1/3650 d’un tout.

À trente ans, chacune de nos journées ne représente que 1/10 000 de notre vie ! À mesure que nous vieillissons, chaque jour suivant occupe une part proportionnellement de plus en plus petite de notre vie dans son ensemble. Mathématiquement, cette compaction de la vie au fil du temps peut être décrite comme une progression logarithmique.

En vieillissant, le temps se comprime, s’épaissit et passe plus vite. Une heure dans la vieillesse n’est pas du tout la même chose qu’une heure dans l’enfance. Il est facile de se rappeler que dans l’enfance, une heure durait une éternité, alors qu’aujourd’hui les semaines, les mois et les années passent sans sourciller.

Avant de passer au temps biologique, apportons quelques précisions. Plus le système est développé, plus les mécanismes de développement interne sont importants. Et ils comptent sur expérience passée et le rôle croissant de la prospective et de la conception de l’avenir.

C'est pourquoi les systèmes hautement organisés (par opposition aux systèmes simples), ainsi que les systèmes de base - temps et espace relativement universels - ont leur propre temps et espace internes.

Le temps propre caractérise le plus processus importants, se produisant dans un organisme biologique.

Le temps biologique est le sien temps interne les biosystèmes, qui caractérisent principalement les processus de survie les plus importants.

Il a une cyclicité prononcée. Les biocycles (par opposition aux cycles primitifs systèmes physiques) sont associés aux processus d'information, ainsi qu'à la croissance (ou du moins à la préservation) de la néguentropie. Les cycles physiques sont beaucoup moins déterminés par les interactions passées que par les interactions présentes. Et ils jouent pour les biocycles rôle importantà la fois ceux-là et d’autres.

Une forme et une mesure temporaires particulières développement biologique sont des générations biologiques. Leur changement est une caractéristique générique essentielle de l’espèce.

Les organismes biologiques héritent génétiquement de biocycles vitaux pour les générations passées. Ces biocycles capturent l’expérience la plus importante d’une adaptation réussie à l’environnement. Au fil du temps, ils ont été ajoutés nouvelle fonctionnalité- réflexion avancée. Sur la base du traitement de nouvelles informations immédiates, le corps se prépare à l'avance à l'événement le plus probable (bien que non cyclique) dans le futur.

Ainsi, les plantes et les animaux ont des biocycles associés aux cycles de la nature environnante. Ils sont influencés par les changements cycliques quotidiens et saisonniers, les changements périodiques de l'activité solaire, etc.

Les rythmes naturels répertoriés affectent également les humains. Son biotime est influencé par les cycles saisonniers et quotidiens. Le champ magnétique terrestre influence également. Il « palpite » avec une fréquence de 8 à 16 vibrations/sec. Cela coïncide avec le rythme arythmique des biopotentiels du cerveau.

Fort impact sur beaucoup processus terrestres fournit activité solaire. Sa cyclicité est de onze ans. Le deuxième jour après des éclairs puissants sur le Soleil augmente presque 3 fois (avec d'autres conditions égales) nombre d'accidents de voiture et de suicides.

Cependant, l’homme a aussi quelque chose d’inhérent qui n’est pas caractéristique de ses semblables dans le règne animal. Cela dépend de processus cycliques dans l’environnement socioculturel.

De plus, les rythmes socioculturels peuvent avoir un impact sur le milieu naturel. Les activités anthropiques perturbent certains processus et cycles biogéochimiques naturels de la biosphère.

Passons aux cycles qui sont significativement affectés par des raisons internes à l'organisme. Pour un enfant dans le ventre de sa mère, le biorythme le plus important est son propre rythme le coeur de la mère. Le nouveau-né se réjouit donc d’influences musicales et sonores au rythme similaire. Un exemple typique la biorythmie déterminée en interne est la période menstruelle féminine (environ 28 jours), une périodicité d'une heure et demie des érections nocturnes chez les hommes et les femmes.

Certains rythmes physiologiques caractérisent également le fonctionnement du cerveau. Un électroencéphalogramme moderne ne peut pas déterminer ce à quoi pense une personne. Cependant, cela montre bien le degré de tension mentale. On distingue clairement les rythmes suivants :

1) d (delta) - rythme - sommeil profond (impulsions les plus lentes) ;

2) a (alpha) - rythme - éveil calme pendant yeux fermés, légère sieste ; disparaissent lorsque les yeux sont ouverts (il a été dit plus haut que ce rythme est également affecté par la « pulsation » champ magnétique Terre);

3) q (thêta) - rythme - rythme de préoccupation ;

4) b (bêta) – rythme – attention, activité intense, réflexion (50-1000 impulsions/sec).

Les rythmes cérébraux décrits correspondent aux fluctuations des champs électromagnétiques, qui sont 100 millions de fois plus faibles que le niveau du champ magnétique terrestre.

Comme le montrent les observations, les « ascensions culminantes » de la pensée se produisent assez rarement, environ 5 minutes par jour. Les dents fusiformes aux lignes courbes qui en témoignent n'apparaissent qu'au cours d'une réflexion intense, de discussions animées et de la résolution de problèmes difficiles.

Selon les croyances populaires, il existe des rythmes de vie qui ont cause commune origine, mais se produisent sur différents niveaux: 23 jours – cycle physiologique, 28 – émotionnel, 33 – mental (intellectuel). A quoi sont-ils dus ? Et à partir de quel moment commence-t-on à compter ?

Les biorythmes en question commencent leurs fluctuations avec une puissante libération d'adrénaline dans le sang et la première respiration d'un nouveau-né. Comme si Mère Nature, libérant un enfant dans l'orbite de la vie, l'obligeait à ce moment crucial modes importants son activité de vie.

Les cycles décrits se manifestent tout au long de la vie d’une personne, provoquant des hauts et des bas dans les formes d’activité correspondantes. Lorsque 3 creux biocycliques ou jours critiques coïncident, certaines entreprises japonaises libèrent leurs employés d'un travail qui nécessite concentration accrue attention. Dans l'une de nos villes, ils ont utilisé un ordinateur pour calculer les jours difficiles pour les conducteurs des transports urbains et les ont laissés travailler dans le garage. En conséquence, le taux d'accidents a sensiblement diminué.

Lorsque les maximums de trois biocycles coïncident, une personne semble voler sur des ailes. Pendant une telle période, une femme « arrêtera son cheval au galop et entrera dans une hutte en feu ». Mais ce sera mieux si la vie lui permet d'être créative à ce moment-là, de battre des records du monde ou d'accoucher...

Etudes de chronobiologie (biorythmologie) temps biologique sous toutes ses formes. La civilisation perturbe les rythmes naturels. Ceci est particulièrement ressenti par les personnes qui sont obligées de travailler la nuit (par exemple, les employés du métro, les astronomes) ou celles qui changent souvent de lieu et, par conséquent, de fuseau horaire (pilotes, astronautes, athlètes).

On a remarqué depuis longtemps que si une personne se retrouve directement dans environnement naturel, il revient aux rythmes naturels. Parfois, il vaut mieux les suivre dans une vie urbaine intensément nerveuse. En alternant travail acharné et repos, vous pouvez réaliser bien plus que vous épuiser avec un travail continu. Ce n’est pas un hasard si des canapés de relaxation ont commencé à apparaître dans certains bureaux.

Et pourtant, rappelons-nous que nous avons un grand don : la volonté. Une personne peut se commander en disant « Oui » lorsqu'un corps fatigué suggère « Non ». Ou, au contraire, une personne peut se dire : « Non ! », alors que le corps demande : « Oui ! Et par conséquent, atteignez votre objectif.

Marina Tchernycheva

Université d'État de Saint-Pétersbourg

M. P. Chernysheva

STRUCTURE TEMPORELLE des biosystèmes et TEMPS biologique

Super édition

La nature du Temps est l'une des problèmes mondiaux, à la solution de laquelle la science est revenue à plusieurs reprises tout au long de l'histoire de son existence. L'évolution des idées sur le temps depuis l'Antiquité jusqu'au XXe siècle est analysée en profondeur dans l'ouvrage classique de J. Withrow « Natural Philosophy of Time » (1964), dans les monographies de M. I. Elkin (1985), P. P. Gaidenko (2006) et d'autres. auteurs . Depuis le XXe siècle aspects philosophiques Ce problème est invariablement associé aux approches des sciences naturelles pour le résoudre (Schrödinger, 2002 ; Chizhevsky, 1973 ; Winfrey, 1986 ; Kozyrev, 1963, 1985, 1991 ; Prigozhin, 2002 ; etc.). Dans les travaux d’éminents chercheurs russes, nous trouvons des idées qui ont donné naissance à des tendances entières dans la science du temps. Ainsi, I.M. Sechenov a lancé des recherches sur l'influence activité motrice pour le temps subjectif d'une personne. I.P. Pavlov, qui a décrit le premier le réflexe temporel, a en fait déclaré la capacité du cerveau à mémoriser des intervalles de temps. N.P. Perna (1925), employé du Département de physiologie de l'Université de Petrograd, a été le premier à décrire les rythmes d'un certain nombre de processus physiologiques humains. D.I. Mendeleïev, qui a décrit le mouvement d'une fleur suite à un changement de position du soleil, a définitivement démontré la présence d'un rythme circadien (circadien) des mouvements des plantes, dont le mécanisme hormonal a été décrit plus tard (V.N. Polevoy, 1982). Les travaux de A. A. Ukhtomsky retracent l'idée de l'importance du facteur temps dans le travail système nerveux et en particulier dans la formation d'une dominante (Ukhtomsky, 1966 ; Sokolova, 2000). L'un des génies de la Renaissance russe du début du XXe siècle, V.I. Vernadsky, a non seulement introduit la rubrique des catégories spécifiques différents systèmes temps (géologique, historique, biologique, social), mais a également étayé l'idée du temps biologique comme fondamental et primaire, lui conférant un « statut cosmique » en raison de la capacité des biosystèmes à se déplacer et à se reproduire (Vernadsky, 1989). Cette même caractéristique des organismes vivants a été soulignée par E. Schrödinger (2002).

Parallèlement à des approches multidisciplinaires pour résoudre le problème de la nature du temps (Aksenov, 2000 ; Vakulenko et al., 2008 ; Kazaryan, 2009 ; Koganov, 2009 ; Kozyrev, 1989 ; Korotaev, Kiktenko, 2012 ; Lebedev, 2004 ; Levich, 2000 , 2002, 2013 ; Khasanov, 2011 ; Churakov, 2012 ; Shikhobalov, 2008, etc.), de très nombreuses recherches ont été consacrées à la nature du temps biologique (Aschoff, 1960). ; Winfrey, 1990 ; Pittendrich, 1984 ; Alpatov, 2000 ; Olovnikov, 1973, 2009 ; Zaguskin, 2004, 2007, etc. Les réalisations en physique, chimie, mathématiques et biologie ont prédéterminé le développement de diverses nouvelles méthodes de recherche, qui ont permis de découvrir les protéines des gènes d'horloge, qui constituent le mécanisme des rythmes circadiens pour de nombreuses fonctions corporelles. L'importance de l'activité des protéines d'horloge et de l'oscillateur d'horloge pour la santé humaine et l'adaptation au continuum espace-temps de l'environnement a déterminé les valeurs correspondantes. focus thématique la plupart des travaux des chercheurs nationaux et étrangers modernes. En biologie et en médecine russes, « l'assaut » des mécanismes cellulaires-moléculaires du temps biologique a conduit à des découvertes marquantes : la création de la théorie télomère-rédusomale du contrôle de l'espérance de vie (Olovnikov, 1973, 2009) et l'idée du rôle des mitochondries dans le processus de vieillissement (Skulachev, 1995), ainsi qu'au développement des aspects gérontologiques du rôle des hormones de la glande pinéale et du thymus (Anisimov, 2010 ; Khavinson et al., 2011 ; Kvetnoy et al., 2011). Les travaux de chercheurs étrangers ont identifié les fonctions des protéines d'horloge individuelles, les conditions de formation d'un oscillateur d'horloge et des rythmes avec différents paramètres temporels (voir Golombek et al., 2014), et ont également développé des idées sur les systèmes de synchronisation des oscillateurs d'horloge. de différents niveaux structurels corps. Une compréhension croissante des spécificités des générateurs cellulaires, tissulaires, organiques et systémiques de processus temporaires détermine le début du retour des auteurs étrangers à « pensée systémique" du point de vue du problème du temps (Blum et al., 2012 ; Mohawk et al., 2012). Notez que les chercheurs nationaux approche systématique dans l'étude de ce problème est toujours resté dans le champ d'attention (Chernigovsky, 1985 ; Barannikova et al., 2003 ; Kulaev, 2006 ; Yanvareva et al., 2005 ; Zhuravlev, Safonova, 2012, etc.). Parallèlement aux succès évidents dans l'étude des objets biologiques sensibles au « passage du temps » (terme de N.A. Kozyrev), les questions sur la structure temporelle des organismes vivants, la relation entre les minuteries cellulaires-moléculaires et systémiques, les capteurs de temps restent peu développés et la question de la nature du Temps reste ouverte. Selon l'auteur, grand cercle les recherches sur les biosystèmes réalisées à ce jour dans le monde nous permettent de proposer certaines solutions sur les questions énumérées.

« Comprendre la « nature » du temps signifie indiquer son référent naturel, c'est-à-dire le processus, le phénomène, le « porteur » dans monde matériel, dont les propriétés pourraient être identifiées ou correspondre aux propriétés attribuées au phénomène du temps.

A.P. Lévitch, 2000.

La déclaration d'Alexandre Petrovich Levich incluse dans l'épigraphe semble tout à fait juste à la lumière des idées de G. Leibniz et de N.A. Kozyrev sur la nature énergétique du temps et ses « propriétés actives ». En effet, par analogie avec l'histoire de la découverte de l'électron le long de la piste d'immersion dans une chambre à brouillard, processus biologiques, qui ont un certain nombre de paramètres temporels et sont donc essentiellement des processus temporels, pourraient bien être des « référents » du temps et refléter son impact. Pour comprendre la « nature » du temps dans les biosystèmes, il est important d’analyser les facteurs qui déterminent la spécificité des organismes vivants par rapport aux systèmes inertes.

Le phénomène de la vie et les différences entre un organisme vivant et des systèmes inertes ont toujours attiré l'attention des philosophes et des représentants sciences naturelles(Aristote, 1937 ; Strakhov, 2008 ; Vernadsky, 1989 ; Ukhtomsky, 1966 ; Schrödinger, 2002 et bien d'autres). Il est évident que la généralité des lois fondamentales de la nature n'exclut pas les particularités de leur manifestation dans les conditions particulières d'un biosystème, naturel inerte ou systèmes artificiels. Il s'agit tout d'abord des lois de la thermodynamique, qui déterminent pour tout système la possibilité et la durée de fonctionnement, ainsi que le temps d'existence (espérance de vie). Reconnaissant la validité des lois de la thermodynamique pour tous les objets de l'Univers, de nombreux chercheurs notent la spécificité des manifestations de la deuxième loi de la thermodynamique pour les organismes vivants (Schrödinger, 2002 ; Prigogine, 2002, etc.). Parmi ceux-ci, on note tout d'abord l'impossibilité de « mort thermique » pour les organismes vivants en raison de la volonté des systèmes biologiques de stabiliser le niveau d'entropie (Vernadsky, 1989 ; Prigozhin, 2002 ; Prigozhin, Stengers, 2000, etc.) .

L'activité vitale des biosystèmes est basée sur divers processus utilisant des énergies chimiques, mécaniques, électriques, lumineuses et autres. Comme on le sait, lors de la mise en œuvre diverses fonctions(travail) dans tout système, il y a une conversion partielle de l'une ou l'autre énergie en chaleur, qui peut être perdue par dissipation thermique dans environnement ou partiellement retardé, déterminant le niveau de chaos (entropie) dans les structures du corps. D’autres s’appliquent également aux organismes vivants. définitions connues entropie : comme mesure du degré de non-structuration des flux d'énergie et mesure de la possibilité thermodynamique d'un certain état ou processus. La multiplicité des définitions possibles de l'entropie pour un biosystème souligne également la diversité des modes de régulation de celle-ci.

DANS science moderne concepts de biologie, de psychologie et espace social et le temps.

Dans la matière vivante, l'espace et le temps caractérisent les particularités des paramètres spatio-temporels de la matière organique : l'existence biologique de l'individu humain, le changement d'espèces d'organismes végétaux et animaux.

Espace, dans lequel se produisent les phénomènes de la vie, c'est-à-dire il existe des organismes vivants et des manifestations de leurs agrégats, c'est énantiomorphe espace. Ceux. ses vecteurs sont polaires et énantiomorphes. Sans cela, il ne pourrait y avoir de dissymétrie dans les organismes vivants.

Dans l’expression géométrique du temps dans lequel se produisent les phénomènes de la vie, tous ses vecteurs doivent aussi être polaires et énantiomorphes.

Le temps biologique s'appelle, associé aux phénomènes de la vie et correspondant à l'espace des organismes vivants, qui présente une dissymétrie.

Polarité temporelle V phénomènes biologiques s'exprime dans le fait que ces processus sont irréversibles, c'est-à-dire géométriquement, dans la droite A→B, les vecteurs AB et BA sont différents.

Énantiomorphie du temps s'exprime dans le fait que dans un processus qui se produit au fil du temps, une dissymétrie apparaît naturellement à certains intervalles.

Les propriétés et la manifestation de ce temps associées à l'espace sont très différentes de celles du reste de l'espace de notre planète et peuvent différer d'autres temps. Cette question ne peut être résolue que par une étude empirique du temps.

Une telle étude montre que le temps biologique est égal en durée au temps géologique, puisque tout au long de histoire géologique nous avons affaire à la vie. Le temps biologique couvre environ n∙10 9 ans, n = 1,5÷3.

Le début de la vie, c'est-à-dire Nous ne connaissons pas le début du temps biologique et il n’existe aucune donnée sur la fin du temps biologique. Ce temps biologique s'est manifesté dans le même environnement, car tous les êtres vivants sont issus d’êtres vivants. C'était processus irréversible, où le temps lié à l'espace a vecteurs polaires. Ceci est indiqué par un processus unique d'évolution des espèces. se déplaçant régulièrement dans la même direction tout le temps. Il vient avec à des vitesses différentes Pour différents types, avec des arrêts, mais en général l'image de la faune change constamment, sans s'arrêter et sans revenir en arrière. Il est courant que certaines espèces disparaissent, par exemple nature polaire prononcée des vecteurs temporels. Question d'existence certaine limite dans le temps pour les espèces végétales et animales a augmenté plus d'une fois, mais, apparemment, dans forme générale il faut en décider négativement, car il existe des espèces qui existent invariablement sans changements morphologiques depuis des centaines de millions d'années. La chose la plus caractéristique, au sens du temps, dans la matière vivante, est l'existence de générations.

Les générations, génétiquement changeantes, changent constamment dans leur caractéristiques morphologiques, et ce changement soit s'est produit par sauts sur de longues périodes de temps, soit, à l'inverse, s'est accumulé de génération en génération de manière imperceptible. devenant visible seulement à travers gros chiffres générations. Il est important que dans les deux cas il y ait un processus irréversible qui se produit au fil du temps.