Position de vie correcte. Positions de vie de base d'une personne

POSITION DE VIE - la direction de l'activité de vie d'une personne, son t.er. concernant sa place et son rôle dans la vie publique (par opposition à statut social, dispositions). En termes moraux, la vie est un système de comportement d'un individu, déterminé par ses croyances, son idéologie et sa conscience. La position d’une personne sur toute question socialement significative est une position sociale dans la mesure où elle correspond à la logique objective du développement de la réalité sociale et reflète l’alignement des forces sociales réelles influençant ce développement. Le critère de véracité et d'exactitude d'un élément de logement particulier est sa conformité aux tendances progressistes du développement de la société et aux intérêts des forces sociales avancées. Pour déterminer le mode de vie des gens, il est nécessaire, selon les mots de V.I. Lénine, de découvrir « quelle situation sociale et comment exactement leurs actions sont déterminées » (vol. 1, p. 430). J.p. - l'un des les signes les plus importants développement personnel de l'individu, déterminant sa place dans processus historique. La formation de la personnalité est en même temps le choix conscient d’une personne de l’un ou l’autre mode de vie (choix moral). Contenu choix personnel un certain élément de logement est en fin de compte déterminé par les idéaux et les valeurs de la société, de la classe ou du groupe social auquel appartient la Crimée donnée. Mais cela n'enlève rien au rôle du sujet lui-même, l'individu, dans la détermination de son attitude envers le monde. La vie de V.I. Lénine est également un exemple d'un choix conscient et d'une mise en œuvre cohérente d'un mode de vie actif et d'une personnalité. Le mode de vie est l'expression d'une telle activité sociale d'une personne, qui repose sur la certitude idéologique et l'adhésion à des principes, et présuppose une conscience sociale. L'activité de la société des femmes s'exprime à la fois sur le plan idéologique - dans une attitude de parti intéressée et partiale envers les idéaux, les objectifs, les lignes directrices théoriques de la société, de la classe et sur le plan comportemental, caractérisant la cohérence et la masculinité dans le respect par une personne de ses opinions, de ses croyances, en les mettant en pratique.

Dictionnaire d'éthique. - M. : Politizdat.

Éd. I. Kona.

1981. Voyez ce qu'est « POSITION DE VIE » dans d'autres dictionnaires : position de vie

- nom, nombre de synonymes : 1 attitude de vie (2) Dictionnaire des synonymes ASIS. V.N. Trishin. 2013… Dictionnaire des synonymes POSTE DE VIE- [engagement] : manifestation de préoccupation et d'activité pour résoudre des conflits de responsabilités ou d'idées ; à l'opposé de l'abstraction, de l'indifférence, de la neutralité. Le mot lui-même, devenu populaire en dernièrement

grâce au travail... ... Dictionnaire philosophique Poste de vie- est la manière choisie par une personne de propre vie… … , un ensemble de relations de vie, de valeurs idéales et le caractère retrouvé de leur mise en œuvre, qui assure la formation d'une personne et la suite de sa vie. L'un des

- nom, nombre de synonymes : 1 attitude de vie (2) Dictionnaire des synonymes ASIS. V.N. Trishin. 2013… traits caractéristiques Dictionnaire-ouvrage de référence pour le travail social

- nom, nombre de synonymes : 1 attitude de vie (2) Dictionnaire des synonymes ASIS. V.N. Trishin. 2013…- manifestation de préoccupation et d'activité pour résoudre des conflits de responsabilités ou d'idées ; à l'opposé de l'abstraction, de l'indifférence, de la neutralité. Le mot lui-même, devenu populaire récemment grâce aux travaux des partisans du personnalisme et... ... La sagesse eurasienne de A à Z. Dictionnaire explicatif

- nom, nombre de synonymes : 1 attitude de vie (2) Dictionnaire des synonymes ASIS. V.N. Trishin. 2013…- les principales composantes de l'orientation d'une personne, définissant les croyances, les principes, les orientations de valeurs, les attitudes qui deviennent des motifs d'activité... Processus éducatif moderne : concepts et termes de base

- nom, nombre de synonymes : 1 attitude de vie (2) Dictionnaire des synonymes ASIS. V.N. Trishin. 2013…- l'orientation motivée de l'activité de vie d'un individu, sa compréhension du sens de la vie, des valeurs et des normes sociales, qui constitue la base du choix d'une ligne de comportement ; se manifeste par une attitude rationnellement significative et chargée d'émotion envers... ... Enseignement professionnel. Dictionnaire

grâce au travail... ...- le résultat de la maîtrise de son comportement par une personne, elle devient un sujet de comportement, c'est-à-dire une personne qui atteint ses objectifs de manière autonome... Dictionnaire encyclopédique de psychologie et de pédagogie- attitude interne, déterminée par des considérations idéologiques, morales et qualités psychologiques

- nom, nombre de synonymes : 1 attitude de vie (2) Dictionnaire des synonymes ASIS. V.N. Trishin. 2013… personnalité et reflétant son attitude subjective envers la société... Glossaire de termes sur la pédagogie générale et sociale

- attitude interne, déterminée par des critères idéologiques, moraux et psychologiques. qualités d'une personne et reflétant son attitude subjective envers la société. Le mode de vie se manifeste peut-être dans le comportement humain réel. actif (désir constant de changer... ...- les idées les plus importantes qui expriment l'attitude de l'individu face aux diverses réalités de la vie qu'une personne guide volontairement dans sa vie. Ces idées qui guident la vie s'expriment de la manière la plus diverses formes: croyances, principes,… … Fondements de la culture spirituelle (dictionnaire encyclopédique de l'enseignant)

Livres

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Une position de vie active se manifeste dans divers aspects de la vie d'une personne - dans les études, le travail, l'attitude envers le travail, l'honnêteté et l'intégrité. Prendre une position active dans la vie n’est pas facile. Il ne suffit pas de vous considérer comme une personne honnête et dotée de principes internes et de cacher cette honnêteté et cette intégrité en vous-même, en n'y recourant que dans les cas qui vous conviennent et qui sont sûrs. Certains pensent que : « Je ne serai actif que dans la mesure où cela me sera bénéfique et sans danger. Et si cela n’est pas rentable et dangereux, restez à l’écart de telles activités.

Une position de vie active ne débute pas à telle date, tel mois ; elle accompagne une personne tout au long de sa vie pour le bien de la société dans laquelle elle vit et travaille. Son principe : faire bénéficier les gens.

L’un de nos cosmonautes a déclaré que « chaque personne est confrontée à une alternative : simplement assurer son existence ou considérer que l’on est créé pour quelque chose de plus ».

Pourquoi les gens ont-ils toujours privilégié l’audace, la noblesse, la priorité des affaires sur le contentement bien nourri, et même sur leur propre vie ? Pour comprendre pourquoi des hommes forts sauvent d’abord les enfants et les femmes d’un navire en perdition, et non eux-mêmes, nous devons revenir encore et encore au fait que la vie humaine et le bonheur humain sont la vie humaine et le bonheur humain. C’est ce qui distingue l’homme du monde animal par son niveau de bien-être biologique.

Seuls ceux qui sont capables de donner plus que ce qu’ils reçoivent peuvent être vraiment heureux en tant qu’être humain. Chaque personne doit comprendre le plus tôt possible, et après avoir compris, se fixer comme règle de vie que rien de sérieux dans la vie ne peut être réalisé sans un travail acharné. Une personne insatisfaite d'elle-même, de son travail, de sa position - c'est une personne qui va simplement se manger elle-même et ses voisins, ou même essayer de trouver du réconfort dans la vodka, dans la beuverie, dans l'affirmation de soi par l'impolitesse.

L'activité sociale est le désir d'agir parmi de nombreuses personnes comme vous, et de ne pas regarder de l'extérieur comment les autres agissent et s'agitent. L'activité sociale est favorisée par un caractère ouvert et un besoin des personnes, ainsi qu'une attitude favorable à leur égard, la communication, la responsabilité sociale et les besoins sociaux. L’activité sociale rend une personne socialement entreprenante et socialement confiante.

Avec la détermination correcte du cheminement de travail de sa vie, une personne elle-même sera heureuse et apportera beaucoup plus d'avantages à l'État que si le choix était erroné. Une personne doit avoir un travail qu'elle aime, quelque chose qui soit utile aux gens.

Prendre soin de sa santé n’est pas une affaire privée

Il ne faut pas penser que prendre soin de sa santé est une affaire purement privée. Pour notre Patrie, il n'est pas indifférent que nous décédons à 40 ans, alors que nous sommes encore en train d'acquérir de l'expérience et que nous ne l'avons que partiellement transmise aux autres. Ou nous pourrons transmettre pleinement nos connaissances et notre expérience à la prochaine génération. Essentiellement, l’usure précoce correspond aux années volées du travail le plus intense et le plus complet qui crée de la richesse pour le peuple. Ceux qui créent quelque chose de précieux sont ceux qui travaillent jusqu’à l’oubli, quelle que soit leur santé. Tout le monde peut et doit être en bonne santé. Cela ne nécessite rien, seulement prendre soin de son corps, ce qui est une exigence nécessaire pour toute personne cultivée.

Plus une machine est traitée avec négligence, plus vite elle tombe en panne. Et l'homme ?! Pour le bon fonctionnement des organes humains, un régime est nécessaire, c'est-à-dire séquence de travail et de repos.

Le régime est d'une grande importance pour les personnes en travail mental, où le surmenage conduit à l'épuisement du système nerveux. Pour l'éviter, un changement d'impressions et une relaxation sont nécessaires.

Communiquer avec la nature et être au grand air procure une bonne détente. Vous pouvez aller au cinéma, au théâtre ou faire une promenade rapide dans la rue. Pour maintenir la santé et une longue vie active, le sommeil est d'une grande importance, car c'est le repos le plus précieux et le plus nécessaire ;

Le plus utile est nuit de sommeil dans les 7 à 8 heures. Il est important de combiner travail mental et travail physique.

Outre le régime de travail et de repos, l’alimentation est également d’une grande importance pour maintenir la capacité de travail d’une personne.

Nous devons cultiver la retenue dans la nourriture. L'excès de poids indique qu'il n'y a pas de soins appropriés pour la culture corporelle.

Richesse physique d'une personne - vrai défiÉtats. La culture physique est un contrepoids aux chocs nerveux, à la vie moderne, confortable et physiquement infatigable.

L'état de santé est déterminé par des réserves qui ne peuvent être puisées que dans l'éducation physique et le sport. Il n'y a pas d'adversaire plus difficile pour une personne que lui-même. Ou plutôt que sa paresse. Il n'y a pas de sport qui n'enseigne pas à une personne l'endurance, la volonté et la capacité de se mobiliser dans les moments les plus difficiles. Le sport est l’affirmation de soi d’une personne. Le sport est un moyen de réaliser son potentiel, et n’est-ce pas exactement ce à quoi aspire une personne lorsqu’elle veut être heureuse ?

Alimentation complète et de qualité, limitée en quantité et en calories. L'efficacité, la productivité du travail, l'endurance et l'activité générale dépendent de la teneur en vitamines et micro-éléments des aliments. Une culture de la nutrition est nécessaire ainsi qu’une activité physique quotidienne.

La vie de famille, son monde intérieur est une partie très importante de notre mode de vie. La société s’intéresse à une famille forte, spirituelle et moralement saine. La question du mariage, des relations entre hommes et femmes et des enfants est un problème social et national. Maintenir l’intégrité, la pureté et des principes moraux élevés dans cette affaire est ce à quoi chaque personne devrait s’efforcer.

Le manque de culture sexuelle et l'état de crise de la vie intime peuvent s'expliquer par le manque de respect des gens les uns envers les autres, l'impolitesse, les cris hystériques comme méthode pour prouver sa propre justesse, les conflits à la maison et au travail, les conflits éternels avec soi-même, le changement de caractère. vie sexuelle pose des problèmes moraux non seulement à l’individu mais aussi à la société.

L’incapacité d’utiliser la contraception est l’une des principales raisons de l’augmentation catastrophique des grossesses non désirées et des avortements chez les adolescentes.

Toute personne consciente doit cultiver en elle-même le sentiment du plus grand respect pour les sacrements de l'amour et ne pas traiter l'être aimé uniquement comme une source de plaisir physique.

De quoi a-t-il besoin pour être heureux ?

La garantie de son propre bonheur et de celui de ses proches réside dans les principes moraux d’une personne, dans sa capacité à interagir propres désirs et ses besoins avec les désirs et les besoins de son entourage, avec les besoins de la société.

Ainsi, nous pouvons conclure : pour le bonheur d'une personne, l'unité du public et du personnel est très importante, la personne a une entreprise formidable et intéressante qui profite aux gens (« une personne pour les gens » est une composante nécessaire), et tout ce qui est commun appelé bonheur personnel (amitié, amour, bonne famille, enfants, bonne santé, bien-être, etc.). "Le bonheur, c'est quand on a vraiment envie d'aller travailler le matin et le soir, on a vraiment envie de rentrer du travail."

Il est important cependant qu'une personne ne s'isole pas dans le monde étroit de sa famille, de son petit bien-être, pour qu'elle sache, si nécessaire, subordonner le personnel au public.

Dans le roman « Forêt russe » de L. Leonov, il y a les mots suivants : « Les gens exigent du destin le bonheur, le succès, la richesse, et les gens les plus riches ne sont pas ceux qui ont reçu beaucoup, mais ceux qui se sont donnés aux gens plus généreusement que quiconque. autre." Bien sûr, il y a des gens (et malheureusement ils sont nombreux) qui choisissent ce qu'ils croient être le chemin le plus court vers le bonheur, ignorent les intérêts de la société et de ceux qui les entourent et réduisent au minimum le rôle des principes moraux dans leur vie. . Seule la vie les punit tôt ou tard pour cela, conduit à l'effondrement de la vie, montre qu'ils ont mal vécu, ont choisi un chemin fantomatique, le long duquel il est impossible de trouver le vrai bonheur,

L'homme moderne a besoin de beaucoup de choses pour être heureux : il a besoin de santé et de richesse matérielle, d'amitié et d'amour, de famille et d'équipe, de science et d'art, d'éducation physique et de sport, de joie de la créativité et de paix sur Terre, et bien plus encore.

Dès les premiers jours, une personne devient membre de la société. Il comprend vite la vérité : lui seul peut être appelé un homme qui vit pour les autres – qui vit non seulement parmi les gens, mais aussi pour les gens.

Résumé trois

Étudiant

péd. Faculté, III année

Où commencent les problèmes qui abondent sur notre chemin de vie ? Où est leur source ?

Selon Eric Berne, l’âge auquel est prise une décision clé dans un scénario – je suis « bon » ou « mauvais » – est un intervalle de 2 à 3 ans. Premièrement, l’image de soi ou la position de vie d’un individu se forme. Jusqu'à l'âge de 5-7 ans, elle participe à la formation du scénario. Le scénario prévu à cet âge peut être à la fois positif et négatif.

Les principales composantes du programme incluses dans le scénario sont constituées par des parents de moins de 7 ans.

C'est à cette époque que l'enfant reçoit ses premières impressions de la vie.

Ainsi, celui qui entre pour la première fois dans un café se fait en une fraction de seconde une première impression : « grange » - des plafonds bas qui pressent sur la tête, une lumière trop vive et un contingent rustique et effronté ou, au contraire, - simple, personnel agréable, il y a des tables où l'on peut se détendre et discuter, la musique n'est pas envahissante, le répertoire est excellent.

Même si dans un café que vous n'avez pas aimé la première fois, tout change exactement à l'opposé, vous n'y retournerez toujours pas, puisque vous avez déjà fait la première impression, la plus durable.

De la même manière, un enfant de moins de 6-7 ans, en répondant à des questions qui lui tiennent à cœur, donne sa première impression de lui-même et du monde : comment il est, qui il est, est-ce agréable d'étudier, l'école est-elle une bon endroit, peut-il faire confiance à ses parents, à ses amis, qu'est-ce que l'amitié ?

Si ses attentes initiales sont déçues, il devient déçu par ce qui n'a pas été à la hauteur de ses attentes et se replie sur lui-même.

Ce n'est rien de plus qu'une protection : si je limite les contacts avec le monde, la prochaine fois cela ne me fera pas autant de mal, et si c'est le cas, la douleur sera bien moindre.

Si les parents sont prêts à élever correctement un enfant dès les premiers jours de sa vie, un contenu positif restera dans sa position de vie - une condition préalable à une vie prospère et heureuse.

4 postes de vie principaux

Les enfants arrivent en première année après avoir vécu la première expérience « douloureuse » de leur position dans la vie : favoris, leaders, perdants, choix des derniers pupitres.

A l'école, compte tenu de cela, les réactions psychologiques préalablement formées sont consolidées et développées.

Par conséquent, les psychologues recommandent fortement : ne choisissez pas une bonne école, mais choisissez un bon professeur. Il n’y aurait pas beaucoup de destins brisés, et les psychologues auraient beaucoup moins de travail si l’attitude des parents envers leurs enfants au cours des premières années de leur vie était différente. ».

Si la mère l'a élevé à temps et que le chien l'a léché et n'a pas mordu, alors en répondant aux questions : « Comment suis-je ? », « Comment est mon environnement ? ... et "À quoi ressemble le monde ?" ... un enfant de 2 à 3 ans « mettra des points positifs ». Cela formera la position de vie d’une personne heureuse et positive, engagée dans la création.».

Important : il y aura toujours une différence entre une personne et une action dans son monde. Par conséquent, il ne dira jamais « Tu es un idiot complet », se faisant un ennemi ou perdant un ami, mais notera : « Aujourd'hui, tu as agi comme un idiot ». Voici le schéma : Je « + » Vous « + » »

En grandissant et en devenant de plus en plus grand, il reste toujours insatisfait de l'environnement, qui ne sait pas organiser sa vie comme il se doit. En choisissant sa position dans la vie, il « tire un plus » avec diligence pour lui-même, mais ses proches, qui n'ont pas pu se dépêcher et apprécier à temps quel cadeau le destin leur a fait en sa personne, reçoivent un moins.».

C'est le schéma I "+" Vous "-" " JE SUIS BON – TU ES MAUVAIS Non moins destructrice est la position de vie d'une personne : je "-" Vous "-" " Je suis mauvais - tu es mauvais"

Cette position exclut fondamentalement toute volonté de changement dans quelque direction que ce soit.

Normale état d'esprit une telle personne est le fatalisme et l'ennui.

La conclusion logique d’un tel credo de vie est souvent le désir de mettre fin à cette existence dénuée de sens.

Quand tout va bien

Psychologiquement sain peut être considéré comme une personne qui s’évalue – Je suis « + », est capable de discerner un début positif chez ses proches – Vous êtes « + », fait volontiers de nouvelles connaissances – Ils sont « + », trouve

travail intéressant

– Travail « + ».

Moins souvent, dans presque toutes les situations de la vie, toutes les positions sont caractérisées par un « + » - la personnalité est stable.

Quand à certains moments les positions de vie restent positives, à d'autres - négatives - alors elles ne sont pas stables.

Comme l'a noté Litvak, la présence d'un seul moins dans un complexe personnel entraîne l'apparition de moins dans les autres, ce qui conduira tôt ou tard à la névrose. Les rôles, comme les scénarios, sont attribués à l'avance Comme l'a dit Eric Berne : « Le chemin de vie d'une personne, son destin est déterminé par ce qui se passe dans sa tête lorsqu'elle entre en conflit avec le monde extérieur. La liberté lui donne la possibilité de réaliser ses propres projets, et le pouvoir lui donne la possibilité d'interférer avec les plans des autres. Mais une personne décide elle-même comment elle vivra et comment elle terminera son parcours de vie..

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Les étudiants, étudiants diplômés, jeunes scientifiques qui utilisent la base de connaissances dans leurs études et leur travail vous en seront très reconnaissants. Publié lehttp://allbest.ruIntroductionChaque personne est née de deux parents. C'est le résultat de millions de coïncidences, de modèles et d'accidents. C’est complexe et contradictoire. Et pourtant, il lui faut une caractéristique fondamentale, comme la fondation de toute maison. C'est ce qu'on appelle l'attitude de vie de base, la position de vie fixe ou la position de vie de base. Il s'agit d'un ensemble d'idées de base sur soi-même, sur les autres et sur le monde qui nous entoure, qui constituent la base des principales décisions et comportements d'une personne.Humain,vieVsociété,interagirAvecautresindividus

prend

certainvieposition.La position de vie est l’attitude d’une personne envers le monde qui l’entoure, exprimée dans ses pensées et ses actions.- un processus complexe et difficile. Cela demande beaucoup de stress et de dépenses d’efforts physiques, moraux, psychologiques et mentaux. Ce processus est fortement influencé par le micro et macroenvironnement, le niveau de développement des forces productives et des relations de production, le système sociopolitique, le régime politique, le niveau de culture, etc. Ce processus s'accompagne de l'assimilation des connaissances accumulées de l'humanité, des réalisations dans le domaine de la culture matérielle et spirituelle, des connaissances scientifiques et professionnelles, de la vision du monde, des croyances et des compétences, du travail et des activités socio-politiques, etc. Une position de vie active d'une personne devient possible sous réserve de la maîtrise critique et créative de toutes les richesses de l'humanité, de la formation d'une volonté d'agir activement dans la société.

Le choix d'une position de vie fixe est fait par la famille, l'environnement immédiat et la personne elle-même. Cela se produit dès les premiers instants de la vie et se termine vers l’âge de sept ans. Autrement dit, dans un tel à un jeune âge quand on ne peut pas encore compter sur la pleine conscience du sérieux de la décision prise, sur la clarté et la profondeur de la réflexion.

Une fois la position de vie principale déterminée, toutes les actions, tous les comportements d'une personne visent à la confirmer et à la consolider. Cependant, pour être précis, il est important de signaler que la position de vie fondamentale de chaque personne se forme avant même la naissance et que chaque enfant, avant sa naissance, croit qu'il est prospère et que les autres le sont. Je vais bien, tu vas bien. Vous êtes essentiellement votre mère et ceux qui l’entourent.

L'enfant commence à marcher. Il est très maladroit, tombe, casse la vaisselle, gâche tout. Il est maladroit et se fait ridiculiser. Il est souvent puni. Puis les crèches, maternelle, école. Et partout la position Je ne suis pas prospère - tu es prospère y est élevée, imposée, martelée. Cependant, c'est la position la plus adaptative pour homme soviétique- un humble travailleur, attendant humblement une récompense.

Une personne ayant une image d’elle-même négative est accablée par les événements actuels et en assume la responsabilité. Il n'a pas assez confiance en lui, ne prétend pas au succès et aux résultats. Il accorde une faible valeur à son travail. Refuse de prendre des initiatives et des responsabilités. Sujet au stress et tombe souvent malade. De plus, les maladies se développent lentement, évoluent lentement et la période de récupération s'éternise.

Il souffre souvent de dépression, souffre de névroses, de troubles du caractère et est sujet à des comportements autodestructeurs : tabagisme, abus d'alcool, toxicomanie. Végétatif-vasculaire et troubles psychosomatiques, diminution de l'immunité. La gastrite, les ulcères, les maladies du petit et du gros intestin, la dyskinésie biliaire et les coliques néphrétiques sont typiques. Pour les femmes, les troubles du cycle ovarien-menstruel sont typiques, pour les hommes, la prostatite. Leur libido et leur puissance sont réduites. L'hypothyroïdie, l'hypotension, les troubles circulatoires cérébraux dynamiques sont typiques et des accidents vasculaires cérébraux ischémiques sont possibles.

Ces personnes sont négligentes dans leur style de vie et leurs vêtements. Ils choisissent pour eux-mêmes un scénario banal ou perdant - un projet de vie inconscient. On les retrouve très souvent lors d’un rendez-vous chez le médecin, parmi les patients des hôpitaux somatiques, psychiatriques ou de traitement de la toxicomanie. Il est important de noter que la majorité des membres de notre société portent avec eux tout au long de leur vie une attitude émotionnelle fixe : je ne suis pas prospère, vous êtes prospère. Nous les rencontrons tout le temps et partout. Leur vie est dure et triste. Ils influencent leur entourage et nous avons du mal avec eux. Et pourtant, ce n’est pas une installation des plus mineures. Il y en a une autre : je ne suis pas prospère – vous n’êtes pas prospère. Je ne suis pas prospère – vous n’êtes pas prospère. Une telle personne n’est pas assez énergique ; il est plutôt apathique, sujet à la dépression, à l'hostilité passive envers lui-même et envers les autres. Impossible d'être persistant. Il est constamment hanté par les échecs et il s'y est habitué. Il n'a pas une approche créative du travail et de la vie en général. De son point de vue, il ne mérite pas d’éloges positifs. De plus, il ne les perçoit ni ne les entend. Il est sombre, ironique, difficile à communiquer. Sa passivité finit par former une attitude négative à son égard de la part de son entourage. Avec ses vêtements négligés et scandaleux, son apparence, l'odeur émanant de ses vêtements et de son corps, il déclare constamment : Il n'y a rien de mal avec moi - Il n'y a rien de mal avec toi. C’est une situation de désespoir désespéré, où la vie est inutile et pleine de déceptions. La personne est impuissante et les autres ne peuvent pas l’aider. Il ne reste plus qu'à couler au fond et à attendre la mort.

Une attitude de trouble se développe chez un enfant privé d'attention, abandonné, lorsque son entourage est indifférent et ne s'intéresse pas à lui. Ou lorsqu'une personne a subi une grande perte et n'a pas les ressources nécessaires à son propre rétablissement, lorsque tout son entourage s'est détourné d'elle et qu'elle est privée de soutien.

De telles personnes ; souffrent de nombreuses maladies différentes. C'est de la dépression à l'apathie. Divers rhumes, maladies infectieuses et somatiques causés par une immunité réduite. Leur désir sexuel est fortement supprimé et leur puissance est réduite. Les femmes ont des possibilités limitées de tomber enceintes et d'accoucher. Tous les troubles de santé causés par un comportement autodestructeur leur sont typiques - tabagisme excessif, abus d'alcool et de ses substituts, substances narcotiques et toxiques. Les blessures caractéristiques concernent le corps, ainsi que le crâne et le cerveau, ainsi que leurs conséquences.

Leurs maladies et problèmes de santé durent longtemps. Pour la plupart, ces personnes tombent lentement malades. Les maladies elles-mêmes progressent lentement, accompagnées de complications. La période de récupération est retardée. Des maladies concomitantes sont souvent associées. Les médicaments utilisés pour les traiter provoquent des effets secondaires et des complications. Seules certaines personnes vivant dans la société ont l'attitude « Je ne suis pas prospère, vous n'êtes pas prospère ». Beaucoup d’entre eux passent leur vie à attendre la fin dans des traitements pour toxicomanes, dans des hôpitaux psychiatriques et somatiques, dans des foyers pour malades chroniques et dans des prisons. Beaucoup aujourd'hui sont tout simplement expulsés de la vie et finissent un peu leur vie dans la rue, rejoignant les rangs des sans-abri. Le point suivant n’est pas si pessimiste. Et pourtant, ses transporteurs causent beaucoup de soucis et de désagréments aux autres. Il est formulé ainsi : Je suis prospère – vous n’êtes pas prospère.

personnalité vitale conformiste dépressive

1. CorrectvitalpositionLa position de vie est l’attitude d’une personne envers le monde qui l’entoure, exprimée dans ses pensées et ses actions.

Chacun de nous a le sien vitalposition. Cela détermine notre capacité à faire face aux difficultés et à l’adversité ; notre force et notre foi en dépendent. Ce sont les principes et croyances de base d’une personne sur le monde, la société et elle-même, exprimés en pensées, en paroles et en actions. Et cela distingue parfois grandement les gens les uns des autres.

Considérons basique genres vie position.:

1. Conformiste(passif), où se produit la subordination à la société et au monde environnant et où une personne vit par hasard. Tour à tour, nous soulignons les sous-espèces suivantes :

b) Conformiste de groupe, où tous les membres d'un groupe donné adhèrent strictement aux règles et réglementations adoptées ici

c) Conformiste social où tout le monde individuel obéit strictement à toutes les normes de la société, ce qui est généralement accepté dans un État totalitaire

1. Actifvitalposition visant à changer la réalité environnante, en transformant les normes, les règles et les modes de vie. Les points suivants peuvent être soulignés ici :

un) État indépendant personnalité par rapport aux autres, mais subordination au principal leader

b) Respect et acceptation des normes et règles sociales, mais désir de leadership dans l'équipe

c) Ignorer les normes morales et éthiques, désir actif d'adopter sa position de vie en dehors de la société : dans un gang, une communauté criminelle, dans d'autres groupes asociaux

d) Rejet des normes de la société, désir indépendant constant de changer la réalité environnante, souvent avec l'aide d'autres personnes : révolutionnaires, opposition... C'est l'état d'un individu heureux et productif.

2. ActifvitalpositionLa position de vie est l’attitude d’une personne envers le monde qui l’entoure, exprimée dans ses pensées et ses actions.

Actifvitalpositionpersonne- rien de plus qu'une attitude bienveillante envers le monde qui nous entoure, qui se manifeste dans les actions et les pensées de l'individu lui-même. La première chose à laquelle beaucoup de gens font attention lorsqu'ils communiquent avec un étranger est sa position dans la vie. C’est ce qui nous distingue psychologiquement les uns des autres. Cette position dans la vie permet ou non à chacun de surmonter les difficultés. Parfois, c'est la raison de notre succès ou de notre échec. De plus, à bien des égards, c’est la position dans la vie qui détermine le destin d’une personne. La position de vie se manifeste dans toutes les sphères de la vie, influençant les positions morales et spirituelles, sociopolitiques et activité de travail. Une position active se caractérise par une réaction rapide d'un certain individu aux situations de la vie et par une préparation généralisée à des actions spécifiques.

À vie position. Introduction en général inclure:

· préférences politiques ;

· vision humaine du monde ;

· ses principes, etc.

3. certainactifvieposition.

Il s'est formé depuis la naissance de l'homme. Le fondement de son apparition est la communication avec les autres, leur influence sur le développement personnel de chacun de nous.

C’est l’initiative qui détient le véritable secret pour développer une position de vie active. Mais sa croissance, comme tout ce qui existe dans l’univers, nécessite une sorte de « batterie » qui fournira l’énergie nécessaire à cette amélioration. Votre « batterie » ? ce sont des désirs. Après tout, eux seuls peuvent vous faire face à des difficultés et vous aider à atteindre vos objectifs.

Nous avons tous rencontré à un moment ou à un autre des personnes dont la vie était dominée par une position active. En interne, ils se démarquent des autres. Dans les entreprises, ils sont souvent des leaders. Ces individus sont capables de diriger la société parce que leur point de vue et leur potentiel intérieur leur donnent envie de se suivre.

4. Espècesactifvieposition.La position de vie est l’attitude d’une personne envers le monde qui l’entoure, exprimée dans ses pensées et ses actions.

Position "positif" engagé à respecter les normes morales et à la victoire du bien sur le mal.

Position "négatif" . Il ne faut pas penser que les personnes actives sont nécessairement celles qui n’agissent que « bien », au contraire, il faut comprendre que leurs actions peuvent aussi être nuisibles à la société et à elles-mêmes ; Toutes sortes de gangs et de groupes de bandits créés par des individus actifs, ayant certaines croyances clairement exprimées et des objectifs spécifiques, causent du tort à la société.

Notre vie n’est pas quelque chose de statique et immuable. Cela change avec le temps, le développement des nouvelles technologies et l’influence des personnes sur notre monde intérieur. Il est seulement important de s’intéresser à l’amélioration du monde qui nous entoure.

Pour les personnes du premier type, l'essentiel n'est pas seulement de se concentrer sur leurs propres expériences et uniquement sur leurs expériences, mais également sur les problèmes globaux du monde entier. Certes, tout le monde ne sera pas en mesure d’élever ses qualités personnelles au profit de la société, mais il faudra définir ses principes, ses croyances et sa vision du monde pour réussir. Mais quelle sera la position de vie ne dépend que de la personne elle-même.

Berne a suggéré qu'au maximum premiers stades formation du scénario, un petit enfant «... a déjà certaines croyances sur lui-même et sur les gens qui l'entourent... Ces croyances, qu'il entretient apparemment tout au long de sa vie, peuvent être résumées comme suit : 1) Je vais bien ou je ne suis pas - OK ; Est-ce que tu vas bien ou tu n'es pas bien ?

Ces quatre points de vue sont appelés vie postes. Certains auteurs les appellent fondamental postes, existentiel postes ou simplement des postes. Ils reflètent les attitudes fondamentales d'une personne concernant la valeur essentielle qu'elle perçoit en elle-même et chez les autres. C'est plus qu'une simple opinion sur votre propre comportement ou sur celui de quelqu'un d'autre.

Après avoir accepté l'une de ces positions, l'enfant commence généralement à y ajuster l'ensemble de son scénario. Berne a écrit : « Au cœur de chaque jeu, de chaque scénario et de chaque destin humain réside l'une de ces quatre positions fondamentales.

Un enfant qui a adopté l’attitude « Je vais bien, tu vas bien » construira très probablement un scénario gagnant. Il découvre qu'il est aimé et heureux de son existence. Il décide que les parents peuvent être aimés et dignes de confiance, et étend ensuite ce point de vue aux gens en général.

Si un nourrisson adopte l’attitude « Je ne vais pas bien, tu vas bien », il est susceptible d’écrire un scénario trivial ou perdant. Conformément à cette position fondamentale, il jouera dans le scénario son rôle de victime et ses pertes envers autrui.

L’attitude « Je vais bien, tu ne vas pas bien » peut préparer le terrain pour un scénario apparemment gagnant. Mais un tel enfant est convaincu qu’il doit s’élever au-dessus des autres et les maintenir dans une position humiliée. Pendant un certain temps, il y parviendra peut-être, mais seulement au prix lutte continue. Au fil du temps, les gens autour de lui se lasseront de leur position humiliée et se détourneront de lui. Il passera alors du statut de « gagnant » supposé à celui de véritable perdant.

L’attitude « Je ne vais pas bien, tu n’es pas bien » est la base la plus probable d’un scénario perdant. Un tel enfant en est venu à la conclusion que la vie est vide et sans espoir. Il se sent humilié et mal-aimé. Il croit que personne ne peut l’aider, puisque tout le monde ne va pas bien non plus. Son scénario tournera donc autour de scènes de rejet par les autres et de rejet par soi-même.

5. Originevieposition.

Berne pensait que "... des attitudes sont adoptées dès la petite enfance (de trois à sept ans) afin de justifier une décision basée sur une expérience antérieure". En d'autres termes, selon Berne, les premières décisions viennent en premier, puis l'enfant adopte une position de vie, créant ainsi une image du monde qui justifie les décisions prises précédemment.

Par exemple, un bébé qui n’a pas encore appris à parler peut prendre la décision suivante : « Je ne prendrai plus jamais le risque d’aimer quelqu’un, puisque maman a montré qu’elle ne m’aime pas. » Il justifie plus tard cette décision par la conviction que « personne ne m'aimera », ce qui se traduit par « je ne vais pas bien ». Si une petite fille reçoit une fessée de la part de son père, elle peut décider : « Je ne ferai plus jamais confiance à un homme parce que papa me traite si mal. » Par la suite, elle étend cette décision à tous les autres hommes sous la forme de la conviction « on ne peut pas faire confiance aux hommes », c’est-à-dire « vous (ils) n’allez pas bien ».

Du point de vue de Claude Steiner, les positions de vie sont prises bien plus tôt. Il fait remonter leurs origines aux premiers mois d'alimentation d'un enfant. Selon Steiner, la position « Je vais bien, tu vas bien » reflète une atmosphère confortable d'interdépendance entre l'enfant et la mère qui allaite. Il l'assimile à la position de « confiance fondamentale » décrite par le spécialiste du développement de l'enfant Erik Erikson. C'est "... un état de choses où le bébé sent qu'il est en unité avec le monde et que tout est en unité avec lui".

Steiner pense que tous les enfants commencent avec l’attitude « Je vais bien, tu vas bien ». L'enfant ne change de position que lorsque quelque chose vient troubler l'harmonie de son interdépendance avec la mère. Par exemple, lorsqu'un enfant sent que sa mère ne le protège plus et ne l'accepte plus aussi inconditionnellement qu'au début. Certains bébés peuvent percevoir la naissance elle-même comme une menace à l’harmonie originelle. En réponse à l’apparition de tout type d’inconvénient dans sa vie, l’enfant peut décider que lui-même ne va pas bien, ou que les autres ne vont pas bien. Il passe de l’état de « confiance fondamentale » d’Erikson à un état de « méfiance fondamentale ». Et puis, sur la base de cette compréhension fondamentale de lui-même et des autres, l’enfant commence à écrire le scénario de sa vie.

Ainsi, Steiner est d’accord avec Berne sur le fait que la position de vie « justifie » les décisions de scénario. Cependant, selon Steiner, la position de vie est d'abord définie, et ce n'est qu'après que les décisions relatives au scénario sont prises.

Ainsi, la position de vie peut être définie comme totalité fondamental croyances Ô à moi-même Et autres personnes lequel Humain utilise Pour excuses leur solutions Et son comportement.

6. Position de vie chez les adultes

Chacun de nous entre dans l'âge adulte avec un scénario plus tard dans la vie, écrit sur la base de l’une des quatre positions de vie. Cependant, nous ne restons pas toujours dans la position que nous avons choisie. Nous passons d'une position à une autre chaque minute.

Franklin Ernst a développé une méthode pour analyser de telles transitions. Il l'a appelé OK-Uchastkom(Fig.1)

Au lieu du terme « OK », Ernst utilise l’expression « OK pour moi ». Ceci est fait afin de souligner que le « bien » est dû à mes croyances : le mien croyances sur à moi-même Et le mien croyances sur toi.

Riz. 1. OK-Plot

Le pôle supérieur de l’axe vertical de la Section correspond à « Vous allez bien », le pôle inférieur – à « Vous n’êtes pas bien ». Sur l’axe horizontal à droite nous avons « Je vais bien », à gauche nous avons « Je ne vais pas bien ». Chacun des quatre carrés correspond à une position dans la vie.

Par souci de concision, « OK » dans la littérature TA est souvent désigné par un signe « + » et « non-OK » par un signe « - ». Le mot « vous » est aussi parfois raccourci à la lettre « T ».

Sur la fig. La figure 1 montre l'une des options du Site, où chacune des quatre positions a son propre nom. Ces noms ne figuraient pas sur le diagramme original d'Ernst, mais ils sont souvent utilisés par d'autres auteurs.

Franklin Ernst souligne que chacune des positions des enfants est représentée dans vie d'adulte sous la forme d'un interaction sociale. Il appelle ce dernier " opération". Les noms de ces opérations sont indiqués sur le schéma du Site. Lorsque nous effectuons une de ces opérations inconsciemment, à l'état d'Enfant, nous le faisons, en règle générale, pour fournir un scénario de « justification » à l'opération. position de vie correspondante. Cependant, nous avons une autre possibilité : nous pouvons passer à l'état d'adulte et effectuer consciemment n'importe laquelle de ces opérations. Grâce à cela, l'interaction sociale peut conduire aux résultats que nous souhaitons.

Je vais bien, tu vas bien : inclusion dans l'interaction

Je viens juste de me mettre au travail. Le patron me rencontre à la porte avec une pile de papiers. "Voici le rapport que nous attendions", dit-il. "J'ai coché quelques cases pour vous. Pourriez-vous les examiner et me faire part des résultats ?" "D'accord", je réponds, "ce sera fait."

En acceptant de répondre à la demande du patron, j’ai décidé moi-même que j’étais suffisamment compétent pour accomplir cette tâche et que cela me plaisait. Je trouve que le patron a présenté sa demande de manière polie et raisonnable. Alors j’adopte l’attitude « Je vais bien, tu vas bien ». Au niveau des interactions sociales, mon patron et moi allumé dans une cause commune.

Chaque fois que j’interagis avec des personnes occupant ce poste, je renforce ma conviction que moi et les autres allons bien.

Je ne vais pas bien, tu vas bien : éviter les interactions

Je m'assois à la table et ouvre la première page du rapport. Du coin de l’œil, je vois quelqu’un se diriger vers moi. C'est un de mes collègues. Il a l'air inquiet. Comme je connais déjà cette expression sur son visage, il ne m’est pas difficile de deviner pourquoi il est venu. Il va se plaindre sans cesse de son travail, me demander conseil et ne pas l'écouter. Lorsqu'il s'approche de ma table et ouvre la bouche, je peux choisir entre deux choses : agir selon le scénario ou lui répondre depuis l'état d'adulte.

Scénario opération: Disons que je m’implique dans le scénario et que je prends la position « Je ne vais pas bien, tu vas bien ». Je me dis : « Je ne peux pas l’aider, je ne peux pas le faire. Mais qu’importe, il va juste parler et c’est tout. Il faut sortir d’ici ! Je contracte mes abdominaux et je transpire. Sans écouter ce que dit mon collègue, je marmonne : « Désolé, Jim, je dois me précipiter aux toilettes ! - et dirigez-vous vers la porte. En quittant la pièce, je relâche la tension, poussant un soupir de soulagement. je gauche de Jim selon le scénario. En faisant cela, j'ai renforcé la conviction de mon enfant que je ne vais pas bien et que les autres vont bien.

Adulte opération: Si je décide de rester dans l'Adulte, je me dis : « Pour l'instant, je ne veux pas écouter Jim, il a des problèmes, mais ce n'est pas à moi de les résoudre. Cependant, une fois qu'il parle, tu peux. Je ne l'arrêterai pas. Je pense que la meilleure chose à faire est d'aller hors de sa portée. Dès que Jim ouvre la bouche et commence à exprimer sa première plainte, je dis : "Oui, Jim, les choses vont mal. Mais je suis occupé en ce moment. Je m'apprêtais justement à aller à la bibliothèque pour vérifier quelques données sur ce rapport. J'espère que tout s'arrangera pour vous." . Je récupère les papiers et sors. Avec l'aide d'un Adulte, j'ai consciemment choisi l'opération soins.

Je vais bien, tu ne vas pas bien : se débarrasser de l'interaction

Dix minutes plus tard, je retourne au bureau avec une tasse de café et me lance dans l'étude du rapport. La porte s'ouvre à nouveau. Cette fois, c'est mon assistant. Il a l'air abattu. « J'ai peur d'avoir de mauvaises nouvelles », dit-il. « Vous vous souvenez quand vous m'avez dit d'imprimer les documents, j'étais occupé et j'ai oublié de les imprimer à temps. Et maintenant, l'imprimeur est occupé ?

Scénario opération: Je peux lui répondre à partir de la position « Je vais bien, tu ne vas pas bien ». En rougissant, je dis d'une voix aiguë : « Qu'est-ce que tu veux ? faire? Corrigez la situation, c'est ce que vous faites ! Je ne veux plus rien entendre tant que le matériel n'est pas sur la table, d'accord ? » En même temps, mon pouls s'accélère et je bouillonne littéralement d'indignation. Quand l'assistant disparaît, je me dis : « Tu ne peux pas Je ne compte sur personne de nos jours, tu peux tout faire toi-même, je dois le faire!" je me suis débarrassé de de l'assistant, créant une « justification » scénarisée pour ma conviction que je vais bien et que les autres ne le sont pas.

Adulte opération: je réponds à l'assistant; "Eh bien, votre travail consiste à améliorer la situation. J'ai un travail urgent à faire en ce moment. Alors cherchez une opportunité d'imprimer les documents ailleurs dès que possible, je vous retrouverai à quatre heures et je vous ferai un rapport avec les résultats. " » Je me penche à nouveau sur le rapport, indiquant clairement que la conversation est terminée. je je me suis débarrassé de de l'assistant, alors maintenant je peux faire mon propre truc, et nous restons tous les deux bien.

Je ne vais pas bien, tu ne vas pas bien : non-implication dans l'interaction

Le téléphone sonne. Ma femme appelle de chez moi : « Il s'est passé quelque chose de terrible ! Un tuyau a éclaté, et le temps que j'ai réussi à couper l'eau, tout le tapis était inondé !

Scénario opération: Dans ce cas, je peux prendre la position « Je ne vais pas bien, tu ne vas pas bien ». Je me dis : « J’en ai assez. C’est au-dessus de mes forces et je ne peux pas compter sur ma femme. Je gémis au téléphone : « Écoute, c’est au-dessus de mes forces, c’est déjà une mauvaise journée, c’est trop. Sans attendre de réponse, je raccroche. Je me sens pressé et déprimé. Au fond, j’étais renforcé dans ma conviction que moi et tout le monde n’allions pas bien.

Adulte opération: Décidant de rester à l’état Adulte, je réponds : « Écoute, c’est fini, attends que je revienne et après on verra ce qu’on peut faire. J'ai choisi la chirurgie non-implication.

7. Section OK, modifications personnelles

Bien que nous nous déplacions constamment sur les cases du Site, chacun de nous a une case « préférée » dans laquelle nous, agissant selon le scénario, passons la plupart du temps. Cela correspond à la position de vie fondamentale que nous avions adoptée dans notre enfance.

"Je vais bien, tu vas bien" - c'est en bonne santé position. En même temps, je participe à la vie et à la résolution des problèmes de la vie. J'agis dans le but d'obtenir les résultats gagnants que je désire. C'est la seule position fondée sur la réalité. Si, enfant, j'ai adopté la position « Je ne vais pas bien, tu vas bien », alors je jouerai probablement mon scénario principalement à partir de déprimé positions, se sentir inférieur aux autres. Sans m'en rendre compte, je choisirai des sentiments et des manifestations comportementales qui me sont désagréables, « confirmant » que j'ai correctement déterminé ma place dans le monde. Si j’ai des problèmes de santé mentale, ils seront très probablement diagnostiqués comme une névrose ou une dépression. Si j’écrivais un scénario fatal, son issue serait probablement le suicide.

L'attitude enfantine du « Je vais bien, tu ne vas pas bien » signifie que je vivrai mon scénario principalement à partir d'une position défensive, en essayant de m'élever au-dessus des autres. Cependant, ils sont susceptibles de me percevoir comme répressif, insensible et personne agressive. Bien que ce poste soit souvent appelé paranoïaque, il répond également au diagnostic psychiatrique de trouble du caractère. Dans un scénario perdant au troisième degré, ma scène finale peut impliquer de tuer ou de mutiler d'autres personnes.

Si j'adoptais l'attitude « Je ne vais pas bien, tu n'es pas bien » quand j'étais bébé, mon scénario se déroulerait principalement à partir de stérile postes. Je croirai que ce monde et les gens qui l’habitent sont mauvais, tout comme moi. Si j’écrivais un scénario banal, le fil rouge qui le parcourrait serait mon attitude négligente à l’égard de la plupart des entreprises de la vie. Si j’ai un scénario pessimiste, le résultat pourrait être de devenir « fou » et d’obtenir un diagnostic psychotique.

Comme toutes les autres composantes du scénario, la position de vie peut être modifiée. En règle générale, cela se produit uniquement à la suite d'une perspicacité - une prise de conscience soudaine, directe et intuitive de son scénario, d'un cours de thérapie ou d'une sorte de choc important de la vie.

Souvent, le processus de changement de position de vie est associé à une certaine séquence de progression à travers les cases de l’intrigue. Si une personne passe initialement la plupart de son temps en I-T-, son prochain arrêt sera probablement I+T-. Après avoir passé du temps sur cette place désormais principale pour lui, il emménagera à Y-T+. Objectif ultime consiste à rester de plus en plus longtemps dans le carré I+T+ jusqu'à ce qu'il devienne le lieu de résidence principal.

Il peut paraître étrange que pour passer de l’I+T- à l’I+T+, les gens doivent souvent passer par l’I-T+. Mais, comme en témoigne l'expérience thérapeutique, l'I+T s'avère souvent être protecteur réaction contre l'I-T+. Décidant que «je vais bien, et que tout le monde ne va pas bien», le bébé s'affirme dans cette position afin de se protéger de la douloureuse conscience de son humiliation et de son impuissance face à ses parents. Pour devenir véritablement adulte, une personne doit vivre cette douleur infantile et s’en libérer.

Conclusion

Une personne développe sa position tout au long de sa vie. Il le forme d’abord, puis le renforce ou le modifie. Une position de vie ne peut pas rester inchangée tout au long de la vie. Tout le monde ne sera pas capable de changer radicalement ses croyances antérieures et de développer une nouvelle position de vie active, mais ils commenceront certainement à soutenir ou à renforcer celle existante, qu'elle soit positive ou négative.

Il est important de se rappeler qu’il n’existe pas de position de vie « idéale » ou « parfaite ». La position doit être ajustée à chaque changement qui se produit dans nos vies. Après tout, sur le chemin de chacun de nous, il y a diverses situations qui « perturbent » et ce n'est que grâce à nos propres efforts, à une approche flexible pour comprendre ce qui se passe, que nous pourrons parvenir à une solution réussie, trouver une issue et faire face. avec la situation.

La position d'une personne dans la vie doit être formulée, et l'ajout à ces sept clés est : soyez gentil avec vous-même. Peu d’entre nous seront capables d’imprégner nos relations de gentillesse compatissante sans d’abord être gentils avec nous-mêmes.

Ces clés nous permettent de changer et de grandir de manière créative et de changer notre façon de penser. Il va sans dire qu'en disant « non » à quelqu'un, sans demander la permission à personne et de toute autre manière, en faisant preuve de notre propre indépendance, nous pouvons perdre de vieux amis, mais si l'amitié avec eux était basée sur nos faiblesses, nos complexes et non sur les points forts de notre personnalité, alors combien ils sont pour nous bons amis? Mais maintenant, ayant nouvelle force, nous nous ferons de nouveaux amis qui seront des personnes indépendantes et fortes.

Et si nous trouvons nécessaire de traumatiser quelqu'un autour de nous afin de donner de la clarté et de la certitude à notre propre vie, alors en réalité cela ne signifie qu'une chose : nous ne sommes plus disposés à endurer en silence s'ils nous traumatisent, nous ne sommes plus disposés à endurer en silence s'ils nous traumatisent. pour leur permettre de mettre des obstacles sur nos chemins vers la réalisation de soi. Une fois que nous cessons de permettre aux autres de nous traumatiser, nous sommes capables d’utiliser notre nouveau pouvoir pour les aider ou aider quelqu’un d’autre parce que nous devenons attentionnés et empathiques envers les autres.

De plus, il nous est alors beaucoup plus facile d’accepter, sans nous sentir offensés ou rejetés, des situations où d’autres nous disent « non ».

Liste de la littérature utilisées

1. V.V. Makarov. Cours de psychologie - 1999

2. Shchedrova G. « Le but de la société est l'homme » 1995.

3. Maksimov S.L. «Personnalité et société» 1993

4. Loukachevitch Ch.P. "Psychologie de l'éducation" 1996

5. Ian Stewart, Venn Joines « Script de vie » 1987

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Tout ce à quoi une personne pense, pense, fait représente sa position dans la vie. À première vue, il semble qu'il puisse y avoir de commun entre l'attitude envers le monde qui nous entoure et la moralité ? Il s’avère que tout dans cette vie est interconnecté.

La position de vie nous aide à surmonter les difficultés, les hauts et les bas de la vie. Elle s'exprime dans tous les domaines d'activité : social, éthique, interne, social, politique.

Les gens commencent à adopter une position de vie dès la naissance. Le développement d’un enfant dépend dans une large mesure de son environnement immédiat. Ce sont des parents, des grands-parents, des éducateurs, des enseignants. A ce stade, les bases de la vie sont posées. La personnalité se forme à partir de relations harmonieuses au sein de la famille, de l’école et du travail.

Quelle est la différence entre les positions de vie

Le principal secret de la réalisation personnelle est une position de vie active. Courage, initiative - c'est la petite partie qui construit vers l'objectif visé. Ces personnes deviennent souvent des leaders au sein de l’équipe et entre amis. Personnalités passives Ils ne font que les suivre, bien qu'ils aient leur propre point de vue, mais ne veulent pas le défendre.

Caractéristiques des espèces en position de vie active

Négatif
Les personnes ayant une position de vie négative dirigent leur énergie vers des actions négatives. Ils causent beaucoup de problèmes aux autres. Leur credo de vie est d'imposer leur opinion et leurs objectifs spécifiques à la société, ce qui cause un préjudice colossal plutôt qu'un bénéfice. Ces personnes sont souvent les chefs de groupes et de formations de gangsters.

Positif
Haute moralité humaine image positive la vie, l'intolérance au mal.

Les personnes passives mènent une vie inerte. Ils sont indifférents à notre réalité. Les pessimistes ne participent jamais à la résolution de problèmes difficiles et ignorent les problèmes de la société. Ils ne répondent jamais de leurs paroles ; ayant promis quelque chose, ils trompent souvent. Le comportement des gens nous fait penser à une autruche avec la tête cachée. À leur avis, c'est le plus moyen pratique se protéger des problèmes inutiles.

La passivité et les objectifs de vie négatifs sont des concepts pratiquement identiques. De l’inaction et du refus d’aider dans les moments difficiles, de nombreux crimes et explosions d’injustice se produisent.

Types de position de vie passive

Soumission;
Inertie complète ;
Comportement perturbateur ;
Excitation.

Une personne soumise marchera sur le chemin « parcouru » par quelqu'un jusqu'à la fin de sa vie. Il suit strictement les règles sans penser à leurs besoins et à leur respect.

La dernière catégorie de pessimistes n’est pas moins grave pour la société. Ils rejettent tous leurs problèmes, leurs échecs et leur colère sur des étrangers qui ne sont absolument pas impliqués dans leurs problèmes. Par exemple, une mère dont le mariage a échoué rejette une mer de négativité sur ses enfants. Des créatures innocentes paient le prix de la négligence de leurs parents. Il existe de nombreux exemples similaires qui peuvent être donnés.

La position de vie commence à se former dès la petite enfance et continue de se renforcer ou de s’affaiblir à mesure que le cycle de vie se poursuit. Regardez-vous de l'extérieur, évaluez vos actions. Peut-être que vous faites quelque chose de mal. Si les résultats ne vous impressionnent pas, essayez de vous changer. Vous avez encore le temps pour ça !

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Si un enfant est entouré d'une atmosphère d'amour, d'acceptation et de sécurité, alors une position existentielle de base positive d'une personne se forme - Je + Vous +, l'enfant acquiert une base solide pour estime de soi positive et une attitude positive et amicale envers les autres.

En raison de diverses circonstances : non-acceptation, répulsion, négligence, indifférence de la part des parents, etc. (Voir Chapitre II, « Rejet et rejet de soi ») L'enfant peut développer une fausse image de lui-même et du monde extérieur, ce qui conduit à d'autres attitudes internes contre nature et malsaines.

Position constructive I+Tu+

Dès la petite enfance, j'ai senti que j'étais infiniment aimé. Nos parents nous aimaient beaucoup, nous et les uns les autres. J'ai grandi dans une atmosphère d'attention et de compréhension mutuelle et je ressens toujours le soutien de ma famille et je suis sûr que peu importe ce qui m'arrive, ils seront là et m'aideront toujours. Dès mon enfance, on m'a parlé de Dieu, mes parents ont prié et lui ont raconté tout ce qui se passait d'important dans la famille. Plus tard, j’ai réalisé qu’une relation avec Dieu est la chose la plus importante dans la vie, et maintenant je ne peux pas imaginer comment on peut vivre sans se souvenir de Lui, sans se tourner vers Lui tous les jours. Il aime beaucoup tout le monde et prend soin de nous.

Lydie

Si le noyau du système de croyances est une position de vie constructive, une personne est convaincue de la valeur de sa personnalité, confiante qu'elle mérite d'être aimée et acceptée. Il aime ses parents, sait que ce sont des personnes bonnes, gentilles et honnêtes en qui on peut avoir confiance. Cette attitude s'étend également aux autres personnes.

Une personne vit en harmonie avec le monde extérieur, elle se caractérise par une coopération productive, relations positives avec les gens, l'acceptation, la capacité à se faire des amis, l'adaptabilité psychologique et la réussite. Il est capable de donner et de recevoir de l'amour, n'a pas peur de se rapprocher des gens, ne dépend pas excessivement des opinions et des évaluations des autres, accepte calmement les critiques, est autocritique et ouvert à tout changement.

Il se comprend, comprend ses sentiments, peut librement exprimer, réaliser et parler de ses sentiments et de ses expériences. Se réjouit des succès et des réalisations des autres, est capable de soutenir les autres, parle sincèrement de caractéristiques positives personnes, a une évaluation positive de l’avenir.

Une personne ayant une position existentielle Je+Tu+ peut également faire des critiques justes et est prête à dire « non » si nécessaire ; n'a pas peur de défendre son opinion, même si les autres ne sont pas d'accord avec lui ; se distingue par son indépendance et sa fermeté de position s'il est sûr d'avoir raison. Cependant, s’il découvre l’erreur de son opinion, il admet librement son erreur et change de point de vue. Il se caractérise par une évaluation sobre de la réalité des événements et une volonté de rechercher positivement des solutions aux problèmes de vie émergents, la capacité de prendre des décisions indépendantes et d'en assumer la responsabilité, en tenant compte des conseils et des souhaits des autres.

Une telle personne est fidèle à ses idéaux et valeurs moraux. Il se développe constamment, s'engage dans la connaissance de soi, choisit des méthodes de croissance personnelle interne qui lui conviennent et travaille sur lui-même.

Position dépressive Je-Tu+

Une position de vie dépressive domine le système de croyance d’une personne après l’expérience du rejet de la part de ses proches et de ses parents. Il décide qu'il y a quelque chose qui ne va pas chez lui, « je suis mauvais » (je -), se considère incapable de quoi que ce soit, pense qu'il est pire que les autres, souffre de sentiments d'infériorité, d'incompétence et d'abnégation.

Le doute de soi fait naître la peur de l’échec, qui provoque en fait l’échec. Une personne s'efforce intérieurement de vivre régulièrement des situations d'échec, même dans les petites choses. Il s'attend constamment à l'échec pour confirmer une fois de plus l'équité de la position de ses parents envers lui-même : il y a quelque chose qui ne va pas chez lui, il n'est pas ce qu'ils voulaient, il n'est capable de rien, il ne peut pas leur plaire, etc. Il est extrêmement dépendant des opinions de ses parents et des figures d'autorité dans sa vie. Cela se manifeste souvent par l’infantilisme, la peur d’assumer ses responsabilités, de prendre des décisions indépendantes et de faire preuve d’initiative.

Une personne avec une telle position de vie souffre régulièrement de dépression, de découragement, s'efforce de s'éloigner des autres, préfère garder ses distances. Il évite tout ce qui est nouveau, inattendu ; essaie de rester dans un cercle déjà familier, dans lequel il se sent dans une position relativement sûre.

Quand je me souviens de mon enfance, j'essaie de ne pas penser au mal, mais ce n'est pas facile. Mes parents m'aimaient, mais je dirais " amour étrange" Même maintenant, ils ne réalisent pas ce qu’ils m’ont fait quand j’étais enfant et comment cela m’a affecté. Au début, ils attendaient une fille et quand je suis né, ils étaient très bouleversés. Quand j'étais petite, j'ai toujours eu cheveux longs, tant de gens dans la rue m'ont pris pour une fille, ce qui m'a terriblement mis en colère. Parfois, ma mère m'habillait de robes et m'admirait. Elle était chef de famille, occupait une position sociale plus élevée, humiliait constamment mon père, qui choisissait un travail qui impliquait de longs voyages d'affaires constants et était constamment absent de la maison. À son retour, ses parents se disputaient souvent car son père était très jaloux. J'ai senti que j'étais responsable de leurs problèmes et j'ai essayé de les réconcilier. Très souvent, ma mère s'effondrait et me battait dans un accès de colère, puis pleurait et me forçait à lui demander pardon pour le fait que je l'avais tellement « poussée ». Quand j’ai commencé à faire quelque chose par moi-même (ce qui arrivait rarement, car on ne me faisait pas confiance et on ne m’autorisait pas à faire quoi que ce soit), mes parents m’expliquaient généralement que peu importe mes efforts, rien ne fonctionnerait pour moi ; mieux s'ils faisaient tout eux-mêmes.

Evgeny

Pensez au nombre de héros littéraires ayant une position de vie similaire qui sont décrits dans la littérature russe ! Il s'agit d'un type de personnalité très courant.

Position défensive I+Vous-

J'étais l'aîné de la famille. Nos parents nous aimaient, mais ils étaient toujours très passionnés par le travail. Mon frère est né quand j'avais 2 ans et à partir de ce moment-là, toute l'attention de mes parents s'est concentrée sur lui. Il était plus malade, se comportait comme un voyou et avait de mauvais résultats à l'école. Adolescent, il s'est retrouvé en mauvaise compagnie et a commencé à boire. Contrairement à lui, j'ai toujours été une fille bonne et obéissante, j'ai étudié avec des notes « bonnes » et « excellentes » et j'ai essayé de tout réussir. Mais mes parents s'intéressaient beaucoup moins à moi. je suis entré institut prestigieux du premier coup, j'y ai rencontré mon futur mari, Boris, qui m'a tendrement courtisé et a sollicité mon attention. Quelque chose n'allait toujours pas chez lui, il se retrouvait constamment dans une sorte de situation, peu importe ce qu'il commençait à faire, tout tournait mal, pas pensé, c'est le moins qu'on puisse dire... Je devais tout décider dans la famille et prendre mes responsabilités, bref, il « vivait derrière moi, comme derrière un mur de pierre ». Boris m'aimait beaucoup et je le sentais, mais avec le temps, j'ai commencé à sentir qu'il devenait de plus en plus cool, et j'ai même commencé à soupçonner qu'il me trompait. Je n'avais de relation étroite ni avec mes parents ni avec mon frère, car mes parents ont des préjugés envers mon frère. Ils l'aident en tout, ne lui refusent rien, le gâtent, et lui, un plouc, profite de leur gentillesse et fait ce qu'il veut. Je ne peux pas le supporter, il est tellement dégoûtant.

Nastia

Si une position de vie défensive domine au niveau existentiel du système de croyance, une personne, d'une manière ou d'une autre, vit une situation de rejet de la part de ses parents, de personnes importantes, et décide que ces personnes, le monde, tout autour est hostile, disposé négativement. et il faut toujours être prêt à se défendre et à se défendre, et le mieux est d'attaquer.

Une personne ressent la valeur de sa personnalité à travers la preuve de sa supériorité sur les autres, à travers un désir irrésistible de tout contrôler autour d'elle. Habituellement, lui-même ne remarque même pas qu'il humilie, condamne et blâme les gens. Puisque cela se produit si naturellement qu'il croit sincèrement que ceux qui l'entourent font tout de travers, ils sont responsables de tous les problèmes (y compris son propres problèmes). Et il sait mieux que quiconque ce qu’il faut faire pour que cela fonctionne bien.

Il a besoin d'être le premier, le meilleur, cela se fait souvent en condamnant ou en rabaissant les autres, dans une compétition névrotique (complexe de supériorité). Et aussi dans les tentatives de contrôler tout le monde et le désir d'accomplir n'importe quelle tâche dans la limite de leurs capacités, d'obtenir un succès parfait et de le démontrer aux autres afin de montrer qu'ils n'en sont pas capables.

Une telle personne est intérieurement convaincue qu’elle ne peut atteindre ses objectifs que par une lutte inlassable et une agressivité envers les gens et le monde. L'agressivité est parfois cachée et sublimée, prenant des formes socialement acceptables, mais d'autres, en particulier ceux dont la personne ne dépend en aucune façon, peuvent se sentir mal à l'aise en sa présence et la perçoivent souvent comme une personne réprimant les autres, une personne insensible.

Cependant, il faut toujours garder à l’esprit que le complexe de supériorité n’est qu’une forme protectrice d’un profond sentiment d’infériorité, un complexe d’abnégation (non-acceptation, rejet de soi). Ces deux complexes sont naturellement liés. Il ne faut pas s’étonner que lorsque nous nous engageons dans la connaissance de soi et découvrons un complexe d’abnégation, nous découvrions immédiatement un complexe de supériorité plus ou moins caché. En revanche, si l'on examine le complexe de supériorité dans la dynamique, on découvre à chaque fois un complexe plus ou moins caché d'abnégation. Cela supprime le paradoxe apparent de deux tendances opposées existant chez un même individu, puisqu'il est évident que normalement le désir de supériorité et le sentiment d'infériorité se complètent. Le mot « complexe » que nous utilisons reflète l'ensemble des caractéristiques psychologiques qui sous-tendent un sentiment exagéré d'abnégation, d'infériorité ou de recherche de supériorité.

La futile position Je-Tu

Une personne dont le système de croyances fondamentales est représenté par une position de vie stérile se sent mal aimée, rejetée, humiliée ; convaincu que la vie est inutile, pleine de déceptions, personne ne peut l'aider.

Il rejette les gens et le monde qui l'entoure et se sent rejeté, vide, déprimé ; L'action principale attend.

Une personne qui n'est pas consciente de la valeur de sa propre personnalité ou de la valeur de la personnalité des personnes qui l'entourent peut être socialement dangereuse.

Les conflits internes se manifestent assez souvent par des tentatives de s'immerger dans une autre réalité (ordinateur, alcool, drogues, magie, etc.), afin de se cacher des problèmes internes, si possible de ne pas penser, de ne pas les reconnaître et de les ignorer.

Je suis né dans une famille au pire moment possible. Mes parents viennent de se marier. Mon père était étudiant et ma mère (elle a 5 ans de plus) avait déjà obtenu son diplôme universitaire à cette époque. Ils vivaient avec les parents de leur père. La relation de la mère avec sa grand-mère ne s'est pas bien passée parce que sa grand-mère était contre le mariage. Ma mère craignait que mon père ne soit séduit par diverses filles de l'institut, il semble donc qu'elle ait traversé une période difficile. L'accouchement a commencé un mois plus tôt et a été critique. Je ne sais pas exactement ce qui s'est passé, mais il semble que je n'ai peut-être pas survécu. Puis, suite à un oubli des médecins, la mère a développé des complications et a été transportée à l’hôpital. Je suis resté avec mon père et ma grand-mère. J'étais souvent malade, j'avais du mal à dormir la nuit et je criais. Mes parents se disputaient constamment entre eux et avec ma grand-mère. La mère a insulté et humilié le père, et la grand-mère les a également condamnés. Quelques années plus tard, les parents ont déménagé dans un appartement séparé. Mais leur relation n’a jamais fonctionné. J’ai toujours eu l’impression qu’ils étaient malheureux dans leur mariage, ma mère m’a dit qu’ils vivaient ensemble uniquement pour moi, mais je m’en fiche. En fait, je n’ai rien dit ni à mon père ni à ma mère. Quand j'ai grandi, mon père est parti et a épousé une autre femme qui avait une fille.

Vainqueur.

Chaque adulte ne reste pas toujours dans sa position existentielle fondamentale. Souvent (comme son vrai visage), il le cache sous divers masques. Mais la position existentielle se manifeste toujours dans des circonstances de vie difficiles, lors de la résolution de problèmes psychologiques, dans des circonstances nouvelles et inattendues, dans un état de conflit interne, de tension, de frustration ( état mental, causée par l'incapacité à satisfaire les besoins et les désirs, accompagnée de diverses expériences négatives : déception, irritation, anxiété, désespoir...).

POSITION DE VIE - la direction de l'activité de vie d'une personne, son t.er. concernant sa place et son rôle dans la vie publique (par opposition au statut social, à la position). En termes moraux, la vie est un système de comportement d'un individu, déterminé par ses croyances, son idéologie et sa conscience. La position d’une personne sur toute question socialement significative est une position sociale dans la mesure où elle correspond à la logique objective du développement de la réalité sociale et reflète l’alignement des forces sociales réelles influençant ce développement. Le critère de véracité et d'exactitude d'un élément de logement particulier est sa conformité aux tendances progressistes du développement de la société et aux intérêts des forces sociales avancées. Pour déterminer le mode de vie des gens, il est nécessaire, selon les mots de V.I. Lénine, de découvrir « quelle situation sociale et comment exactement leurs actions sont déterminées » (vol. 1, p. 430). Le mode de vie est l’un des signes les plus importants du développement personnel d’un individu, déterminant sa place dans le processus historique. La formation de la personnalité est en même temps le choix conscient d’une personne de l’un ou l’autre mode de vie (choix moral). Le contenu du choix personnel d'un logement particulier est en fin de compte déterminé par les idéaux et les valeurs de la société, de la classe ou du groupe social auquel appartient la propriété donnée. Mais cela n'enlève rien au rôle du sujet lui-même, l'individu, dans la détermination de son attitude envers le monde. La vie de V.I. Lénine est également un exemple d'un choix conscient et d'une mise en œuvre cohérente d'un mode de vie actif et d'une personnalité. Le mode de vie est l'expression d'une telle activité sociale d'une personne, qui repose sur la certitude idéologique et l'adhésion à des principes, et présuppose une conscience sociale. L'activité de la société des femmes s'exprime à la fois sur le plan idéologique - dans une attitude de parti intéressée et partiale envers les idéaux, les objectifs, les lignes directrices théoriques de la société, de la classe et sur le plan comportemental, caractérisant la cohérence et la masculinité dans le respect par une personne de ses opinions, de ses croyances, en les mettant en pratique. Par conséquent, le logement doit être clairement distingué de la division, de la « prise » et de l’opportunisme rusé (choisir le camp de quelqu’un ou d’un autre pour des raisons d’intérêt égoïste, de calcul ou d’avantage). La base morale de la vie active est le principe de l’unité de la parole et de l’action, exprimé dans le désir d’une personne de réaliser le social, y compris le moral, dans la pratique. Correspondance, fusion de la théorie et de la pratique, unité, pensée et action, lorsque les gens peuvent se porter garants, V.I. Lénine a déclaré qu'« ils n'accepteront pas un mot de foi, ils ne diront pas un mot contre leur conscience » (vol. 45, p. 391), est la condition la plus importante pour l'efficacité de J. choisi par les masses ou l'individu. n. La position active s'oppose à la position passive, lorsqu'une personne se tient sur ce qu'on appelle la vue. un contemplateur extérieur, un observateur neutre, guidé par le principe « ma maison est au bord ». D’un point de vue moral, une telle passivité est identique à l’indifférence, qui alimente souvent le renégatisme. Un cas particulier d’écart par rapport aux droits à la vie active est un écart entre les paroles et les actes, indiquant le caractère déclaratif et formel de la conviction d’une personne, et parfois l’hypocrisie morale. La passivité sociale et personnelle sous toutes ses formes est étrangère à la moralité communiste ; les seules exceptions sont les cas particuliers où la passivité agit comme une forme unique d'activité (par exemple, dans les conditions de la démocratie bourgeoise, évitement délibéré de voter lors d'élections qui n'offrent pas d'alternative, etc.). La lutte contre l'infantilisme moral, le manque d'initiative et l'inactivité, contre la complaisance sociale, l'ivresse du succès, le manque d'autocritique, contre les hésitations idéologiques et les concessions sur des questions fondamentales est d'une importance morale énorme.

Dictionnaire d'éthique. - M. : Politizdat.

Éd. I. Kona.

1981. Voyez ce qu'est « POSITION DE VIE » dans d'autres dictionnaires : position de vie

- nom, nombre de synonymes : 1 attitude de vie (2) Dictionnaire des synonymes ASIS. V.N. Trishin. 2013…Éd. Icône. 1981. dernièrement

grâce au travail... ...- [engagement] : manifestation de préoccupation et d'activité pour résoudre des conflits de responsabilités ou d'idées ; à l'opposé de l'abstraction, de l'indifférence, de la neutralité. Le mot lui-même, devenu populaire récemment grâce aux travaux de... ... , un ensemble de relations de vie, de valeurs idéales et le caractère retrouvé de leur mise en œuvre, qui assure la formation d'une personne et la suite de sa vie. L'un des- l'orientation motivée de l'activité de vie d'un individu, sa compréhension du sens de la vie, des valeurs et des normes sociales, qui constitue la base du choix d'une ligne de comportement ; se manifeste par une attitude rationnellement significative et chargée d'émotion envers... ... Processus éducatif moderne : concepts et termes de base

grâce au travail... ...- une attitude interne déterminée par la vision du monde, les qualités morales et psychologiques de l'individu et reflétant son attitude subjective envers la société... qualités psychologiques

- attitude interne, déterminée par des critères idéologiques, moraux et psychologiques. qualités d'une personne et reflétant son attitude subjective envers la société. Le mode de vie se manifeste peut-être dans le comportement humain réel. actif (désir constant de changer... ...- les idées les plus importantes qui expriment l'attitude de l'individu face aux diverses réalités de la vie qu'une personne guide volontairement dans sa vie. Ces idées qui guident la vie s'expriment sous diverses formes : croyances, principes,... ... Fondements de la culture spirituelle (dictionnaire encyclopédique de l'enseignant), . Les auteurs du livre, de célèbres philosophes soviétiques, mettent en évidence les dispositions les plus importantes du concept marxiste de personnalité sous forme d'essais journalistiques. La clé du livre est l’idée de Lénine selon laquelle...

La position de vie d’une personne est son attitude holistique envers le monde qui l’entoure, qui se manifeste dans ses pensées et ses actions. C'est ce qui attire l'attention lorsque vous vous rencontrez et nous distingue les uns des autres dans sens psychologique. Elle influence notre capacité à surmonter les difficultés, nos réussites et détermine le pouvoir que nous avons sur notre destin.

Une position de vie claire se manifeste dans toutes les sphères de l'activité humaine : morale, spirituelle, socio-politique et professionnelle. Il exprime la tension morale de l'individu, c'est-à-dire sa volonté d'agir concrètement.

La formation d'une position de vie commence dès la naissance et dépend en grande partie de l'environnement dans lequel vit une personne. Sa fondation commence lorsqu'un enfant apprend à communiquer avec ses parents, ses amis, ses enseignants et à vivre en société. En fonction de ces relations, l'autodétermination de l'individu se précise.

Position de vie - active et passive

Une position de vie active est le secret de la réalisation de soi et du succès. Cela se manifeste par le courage de l’initiative et la volonté d’agir. Pour le former, nous avons besoin d’un moteur qui nous fera avancer. Nos désirs agissent comme un moteur qui nous élèvera au-dessus de toutes les difficultés et nous aidera à atteindre nos objectifs. Une personne ayant une position de vie active peut être un leader, ou elle peut suivre le leader, mais elle a toujours son propre point de vue et la force de le défendre.

On distingue les types de positions de vie active suivants :

Attitude positive. Il se concentre sur les normes morales de la société, sur l'affirmation du bien et sur le dépassement du mal moral.
Négatif. Pas toujours actif et personnes actives consacrent leurs efforts à des actions positives, leurs actions peuvent nuire aux autres et à eux-mêmes. Un exemple de position de vie active négative peut être la participation à divers gangs. Le chef du gang est une personne heureuse et active, avec de fortes convictions et des objectifs précis, mais ses convictions sont au détriment de la société et non à son bénéfice.

L'antipode de cette position de vie est la passivité. Une personne ayant une position de vie passive est inerte et indifférente. Ses paroles et ses actes sont en contradiction ; il ne veut participer à la résolution des problèmes et des difficultés de la société dans laquelle il vit. Son comportement rappelle celui d'une autruche, qui cache sa tête dans le sable, pensant que c'est le plus moyen sûr débarrassez-vous des problèmes. De tels principes ne sont pas moins dangereux qu’une position de vie active négative. Combien d’injustices et de crimes sont commis à cause de notre inaction ?

Une position de vie passive peut se manifester des manières suivantes :

Malgré le fait que votre position de vie se forme dès l'enfance et dépend de la société dans laquelle nous vivons, il n'est pas trop tard pour s'arrêter et réfléchir à quelle est votre position de vie et aux avantages que vous apportez aux autres. Et si le résultat de la réflexion ne vous satisfait pas, il n’est pas trop tard pour vous changer.

Le choix de la position de vie d’une personne

Chaque personne est unique. Sa naissance est la conséquence de millions de modèles, d'accidents et de coïncidences. Son essence est complexe et contradictoire. Cependant, comme une maison qui repose sur ses fondations, la personnalité humaine repose sur un système de croyances et d’idées fondamentales sur soi-même, sur les autres et sur le monde qui nous entoure. Ces croyances et idées déterminent les choix de vie et le comportement d’une personne, représentant l’attitude existentielle de sa personnalité (on l’appelle aussi attitude émotionnelle fixe (de base), ou position de vie).

Le choix d'une position de vie fixe est fait par la personne elle-même, mais est largement déterminé par la famille dans laquelle elle est née et a grandi, ainsi que par son environnement immédiat. La formation de cette position commence dès les premiers instants de la vie et se termine essentiellement à l’âge de sept ans. C'est-à-dire que cela tombe à une période où une petite personne ne dispose pas encore du stock de connaissances fiables sur le monde nécessaire à une existence autonome et ne peut donc pas pleinement comprendre le degré de sérieux des décisions qu'elle prend, qui seront décisives pour son destin. .

Une fois la position de vie principale déterminée, toutes les actions, tous les comportements d'une personne visent à la confirmer et à la consolider.

Pour clarifier ce qui précède, il est important de signaler que la position de vie fondamentale d’une personne se forme avant même la naissance. Et chaque enfant, avant sa naissance, croit qu’il est prospère et que les autres sont prospères. Je vais bien, tu es bon. Vous êtes votre mère et ceux qui l'entourent.

Nous avons mené une vaste enquête pluriannuelle pour identifier les attitudes émotionnelles fixes au cours de la vie intra-utérine. Deux mille personnes formées à la psychothérapie dans le cadre de cours de dix jours, de croisières en bateau et de cycles de développement professionnel ont subi une régression de l'âge vers les sensations et les expériences de la vie intra-utérine.

Étant donné que pour de nombreuses personnes, la mémoire de la période préscolaire et de la petite enfance est bloquée par les interdits parentaux, nous avons effectué la régression en état de transe. La majorité a eu un résultat positif, ce qui signifie qu'il a été possible de restaurer les expériences de la vie intra-utérine.

Seules deux personnes au cours de la vie intra-utérine ont montré l’attitude « Je ne suis pas prospère ». La mère a tenté à plusieurs reprises de se débarrasser de l’une d’entre elles en procédant à des avortements criminels. La mère d'un autre a souffert maladie grave la colonne vertébrale et le fœtus en développement lui causaient une douleur supplémentaire difficile à supporter.

Le reste des participants à l'enquête ont développé une attitude émotionnelle fixe au cours du développement intra-utérin : « Je suis prospère, vous êtes prospère. » Et c'est très important ! Une mère inspire confiance à son bébé, né ou non. Elle remplit ses devoirs maternels, qui combinent amour inconditionnel, une attention attentive aux besoins du bébé et une loyauté inébranlable envers lui. Le sentiment de fiabilité et de confiance qui naît chez l'enfant forme une idée de base de sa propre identité, jetant les bases d'une position de bien-être : « Je suis prospère ! », « Je suis moi-même ! », « Je deviens ce que les autres (mes proches) veulent que je voie.

Malheureusement, à l'avenir, l'attitude de la plupart des gens envers eux-mêmes change, formant une position de vie différente, beaucoup moins optimiste : « Je ne suis pas prospère, vous êtes prospère ». Comment cela se produit-il ?

Caractéristiques des positions de vie de base

"Je ne suis pas prospère - tu es prospère"

Dans notre pays, une personne naît généralement dans un environnement extrêmement hostile, voire hostile, d'une institution publique standard, ce qui, bien entendu, affecte son développement ultérieur. Après tout, cela se produit publiquement, souvent entouré d’étrangers et de personnes indifférentes. Elles sont mécontentes du fait que l'accouchement ait généralement lieu la nuit. Parfois, le travail est stimulé inutilement. Et cela entraîne des blessures pour la mère et l'enfant.

Les étudiants en médecine et d’autres personnes entendent souvent cela femmes modernes ont oublié comment accoucher. Il y a peut-être une part de vérité là-dedans. Mais le fait que, dans les maternités, ils aient oublié comment et, en général, ils ne savaient surtout pas comment traiter les femmes en travail avec soin et respect - c'est trop courant !

La mère a réussi à donner naissance à un enfant dans la douleur. Et les gens indifférents lui enlèvent immédiatement. Souvent pendant longtemps. Et maintenant, cela dépend d'eux quand il retrouvera sa mère, comment il sera nourri et emmailloté, dans quelle température il se trouvera et quelles procédures, médicaments et injections lui seront prescrits.

Un tel enfant développe un sentiment d’abandon, d’impuissance et d’inutilité. Il s’auto-évalue : « Je ne suis pas prospère. » Et ceux qui l'entourent, dont il dépend entièrement et qui lui apparaissent comme des personnages immenses et omnipotents, sont prospères.

Ainsi, très souvent, dans les premiers jours de la vie, les enfants nés dans notre pays développent l'attitude « Je ne suis pas prospère, vous êtes prospère ».

Une position émotionnelle fixe, une fois formée, doit être confirmée. Et vous n'aurez pas à attendre longtemps pour cela.

Chaque personne a sa propre expérience liée au manque d'amour dans l'enfance. A cet âge, l'enfant perçoit les informations transmises directement contacts physiques. Et les premiers mois de la vie d’un bébé dépendent en grande partie de la grande sensibilité de sa peau. Un nourrisson éprouvant de nombreuses sensations inconfortables et criant à l'aide ne la reçoit souvent pas immédiatement, mais seulement lorsque des symptômes apparaissent dans son état. signes évidents mauvaise santé, il peut donc très vite apprendre à comprendre que pour attirer l'attention, il doit tomber malade.

Les insultes et les humiliations de l'enfance limitent notre liberté et réduisent fortement nos choix.

L'enfant commence à marcher. Il est très maladroit, tombe, casse la vaisselle, gâche tout. Il est maladroit et se fait ridiculiser. Il est souvent puni.

Puis une crèche, un jardin d'enfants, une école. Et partout la position « Je ne suis pas prospère, tu es prospère » est évoquée, imposée, martelée. Cependant, c'est la position la plus adaptative pour un Soviétique - un travailleur modeste, attendant humblement une récompense.

Une personne ayant une image d’elle-même négative est accablée par les événements actuels et en assume la responsabilité. Il n'a pas assez confiance en lui, ne prétend pas au succès et aux résultats. Il accorde une faible valeur à son travail. Refuse de prendre des initiatives et des responsabilités, est sujet au stress et tombe souvent malade. De plus, les maladies se développent lentement, évoluent lentement et la période de récupération s'éternise.

Il souffre souvent de dépression, souffre de névroses, de troubles du caractère et est sujet à des comportements autodestructeurs : tabagisme, abus d'alcool, toxicomanie. Des troubles végétatifs-vasculaires et psychosomatiques et une diminution de l'immunité en sont typiques. La gastrite, les ulcères, les maladies du petit et du gros intestin, la dyskinésie biliaire et les coliques néphrétiques sont typiques. Les femmes se caractérisent par des troubles du cycle ovarien-menstruel et une prostatite pour les hommes. Leur libido et leur puissance sont réduites. L'hypothyroïdie, l'hypotension, les troubles circulatoires cérébraux dynamiques sont typiques et des accidents vasculaires cérébraux ischémiques sont possibles.

Ces personnes sont souvent négligées dans leurs vêtements et dans leur style de vie. Ils choisissent eux-mêmes les scénarios de non-gagnant ou de perdant.

On les retrouve très souvent lors d’un rendez-vous chez le médecin, parmi les patients des hôpitaux somatiques, psychiatriques ou de traitement de la toxicomanie.

Il est important de noter que la majorité des membres de notre société portent avec eux tout au long de leur vie l'attitude émotionnelle fixe « Je ne suis pas prospère, vous êtes prospère ». Nous les rencontrons tout le temps et partout. Leur vie est dure et triste. Ils influencent leur entourage et nous avons du mal avec eux. « Je suppose que vous savez (vous pouvez le faire, vous le ferez), mais je ne le sais pas » est leur thèse. Le retrait et la dépression sont leur stratégie. La passivité est leur position sociale. Et pourtant, ce n’est pas une installation des plus mineures. Il y en a une autre : « Je ne suis pas prospère – vous n’êtes pas prospère. »

"Je ne suis pas prospère - vous n'êtes pas prospère"

Une telle personne n’est pas assez énergique ; il est plutôt apathique, sujet à la dépression, à l'hostilité passive envers lui-même et envers les autres. Impossible d'être persistant. Il est constamment hanté par les échecs et il s'y est habitué. Il n'a pas une approche créative du travail et de la vie en général.

De son point de vue, il ne mérite pas d’évaluation positive ni d’éloges. De plus, il ne les perçoit pas, ni même ne les entend. Il est sombre, ironique, difficile à communiquer. Sa passivité finit par former une attitude négative à son égard de la part de son entourage. Avec ses vêtements négligés et scandaleux, son apparence et l'odeur émanant de ses vêtements et de son corps, il déclare constamment : « Il n'y a rien de mal avec moi - Il n'y a rien de mal avec toi. »

C’est une situation de désespoir désespéré, où la vie est inutile et pleine de déceptions. La personne est impuissante et les autres ne peuvent pas l’aider. Il ne reste plus qu'à couler au fond et à attendre la mort.

Ces personnes souffrent de nombreuses maladies différentes. C'est la dépression et l'apathie. Divers rhumes, maladies infectieuses et somatiques causés par une immunité réduite. Leur désir sexuel est fortement supprimé et leur puissance est réduite. Les femmes ont des possibilités limitées de tomber enceintes et d'accoucher.

Tous les troubles de santé provoqués par des comportements autodestructeurs leur sont typiques : tabagisme excessif, abus d'alcool et de ses substituts, substances narcotiques et toxiques. De plus, ils préfèrent les substances particulièrement nocives et particulièrement toxiques. Les blessures caractéristiques concernent le corps, ainsi que le crâne et le cerveau, ainsi que leurs conséquences.

Seule une partie des personnes ayant l'attitude « Je ne suis pas prospère - vous n'êtes pas prospère » vit dans la société. Beaucoup d’entre eux passent leur vie à attendre la fin dans des traitements pour toxicomanes, dans des hôpitaux psychiatriques et somatiques, dans des foyers pour malades chroniques et dans des prisons. Aujourd’hui, beaucoup sont simplement expulsés de la vie et finissent leur triste vie dans la rue, rejoignant les rangs des sans-abri. Ils n’ont ni la force ni les ressources pour se battre. Et ils n'attendent pas d'aide. « Tout est inutile et dénué de sens dans ce monde et rien ne dépend de moi » est leur devise. La stratégie est soit une longue attente de la fin, soit le suicide.

Le point suivant n’est pas si pessimiste. Et pourtant, ses transporteurs causent beaucoup de soucis et de désagréments aux autres. Il est formulé ainsi : « Je suis prospère, vous n’êtes pas prospère. »

"Je suis prospère - vous n'êtes pas prospère"

C’est une attitude de supériorité arrogante. Une telle personne se dit, ainsi qu'au monde : « Je vais bien, tout ne va pas pour toi. Il a l’air fanfaron et suffisant. Quelle que soit l'activité à laquelle il participe, il exagère toujours son rôle, sa contribution au résultat global.

Il est difficile de communiquer avec lui. Il cherche à réprimer et à rabaisser les autres. Il utilise les gens comme des outils pour atteindre ses objectifs. Lorsque la patience de son entourage déborde, ils le quittent. Il est temporairement laissé seul, se sentant comme un échec.

Petit à petit, certains y reviennent. Il se retrouve également entouré de nouvelles personnes prêtes à obéir et à endurer l'humiliation. Les premiers à revenir sont les courtisans « professionnels » et les personnes ayant l'attitude « Je ne suis pas prospère - vous êtes prospère » : étant à côté de lui, ils peuvent ressentir de la douleur et de l'humiliation, en quantité suffisante pour justifier leur position passive dans la vie. De plus, les personnes ayant l'attitude « Je ne suis pas prospère - vous n'êtes pas prospère » peuvent également être entraînées dans ce cercle.

Et ainsi, notre « héros » est à nouveau absorbé dans la lutte. Il terrorise ses proches, découvre des ennemis et engage des poursuites. Il forme des groupes et des coalitions. C'est toujours un conseiller non sollicité qui est censé tout savoir mieux que quiconque.

Une telle personne s'efforce de se démarquer avec ses propres vêtements et sa propre marque de voiture. Il aime les uniformes, les styles particuliers, tout ce qui est exotique, insolite, exclusif.

Cette attitude émotionnelle figée peut se former dès la petite enfance ou à l’âge adulte.

Dans l'enfance, elle peut se développer selon deux mécanismes de psychogenèse. Dans un cas, la famille souligne de toutes les manières possibles la supériorité du bébé sur ses autres membres et son entourage. Un tel enfant grandit dans une atmosphère de respect, de pardon et d'humiliation envers les autres. Pour lui, c'est un environnement naturel et il n'en connaît pas d'autre.

Une fois qu’une attitude est déterminée, une personne fait tout pour la confirmer constamment. Il le fait sans relâche. Et toute sa vie est un combat.

Le deuxième mécanisme de développement se déclenche si l'enfant se trouve constamment dans des conditions qui menacent sa santé, voire sa vie. Par exemple, lorsqu'un enfant est maltraité. Et lorsqu'il se remet d'une autre humiliation, pour surmonter son impuissance, son humiliation ou simplement survivre, il conclut : « Je suis prospère » afin de se libérer du sentiment de désespoir, de dépendance envers ses agresseurs et ceux qui ne l'ont pas protégé. : "Vous n'êtes pas en sécurité." Ces personnes s'efforcent activement de devenir des leaders et des managers. Certains d’entre eux deviennent des leaders du monde criminel.

Formes typiques de pathologie de cette attitude émotionnelle : hypertension, asthme bronchique, infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral hémorragique, hystérie avec toute la variété de ses manifestations cliniques.

Ses devises sont « Je m’en fiche, c’est votre problème ! » ou "Je sais mieux ce dont vous avez besoin." La stratégie est destruction, destruction, délivrance. Positions sociales, rôles - révolutionnaire, participant à des campagnes publiques, combattant pour la vérité.

Ainsi, nous avons déjà considéré trois attitudes émotionnelles fixes.

Il est important de noter qu'ils ne sont souvent pas réalisés par une personne et, par conséquent, ne peuvent pas être formulés par elle de manière indépendante, et même dans le cas où elle détermine facilement les positions de vie des autres.

Et une seule position existentielle est généralement consciente et peut être formulée par son porteur. Cette position n'a pas encore été pleinement prise en compte par nous. Nous avons commencé par là, puis nous nous sommes arrêtés pour examiner les mécanismes permettant de passer à d'autres types d'installations. Revenons maintenant à sa description.

"Je suis prospère - tu es prospère"

C'est l'attitude optimiste d'une personne qui croit : « Je suis prospère - le monde est prospère », « tout va bien pour moi - tout va bien dans le monde ».

Une telle personne entretient de bonnes relations avec les autres. Il est accepté par les autres, réactif, digne de confiance, fait confiance aux autres et a confiance en lui. Prêt à vivre dans un monde en changement. Il est intérieurement libre et évite, si possible, les conflits. Souvent, il essaie de ne pas perdre de temps à se battre avec lui-même ou avec quelqu'un autour de lui.

C'est l'attitude émotionnelle fixe de l'heureux élu, personnalité saine. Une telle personne, à travers son comportement, ses relations avec les autres et tout son mode de vie, communique : « Je vais bien, tout va bien pour toi.

Comme nous l'avons déjà signalé ci-dessus, cette attitude émotionnelle fixe se forme souvent avant même la naissance, dans la vie intra-utérine. Pour certaines personnes, cela ne change pas pendant l’accouchement. Cela ne se produit que lorsque l'accouchement ne s'accompagne pas d'un traumatisme mental grave. Cela n’arrive pas encore souvent dans notre pays.

Vivre et se développer dans un environnement très bonnes conditions, le bébé consolide une attitude optimiste. Cette attitude dans la petite enfance est particulièrement prononcée lorsque l'enfant tète le sein de sa mère. Il s'agit d'un état de contact complet et de compréhension mutuelle complète, lorsque le bébé est en harmonie avec le monde et que le monde est en harmonie avec lui.

L'enfant se forme progressivement la position d'une personne prospère et en bonne santé. Il croit que ses parents sont des personnes fiables, aimées et aimantes en qui on peut avoir confiance. Et les parents font confiance à leur enfant.

Un tel enfant est prêt à créer son propre scénario de vie en tant que gagnant. Il accepte volontairement des obligations et en même temps ne se plie pas sous le fardeau des constants « je dois », « cela doit être fait », « cela doit être fait ».

Les personnes ayant une attitude de bien-être sont généralement en bonne santé somatique ou souffrent de maladies qui ne révèlent pas d'origine psychologique.

Leur devise est « Santé, bien-être, prospérité ! » Leur stratégie est la coopération et le développement. Leurs rôles sociaux sont gagnants, chanceux.

Les dernières idées sur les positions de vie existentielles dans la version orientale de l'analyse transactionnelle

Alors, une attitude émotionnelle fixe pour la vie ? Pour certaines personnes, c'est vrai. Ayant acquis une attitude spécifique, ils la confirment tout au long de leur vie. Et leurs autres positions émotionnelles sont faiblement exprimées. On peut dire que leur attitude émotionnelle fixe est rigide. Les personnes ayant des attitudes rigides confirment constamment leur position et se sentent mal à l’aise de passer à l’une des trois autres attitudes existentielles. Notre formation et notre expérience thérapeutique nous ont amenés à découvrir des personnes ayant une position fixe de bien-être ou de mal-être. De plus, une seule position est rigidement fixée. Disons : « Je ne suis pas prospère ». Une telle personne passe facilement de « Je ne suis pas prospère – Vous êtes prospère » à « Je ne suis pas prospère – Vous n’êtes pas prospère ». Alors que les deux autres attitudes ne sont pas du tout détectées ou apparaissent très rarement. Lorsque la position « Vous êtes prospère » est fermement fixée, un tel client passe de la position « Je ne suis pas prospère - vous êtes prospère » à la position « Je suis prospère - vous êtes prospère »

Pour d’autres personnes, les attitudes émotionnelles peuvent changer. Et ces personnes, selon nos données, constituent une majorité significative parmi les gens qui réussissent.

La variété des situations dans lesquelles se trouve une personne au cours des premières années de sa vie crée les conditions préalables à la formation en elle des quatre types d'attitudes émotionnelles. De plus, chacun des paramètres permet à l'enfant de « s'intégrer » consciemment ou inconsciemment dans des interactions d'un certain type et ainsi de recevoir de son entourage ce dont il a besoin. Par exemple, demandez simplement dans un cas, catégoriquement, exigez avec angoisse - dans un autre, méritez-le - dans le troisième et attendez humblement qu'il soit remarqué et demandé, ou refusez complètement - dans le quatrième. Alors, pour satisfaire vos besoins en situation spécifique, une petite personne doit penser, ressentir et se comporter d'une certaine manière. Le type d’interaction qui prévaut dans la famille renforce l’attitude émotionnelle correspondante de l’enfant et la fixe. Et l'enfant s'y habitue, et le monde ne semble sûr et prévisible que lorsque l'enfant se sent en accord avec cette attitude. Et il essaie de vivre de manière à le confirmer constamment pour lui-même et pour les autres. Et lorsque les circonstances de la vie changent et que vous ne pouvez obtenir ce que vous voulez qu'en changeant de position, il éprouve un inconfort émotionnel, de l'anxiété ou des émotions négatives plus spécifiques, qui sont aggravées par le fait que les raisons ne lui sont pas tout à fait claires, car sans préparation particulière, il ne peut comprendre qu'une attitude émotionnelle sur quatre possibles.

Subissant la pression d’attitudes problématiques, une personne se sent impuissante et impuissante. Il perd pied dans la vie et cherche des moyens de retourner à son paradis perdu. Vous vous souvenez que « Je suis prospère et le monde est prospère » est la toute première attitude d’une personne entrant dans ce monde. Pour y revenir, certains utilisent psychiquement substances actives, remplaçant les véritables expériences de bien-être par des substituts au bonheur. D’autres retrouvent leur confiance fondamentale dans le monde grâce à la religion. Dieu devient un parent aimant et miséricordieux envers ses enfants. Et eux, à leur tour, confient leur vie et leur destin entre les mains du Seigneur, recevant en retour la paix et la tranquillité.

Lorsqu’elles prennent conscience de leur position émotionnelle dominante, de nombreuses personnes pensent à devenir plus chanceuses ou à changer leur position pour adopter une attitude émotionnelle fixe : « Je suis prospère – tu es prospère. » La prise de conscience d’une position est déjà une avancée significative vers son changement.

Décoder le contenu d'une position et remplacer ses fragments individuels par des fragments favorables peut conduire à un changement d'attitude existentielle. Ce processus se déroule par étapes, à travers un certain nombre de positions intermédiaires. C'est l'une des méthodes psychothérapeutiques acceptées pour modifier l'attitude émotionnelle fixe dominante.

L'éducation est le processus de formation d'une certaine position de vie. La psychothérapie est un long voyage pour prendre conscience de ce qui a déjà été formé, apprendre ses capacités et acquérir une nouvelle position plus prospère dans la vie. Ou, comme on dit, la rééducation.

Il existe une autre façon. C'est beaucoup plus court, mais seuls ceux qui sont capables d'aimer peuvent le passer. En tombant amoureuse, une personne se transforme et, après avoir éprouvé un sentiment commun, elle transforme son monde, construisant de nouvelles relations, en utilisant des possibilités de son âme qu'elle n'avait jamais imaginées auparavant.

Ainsi, nous avons considéré quatre positions principales dans la vie. Une personne avec l'attitude dominante « Je ne suis pas prospère - vous êtes prospère » estime que sa vie ne vaut pas grand-chose contrairement à la vie des autres - des personnes dignes et prospères.

Une personne ayant l'attitude « Je ne suis pas prospère, vous n'êtes pas prospère » estime que sa vie et celle des autres ne valent rien du tout.

Une personne avec l'attitude « Je suis prospère - vous n'êtes pas prospère » considère sa vie comme très précieuse, mais n'apprécie pas la vie d'une autre personne.

Une personne ayant l’attitude « Je suis prospère – tu es prospère » croit que la vie de chaque personne vaut la peine d’être vécue et d’être heureuse.

Dans ces positions binaires, chaque position de bien-être implique liberté intérieure, activité, efficacité et optimisme ; considérant que toute position désavantageuse est une limitation liberté intérieure, passivité et pessimisme.

Stress et attitudes de vie

En analysant les données sur la dynamique des expressions faciales, des postures et des mouvements, les affections cutanées, les composantes somatiques et verbales de la réaction au stress, T. Keiler a suggéré que dans une situation stressante, une personne reproduit cycliquement un nombre d'attitudes émotionnelles formées plus tôt pendant de nombreuses années. Il a appelé cette séquence un mini-scénario (voir Fig. 1).

Un mini-scénario, d'après notre expérience, est le meilleur outil de psychothérapie pour rediriger la responsabilité de sa vie vers le client.

La réaction commence par la première position de bien-être conditionnel « Je suis en sécurité – vous êtes en sécurité ». Conditionnel, car avant le stress la personne se sentait plus prospère que lors de l'expérience.

Riz. 1. Mini-scénario

La deuxième position du mini-scénario reflète l'attitude de vie « Je ne suis pas prospère, vous êtes prospère ». Les sentiments les plus vifs sont le ressentiment, la culpabilité et la gêne. Des pensées apparaissent - "Pourquoi cela m'est-il arrivé ?", "Pourquoi ?", "Je l'ai mérité".

Par exemple, je n’ai pas réussi à donner le meilleur de moi-même ou j’ai commis une erreur qui a conduit à un résultat négatif. Je suis déçu. Et puis je conclus : « Je n’ai pas pu faire face au problème, donc je ne suis pas prospère », et je me sens gêné et coupable de ne pas avoir pu répondre aux attentes des autres. Et si, dans mon enfance, j'ai décidé qu'en cas d'échec, je prendrais toujours la responsabilité sur moi-même, maintenant je rejoue à nouveau ces décisions de la petite enfance et j'éprouve des sentiments désagréables de l'enfance : culpabilité, ressentiment, embarras, impuissance. Et mon attitude est "Je ne suis pas prospère - vous êtes prospère"

La troisième position est celle de l'accusateur. Si, enfant, j'ai décidé qu'il valait mieux blâmer les autres pour tout, alors je peux immédiatement passer de la première position à la troisième. En même temps, je condamne triomphalement, fais des remarques caustiques du point de vue de ma propre impeccable, tombant parfois dans une fureur « noble ». "Je suis prospère - vous n'êtes pas prospère." C'est une façon de se défendre en se rebellant. Si nous continuons notre exemple, alors les arguments sont les suivants - "Personne n'est parfait!", "Ils ont eux-mêmes un stigmate!", "Regardez-vous!"

Position quatre - déçue. Si je décide que « je ne suis pas prospère et que vous n’êtes pas prospère », alors de la position deux ou trois, je peux accéder à la position quatre. J'éprouverai des sentiments d'impuissance, de frustration et de désespoir.

Si j'ai eu de la chance avec mes parents ou si j'ai suivi une psychothérapie, alors je ne tomberai pas en dessous du premier niveau. Cependant, selon la position de vie dominante, une personne peut « rester bloquée » dans l'une des quatre positions du mini-scénario. Parfois ces arrêts durent des années. Par exemple, les clients qui viennent en psychothérapie avec des syndromes post-traumatiques qui durent plus de 2 ans préfèrent généralement ne pas sortir du triangle des mini-scénarios. Ils se déplacent autour du petit triangle aux positions 2-3-4, y restant et acquérant des avantages secondaires. Nous examinerons ensuite plus en détail le triangle des mini-scénarios et le travail avec des clients souffrant de trouble de stress post-traumatique.

Trois approches des positions de vie de base

Auparavant, nous avons examiné l'une des trois approches populaires des positions de base dans la vie. C’est ce qu’on appelle les attitudes binaires de bien-être.

Dans la seconde version, un peu plus compliquée, neuf attitudes ternaires de bien-être peuvent être envisagées. Ce sont des variantes des triples positions : Je – Vous – Ils.

La troisième approche distingue également trois niveaux de bien-être. Et chacun d’eux est à son tour divisé en trois. Ainsi, chacun peut se placer sur l’une des neuf marches d’une échelle imaginaire. Et si la première approche donne un meilleur aperçu de l’attitude émotionnelle fixe de chacun, alors la troisième approche offre plus de possibilités d’y apporter des changements spécifiques.

Examinons de plus près cette troisième approche.

Il distingue trois niveaux d'attitudes existentielles : perdantes, moyennes et réussies. À tour de rôle, dans chacun des niveaux, vous pouvez trouver trois sous-niveaux (voir Fig. 2, p. 52).

Figure 2. Niveaux de bien-être

Dans le groupe des perdants on distingue : un perdant du troisième degré - absolu, ou une grenouille ; un perdant du 2ème degré - un perdant complet et un perdant du 1er degré - un perdant faible.

Parmi les paysans moyens : paysan moyen du troisième degré - paysan moyen faible, koekaker ; paysan moyen du deuxième degré - paysan moyen complet, mesureur extrême ; paysan moyen du premier degré - un paysan moyen fort, une personne peu performante.

Parmi les chanceux : un chanceux du troisième degré - un chanceux faible et fragile ; une personne qui réussit du 2ème degré - une réussite complète ; Chanceux au premier degré - une réussite absolue, un prince.

Cette approche est particulièrement attractive pour le groupe chanceux. L'approche psychothérapeutique que nous développons vise à faire passer une personne au nombre de personnes qui réussissent ou à évoluer au sein de ce groupe vers un niveau supérieur.

Parlons maintenant de tout dans l'ordre.

Les perdants sont des personnes qui n’atteignent presque jamais les objectifs qu’ils se sont fixés. Et pour les réalisations, même petites, ils paient trop cher prix élevé. Ils abandonnent leurs prétentions aux résultats, au succès ; manquent souvent de confort dans leur chemin de vie. Beaucoup d’entre eux réfléchissent constamment à la manière dont ils se comporteront lors du bilan « général » de leurs échecs. Lorsqu'ils accumulent des valeurs matérielles, ils le font pour le bien de ce « jour de pluie » qui, à leur avis, viendra certainement un jour. Lorsqu'ils démarrent une entreprise, ils se programment à l'avance pour l'échec et s'occupent de « placer des pailles » aux endroits où ils tomberont certainement lors d'une catastrophe inévitablement imminente. Comme vous pouvez le constater, ces personnes prédisent l'échec à l'avance et, par leurs actions, s'en rapprochent inconsciemment.

La moyenne est constituée de ceux qui se contentent du peu qu’ils parviennent à accomplir jour après jour, supportant patiemment leur fardeau. Ils évitent les risques et les pertes possibles. Ils se limitent, leurs réalisations, leur confort de vie. Ils ne font toujours que joindre les deux bouts. Évitez les risques. Ils pensent souvent à ce qui se passera en cas d’échec. Ils sont cependant moins obsédés par l’échec que les représentants du groupe précédent.

Les chanceux sont ceux qui atteignent leurs objectifs, prennent des risques, remplissent les contrats, les accords conclus avec eux-mêmes. Les personnes chanceuses offrent le niveau de confort souhaité pour elles-mêmes et leurs proches.

Perdants

Les perdants se manipulent eux-mêmes et manipulent les autres, transférant la responsabilité de leurs problèmes sur les autres. La plupart du temps, ils jouent des rôles, font semblant, répètent des comportements appris dans l’enfance et dépensent de l’énergie pour entretenir leurs masques et restreindre leur activité. Ils ont constamment peur de se retrouver dans une situation difficile. Ils sont plongés dans des jeux avec eux-mêmes et avec les autres, et ces jeux remplacent pour eux la réalité, les rendant incapables d’être honnêtes et ouverts avec les autres et, surtout, avec eux-mêmes. Cela peut être établi en reconstruisant et en écoutant les dialogues entre les sous-personnalités d’une personne. En même temps, ils consacrent toutes leurs forces et leurs pensées à vivre conformément aux attentes des autres. Et finalement, le perdant passe toute sa vie à être quelqu’un d’autre que lui-même.

Beaucoup d’entre eux rêvent en vain d’un miracle qui les rendrait heureux sans aucun effort de leur part. En attendant, ils attendent et restent passifs.

Ils détruisent le présent en se concentrant sur le passé ou le futur, et éprouvent souvent de l'anxiété face au présent et le fuient.

L'anxiété et l'inquiétude déforment leur perception de la réalité. Ils s’empêchent de voir, d’entendre, de sentir, de comprendre. Ils se voient eux-mêmes et voient les autres dans un miroir déformé. Et ils vivent entourés de miroirs déformants.

Ils mentent souvent. Et tant envers les gens qui vous entourent que envers vous-même. Pour eux, mentir n’est qu’un mode de vie. Et il y en a davantage dans leur vie chaque année.

Cependant, ils parviennent généralement à rationaliser leurs actions et à expliquer leurs défaites. Cela ne se produit pas toujours immédiatement après un nouvel échec. Parfois, cela prend du temps. Mais cela apporte toujours la paix.

Ces personnes ont peur de tout ce qui est nouveau. Ils s’accrochent de toutes leurs forces à leur statut habituel. Et souvent, ils ne sont même pas conscients des possibilités d’accomplissement plus productif de leur chemin de vie. On peut dire qu'ils vivent la vie des autres : personnalités populaires - stars, héros de films, de livres. Parfois des parents ou simplement des voisins. Après tout, ils ne veulent même pas réaliser leur originalité, leur unicité.

Les actions, actions et arguments des perdants sont prévisibles. Ils ne s’aiment pas eux-mêmes et ont donc peu accès à l’amour du prochain.

Paysans moyens

Le groupe des paysans moyens est formé de trois sous-groupes dont les représentants peuvent être appelés à faible réussite, à réussite marginale et à réussite partielle. Ces personnes constituent le « juste milieu » de la société. Ils sont constamment soucieux de joindre les deux bouts. Et ils y parviennent, en réalité juste pour joindre les deux bouts et rien de plus.

Jour après jour, ils portent leur fardeau, gagnant un peu, mais ne perdant pas grand-chose non plus. Ils ne montent pas en hauteur et ne tombent pas dans les abîmes. Ils ne savent pas prendre des risques, les éviter et les considèrent comme injustifiés. Leur vie est calme et sans surprises.

D. Ron (1998) écrit que le monde est rempli de gens dont les décisions visent à détruire leurs propres chances de succès.

Chaque jour, nous vivons des dizaines de moments où nous nous trouvons à la croisée des chemins et où nous devons prendre des décisions sur des questions mineures et majeures. Choisir une solution nous donne la possibilité de définir la qualité de notre avenir. Nous devons être prêts à prendre des décisions à l’avance. Le moment du choix nous oblige à avoir des connaissances et une philosophie que nous avons développées sur la base de ces connaissances, qui soit nous serviront, soit annuleront tous nos efforts, dit D. Ron.

Les gens chanceux

Le système éducatif totalitaire et unifié reproduisait magistralement les perdants et les gens moyens, tandis que ceux qui réussissaient n’étaient qu’un « sous-produit ». Par conséquent, beaucoup ont besoin d'une thérapie, car des fragments de perdants et de gens ordinaires sont littéralement soudés dans la structure de leur personnalité.

Les personnes qui réussissent atteignent leurs objectifs et remplissent les contrats qu’elles ont conclus avec elles-mêmes. Les gens chanceux s'offrent des conditions de vie confortables. Ils agissent de manière consciente, productive et ont le sens de la perspective. Capable de développer différentes stratégies comportementales et d’aborder les problèmes sous différents points de vue avantageux.

Une personne qui réussit considère de nombreuses possibilités et en choisit quelques-unes. Prend en compte les circonstances réelles, essaie différentes voies pour obtenir des résultats jusqu'à ce qu'il réussisse. Capable de fixer et de mettre en œuvre des objectifs à long terme. Évite de concentrer toutes les ressources sur la réalisation d’un seul objectif. Cela garantit que les impasses de la vie sont évitées.

Les représentants de ce groupe ne se lient pas à des modèles de comportement rigides. Agir conformément aux changements de circonstances. Réagissez en fonction de la situation. Et ils peuvent modifier leurs plans en fonction des conditions changeantes.

Capable de séparer les faits des opinions, les projets des réalités de la vie. Ils sont capables d’envisager les problèmes à la fois du point de vue du comportement des gens et de leurs intérêts. Ils apprécient le temps. Et ils agissent en fonction des faits et des réalités de la vie.

Ils s'efforcent de plaire aux autres. Après tout, faire quelque chose de bien pour une autre personne est même bon pour votre propre santé. Ils n’utilisent pas la manipulation des personnes comme moyen d’atteindre le confort et la sécurité. En particulier, ils ne se permettent de mentir que lorsque cela leur est absolument nécessaire.

Ils savent profiter de leurs propres réalisations et être spontanés. Profitez du travail, de la communication, de la nature, du sexe, de la nourriture. Et ils savent comment retarder la gratification. C’est la capacité à supporter le plaisir au fil du temps qui semble être une caractéristique importante des personnes qui réussissent.

Les personnes qui réussissent se préparent au succès, aux résultats. Ils ont la capacité d’exprimer leurs convictions fondamentales sans juger ni humilier les autres. Capable d'aider d'autres personnes à les trouver propre façon sans vous ennuyer avec des conseils.

Pour les chanceux, l’essentiel dans la vie est d’être authentique, d’apprendre de nouvelles choses et de se réaliser. Accordez-vous toujours plus le luxe de la franchise et de l'honnêteté, de l'ouverture et de la réactivité. Ils prennent leurs responsabilités et se laissent revendiquer.

Les personnes qui réussissent refusent avec succès à la fois la manipulation des autres et la dépendance totale à l'égard de qui que ce soit. Ce sont leurs propres dirigeants. Ils évitent les sentiments de respect envers qui que ce soit et les références à de fausses autorités.

Les gens chanceux vivent souvent dans le but de réaliser pleinement leur potentiel humain, de rendre le monde meilleur, afin qu'eux-mêmes, ainsi que ceux qui les entourent, proches et lointains, soient mieux lotis et puissent atteindre le bonheur.

La conscience de la chance peut augmenter son niveau.

Selon D. Ron (1998), à mesure que nos résultats diminuent, notre position commence à s'affaiblir. Et à mesure que notre attitude envers la vie commence immédiatement à passer du positif au négatif, notre confiance en soi diminue encore plus... et ainsi de suite.

Si nous voulons réussir, nous observerons constamment la frontière ténue entre le succès et l’échec, identifierons les pulsions internes à répéter des actions improductives qui nous coûtent parfois cher, et apprendrons à trouver et à utiliser de nouvelles façons d’atteindre nos objectifs.

Citons les critères de distinction au sein du groupe des personnes qui réussissent.

Une personne qui réussit du troisième degré est une personne capable qui obtient des résultats grâce au développement à long terme de ses capacités. Réussir le 2ème degré - une personne douée qui obtient des résultats grâce à un travail acharné, basé sur conditions naturelles. Une personne qui réussit au premier degré est un talent ou un génie qui obtient facilement et librement des résultats extraordinaires. Les génies naissent et chaque personne naît génie. Malheureusement, seuls quelques-uns savent dans quel domaine ils sont un génie.

Une personne chanceuse du troisième degré se concentre sur la possession, l’accumulation et l’avoir. Une personne qui réussit du deuxième degré oriente ses efforts pour devenir quelqu'un, pour atteindre le résultat souhaité, ou pour recevoir selon ses réalisations, sa contribution. Une personne qui réussit au premier degré s'efforce de réussir, de réaliser pleinement son potentiel, et les catégories « être » et « avoir » pour elle se développent d'elles-mêmes, sans fixation particulière sur cela.

Une personne chanceuse au troisième degré vit dans un monde où « je devrais » et « dois » gouverner et où il reste peu de place pour « je peux » et « je veux ». Dans le monde d’une personne chanceuse au deuxième degré, « je peux » et « je veux », « je dois » et « je dois » s’entendre sans conflits. Alors que pour une personne qui réussit au premier degré, « je peux », « je veux », « je dois » et « je dois » coïncident simplement.

Une personne qui réussit au troisième degré obtient souvent des résultats après de nombreuses tentatives et n'a que parfois de la chance. Il prend des risques avec beaucoup de prudence et dans de petites choses. Un 2e degré réussi obtient des résultats en une ou deux tentatives, en prenant des risques prudents et justifiables et en contrôlant la situation. Il a souvent de la chance. Une personne qui réussit au premier degré suit le chemin le plus direct, obtient des résultats du premier coup, facilement et librement, en prenant volontairement des risques et en s'amusant. Il a toujours de la chance.

Pour un chanceux du troisième degré, la plupart de son travail quotidien lui semble être un devoir sans joie ; la plupart du temps, seuls les résultats sont satisfaisants. Une personne qui réussit au deuxième degré accomplit habituellement son travail, dont une partie apporte de la joie. Une personne qui réussit au premier degré fait ce qui lui procure de la joie et du plaisir.

Un chanceux du troisième degré revient facilement à la position d'un moyen et même d'un perdant. Pour revenir à ses postes précédents, il lui demande des efforts importants. Avec beaucoup de difficulté, une personne chanceuse du troisième degré passe au niveau d'une personne plus performante et en descend facilement. Une personne chanceuse du deuxième degré est plus stable dans sa chance et descend avec beaucoup de difficulté à des positions inférieures. Un étudiant qui réussit au premier degré accède difficilement aux niveaux inférieurs et pour une durée très courte.

Un chanceux du troisième degré ne termine pas toujours le travail qu’il a commencé. Elle se caractérise par la procrastination, le blocage sur le processus d'exécution au détriment du résultat. Une personne qui réussit au deuxième degré termine ce qu'elle a commencé, bien que parfois avec un retard important. Une personne qui réussit au premier degré termine toujours ce qu'elle a commencé et va recevoir les fruits de son activité le plus rapidement possible.

Ils diffèrent les uns des autres dans leur réponse au stress. Une personne chanceuse au troisième degré subit parfois une défaite et devient découragée. Une personne qui réussit au deuxième degré gagne et persévère, et cela lui est parfois difficile. Une personne qui réussit au premier degré gagne facilement, ne consacrant qu'une partie de ses ressources au combat, parfois sans même se rendre compte du stress.

Questionnaires thérapeutiques pour identifier le niveau d'attitude émotionnelle fixe

Nous avons développé et utilisons des questionnaires thérapeutiques qui nous permettent de mesurer le niveau d’attitude émotionnelle fixe d’une personne et de révéler les qualités qui empêchent une augmentation du niveau de chance. En travaillant avec chaque caractéristique, trait ou problème qui entraîne une diminution de la chance, nous augmentons le niveau de chance pour cette caractéristique. Ce travail psychothérapeutique s'effectue individuellement ou en groupe.

Le questionnaire convient aux individus, aux groupes et travail indépendant. Avant de passer aux principales versions des questionnaires, nous nous concentrerons sur la version de dépistage. Cette version consiste à obtenir un résultat rapide qui ne prétend pas être précis. Nous découvrons ici à quel point le sujet est intéressé et prêt à travailler avec des questionnaires, et à quel point un tel travail peut être efficace. Nous utilisons également le dépistage lorsque nous opérons sous pression. Par exemple, une seule consultation ou présentation cours éducatif. Nous fournissons les instructions pour remplir et le texte du questionnaire.

Dépistage

Pour chaque question ou affirmation, il est important que vous choisissiez une des trois réponses possibles. Merci de choisir rapidement, sans hésitation. Soulignez ou encerclez le chiffre qui représente la réponse que vous avez choisie :

Toujours, très vrai - 3 points ;

Parfois, pas définitivement - 2 points ;

Jamais tout à fait vrai - 1 point.

DANS MA VIE JE :

J’en profite pour me réaliser.

Je suis content de mes réalisations.

Je m’évalue du point de vue de : « Que diront les gens ? »

J'attends des échecs dans mes affaires pour ne pas être déçu lorsqu'ils surviennent.

Je profite des opportunités de risques justifiables.

J'agis en fonction de l'évolution de la situation.

J'accepte la responsabilité.

Je m’efforce d’éviter les inquiétudes et l’anxiété improductives.

Je mène à terme les choses que j'ai commencées.

J’aime entendre les éloges que je mérite.

Lors du calcul des résultats, nous additionnons toutes les réponses. De plus, aux questions 3 et 4, une réponse de 1 point compte pour 3 points, et une réponse de 3 points pour 1 point. Au total, 10 à 15 points peuvent correspondre à un perdant. Un score de 15 à 25 points correspond à la moyenne. Et de 25 à 30 points au chanceux.

La version principale du questionnaire

Plus des informations précises peuvent être obtenus en utilisant la version principale du questionnaire. Il se compose : du texte du questionnaire A, d'une feuille de l'échelle de notation du questionnaire A, du formulaire de réponse n°1 du questionnaire A, du formulaire de réponse n°2 du questionnaire A, d'une formule pour obtenir la valeur finale du questionnaire A, du questionnaire B.

Une note totale de 7 correspond à une réussite de 1er degré.

Une note totale de 6 correspond à une réussite du 2ème degré.

Une note totale de 5 correspond à un 3ème degré réussi et à un 1er degré moyen.

Une note totale de 4 correspond à une note moyenne de 2.

Une note totale de 3 correspond à une note moyenne de 3.

Et un perdant au 1er degré.

Une note totale de 2 correspond à un échec du 2e degré.

Une note totale de 1 correspond à un échec de grade 3.

Il est à noter que le groupe des gens moyens, notamment ceux des 3ème et 1er degrés, est difficile à différencier, d'une part, des réussis du 3ème degré et, d'autre part, des perdants du 1er. degré. Pour une telle différenciation, le questionnaire B a été introduit. Ce dernier se compose de 10 questions avec des réponses alternatives. La réponse « Oui » correspond au choix du paysan moyen.

Il est à noter que les gagnants du 1er degré et les perdants du 3ème degré se caractérisent par des réponses extrêmes. Là où les gagnants du 1er degré choisissent la réponse « Toujours » (catégoriquement oui, très vrai), les perdants du 3e degré choisissent « Jamais » (catégoriquement non, très faux). Les réussis du 2e degré et les perdants du 2e degré choisissent souvent les réponses « Presque toujours » (oui, vrai) ou « Presque jamais » (non, faux). De plus, leurs choix sont également opposés. Là où le chanceux choisit « Presque toujours », le perdant choisit « Presque jamais ».

Les personnes qui réussissent 3, les personnes moyennes 1, 2, 3 et les perdants 1 degré choisissent les réponses « Souvent » (très probablement oui, très probablement vrai) ou « Rarement » (très probablement non, très probablement faux) ou « Incertain ».

Nous utilisons ce questionnaire thérapeutique aussi bien en thérapie individuelle qu'en thérapie de groupe. Il convient également à l’auto-analyse. Dans tous les cas, il peut être utilisé de plusieurs manières. Dans la version la plus simple, l'enquêté se pose la question : quelle est mon attitude émotionnelle fixe à l'heure actuelle ? Et donne une réponse à chaque question du questionnaire. La deuxième option implique trois évaluations. Le sujet répond aux questions : qu’étais-je, qu’est-ce que je suis, qu’est-ce que je veux devenir ? De plus, il trouve un moment important pour lui dans le passé et évalue à quoi il ressemblait alors. Puis il s'évalue dans le temps présent. Et pour la troisième fois, il s'évalue dans le futur. Ce qu'il veut devenir à un certain moment de son parcours de vie.

Nous fournissons le texte du questionnaire, une feuille de l'échelle de notation et un formulaire de saisie des réponses.

Texte du questionnaire A

DANS MA VIE JE :

1. Me préparer à la chance.

2. J’en profite pour me réaliser.

3. Je suis heureux de mes réalisations.

4. Je profite de l’occasion pour apprendre de nouvelles choses.

5. Je profite de l’opportunité pour m’ouvrir aux autres.

6. Je m'évalue en fonction de ce que les gens diront.

7. J'attends des échecs dans mes affaires pour ne pas être déçu lorsqu'ils surviennent.

8. J’aime la communication.

9. Je peux avoir de la chance.

10. J’aime mon travail.

11. J'évite de dépendre du passé.

12. Je peux exprimer mes convictions.

13. J'aime la nature.

14. Je profite des opportunités de risques justifiables.

15. Je prévois plusieurs façons d’atteindre chaque objectif important.

16. J'aime le sexe.

17. Je fais confiance aux gens.

18. J’aime écouter les éloges que je mérite.

19. J’agis en fonction de l’évolution de la situation.

20. J’apprécie le temps.

21. J'aime la nourriture.

22. J'ai l'intention d'atteindre plusieurs objectifs en même temps.

23. Je me fais confiance.

24. J'entretiens des relations amicales avec les autres.

25. Je fais preuve de persévérance dans les questions qui sont importantes pour moi.

26. J'évite les conflits.

27. Confiant.

28. J’apprécie mon art préféré.

29. J'accepte la responsabilité.

30. J’aime dormir.

31. Je modifie mes plans en fonction des circonstances.

32. Je m'efforce d'être indépendant de l'avenir.

33. Je cherche des moyens de réussir.

34. J'agis consciemment.

35. J’ai une vision de l’avenir.

36. J'envisage chaque situation sous différents points de vue qui me sont avantageux.

37. Je me fixe des objectifs à long terme.

38. Je suis sûr que la chose la plus importante dans ma vie est de me réaliser le plus pleinement possible.

39. Je sépare les faits réels et objectifs des opinions subjectives des gens.

40. J’envisage de nombreuses possibilités et j’en choisis plusieurs.

41. Je vis dans le présent.

42. J'évite de transférer la responsabilité de mes affaires à d'autres.

43. Je m'efforce d'éviter les inquiétudes et l'anxiété improductives.

44. Je me considère comme le maître de mon destin.

45. Je m’efforce de surmonter mes contraintes.

46. Je me caractérise par la liberté intérieure.

47. Je mène à terme les choses que j’ai commencées.

48. Ce que je souhaite faire coïncide avec ce que je devrais faire.

49. Le chemin le plus court J'atteins mon objectif.

50. Je m'efforce de grimper jusqu'à mon plus haut sommet.

51. Je rêve d'un miracle qui changera ma vie pour le mieux.

52. J’accomplis des actions par sens du devoir.

53. Je suis en retard parce que Je prends des décisions sur quoi faire et quoi choisir.

54. J'évite l'inconnu, l'inconnu, le nouveau.

55. Je donne des conseils aux autres avec beaucoup de soin et après mûre réflexion.

56. Je m’efforce de bien penser à moi-même et aux autres.

57. Je m'efforce de mettre en valeur et d'utiliser les aspects positifs de tout ce qui m'arrive et autour de moi.

Questionnaire Une feuille d'échelle de notation

La feuille d'échelle de notation contient des instructions pour remplir la feuille de réponses et un tableau des valeurs de réponse. Amenons-le.

Feuille d'échelle de notation

Des questions et des déclarations sont présentées à votre attention. Veuillez y répondre en choisissant parmi les sept réponses la plus correcte par rapport à vous. Veuillez travailler de manière dynamique et ne pas trop réfléchir aux réponses. Veuillez inscrire vos réponses sur la feuille de réponses en plaçant une des sept valeurs à côté du numéro de chaque question. Si vous ne pouvez pas saisir immédiatement la réponse, encerclez le numéro de la question et revenez-y après avoir complété vos réponses au questionnaire. Veuillez noter que seuls ceux qui répondent à toutes les questions recevront le plus informations complètesà propos de moi-même.

Votre note // Valeur de la note en points

Presque toujours, OUI, vrai // 6

Souvent plutôt OUI, plutôt vrai // 5

Incertain // 4

Rarement, plutôt NON, pas vrai // 3

Presque jamais, NON, ce n'est pas vrai // 2

FORMULAIRE DE RÉPONSE N°1 QUESTIONNAIRE A

Après avoir lu la question ou l'énoncé dans le texte du questionnaire A, indiquez pour chaque question une des valeurs sur la feuille d'échelle de notation.

Question n° : Valeur d'évaluation : N° de question : Valeur d'évaluation

FORMULAIRE DE RÉPONSE N°2 QUESTIONNAIRE A

Après avoir lu la question ou l'énoncé dans le texte du questionnaire A, notez trois réponses pour chaque question : j'étais, maintenant je suis, dans le futur je veux devenir.

Numéro de question :: Était, est, je veux devenir (valeur de score, 3 réponses) :: Numéro de question :: Était, est, je veux devenir (valeur de score, 3 réponses)

1. ___ ___ ___ 29. ___ ___ ___

2. ___ ___ ___ 30. ___ ___ ___

3. ___ ___ ___ 31. ___ ___ ___

4. ___ ___ ___ 32. ___ ___ ___

5. ___ ___ ___ 33. ___ ___ ___

6. ___ ___ ___ 34. ___ ___ ___

7. ___ ___ ___ 35. ___ ___ ___

8. ___ ___ ___ 36. ___ ___ ___

9. ___ ___ ___ 37. ___ ___ ___

10. ___ ___ ___ 38. ___ ___ ___

11. ___ ___ ___ 39. ___ ___ ___

12. ___ ___ ___ 40. ___ ___ ___

13. ___ ___ ___ 41. ___ ___ ___

14. ___ ___ ___ 42. ___ ___ ___

15. ___ ___ ___ 43. ___ ___ ___

16. ___ ___ ___ 44. ___ ___ ___

17. ___ ___ ___ 45. ___ ___ ___

18. ___ ___ ___ 46. ___ ___ ___

19. ___ ___ ___ 47. ___ ___ ___

20. ___ ___ ___ 48. ___ ___ ___

21. ___ ___ ___ 49. ___ ___ ___

22. ___ ___ ___ 50. ___ ___ ___

23. ___ ___ ___ 51. ___ ___ ___

24. ___ ___ ___ 52. ___ ___ ___

25. ___ ___ ___ 53. ___ ___ ___

26. ___ ___ ___ 54. ___ ___ ___

27. ___ ___ ___ 55. ___ ___ ___

28. ___ ___ ___ 56. ___ ___ ___

La clé du questionnaire est donnée en annexe à la fin de l'ouvrage.

Comme déjà signalé plus haut, le groupe des gens moyens, notamment ceux des 1er et 3e degrés, est difficile à différencier, d'une part, des réussis du 3e degré et, d'autre part, des perdants du 1er degré. Pour une telle différenciation, le questionnaire B a été introduit. Ce dernier se compose de 10 questions avec des réponses alternatives. La réponse « Oui » correspond au choix du paysan moyen.

Voici le texte du questionnaire B. Comme déjà dit, il est destiné à différencier les moyens des perdants du 1er degré et des réussis du 3ème degré. Et il est utilisé lorsqu'il est nécessaire de procéder à une telle différenciation. Pour chacune des dix questions ou affirmations, il est important de choisir vous-même une des réponses proposées : « OUI » ou « Non » et de l'encercler.

Questionnaire b

1. Je préfère une vie calme et mesurée, sans stress ni inquiétude. Pas vraiment

2. J'évite les risques, car en prenant des risques, on peut tout perdre. Pas vraiment

3. Une personne avec un « juste milieu » dans les affaires, le succès et la vie - cela concerne moi. Pas vraiment

4. Tout dans ma vie n'est au moins pas pire que celle des autres. Pas vraiment

5. Dans la vie, je refuse d'atteindre des sommets, mais je ne tombe pas non plus dans l'abîme. Pas vraiment

6. Je parviens toujours à joindre les deux bouts. Pas vraiment

7. Je crois que je suis le même que beaucoup d’autres autour de moi. Pas vraiment

8. En fin de compte, tout ce qui arrive est pour le mieux. Pas vraiment

9. Je ne suis ni pire ni meilleur que les autres. Pas vraiment

10. Je vérifie plusieurs fois les conséquences possibles et ensuite seulement je commets une action. Pas vraiment

Pour changer une attitude émotionnelle figée, on la décode. Cela s'accomplit en comprenant ce qui constitue un échec ou niveau bas chance dans une qualité importante spécifique. Pour ce faire, le questionnaire A révèle les réponses sélectionnées. Et avec ces caractéristiques où valeurs numériques en dessous du niveau requis, un travail thérapeutique spécial est effectué. Il reste encore beaucoup à faire dans ce travail passionnant et passionnant.

Il est important de souligner encore une fois que ces questionnaires sont thérapeutiques et ne sont tout simplement pas destinés à travail de diagnostic! Essentiellement, ils représentent un matériau de stimulation pour la psychothérapie ou l’auto-analyse.

Il faut dire que les patients qui présentent un faible niveau de chance ne cherchent pas toujours à passer de la catégorie des grenouilles à celle des princes. Beaucoup d’entre eux souhaitent rester des grenouilles, pour ensuite vivre dans un marais plus confortable.

Plus les problèmes et les maladies d’une personne sont prononcés, plus son besoin de renforcer sa position existentielle existante est fort.

Certaines personnes ont des situations de vie mixtes. Ces personnes, même dans leur enfance, peuvent décider d'être des succès du 1er degré (princes) dans le travail, du 2e degré médiocre (mesures extrêmes) en termes de bien-être matériel et des perdants du 3e degré (grenouilles) dans leur vie personnelle. Nous avons posé un diagnostic thérapeutique exprimant d'importantes décisions de vie beaucoup de monde. Un nombre important de ces personnes pouvaient être rencontrées à l’époque soviétique dans les instituts de recherche et les campus universitaires.

Cependant, avec des positions de vie mixtes, de nombreuses autres séries de décisions existentielles sont possibles. Ils sont souvent identifiés au cours du processus psychothérapeutique. Et il faut dire que changer de telles positions de vie est souvent plus facile que des positions monolithiques. Il est vrai que les changements eux-mêmes ne seront peut-être pas très durables.

En conclusion de la section sur les positions existentielles fixes, nous présentons deux expressions du fondateur de l'analyse transactionnelle, E. Berne.

Les gens chanceux ne sont capables de causer des ennuis aux autres qu'indirectement, en blessant les spectateurs lors des batailles qui les opposent. Cependant, cela touche parfois des millions de personnes. Les perdants apportent les plus grands problèmes à eux-mêmes et aux autres. Même après avoir atteint le sommet, ils restent des perdants, et lorsque les représailles arrivent, ils entraînent d'autres personnes dans cette situation. Un perdant tombant du sommet entraîne avec lui tous ceux qu’il peut atteindre. Il est donc parfois important de veiller à maintenir une distance suffisante avec les perdants. Et encore une citation.

L'heureux élu est celui qui devient capitaine de l'équipe, obtient un rendez-vous avec la reine de mai et gagne au poker. Le paysan moyen fait également partie de l'équipe. Ce n'est que pendant les matchs qu'il ne court pas près du ballon, prend rendez-vous avec les figurants et, au poker, il reste « avec les siens », c'est-à-dire sans gagner ni perdre. Le perdant ne fait pas partie de l'équipe, n'a pas de rendez-vous et perd au poker.

Chaque personne peut augmenter considérablement son niveau de chance. Vous pouvez commencer cela sans tarder, dès maintenant. Les connaissances dans le domaine des interactions émotionnelles - caresses et coups de pied - sont ici importantes.

Caresser

Caresses, coups de pied, interaction sans sentiments

Une analyse des attitudes émotionnelles fixes des peuples soviétiques et post-soviétiques montre que l'une des causes les plus courantes d'échec et de problèmes de santé est une faible estime de soi et un faible niveau d'estime de soi. Plus précisément - injustifié faible estime de soi et un niveau d’estime de soi déraisonnablement bas.

Les recherches dans ce domaine montrent que la plupart des gens n'ont pas développé de réserves internes bonne attitudeà vous-même. Et celui qui ne s'aime pas, il est peu probable qu'il puisse aimer les autres.

Le respect de soi et l’amour de soi se forment en accumulant des faits de reconnaissance de ses mérites, de ses résultats et de ses mérites.

Dans le langage de l’analyse transactionnelle, l’unité de reconnaissance ou simplement de reconnaissance s’appelle un trait. Plus précisément, lorsque cette unité évoque des émotions positives. Quand cela provoque des émotions négatives, nous appelons cela un coup de pied. Lorsqu’il n’y a aucune reconnaissance ou émotion dans une interaction, nous appelons cela une interaction sans sentiments, ou indifférente. Chaque interaction humaine contient des caresses, des coups de pied ou de l'indifférence (interactions sans sentiments).

Lors de la communication, nous envoyons un signal à notre partenaire « Je suis là ! Réponds-moi! Ce stimulus nécessite une réponse. La réaction de notre partenaire peut nous donner un sentiment positif ou sentiments négatifs, émotions. Nous les interprétons comme un coup ou un coup de pied. Si notre partenaire ne nous a répondu d'aucune façon, ne l'a pas remarqué, n'a pas souligné, nous éprouvons de la confusion, de l'embarras, de la confusion. Nous évaluons son comportement comme une indifférence à notre égard.

Nous pouvons affirmer avec certitude que notre vie se déroule par coups de pied et de coups. Ce sont eux qui nous donnent l’énergie nécessaire pour réussir. Ils constituent notre banque de coups et de coups de pied. Et cette banque détermine en grande partie notre estime de soi et notre respect de soi. De plus, notre potentiel intérieur. Et par conséquent, la capacité de réclamer et d’agir dépend en grande partie de la qualité et de la quantité des fonds que nous avons investis dans cette banque. Et l'interaction la plus désagréable et la moins tolérée pour nous est l'interaction sans sentiments, sans indifférence. Lorsqu’il n’y a pas un afflux suffisant de sentiments, la personnalité d’une personne cesse tout simplement de se développer.

Certaines personnes tirent plus d’énergie des caresses, d’autres des coups de pied. Et pourtant on peut conclure que la valeur des traits est plus élevée. Après tout, nous pouvons nous tourner vers les caresses plusieurs fois, prendre son énergie et renforcer les caresses elles-mêmes et leur remplissage énergétique. Alors que lorsque nous nous tournons vers un coup de pied et captons son énergie, nous tombons plus souvent au sol que nous nous envolons. Grâce à nos activités réussies, nous nous débarrassons énergie négative coups de pied, dépenses montant important force et énergie des caresses. Se libérer de l'énergie négative et des émotions oppressantes des coups de pied, et ne pas les accumuler en soi, est une compétence et un art particuliers qu'il est important de maîtriser. Parce que cela permet de se débarrasser émotions négatives. Dans le même temps, en analysant la vie de personnes particulièrement prospères, nous avons découvert que certains coups de pied leur donnaient non seulement une accélération dans la vie, mais transféraient même leur succès vers un nouveau, plus haut niveau. Nous avons désigné ce coup de pied comme le Golden Kick. La capacité de transformer un coup de pied ordinaire en coup de pied doré est possédée par ceux du 2e et du 1er degrés. La foi en votre bien-être et celui des autres, dans le monde, plein de possibilités, donne une impulsion à l'Enfant Libre intérieur pour qu'il utilise le coup de pied de manière créative. La source d'énergie réside précisément dans l'Enfant naturel et spontané, dans ses possibilités illimitées de créativité, dans sa croyance en la bonté (au bien-être du monde) et en sa propre toute-puissance (je peux tout faire, tout est permis). moi). L’enfant adaptatif est plus susceptible d’obéir au coup de pied et « prouvera » sa légitimité.

Indifférence - manque de réponse à une offre de communication - ignorer les sentiments, les désirs, les peurs et l'existence même d'un partenaire. Peut-être que l’indifférence fait plus mal qu’un coup de pied. Le manque de stimuli conduit à la mort, à l’extinction et à la perte d’énergie vitale. Les femmes, les enfants et les personnes âgées sont les plus sensibles à l'indifférence. Beaucoup de gens diront : « Je veux être aimé. Je suis prêt à accepter des attitudes négatives à mon égard. Mais l’indifférence des autres m’est insupportable.

Ainsi, les caresses nous sont bien plus utiles et plus importantes que les coups de pied et l'indifférence. Et il est important de s'engager spécifiquement dans les caresses, car la vie même dans notre pays nous offre grand nombre coups de pied et indifférence.

Pour recevoir des coups, une personne utilise ses cinq sens. Par conséquent, les caresses, comme les coups de pied, peuvent être auditifs, visuels, kinesthésiques, aromatiques ou gustatifs. Habituellement, nous utilisons le canal auditif, nous parlons et entendons des conversations, oubliant les autres possibilités de recevoir des informations et d'en profiter.

Les caresses, comme les coups de pied, peuvent être verbaux et non verbaux. Nous transmettons des traits verbaux à travers la parole, non verbaux à travers les expressions faciales, les gestes et le corps. Lors de la communication, les coups verbaux et non verbaux peuvent coïncider ou non.

Arrêtons-nous sur les caractéristiques des caresses verbales et des coups de pied. Ils peuvent être conditionnels lorsqu’ils se rapportent à ce que fait une personne. Ils vous disent : « Vous faites du bon travail. » De tels caresses mettent l'accent sur le résultat d'une personne.

Les accidents vasculaires cérébraux peuvent être inconditionnels. Ceci est plus important pour la personne car ces coups s’adressent à qui elle est. On vous dit : « Vous êtes un spécialiste de premier ordre. »

Il y a de faux, de faux coups. Extérieurement, ils semblent positifs, mais en réalité, ils se révèlent être des coups de pied. Voici un exemple : « Vous comprenez bien sûr ce que je vous dis, même si vous donnez l’impression d’une personne bornée. » Ce sont des coups de pied adoucis par de faux coups.

Cinq règles de caresses

Chaque personne, quel que soit son sexe et son âge, a besoin de caresses. Les caresses sont nécessaires pour qu'une personne maintienne et développe sa santé. Une personne tire également souvent de l'énergie pour l'activité et l'activité des caresses. Les enfants et les personnes âgées ont particulièrement besoin de caresses. Le besoin de caresses le plus urgent se situe dans l’enfance et l’adolescence. C'est la première règle.

Comment homme plus âgé, moins il reçoit de coups physiques et plus il est à l'écoute des coups psychologiques. Nous embrassons volontiers les enfants quand ils sont petits. Nous les tenons près de nous, les embrassons, les pinçons, les tapotons, soufflons sur leur nombril et leurs fesses, les mordons, les chatouillons, les frottons. Mais on ne sait jamais quels autres coups peuvent être réalisés. Et tous sont perçus avec joie par l’enfant, comme des signes de reconnaissance. L'enfant grandit. Il s'éloigne de plus en plus de nous. Nous le touchons de moins en moins et nos caresses sont de plus en plus de nature psychologique. Et il ne viendrait même pas à l'idée de quiconque de faire les coups mentionnés ci-dessus, adressés à de jeunes enfants, à des adultes ou à des personnes âgées. Mais nos caresses psychologiques peuvent devenir de plus en plus différenciées et sophistiquées. C'est la deuxième règle.

La troisième règle est que les caresses renforcent le comportement qui conduit aux caresses. Une personne qui reçoit des coups inconsciemment, et même consciemment, s'efforce de les recevoir à nouveau. Nous recevons des coups des gens qui nous entourent, de nous-mêmes, dans des conditions de vie confortables. Et certaines personnes aspirent tellement aux caresses, en dépendent tellement, qu'elles semblent être dans un réseau de caresses et sont guidées par elles tout au long de leur vie.

Une personne est capable d'accumuler des coups en elle-même. Cette capacité est différente pour chacun et peut être développée grâce à une formation psychologique. La collection d'AVC de chaque personne est appelée sa banque d'AVC. D’une part, cette banque est vaste et remplie de traits inconditionnels. Une telle personne est plus dépendante d'elle-même, de sa propre opinion et possède un haut degré d'autonomie. D’autre part, cette banque est petite ou dysfonctionnelle. Une telle personne dépend des coups venant de l’extérieur et est attirée par un réseau de coups. C'est la quatrième règle.

La cinquième règle stipule que les caresses et les coups de pied sont inversement liés. Plus une personne reçoit de coups positifs, moins elle donne de coups de pied. Plus une personne reçoit de coups de pied, moins elle donne de coups.

Les Soviétiques et post-soviétiques sont réticents à donner des coups et ont souvent tout simplement peu de formation pour accepter les coups des autres. Lorsque vous demandez à une telle personne de regarder attentivement une autre personne et de lui donner des coups sincèrement, du fond du cœur, cela est parfois possible. Et c'est beaucoup plus difficile lorsque vous demandez à redresser vos épaules, à voir, entendre et sentir la personne qui vous donne un coup. Et ainsi ressentez la caresse elle-même, en l'acceptant pleinement, pour que la chair de poule vous coule dans le dos à cause de la conscience d'expériences agréables, et pour que cette caresse reste avec vous longtemps, pendant de nombreuses années.

Claude Steiner souligne que recevoir un AVC est un processus biologique, semblable à la consommation de nourriture, et que cela prend du temps. Tout comme le sol séché nécessite d'être arrosé et devient lentement saturé d'eau, gonfle et change de consistance, de même une personne doit être remplie de coups. Chaque personne a sa propre période de saturation. Dans tous les cas, une fois qu’un coup est donné, cela peut prendre cinq à quinze secondes (ou plus) avant qu’il soit accepté. Selon les observations de K. Steiner, le signe le plus important indiquant que les caresses sont pleinement acceptées est lorsqu'une personne le perçoit, sourit largement et avec satisfaction et ne dit rien en réponse.

Une réponse rapide ou un « merci » hâtif sont des signes que la caresse n’a pas été pleinement acceptée. L'homme n'a ni accepté les caresses ni refusé. (Stainer Claude, 1974, 327-328).

Ignorer et dévaloriser les accidents vasculaires cérébraux indique une non-acceptation des accidents vasculaires cérébraux. Par exemple, « Tu es si belle ! » Répondez en ignorant les caresses : « Quelle heure est-il ? La réponse avec une dévalorisation des caresses : « L’éclairage est mauvais ici. »

Apprendre la capacité de recevoir des coups est beaucoup plus difficile que d’apprendre la capacité de les donner.

Les accidents vasculaires cérébraux sont si importants dans nos vies que, sur la base d'idées à leur sujet, toutes les personnes, à la suite d'E. Berne, peuvent être divisées en réelles et souples. Les vraies personnes disposent d’une banque de coups suffisante et prennent souvent leurs propres décisions. Les personnes souples dépendent des coups et des coups de pied des autres et tombent souvent sous l'influence des « gâteaux du destin », se retrouvent infructueuses, perdantes.

Nous voulons illustrer comment cela se produit avec un conte de fées de Claude Steiner dans le style russe, que nous racontons lors de nos formations pour enfants et adultes.

Interdictions de caresser

L'histoire des coups chaleureux

Dans un royaume lointain, dans le trentième État, vivaient deux personnes heureuses - Ivan et Marya avec leurs enfants Nastenka et Mishutka. Pour comprendre à quel point ils étaient heureux à cette époque, écoutez l’histoire.

Vous aussi, vous connaissez ces jours heureux, car chacun d'entre vous a reçu à la naissance un Sac de Bonheur doux et chaud.

À tout moment, un enfant de ce Royaume pouvait se tourner vers la Pochette et recevoir chaleur et affection, et rester au chaud et aimé pendant longtemps.

En ces temps lointains, il était facile et accessible à tous d’être heureux. Si vous vous sentiez simplement triste, vous pouviez ouvrir le sac, y mettre votre main et des boules chaudes et moelleuses en sortiraient - Caressant. Dès que les Strokes ont vu la lumière, ils ont souri et vous aviez envie de sourire en retour. Ils étaient assis sur la tête, les épaules, les bras. Et la chaleur s'est répandue à travers la peau, et c'est devenu plus calme. Et comme tout le monde avait toujours des AVC, il n’y avait ni difficultés ni tristesse. Tous les gens étaient en bonne santé, gentils et accueillants. Ils ont été réchauffés avec soin et attention. Ils étaient heureux.

Un jour, Baba Yaga, qui fabriquait des baumes et des potions à base de sangsues et de venin de serpent pour les malades, se mit très en colère. Personne n’a acheté ses médicaments parce que les gens ne tombaient plus malades. Baba Yaga était très intelligent et a élaboré un plan insidieux.

Un jour, par une belle journée ensoleillée, Marya jouait avec Nastenka et Mishutka. Et Baba Yaga s'est transformé en mouche et a bourdonné à Ivan : « Regarde, Ivan ! Regardez et écoutez ! Marya donne maintenant des coups à Nastenka et Mishutka. Et ils restent avec les enfants et ne retournent pas à la Pochette. C’est ainsi que peuvent se terminer tous les AVC. Et quand quelqu’un en a vraiment besoin, par exemple toi, Marya, tu n’en auras plus.

Ivan fut surpris : « Alors, chaque fois que nous prenons du Stroking Bag, leur nombre diminue ?

Et Baba Yaga répondit : « Oui, ils ne reviennent pas ! Et une fois qu’ils seront épuisés, vous ne pourrez plus les avoir ! Baba Yaga était très content. Elle s'assit sur son balai et s'envola en riant.

Ivan a pris cela à cœur. Maintenant, il commençait à suivre Marya et était toujours ennuyé lorsque Mary donnait d'innombrables coups aux enfants et à d'autres personnes. Ivan a commencé à se plaindre Mauvaise humeur, quand j'ai vu Marya distribuer des Strokes. Maria aimait son mari, elle arrêtait de donner des coups aux autres et les lui réservait.

Les enfants sont également devenus très prudents. Ils ont décidé que les Strokes ne pouvaient pas être administrés à tout moment, en n'importe quelle quantité, ou simplement comme ça. Ils ont commencé à se regarder. Et si les parents distinguaient quelqu'un et lui donnaient plus de coups, ils ressentaient de la jalousie et de l'envie, se plaignaient et piquaient parfois une crise de colère. Et même lorsqu'ils ont eux-mêmes pris Strokes from the Bag pour eux-mêmes, ils ont ressenti un sentiment de culpabilité.

A chaque fois, ils devenaient de plus en plus avares avec Strokes.

Avant l'intervention de Baba Yaga, les gens aimaient se réunir, en groupes ou en compagnies de trois ou quatre personnes. Ils ne se souciaient pas de savoir qui recevait le plus de coups. Il y avait toujours beaucoup de coups et assez pour tout le monde. Après l'arrivée de Baba Yaga, les gens ont commencé à limiter leur communication. Et si les gens oubliaient et donnaient à nouveau des coups, ou si quelqu'un recevait davantage de coups, alors tout le monde s'inquiétait. Et à ces moments-là, chacun avait le sentiment d'avoir profité de ses Coups dont le nombre avait diminué. Et c'est immérité. L'envie et la jalousie sont de nouveaux sentiments apparus chez les gens.

Les gens ont commencé à se donner de moins en moins de coups à eux-mêmes et aux autres. Ils ont commencé à tomber malades et épuisés, ils sont même morts faute d'AVC. Tous plus de gens J'ai commencé à aller chez Baba Yaga pour des potions et des baumes afin de pouvoir travailler davantage et ne pas souffrir.

La situation empirait de plus en plus. Baba Yaga elle-même n'aimait plus tout cela. Les gens mouraient. Et les morts n'ont pas besoin de médicaments, de potions et de baumes. Et elle a proposé un nouveau plan.

Tout le monde a reçu un sac de coups de pied gratuit. Les coups de pied ne fournissaient pas autant de chaleur que les coups, mais c'était mieux que rien. Les coups de pied étaient froids, ils répandaient le givre, mais les gens ne mouraient pas à cause des coups de pied.

Désormais, les gens craignaient moins que les AVC ne suffisent pas. "Je peux te donner un bon coup de pied, ça te plairait ?" - pourrait-on dire en réponse à une demande de Caresser. Et les gens ont choisi.

Ils ont commencé à mourir moins. Même si beaucoup d’entre eux ont eu froid. Ils avaient de moins en moins besoin de Strokes.

Si auparavant les Strokes étaient partout comme l’air, et que tout le monde les respirait et les appréciait sans restrictions, ils sont désormais devenus rares.

Certains ont eu de la chance : ils avaient des épouses, des maris, des parents ou des amis chaleureux et aimants et ne souffraient pas d’un déficit en AVC. La plupart ont dû gagner de l’argent et travailler dur pour acheter des Strokes.

Certaines personnes sont devenues populaires et ont subi des AVC sans avoir à les rendre. Ils vendaient Strokes à des gens impopulaires mais qui voulaient se sentir heureux.

Parmi les gens, il y avait aussi ceux qui fabriquaient de faux coups de pied, qui étaient partout et gratuitement. Ensuite, ils ont vendu ces Strokes artificiels, faux et en plastique. Et si deux personnes, répondant aux attentes d'avoir de vrais AVC, échangeaient des AVC en plastique, elles éprouvaient douleur et déception.

Ou encore, les gens se réunissaient et échangeaient des coups de plastique, puis se dispersaient, se sentant froids et gênés par les coups de pied. Et cela a ajouté des problèmes.

Un jour Vasilisa la Sage arriva dans ce malheureux pays. Elle ne connaissait rien aux interdictions et distribuait des Strokes à tout le monde sans restrictions. Les enfants l’aimaient beaucoup parce qu’ils se sentaient bien avec elle. Elle ne choisissait personne, mais aimait tout le monde et était généreuse avec tout le monde. Peu à peu, les enfants ont commencé à l'imiter et ont de nouveau utilisé leurs sacs avec des coups, en y insérant un stylo, et la boule moelleuse et affectueuse des coups s'est redressée et a souri à l'enfant.

Les parents étaient très excités. Ils ont adopté une loi interdisant la distribution de Strokes sans licence. Cependant, les enfants n'ont pas respecté la loi. Ils continuèrent à échanger des coups. Ils ont grandi en bonne santé et heureux, et leur chemin était différent de celui de leurs parents.

Nous vivons entourés de milliards d’accidents vasculaires cérébraux. C'est tellement accessible : couleur, odeur, goût, son ; nature, amour, intimité, amitié, livres, musique, cinéma, amis, sports, sexe, travail, créativité, art. Ils sont constamment présents, à proximité. Cependant, nous sommes souvent comme des aveugles-sourds-muets qui sont en même temps paralysés. On ne sent pas, on n’entend pas, on ne voit pas, on ne bouge pas, on ne veut pas, on ne désire pas. Et il y a des justifications à tout. Plus l’intelligence est élevée, plus les justifications de notre emprisonnement sont sophistiquées. L’un d’eux est l’éducation. Voici ses principaux postulats : le nombre d'AVC est limité. Un coup doit être mérité. Plus la personne qui donne l’AVC est importante, plus celui-ci a de la valeur. Il existe cinq interdictions de caresser : ne pas donner ; n'acceptez pas; ne demandez pas; ne refusez pas s’ils vous le donnent mais que vous n’en voulez pas ; Ne vous donnez pas de coups.

En groupe, nous demandons généralement aux participants de justifier leurs interdictions de caresser. Le tableau 1 fournit une liste des interdictions de caresses et leurs explications. (Sidorenko E. Thérapie et formation selon Alfred Adler. - Saint-Pétersbourg : Rech, 2000).

Interdictions de caresser

Tableau 1

Raisons de la nécessité d'une interdiction

Ne me donne pas de coups

1. Parce que les gens ne croiront toujours pas en votre sincérité.

2. Les gens penseront que vous les flattez pour atteindre vos objectifs.

3. Parce qu’il est impudique de dire de belles choses aux autres.

4. Parce qu’en félicitant les autres, vous ne les stimulez pas à se développer.

5. Parce que vous êtes rarement félicité – pourquoi faire quelque chose de gentil pour les autres ?

6. Oui. Et qui se soucie de vos louanges ? Après tout, tu n'es rien.

Ne prends pas de caresses

7. Pour éviter d’emprunter de l’argent.

8. Parce qu’ils ne vous le diront pas sincèrement de toute façon.

9. Ne laissez pas les gens penser que vous avez besoin de leur soutien.

10. Parce qu’il est impudique d’écouter les louanges des autres, et encore plus d’en tirer du plaisir.

11. Parce que les éloges ne vous stimuleront pas à vous développer, vous avez besoin de critiques.

12. Et pourquoi devrions-nous vous féliciter ? Après tout, tu n'es rien.

Ne demande pas de coups

13. Parce que c'est impudique et inacceptable pour un adulte qui se respecte.

14. Parce que les gens peuvent penser que vous ne pouvez pas vous passer du soutien des autres.

15. Parce que votre développement nécessite des critiques, pas des caresses.

16. Parce qu'après cela, vous aurez une dette envers ceux qui vous ont donné le coup.

17. Parce qu'ils peuvent vous refuser - et ils feront ce qu'il faut. Après tout, tu n'es rien.

Ne refusez pas les coups, même si vous ne les aimez pas

18. Parce qu'une fois qu'ils le donnent, prenez-le, tout sera utile à notre époque d'économie.

19. Parce qu'il est impudique de refuser les éloges de quelqu'un d'autre.

20. Parce que la prochaine fois, ils ne vous donneront peut-être rien du tout si vous refusez maintenant.

21. Parce que ce qui a été donné était ce qu'il méritait. Que pouvez-vous prétendre d’autre ? Après tout, tu n'es rien.

Ne vous donnez pas de coups.

22. Parce que c'est extrêmement impudique et indigne d'un adulte.

23. Parce que pour évoluer, il faut critiquer, pas se vanter.

24. Parce que c'est une sorte de masturbation psychologique - et vous ne voulez pas dire que vous en êtes arrivé là ?

25. Et pourquoi devriez-vous vous féliciter ? Après tout, vous... Eh bien, vous savez vous-même qui.

La hiérarchie d'interdictions suivante est typique pour une personne de la période post-soviétique : ne pas demander (35 %) ; ne donnez pas (23%) ; n'acceptez pas (15%) ; ne vous caressez pas (14 %) ; ne refusez pas, même si cela ne vous plaît pas (12%). « Ne demandez pas » est l’interdiction la plus stricte. Si vous demandez, cela signifie que vous êtes faible et dépendant ! Ne faites pas confiance à vous-même et aux autres ! - le slogan de ces personnes. Ils sont généralement méfiants, ont du mal à prendre des décisions, sont facilement épuisés émotionnellement et physiquement et sont constamment irrités.

Dans nos entraînements, nous proposons des exercices spéciaux lorsque tout le groupe se demande et se donne des coups. La première étape est l’échange de choses, médiatisé par les objets par les caresses. C'est là que le jeu est amusant. Ensuite, l'échange d'argent, comme des échanges médiatisés par des valeurs matérielles, qui ont leur propre valeur - ici la vitesse de l'échange diminue considérablement. Lorsqu'il est proposé de donner et de recevoir lentement et avec une absorption complète des coups verbaux inconditionnels auxquels s'ajoutent des coups non verbaux, à condition que les deux soient congruents, le groupe éprouve de grandes difficultés.

Banque d'AVC

L’un des efforts thérapeutiques les plus importants en analyse consiste à créer une banque suffisante d’accidents vasculaires cérébraux.

Plus une personne se fixe des objectifs élevés, plus elle rencontre de résistance de la part des autres sur son chemin de vie, plus la banque de coups dont elle a besoin pour atteindre ses objectifs est grande.

Une personne avec une petite banque de traits n’est pas capable d’être une personne indépendante et créative. Ces personnes ne peuvent être que des artistes dont l'activité et l'efficacité sont constamment dirigées et renforcées par des coups de pied et des coups.

Un nombre suffisant de coups dans l'enfance contribue à la formation d'un scénario gagnant. L’éducation soviétique, qui condamnait avec colère « l’arrogance », n’y aidait en rien. Cette dernière s'est manifestée dans chaque prétention au succès, à des résultats à un niveau supérieur à la moyenne.

Donnons un exemple de démonstration d'une banque de traits de Baba Yaga tirée du conte de fées « Deux érables » d'E. Schwartz. Là, elle dit d'elle-même : « Moi, Baba Yaga, je suis une fille intelligente, une hirondelle épaulard, une vieille dame farfelue ! Je n'ai pas d'âme pour moi, ma chère. Moi, ma chérie, je n'aime que moi-même. Je ne m'inquiète que pour moi, chérie. L'or est à moi ! La vieille dame est une sauteuse, la mouche est une joyeuse. Tout le monde a besoin de moi, le méchant ! Je suis chérie. Crapaud vert. Vipère. Je suis un renard. Oiseau. Je suis intelligent. La pauvre. Je suis un serpent. Je suis le petit Yaga, ma chérie. Le seul méchant. Je suis belle. "Robin oiseau."

C'est ainsi que se présente Baba Yaga, l'un des personnages les plus disgracieux et antipathiques des contes de fées. Il ne fait aucun doute qu’avec une telle banque de coups, elle est capable de nombreuses réalisations et de persévérance face à de nombreux échecs.

Rappelons-nous maintenant comment nous remplissions le formulaire de candidature officiel à l’époque soviétique. Ils ont souligné, barré et écrit : « Je n’étais pas là, je n’ai pas participé, je n’étais pas membre. » Et après avoir terminé le remplissage, ils découvrirent qu’ils n’étaient pas du tout une personne. Et c'était précisément une telle personne qui était la plus demandée dans le pays de notre passé. Beaucoup de gens se donnent encore des coups de pied beaucoup plus facilement que des coups. Ainsi, une jeune et jolie femme de notre formation a tout simplement refusé l'exercice où elle devait accepter des coups. De plus, elle a déclaré : « Je ne peux pas me permettre d’accepter des accidents vasculaires cérébraux, mais je suis prête à me donner le maximum en ce moment. » Et ce n'est qu'à la fin de l'entraînement d'une semaine qu'elle s'est autorisée à recevoir des coups. Et ça a changé sa vie !

Lorsqu’on travaille dans un groupe de formation ou de thérapie, nous demandons à chacun de parler de sa banque de coups. Nous effectuons des exercices spéciaux en binôme, au cours desquels nous développons, entraînons et consolidons la capacité de chaque membre du groupe à donner et, surtout, à recevoir des coups. En formation ou dans d’autres contextes, les participants du groupe enregistrent et verbalisent leurs banques de coups. Ensuite, chacun saisit un classement qui lui convient et réécrit sa banque de traits selon les rubriques. Il est important de revenir souvent sur ces notes, de s’en souvenir et d’y ajouter des éléments.

Nos étudiants, futurs psychothérapeutes et psychologues (psychologues), passant un test dans cette section du cursus, ont dû faire face à l'ensemble du flux, pendant 15 minutes d'une voix égale, à un rythme moyen, présenter leur banque de coups. Vous pouvez être sûr que ceux qui réussissent ce test disposent d'une banque d'AVC suffisante pour s'adapter à la société moderne.

1. Je suis une créature joyeuse et espiègle, un enfant bien-aimé de l'Univers. Je suis venu dans ce monde pour m'amuser et apprendre, créer, aimer et être heureux. Je suis l'un des millions et en même temps unique.

2. Je vis. Le soleil et la chaleur humaine me réchauffent. Je suis soutenu par la Terre et emporté par le ciel. J'existe dans le temps et l'espace du monde et je porte en moi mon propre espace et mon temps.

3. La gravité terrestre affine la forme de mon corps, remplit force élastique muscles, donne du plaisir dans une variété de mouvements et de postures et vous permet de naviguer dans le monde.

4. J'accepte mon destin et ma mission, je choisis mon chemin et je crée mon avenir.

5. Je m'appelle Irina. Mon nom sonne et scintille comme une cloche de cristal, il contient le charme amer du muguet et un sourire lapin ensoleillé sur ligne fine morceaux de glace. Il contient la douce chaleur d’une prairie de fraises et la fraîcheur bouillonnante d’une rivière de montagne. Il contient deux lettres « et » - en signe d'unification et d'harmonie. Mon nom sonne comme une volonté indomptable et une joie de vivre.

6. Je ne fais qu'un avec la nature et je suis imprégné de sa beauté. Je ne cesserai jamais d’admirer et d’être surpris de voir comment la fraîcheur croquante de l’hiver cède la place aux délices enivrants du printemps, à la langueur chaleureuse de l’été et à la clarté acidulée de l’automne. Ma mémoire contient de nombreuses images d'endroits délicieux vers lesquels je peux être transporté dans mon imagination quand je le souhaite.

7. Je suis impressionné par la beauté et la détermination de l'homme et de ses créations - mots et pensées, poésie et prose, musique et peinture, architecture et travail productif. L'art le plus élevé pour moi, c'est l'art de l'amour et de la vie.

8. Je suis une femme charmante et intelligente.

9. Passionné et tendre, timide et fier, réfléchi et joyeux, puissant et soumis, sophistiqué et naïf, enthousiaste et critique, venteux et dévoué, sophistiqué et téméraire, fort et sans défense - différent, tissé d'extrêmes et de contradictions, et pourtant moins, c'est tout moi.

10. Tout mon être est rempli d'amour. Cela résonne avec une chaleur tremblante dans ma voix, scintille dans le coin de mes yeux, soulignant le sens le plus profond de chaque mot et geste, et remplit mes mouvements d'une grâce sensible. L'amour me montre le chemin, inspire mes rêves et mes désirs et couronne ma vie de la grâce de la réciprocité.

11. Je suis la chair de mes ancêtres, j'en garde un souvenir reconnaissant et valorise leur héritage. Les traits de leur caractère et de leur destin se manifestent dans mon destin, m'inspirant et me protégeant. Je suis une digne fille de mes parents, je les accepte pleinement, les aime tendrement et suis fière d'eux.

12. J'en ai un confortable monde natal: Je suis une épouse et une mère, l'âme et la gardienne de ma famille. Nous sommes trois : mon mari, mon fils et moi. Tout le monde a des intérêts souverains et en même temps nous sommes unis. Nous nous donnons de la joie, de la chaleur et des soins, ensemble nous surmontons les difficultés et construisons notre maison, qui s'avère gentille et lumineuse, il y a beaucoup d'espace pour nous tous et pour chacun de nous.

13. Je sais me faire des amis et valoriser l’amitié. De toute mon âme, je m'efforce d'établir des relations ouvertes et de confiance avec des personnes qui m'intéressent et qui comptent pour moi. La proximité avec eux est pour moi une source essentielle d’idées nouvelles, d’entraide et de retours d’expérience.

14. Je suis amical et paisible, mon nom signifie PAIX, et je suis né pour vivre en paix, en harmonie et changer avec le monde. Je crois que je peux changer beaucoup de choses pour le mieux. Je sélectionne soigneusement moi-même dans le grand monde tout ce que j'aime.

15. Je ne fais qu'un avec les gens et je suis en phase avec leurs sentiments les plus brillants, les plus gentils et les plus sublimes. Je me réjouis avec les autres, et surtout lorsque je vois une augmentation de joie et de bonheur dans la vie de ceux qui me sont proches par le sang et l'esprit, ou qui sont simplement à proximité ou se rencontrent en chemin. Je souhaite du bonheur aux gens et je crois que nous pouvons tous être heureux.

16. Je suis russe. J'aime ma patrie et ma petite patrie - le coin de Moscou dans lequel j'ai vu pour la première fois le ciel, prononcé mes premiers mots et fait mes premiers pas, tenant les mains de ma mère et de mon père - et toute la vaste Russie. Je suis un représentant de mon peuple, l'héritier et porteur de la culture russe. Ma vie est à la fois le résultat de l’histoire de mon pays et une contribution à celle-ci.

17. Je m'intéresse aux personnes de différentes nationalités, à leur culture et à leurs traditions.

18. Je suis extrêmement curieux, j'ai un esprit vif et une imagination développée. Capable d'apprendre et de créativité, et c'est mon plus grand plaisir. Je m'efforce de réaliser ce que la nature m'a donné. Ma tâche est de développer, de faire mûrir l'esprit et l'âme, d'atteindre l'efficacité et le professionnalisme dans le domaine que j'ai choisi. J'apprends la flexibilité, la sensibilité et la conscience, j'apprends à laisser les événements suivre leur cours, à écouter et à observer. Je veux me percevoir tel que je suis, me faire confiance et découvrir par moi-même le pouvoir créatif de mes sentiments et expériences inhérents. Je m'efforce de faire en sorte que mes émotions et mon estime de soi deviennent une source d'énergie et une incitation à des actes réels, ouvrant la voie à moi-même et, à travers mon âme, plus loin dans le monde, aux gens.

19. Je suis intéressé et préoccupé par la question de l'organisation spatio-temporelle du psychisme humain et des interactions humaines, j'y lis et j'y réfléchis beaucoup.

20. J'aime communiquer avec des personnes talentueuses et créatives, j'admire leurs compétences, j'aime apprendre de nouvelles choses sur elles et leur travail, apprendre d'elles, adopter les compétences et capacités dont j'ai besoin et les mettre en œuvre dans ma vie.

21. Je travaille de manière fructueuse et avec enthousiasme, j'apprécie grandement et maîtrise constamment les outils et appareils qui rendent le travail plus facile, plus rapide et de meilleure qualité. Cela s'applique aux activités de production et, en particulier, aux ménages. J’aime vraiment acheter et utiliser ces choses.

22. J'aime travailler en équipe et pour un groupe de personnes partageant les mêmes idées. J'accompagne activement le leader en tant que créateur, fédérateur et organisateur, porteur de l'idéologie et de la méthodologie de l'équipe.

23. Je veux découvrir en moi qualités de leadership pour donner vie à mes projets.

24. Je réussis dans des conditions de brainstorming, je défends mes idées et mes convictions de manière raisonnée et compétente, et je peux les modifier si je reçois la preuve que j'avais tort. Je reconnais le droit à l'erreur.

25. J'ai des compétences organisationnelles.

26. J'apprécie le « pouvoir de l'esprit, de l'âme et du talent » comme moyen d'optimiser les activités et je me soumets moi-même avec plaisir à un tel pouvoir.

27. Je suis une personne sincère et ouverte.

28. Je pense que la vérité est la meilleure politique.

29. Je suis une personne épris de liberté, capable de résister à la violence contre ma personnalité.

30. Je suis une personne fiable et responsable. Je suis capable de prendre des décisions et de les mettre en œuvre.

31. J'ai le sens de l'humour.

32. Mon fils et moi aimons jouer avec des Legos, faire de longues balades à vélo, descendre des collines et grimper aux arbres, nous lire des livres, écrire et raconter des contes de fées. Toute notre famille aime aussi voyager dans les vieilles villes russes et mieux les connaître.

33. Je gère la maison avec plaisir, j'équipe et décore ma maison, et j'y trouve toutes sortes de « zestes » originaux. Vivre dans ma maison est calme et confortable.

34. La chose la plus agréable au monde est la soie chinoise fraîche qui coule sur la peau, le cachemire doux et chaud et le daim doux. J'aime marcher avec des chaussures élégantes, porter des bijoux élégants et m'envelopper dans une fourrure légère et moelleuse. Et choisir moi-même les arômes de parfums et de fleurs qui me procurent du plaisir et correspondent à mon humeur.

35. Mon élément est le feu, je regarde et je n'en ai jamais assez. Cela me fascine et me réchauffe, m’initiant à la magie éternelle de l’existence. Je suis fier de savoir comment allumer et entretenir un feu et cuire des aliments sur un feu ouvert.

36. J'accomplis souvent des actes sacrés en cuisine, en inventant toutes sortes de friandises pour faire plaisir à moi et à ma famille. Et puis la maison se remplit de nouveaux arômes chaleureux et devient encore plus confortable. J'aime organiser des fêtes et recevoir des invités, acheter et lire des livres de cuisine.

37. Mon passe-temps est la broderie. Par une journée claire et ensoleillée, lorsque les nuances de couleurs les plus subtiles sont visibles, c'est si merveilleux de sélectionner lentement les fils nécessaires à un dessin de ma collection, puis de broder des images et de décorer la maison avec elles ou de les offrir à mes proches.

39. J'aime monter à cheval, jouer au badminton, et ce que j'aime le plus, c'est la lente descente de la pente en ski alpin, la joie revigorante de chaque muscle grâce à des mouvements précisément calibrés, le ravissement de la puissance sur la vitesse.

40. J'aime les animaux - les chevaux, les vaches, les chiens, mais surtout les chats, et surtout - mon ronronnement affectueux - le Siamois Barsik. Les animaux me font confiance, je sais comment en prendre soin.

41. Les plantes me comprennent. Ils répondent à mes soins, grandissent et fleurissent bien, décorant ma maison et mon lieu de travail.

42. J'aime vraiment les forêts, les champs et les rivières - tout ce qui constitue l'essence de la nature russe. Je m'intéresse aux noms de fleurs, d'herbes et d'arbres ; je les reconnais comme de vieux amis. J'aime les regarder attentivement, respirer les odeurs vivantes et observer leur vie.

43. Je m'inspire de la coutume d'offrir des fleurs. Des roses jaune vif joyeuses et épicées, des chrysanthèmes givrés en forme d'aiguilles, de merveilleux iris et orchidées sont l'incarnation du luxe, créé par la collaboration de la nature et de l'homme.

44. J'ai une idée du mien langue maternelle. J'aime deviner le sens profond et l'origine des mots simples ; je suis fasciné par la structure phonétique de la langue et la musique de la parole russe. J'éprouve un grand plaisir à lire lorsque l'auteur parle bien la langue et a un style qui lui est propre. Il y a plusieurs livres que j'aime relire, et à chaque fois ils s'ouvrent à moi d'une manière nouvelle.

45. Dans la fiction et la prose scientifique, les prières, les poèmes et les chansons, dans le discours de tous les jours, je recherche avec enthousiasme des mots qui expriment avec une précision particulière ce que je ressens et pense. Souvent, le mot juste proposé par l'interlocuteur devient pour moi un cadeau vraiment inestimable. J'aime exprimer mes pensées et mes sentiments sur papier. Il m'arrive d'écrire de la poésie, cela me fait plaisir ainsi qu'à ceux qui l'entendent.

46. J'aime lire des livres, regarder des films et chanter des chansons en anglais. Je m'y habitue petit à petit. Je m'intéresse aux particularités de la pensée et de la conscience reflétées dans les langues anglaise et française, notamment dans leur paradigme temporel, l'utilisation de verbes modaux et auxiliaires, de connecteurs et de prépositions, les nuances de sens de concepts similaires et les idiomes.

47. Je connais beaucoup de beaux poèmes anciens et modernes ; la poésie m'accompagne dans la vie, m'aide à ressentir et à comprendre des situations incertaines, à survivre à la douleur de la défaite et de la déception, à donner du sens aux moments d'attente et de tristesse.

48. J'aime la calligraphie ; j'apprécie la représentation artistique des lettres cyrilliques.

49. J'admire le talent des artistes et des compositeurs qui traduisent les images et les sons dans un langage compréhensible par tous et capturent pendant des siècles des images éphémères de leurs observations ou de leurs idées intérieures.

50. J'aime découvrir de nouveaux endroits, puis y revenir, trouver et me souvenir des détails qui touchent l'âme, tissant le tremblement momentané dans le pas mesuré de l'éternité. Un papillon qui vole sur l'épaule d'un monarque de granit ; une bouteille d'encre posée entre deux lions dans les escaliers d'un bureau pompeux ; une paire de colombes blanches éblouissantes gambadant dans le ciel au-dessus de Sofia, Kiev ; un jeune agent de police, à l'abri des intempéries derrière les anciens blocs de Stonehenge ; l'éclat du feu sur les murs de l'église Démétrius à Vladimir, ravivant les étranges créatures sculptées sur le mur de pierre blanche ; mon fils, prenant la barre du bateau de Peter à Pereslavl, un chat siamois, par une journée polaire, contemplant par la fenêtre la fière progression d'un immense croiseur le long de la baie de Kola. Ces images, comme bien d’autres, excitent l’imagination et aident à vivre.

51. J'aime prendre le métro. Il me sert non seulement de lieu d'auto-éducation, puisque j'y lis des livres, mais me plonge également dans le flux des vies et des destins humains. Je regarde et je vois combien nous sommes, à quel point nous sommes différents et à quel point nous nous traitons différemment les uns les autres et nous-mêmes. Comme ils sont merveilleux les jeunes amants, qui s'accrochent les uns aux autres et oublient tout du monde, et comme sont beaux les couples de personnes âgées, comme ça, main dans la main, traversant la vie. Les femmes qui ont reçu des fleurs, les parents aimants et leurs enfants, les gens captivés par un bon livre, absorbés par une conversation intéressante, tous ceux dont les visages sont illuminés par le sourire, l'intérêt vif, l'admiration, la gentillesse et l'amour...

52. Je suis profondément reconnaissant envers mes professeurs, envers toutes les personnes que je rencontre dans la vie et envers ceux dont les pensées et les sentiments me parviennent à travers l'espace et le temps.

Grâce à l’entraînement, à la pratique thérapeutique, au travail avec des attitudes émotionnelles fixes, aux caresses, aux coups de pied et aux interactions sans sentiments, nous prenons souvent conscience de la structure complexe du « je » humain. Quand dans un État nous sommes complètement prospères, dans un autre nous sommes moins prospères et dans un troisième nous ne sommes pas du tout prospères. Dans un état, nous donnons volontiers et habilement des coups, dans un autre, nous sommes capables de les accepter. Et il existe aussi un troisième état, dans lequel nous critiquons tout, devenons méfiants et grincheux.

Chaque personne est complexe. Il contient des parties contradictoires. Il est important de comprendre cela, de pouvoir le reconnaître et de l'appliquer au travail et simplement dans la vie. Les approches d’analyse sont ici très utiles. Ce n’est pas sans raison que ce système relativement simple et informatif devient de plus en plus populaire auprès des thérapeutes, des travailleurs sociaux, des enseignants et des patients du monde entier.